Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • Excision: décès en Sierra Leone et en Guinée

     

     Une adolescente est décédée en Sierra Leone lors d'une excision pendant une cérémonie d'initiation à une société secrète, a-t-on appris, hier, de sources concordantes, tandis qu'en Guinée une fillette de 10 ans est également morte de cette pratique.

    Ces deux pays voisins font partie des dix au monde, tous africains, où l'excision est la plus courante, avoisinant 90 % des femmes en Sierra Leone et 96 % en Guinée, mais cette pratique a fortement reculé pendant l'épidémie d'Ebola qui les a touchés jusqu'en 2016.

    Le 14 août, une fillette de 10 ans a péri à la suite d'une excision à Makpozou, en Guinée forestière (sud), a annoncé dans un communiqué la ministre guinéenne de l'Action sociale, de la Promotion Féminine et de l'Enfance, Sanaba Kaba.

    Le drame s'est produit «dans un camp d'excision de jeunes filles», alors même que le gouvernement a lancé le 5 août une «vaste campagne d'éducation de sensibilisation et d'information auprès des communautés dénommée Vacances scolaires sans excision», a souligné la ministre.

    En Sierra Leone, une lycéenne, Fatmata Turay, est décédée d'une excision subie pendant une initiation à une société secrète dite Bondo dans le village de Mabolleh, dans le nord du pays, a annoncé la police.
     
    LE FIGARO - 19/08/2016
     
     
     
     

  • Communiqué de presse d’Eléonore BEZ, Conseiller Régional Front National PACA

     Apologie du terrorisme et burqa sur les plages du Prado
    La terreur islamiste cela suffit ! ...

    Après la « burkini party » aux Pennes Mirabeau, la provocation du burkini sur la plage de Sisco en Corse, c’est une affaire de baignade en burqa qui a touché Marseille.
    Plage de l’Huveaune, dans les quartiers sud de la ville, deux mineures se baignent entièrement voilées. Interpellées par la police, leur mère « s’agace de la situation » si violemment que les CRS sont intervenus.
    La mère de ces deux jeunes filles en burqa a été arrêtée pour « outrages, menaces et apologie du terrorisme ».
    Apologie du terrorisme : voilà ce qui se cache derrière ces provocations désormais quotidiennes ! L’islamisme veut faire vivre chaque jour les Français, les Marseillais et les forces de l’ordre dans la terreur.
    Cette affaire serait passée inaperçue du fait du silence assourdissant des responsables politiques marseillais :
    M. Yves Moraine, maire des 6ème et 8ème arrondissements de Marseille où s’est produit l’incident : aucune réaction.
    Mme Valérie Boyer députée et maire des 11ème et 12ème arrondissements, qui après avoir hurlé au burkini aux Pennes Mirabeau, commune de gauche : aucune réaction.
    M. Jean-Claude Gaudin, Sénateur-Maire de Marseille, qui a déclaré dans l’affaire de la « burkini party » :« J'ai toujours été opposé à quelque manifestation de communautarisme (alors qu’il a très largement soutenu le projet de grande mosquée cathédrale à Marseille) : aucune réaction !
    Aucun arrêté d’interdiction du burkini et de la burqa sur les plages de sa ville !
    Oui, chut car Marseille, c’est la capitale du « Vivrensemble », c’est plus belle la vie... Quel mépris de cette classe politique envers les Marseillaises et Marseillais qui subissent depuis des années les racailles et désormais le communautarisme islamiste qui s’exhibe chaque jour un peu plus dans toutes nos rues !
    Le peuple historique de Marseille, les Marseillaises et les Marseillais en ont assez d’être pris en otage par le clientélisme électoraliste et le communautarisme islamiste qui les narguent et gangrènent Marseille !
    Seul le Front National et sa présidente, Marine Le Pen dénoncent et luttent quotidiennement et sans concessions contre l’angélisme électoraliste d’une classe politique soumise et contre le communautariste islamiste pour que Marseille, la France et les Français préservent leur identité.

    Eléonore BEZ (Facebook)

     

  • Rue réservée aux colons : des soldats israéliens jettent le vélo d’une petite Palestinienne (VIDEO)

     

     

    Une scène d’humiliation a eu lieu dans la ville d'Hébron, en Cisjordanie, lorsque deux militaires israéliens armés ont fait fuir une fillette palestinienne de huit ans qui aurait roulé avec son vélo sur une route réservée aux colons.

    Dans la vidéo, diffusée sur YouTube par l’organisation israélienne de défense des droits de l’homme B’Tselem, on voit l’un des officiers, armé, faire fuir la fillette de huit ans en pleurs. Un autre arrive ensuite, se saisit du vélo et le jette dans un buisson aux alentours.

     

    La scène s’est déroulée le 25 juillet 2016 dans la ville d'Hébron, en Cisjordanie.

    Selon l’ONG, la petite fille, Anwar Burqan, avait «roulé sur la route pavée [de al-Ibrahimi], qui est réservée aux colons» israéliens. Les Palestiniens doivent, eux, emprunter un autre chemin de terre, depuis que les forces de sécurité israélienne ont séparé les deux voies par une clôture, en septembre 2012.

     

    Malgré des protestations internationales, Israël continue régulièrement de construire de nouvelles colonies, illégales au regard de l’ONU, sur des territoires que l’Etat hébreu occupe depuis la guerre de 1967.

    Aujourd'hui, plus de 500 000 colons israéliens sont implantés en Cisjordanie et à Jérusalem-Est.

    RT

    NdB: Regardez la vidéo en plein écran: on voit très bien le petit vélo de la fillette

     
  • Merkel réfute tout lien entre terrorisme et immigration (Màj)

    http://www.fdesouche.com/756743-merkel-refute-tout-lien-entre-terrorisme-et-immigration

    1608181434540099.jpg merkel.jpg

  • Russie : tollé après l’appel d’un mufti à « exciser toutes les femmes » (Màj)

    http://www.fdesouche.com/756905-russie-tolle-apres-lappel-dun-mufti-a-exciser-toutes-les-femmes

    VIDEO

     

  • Islamiste indemnisé : l'incroyable erreur en faveur de Farouk Ben Abbes

    6026311_ben-abbes_1000x625.jpg

     

    >Faits divers|Eric Pelletier|18 août 2016, 14h00 | MAJ : 18 août 2016, 20h25|119

    Brienne-le-Château (Aube), le 26 juin. Indemnisé par l'Etat pour une détention provisoire injustifiée, l'islamiste radical Farouk Ben Abbes a perçu 15.000 euros de plus que la somme prévue par la Commission nationale des réparations des détentions.

    (PhotoPQR/ « Est Eclair »/Jérôme Bruley.)
     
     
    Eric Pelletier
     
    Faits diversFarouk Ben AbbesIslamisteFabien ClainDétention ProvisoireToulouse
     

    L’administration a versé par erreur un trop perçu de 15 000 euros à cet islamiste assigné à résidence en compensation d’une détention provisoire non justifiée.

    L’islamiste radical Farouk Ben Abbes, aujourd’hui assigné à résidence à Toulouse en raison de sa dangerosité supposée, a été très - trop ? - généreusement dédommagé par l’Etat d’une détention provisoire injustifiée. Selon des sources concordantes, en mars dernier, son compte a été crédité d’une somme bien supérieure à celle octroyée par la Commission nationale des réparations des détentions. L’erreur en sa faveur étant de près de… 15 000 euros.

     

    Le 3 mars 2014, un premier arrêt de la Cour d’appel de Paris reconnaît un « préjudice moral » à hauteur de 6 000 euros en réparation des trois mois qu’il a passés derrière les barreaux avant de bénéficier d’un non-lieu dans un dossier terroriste. Les magistrats indemnisent également le « préjudice matériel » correspondant à ses frais d’avocats. A cette date, la somme qui lui est dûe avoisine les 20 000 euros.

     

    Le ministère de la Justice dépose immédiatement un recours devant la Cour de cassation, la plus haute juridiction française en matière pénale. Dans une décision du 13 janvier 2015, cette dernière coupe la poire en deux, reconnaissant le préjudice moral de Farouk Ben Abbes mais rejetant son préjudice matériel. Soit pour l’Etat, une facture finale de 6 000 euros, hors frais de procédure.

     

     

    Mais pour une raison encore inexpliquée, l’organisme de paiement du ministère de la Justice prend en compte la première décision, très favorable à Ben Abbes, et non la décision ultime de la Cour de cassation. Selon nos informations, il verse ainsi sur le compte de l’ex détenu, 21 650 euros et quelques centimes (les indemnités de retard de paiement ont fait grossir la facture). Selon une source judiciaire, le bénéficiaire n’a pas signalé ce dysfonctionnement à l’administration. Contactée, la chancellerie indique qu’elle « expertise les raisons de cette erreur et travaille sur les modalités de recouvrement. » Farouk Ben Abbes devrait se voir réclamer prochainement ce trop-perçu.

    LE PARISIEN

  • L’État islamique répond au pape François : « Nous faisons une guerre de religion et nous vous haïssons »

    1608190312570122.jpg

     

    23h43

    L’État islamique a répondu publiquement aux déclarations du pape François selon lesquelles la guerre menée par les terroristes islamiques n’est pas religieuse de nature. L’article assure le pontife que leur seule et unique motivation est religieuse et approuvée par Allah dans le Coran.

     

    À la une du dernier numéro de Dabiq – le magazine de propagande officielle de l’État islamique –, le groupe terroriste critique notamment la naïveté du pape François qui se cramponne à la conviction que les musulmans veulent la paix et la coexistence pacifique et que les actes de terreur islamique sont motivés par des raisons économiques. Dans l’article intitulé « By the Sword » (« Par l’épée »), les auteurs déclarent catégoriquement : « Ceci est une guerre divinement cautionnée entre la nation musulmane et les nations infidèles ». [...]

    « Tuez les mécréants partout où vous les trouverez »

    L’article déplore qu’en dépit de la nature clairement religieuse de leurs attaques, « beaucoup de gens dans les “pays des croisés” (pays occidentaux) » expriment un choc et même un dégoût parce que la direction de l’État islamique « utilise la religion pour justifier la violence … En effet, le djihad – la diffusion de la règle d’Allah par l’épée – est une obligation que l’on trouve dans le Coran, la parole de notre Seigneur », rappelle le magazine. « Verser le sang des incroyants est une obligation commune. Le commandement est très clair : tuez les mécréants, comme Allah l’a dit, “tuez les mécréants partout où vous les trouverez”. » [...]

    Le fait est que « même si vous (les pays occidentaux) arrêtiez de nous bombarder, de nous jeter en prison, de nous torturer, de nous humilier et de vous emparer de nos terres, nous continuerions de vous haïr, parce que le motif premier de notre haine ne disparaîtra pas tant que vous n’aurez pas embrassé l’islam. Même si vous deviez payer le jizyah [impôt pour les infidèles] et vivre sous l’autorité de l’islam dans l’humiliation, nous continuerions à vous haïr ». [...]

    Source

  • Sisco: « ces Maghrébins voulaient privatiser la plage »!

     Download PDF

    « Pour des raisons encore indéterminées, des Corses s’en sont pris à deux familles marocaines. » C’est ainsi que BFM TV présentait les violences survenues samedi aux abords des plages du village de Sisco, en Haute-Corse. Comme à l’accoutumée, les médias se sont emparés de l’affaire, donnant la parole aux associations subventionnées pour cracher leur haine de la France, notamment l’officine de lobbying islamiste appelée CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), grassement financée par le milliardaire américain George Soros. Marwan Muhammad, son « directeur exécutif », a été invité sur tous les plateaux, dénonçant « l’islamophobie » des affreux fachos corses, lesquels devraient être considérés comme une « communauté » en France et sur leur île… Bref, les bobards médiatiques se sont succédés pour que les Français ne connaissent pas la vérité.

    Que s’est-il réellement passé à Sisco, samedi dernier ? Selon Nicolas Bessone, procureur de la République à Bastia, l’origine des incidents incombe « à l’évidence » à des « membres d’une famille maghrébine », ayant voulu, « dans une logique de caïdat, s’approprier la plage et la privatiser ». Le procureur est allé plus loin, expliquant que ces Maghrébins avaient « multiplié des incidents avec un certain nombre de personnes : jets de pierre à proximité d’autres personnes pour les intimider, tensions très fortes, insultes, menaces ». Parlons clairement : des islamo-racailles ont foutu la pagaille sur fond de revendications communautaires. Ils ont privatisé la plage comme ils entendent un jour privatiser le pays ; ou, plus précisément, le conquérir.

    Visage raffiné du conquérant, Marwan Muhammad utilise pourtant la même rhétorique que ses coreligionnaires violents qui ont sévi à Sisco : victimisation, lutte contre un arbitraire supposé… De la même façon, le Comité français du culte musulman a osé dire que le « burkini » (terme de novlangue pour désigner une burka de baignade) n’était pas un vêtement islamiste, témoignage d’un prosélytisme étranger incompatible avec nos mœurs. Peut-être parce que le Conseil français du culte musulman, créé par Nicolas Sarkozy, est aussi infiltré par les Frères musulmans que le Collectif contre l’islamophobie en France ?

    Les Corses ont été salis par tous les médias qui les ont dépeints en monstres alors qu’ils se sont contentés de protéger un village, et trois de ses jeunes habitants sauvagement agressés par des personnes plus âgées équipées d’armes blanches qui n’ont normalement pas leur place sur les plages. Des femmes voilées, accompagnées de proches – à l’évidence des voyous -, ont voulu s’approprier une crique, terrorisant les badauds et les touristes. Comment peut-on supporter cela ? La réaction villageoise n’a pas été inadaptée, contrairement à ce qu’affirme le procureur qui cherche à faire bonne mesure. Bien au contraire, elle était légitime, proportionnée et rafraîchissante.

    Si la France est un pays liberticide, où les musulmans ne se sentent pas à l’aise, ils sont toujours libres de quitter l’Hexagone pour rejoindre des contrées plus tolérantes, comme l’Arabie saoudite ou l’État islamique. Qu’ils sachent une chose : les Français veulent rester maîtres chez eux et ne toléreront pas longtemps ces provocations haineuses, sectaires et violentes.

    Gabriel Robin – Boulevard Voltaire

    Les deux habitants de Sisco, placés en garde à vue, ont été remis en liberté. Les trois protagonistes maghrébins de cette affaire seront jugée en comparution immédiate le jeudi 18 août 2016.(NDLR)

  • Terrorisme: l'inquiétnt retour des djihadiistes "français"

    6046429_1-0-500331883_1000x625.jpg

    Alors que Daech recule dans ses fiefs, Paris cherche comment faire face au retour des Français partis combattre dans ses rangs.

    Jamais la lutte contre Daech n'aura autant mobilisé les dirigeants français. Depuis quelques mois, dans le secret de l'Elysée, les Conseils de défense et de sécurité se succèdent à un rythme soutenu. Ce mercredi matin encore, autour de François Hollande, les ministres de haut rang (Défense, Intérieur), les chefs militaires et les responsables des services de renseignement vont s'échanger les toutes dernières informations sur l'étendue de la menace et les opérations en cours. Mais, alors que le groupe Etat islamique recule depuis des mois en Syrie et en Irak, une question en particulier taraude les responsables politiques et sécuritaires : que faire des djihadistes français qui tenteront de revenir dans l'Hexagone lorsque Daech perdra tous ses territoires ? « C'est un sujet que nous essayons d'anticiper, admet le chef de l'Etat en privé. La coalition anti-EI se donne entre six mois et un an avant de remporter la bataille sur le terrain. Nous devons nous projeter dans l'après. » Le défi est de taille.

     

    Car, selon les derniers chiffres, la France reste le pays européen le plus touché par le phénomène djihadiste avec 680 adultes, français ou résidant en France, présents actuellement en Syrie et en Irak et 420 mineurs. Certains combattants opèrent dans la région de Mossoul. Mais la plupart des Français de l'EI se trouvent actuellement dans le nord de la Syrie, en particulier autour de Raqqa, la capitale du « califat » autoproclamé.

       

    «Des gens relevant de la psychiatrie»

     

    Bien sûr, les derniers attentats de Nice et de Saint-Etienne-du-Rouvray ont montré que des individus radicalisés pouvaient tuer sans avoir besoin de bouger de chez eux. Mais les autorités françaises craignent également une réédition de l'attaque du Bataclan et des terrasses parisiennes de novembre 2015 (130 morts) par des militants revenus du front.

     

    « Il ne faudra pas perdre de vue que, parmi les futurs vétérans, il y aura des terroristes très aguerris, mais aussi des gens relevant d'ores et déjà de la psychiatrie et dont nous ne savons pas ce qu'ils vont devenir », expliquait récemment Patrick Calvar, le directeur général de la sécurité intérieure, devant la commission de la Défense nationale de l'Assemblée.

     

    Après des années passées sur le terrain, certains djihadistes sont devenus de véritables machines à tuer. « Ils connaissent les filières pour se procurer des armes », ajoute une source militaire. D'autres sont devenus des experts en matière d'explosifs qu'ils peuvent parfois fabriquer en utilisant des produits de consommation courante (comme les engrais agricoles).

     

    Sans le crier sur les toits, Paris a demandé à tous ses alliés de la coalition de lui fournir des informations sur ses ressortissants présents en Irak et en Syrie afin de les recouper avec ses propres données. Des frappes aériennes ont déjà eu lieu pour « neutraliser » (c'est-à-dire tuer) des combattants français. Mais, au sommet de l'Etat, on reconnaît que cela ne suffira pas et qu'il faudra trouver des solutions plus globales pour contrôler le flux des retours.

     

    EN SAVOIR PLUS
    > Daech recule sur tous les fronts
    > Quel sort pour les enfants du djihad ?
    > Djihadistes français, terroristes aguerris

     

     Des mesures de détection étoffées... mais pas infaillibles

     

    La France ne pourra gérer seule le retour de « ses » djihadistes. Le renforcement de la sécurité passe par celui de l'espace de libre circulation Schengen. Le Parlement européen, d'abord réticent, a finalement accepté en avril l'idée d'un PNR (Passenger Name Record, ou fichier des noms de passagers). A terme, les données de réservation des compagnies aériennes seront accessibles aux policiers. Mais la plupart des djihadistes éviteront les vols réguliers. Certains tenteront de se mêler aux migrants, comme ce fut le cas à Leros (Grèce), à l'automne dernier, pour certains des kamikazes des attentats du 13 Novembre. Une équipe d'Europol doit justement se rendre en Grèce à la fin du mois pour tenter d'améliorer la détection.

     

    «Vrais faux» passeports

     

    L'efficacité du contrôle passe par la consultation systématique du fichier des passeports volés d'Interpol. Daech a en effet mis la main sur de nombreux documents, ce qui a permis à l'organisation d'établir de « vrais faux » papiers. Quant au SIS, le système d'information Schengen, la base de données des personnes recherchées au niveau européen, il affiche une puissance impressionnante avec 1,2 million de personnes recensées. « Mais l'une des limites du système actuel, c'est qu'il n'intègre pas les données biométriques (NDLR : telles que les empreintes) », selon Jean-Jacques Colombi, chef de la division des relations internationales à la police judiciaire entendu par la commission d'enquête sur les moyens de l'Etat face au terrorisme. De ce fait, une personne contrôlée sous une fausse identité ne peut pas être formellement identifiée aux frontières. Au total, 203 Français ou étrangers résidant en France seraient rentrés de la zone irako-syrienne.

     

    Ceux qui sont identifiés sont systématiquement placés en garde à vue et interrogés. 322 procédures judiciaires sont en cours, ce qui a conduit à 293 mises en examen, pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. « Presque tous ceux qui rentrent sont incarcérés », souligne un magistrat spécialisé. En plus de ces poursuites judiciaires, la loi de juin 2016 permet au ministère de l'Intérieur d'assigner à résidence toute personne que l'on soupçonne d'avoir rejoint « un théâtre d'opérations de groupements terroristes ». Les spécialistes en sont conscients : la détection des « returnees » (« ceux qui reviennent ») sera longue et fastidieuse. Et son succès impossible à garantir à 100 %.

     

    Eric Pelletier (avec Timothée Boutry)

    LE  PARISIEN

  • Une université d’été pour les jeunes patriotes : derniers moments pour s’inscrire

     

     

    La formation est essentielle pour comprendre le monde qui nous entoure. Et il est difficile et périlleux de se la procurer soi-même.

    Or, le mouvement Renouveau français (une organisation politique sérieuse, avec d’excellentes idées) propose sa traditionnelle Université d’été (où règnent moralité et bonne ambiance), qui pourra légitimement intéresser certains de nos jeunes lecteurs (ou des lecteurs connaissant des jeunes) :

     

    « Le programme sera riche et des personnalités qualifiées interviendront (auteurs, conférenciers, etc., tels que Marion Sigaut, Thibaut de Chassey…).  »

    Une bonne occasion de franchir le cap du virtuel, de rencontrer d’autres jeunes partageant les mêmes aspirations, et de profiter d’une formation politique et historique de qualité !

    Détails en cliquant ici.

  • Interdiction du burkini : le maire LR de Cannes, soutenu par Manuel Valls, se déclare "lié à Israël"

     

    Stratégie de la tension : comme Valls, le maire anti-burkini de Cannes se déclare « lié à Israël ».

     

    38 euros d’amende : trois citoyennes vêtues d’un burkini ont été verbalisées ce week-end sur la plage de Cannes [1].

    Le 27 juillet, le maire LR David Lisnard fut le premier à prendre un arrêté pour interdire « une tenue de plage manifestant de manière ostentatoire une appartenance religieuse, alors que la France et les lieux de culte religieux sont actuellement la cible d’attaques terroristes ». [2].

    Précision sur ses connexions idéologiques qui sont passées sous silence par les médias traditionnels : Lisnard se définit étrangement comme un « patriote aimant la France et lié à Israël ».

    En octobre, Lisnard effectuait d’ailleurs une visite en Israël au cours de laquelle il rencontra des « spécialistes de la sécurité » dont l’un - Nitzan Uriel, criminel de guerre - fut sollicité pour protéger le Festival de Cannes [3].

    Le 15 mai, Lisnard accueillait chaleureusement Miri Regev, ministre de la Culture et membre du Likoud, pour monter les marches du Palais de Cannes avec elle et l’ambassadrice d’Israël. Ex-chargée de communication du criminel de guerre Ariel Sharon, Miri Regev avait comparé les immigrants soudanais à un « cancer dans notre corps ». [4].

    Le 18 mai, Lisnard inaugurait l’extension du Centre communautaire de Cannes en compagnie du président du Consistoire israélite et de Miri Regev [5].

    À noter : mardi 16 août, Manuel Valls, Premier ministre qui s’était antérieurement déclaré - comme l’avait révélé l’auteur de ces lignes - « lié à Israël et à la communauté juive », a exprimé son « soutien » envers les maires anti-burkini [6] ; [7].

  • La plus importante expérimentation de politique monétaire de l’histoire est en cours, selon Lord Rothschild

    expérimentation-politique-monétaire-Lord-Rothschild-e1471460383152.jpg Rotjschild.jpg

     


      
    Le rapport financier de RIT Capital Partners, rédigé par son président Lord Jacob Rothschild, a présenté l’évolution actuelle du monde des banques centrales et de la haute finance dans le rapport semestriel de la société qu’il vient de publier. Selon lui, la plus importante expérimentation de l’histoire en matière de politique monétaire est en cours.
     
    Taux d’intérêt bas, voire négatifs, des rendements négatifs sur la dette publique et le « quantitative easing », la politique d’assouplissement monétaire mise en place par les banques centrales constituent une gigantesque expérience aux conséquences encore inconnues, a-t-il affirmé.
     

    Une expérimentation de politique monétaire aux effets inconnus et connus

     
    « Les six mois qui font l’objet de ce rapport ont vu les banques centrales poursuivre ce qui constitue à coup sûr la plus importante expérimentation en matière de politique monétaire de l’histoire du monde. Nous sommes donc dans des mers inconnues et il est impossible de prédire les conséquences non intentionnelles de taux d’intérêt très bas, et des 30 % de dettes publiques à rendement négatif, le tout associé à un assouplissement quantitatif à très grande échelle », indique Lord Rothschild.
     
    Le banquier a indiqué que cette politique a eu pour effet de provoquer une croissance rapide des bourses ; la valeur des actions américaines a été multipliée par trois depuis 2008, le début de la grande crise financière, avec une progression des investissements associée à une faible volatilité.
     
    Mais cette croissance de la richesse virtuelle n’a pas été accompagnée par des bénéfices similaires pour l’économie réelle : « La croissance demeure anémique, la demande est faible et une part importante du monde développe est en pleine déflation », commente Lord Rothschild.
     

    Lord Rothschild évoque les conséquences de la politique monétaire des banques centrales

     
    Bref, c’est le monde de la finance qui tire profit de ces politiques délibérément mises en place, dont les conséquences à long terme sont peut-être inconnues comme le prétend le milliardaire, mais dont on voit tout de même les effets.
     
    Lord Rothschild prévoit une détérioration de la situation géopolitique mondiale qui comporte de nombreux « risques » pour l’économie mondiale. Bien sûr, il note dans la colonne du passif le vote en faveur du Brexit, mais aussi l’élection présidentielle aux Etats-Unis, le ralentissement de la croissance chinoise et la progression du terrorisme global qu’il relie, sans surprise, au conflit au Proche-Orient, qui continue de s’étendre selon lui.
     
    Question : un mondialiste comme lui est-il satisfait de la tournure des événements dont on peut suivre les effets en temps réel et qui, selon ses propres termes, sont les résultats d’une expérimentation menée délibérément par la haute finance ?
     

    Anne Dolhein

    REINFORMATION TV

  • HUMOUR ?

    burkini2-300x293.jpg ami.jpg

  • Corse: les deux habitants de Sisco remis en liberté

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/08/17/01016-20160817ARTFIG00332-rixe-en-corse-les-deux-habitants-de-sisco-remis-en-liberte.php

    XVMdb30cd96-64c0-11e6-89ca-170f2a825fda.jpg

  • Sisco : les Maghrébins ont passé leur journée à agresser tout le monde explique le procureur (MàJ)

     

    20h15

    17/08/2016

     

    L’origine des incidents entre « une famille maghrébine » et des habitants du village de Sisco dans le Cap Corse samedi, incombe « à l’évidence » à « des membres de la famille », a déclaré mercredi le procureur de la République de Bastia, Nicolas Bessone.

    « Ils ont voulu, dans un logique de caïdat, s’approprier la plage et la privatiser », a déclaré M. Bessone lors d’un point de presse, ajoutant: « ils ont multiplié (…) des incidents avec un certain nombre de personnes: jets de pierre (…), tensions très fortes, insultes, menaces ».


    « Globalement, la version avancée par les jeunes est corroborée », indiquait hier soir une source proche de l’enquête. Le soir des événements, à chaud, les jeunes gens avançaient tous la même version sans aucune divergence sur le déroulement chronologique des faits et faisant état de détails identiques.

    Le lendemain, dimanche, à l’occasion d’un rassemblement devant les grilles de la mairie de Bastia, cette même version était une nouvelle fois avancée par une jeune femme de dix-sept ans qui appartenait au groupe pris à partie. De jeunes gens. Selon un touriste rencontré à Sisco, témoin de la scène et entendu près de trois heures par les enquêteurs de la gendarmerie, signe de l’importance accordée à ses déclarations : « Ils [les familles d'origine maghrébine, ndlr] voulaient simplement privatiser la plage, ils n’ont pas accepté que des photos de l’endroit soient prises ». [...]

    Corse Matin

    D’après nos informations, plusieurs personnes d’origine maghrébine impliquées dans ces violences sont connues des services de police : « Quelques procédures ont été établies à l’encontre de ces individus. De la délinquance des banlieues, du droit commun », admet une source proche de l’enquête qui n’entend pas en dire davantage. [...]

    Corse Matin

  • Jean-Louis Harouel (juriste) : «L’islam est un code de droit qui prétend remplacer le droit du pays d’accueil»

     

    21h20

    Pour Jean-Louis Harouel, professeur agrégé de droit à Paris, l’interdiction du burkini sur certaines plages est parfaitement conforme au droit. Pour lui, le port du vêtement islamique traduit une volonté politique d’imposer une culture et des modes de vie contraires à notre histoire et nos valeurs.

    Jean-Louis Harouel est l’auteur de «La grande falsification. L’art contemporain», «Le vrai génie du christianisme» et «Revenir à la nation» (Editions Jean-Cyrille Godefroy). Son dernier ouvrage Les droits de l’homme contre le peuple est paru aux éditions Desclée de Brouwer.

    Aujourd’hui, dans le contexte d’un affrontement de civilisations donnant lieu à un conflit armé ayant fait en un an des centaines de victimes sur le territoire national , il est logique que reviennent au premier plan les exigences de l’ordre public, et le juge des référés a d’ailleurs invoqué «le contexte de l’état d’urgence et des récents attentats» pour justifier sa décision en la fondant sur «un risque de troubles à l’ordre public».

    Est-ce un premier pas vers l’interdiction de tous les signes religieux dans l’espace public? N’est-ce pas une vision de la laïcité excessive ? Cette dernière sert-elle de cache-sexe à un combat plus spécifique contre l’islam politique ?

    L’islam est, par nature, politique. On ne saurait trop le rappeler: l’islam est un système total qui mêle le religieux, le politique, le juridique, la civilisation.

    L’islam est un code de droit qui prétend remplacer le droit du pays d’accueil. Si bien que toute concession faite à l’islam comme religion est un abandon consenti à l’islam comme système politico-juridique ainsi qu’à la civilisation islamique.

    Face à l’islam, la laïcité conçue comme neutralité ne suffit pas. Le cas de figure n’est pas le même qu’avec le catholicisme. Notre laïcité s’est certes construite contre l’Église, mais en accord avec les paroles fondatrices du christianisme: rendre à César et à Dieu ce qui leur revient respectivement.

    L’islam est au contraire l’anti-laïcité par excellence, si bien que notre État laïque devrait le combattre beaucoup plus durement qu’il n’a combattu le catholicisme.

    Ainsi que je le préconise dans mon récent livre "Les droits de l’homme contre le peuple", il faut pour l’islam un régime dérogatoire comme en Suisse où la construction de minarets est interdite alors qu’on peut bien sûr y construire des clochers.

    Il faut impérativement nommer l’ennemi. Or, en l’espèce, celui-ci est double : d’une part les djihadistes violents qui massacrent dans notre pays ; et d’autre part, les djihadistes «civilisationnels», qui œuvrent inlassablement à rendre toujours plus présents sur notre sol leur civilisation, leurs règles et leur mode de vie. [...]

    Il est clair qu’en Corse où la population est restée plus près de son sol, plus ancrée dans ses villages, elle se montre plus réactive face au processus de la conquête islamiste non dite mais bien réelle dont l’Europe occidentale est l’objet. Cependant, même dans l’Hexagone, de plus en plus de gens ont conscience du lien qui existe entre les carnages des terroristes islamistes et le folklore identitaire arabo-musulman qui est le terreau où se nourrit le djihadisme.

    Le Figaro

    Merci à Stormisbrewing

  • JOURNAL TV Libertés DU 16 AOÜT 2016

  • Derrière le burkini. Par Marine Le Pen -

    marine-au-travail-770x515.jpg

    Cet été le débat public français s’est transporté sur les plages. L’affaire du burkini, ce maillot de bain intégral propagé depuis quelques années par les islamistes de tous horizons, a libéré la parole dans un pays qui a largement besoin de s’exprimer après les horreurs qu’il a vécues en juillet, sur la promenade des Anglais puis dans une petite église normande.

    Bien sûr le burkini doit être proscrit des plages françaises, où il n’a strictement rien à faire. C’est une question de laïcité républicaine, d’ordre public, assurément ; mais bien au-delà, c’est de l’âme de la France dont il est question : la France n’enferme pas le corps de la femme, la France ne cache pas la moitié de sa population, sous le prétexte fallacieux et odieux que l’autre moitié craindrait la tentation. Les plages françaises sont celles de Bardot et Vadim, pas celles de lugubres belphégors. Les Françaises, les Français, et je le sais un très grand nombre de Françaises musulmanes qui rejettent de toutes leurs forces l’islamisme, attendent qu’on tienne bon sur cette question de principe et de cœur.

    Alors profitons du burkini pour aller au fond des choses. Le problème qui nous assaille ne trouvera pas de réponse réelle et définitive par des rustines, aussi justifiées soient ces rustines à un moment donné. Quelques maires UMP et PS interdisent le burkini dans leur commune, c’est bien. Mais ces maires là auront-ils la cohérence, et le courage, de reconnaître que c’est la politique d’immigration et de clientélisme communautaire de leurs partis respectifs qui les a conduits un jour à devoir prendre un tel arrêté ? Que représentent ces quelques arrêtés quand on sait que chaque année continuent d’affluer dans notre pays 200 000 étrangers, titre de séjour légal en main, auxquels viennent s’ajouter un nombre record de réfugiés et de clandestins logés dans des campements, des bidonvilles, dans nos villes et nos villages ? Cette politique est celle de François Hollande, mais elle était déjà celle de Nicolas Sarkozy avant lui.
    Aucune rustine non plus ne suffira face au tourbillon communautariste, et donc islamiste, dans lequel notre pays est pris. Une fois l’été passé, les plages et les burkinis oubliés, est-ce que tout recommencera comme hier et avant-hier ? Nouvelles revendications politico-religieuses dans les cantines, à l’hôpital, à l’école, dans l’entreprise, dans les services publics,…Toujours le même clientélisme d’élus locaux qui contournent sans vergogne la loi de 1905 sur la laïcité et financent des mosquées, parfois même salafistes, déguisées en centres culturels. Toujours les mêmes relations de soumission en haut lieu avec le Qatar et l’Arabie Saoudite.
    Tout laisse craindre que, oui, tout reprendra comme hier et avant-hier.

    A moins que les Français disent cette fois haut et fort : ça suffit.

    L’immigration de masse, ça suffit. Il suffit de voir la République, la France, plier systématiquement face aux communautarismes. Il suffit d’être culpabilisé quand on a l’audace, indispensable, vitale, de crier l’amour de son pays, de ses traditions, de son mode de vie, de sa liberté.

    Il suffit aussi de laisser le champ libre à certaines associations qui, derrière l’apparence de l’indépendance, ne sont que le faux nez d’un projet politique, l’islamisme le plus rétrograde. Qu’est devenue l’association marseillaise qui souhaitait privatiser un centre aquatique une journée entière au bénéfice des seules femmes charia-compatibles ? La préfecture a-t-elle enquêté sur la concordance entre l’objet social déposé en préfecture et l’activité réelle de cette association ? Sait-on d’où viennent ses financements ?
    De la même manière, pourquoi considérer le CCIF (« Collectif contre l’islamophobie en France ») tel qu’il se présente lui-même ? A-t-on enquêté sérieusement sur les accusations de liens avec l’islamisme dont se fait l’écho le Canard Enchaîné aujourd’hui même ? De quoi vit cette association qui se prétend indépendante : des mannes du milliardaire George Soros comme un fichier dévoilé le rappelle ? Est-elle d’une façon ou d’une autre liée à des puissances étrangères ?
    Puisque cette association multiplie les procès contre des élus de la République, envahit les plateaux de télévision, communique abondamment et prétend peser sur le débat public, cette enquête approfondie n’est pas seulement nécessaire, elle est indispensable. Juridiquement, quel est d’ailleurs son intérêt à agir dans l’affaire du burkini alors qu’elle multiplie les recours devant les tribunaux administratifs et le Conseil d’Etat ? En quoi y-a-t-il soupçon même d' »islamophobie » à vouloir interdire cette tenue ?
    Donner carte blanche, médiatique, politique, juridique, morale, à ces associations qui ont souvent plus d’avocats et d’heures d’antenne de télévision que d’adhérents effectifs, est une folie.
    Il y a suffisamment d’expériences étrangères pour que nous sachions comment s’infiltre l’idéologie islamiste dans une société : la dissimulation à travers des associations aux causes en apparence louables.

    Nous devrons être exigeants, beaucoup plus que la classe politique au pouvoir depuis des décennies ne l’a été. Il en va de la concorde civile, de nos valeurs, de notre liberté de femme, d’homme, et de l’égale dignité entre tous les Français.

    CARNETS D"ESPERANCES