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  • Cologne. La grande gêne des féministes de France

     

     

    14/01/2016 – 05h00 France (Breizh-info.com) –  « Où sont passées les féministes ? » s’interroge Mathieu Bock-Côté dans Le Figaro, lundi 11 janvier, à propos des agressions sexuelles de Cologne. Relatant le silence de la presse au sujet des agressions sexuelles et viols ayant eu lieu le soir du nouvel an, ce docteur en sociologie rajoute : « On est loin du traitement de la photo déchirante du petit Aylan Kurdi mort sur la plage qui avait suscité une émotion immense dans les pays occidentaux, d’autant plus que les médias se livrèrent alors sans gêne à une séance de culpabilisation massive, comme si ce petit être au destin si atroce représentait à lui seul l’ensemble de la crise migratoire. À ce moment, l’amalgame était permis: tous les migrants étaient Aylan Kurdi.»

    Puis il s’interroge sur l’exemple de ces femmes, de gauche, féministe même, qui ont prononcé des déclarations étranges : « Devant cette agression, un désir de soumission avilissant se fait entendre. La mairesse de Cologne, Henriette Reker, a ainsi invité les femmes à adapter leurs comportements aux nouveaux venus. Elles devraient garder plus d’un bras de distance pour ne pas exciter des hommes qui ne sont pas encore habitués à la liberté sexuelle caractérisant la modernité occidentale. Les femmes sexuellement libérées sont-elles responsables de l’agression qu’elles subissent? Henritte Reker les invitera-t-elle demain à porter le voile pour faire comprendre qu’elles respectent les nouveaux codes de la pudeur multiculturelle et qu’elles sont vertueuses? Le multiculturalisme se présente ici plus que jamais comme une inversion du devoir d’intégration.»

    Cette affaire de Cologne aura levé le voile sur le combat plus idéologiquement à gauche, voir à l’extrême gauche, des féministes organisées en France, plutôt que celui de défense de la condition féminine. Si quelques féministes allemandes ont manifesté dès la révélation de ces incidents, il aura fallu attendre le 12 janvier pour recevoir le premier communiqué du collectif « Osez le féminisme » (piloté par des membres ou proches du planning familial, du PS et d’EELV) . Et l’on peut dire que ce dernier a le mérite de révéler la vraie nature des ces « féministes françaises », interlocutrices privilégiées du Gouvernement comme le fut celle que certains surnomment « l’ayatollah»,  Caroline De Haas , au cabinet de Najat Vallaud Belkacem.

    Sous le titre « Pour chaque femme violée, notre indignation est totale », le collectif après deux lignes d’explications des faits sur Cologne change de sujet : « Si nous saluons cette indignation collective et la rejoignons, nous ne pouvons que regretter que celle-ci soit à géométrie variable. En effet, chaque année, 84 000 femmes majeures sont violées en France, soit 230 par jour. Toutes doivent faire preuve d’un immense courage pour se reconstruire. Mais seules 10% d’entre elles réussissent à porter plainte et 2% des viols amènent à une condamnation des agresseurs. Le viol est donc le crime le plus impuni qui soit : dans notre pays existe un réel permis de violer. Face à cela, faisons-nous face à 365 jours d’indignation en France ? » avant d’en venir au point qui les gêne particulièrement ; les agresseurs sont, dans l’affaire de Cologne et ses centaines de plaintes enregistrées, tous des immigrés, dont beaucoup de réfugiés fraichement arrivés.
    « Selon l’origine des agresseurs, y aurait-il des victimes de viol qui mériteraient d’être soutenues plus que d’autres? Tous les jours, de Cologne à Paris, de Pékin à New York, du Caire jusqu’à Rio de Janeiro, dans l’hémisphère nord et dans l’hémisphère sud, des hommes, de tailles et de corpulences variées, de métiers variés, de confessions religieuses différentes, et de toutes origines sociales, agressent et violent des femmes. »

    Face au réel qui frappe les idéologues féministes – pétries d’antiracisme, de multiculturalisme, de gauchisme bien avant de s’intéresser à la femme et particulièrement à la femme européenne  – c’est le relativisme qui prime, voir quelques crises de delirium aiguës.  Ainsi, ces interlocutrices du gouvernement Hollande estiment que, comme dans le reste du monde, nous vivons, en Europe, dans des «  sociétés patriarcales, où il ne fait pas bon d’être une femme. »

    Tout en reconnaissant que « les agressions commises à Cologne, Zurich, Helsinki et d’autres villes lors du réveillon du Nouvel an sont d’une ampleur inconnue jusqu’alors » et qu’ils «Ils doivent être sévèrement punis et un message clair doit être envoyé aux agresseurs et futurs agresseurs », Osez le Féminisme conclut idéologiquement, comme cela avait commencé   « Instrumentaliser ces crimes, laisser à penser que la violence machiste est un fait étranger à nos sociétés, qu’il suffirait de fermer nos frontières pour nous en prémunir, c’est occulter la réalité du quotidien des femmes. L’origine des agresseurs ne doit pas être un frein à la dénonciation de ces agressions, mais nous condamnons aussi toute forme de récupération raciste de cet événement, qui nuit aux femmes victimes de viol, et nuit aux droits des femmes en général. La lutte contre les violences patriarcales doit être une priorité, 365 jours sur 365. L’indignation ne doit donc pas être sélective, car le féminisme ne peut être à géométrie variable. »

    Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale d’Europe-Ecologie-les-Verts et féministe militante, a attendu cette semaine également, avant de se déclarer « sidérée », tout en félicitant ses homologues allemandes pour leur manifestation « contre le racisme et le sexisme » , un peu comme si après un acte anti-chrétien en France, le président de la République dénonçait l’islamophobie ambiante.

    En Allemagne, certaines femmes réputées pour être proches des féministes ont eu un peu plus de courage et surtout moins d’oeillères : Kristina Schröder, qui fut ministre de la Famille, des Femmes et de la Jeunesse dans le gouvernement d’Angela Merkel, entre 2009 et 2013, a déclaré que ces agressions et ce manque de respect vis à vis des femmes faisaient partie de la civilisation musulmane. Dans le journal Bild  , elle a déclaré «Nous devons dire à tous les nouveaux immigrés: pour vivre ici, vous devrez renoncer au «code d’Honneur» qui caractérise certains hommes du monde arabe, et qui  dérive souvent vers de la violence envers les femmes. Sinon il n’y aura pas d’avenir pour vous ici

    Pas vraiment le même discours que celui d’Emmanuelle Cosse, qui déclarait en septembre 2015 : « on peut accueillir des réfugiés sans limite en France comme dans toute l’Europe ». Des propos que ne goûtent ni les Français ( cf la débâcle EELV aux régionales) , ni les Allemands qui se sont virilement manifesté dans les rues, à Leipzig ou à Cologne contre l’immigration, ni les Finlandais qui patrouillent pour protéger leurs villes, leurs femmes et leurs filles, ni les pays de l’Est qui ferment – comme la Hongrie – leurs frontières les uns après les autres à ces « chances pour l’Europe ».

    Le mot de la fin pour Yann Merkado, actif sur twitter :

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    Photo : DR
    Breizh-info.com, 2016, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

    (merci à Dirk)

  • Agressions sexuelles par des clandestins dans toute l'Europe : agir pour ne plus subir !

     

     

    Chaque jour les informations s'accumulent sur les agressions sexuelles massives commises par des prétendus réfugiés lors des célébrations du Nouvel an en Allemagne et dans d'autres pays européens (Suède, Autriche, Finlande, Suisse). Certains ministres allemands ont parlé d'agressions préméditées et organisées. À Cologne, ce sont plus de 1 000 immigrés majoritairement issus de pays musulmans qui s'en sont pris à des femmes parfois très jeunes. À ce jour, près d'un millier de plaintes pour violences, dont une moitié pour des agressions sexuelles, ont déjà été déposées rien qu'en Allemagne.

    En France, sous la pression de ces événements, les médias ont révélé qu'une tentative de viol avait eu lieu le 9 décembre dernier dans un train à Versailles. Trois clandestins afghans (dont un est toujours en fuite) s'en sont pris à une Française de 28 ans.

     
    La politique irresponsable d'Angela Merkel, de François Hollande, et de la majorité des autres dirigeants européens a mené à cette catastrophe, et a favorisé les attaques islamistes de Paris. Voici encore quelques jours à peine, c'est un islamiste ayant transité par un centre d'accueil pour réfugiés en Allemagne qui a tenté d'attaquer avec un hachoir des policiers en faction devant un commissariat de Paris.

    Face à cette politique suicidaire, Génération Identitaire est bien décidé à agir pour ne pas laisser les européennes être les victimes de la violence des clandestins. Dès jeudi dernier, des manifestations ont été organisées dans toute la France avec un message clair : "TOUCHE PAS À MA SŒUR - CLANDESTINS DEHORS !"
     
    GENERATION IDENTITAIRE
     
    (merci à Dirk)
  • Violences sexuelles du Nouvel An : les migrants une chance pour l'Europe ?

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    Tribunes libres / 15 janvier 2016 / Étiquettes : , /
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    Edito de Nicolas Bay (15.01.2016), Secrétaire Général du Front National

    Lors des festivités de la nuit du Nouvel an, de nombreuses villes européennes ont été le théâtre de violentes agressions, et en particulier d’agressions sexuelles. Pour la seule ville de Cologne, en Allemagne, on dénombre désormais 600 plaintes, dont plus de la moitié concerne des violences sexuelles. Si on ajoute les violences commises dans d’autres villes – à Hambourg, Stuttgart, Düsseldorf, Berlin – ce sont sans doute plus de 1 000 agressions qui sont en réalité à déplorer… La même nuit, des faits similaires ont aussi été signalés à Helsinki, en Finlande, ou à Zurich, en Suisse.

    Chaque fois, le même mode opératoire : des groupes d’hommes encerclant leurs cibles, devenant leurs proies, puis leurs victimes. Chaque fois les mêmes profils pour les auteurs : des « migrants », ou des « demandeurs d’asile ». Les informations policières ayant filtré dans le cas de Cologne ne laissent planer aucun doute, 29 des 32 hommes interpellés jusqu’ici seraient bien des pseudo-réfugiés.

    En France aussi, au début du mois de décembre, une jeune femme a été victime d’une tentative de viol par trois clandestins afghans dans un train à Versailles. Il aura fallu ces effroyables événements du Nouvel an pour que l’information sorte… Doit-on continuer à nier cette réalité au nom de fantasmes idéologiques ? Doit-on cacher les faits, comme on le reproche aujourd’hui à la police de Cologne ou à celle de Stockholm en Suède, pour ne pas écorner le mythe du paradis multiculturel ? Pense-t-on vraiment que l’on pourra résoudre cette situation avec des cours expliquant aux migrants comment se comporter avec les femmes en Europe comme on en voit se mettre en place dans les pays scandinaves ? Cela semble aussi utopique que d’imaginer « déradicaliser » des djihadistes revenant de Syrie ou d’Irak…

    Quelques heures avant que des centaines d’Allemandes soient agressées, brutalisées, parfois violées, Angela Merkel expliquait dans ses vœux que cet afflux massif de migrants – plus d’un million en une année ! – pouvait être une chance pour l’Allemagne… Quelle clairvoyance !

    Arrivant trop vite, trop nombreux, de pays aux mœurs et cultures trop éloignées des nôtres, pour une grande partie d’entre eux ces migrants ne sont pas aujourd’hui une chance pour l’Allemagne, la France, ou l’Europe, mais une menace pour notre sécurité et la concorde civile. Tant les attentats de Paris que les viols de Cologne nous ont démontré qu’il était désormais urgent de rétablir nos frontières et de stopper l’immigration massive et incontrôlée.

  • Avalanche mortelle en Isère : le professeur venait de faire un séjour en hôpital psychiatrique

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    Les Deux Alpes (Isère), mercredi. Les secours s'activent sur les lieux de l'avalanche pour rechercher notamment les personnes disparues. (Gérard Fourgeaud, France Bleu Isère © Radio France.)

    Le professeur qui encadrait les dix élèves pris dans une avalanche mortelle aux Deux Alpes mercredi était sorti en novembre d'un séjour en hôpital psychiatrique. Il prenait toujours un lourd traitement, notamment des anti-dépresseurs, selon une source proche de l'enquête ce vendredi.

    Par ailleurs, selon cette même source, certains élèves, accompagnés de ce même professeur, avaient déjà descendu la veille de l'avalanche la piste noire fermée sur laquelle s'est produit le drame, qui a coûté la vie à deux adolescents du groupe et à un touriste ukrainien.

    Le procureur de la République de Grenoble avait annoncé jeudi que le professeur de sport, toujours hospitalisé, avait été placé en garde à vue pour homicides involontaires.

    LE PARISIEN

  • EN DIRECT. Essai thérapeutique à Rennes : un accident d'une «exceptionnelle gravité»

    http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/en-direct-essai-therapeutique-a-rennes-un-patient-en-etat-de-mort-cerebrale-15-01-2016-5453671.php

     

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    Marisol Touraine

  • Changer pour avancer ! Entretien avec Robert Ménard

    Robert Ménard, la presse annonce votre participation à un séminaire du Front national, début février. N’est-ce pas une rupture pour un maire qui annonçait ne vouloir s’occuper que de sa ville ?
    Si la France n’était menacée ni par l’immigration ni par l’islamisation, si des millions de Français ne souffraient pas du chômage et de la pauvreté, si nos enfants allaient dans des écoles où on les instruisait plutôt que les préparer à « s’insérer » dans un marché du travail mondial, etc., alors l’essentiel des problèmes qui se posent à un maire, car ils se posent à ses administrés, disparaîtrait. Il existe un lien constant entre l’échelon local et le niveau national. Il n’y a donc pas de rupture mais, au contraire, prolongement de l’action.

    Vous n’appartenez pas au FN, mais vous êtes désormais présenté comme un « compagnon de route ». Est-ce que ça ne vous dérange pas ?
    C’est surtout faux. Un compagnon de route, c’est quelqu’un qui est à la remorque. Ce n’est pas mon cas. Au lendemain des régionales, j’ai fait part de mon analyse. J’ai eu l’occasion, par la suite, d’en parler de vive voix avec plusieurs dirigeants du FN. Eux de l’intérieur, moi de l’extérieur, nous avons le même sentiment : il faut refonder le FN, l’élargir, pour qu’il devienne le grand parti de gouvernement dont nous avons besoin. Dans cette affaire, ce qui compte, ce n’est pas l’intérêt d’un mouvement politique, c’est le pays. Ce qui se passe en France et en Europe est trop grave pour qu’il n’y ait pas urgence à prendre de grandes décisions.

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    Comment abordez-vous ce séminaire ?
    Dans un esprit de critique positive. Nous avons une situation exceptionnelle : plus du quart des Français font confiance à la droite patriote. Dans les esprits, nous sommes largement majoritaires. Comment concrétiser électoralement ce fait majoritaire ? Quels sont les freins qui s’y opposent actuellement ? Je parle des freins intrinsèques au programme du FN, intrinsèques à sa stratégie, des freins sur lesquels nous pouvons agir. Évidemment, nous ne pouvons pas changer l’hostilité militante des médias à notre égard. Alors, agissons sur ce qui dépend de nous.
    Le principe même de ce séminaire est très sain. Un organisme vivant a besoin de se recycler. Il a besoin d’un air extérieur. Que Marine Le Pen ait pris cette décision, unique dans l’histoire du FN à ma connaissance, témoigne de sa volonté de faire bouger les lignes, de proposer autre chose avant la présidentielle. C’est très encourageant.

    Autre chose, mais quoi ?
    Je l’ai dit à plusieurs reprises, mais il ne faut pas avoir peur de répéter lorsque c’est essentiel. Nous devons vaincre les réticences, qu’elles soient psychologiques ou de fond. Sur l’euro, sur la doctrine économique, une partie importante des électeurs de droite, et notamment parmi les personnes âgées (la classe d’âge qui vote le plus), est inquiète de ce que propose le FN. Que ces électeurs aient raison ou pas n’est pas le problème. C’est un fait. Il faut les rassurer. Il faut envoyer des signaux de stabilité à cet électorat. Sur le plan psychologique, le changement de nom du FN aurait un impact considérable. Encore faut-il qu’il ne s’agisse pas d’une opération de communication, mais que ce nouveau nom soit la signature d’un nouveau projet et d’un élargissement à de nouvelles personnalités.
    Pour prendre le pouvoir, le FN a le devoir de changer. Hormis sur ce qui relève du salut public : la défense de notre identité. Changer pour avancer. C’est le principe de la vie. C’est le propre de la lutte. C’est la condition de la victoire.

    Boulevard Voltaire

  • Appel à porter la kippa : les supporteurs de l'OM solidaires

    http://www.leparisien.fr/societe/appel-a-porter-la-kippa-les-supporters-de-l-om-solidaires-14-01-2016-5450795.php

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  • Julien Lepers : « France Télévisions fait de la discrimination contre les visages pâles de plus de 50 ans »

     

    17h34

    « On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans et ça, il va falloir que ça change« , avait prévenu Delphine Ernotte à son arrivée aux commandes de France Télévisions, en septembre dernier. L’animateur Julien Lepers a ainsi dénoncé la gravité des propos de la présidente de France Télévisions.

  • Grande-Bretagne : les collégiens vont apprendre que les premiers occupants de leur île étaient africains

     

    20h36
     

    Le nouveau programme d’histoire à destination des élèves de troisième concernant l’immigration en Grande Bretagne, adopte un point de vue inédit sur l’origine de la population britannique : les premiers occupants de leur île étaient africains.

    «Cela semble relever plutôt de l’endoctrinement que de l’éducation. C’est dangereux parce qu’une société soudée dépend de l’opinion partagé d’une histoire commune», a noté le professeur Alan Smithers de l’Université de Buckingham et conseiller du comité d’Education.

    Le nouveau programme d’histoire proposé aux élèves de 14 à 16 ans sera proposé dans les établissements scolaires du Royaume-Uni à partir de septembre. Intitulé «Migration vers la Grande-Bretagne de 1000 à 2010» («Migration To Britain c. 1000 to c. 2010»), le cours a été développé en collaboration avec les professeurs de l’Association d’études sur l’Asie et l’Afrique et couvre les flux migratoires vers les îles depuis l’époque romaine jusqu’à l’immigration moderne.

    Cependant, c’est l’histoire des premiers locataires des îles britanniques qui a suscité le mécontentement des historiens. Le nouveau programme suggère que des Africains y résidaient avant même les anglo-saxons, en se référant à une légion romaine de nord-africains stationnés brièvement près du mur d’Hadrien, qui marquait la frontière avec les territoires du nord, soit l’actuelle Ecosse.

    Alors qu’il est reconnu qu’environ 500 maures géraient ce fort près de Carlisle, il n’y a aucune preuve de leur installation de façon permanente, s’insurgent les experts, en accusant les auteurs de cette mise à jour de distorsion des faits au profit du «politiquement correct». [...]

    Source

    Merci à MatC24 et mmathe

  • Ajaccio, Cologne, Marseille… dirigeants irresponsables !

     

     

    13/01/2016 – EUROPE (NOVOpress)
    Nos responsables sont bien… irresponsables ! Ils ont une grande facilité à ne plus assumer les conséquences de leurs choix. Le réel leur fait peur et seule l’émotion les fait réagir. Leur mauvaise conscience leur dicte une politique conduite uniquement par l’esprit de repentance et le culte de la culpabilité collective.

    Outre-Rhin, la situation semble de plus en plus tendue. Les Allemands, abasourdis comme un grand nombre d’autres Européens, commencent tout juste à comprendre que le monde des Bisounours, vendu en boucle par leurs médias et leurs politiques, n’existe pas. Le multiculturalisme, tant vanté par la chancelière Merkel, paraît beaucoup moins idyllique depuis quelques jours. Les nombreuses agressions sexuelles, ayant eu lieu à Cologne, Hambourg, Stuttgart, mais aussi dans d’autres villes allemandes et d’autres pays européens (Autriche, Suède, Finlande…), sont là pour nous ramener à une réalité plus dure et violente.
    Étant liées pour une grande partie d’entre-elles, malgré ce qu’en disent nos moralisateurs et nos déconstructeurs, à l’arrivée de soi-disant pauvres migrants, réfugiés politiques et demandeurs d’asile, ces agressions sexuelles devraient normalement nous permettre de sortir de notre dormition tellement le nombre dépasse l’entendement.

    Nos responsables sont dans l’incapacité de se remettre en cause. Ils ne vivent que d’idées et de ce fait ne peuvent voir le monde tel qu’il est. Ils sont prêts à brader la sécurité de leurs propres peuples juste pour ne pas avoir à prendre et assumer des décisions difficiles, mais pourtant nécessaires. Enfermés dans une logique mondialiste et antiraciste, ils sont impuissants et aveugles. Face à des évènements compliqués, tragiques, ils refusent de se comporter en chefs d’État responsables et préfèrent jouer les abbé Pierre ou les mère Theresa.
    Ceci, comme le dit Michel Onfray, leur permet de se mettre « en scène, dans un rôle vertueux, héroïque ». Accablés par leur mauvaise conscience, ils ne savent plus ce que veut dire diriger et, au lieu d’agir, ils ne font que réagir. Sous le poids de plus en pesant de l’influence médiatique acquise dans sa grande majorité à la propagande du bien vivre ensemble, ils ne se comportent plus qu’en nouveaux bigots de la religion des droits de l’hommisme.

    La repentance, l’excuse, la justification de l’inacceptable et la culpabilisation de leurs populations sont devenues les pièces maîtresses de leur communication. La colère légitime des Allemands et celle de la population d’Ajaccio, suite aux scandales des agressions de la nuit de la Saint-Sylvestre et lors de l’attaque de pompiers et de policiers dans la nuit du 24 décembre, les ont bousculés dans leurs retranchements. Certains, pour ne pas avoir à se renier, n’ont pas hésité à se dire plus choqués par les réactions citoyennes que par les agressions elles-mêmes !

    En 2015, plus de 1600 pompiers se sont fait agresser dans l’exercice de leur activité ! Pourquoi ont-ils attendu Ajaccio pour exprimer leur indignation et leur détermination ? Pourquoi ont-ils fait le choix du communautarisme en abandonnant aux racailles des quartiers entiers ? Et surtout pourquoi contribuent-ils encore, par une politique bien réfléchie, à aggraver la situation en laissant entrer dans l’Union européenne, en une année, plus d’un million de clandestins dont la culture de naissance diffère totalement de celle de notre continent ?

    Ce choix est un crime contre nos sociétés occidentales et un jour il faudra que ces personnes assument pleinement leurs décisions d’aujourd’hui. Ce n’est pas tout d’assister à des commémorations avec les mains chargées de fleurs et de bougies, il faut aussi savoir être responsable ! Lorsque l’on prend des décisions, comme ce fut le cas pour la Libye, la Syrie, l’accueil des clandestins, et que l’on se trompe aussi lourdement, il faut avoir un minimum de décence en évitant de continuer à jouer les vierges effarouchées.
    Nos bonimenteurs ne sont plus crédibles et ils méritent à présent de rendre des comptes tellement les conséquences de leurs choix se révèlent être catastrophiques. Il suffit de regarder ce début d’année (des militaires obligés d’ouvrir le feu à Valence pour stopper une attaque d’un islamiste, un commissariat attaqué en Ile-de-France par un djihadiste et un juif agressé à Marseille à coups de machette par un fou d’Allah) pour se convaincre que le besoin de changement est plus qu’urgent !

    Vincent Revel

  • Levée des barrières aux produits chinois : "Une admirable connerie de l’Europe"

    La Commission européenne envisage la levée des barrières économiques de l’Europe aux produits chinois. Pour François Fillon, des centaines de milliers d’emplois européens sont en jeu. Olivier Delamarche analyse cette opinion et les autres risques.

    Olivier Delamarche est associé stratégiste chez Platinium Gestion. Il est également membre-fondateur des Éconoclastes.

     

    RT France : Aujourd’hui, la Commission européenne a débattu de l’opportunité d’accorder à la Chine le statut d’économie de marché. Pour François Fillon par exemple, cela signifie la destruction des défenses économiques de l’Europe face au géant chinois. Est-ce qu’il existe vraiment un danger dans le cas où l’on accorde à la Chine le statut d’économie de marché et si les règles du commerce avec la Chine sont libéralisées ?

    Olivier Delamarche : Si c’est le cas, oui – c’est encore une admirable connerie de l’Europe. Si cela aboutit à une porte ouverte totale aux produits chinois, c’est une aberration.

     

    Si ce danger existe vraiment, pourquoi la Commission européenne ouvre-t-elle ce débat ?

    Ce que fait la Commission européenne, c’est aberrant de toute façon. C’est comme le traité avec les États-Unis, le TTIP – c’est exactement le même principe, c’est une aberration, c’est une connerie monstrueuse, puisqu’en gros ça veut dire qu’on laisse rentrer les produits américains, mais dans l’autre sens ça va être beaucoup plus compliqué, comme d’habitude. Donc les conneries de l’Europe ne m’étonnent plus, on n’est plus à ça près. Pour cette histoire avec la Chine, il faudrait voir de plus près quelles seraient les conséquences, mais j’estime que si elles sont telles comme on les décrit, ce sera une connerie de plus de l’Europe.

     

    Mais l’économie européenne dépend déjà beaucoup de la Chine, l’Europe a-t-elle vraiment une chance de s’opposer à cette influence ?

    On dépend tous de l’économie chinoise, et elle dépend de nous. Qui sont les clients et qui sont les fournisseurs ? Pour le moment, il ne faut pas se planter, l’Occident est le client et le fournisseur est la Chine – ça ne va pas dans l’autre sens. C’est-à-dire que lorsqu’on indique que le moteur de la Chine est sa consommation interne, c’est une blague. On le voit bien, d’ailleurs. Aujourd’hui, pourquoi la Chine ralentit fortement ? Parce qu’il n’y a pas de demande. Pas de demande des États-Unis, de l’Europe, et c’est pour ça que ça ralentit en Chine. Il ne faut pas se planter dans le sens des échanges. Les Chinois ont besoin de la demande occidentale pour fonctionner.

     

    Quelle devrait alors être la position économique de l’Europe envers la Chine ?

    Aujourd’hui, malheureusement, on a une économie qui est absolument mondialisée. On a un vrai problème de mondialisation et de concurrence. En Europe vous ne pouvez pas, quoi que vous fassiez, avec les coûts de production actuels, rivaliser avec la Chine. C’est totalement impossible. Et quand les coûts augmentent en Chine, les sociétés vont là où c’est pas cher, à côté, au Vietnam ou ailleurs.

    Alors maintenant est-ce que la bonne réponse c’est d’aller coller des barrières douanières ? Je ne sais pas. Mais de toute façon, c’est ce qui va se passer. Plusieurs pays ont déjà commencé à mettre en place des barrières douanières, puisque aujourd’hui ça va mal dans tous les pays. On va tout droit vers une récession mondiale et forte. Il ne faut pas se faire d’illusions : tous les pays vont avoir des réflexes protectionnistes et vont augmenter les barrières douanières. Ils vont essayer de faire en sorte de se protéger. On le voit, on commence à le voir un petit peu partout. Et si l’Europe fait exactement l’inverse, ça aura des conséquences – on sera les premiers à plonger.

     

    Quand vous parlez de barrières, parlez-vous des barrières au niveau du grand marché européen ou plutôt aux niveau national ?

    Les barrières, il faut que vous les mettiez au niveau européen, pas au niveau des pays, puisque sinon ça rentrera forcément. Les gens qui sont en face sont malins, donc ils les feront passer par des pays qui n’ont pas mis de barrières douanières – et ensuite ça se diffusera en Europe. Donc forcément vous les mettez à la frontière de l’Europe si l’Europe accepte ça. Mais aujourd’hui, économiquement on est géré par des guignols. Que l’on ouvre la marche pleinement à un moment où la Chine est en difficulté, l’Europe est en difficulté, les États-Unis sont au bord de la récession – je trouve ça pas très malin.

  • Florian Philippot sur BFM TV

  • Agressions sexuelles en Allemagne : des militants identitaires distribuent des bombes anti-agressions

    http://fr.novopress.info/196971/agressions-sexuelles-en-allemagne-des-militants-identitaires-distribuent-des-bombes-anti-agressions/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

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  • Aymeric Chauprade : « Contre l’islamisation de la France, je lance aujourd’hui le mouvement des Français libres, le parti des forces vives. »

    NdB: Qui va financer ce parti ? Toujours les mêmes ou bien la Russie?  Et encore: ce parti est-il contre l'islamisation ou surtout contre le FN ?

     




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    « Prenez votre destin en main et rejoignez les Français libres, le parti des forces vives ! » lance le député français européen, ex-membre du Front national.

    NDF

  • Dix touristes tués au coeur d'Istanbul dans un attentat suicide attribué à l'EI

    Une avalanche emporte des élèves et un Ukrainien en Isère: au moins deux mortsAgression antisémite à Marseille: le mineur mis en examen pour tentative d'assassinat terroristeL'Iran a libéré 10 marins américains dans le GolfeUn suspect arrêté après l'attentat dans lequel 10 touristes allemands ont péri à IstanbulTurquie: un suspect arrêté après l'attentat visant des touristes

     

     

    Le coeur touristique d’Istanbul a été frappé mardi par un attentat suicide qui a fait 10 morts, dont au moins 8 Allemands, et 15 blessés, dernière en date d’une série d’attaques meurtrières attribuées par le gouvernement turc au groupe Etat islamique (EI).

    L’attentat s’est produit en milieu de matinée dans le quartier de Sultanahmet, sur l’ancien hippodrome qui borde la basilique Sainte-Sophie et la Mosquée bleue, les deux monuments les plus visités de la plus grande ville du pays.

    Trois mois après celle qui avait fait 103 morts lors d’une manifestation prokurde à Ankara, cette nouvelle attaque a visé délibérément des étrangers et le tourisme, l’un des secteurs clé de l’économie turque.

    « Nous avons déterminé que l’auteur de cette attaque terroriste (…) est un étranger membre de Daech (acronyme arabe de l’EI) », a affirmé le Premier ministre Ahmet Davutoglu lors d’une brève déclaration télévisée à Ankara.

    Le président Recep Tayyip Erdogan avait auparavant déclaré que l’attentat avait été commis par « une personne d’origine syrienne », sans autre détail.

    Longtemps soupçonné de complaisance envers les rebelles radicaux syriens, le régime islamo-conservateur turc a rejoint l’été dernier la coalition antijihadiste internationale. Depuis octobre, il a multiplié les arrestations de membres présumés de l’EI, affirmant plusieurs fois avoir déjoué d’autres projets d’attentats.

    Mardi, la police a encore arrêté 47 suspects à Ankara, Sanliurfa (sud-est) et Mersin (est), selon les médias, sans lien immédiat avec les événements d’Istanbul.

    A l’issue d’une réunion d’urgence autour de M. Davutoglu, le porte-parole du gouvernement Numan Kurtulmus a indiqué que le kamikaze avait été identifié comme un Syrien né en 1988, sans toutefois donner son nom.

    – ‘Acte odieux’ –

    Selon l’agence de presse Dogan citant des sources policières, cet homme s’appelait Nabil Faldi et était né en Arabie saoudite. Il est entré en Turquie le 5 janvier par la frontière syrienne, a précisé l’agence.

    Près de deux mois après les attentats de Paris, le président français François Hollande a dénoncé un acte « odieux » et exprimé sa « solidarité » avec Ankara, alors que le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a condamné un « crime méprisable ».

    Les premières photos prises sur place montraient plusieurs corps démembrés couchés sur le sol pavé de cette grande esplanade, traversée chaque année par des millions de touristes venus du monde entier.

    « Toutes les victimes sont de nationalité étrangère », a indiqué M. Davutoglu.

    Un responsable gouvernemental turc a évoqué dans un premier temps le chiffre de 9 touristes allemands tués mais le ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier a fait état en soirée de 8 victimes de son pays.

    Un Péruvien a également été tué, a confirmé Lima.

    Le bilan dressé par le bureau du gouverneur d’Istanbul a également fait état de 15 blessés. Deux d’entre eux se trouvent dans un état grave, a précisé M. Kurtulmus. Parmi eux figure un citoyen norvégien, selon Oslo.

    Berlin a recommandé « avec insistance » aux Allemands d’éviter « provisoirement » les lieux publics et les « attractions touristiques » à Istanbul, alors que Paris a conseillé de son côté à ses ressortissants d’éviter le secteur de l’attentat.

    – ‘Le sol a tremblé’ –

    Sitôt après l’explosion, de nombreux témoins ont évoqué le scénario d’un attentat suicide.

    « L’explosion a été si forte que le sol a tremblé », a indiqué une touriste, Caroline, « c’est vraiment effrayant ». « J’ai entendu une très forte explosion, et puis de nombreux cris. Et puis j’ai vu une boule de feu et je me suis enfui », a raconté un autre témoin .

    La Turquie vit en état d’alerte permanent depuis le double attentat suicide jihadiste qui a visé un rassemblement de manifestants prokurdes le 10 octobre devant la gare centrale d’Ankara, faisant 103 morts et plus de 500 blessés.

    « Le mode opératoire, un kamikaze, et la cible, un groupe de touristes, suggèrent un attentat jihadiste », a commenté mardi à l’AFP un diplomate occidental. « Si c’est le cas, c’est le signe que Daech a décidé de s’en prendre directement à l’Etat turc », a-t-il ajouté, « jusque-là, ses cibles en Turquie étaient les Kurdes ».

    La Turquie est également secouée depuis l’été dernier par la reprise de combats meurtriers entre ses forces de sécurité et le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), qui ont fait voler en éclat un cessez-le-feu qui tenait depuis plus de deux ans.

    Les rebelles kurdes visent en priorité militaires et policiers mais le 23 décembre dernier, une organisation armée kurde, les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK), a revendiqué une attaque au mortier qui a tué une personne sur l’aéroport Sabiha Gökçen, sur la rive asiatique d’Istanbul.

    M. Erdogan a promis à plusieurs reprises d’éradiquer le PKK.

    « La fermeté de la Turquie n’a pas changé », a déclaré mardi l’homme fort du pays. « La Turquie est la première cible de toutes les organisations terroristes actives dans la région parce qu’elle les combat toutes avec la même détermination », a insisté M. Erdogan.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Déchéance: Valls présentera lui-même, sans Taubira, la révision constitutionnelle au Parlement

    http://www.bvoltaire.fr/breves/decheance-valls-presentera-lui-meme-sans-taubira-la-revision-constitutionnelle-au-parlement,231384?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=ab3a7b4378-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-ab3a7b4378-24089849&mc_cid=ab3a7b4378&mc_eid=0b0d8f3739

  • Pourquoi les juifs portent la kippa

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/01/13/01016-20160113ARTFIG00111-pourquoi-les-juifs-portent-la-kippa.php