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Présidentielles US : Trump et le « choc en retour » de l’homme blanc
Jean Bonnevey, journaliste ♦
La victoire du grand blond présenté comme raciste et misogyne est tout d’ abord une balle dans la tête du politiquement correct dont les Usa étaient la terre promise. C’est une excellente nouvelle pour les esprits libres et critiques.
Cela prouve une fois de plus mais à l’échelle d’un pays continent, première démocratie et puissance du monde, que les médias et les oligarques des démocraties libérales qui savent tout ne comprennent rien. Leur expertise est discréditée, c’est une excellente nouvelle. Encore une fois cependant, ils expliquent, péremptoires, ce qu’ils ont été incapable de comprendre.
Nos journalistes et sondeurs ne peuvent admettre qu’un représentant de l’homme blanc, mâle, soit élu. Ils sont giflés en pleine face par le blacklash, le choc en retour. Que le vivre entre nous comme avant, l’emporte sur le vivre ensemble présenté comme l’avenir. Sont-ils stupides- certains oui et très nombreux- mais la plupart sont aveuglés par leurs préjugés considérés comme des valeurs. Ainsi l’Amérique des ouvriers, des sudistes, des oubliés,des porteurs d’armes a mis à terre par ko Hollywood, les artistes et les propagandistes de la drogue et de l homosexualité.
L’Amérique post raciste d’Obama a voté selon des critères largement raciaux.
L’Amérique n’aura donc pas sa première présidente femme, une aigrie artificielle et fausse, candidate de la banque internationale et des faucons. C’est une bonne nouvelle. Elle a mobilisé les hispaniques mais moins que prévue et a perdu énormément de votes noirs. Même les femmes se méfiaient d’elle. Elle a été incapable de mobiliser et d’attirer des sympathies populaires. Lady Gaga heureusement ce n’est pas l Amérique.
Pour le premier président noir, ce vote d’un candidat soutenu par les suprématistes blancs est un camouflet. Son engagement, celui de sa femme font de la fin de sa présidence un échec.
Pour l’islamisme radical et meurtrier, la victoire de Donald Trump est une mauvaise et nouvelle donc une bonne pour nous.
Quand au président Hollande toujours mal inspiré, il a critiqué Trump et souhaité la victoire de Clinton. Quelle connerie. Déjà il avait Poutine sur le dos, maintenant il a Trump aussi sans parler des Anglais.
Les relations en revanche avec Poutine vont s’améliorer ; c’est une bonne nouvelle pour la paix et la coalition internationale contre le prétendu émirat des sectateurs de Mahomet.
Le seul danger porte sur le coté imprévisible, peut-être mais pas sûrement, de Trump.
Pour le reste, l’échec de l’Amérique interlope et mondialiste par rapport à l’Amérique historique enracinée est pour l’idéologie dominante une catastrophe et pour les patriotes des nations et des peuples dans le respect des différences une excellente nouvelle électorale.
METAMAG
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Plus de 2000 "migrants" relocalisés en France depuis la Grèce
+ vidéos
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JOURNAL TVLibertés DU 14/11/16
A voir absolument
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Arzon (56) : Un migrant fraîchement débarqué de Calais accusé d’agression sexuelle sur une femme de 67 ans (MàJ)
20h24A peine arrivé à Arzon, un migrant d’origine soudanaise, se déclarant âgé de 16 ans, aurait agressé sexuellement une femme, le jeudi 10 novembre 2016. Des faits passés sous silence par les autorités, mais dont Breizh-info a pu obtenir la confirmation . Il était accompagné de deux autres individus, des Soudanais également.
La femme était en train de décharger son véhicule, lorsque le « réfugié » se serait jeté sur elle, lui aurait touché les seins, en essayant de l’embrasser. Il aurait par ailleurs exhibé son sexe avant que la victime réussisse à prendre la fuite.
(…) Breizh Info
sur les réseaux sociaux, un appel à manifester demain, lundi 14 novembre, a été lancé par des internautes. «Une femme agressée sexuellement en Bretagne par des « migrants » (dont la population ne souhaite pas la présence), c’est une agression de trop! L’Etat ne gère absolument pas de façon sérieuse cette crise migratoire, par conséquent, nous vous donnons rendez vous demain, lundi 14 novembre à 20h30 devant la mairie d’Arzon pour, qu’enfin, le Peuple se fasse entendre! » peut on lire sur la page « pas de migrants en Bretagne ».
(…) Breizh Info
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Le New York Times s’excuse et reconnaît avoir été malhonnête
1h26Dans une lettre à ses lecteurs, l’éditeur du New York Times Arthur Sulzberger Jr. s’excuse que l’icône emblématique du journalisme de gauche ait été malhonnête dans sa couverture de la campagne de Donald Trump.
«Nous entendons nous recentrer sur la mission fondamentale du journalisme du Times promet Sulzberger, et qui consiste à rapporter honnêtement ce qui se passe en Amérique et dans le monde, sans crainte ni faveur.» [...]
Dans sa lettre, Sulzberger le reconnaît, en promettant à ses abonnés que désormais son «journal va s’efforcer de comprendre toutes les perspectives politiques». [...]
La lettre aux abonnés est signée par Sulzberger et le directeur exécutif du journal, Dean Baquet, car le quotidien new-yorkais a été durement touché dans sa réputation et au portefeuille lorsqu’il a, par exemple, inventé les premières histoires de femmes se plaignant de Donald Trump, lesquelles, dès le lendemain, téléphonaient aux radios du pays pour dire qu’elles n’avaient jamais dit ça au journaliste, et qu’au contraire avaient couvert Trump de compliments !
Sulzberger conclut en promettant «vous pouvez comptez sur le New York Times pour couvrir avec honnêteté et indépendance le nouveau président et son équipe.» [...]
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Stephen Bannon (ex-Breitbart.com) nommé directeur stratégique de l’équipe Trump (màj vidéo)
Déroulez et lire les tweets
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L'élection de Donald Trump réjouit les partis européens nationalistes
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Steve Bannon, bras droit de Donald Trump, courtise Marion Maréchal-Le Pen
Steve Bannon, 62 ans
16h21La nièce de Marine Le Pen est d’accord pour travailler avec l’influent conseiller du président élu, qui ne tarit pas d’éloges sur elle.
« La nouvelle étoile montante ». Quand il s’agit d’évoquer Marion Maréchal-Le Pen, Steve Bannon n’est pas avare de compliments. Cité par LCI vendredi 11 novembre, le très radical directeur de l’équipe de campagne (et potentiel futur « premier ministre ») de Donald Trump a fait part de son intérêt pour la France.
Ex-patron du site d’ultra-droite Breitbart News, il a visiblement encore des projets pour le média qu’il souhaiterait développer dans l’Hexagone, rapporte LCI. « Nous pensons que la France est l’endroit où il faut être », selon Steve Bannon, qui évoque « ses jeunes entrepreneurs » et… « les femmes de la famille Le Pen ».
Visiblement, il pense surtout à Marion Maréchal-Le Pen quand il évoque ces « femmes ». Et l’intéressée a reçu le message 5 sur 5 puisqu’elle a partagé l’article de LCI sur Twitter ce samedi 12 novembre, écrivant en anglais puis en français: « Je réponds oui à l’invitation de Stephen Bannon, directeur de la campagne Trump, à travailler ensemble ». [...]
Merci à Simon_McKay
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Attentat du 13 novembre : les neuf terroristes étaient arrivés en Europe en tant que réfugiés (Der Spiegel)
20h46Tous les neuf auteurs de l’attaque de Paris, il y a un an, étaient arrivés camouflés en tant que réfugiés en Europe. Ce n’est pas un hasard : d’après les services secrets, des combattants de l’État islamique préparent spécifiquement des candidats aux procédures d’asile.
Der Spiegel (Traduction FDS)
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Quand le journaliste Jean-Michel Apathie propose de raser le château de Versailles
Le journaliste vedette passé par les plus grands médias français (RTL, Europe1, Canal+) a créé une immense polémique après avoir suggéré de «raser le château de Versailles», symbole selon lui d'un passé révolu. Sur la toile, c'est l'indignation.
Invité sur la chaîne Public Sénat, l'éditorialiste s'est laissé aller à une colère pour le moins démesurée. Particulièrement contrarié par la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis, il n'a pas hésité à faire le lien avec la France qui serait selon lui en proie au populisme.
Arrêtons de cultiver la grandeur de la France, devenons réalistes
Pour Jean-Michel Apathie, la France devrait oublier sa grandeur et sa tradition d'indépendance sur la scène internationale pour se rapprocher définitivement de l'idée mondialiste à l'anglo-saxonne. Pour ce faire, le journaliste propose une méthode radicale et qui a fait rire et s'indigner beaucoup d'internautes. En effet, Jean-Michel Apathie souhaiterait tout bonnement détruire le passé glorieux de la France, symbole d'une époque révolue et qui constituerait une des principales sources de nuisance.
«L’esprit politique français est fabriqué par le souvenir de Louis XIV, de Napoléon et du Général De Gaulle. Quand on fait de la politique en France madame, c’est pour renverser le monde. Eh bien ça, ça n’entraîne que des déceptions. Moi si un jour je suis élu président de la République, savez-vous quelle est la première mesure que je prendrais ? Je raserais le château de Versailles. Ce serait ma mesure numéro un pour que nous n’allions pas là-bas en pèlerinage cultiver la grandeur de la France, devenons réalistes !», a lancé l'éditorialiste sous l’œil médusé de la journaliste qui le recevait.
Cette dernière, choquée par les propos de son interlocuteur lui a lancé : «Et ben dis donc, vous n'êtes pas prêts d'être élu, je peut vous le garantir.»
Les twittos indignés par cette sortie
Immédiatement, la toile s'est enflammée de commentaires hostiles à cette sortie de l'éditorialiste, de nombreux internautes ayant été profondément choqués par ses propos jugés délirants et totalement disproportionnés.
Certains n'ont pas hésité à comparer Jean-Michel Apathie au leader de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi, dont l'organisation s'applique à détruire tout ce qui constitue le patrimoine culturel et spirituel de la période pré-islamique partout où elle passe.
Le député européen (FN) Aymeric Chauprade a estimé que les propos de Jean-Michel Apathie étaient dignes des Khmers rouges, ce mouvement politique et militaire communiste radical, d'inspiration maoïste, qui a dirigé le Cambodge de 1975 à 1979 dans un climat d'extrême violence. Pour lui, la haine de la France est en train de gangrener le monde médiatique.
RT
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Trump module ses promesses sams les renier
Par Philippe Gélie
Mis à jour le 13/11/2016 à 20h13Tout en constituant son équipe de transition, le nouveau président a semblé réviser son jugement sur l'Obamacare, qu'il ne veut plus « abroger complètement ».
Soudain reclus avec ses conseillers, après des mois d'exposition médiatique constante, Donald Trump distille des messages plus nuancés qui laissent planer le doute sur ses intentions. Est-il en train d'adoucir ses positions radicales de candidat?
Non content de faire désormais l'éloge de Barack Obama, «un homme bien» avec lequel il a eu «un excellent entretien» jeudi à la Maison-Blanche, le président élu a tenu à souligner dimanche, dans «60 Minutes» sur NBC, que les appels reçus de Bill et Hillary Clinton après sa victoire «n'auraient pu être plus aimables». «Cela a dû être difficile pour elle. C'est une femme très forte et très intelligente.» Au Wall Street Journal qui lui demandait s'il voulait toujours la «mettre en prison», Trump a répondu: «Je n'y ai pas beaucoup réfléchi, je veux avant tout régler les problèmes de l'assurance-maladie, de l'emploi, du contrôle des frontières et de la réforme fiscale.»
Ses partisans, qui scandaient «Enfermez-la», se satisferont qu'elle ait été battue et que Trump puisse mettre en œuvre ses promesses. Mais sur ce terrain aussi, il nuance. L'Obamacare, qu'il fallait «abroger entièrement», mérite un second examen. Obama a attiré son attention sur deux dispositions de la loi que le président élu «aime beaucoup»: l'obligation pour les compagnies d'assurer les patients ayant des maladies chroniques et la possibilité pour les jeunes de rester assurés par leurs parents jusqu'à 26 ans. Un autre texte initialement condamné, la loi Dodd-Frank ayant durci la régulation financière après la crise de 2008-2009, pourrait également survivre sous une forme «allégée, pour que les banques se remettent à prêter».
Un entourage dominé par des conservateur purs et durs
Donald Trump a confié le dossier de l'Obamacare à son vice-président, Mike Pence. Il a chargé le sénateur de l'Alabama, Jeff Sessions, intraitable sur l'immigration clandestine, de travailler sur le projet de mur à la frontière mexicaine. Sur CBS, il a rappelé son intention d'expulser ou d'emprisonner les criminels clandestins chiffrant leur nombre entre 2 et 3 millions.
Son équipe cherche également le moyen légal de se retirer de l'accord de Paris sur le climat au plus vite. Si le pragmatisme commence à s'imposer dans les plans du prochain président, il n'en est pas à se renier, loin de là. Son entourage reste dominé par des conservateurs purs et durs, qui combinent des principes affirmés avec une expérience pratique des affaires publiques.
La première tâche de Donald Trump est de former son cabinet. Il a bouleversé son équipe de transition en fin de semaine dernière, rétrogradant le gouverneur du New Jersey, Chris Christie, pour en confier la présidence à son colistier Mike Pence. Autre choix inédit: ses trois enfants adultes, sa fille Ivanka et ses fils Donald Junior et Eric, siègent au comité exécutif. L'homme d'affaires avait indiqué qu'il leur confierait la gestion de son groupe en cas de victoire. Aujourd'hui, il serait question d'un poste de conseillère à la Maison-Blanche pour Ivanka. Et son mari, Jared Kushner, devenu l'un des conseillers les plus influents du candidat Trump, paraît certain d'occuper une place de choix, officielle ou non, auprès du prochain président.
«Tournée de la victoire»
L'état-major de transition donne une idée des ténors de la prochaine Administration. Il comprend six vice-présidents, qui devraient chacun hériter d'un portefeuille important: Jeff Sessions (favori pour le Pentagone), Chris Christie (peut-être la Justice), l'ancien speaker de la Chambre Newt Gingrich (qui aspire à un rôle de «stratège politique»), l'ex-maire de New York Rudy Giuliani (Justice ou direction du renseignement), le général de réserve Michael Flynn (conseiller à la sécurité nationale), le neurochirurgien Ben Carson, ex-rival des primaires (Santé). Au comité exécutif siègent tous les responsables de la campagne: Stephen Bannon (pressenti pour le poste clé de chief of staff), Kellyanne Conway (conseillère politique), etc.
Le président élu envisage d'effectuer une «tournée de la victoire» dans les États qui ont assuré son élection. En attendant, des centaines d'Américains poursuivent leurs défilés nocturnes dans plusieurs grandes villes du pays. Une veillée aux chandelles a rassemblé une foule silencieuse samedi soir devant la Maison-Blanche. Après avoir jugé ces démonstrations d'hostilité «injustes», Trump a rectifié dans un autre tweet neuf heures plus tard: «J'adore le fait que les petits groupes de manifestants aient une passion pour notre grand pays». En 2012, lors de la réélection de Barack Obama, Donald Trump avait appelé à protester: «On ne peut pas laisser faire ça. Nous devrions marcher sur Washington et faire cesser cette mascarade.»
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 14/11/2016.
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RT vous fait découvir la nouvelle maison familiale des Obama (photos)
https://francais.rt.com/international/28861-rt-vous-fait-decouvrir-quartier-obama
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Sting dévoile « Inshallah », son nouveau titre pro-migrants, lors de l’hommage aux victimes du Bataclan
1h25Sting a dévoilé ce soir au Bataclan Inshallah, son nouveau titre dédié aux migrants qui risquent leur vie en tentant la traversée de la Méditerranée. Le concert de Sting est en hommage aux victimes des attentats du 13-Novembre à Paris.
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"Si j'avais été au Bataclan, j'aurais tiré. Je serais mort peut-être, mais j'aurais dégainé.»
Les attentats du 13 novembre 2015 à Paris avaient aussi permis à Donald Trump de critiquer la France sur sa législation en matière de port d'arme. «Vous pensez vraiment que, s'il y avait eu dans l'assistance quelques personnes armées et entraînées, cela se serait passé de la même façon? Je ne le crois pas. Ils auraient tué les terroristes», avait-il affirmé dans une interview au magazine Valeurs Actuelles . «C'est du bon sens. Je possède en permanence une arme sur moi. Je peux vous dire que si j'avais été au Bataclan ou dans un des cafés, j'aurais tiré. Je serais mort peut-être, mais j'aurais dégainé.»
Il avait aussi donné son avis sur la situation sociétale française, «malheureusement, la France n'est plus ce qu'elle était, et Paris non plus. Il y a des quartiers dont on a l'impression qu'ils sont devenus hors la loi, qu'ils sont, comme certains de vos essayistes l'ont écrit, des territoires perdus de la République.»
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