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Blog - Page 1023

  • Affaire Bettencourt: non-lieu requis pour Nicolas Sarkozy

    Lire: http://www.leparisien.fr/affaire-bettencourt/affaire-bettencourt-non-lieu-requis-pour-sarkozy-04-04-2013-2697483.php

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  • Les suicidés de l’affaire Woerth-Bettencourt

     

    Par la rédaction d’E&R

    Comme tous les scandales politico-financiers, l’ « affaire Woerth-Bettencourt » mobilise, de près ou de loin, dans toutes les sphères du pouvoir, un nombre important d’intervenants. Parmi eux, deux hommes ont connu récemment une mort brutale : l’avocat Olivier Metzner et le sous-directeur des affaires économiques et financières (AEF) à la police judiciaire (PJ) de Paris, Noël Robin. Dans les deux cas, la piste du suicide est privilégiée par la justice – et par les médias.

    L’affaire Woerth-Bettencourt

    Dans cette affaire, Liliane Bettencourt, première actionnaire du groupe L’Oréal, est soupçonnée de fraude fiscale, des écoutes téléphoniques laissant penser qu’elle posséderait une île aux Seychelles et des comptes bancaires à l’étranger, le tout non-déclaré au fisc. Ces enregistrements, révélés par Mediapart le 16 juin 2010, ont également conduit à la révélation de possibles conflits d’intérêts entre Liliane Bettencourt et Éric Woerth, ministre du Travail sous le gouvernement Fillon, dont la femme Florence Woerth était employée d’une société gérant la fortune de Liliane Bettencourt. Par ailleurs, Claire Thibout, ex-comptable de Liliane Bettencourt, a évoqué lors de son interrogatoire par les enquêteurs le possible financement illégal de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.

    Le jeudi 28 mars 2013, les trois juges en charge de l’ « affaire Bettencourt » ont annoncé que l’instruction était terminée et ont transmis au parquet le dossier de la procédure.

    Deux suicidés

    Onze jours auparavant, le 17 mars, le corps de l’avocat Olivier Metzner, 63 ans, avait été retrouvé flottant au large de son île privée dans le Morbihan. Ce célèbre pénaliste était l’avocat de Françoise Bettencourt-Meyers dans l’affaire qui l’opposait à sa mère Liliane Bettencourt depuis 2007. C’est la cliente d’Olivier Metzner qui avait transmis à la police en juin 2010 les enregistrements de conversations au domicile de sa mère, écoutes à l’origine de l’affaire Woerth-Bettencourt. Suite à la découverte du corps de l’avocat, la justice a mis en place la procédure habituelle :

    « Après un suicide [présumé], le médecin constatant le décès mentionne un obstacle à l’inhumation. Le procureur, sur la base de ce constat, diligente une “enquête aux fins de recherche de mort” conformément aux dispositions de l’article 74 du Code de procédure pénale. Le procureur lui-même ou un officier de police judiciaire sur commission rogatoire [...] se rend sur place pour réunir des indices matériels et des témoignages. Le corps est ensuite transféré à l’institut médico-légal pour qu’il soit réalisé des actes complémentaires et une autopsie et ce afin que le certificat de décès soit établi par un médecin lié à l’autorité judiciaire. Seuls les membres de la famille peuvent consulter le rapport d’autopsie. Si le suicide est établi, le corps est transmis à la famille pour l’inhumation. S’il persiste des doutes sur les causes du décès, le procureur peut poursuivre l’enquête selon les dispositions régissant l’enquête préliminaire, ou il peut requérir l’ouverture d’une information auprès du juge d’instruction [1]. »

    Une autopsie était pratiquée dès le 17 mars. Le lendemain, le procureur concluait à un suicide et classait l’enquête.

    Le 2 avril, le haut fonctionnaire de la PJ parisienne Noël Robin était à son tour retrouvé mort dans un véhicule de service à Saint-Germain-Laxis (Seine-et-Marne). Il se serait suicidé par balle avec une arme administrative [2].

    Au cours de sa carrière, Noël Robin s’était illustré notamment dans le cadre de l’ « affaire du Sentier II » en tant que chef de la Brigade parisienne de recherche et d’intervention financière (Brif). Il avait été évincé de cette affaire sensible – instruite par Isabelle Prévost-Desprez [également juge d’instruction dans l’affaire Bettencourt] – en 1999 [3]. Par la suite, devenu chef de la Brigade criminelle, il avait mené l’enquête dans l’affaire dite du « gang des Barbares », où le travail de la police « avait été critiqué par la famille de la victime, le jeune juif Ilan Halimi » [4]. Il lui était notamment reproché « de ne pas avoir suffisamment suivi les pistes en provenance de Bagneux, dont était originaire le gang des Barbares » [5].

    Depuis quelques années, Noël Robin était sous-directeur des affaires économiques et financières (AEF) à la PJ parisienne. Il avait notamment supervisé l’enquête dans l’affaire Woerth-Bettencourt.

    Sa mort, qui a fait infiniment moins de bruit dans les médias que celle du candidat de Koh-Lanta, « a été ressentie avec douleur à la police judiciaire où il était “connu et très apprécié”, selon plusieurs sources policières, certaines avançant des raisons “a priori personnelles”. “Rien ne laissait présager un tel drame”, ont dit d’autres sources évoquant un homme “très équilibré” et “faisant le poids” [6]. » L’enquête sur les causes et circonstances exactes de son décès a été confiée à la PJ de Versailles.

    Nicolas Sarkozy

    Rappelons que dans le cadre de l’affaire Bettencourt, l’ex-président de la « République » Nicolas Sarkozy a été mis en examen le 21 mars 2013 par le juge Jean-Michel Gentil pour abus de faiblesse [7]. À la fin de l’audition, Nicolas Sarkozy aurait réagi en déclarant au juge : « Je n’en resterai pas là [8]. » Quelques jours plus tard, le juge Gentil, mais aussi des journalistes (Jean-Pierre Elkabbach et Michaël Darmon) ont reçu des lettres de menaces contenant chacune une balle à blanc [9]. Le parquet antiterroriste a été saisi le 28 mars.

    Sans présumer d’aucun rapport entre les suicides de deux ténors de la justice impliqués dans l’affaire Bettencourt et les épisodes tournant autour de la mise en examen de Nicolas Sarkozy dans cette même affaire, force est de constater qu’ils sont loin de rassurer sur son issue finale et ses dommages collatéraux. Quant aux « suicides » eux-mêmes, leur coïncidence défie les lois de la probabilité ; mais on sait aussi que celles, très sales, de la politique avec intérêts financiers sont situées bien au-dessus.

  • Il n'y a plus de rue du Maréchal Pétain en France

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    La dernière rue du Maréchal-Pétain de France n’est plus. La plaque apposée en 1936, à Belrain, a été finalement décrochée. Le 15 mars dernier, au terme de débats passionnés mais sans débordements, le conseil municipal de la petite commune meusienne de cinquante âmes a voté le changement de nom à sept voix contre une.

    Dans la foulée, toutes les familles de la commune rurale ont reçu, dans leur boîte aux lettres, un bulletin de participation à une consultation populaire. Elles doivent choisir, avant ce soir, entre plusieurs propositions. Parmi les nouveaux noms suggérés figurent des résistants notoires : Stéphane Hessel ainsi que le couple Lucie et Raymond Aubrac. Cette idée a été formulée, lors du conseil municipal, par Nicolas Chavanne, 50 ans, agriculteur qui souhaitait « faire contrepoids » à l’Histoire.

    Ce dernier est le fils d’Alain, maire de la commune entre 1975 et 2010 et l’arrière petit-fils du colonel Maurice Chavanne, maire de 1935 à 1945, celui-là même qui a choisi, en 1936, de dédier une rue au maréchal Philippe Pétain. Le colonel Chavanne, chef de corps à Saint-Mihel en 1914, vouait, comme beaucoup dans ce secteur meurtri, gratitude et admiration à Pétain, qui n’était encore que le héros de la bataille de Verdun. Le département de la Meuse comptait alors des rues Pétain par dizaines. La Seconde Guerre mondiale et le régime de Vichy ont bouleversé la donne historique. Les rues ont été débaptisées à tour de bras. Partout, sauf à Belrain.

    Sept pour, un contre

    En 1975 pourtant, au moment du remembrement, tous les noms de rue ont été changés. L’occasion était belle. « Mais le conseil a préféré l’existant », explique, laconique, Alain Chavanne, qui siège encore au conseil. Quarante ans plus tard, il a voté pour le changement. « Jamais les préfets qui se sont succédé ou les grands élus n’ont émis de critique sur cette particularité », se défend-il.

    Nouvelle tentative en 2010 sous l’impulsion de Patrick Gondouin, fraîchement élu maire, qui sent confusément que la rue Pétain est susceptible de nuire à la réputation du village. Le conseil « aux trois quarts par inertie et un quart par idéologie » ne donne pas son aval. Mais en 2009, un homme se donne comme mission de bousculer cette inertie. Jean Thouvenin, 82 ans, militant socialiste, en lisant son quotidien régional, tombe, en 2009, sur un texte qui annonce la naissance, à Belrain, du petit Ewen chez Mélanie et Aymeric Dupuis, domiciliés rue du Maréchal Pétain. Il part en croisade. Ecrit, sans succès, aux sénateurs, députés, ministres, préfets. Et n’obtient rien. Enervé, il contacte la presse locale qui met le feu aux poudres. « I l a été pris à partie par les anciens combattants », explique le jeune secrétaire de la section socialiste de Bar-le-Duc pour justifier le silence que s’est désormais imposé Jean Thouvenin sur cette affaire. Une seule voix s’est opposée au changement de la rue, celle d’Aymeric Dupuis, qui « ne se sent pas concerné par cette affaire » qui va l’obliger « à changer d’adresse sur les tous les documents administratifs ». Une galère.

    P. R.

    Le Républicain Lorrain - 04/04/13

     Ouf ! On respire!

  • Quand le maréchal Pétain décorait François Mitterrand de la Francisque...

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                                  Le 16 août 1943, François Mitterrand reçoit la Francisque, médaille marquant l'estime du maréchal Pétain, des mains du maréchal.

  • On connaissait la gauche caviar, on découvre la gauche caïman !

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    Communiqué de Presse de Louis Aliot, Vice-président du Front National

    La république irréprochable de François Hollande semble avoir du plomb dans l’aile. Après les affaires Guérini et consorts, les conséquences de l’affaire Cahuzac, ne voilà t-il pas que le trésorier de sa campagne a investi dans des paradis fiscaux!

    En effet, selon les fichiers d’un consortium d’investigation américain, Jean-Jacques Augier, énarque de la promotion Voltaire, celle de François Hollande, Ségolène Royal ou Michel Sapin, trésorier de campagne du Président, serait actionnaire de deux sociétés offshores dans le paradis fiscal des îles Caïmans.

    La première société a été créée à la demande d’un de ses partenaires chinois, alors que pour la seconde, Monsieur Augier se refuse à dévoiler ses associés et affirme qu’elle a été créée à la demande de ses partenaires et aurait depuis été rapatriée à Hong Kong.

    Bref, la gauche morale, très en verve en France pour dénoncer la fuite des capitaux et brocarder les paradis fiscaux semble être totalement imprégnée de l’esprit de la finance mondiale, celle-là même que pointait du doigt le président normal !

    C’est en prenant connaissance de ces informations qu’on mesure la fracture qui existe entre la caste au pouvoir et le peuple. Pendant que les Français souffrent d’une crise financière, économique et sociale dramatique, la finance se porte bien ! Et à gauche, ses serviteurs ne manquent pas.

    La gauche a enfin trouvé une devise qu’elle devra inscrire à l’entrée de la rue de Solferino : « faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais ! »

  • Offshore leaks: qui est Jean-Jacques Augier, l'ex-trésorier de campagne de François Hollande ?

    Lire: http://www.lexpress.fr/actualite/politique/offshore-leaks-qui-est-jean-jacques-augier-l-ex-tresorier-de-campagne-de-francois-hollande_1237338.html

    + 3 VIDEOS

  • Commentaires: dysfonctionnement informatique dans la réception/publication le 3 mars

    Chers amis,

    Problème hier 3 mars dans la réception des commentaires sur ma messagerie et donc leur envoi sur le blog: j'en ignore la cause et ne peux y remédier. 

    Certains commentaires passaient, mais d'autres pas.  

    Je suis navrée de ces retards. Ils ne sont pas de mon fait, bien évidemment, mais d'un dysfonctionnement dans le système informatique du serveur. Cela s'est déjà produit. Il peut y avoir saturation des réseaux à cause des "spams".

    Je viens d'envoyer tous les commentaires en attente sur la page  "intérieure" d'administration du blog.

    Tout ceci est aussi désagréable pour vous que pour moi.  Et me fait perdre un temps pécieux pour les notes.

    En vous remerciant pour votre compréhension,

    Gaëlle MANN

  • Reportages exceptionnels sur la manif du 24 mars

     

    Voilà des reportages qui devraient provoquer la démission immédiate de Manuel Valls, si le régime était honnête :

    • Une vidéo montre que l'agression en haut de l'avenue Foch est venue d'un policier face à une foule qui manifestait encore sur l'espace autorisé
    • Un reportage photo montre le rôle étrange joué par des policiers en civil, non reconnaissables, armés, au sein de la manifestation
    • Un autre reportage montre que les policiers ont gazé familles et enfants. Pas de gudard à l'horizon ni de nervis d'extrême-droâte... Il s'agissait d'une véritable embuscade.

    Michel Janva

    Le Salon Beige - 03/04/13

     

  • "Catholic is Hitler!" sur les murs de Rouen

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    Posted on by Daniel Hamiche

    Un lecteur (merci L. C. !) m’a fait parvenir hier des photos prises par lui sur des murs de Rouen montrant, en deux endroits différents, des slogans l’un, semble-t-il, peint et l’autre écrit à la craie –« Catholic is Hitler ! » – et dont ce lecteur me précise qu’ils sont visibles depuis au moins quinze jours… Ce qui est le plus incroyable dans cette histoire, ce n’est pas la stupidité de l’inscription et de celui qui les a faites, c’est que personne n’ait encore songé à les effacer !

    Observatoire de la christianophobie

  • L'agression du cinéaste israélien Yariv Horowitz à Aubagne: une fausse nouvelle

    Dans une revue de presse publiée le vendredi 29 mars 2013, la Newsletter du CRIF signalait que le cinéaste israélien Yariv Horowitz, en lice au Festival international du film d’Aubagne, pour son long métrage « Rock the Casbah » avait été « agressé et battu pas un groupe d’individus » qui l’avaient « projeté à terre et lui avaient donné des coups de pieds ».

    Richard Prasquier

     

     

    L’information, qui avait été reprise de plusieurs autres journaux israéliens, avait été publiée d’abord le 28 mars 2013 par la journaliste Nirit Anderman dans le journal Haaretz. L’interview du cinéaste a donc eu lieu une semaine après les faits, après le retour de Yariv Horowitz en Israël : elle était motivée par le fait que son film avait gagné un prix au festival.

     

    Le titre de l’article du Haaretz était sans équivoque : « un cinéaste israélien frappé par des jeunes Arabes en France ». Dans son interview, Horowitz indiquait qu’en se promenant le soir avec l’auteur de la musique de son film, ils avaient été insultés par un groupe de jeunes, auxquels il avait répondu, puis qu’il avait reçu un coup à la tête et qu’il avait brièvement perdu connaissance. Dans l’article, la journaliste écrit que Horowitz a indiqué que les agresseurs étaient à l’évidence arabes et qu’ils étaient ivres. À noter que les insultes que rapportait le cinéaste n’avaient pas de connotation antisémite ou anti-israélienne.

     

    Le CRIF a rapporté l’information sur la foi des articles de la presse israélienne, sans écrire qu’il s’agissait d’une agression antisémite, ni mentionner le fait que les agresseurs étaient « arabes ». Nous n’aurions certainement pas dû employer le terme de « lynché », même s’il avait été utilisé ailleurs auparavant.

     

    Mais, surtout, nous n’aurions rien dû écrire du tout, car l’information était fausse…

     

    Il s’est agi, d’après des témoignages concordants, d’une altercation entre jeunes se promenant le soir dans la rue: œillades, insultes, colère, suivie d’un coup violent, mais heureusement sans gravité. Il n’y a pas eu de dépôt de plainte ; Horowitz, en pleine forme, n’a fait le surlendemain aucune allusion à l’incident lorsqu’il a reçu son prix, et ce n’est qu’après son retour en Israël qu’une polémique fut lancée.

     

    Elle pose quelques questions qui ne sont pas insignifiantes : est-ce que le cinéaste a vraiment dit ce qu’on a écrit qu’il avait dit ? Est-ce que les journaux (Haaretz en particulier) n’auraient pas dû vérifier un témoignage fondé sur de simples impressions personnelles avant de le publier ? Enfin est-ce que ce témoignage n’a pas reçu cette publicité justement parce qu’il conforte ce sentiment diffus en Israël que l’antisémitisme sévit partout en France et qu’un Juif court des risques dès qu’il marche dans la rue ?

     

    Si oui, c’est un cas typique de ce que les Américains appellent « self-fulfilling prophecy » (anticipation auto-réalisatrice) car ces fausses nouvelles ne peuvent que générer de l’antisémitisme en retour.

     

    M. Horowitz aura peut-être l’occasion de présenter ses excuses, ou au moins ses explications, en venant à Paris au Festival du film israélien. Nous le lui conseillons. En ce qui nous concerne, nous présentons ici les nôtres aux lecteurs de la Newsletter du CRIF.

     

    Richard Prasquier

    Président du CRIF

  • Le gratte-ciel avec l'appartement de Depardieu à Grozny est en feu

     

     
    3.04.2013, 23:33, heure de Moscou
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    Пожар комплекс Грозный-Сити  Чечня Грозный

     
    Photo: RIA Novosti

    L'incendie s'est déclaré à tous les étages, sauf le rez-de-chaussée, dans un immeuble résidentiel de 40 étages Olympus, le plus haut des bâtiments en Tchétchénie.

    « Selon les données préliminaires, c'est l'isolation thermique qui brûle dans la paroi extérieure de 2 à 40 étage », a déclaré une source au sein des organes de la loi de la république, en précisant que l'immeuble n'est pas occupé. La 3ème catégorie du danger des 5 a été attribuée à cet incendie.

    Selon les médias, l'acteur français Gérard Depardieu a reçu un appartement dans ce complexe résidentiel comme un cadeau après avoir obtenu le titre de citoyen d'honneur de la Tchétchénie.

    La Voix de la Russie

  • La mobilisation contre le prétendu "mariage pour tous" ne faiblit pas

     

    03/04/2013 – 19h15
    PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) –
    Plusieurs ministres ont déjà fait l’amère expérience d’un accueil mouvementé lors de déplacements en province. Hier c’était au tour d’Arnaud Montebourg. Arrivé à Marseille en gare Saint-Charles pour visiter le train de l’industrie, le responsable socialiste a été reçu par plusieurs centaines de jeunes gens et de familles, venus manifester leur opposition à la dénaturation du mariage.

    Débordée, la police a reçu le secours de militants de la CGT et de la SNCM. Ceux-là étaient pourtant venus clamer leur mécontentement. Ils ont préféré se faire complices de la répression.

     

    A Paris, le fameux collectif des Hommen, pendant masculin des Femen, a organisé une action près de la gare Saint-Lazare (vidéo). Torses nus mais vêtus de pantalons aux couleurs vives, le visage bâillonné et couvert par un masque blanc, les Hommen ont profité de leur coup d’éclat pour réclamer la liberté d’expression et un référendum sur le prétendu mariage pour tous. Rappelons que ce collectif avait dénoncé quelques jours auparavant le « gazage pour tous » devant la préfecture de police de Paris.

     

  • La faute lourde du frère Cahuzac

     

    En commettant un mensonge d’État, le frère Jérôme Cahuzac a manifestement aussi trahi les idéaux de la franc-maçonnerie, surtout ceux de son obédience, le Grand Orient de France (GODF), où il est passé sous le bandeau en 1996, dans l’atelier parisien « Locarno 28 » et non pas à Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne), commune dont il fut maire.

    En mentant devant les députés (et les caméras de télévision), qui plus est un mensonge aussi grave, Jérôme Cahuzac a volontairement traîné dans la boue ce que les frères de son obédience ont de plus cher au cœur : la République et sa représentation parlementaire.

    C’est le sentiment manifeste de Gérard Contremoulin (ancien membre du Conseil de l’Ordre), dans son post percutant « La « faute », dérive personnelle d’un fraudeur devenu ministre ! » En général, les frères ont tendance à considérer que celui des leurs qui commet un délit (ou une faute) ne l’a pas commis en tant que maçon. Ils ont souvent raison. Là, le mensonge « les yeux dans les yeux » face à la République est celui d’un frère. Celui d’un homme qui a trompé tout son entourage. Y compris ses frères de conviction.

    Trahir ses amis les plus dévoués, de manière continue et depuis si longtemps, quoi de moins fraternel ?

    PS : Il va sans dire, mais mieux en le disant, que Jérôme Cahuzac devrait être suspendu du GODF.

    LA LUMIERE. Le blog franc et maçon de L'Express

  • Réaction de Marine Le Pen à l'affaire Cahuzac

    Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

  • Un ami de Marine Le Pen avait aidé Cahuzac à ouvrir un compte chez UBS en 1992

     

     

    Selon le quotidien Le Monde, c'est un proche de Marine Le Pen, Philippe Péninque, qui a aidé Jérôme Cahuzac à ouvrir son compte chez UBS en 1992. Marine Le Pen affirme qu'elle a été mise au courant mardi.

    Marine Le Pen est-elle au courant de l'existence du compte suisse de Jérôme Cahuzac ? Oui, et au moins depuis hier. Car l'homme qui a aidé l'ancien ministre du Budget à ouvrir ce compte en 1992 n'est autre que Philippe Péninque, un proche de la présidente de FN, selon des révélations du Monde.

    Contacté par le quotidien du soir, cet ex-avocat spécialisé dans les montages fiscaux reconnaît : "Jérôme Cahuzac avait besoin d'un compte, je l'ai aidé à l'ouvrir", écrit Le Monde. Avant d'ajouter : "Ce qui est illégal c'est de ne pas déclarer un compte, pas d'aider à l'ouvrir." Il poursuit : "J'ai dit (à Marine Le Pen) que j'étais ami avec Cahuzac et peut-être que dans le cadre de mon activité professionnelle, j'avais ouvert ce compte".

     

    En marge d'un déplacement dans les Ardennes ce mercredi, Marine Le Pen a immédiatement réagi aux révélations du Monde. "Il y a 25 ans, à l'époque où j'étais en licence de droit, quelqu'un qui est devenu mon ami a eu comme client M. Cahuzac et lui a ouvert un compte à l'étranger. Quelle est ma responsabilité?", a demandé la patronne du Front National.

    "Philippe Péninque était avocat et ouvrir un compte dans une banque étrangère, ce n'est pas un délit. Le délit c'est de ne pas déclarer les fonds, l'avocat n'en est pas responsable. Que cet avocat soit par ailleurs l'un de mes amis c'est parfaitement banal", a-t-elle insisté. Avant d'ajouter que c'était un acte "complètement anodin" et que M.Péninque l'en avait informé "hier".

    Un peu plus tôt dans la journée, Marine Le Pen avait lancé : "Nous allons apprendre que le président et le Premier ministre étaient en réalité au courant depuis plusieurs semaines de la véracité de ce qui était reproché à M. Cahuzac". Mais François Hollande et Jean-Marc Ayrault ne semblent pas les seuls à devoir justifier leur silence.

    TF1 - 03/04/12