Ce n'est pas un scoop
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Sexualité : des maires censurent des affiches jugées trop explicites
Pour Marisol Touraine, ce sont des "considérations morales d’un autre temps"
- Publié le : mardi 22 novembre 2016
- Mots-clés : France; Justice & Droit; Politique; Sexualité; Virus
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- Source : lepoint.fr
La ministre de la Santé a décidé mardi de saisir la justice administrative après la décision polémique de plusieurs municipalités de droite de faire retirer des affiches d’une campagne de prévention du sida montrant des homosexuels.
La campagne, lancée par le ministère des Affaires sociales et de la Santé, montre des couples d’hommes avec des messages tels que « Aimer, s’éclater, s’oublier. Les situations varient. Les modes de protection aussi. »
Une dizaine de villes sur les 130 où la campagne est diffusée ont écrit à JC Decaux qui assure l’affichage public pour demander le retrait des affiches, a indiqué à l’AFP une source proche de la société. Contractuellement l’entreprise est obligée de le faire si elle reçoit une demande écrite d’une municipalité.
Le maire d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), Bruno Beschizza (LR), a pris un arrêté en vertu duquel ces affiches diffusées notamment sur les abribus « devront être retirées ou masquées ».
Pour ce soutien de François Fillon, ces affiches sont « contraires aux bonnes mœurs et à la moralité » et « portent atteinte à la dignité au risque de heurter la sensibilité de l’enfance et de la jeunesse ».
« On est sur une campagne qui n’est pas tous publics », a expliqué à l’AFP Bruno Beschizza, critiquant l’association des messages et des images et assurant qu’il aurait pris le même arrêté si les affiches avaient mis en avant des couples hétérosexuels. [...]
« 30.000 personnes vivent avec le sida sans le savoir, il y a 7.000 nouveaux cas de sida chaque année (?) La prévention est nécessaire », a expliqué la ministre dans les couloirs de l’Assemblée nationale. « Attention à ne pas répondre par des considérations d’ordre moral d’un autre temps », a-t-elle plaidé, déplorant que « quelques élus » s’engagent sur ce terrain.
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Au premier jour de son mandat, Trump retirera les États-Unis du traité transpacifique
- Publié le : mardi 22 novembre
- Mots-clés : Chine; Donald Trump; Économie; États-Unis; Futur; Japon; Politique; Traité transpacifique
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- Source : france24.com
- E&R
Donald Trump a dévoilé, lundi, les premières mesures qu’il prendra dès son entrée à la Maison Blanche, le 20 janvier. Le président élu, opposé à la mondialisation, a notamment annoncé un retrait des États-Unis du Traité commercial transpacifique.
On sait déjà à quoi ressemblera le premier jour de la présidence de Donald Trump. Le président élu a présenté, lundi 21 novembre, les premières mesures qu’il prendra dès son arrivée à la Maison Blanche. L’une d’elles prévoit notamment le retrait des États-Unis du Traité commercial transpacifique (TPP) et une enquête sur les conditions d’octroi des visas de travail.
Le milliardaire, qui prendra ses fonctions le 20 janvier, a expliqué dans une vidéo son intention de se retirer du TPP, qualifié de « catastrophe en puissance » pour les États-Unis. Pendant la campagne électorale, le magnat de l’immobilier n’a jamais caché son hostilité vis-à-vis du TPP et contre l’Aléna (Accord de libre-échange nord américain) qu’il considère mauvais pour l’emploi.
Signé par 12 pays d’Amérique, d’Asie et d’Océanie dont les États-Unis, l’Australie et le Japon mais pas par la Chine, le TPP n’a encore été ratifié par aucune des parties signataires.
Donald Trump entend remplacer le TPP par des accords commerciaux bilatéraux qui « ramèneront l’emploi et d’industrie sur les terres américaines ». « Mon programme sera fondé sur un principe central simple : mettre l’Amérique d’abord », assène-t-il dans la vidéo.
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Hongrie : mise en place d’une «clôture intelligente» pour bloquer les migrants
11h41La Hongrie a entamé la construction d’une deuxième «clôture intelligente» face à la Serbie, dotée de capteurs de chaleur et de caméras nocturnes. Celle-ci est destinée à surveiller d’éventuelles tentatives de migrants d’entrer dans le pays.
Le premier ministre hongrois, Viktor Orban, avait annoncé en août dernier la construction de cette clôture pour renforcer celle déjà existante et achevée l’année dernière, longue de 175 kilomètres.Selon M1, la télévision publique, cette clôture permettra de réduire le nombre de soldats et de policiers nécessaires au contrôle de la frontière. Le gouvernement décidera par la suite quand le reste de la clôture sera construit.
Les médias locaux ont qualifié cette deuxième clôture, dont la première partie vient d’être achevée, d’«intelligente» en raison de la technologie de pointe utilisée. Haute de trois mètres, cette première partie s’étend sur 10,3 kilomètres. La possibilité que l’accord conclu au début de l’année entre l’Union européenne et la Turquie, visant à réduire le nombre de migrants, vole en éclats, contraint la Hongrie à renforcer la protection de ses frontières, a expliqué Viktor Orban.
Merci à handsome55
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Éducation nationale : la « réserve citoyenne » au service des clandestins
Dès sa présentation aux médias et avant même son lancement en mai 2015, nous savions que cette fameuse « réserve citoyenne » de l’Education nationale serait du grand n’importe quoi. Or nous en avons eu la confirmation lundi, avec l’annonce officielle par le ministre de l’Education que ladite réserve servira principalement à accompagner les clandestins, à leur apprendre le Français ainsi que les « valeurs » dites républicaines.
L’invasion des clandestins mineurs
Une décision qui est loin de surprendre puisque, invitée sur France Info en septembre 2015, Najat Vallaud-Belkacem, tout en affirmant que son ministère savait « prendre en charge des enfants qui ne parlent pas le français », avait quand même ajouté que, si l’afflux était particulièrement important, elle pourrait alors faire appel à la réserve citoyenne. Estimant à l’époque à « 4 500 le nombre de mineurs qui seront accueillis par an », le ministre avait alors déclaré : « S’il y a un service public qui est relativement bien armé pour faire face à l’arrivée des réfugiés, c’est l’Education nationale. » Et on la croyait sans difficulté, tant les effectifs du Mammouth sont pléthoriques… Sauf que le nombre de mineurs étrangers accueillis par notre pays a, depuis, littéralement explosé. Au point que, début octobre, débordé par l’afflux de mineurs clandestins dans son département (+ 45 % par rapport à 2015), le président du conseil départemental de la Côte-d’Or, François Sauvadet, a tenté d’alerter les pouvoirs publics en déposant une plainte contre X pour « suspiscions de réseaux organisés de passeurs implantés sur le territoire côte-d’orien et hors de ce territoire » ! Et la Côte-d’Or n’est, bien évidemment, pas le seul département concerné.
« Mobilisation nationale pour les migrants »
Alors que, face à un tel déferlement, le premier devoir de l’Etat devrait être de mettre fin à cet afflux et d’expulser systématiquement ces mineurs, bien souvent victimes de réseaux de passeurs, Najat Vallaud-Belkacem a au contraire annoncé lundi sur Twitter sa décision « d’amplifier la participation de l’Education à l’effort de la France pour l’accompagnement linguistique des migrants » et a invité « les 6 000 membres de la réserve citoyenne à contribuer à l’accompagnement linguistique des migrants ». Une décision qui revient à annoncer l’accueil définitif de ces gens sur notre sol.
Et N.V.B. d’expliquer, dans un communiqué publié sur le site de son ministère : « Ce sont les valeurs de la République qui constituent le moteur de l’effort national pour l’accueil des populations de migrants auquel les services de l’Etat, les collectivités, les acteurs associatifs mais aussi les citoyens sont appelés à contribuer. Un travail de structuration et de renforcement de l’accompagnement linguistique des migrants déjà mené par les acteurs associatifs est en cours sur l’ensemble du territoire national. Par son expertise en matière de formation en français langue étrangère à destination des publics allophones, l’Education nationale a vocation à y contribuer pleinement. Dans ce cadre, chacun d’entre vous est appelé à participer à cette mobilisation. »
Franck Deletraz
Article et dessin parus dans Présent daté du 23 novembre 2016
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Trump aimerait voir Farage devenir ambassadeur britannique à Washington
L'ancien leader de l'Ukip joue les trublions entre le président américain élu et la chef du gouvernement britannique, Theresa May.
Correspondant à Londres
Entre le milliardaire populiste devenu président des Etats-Unis et le roi du Brexit, l'entente est au beau fixe. Au point d'embarrasser le gouvernement britannique de Theresa May. Donald Trump et Nigel Farage prennent un malin plaisir à afficher leur «relation spéciale», au détriment des liens diplomatiques traditionnels entre leurs deux pays.
Dans sa série de tweets iconoclastes depuis son élection, Trump a lancé ce mardi sur le réseau social un pavé dans la marre. «Beaucoup de monde aimerait voir Nigel Farage représenter la Grande-Bretagne comme ambassadeur aux Etats-Unis. Il ferait du bon boulot!» De quoi faire s'étrangler le Foreign Office.
«Pas de poste à pourvoir»
«Pas de poste à pourvoir», a répliqué sèchement Downing Street, contraint d'ajouter que «nous avons déjà un excellent ambassadeur aux Etats-Unis». La facétie pourrait être réduite à un buzz de réseaux sociaux si l'affaire n'était pas en train de devenir humiliante pour Theresa May. Après l'avoir prise au téléphone au lendemain de son élection après s'être entretenu avec une dizaine d'autres chefs d'Etats avant elle, Donald Trump lui aurait lancé cavalièrement qu'il faudrait qu'elle lui fasse signe si elle était de passage aux Etats-Unis. Il n'a pas oublié ses propos peu amènes à son égard tenus durant la campagne.
À l'inverse, l'ancien leader de l'Ukip (United Kingdom Independence Party), le parti souverainiste qui a œuvré sans relâche pour le Brexit, n'a pas ménagé son soutien au candidat républicain, au point d'apparaître à ses côtés lors d'un meeting cet été et de venir l'épauler en coulisse durant un débat télévisé face à Clinton. En signe de remerciement, Nigel Farage a été le premier politicien étranger reçu par le président élu à la Trump Tower, le week-end suivant sa consécration. Une rencontre immortalisée par une photo sur fond de dorures clinquantes.
Dès son retour à Londres, Farage s'est targué de cette proximité pour proposer au gouvernement de Theresa May de jouer les messieurs bons offices entre elle et le nouveau président. Une idée soutenue par une partie des conservateurs, aussitôt rejetée par Downing Street, qui assure ne pas avoir besoin de l'aide du député européen.
Invitation à Buckingham Palace
Après avoir annoncé son retrait de la politique au lendemain du référendum, Nigel Farage ne se résigne pas à quitter le devant de la scène. Il est revenu aux commandes de l'Ukip par interim à la suite du fiasco de la démission de celle qui lui a succédé après 18 jours en fonction. Un nouveau leader doit être désigné lundi à la tête du parti, en proie à de sanglantes luttes intestines. Certains évoquent l'idée d'un anoblissement de Farage qui pourrait être nommé à la Chambre des lords. En tout cas, après avoir poussé David Cameron à proposer le référendum sur l'Europe, il refuse, tel un sparadrap, de laisser en paix celle qui lui a succédé à la tête du pays.
«Je connais plusieurs personnes dans l'équipe de Trump depuis des années et je suis en bonne position pour aider avec le soutien du président élu, écrit Nigel Farage sur le site Breitbart. Le monde a changé et il est temps que Downing Street change aussi.»
Le gouvernement May cherche à établir une relation directe avec Donald Trump sans son entremise, pour tenter de relancer la fameuse «special relationship» transatlantique. Misant sur son goût évident pour les dorures, Downing Street prépare une invitation formelle à une visite d'Etat pour le président américain, qui ne résisterait pas à la perspective d'un séjour chez Sa Majesté à Buckingham Palace.
Rebondissant sur la proposition de Donald Trump, un député britannique lui a suggéré malicieusement d'envoyer Hillary Clinton comme prochain ambassadeur des Etats-Unis à Londres.
LE FIGARO
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JOURNAL TVLibertés DU 22/11/16
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Florian Philippot sur France Ô
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L'ex-FN Chauprade soutient Fillon pour barrer la route à Marine Le Pen
Par Marc de Boni
Publié le 22/11/2016 à 17h56Ancien conseiller de Marine Le Pen sur les affaires internationales, Aymeric Chauprade offre ses services à l'équipe de François Fillon pour démonter l'argumentaire du Front national.
Ancien cadre du FN qui fut l'un des proches conseillers de Marine Le Pen avant de se voir écarté, l'eurodéputé Aymeric Chauprade connaît bien Marine Le Pen qu'il soutenait jusqu'à l'année dernière. Fâché d'avoir été mis au ban pour ses propos sur l'islam et déçu par la ligne qu'il juge trop «socialiste-nationaliste», ce spécialiste des questions internationales se fait désormais le pourfendeur du programme de Marine Le Pen. Début novembre, dans un entretien accordé à Valeurs Actuelles , Aymeric Chauprade envisageait de rejoindre le Parti populaire européen (PPE) avec en tête l'idée de se rapprocher de Nicolas Sarkozy dans le contexte de la primaire LR.
Interrogé par L'Express ce mardi, il annonce désormais son soutien à François Fillon. «Je suis allé voter au premier tour pour Nicolas Sarkozy parce que je pensais qu'il avait de meilleures chances pour l'emporter. Je me suis trompé sur ce point, mais je ne renie pas du tout mon vote», confie Aymeric Chauprade, qui fait donc partie des 20% de sarkozystes déçus dimanche soir. «Je salue aussi l'incroyable campagne qu'a faite François Fillon, partant d'assez bas et en s'accrochant jusqu'au bout», explique ce géopoliticien favorable, comme François Fillon, à l'axe Paris-Moscou. «Il y a une convergence totale entre mes analyses et ce que dit François Fillon sur la nécessité de travailler avec la Russie et de remettre sur la table nos relations avec les monarchies sunnites du Golfe à cause de leurs ambiguïtés vis-à-vis du totalitarisme islamique», tient-il d'ailleurs à faire valoir.
Fillon, champion de la «droite hors les murs»
Mais au-delà de leurs convergences, Aymeric Chauprade, qui s'est désormais fait une spécialité de dénoncer l'attrait que suscite le FN, voit dans l'ancien premier ministre l'autre rempart efficace contre Marine Le Pen, puisque Nicolas Sarkozy n'est plus de la partie. «François Fillon peut bloquer l'accès du second tour de la présidentielle à Marine Le Pen. Il est capable d'attirer à lui une partie des voix de droite qui votent aujourd'hui Front national par dépit et par déception des Républicains qui ne portaient pas une ligne assumée. Aujourd'hui, François Fillon a éteint l'espace politique de ce que l'on appelait la ‘droite hors les murs'. Il l'a comblé spontanément», juge Chauprade, qui se raccorde volontiers à cette école de pensée.
En attendant, l'eurodéputé ne cache pas sa disponibilité pour dynamiser l'opération de siphonage de l'électorat frontiste qu'il appelle de ses vœux. «À l'issue de la primaire, je pense qu'une fois leur camp rassemblé, ils auront besoin d'élargir et de mettre en avant des personnalités capables d'expliquer pourquoi le FN ne fonctionne pas. Je serai à ce moment-là en effet à la disposition de François Fillon», fait savoir le fondateur du mouvement Les Français libres (LFL). «Je peux être celui qui témoigne, qui explique pourquoi le FN, où je suis passé, n'a pas la capacité à gouverner».
Au sein de la «droite hors les murs», Chauprade n'est pas le seul à voir en Fillon un adversaire redoutable pour Marine Le Pen. «Si c'est Fillon qui gagne la primaire, ce ne sera pas facile pour elle. Elle ne peut pas gagner sans l'électorat conservateur, essentiellement catholique. C'est l'une des clés de son succès.» L'édile en est convaincu, «ce n'est pas la question sociale mais identitaire qui fera l'élection», relève dans L'Express Robert Ménard, maire apparenté FN de Béziers.
La rédaction vous conseille :LE FIGARO
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Migrants : alerte sur la santé publique
Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, aurait-elle engagé des actions préventives qui paraissent aujourd’hui indispensables face à l’invasion migratoire que notre pays connaît depuis maintenant plusieurs années ? Alors que la tuberculose a été pratiquement éradiquée au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, on découvre aujourd’hui des cas, isolés certes mais significatifs. […]
En septembre 2016, BFM TV nous apprend que des cas de tuberculose ont été diagnostiqués au lycée professionnel Cantau d’Anglet (64). Début novembre, France Bleu Pays Basque révèle que le premier cas, traité au printemps, concerne un lycéen ayant voyagé en Afrique… et, qu’à la rentrée, six nouveaux cas s’étaient déclarés. Devant l’ampleur du dépistage (1.800 personnes) et la gravité du problème, l’A.R.S (Agence Régionale de la Santé) mettait à disposition un camion (30.000 €) pendant 3 semaines.
Or, à Saint Bauzille de Putois (34), le maire écrivait le 28/10 que des Soudanais étaient bien arrivés et que la « tradition d’accueil du village » continuait. Par contre, d’autres médias indiquaient qu’avec les Soudanais se trouvait un Érythréen et un Pakistanais qui a été immédiatement hospitalisé dés son arrivée. Alors, en tant que mère de famille je me pose quelques questions. Sachant que les cas de tuberculose en vertu du règlement sanitaire international doivent être déclarés, je m’étonne du silence médiatique devant l’affaire d’Anglet. Le ministère de la Santé a-t-il été associé à l’évacuation de Calais ? Des mesures prophylactiques ont elles été envisagées puisque l’on sait que les invasions migratoires mettent en danger la santé publique des Français.
Les migrants, dont le gouvernement impuissant à contrôler et à endiguer le flux, dispersent à travers le pays des maladies contagieuses, endémiques dans leurs pays d’origine et les amènent avec eux. Il convient de les dépister, les traiter pour les prévenir :
1°) Ce sont des affections parasitaires qui peuvent provoquer des bilharzioses urinaires et intestinales, des amibiases. Les docteurs Larivière (*) et Rousset (*) signalent que ces pathologies se répandent par voie génitale et contact buccal direct. Quant aux parasites du tube digestif, ils se développent dans le sol, l’eau, les milieux humides et restent infectants une vingtaine de jours. Aussi, il convient de veiller aux eaux de baignades et à la qualité des réseaux d’assainissement. Les moustiques peuvent transmettre le paludisme, la maladie du sommeil, la leishmaniose (les souches importées peuvent se recombiner avec celles présentes en France), la borréliose, la fièvre jaune, la dengue, le chikungunya…
2°) Ce sont aussi des maladies tropicales, lèpre, mycoses, des maladies sexuellement transmissibles comme la syphilis. Le docteur André Basset (*) fait observer que la lèpre, chez un migrant, peut demeurer sous forme latente ou inapparente et rester plusieurs années avant de se déclarer. Il préconise le dépistage aux frontières. Chez un migrant, la sérologie positive, séquelle de l’enfance n’est pas contagieuse, elle l’est en provenance d’un contact récent.
3°) C’est aussi la tuberculose, surtout sous la forme pulmonaire qui est la plus contagieuse. Le docteur Gentilini (*) indique que « chez le noir, elle est caractérisée par son polymorphisme, sa survenue entre le sixième et le vingtième mois de séjour en France ». Le docteur Coudrau (*) souligne lui aussi qu’elle touche surtout les africains noirs.
Les migrants, le plus souvent africains, que l’on impose dans nos villages constituent donc un groupe à haut risque. Le Docteur Gentilini (*) tout comme l’O.M.S en 2016 préconise un dépistage systématique dés l’arrivée, et, au minimum tous les six mois, sur une durée de 18 à 24 mois. IL déclarait indispensable l’établissement d’un carnet de santé national pour tout immigré ainsi que la vaccination obligatoire par B.C.G bien qu’elle ait une protection limitée en raison de la sur contamination.
L’Institut Pasteur recommande de surveiller les eaux et les aliments pour éviter d’exposer la population locale à des risques inutiles d’hépatites A, ainsi que diffuser l’information aux populations sur les risques d’hépatites B, laquelle se transmet par le sang et le sexe.
L’OMS demande un dépistage systématique des cas de Coronavirus (Mers-Cov) et la prévision de salles d’isolement car il peut engendrer des pneumopathies sévères. De même pour les porteurs de VIH et hépatites virales. Le réseau « sentinelles » avec Fanette Blaizeau, dés 2013 recommande la vaccination des migrants de plus de 16 ans par DT Polio, ROR et Méningo C.
On impose au cœur de nos villages, comme à Arzon (56) ou à Sainte Marie (66) des populations de clandestins, réservoirs infectieux contaminants et rien n’est prévu pour la prophylaxie. Ces « sacs à maladie » sont de plus en plus difficiles à soigner car tout dépistage ou traitement leur paraît discriminant. En l’état actuel de l’autorité de l’État, il semble improbable d’imaginer une quelconque contrainte.
Or la situation est criminelle car il faut savoir que le crachat d’un homme atteint de tuberculose contient des bacilles pouvant survivre plusieurs mois dans la terre. De plus les animaux, porteurs de souches proches, peuvent les transmettre aux aliments… sans évoquer certaines pratiques avec les animaux… Le 19/03/16, l’ O.M.S signalait le risque très élevé de la tuberculose multi résistante chez les migrants. Il faut savoir que la résistance aux anti-microbiens rend mortelles des maladies devenues incurables telles que pneumonies, V.I.H, tuberculose et paludisme etc, mortelles aussi pour les populations d’accueil.
Pour rappel, les eaux, la terre, les aliments, peuvent être contaminés même en évitant le contact direct. Alors, est-il prévu de décontaminer les locaux, les moyens de transport de ces gens, interdire les baignades en rivière ou en piscine ? C’est une bien cruelle responsabilité qui échoit aux maires des communes d’accueil alors qu’ils n’y ont pas été préparés et ils auront pourtant à rendre des comptes. Ont ils demandé une décharge aux préfets ? Sont ils bien conscients de leurs responsabilités ?
Eric Obso
Texte repris de la Fondation Polémia
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Fillon le fossoyeur de la vraie France! Ce qu'il a fait sous Sarkozy
Qui était Premier Ministre lorsque le Traité de Lisbonne, qui a enterré le référendum de 2005, fut signé ? Qui a voté le Traité de stabilité budgétaire (TSCG) qui autorise la Commission européenne à porter atteinte à la souveraineté budgétaire ? Qui était Premier Ministre lorsque la France a rejoint le commandement intégré de l’OTAN ? Qui a voté tous les traités européens depuis Maastricht en 1992 C’est cela, être souverainiste ?
Un défenseur de la famille ? Premier Ministre, Monsieur Fillon rédigeait de sa main la circulaire abolissant le terme « Mademoiselle » dans l’Etat Civil ; il préparait une loi créant un « statut du beau parent », ouvrant le droit à l’adoption homoparentale ; il matraquait fiscalement les familles (par exemple, la Tranche marginale d’impôt sur le revenu est passée de 40% à 45% en cinq ans). Parlementaire, il a voté pour que l’avortement soit déclaré comme « un droit fondamental ». Désormais, après avoir voté contre le Mariage Pour Tous, il estime désormais qu’il faut juste rajouter un article pour « reconnaître la filiation biologique ». Ah, le merveilleux effet cliquet ! Quand la GPA sera adoptée, sera-t-il pour que l’on « consacre la dignité des mères porteuses » et pour une loi déclarative « qui affirmera que la mère porteuse est une personne humaine à part entière et non une esclave » ?Bravo les bourgeois, voici la gueule de notre nouveau président, celui qui vous ressemble : on met ses gosses dans des écoles de blancs mais on impose la guerre ethnique au peuple en accueillant le tiers-monde sous prétexte de charité pervertie. Étouffez-vous dans votre bonne conscience et vos pantalons roses.Merci à Dirk -
Sarkozy victime de la "malédiction" des anti-Bachar El Assad ? Il ne serait pas le seuL...
https://francais.rt.com/france/29311-malediction-assad-Sarkozy
Déroulez, déroulez... c'est troublant...
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Florian Philippot sur I TELE
http://www.frontnational.com/videos/florian-philippot-sur-itele-116/
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Florian Philippot: "Fillon porte le bilan de Sarkozy" BFM TV
http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/pour-philippot-fillon-porte-le-bilan-de-sarkozy-887039.html
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Amsterdam (Pays-Bas) : des logements étudiants moins chers pour les colocs avec des réfugiés
J-7Aux Pays-Bas, c’est déjà le cas. Depuis le début de la rentrée, 282 jeunes réfugiés détenteurs d’un statut et 283 Néerlandais vivent dans une résidence sur le campus d’Amsterdam.
A priori, Leoni Nijland et Manar Al Samar n’avaient pas beaucoup de chances de se croiser. À 25 ans, elle étudie le journalisme et a grandi dans l’est des Pays-Bas. Il a 22 ans, veut étudier la musicologie et a quitté la Syrie. Depuis le début de la rentrée universitaire, pourtant, les deux jeunes partagent leur quotidien grâce un projet novateur mixant étudiants locaux et réfugiés: le Startblok Riekerhaven.
Comme Leoni et Manar, 565 personnes âgées entre 18 et 28 ans (282 jeunes réfugiés détenteurs d’un statut et 283 Néerlandais) vivent dans cette résidence sur le campus d’Amsterdam seul ou en colocation, à deux ou à trois par appartement. Un bon plan puisque chacun doit débourser 333 euros. Bien loin des standards de la capitale.
[...] Comme les autres réfugiés installés dans la résidence, ce dernier reçoit d’ailleurs un prêt pour payer son loyer, sa nourriture et autres frais divers. C’est le cas aussi de Nahom Berhane 24 ans, qui a fui les persécutions de la dictature en Érythrée: «J’ai 920 euros par mois pendant trois ans. Cela me sert également à financer mes cours de langues et le programme d’intégration.» Une somme qu’il n’aura peut-être pas à rembourser. «Il faut pour cela que je valide tout sans échouer.» [...]
Pour veiller à la discipline et assurer le vivre-ensemble, un comité de résidents (moitié réfugiés/moitié étudiants) a été mis sur pied, histoire de les responsabiliser. Selon l’association Socius, il n’y a eu aucun incident après quatre mois de cohabitation.
«Je découvre la culture néerlandaise»Ce projet lancé et financé par la ville d’Amsterdam permet surtout aux jeunes réfugiés et aux Néerlandais de se côtoyer. «L’échange, c’est toute la philosophie du projet, s’enthousiasme Fleur Eymann. On n’est pas là pour leur dire: “Tenez, vous avez ça à apprendre de nous”. Nous aussi, on a beaucoup de choses à en retirer.» [...]
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VIDEO - Quand François Fillon inaugurait la Mosquée d'Argenteuil en 2010
Fillon inaugure la Mosquée d'Argenteuil par FrancoisFillonOn n'a pas oublié! Ecoutez bien son discours plein de dhimmitude
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Fillon inaugure une mosquée
François Fillon inaugure la Mosquée Al Ihsan d'Argenteuil - Le blog de François Fillon
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Marine Le Pen en visite au Salon du Made in France (18/11/16)
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JOURNAL TVLibertés DU 21/11/16
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1933-1945 : 360 000 Juifs allemands ont survécu à la Shoah
360 000 Juifs allemands, soit les deux tiers ont survécu à la Shoah. 1933-1945
Une situation paradoxale dans l’Allemagne nazie
A la Libération, seuls 31 000 Juifs vivent encore en Allemagne. 14 000 ouvertement, ils ont pour un grand nombre épousé des non juifs. 9 000 autres sont entrés en clandestinité et pas plus de 8 000 ont survécu aux chambres à gaz, aux fusillades et aux marches de la mort.1 Ils étaient 566 000 à l’arrivée du Führer au pouvoir en 1933.2 Hitler a donc réussi à se « débarrasser » de 535 000 Juifs, soit près de 95% de la population juive allemande. Il a pratiquement rendu son pays «Judenfrei » en 1945 (sans Juifs).
« L’éradication des Juifs », c’est le credo raciste, l’obsession maladive du dictateur. Déjà en septembre 1919 Hitler écrivait dans un mémoire que « l’objectif ultime devra être, sans doute, l’expulsion de tous les Juifs d’Allemagne ».3 Il répète cet objectif dans Mein Kampf et lors de toutes les grandes manifestations nazies. Le Führer a pleinement atteint son but dans sa guerre contre les Juifs allemands.
Dans la « catastrophe » qui vit disparaître 70% des Juifs d’Europe continentale, ne serait-il pas normal que l’Allemagne, le pays du satanique maître d’œuvre du génocide, soit au premier rang dans un « nettoyage ethnique » destiné à éliminer tous ses Juifs ? 4 Une logique et des chiffres qu’accepte le grand public. Une « idée reçue » largement admise.
Alors comment expliquer que 360 000 Juifs allemands aient survécu à la Shoah ?
5 L’Allemagne avec deux tiers et la France avec trois-quarts de survivants sont les pays d’Europe avec une population juive importante où le plus grand pourcentage de Juifs a survécu.
La réponse tient dans le mot même d’« élimination ». La politique raciale d’Hitler a connu deux phases, celle de l’« expulsion » et celle de la « destruction » des Juifs. La seconde phase a commencé en Europe en 1941, avec le début de la Shoah.
6 Entre 1933 et 1941 l’élimination s’est faite par « départs forcés ». Dans certains cas les nazis eux-mêmes ont « organisé » l’émigration. Le 23 octobre 1941 la politique nazie bascule. Les frontières sont fermées.
Les Juifs qui n’ont pas pu fuir deviennent des prisonniers en attente de la « solution finale ».
On assiste à une situation paradoxale. Près de 330 000 Juifs allemands doivent leur salut aux persécutions démentielles qui se sont abattues sur eux à partir de 1933.7 Si la Gestapo, la police secrète d’Etat, ne les avait pas chassés d’Allemagne, ils auraient disparu en masse dans les chambres à gaz et les crématoires.
Le but initial des nazis, il faut le souligner, n’était pas de tuer les Juifs, mais de s’en débarrasser, ce qui en Allemagne en sauva le plus grand nombre.
Pour arriver à leurs fins, les dirigeants du Reich ont réduit les Juifs à l’état de « morts sociaux ».8 Une succession d’innombrables lois et décrets leur ont retiré tout moyen de subsister. Ils n’ont plus qu’une possibilité, fuir leur patrie le plus rapidement possible, loin des griffes de la Gestapo.
Ils laissent derrière eux 230 000 coreligionnaires, principalement des personnes sans ressources, des femmes seules, des orphelins, des malades et des vieillards, ce que l’on appelle aujourd’hui « les populations les plus vulnérables ».
Sur ces 230 000, 200 000 ont péri sur une population initiale en 1933 de 566 000.9
On aurait pu penser qu’une partie significative des 330 000 Juifs allemands réfugiés à l’étranger serait rentrés chez eux après la guerre. Il n’en est rien. A la fin 1946, il ne reste que 15 000 Juifs allemands dans le pays.
10 Les 15 000 autres survivants sont partis. Dans les années cinquante, malgré quelques retours, ils ne sont que 25 000.11 Quelques-uns justifient leur retour comme cet éditorialiste du Jüdisches Gemeindeblatt : « Je reviens de l’émigration, car je suis l’un de ceux qui se sentent obligés en tant que Juifs allemands de contribuer à la reconstruction des institutions juives et à la reconstruction d’une Allemagne vraiment démocratique ».12 Il ne sera pas suivi.
Les Allemands restent pervertis par des années de propagande antisémite. Les résultats d’une enquête d’opinion publique conduite en août 1946 sont à peine croyables. Pour 33% des sondés les Juifs ne doivent pas posséder les mêmes droits que « la race aryenne ».
37% estiment qu’il n’est pas vrai d’affirmer que l’extermination des Juifs, des Polonais et autres non-Aryens n’était pas nécessaire à la sécurité des Allemands.13
On comprend que dans cette atmosphère délétère le Congrès juif mondial (CJM) multiplie les appels pour dissuader les Juifs de revenir en Allemagne. Au cours de sa conférence de l’été 1948 à Montreux, le CJM soutient « la détermination des Juifs de ne plus jamais s’établir sur le sol ensanglanté de l’Allemagne ».
Dans une allocution donnée plus tard, Léon Kubowitzki, secrétaire général du CJM, proclame qu’il est de première importance que les organisations juives s’assurent de la liquidation complète d’une vie juive organisée en Allemagne. Un des leaders parmi les Personnes Déplacées juives, Norbert Wollheim, renonce à son lieu de naissance : « Je n’ai pas détruit l’Allemagne ; je n’ai aucun devoir de la reconstruire. Je ne le peux pas ».14
Comment demander à un réfugié juif installé aux Etats-Unis depuis des années de revenir sur la terre maudite de sa naissance ? L’Allemagne restera longtemps après la disparition du nazisme « Judenfrei » malgré la présence dans le monde de centaines de milliers de Juifs allemands.
1 MARKOWITZ Andrei S. et NOVECK Beth Simone, West Germany, in WYMAN David Ed. The World Reacts to the Holocaust, The John Hopkins University Press, Baltimore and London, 1996, p. 401.
2 GUTMAN Ysrael, Encyclopedia of the Holocaust, Macmillan Publishing, NewYork-London, 1990, p. 1799.
3 ELISSAR Eliahu Ben, Le facteur juif dans la politique étrangère du IIIème Reich, 1933-1939, Julliard, Paris, 1969, p. 51.
4 GUTMAN, op. cit. 4 760 000 victimes en Europe continentale sans l’URSS, p. 1799.
5 Ibid. Population initiale 560 000 personnes moins 200 000 ayant péri dans la Shoah, soit 360 000 survivants. Juifs allemands déportés vers la mort d’Allemagne et d’autres pays européens où ils s’étaient réfugiés. P. 1799 et 1800.
6 Hors URSS, où les massacres ont commencé en juin 1941, lors de l’attaque allemande.
7 360 000 moins 30000 survivants parmi les Juifs restés en Allemagne.
8 CHARGUERAUD Marc-André, Silences meurtriers, Les Alliés, les Neutres et l’Holocauste, 1940-1945. Cerf/Labor et Fides, 2001, p. 37 décrit les persécutions qui conduisent les Juifs à l’état de « morts sociaux ».
9 GUTMAN, op. cit. p.1 800.
10 MARKOWITZ et NOVECK, op. cit. p. 403.
11 HILBERG Raul, La destruction des Juifs d’Europe, Fayard, Paris, 1988, p. 995.
12 GELLER Howard, Jews in Post Holocaust Germany, Cambridge University Press, 2005, p. 62, 10 décembre 1946.
13 SOLCHANY Jean, Comprendre le nazisme des années zéro, 1945-1949, Presses universitaires de France, Paris, 1997, p. 40.