20/01/16
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AUDIO - Nicolas Bay sur RTL
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Prolongation de l'état d'urgence : l'Elysée décidera «dans les prochains jours»
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Face au lobby homosexualiste, Estrosi rétropédale
Rétropédalage de Christian Estrosi après la polémique suscitée par le profil de Catherine Giner nommée conseillère régionale déléguée « à la famille et l’intergénération ». Son entourage fait savoir qu’elle « ne sera chargée que de l’intergénérationnel » et que « Christian Estrosi sera très vigilant sur le respect de ses engagements » notamment en matière de soutien aux associations défendant les droits des femmes et le droit à l’IVG.
« C’est lui et lui seul qui interviendra sur les sujets touchant à la famille, il a été l’un des premiers à marier des personnes de même sexe ».
Ayons une petite pensée pour ce pauvre Christian Estrosi. Le pauvre, il ne sait pas que quand on a le lobby LGBT derrière soi, il ne faut jamais, jamais reculer ! Regardez cet avertissement adressé à François Hollande en pleine manifestation pro-dénaturation du mariage !
NDF
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Vent d’Est, la chronique de l’Europe centrale : Le coeur de l’Europe ne s’arrêtera pas de battre de sitôt.
A lire!
"Le vent se lève! . . . il faut tenter de vivre! "
Paul Valéry
(merci à Dirk)
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Marion Maréchal-Le Pen invitée des « 4 Vérités » : « Sarkozy, cet homme qui ne pense rien »
Marion Maréchal-Le Pen est l’invitée de Roland Sicard sur le plateau des 4 Vérités de France 2 ce mardi 19 janvier. L’occasion pour elle de dénoncer le manque de convictions de l’ancien président de la République.
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Le FN prêt à revoir son programme économique
21h31Marine Le Pen a accepté la tenue d’un séminaire où son discours économique sera au centre des débats.. Début février, à l’initiative de Louis Aliot, le FN réunira les membres de son bureau politique, ses parlementaires, ses maires et quelques invités extérieurs pour tirer les leçons des régionales.
Antoine Melliès, le président du collectif Audace (jeunes actifs patriotes) : «Pour deux raisons, explique-t-il. Notre proposition sur l’euro leur fait peur et nous n’articulons pas suffisamment les questions micro et macroéconomiques.»
À seize mois de la présidentielle. L’impossibilité de décrocher une région a suscité déceptions et amertume. Malgré des scores élevés, prouvant la résistance d’une dynamique électorale, les langues se délient et posent le discours économique du Front au centre des critiques parce que ses propositions en la matière sont jugées inaudibles par une partie de l’électorat de droite.
«Ce qui reste à prendre, c’est à droite», estime Franck Allisio, récent rallié venu des Républicains, engagé dans la campagne de Paca avec Marion Maréchal-Le Pen. «Si l’on veut passer de 45% à 51%, faire élire une trentaine de députés aux législatives, il faut arriver à convaincre de nouveaux électeurs de la classe moyenne, des professions libérales et des retraités», ajoute le coordinateur des jeunes entrepreneurs dans le Sud, en évoquant aussi la nécessité de préparer un terrain plus favorable aux alliances. [...]
Pour Marine Le Pen, l’aggiornamento économique du Front national marquerait un changement de ligne majeur. Elle avait posé la sortie de l’euro comme préalable incontournable de son action politique. Elle avait même dit qu’elle renoncerait à la fonction présidentielle sans l’accord des Français sur cette question. En écoutant ceux qui la pressent de rééquilibrer son discours en faveur de l’économie réelle, elle sait qu’il lui faudra trouver les moyens d’articuler une nouvelle stratégie après avoir séduit un électorat populaire sensible à ses discours protectionnistes sur l’État. Ce sera l’enjeu de cette année 2016 sans élection dont les frontistes veulent tirer profit pour mieux parler aux entreprises.
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Pour un imam de Cologne, les femmes attaquées sont responsables !
22h48Allemagne :Pour Sami Abu-Yusuf imam de la mosquée salafiste « Al-Tawhid » de Cologne les victimes des attaques du Nouvel An sont responsables de leurs agressions sexuelles, elles aurait provoqué les hommes en s’ habillant de façon inappropriée et en étant parfumées ...
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Geneviève de Fontenay pousse un coup de gueule contre la politique de Valls avec l'Arabie saoudite!
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Stéphane Bern : en province, « les migrants seraient une chance »
22h47Stéphane Bern, le spécialiste des monarques, désormais présentateur institutionnel, défend une « France ouverte à la diversité et aux migrants ».
Et que pense-t-il de la France actuelle ? «J’ai du mal avec l’arrogance française. On a été une grande puissance, on ne l’est plus. Marine Le Pen joue là-dessus.»
Portrait oblige, je l’interroge sur sa biographie. Il est né en 1963 (par une espèce de coquetterie inversée, il ne cesse de se traiter de «ruine»), dans une famille juive d’un père français et d’une mère luxembourgeoise. Mais il m’arrête aussitôt. Il a horreur qu’on le ramène à ces étiquettes, juif, luxembourgeois ou homosexuel.
«Ma religion, c’est la République, ça veut dire que je pense que chacun a le droit à l’oubli de ses origines et communautés auxquelles il pourrait appartenir. Pour moi, c’est ça, être vraiment républicain. C’est dire je ne vois pas ta couleur de peau, je ne vois pas ton sexe, je m’en fous. Tu es là. Tu as les mêmes droits que moi.» Et de préciser que s’il a pris partie pour le mariage pour tous, il ne l’a pas fait en tant qu’homosexuel mais parce qu’il refuse toute restriction des droits. [...]
Plus étonnant, il a son idée sur ce qu’il faudrait faire. Il accepte beaucoup d’invitations, il voyage donc souvent en province. «J’ai traversé la Lozère et l’Ardèche. Tout est à vendre, les villages sont déserts. On ne trouve plus de métiers. Les migrants seraient une chance. Ils remettraient de l’économie et du tissu social. » [...]
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Marseille. Journée des migrants à l'église Saint-Lazare.
La Provence - 17/01/16
NdB: Cette Journée des migrants existerait depuis 1914... Je n'en ai jamais entendu parler!
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Marine Le Pen intervenait ce matin, en session plénière au Parlement européen, suite à la clôture de la Présidence luxembourgeoise
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La haine du Blanc, trop souvent excusée
Le délit d’injure raciste existe dans notre arsenal juridique, sévèrement sanctionné – en principe – par la Loi du 1er juillet 1972, passée dans le nouveau Code pénal (article 225, paragraphes 1 à 4). En pratique, cette loi a été surtout utilisée pour condamner (durement) des écrivains négationnistes … alors même qu’en France, depuis les années 1980, existe un racisme infiniment plus généralisé que le racisme antijuif : le racisme anti-Blancs.
À moins de rester cloîtré, d’être sourd et aveugle, quiconque a déambulé dans n’importe quelle ville à forte composante immigrée extra-européenne, ou dans un quartier dévolu à cette population, a été victime ou témoin d’injures, de coups, de violences à caractère raciste… non pas perpétrés par de méchants Blancs contre de gentils Africains, noirs, antillais ou maghrébins, mais par d’honorables immigrés ou rejetons de cette immigration exotique.
Mardi 12 janvier 2016 (qui promet d’être encore un grand cru de l’ignominie anti-européenne), dans un tramway de Nantes, un Noir d’origine antillaise agresse sans la moindre provocation préalable un Français de souche, puis le frappe en le traitant de « sale Blanc ». Imaginons une seconde les hurlements de la presse bien-pensante, la quantité de plaintes déposées immédiatement par la multitude d’associations de lutte contre le racisme, si le schéma avait été inversé, si un Blanc avait traité l’honorable Noir de « sale nègre » (ou injure équivalente). Le délinquant blanc serait emprisonné et un procès à grand spectacle organisé, de préférence avant une allocution du Président-candidat, dans le cadre de sa pré-campagne électorale.
En pratique, l’on n’a rien observé de semblable. La presse est restée muette, sauf un quotidien local et la chaîne TV-Libertés. L’agresseur a certes été arrêté par la police, alertée par les témoins, mais aussitôt relâché, le procureur de la République ayant décidé d’une « composition pénale », soit un arrangement sans procès… la loi exige en effet que l’on se prononce immédiatement sur toute affaire de racisme (procédure dite de « référé »).
Dans notre Ve République, agonisant dans l’abjection, la corruption et le laxisme (soit les attributs d’une évidente lâcheté), le racisme anti-Blancs, reflet d’une haine pathologique de nos merveilleux immigrés d’origine extra-Européenne, est omniprésent. Dans notre patrie, on observe une inversion des convenances, mais aussi – et c’est beaucoup plus grave – une inversion du Droit.
Les convenances voudraient que les immigrés, fort bien accueillis dans un pays hautement civilisé, qui les gave d’allocations, qui leur offre même le bénéfice de la très antidémocratique « discrimination positive » en matière d’embauche, fassent preuve, sinon de reconnaissance (elle n’est pas une valeur culturelle dans la société islamique où tout ce qui est infidèle fait partie du Dâr al-Harb : le domaine de la guerre), du moins de prudence dans une société où ils ne sont (pas encore) majoritaires en nombre. Un minimum d’intelligence politique et sociale devrait être inculqué, dans leur intérêt, aux sauvageons de l’immigration exotique.
L’inversion du Droit est une première dans l’histoire mondiale. Jusqu’aux tristes années de l’ère mondialiste (qui a débuté en France en 1981), le Droit avait pour finalité de protéger les honnêtes gens de la canaille (voleurs et escrocs, individus orduriers en paroles ou brutaux) et de la crapule (violeurs, assassins, grossiums du trafic d’armes et de drogues, terroristes et leurs commanditaires).
Dans un État régi par l’Éthique, la Justice devrait condamner le coupable à la mesure de son forfait et s’assurer qu’il ne puisse récidiver, c’est-à-dire nuire ultérieurement à d’autres honnêtes citoyens. Pour les crimes de sang, il existe la peine de mort qui a du moins le mérite d’éliminer la pire bête sauvage qui soit : l’homme perverti au point de se croire investi du droit de tuer qui bon lui semble.
Il existe aussi, en démocratie, un principe fondamental, l’un de ceux qui définissent le bon gouvernement, celui qui protège le Bien commun : la Justice doit s’appliquer de façon égale à tous les criminels et délinquants.
Mais ces principes sont devenus obsolètes en France : ils datent d’avant les règnes laxistes des Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande. Soyons honnêtes, le bouc-émissaire actuel, notre Garde des Sceaux, ex-indépendantiste guyanaise, n’est qu’une cible facile, un alibi pour masquer notre profonde veulerie. Car, en définitive, les élus étant désignés par la Nation, celle-ci ne peut s’en prendre qu’à elle-même de leur profonde médiocrité et de leur corruption morale, pire que leur éventuelle corruption financière.
Bernard Plouvier
METAMAG
(merci à Dirk)
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Berlin veut créer une cour de justice spéciale contre les opposants à l’immigration
Heiko Maas
19/01/2016 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
Le ministre de la Justice allemande veut réprimer les opposants à l’immigration. Depuis l’arrivée d’un million d’immigrants et la série de viols collectifs par des étrangers à Cologne, la population allemande se défie de la politique d’immigration d’Angela Merkel.
Mais loin d’écouter le peuple, qui lui est au 2/3 défavorable, le gouvernement allemand radicalise ses positions pro-immigration. Il s’agirait non seulement de contraindre les pays membres de l’Union européenne à accueillir plus d’immigrants, mais aussi de censurer les opposants à l’immigration musulmane.
Le ministre de la Justice allemande a annoncé vouloir créer une cour de justice spéciale afin de réprimer les opposants et la violence xénophobe, qu’elle qualifie d’extrême-droite. Elle souhaite aussi nommer des procureurs spécialement chargés de réprimer les opposants politiques refusant l’immigration de peuplement. Et notamment ceux qui « s’expriment sur les réseaux sociaux ».Si les grands médias cachent la vérité, comme ils l’ont scandaleusement fait pour les viols perpétrés à Cologne, et que les opposants sont censurés, où le citoyen pourra-t-il s’informer ?
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L’État français, ennemi du peuple français, 2ème partie – par Guillaume Faye
17/01/2016 – FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)
L’État français est donc devenu un méga–structure corporatiste qui, depuis plusieurs décennies, dirigé par des gouvernements de droite ou de gauche, sape les fondements de la France. Ce ne sont pas les multinationales, les marchés, le mondialisme ni Bruxelles qui font exploser le chômage, paupérisent les classes moyennes et réduisent le niveau de vie, c’est la politique de l’État français. Ce n’est pas une agression extérieure qui a provoqué l’immigration de peuplement de masse, l’islamisation galopante, la montée du terrorisme djihadiste, l’explosion de la criminalité, c’est la politique de l’État français.
Les 9 plaies de la nation française provoquées par l’État
Voici les neuf domaines dans lesquels l’État français démolit la société et la nation françaises. Le processus s’est singulièrement aggravé depuis que la gauche PS – influencée par le trotskisme – dirige l’appareil d’État, un appareil qui, par ailleurs, est largement, du haut en bas de la hiérarchie, majoritairement innervé par la même idéologie.
1 L’encouragement de la colonisation de peuplement et de l’islamisation. Toute la politique d’immigration a été objectivement orchestrée par l’État français depuis le regroupement familial de 1974. (1) L’État français est le seul responsable de la colonisation de peuplement massive et de l’islamisation et de tous les maux qu’elles provoquent. Ce remplacement de population est accompli contre l’avis du peuple. Jamais, dans toute l’histoire de France, jamais, un État n’avait accepté, cautionné, laissé faire, au prix même de l’irrespect des lois (non–expulsion des clandestins et des déboutés du droit d’asile) une telle entreprise que l’on pourrait comparer à un ethnocide sournois.
2 L’abandon des classes populaires autochtones. La préférence étrangère est largement pratiquée dans les politiques sociales, de logement et d’embauche. La discrimination positive à caractère ethnique est partout encouragée voire imposée ; bien que la propagande prétende par un énorme mensonge que les personnes issues de l’immigration sont victimes de racisme et d’exclusion, inversion orwellienne de la réalité. Le peuple de souche des classes populaires (la ”France périphérique”) est délaissé, relégué. C’est lui qui est victime d’exclusions, de discriminations, de précarité, qui subit la criminalité, le racisme et la dureté administrative et fiscale de l’État ; lui, dont les prestations sociales, les aides et les revenus sont sacrifiés au profit des salariés publics surprotégés et de l’assistanat considérable des populations immigrées.
3 Le naufrage de l’école publique, l’Éducation nationale étant devenue l’Éducation antinationale. Baisse de niveau dramatique, par dogmatisme égalitaire, de l’enseignement public primaire et secondaire, démolition et défiguration de l’enseignement de l’histoire de France…la liste est interminable. Destruction de la mémoire nationale et culpabilisation. L’inverse absolu de la philosophie scolaire de la IIIe République. L’ascenseur social et la méritocratie ont été tués par l’État pseudo–républicain depuis 1968. L’égalitarisme a détruit l’égalité des chances. Rue de Grenelle, les cabinets de droite ou de gauche sont tout aussi responsables.
4 Le recul de la répression des crimes et délits et l’acceptation des zones hors droit. L’impunité judiciaire des délinquants sabote toute action policière. Les moyens d’investigation de la police ont été rognés et les récentes dispositions ”post-attentats” ne changent pas grand chose. Mme Taubira n’est qu’un épisode aggravant dans un processus débuté après 1981. L’État, dont les mandarins sont protégés, a laissé s’installer des centaines de zones de non-droit, à la fois défrancisées et criminogènes. Pire : l’État oblige les communes (logements sociaux, loi SRU) à héberger des quotas de certaines populations. Tout se passe comme si l’État–pachyderme évacuait une partie du territoire national laissée aux mains d’un occupant et lui en offrait de nouvelles portions. Le parallèle est saisissant avec l’État impérial romain déclinant. Et pour tout arranger, on force maintenant (loi SRU et quotas de ”logements sociaux ”) les communes préservées à accueillir les ”nouvelles populations”.
5 La démolition économique des forces vives de la nation. Ponctions fiscales et sociales croissantes, contraintes administratives empilées, harcèlements juridiques, réglementarisme paralysant : des agriculteurs aux artisans, des PME aux professions libérales, des fortunes investisseuses aux créateurs d’entreprises, tous sentent bien que le Moloch étatique, avec ses relais syndicaux corporatistes et marxisés, plombe la création de richesse nationale. Et ce n’est pas le ”social–libéralisme” insignifiant de M. Macron (montagne de paroles, modernité factice accouchant d’une souris) qui change quoi que ce soit. Au bilan : chômage en ascension exponentielle, baisse de compétitivité, faillites, déclin de l’agriculture familiale, investissements en berne, fuite des talents et des fortunes qui partent enrichir d’autres pays…
6 Le découragement de la natalité autochtone. Le gouvernement PS depuis 2012 a gravement dégradé les régimes des allocations familiales et aggravé les charges fiscales des familles avec enfants des classes moyennes, majoritairement de souche. Leur natalité est en baisse depuis 2013. Tout se passe comme si la reproduction du peuple français historique n’était pas souhaitée par l’État.
7 Les atteintes croissantes à la liberté de la presse et d’expression pour les défenseurs de l’identité française et européenne. La loi sur la liberté de la presse et d’expression de 1881 est de plus en plus vidée de sa substance, à partir des lois Pleven de 1972. Depuis, les lois mémorielles et communautaristes s’empilent ; s’y ajoutent une jurisprudence partiale qui abandonne le droit positif au profit de jugements idéologiques, et les injonctions depuis 1994 de la Cour européenne – véritable gouvernement des juges non élus. On aboutit à ce que toute opinion ”incorrecte” soit réprimée, menacée et donc incitée à l’autocensure. En dépit de la mascarade ”Je suis Charlie”, le blasphème contre l’islam (pas contre les autres religions) est intégré par le droit de l’État français. Plus le djihad islamique frappe, plus l’”islamophobie” est réprimée et moins l’ennemi des Français et des Européens est désigné. (2) Les concepts de racisme, d’islamophobie, d’homophobie, etc. fonctionnent comme des instruments de répression à sens unique.
Selon un modèle post–soviétique assoupli – sans goulag –l’idéologie officielle d’État, réprime de plus en plus toute contestation de ses dogmes, toute ”opinion interdite” par des sanctions à la fois pénales et socio-professionnelles. Il est même question de correctionnaliser les délits d’opinion. La ”république” est définitivement brouillée avec la liberté.
8 Les abandons de la souveraineté nationale au profit du conglomérat technocratique de l’Union européenne. L’UE est une belle idée mais dont la réalisation concrète est catastrophique. L’avis et la volonté du ”peuple français” et même de ses ”représentants” ne comptent plus. L’État n’a plus de souveraineté monétaire, plus de souverainement commerciale, de moins en moins de souveraineté industrielle, plus de protection physique des frontières qui ont quasiment disparu, noyées dans l’espace Schengen. Il s’en accommode parfaitement. En revanche, il a accru sa masse volumique et sa pression fiscale.
9 La soumission de la politique étrangère française à Washington, à l’Otan et à l’UE, relai des deux premiers, au mépris de l’intérêt national – et bien sûr européen. Le dernier épisode aura été la crise ukrainienne (voir divers article de ce blog) où l’État français a obéi à la politique aberrante de sanctions contre la Russie. Ce qui, sur les plans économique et stratégique, est complètement contraire aux intérêts de la France, la Russie étant notre premier partenaire et notre premier allié naturel sur l’échiquier planétaire. Mais, que voulez-vous ? Ces Messieurs du Quai d’Orsay prennent leurs ordres sur les rives du Potomac. Cette remarque ne signifie aucun anti–américanisme primaire de ma part.
L’État français provoque son propre dépérissement : il tue la poule aux oeux d’or.
L’État français ne cherche donc plus à être souverain comme représentant et défenseur du peuple français. Il vise d’abord la reproduction et l’expansion de son propre organisme, autoritaire et parasitaire, privilégié, aux frais du peuple de souche des classes de l’économie privée. Mais en même temps, il s’attaque, par idéologie, à ce peuple autochtone qui le fait vivre. Cette contradiction est suicidaire. L’État français ne sera pas secouru par ses protégés.
À maints égards, cet État pachydermique ressemble à l’État romain de l’Empire agonisant (Ve siècle) qui, lui non plus, ne cherchait plus la gloire ou la défense de Rome : énorme pression fiscale, impuissance à protéger les populations contre des invasions barbares qu’il a lui-même favorisées. Le parallélisme est fascinant. C’est pourquoi, dialectiquement, l’État pachydermique français est menacé de mort : en croyant se renforcer, il se saborde. Il croule sous son propre poids. Fuite des élites, baisse des recettes fiscales, dette croissante, soumission aux marchés créanciers, invasion migratoire de populations hostiles non maîtrisées, insécurité et délinquance explosives, perte de contrôles de pans entier du territoire. Il scie la branche qui supporte son organisme adipeux.
Une jeune personne qui est aujourd’hui titularisée comme fonctionnaire s’illusionne. Elle n’a rigoureusement aucune chance d’être payée jusqu’à la fin de sa vie professionnelle ni a fortiori de percevoir une retraite garantie comme ses aînés. Tout simplement parce qu’il n’y aura plus un sou pour la rémunérer. Pas de miracles : personne ne prêtera plus à l’État français. La faillite est pour dans moins de dix ans.
L’État français dépérit aussi par l’étranglement progressif de son propre principe de liberté (”républicain”) puisqu’il réprime de plus en plus cette liberté d’expression démocratique. Sa pseudo laïcité se soumet à l’islam envahisseur. La décomposition de l’État français actuel est peut-être souhaitable pour que renaisse, dans la douleur, la France. Une seconde Révolution française est possible ; si elle advient, elle sera très différente de la première. Probablement, beaucoup plus radicale et sismique.
(1) À l’époque, il était pertinent d’accuser le ”patronat” d’importer de la main d’œuvre à bon marché. Depuis les années 80, ce schéma est faux. L’immigration n’est plus du tout de travail.
(2) M. Valls ne cesse de désigner le « terrorisme » comme ennemi, terme sémantiquement neutre. Le terrorisme ? Mais qui sont les terroristes, à 100% ? Il n’ose même pas employer le mot ”islamisme”, a fortiori ”islam”. M. Valls, matamore mou, est terrorisé, victime du terrorisme intellectuel.
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Béziers : Robert Ménard répond à la lettre des 29 professeurs d'histoire
http://www.midilibre.fr/2016/01/17/,1271492.php
(merci à Dirk)
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29 profs de Béziers demandent à Ménard de ne plus "torturer la mémoire de Jean Moulin"
http://www.midilibre.fr/2016/01/15/29-professeurs-d-histoire-ecrivent-a-robert-menard,1270620.php
(merci à Dirk)
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Savoie: cinq militaires meurent dans une avalanche à Valfréjus
RIP
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Cologne : un premier suspect algérien interpellé pour «agression sexuelle»
+ 2 VIDEOS (Recker et Merkel)
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IVG : le tout-remboursé de Mme Touraine
Ainsi est officialisé en quelque sorte le fait qu'un avortement est une maladie grave.JournalisteAncien directeur des rédactions de l’Agence GammaLa dernière de notre inénarrable ministre de la… Santé vient de se dérouler dans le silence d’une nation endormie. Vendredi, en rendant visite au siège de son association préférée – le Planning familial de Paris, dont la mission principale semble être de planifier l’élimination de millions de petits Français -, Marisol Touraine a annoncé qu’à partir du 1er avril prochain, l’intégralité des actes autour de l’avortement (échographies, analyses, consultations, etc.) sera remboursé à 100 % à l’égal des 30 maladies reconnues par la Sécurité sociale comme étant des affections de longue durée telles que les maladies cardio-vasculaires, la paraplégie, la sclérose en plaques, etc.
Jusqu’à présent, seul l’acte de l’avortement, c’est-à-dire la disparition du bébé à naître, était pris en charge à 100 %. Ainsi est officialisé, en quelque sorte, le fait qu’un avortement est une maladie grave. Mais il en est ainsi dans notre France où, pourtant, la démographie est loin d’être satisfaisante malgré l’immigration massive, solution du Grand Remplacement.
Avorter est donc un droit largement encouragé par ce gouvernement qui ne se satisfait plus de sa récente et odieuse propagande télévisuelle à laquelle a participé Julie Gayet. La campagne « IVG mon corps, mon choix, mon droit » a été produite pour contrecarrer toute tentative de culpabilisation et de… « désinformation » de la part de sites tels ivg.net ou ecouteivg.org. Le site officiel, que l’on doit à Najat Vallaud-Belkacem (alors qu’elle était ministre des Droits des femmes) et à sa consœur Marisol Touraine, a lancé une campagne sur Google pour être référencé en premier lorsqu’une femme veut se renseigner sur l’avortement. Jusqu’à aujourd’hui, c’est le site ivg.net qui l’était… Un site où les femmes sont averties qu’avorter n’est pas un acte banal mais un acte qui conduit à tuer leur enfant. Ce que le gouvernement considère comme une désinformation absolue. Combien nos chers ministres ont-ils versé à Google pour réussir ce référencement en tête de liste ?
Les différentes mesures pro-abortives de ce gouvernement sont arrivées au maximum de ce qu’un État peut faire pour aider les femmes à se séparer de l’enfant à naître. L’avortement facilité par la pilule abortive est devenu un contraceptif et le Planning familial son meilleur promoteur.
Le ministre a déclaré que « chaque agence régionale de santé devra formaliser un programme régional pour améliorer l’accès à l’IVG » et elle peut compter sur l’aide du Planning familial pour améliorer les chiffres actuels : 220.000 avortements par an en moyenne, contre environ 800.000 naissances.
Evelyne Sullerot, fondatrice de la Maternité heureuse devenue par dérision ou plutôt par provocation, en 1960, le Planning familial, s’est élevée récemment dans Valeurs actuelles contre ses dérives. « L’objectif était d’aider les familles à réguler les naissances pour une planification bénéfique de la famille, et éviter ainsi les avortements. » Elle précise sa pensée : « En 1967, quand j’ai démissionné face à la politisation du Planning familial, certaines femmes portaient des badges “Je veux avorter” sans pour autant être enceintes…. Très vite, dans les années 1970, l’avortement est devenu un brevet de féminisme… En Allemagne, où l’on compte 110.000 avortements pour 80 millions d’habitants, et ailleurs, l’IVG est abordée avec bon sens comme une forme d’échec de la contraception. »
Un point de vue qui devrait faire réfléchir les Najat et Marisol sur les terribles lois qu’elles nous pondent au nom de la liberté du corps de la femme.
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