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Blog - Page 1027

  • Diffamation et injure sur Internet / justice : nul n’est censé ignorer la loi… française !

     

    Même si la liberté d’expression et d’opinion est en danger en France, un pays classé sur liste rouge par Reporters sans frontière (RSF), l’internaute français (citoyens, journalistes, etc.) se doit de faire très attention aux différents commentaires qu’il rédige sur Internet puisqu’il est responsable de ses propos, comme les responsables du support dans lequel il rédige le sont aussi, puisqu’ils valident de facto les propos en question.

    Le cabinet Jurisexpert a organisé une rencontre à Lille cette semaine pour faire un point sur la diffamation sur Internet et l’état du droit en la matière avec des avocats spécialisés. Dans 80 % des cas, les demandes visent avant tout le retrait des propos et les procédures devant les tribunaux minoritaires. Il convient donc de réfléchir à ce que l’on compte écrire sur Internet (sites d’information, blogs, forums), et les réseaux sociaux et sites de “micro-blogging” (Facebook, Twitter, etc.) notamment en politique.

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    La loi française n’est applicable… qu’en France

    Pour briser les idées reçues, il ne faut pas oublier que sur Internet, tout n’est pas permis et que l’anonymat n’existe pas. Les procédures initiées par les avocats et les tribunaux se sont rodées et adaptées aux évolutions. Diffamation et injure, qui visent nommément une personne ou une structure, ou dénigrement de produits ou services, la loi veille. Il en va de même de l’usurpation d’identité. Ainsi créer une page Facebook ou un compte Twitter à la place d’autrui est un délit.

    Lire l’intégralité de l’article sur BFM-TV – Diffamation sur Internet : connaissez-vous la loi ?

    NPI

  • Recherche sur l’embryon : Marion Maréchal – Le Pen propose l’interdiction

     

    Marion Marechal Le Pen - Assemblee nationale

    Communiqué de Marion Marechal – Le Pen, députée Front National du Vaucluse

    A l’occasion du débat sur le texte examiné cette semaine à l’Assemblée et autorisant la recherche sur l’embryon, Marion Maréchal – Le Pen a cosigné un amendement avec Jacques Bompard demandant que soit, à l’inverse, interdite toute forme de recherche sur les embryons humains et les cellules souches embryonnaires.

    Le texte, issu d’une proposition de loi radicale de gauche et soutenue par le gouvernement, modifie le régime issu de la loi de 2004 et passe d’une interdiction de la recherche sur l’embryon assortie de dérogations à une autorisation sous conditions, ouvrant ainsi une voie particulièrement dangereuse à laquelle le législateur avait encore réaffirmé son opposition en 2011.

    Cette recherche n’est pas indispensable scientifiquement, notamment depuis les découvertes des professeurs Yamanaka et Gordon, prix Nobel de médecine 2012, qui ont prouvé que les travaux sur les cellules souches non- embryonnaires étaient aussi voire plus efficaces.

    Par ailleurs, l’autorisation de la recherche sur l’embryon soulève de graves interrogations éthiques et contredit l’article 16 du code civil aux termes duquel « la loi garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie. ».

    Marion Maréchal – Le Pen votera en conséquence contre le texte.

    NPI

  • Bordeaux: le juge Gentil menacé de mort, ouverture d'une enquête

    sans-titre.png Juge gentil.png

    Le juge Jean-Michel Gentil, qui a mis en examen jeudi dernier Nicolas Sarkozy pour abus de faiblesse dans un des volets de l'affaire Bettencourt, a reçu mercredi un courrier contenant des menaces de et des cartouches à blanc.

    C'est ce qu'a indiqué mercredi soir le Syndicat de la magistrature à l'agence de presse Reuters. Le parquet de Bordeaux a ouvert une préliminaire.

    La missive visait le magistrat bordelais, mais aussi ses proches, et des membres du Syndicat de la magistrature. «La violence des propos de la garde rapprochée de l'ancien président et l'œuvre de décrédibilisation de la justice à laquelle elle s'est livrée ne peuvent que susciter l'incompréhension des citoyens, la perte de confiance en l'institution judiciaire et, pour finir, l'insupportable déchaînement de haine envers les magistrats chargés de rendre la justice», écrit le syndicat qui appelle à la retenue et à la «responsabilité».

    De nombreux proches de l'ancien président ont crié à l'acharnement judiciaire. Parmi les plus virulents, Henri Guaino pour qui le juge Gentil a «déshonoré la justice». Le magistrat bordelais entend porter plainte contre lui. Mais le député UMP des Yvelines persiste et signe.

    Lundi, sur Facebook, l'ancien chef d'Etat a jugé cette mise en examen « injuste et infondée». Il jure n'avoir jamais «trahi les devoirs de (sa) charge».

    LeParisien.fr - 27/03/13

  • L'éveil d'une Grande Armée - par Dominique Venner

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    27/03/2013 – 12h00
    PARIS (via le site officiel de Dominique Venner) - Le 24 mars 2013, en interdisant les Champs Élysées à l’immense manifestation des familles françaises contre le mariage gay, le pouvoir a commis une erreur. Les centaines de milliers de manifestants (1 million 400 000 selon les organisateurs) confinés sur l’avenue de la Grande Armée ont vu dans ce nom un symbole : ils se sont sentis comme la « grande armée » des familles françaises qui se lève contre la « loi Taubira » destructrice de notre civilisation !

     

    On peut détruire une civilisation en un instant, d’un trait de plume. Les Français savent cela pour l’avoir éprouvé plusieurs fois dans leur histoire depuis 1789. Ils savent aussi par expérience qu’il faut plusieurs siècles pour rebâtir une civilisation.

    Mme Taubira (élue indépendantiste de la Gouadeloupe) est contestée au sein de son propre cabinet ministériel, comme l’avait été Mme Rachida Dati, autre gadget exotique du président précédant. C’est un signe des temps de décadence que de nommer à un ministère aussi symbolique que celui de la Justice des personnes si peu concernées par l’identité française et européenne, que leur intention affichée est de la bouleverser.

    Après la manifestation du 13 janvier (1 million de participants « blancs de blanc », dont beaucoup de femmes et d’enfants), la manifestation du 24 mars a réuni plus de participants encore et toujours aussi blancs. Elle a même débordé largement sur l’avenue Foch et occupé finalement une partie des Champs-Elysées en fin de soirée, au cours d’un « sit-in » à la barbe des CRS impuissants.

    Il faudrait être aveugle pour ne pas voir dans cette mobilisation sa réalité : une calme révolte de masse contre la destruction de la famille, pilier ultime de notre civilisation européenne. Tout enfant a le droit de savoir d’où il vient, quel est son père et quelle est sa mère. Il n’est pas inutile de rappeler que, très symboliquement, voici 33 siècles, la guerre de Troie avait été provoquée pour faire respecter l’union du roi achéen Ménélas et de son épouse Hélène, enlevée par un prince troyen. Tous les rois de la fédération achéenne avaient fait serment de protéger le mariage d’Hélène et de Mélénas. Aussi s’unirent-ils pour ramener Hélène à son foyer. Et leur guerre eut pour conclusion la destruction de Troie. Elle fut aussi le prétexte de l’Iliade, poème fondateur de notre civilisation.

    La première grande manifestation du 13 janvier s’était déroulée dans une atmosphère plutôt ludique. Les privilégiés qui nous gouvernent ont traité par le mépris l’appel qui leur était ainsi adressé par cette imposante manifestation contre la loi Taubira. Et pourtant, aucun parti politique dans la France d’aujourd’hui n’aurait pu réunir un million de manifestants dans Paris. Il y avait là matière à réflexion.

    C’est pourquoi la seconde manifestation du 24 mars, regroupant une nouvelle fois des familles entières, de jeunes mères et leurs enfants, a été plus tendue que la première. Les aveugles repus qui nous gouvernent, prendront sans doute exemple sur leurs devanciers soviétiques pour traiter avec le même mépris cette indignation populaire qu’ils ne contrôlent pas.

    Ils commettront là une nouvelle faute. Quand l’indignation mobilise de telles masses, des familles entières, des femmes et de jeunes mères en charge d’enfants, c’est le signe que se trouve transgressée au-delà du supportable une part sacrée de la nation. Il est dangereux de provoquer la révolte des mères !

    Dominique Venner

    Crédit photo : DR

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Trop d’insécurité, trop de chômage, trop d’immigration. Par Bruno Gollnisch

      

    rodin le penseur

    Il n’y a pas que Karim Benzema sous le maillot de l’équipe de France qui ne trouve pas le chemin des buts. Faute d’être capable de changer de modèle économique, de penser national, le gouvernement Ayrault s’avère bien impuissant à marquer des points, que ce soit dans la bataille contre l’insécurité comme dans celle contre le chômage. Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a choisi hier d’anticiper la hausse de la délinquance en indiquant, lors de son audition devant l’Assemblée nationale, que celle-ci découle de l’introduction de nouveaux indicateurs dans le cadre de la réforme de l’outil statistique. Bref, selon M. Valls, si la criminalité progresse c’est donc de la faute du thermomètre… les Français sont vraiment pris pour des crétins. Pourtant, il a fallu pas moins de 130 policiers et gendarmes mobiles, assistés du Raid et du GIPN (groupe d’intervention de la police nationale) pour procéder à l’interpellation hier à l’aube, dans les quartiers pluriels d’Amiens-Nord, de neuf « jeunes ». Ils sont soupçonnés d’avoir participé aux émeutes qui avaient occasionné des millions d’euros de dégâts et fait 17 blessés parmi les policiers, parfois touchés par des tirs d’armes à feu.

    Il a fallu aussi ce mercredi matin à Grigny (Essonne) et à Montreuil (Seine-Saint-Denis), la mobilisation de deux cents policiers, de membres du Raid et du GIPN, pour effectuer une douzaine d’interpellations dans le cadre de l’assaut d’un RER D, le samedi 16 mars, par une vingtaine de « jeunes » qui avaient mené l’attaque et dévalisé les occupants d’une rame à Grigny.

    Espérons que la très controversée Sihem Souid, engagée par Christiane Taubira dans son ministère pour traquer les comportements discriminatoires (voir notre article en date du 26 février), ne verra pas dans ses opérations de la police la marque d’un insupportable racisme. Dans un texte publié puis retiré précipitamment le 20 mars du site LePoint.fr, Mme Souid tirait à boulet rouge sur « Manuel Valls », « son menton prognathe » et « sa cohorte d’islamophobes » le comparant à Nicolas Sarkozy. M. Valls a en effet des affinités communautaires sélectives et il avait critiqué la décision de la Cour de cassation d’annuler l’arrêt de la Cour d’appel de Versailles rendu en octobre 2011, qui avait confirmé le licenciement en 2008 de Fatima Afif, une employée de la crèche Baby-Loup située dans le quartier pluriel de Chanteloup-Les-Vignes (Yvelines), parce qu’elle refusait d’ôter son foulard islamique.

    Sur le front de l’emploi également, François Hollande, comme M. Valls et ses collègues, se complait dans la Méthode Coué. Il ne peut que répéter, comme il l’a fait encore mardi, qu’il maintenait son objectif d’inverser la courbe du chômage d’ici à la fin 2013. Le pic de 1997 a été frôlé, le nombre de chômeurs a poursuivi sa hausse, pour le 22e mois consécutif en février avec 18 400 chômeurs de plus (+0,6%), soit un total de 3,187 millions d’inscrits en métropole . Sur un an, la hausse est de 10,8%.

    « En incluant les personnes ayant une activité réduite (catégories B et C), précise l’Afp, 26 500 personnes sont venues grossir les rangs des demandeurs d’emploi, soit 4,7 millions d’inscrits à la fin février en métropole, un record. Parmi eux, 16% sont bénéficiaires du RSA et plus de 2 millions de personnes sont désormais au chômage depuis plus d’un an, du jamais vu. Le nombre des chômeurs de longue durée bondit de 1,4 point par rapport à janvier, et de plus de 14% en un an. Hormis un seul mois de baisse, en octobre 2010, le nombre de chômeurs avec ou sans activité (catégories A, B et C) connaît une hausse ininterrompue depuis mai 2008, précise le ministère. Avec l’outre-mer, le nombre de chômeurs dépassait 4,9 millions à la fin février. »

    La question du poids de l’immigration dans les chiffres du chômage n’est pas politiquement correcte. Elle est pourtant centrale indique Bruno Gollnisch. Il existe dans ce domaine également un consensus gauche-droite pour ne pas l’évoquer mais le Front National a l’honnêteté et le courage de la mettre sur la table .

    Sur le site du ministère du travail, on pouvait lire le 31 octobre 2012, qu’ officiellement « en 2011, 4 millions d’immigrés âgés de 15 à 64 ans (résidaient) en France métropolitaine, représentant 10 % de la population en âge de travailler. 30 % d’entre eux sont nés dans un pays de l’Union européenne (UE), 31 % au Maghreb, 15 % en Afrique subsaharienne, et 24 % dans un pays européen hors UE ou sur un autre continent que l’Afrique. » Or, «le taux de chômage des immigrés nés hors de l’Union européenne est beaucoup plus élevé que celui des non immigrés. En 2011, il approche 23 % pour ceux originaires du Maghreb ou d’Afrique subsaharienne, contre 8,5 % pour les non immigrés. Une fois pris en compte l’âge, le sexe, le niveau de qualification et le lieu de résidence, l’écart de risque de chômage entre les immigrés extra-communautaires et les non immigrés reste important (…)».

    Sur son blog, le professeur Yves-Marie Laulan citait des chiffres moindres, mais relevait en mars 2012 que « les difficultés d’insertion d’une population, peu ou pas qualifiée, sur un marché du travail déjà saturé, sautent aux yeux. Avec un taux de chômage de 13,2 %, sur les trois millions d’immigrés que compte la population active, 2,6 millions d’immigrés seulement auraient un emploi, 400 000 seraient au chômage »…à la charge de la collectivité nationale.

    Il notait encore l’évidence : «ou bien les immigrés ne trouvent pas d’emplois et sont donc au chômage ; ou ils trouvent des emplois, mais poussent les natifs vers le chômage ; ou ils trouvent bien des emplois, mais ce sont des emplois aidés, donc qui coûtent cher à l’Etat. En conséquence, en termes de coûts, celui des immigrés au chômage serait de 3,4 milliards ». « Mais le plus important est ailleurs : le coût des natifs chassés par éviction vers le chômage peut être estimé à 22 milliards (à 700 euros par mois, soit 8 500 euros par an, pour 2,6 millions de nouveaux chômeurs natifs). » « En d’autres termes, en période de sous-emploi chronique et de quasi stagnation économique, -c’est le cas depuis 10 ans et plus-, l’immigration, quelle soit légale ou non, exerce directement ou indirectement un effet fortement négatif sur les chiffres du chômage et sur les charges budgétaires. »

    Il n’y aura donc pas d’amélioration tangible, durable, conséquente sur le front de l’emploi comme plus largement pour l’économie française et nos comptes sociaux, sans inversion des flux migratoires.

  • Mariage forcé à Bagneux...

     

    Mariée de force à un cousin malien, elle a compris que ses parents réservaient le même sort à sa sœur. C’est pour cette raison que la jeune Fouleymatou a confié son horrible histoire à une assistance sociale, en 2006, et déclenché ainsi l’enquête qui mène finalement ses parents devant la cour d’assises des Hauts-de-Seine.
     
    A partir d’aujourd’hui et jusqu’à vendredi, Daouda et Kalle Kante, respectivement âgés de 58 et 48 ans, seront pour « traite d’être humain ». En plus de la marier de force, ils ont infligé à leur fille des sévices en tout genre. Fouleymatou avait 18 ans quand elle a révélé ce qu’elle a subi. Depuis l’appartement familial de Bagneux, ses parents ont organisé le mariage de leur fille avec le cousin Mamadou. Dès 2001 — Fouleymatou n’avait que 13 ans — elle a été promise au prétendant contre la somme de 150 € et deux vaches. Quatre ans plus tard, Fouleymatou était toujours mineure, on a célébré les noces au Mali, selon la coutume.

    De retour à Bagneux, l’adolescente est devenue l’épouse du cousin aux yeux de toute la famille. Il lui fallait donc se soumettre et se taire. Ne rien dire des relations sexuelles imposées, de ce qu’elle décrit comme des viols. Mamadou Sidibé, le cousin époux sera jugé lui aussi lors de ce procès, pour tentatives de viols et, accessoirement, pour séjour irrégulier sur le territoire français.

    Lors de l’instruction, Mamadou a affirmé que sa promise était consentante. Il prétend avoir lui-même recueilli son assentiment pour le mariage dès 2001. Quant à l’argent ou les vaches, c’est « la coutume ».

    Les coups de balai étaient fréquents

    En plus de contraindre sa fille à la vie commune avec un homme qu’elle ne désirait pas, la mère de Fouleymatou lui a infligé de graves violences.

    Selon le récit de cette dernière lors de l’instruction, les coups de balai ou de fil électrique étaient fréquents. Il ne s’agissait « que » de coups de ceinture donnés « doucement » selon sa mère. Illettrée, Kalle tenait à faire de sa fille une future épouse modèle. C’est pourquoi elle la séquestrait à la maison et cognait.

    Daouda, le père de la jeune fille, semble n’avoir pas usé de violence physique. Au contraire, il dit avoir dû séparer son épouse et sa fille alors que la première martyrisait la seconde à coups de fil de fer. Arrivé en en 1974, Daouda, ouvrier à Rungis (Val-de-Marne), a lui aussi épousé sa femme dans son pays d’origine en respectant la tradition. Mais il réfute avoir jamais contraint sa fille à épouser le cousin. En père de famille, il a seulement reçu la demande en mariage et organisé la rencontre entre le prétendant et sa fille.

    Les parents encourent une peine de dix ans d’emprisonnement.

     

    Le Parisien - 27/03/13

  • Grotesque: les manifestants anti-mariage gay n'auraient été que 300.000 selon la Préfecture de police au lieu d'1,4 million

    La préfecture de police de Paris a confirmé mercredi son comptage de 300.000 personnes ayant défilé dimanche contre le projet de loi.

    Les anti mariage gay ont beau pester, la police n'en démord pas. La préfecture de police de Paris a confirmé mercredi son comptage de 300.000 personnes ayant défilé dimanche contre le projet de loi sur le mariage homosexuel. Les organisateurs avaient quant à eux évoqué 1,4 million opposants avant de critiquer vertement les premières estimations de la préfecture de police qui a depuis recompté à partir notamment d'images vidéo.

    Les critiques du comptage initial "mettent encore une fois directement en cause la neutralité des méthodes de travail des fonctionnaires de la préfecture de police", des "allégations (...) inacceptables". La préfecture de police tient l'intégralité de ces enregistrements (vidéo) à disposition des journalistes intéressés", selon le communiqué de la préfecture, selon qui "la méthode de comptage employée à Paris depuis plusieurs années repose sur des relevés de terrain précis et rigoureux".

    "Grotesque" pour Barjot

    Une différence de comptage jugée "risible et grotesque" par La manif pour tous, à l'origine du rassemblement. "Il est irresponsable de la part du gouvernement de minimiser ainsi la réalité de notre mouvement", avait dit mardi sa chef de file Frigide Barjot. Défendant sa propre méthodologie, les autorités regrettent que "comme lors
    de la précédente manifestation", le 13 janvier, "aucune précision sur les modalités techniques de comptage" utilisées par les organisateurs de la manifestation n'avait "été fournie", réplique la police.

    A lire aussi : Nombre de manifestants anti-mariage gay : qui se moque de qui ?

    Lundi, la direction du renseignement de la PP (DRPP) avait déjà donné des explications et défendu le "professionnalisme de ses agents en charge de ce comptage qui continuaient de visionner lundi les films de la manifestation afin de l'affiner et établir un chiffre définitif. Des caméras étaient installées pour filmer l'ensemble du cortège, notamment au sommet de l'Arc de Triomphe,* a détaillé la préfecture. Et un hélicoptère survolait le cortège, permettant de prendre des photographies qui "ont fait apparaître l'absence d'occupation continue des axes choisis et des densités très inégales".

    Deux fois moins que pour l'école libre en 1984

    Nicolas de Leffe, le directeur adjoint de la DRPP, avait pour sa part déclaré lundi devant quelques journalistes que le nombre de 300.000 manifestants était "très réaliste" et qu'il est "certain de (ses) chiffres". "C'était une manifestation particulière" car "statique", a-t-il précisé. Elle a donc nécessité une "technicité particulière" mais il y a eu un "chiffre affiné et vérifié sans arrêt" au fil du rassemblement.

    "Il ne pouvait pas y avoir beaucoup plus de 300.000 personne sur le périmètre" de la manifestation, a aussi soutenu Nicolas de Leffe, ajoutant qu'il y avait aussi "dix fois moins" de cars et de trains réservés par les manifestants que lors de la manifestation pour l'école libre en 1984 par exemple (700.000 manifestants selon la police, un million selon les organisateurs). "Nous ne sommes instrumentalisés par personne", a encore dit le haut fonctionnaire, et "de toutes façons, nos chiffres sont toujours multipliés par quatre que ce soit par les pro ou les anti mariage".

    A lire aussi : 98 interpellations et 6 gardes à vue après la manifestation anti-mariage gay
    A lire aussi : Manif anti-mariage pour tous : Boutin "gazée", demande la démission de Valls
    A lire aussi : Du monde mais des heurts : bilan de la manifestation contre le mariage pour tous

    TF1

    NdB: * au sommet de l'Arc de Triomphe, un policier a fait un "doigt d'honneur" à la foule, comme vu sur la vidéo tournée par E&R !

  • 24 mars, un festival de violences policières: une photo probante parmi d'autres

     

    Ici, des salopards aspergent de gaz des gens venus simplement ramasser et secourir quelqu’un.

    sans-titre.png crs gaz.png

    Il y a eu des démissions de préfets et de ministres pour moins que ce qui s’est passé dimanche dernier.

    Par ailleurs, pour CI, c’est très clair : la « trentaine de policiers légèrement blessés » qu’a évoquée Valls n’a tout simplement pas existé, ou alors ce sont des policiers qui ont été incommodés par les gaz et gel lacrymogènes qu’ils balançaient eux-mêmes à tout va.

    Contre-info. com

  • 26 mars 1962, fusillade de la rue d'Isly

    Il y a cinquante et un an, alors que De Gaulle avait trahi et abandonné l’Algérie aux égorgeurs du FLN, des Français manifestaient pacifiquement rue d’Isly à Alger.
    Une centaine d’entre eux furent abattus et des centaines furent blessés par les balles des gendarmes français. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

    Contre-info.com - 26/03/13

     

    Source

     

  • Pédophilie - Outreau : l’appel à la vérité de trois frères Delay au nom des enfants reconnus victimes de viols

     

     

    Chérif, Dimitri et Jonathan, trois fils du couple Delay condamné à Outreau, viennent de s’engager dans un combat unitaire au nom des douze enfants violés à Outreau, dont ils font partie, pour faire éclater la vérité sur leur martyre commun oublié et pourtant reconnu aux assises de 2004 et 2005.

    Cette annonce a été faite samedi à Bourg-en-Bresse (Ain) après le film Outreau, l’autre vérité de Serge Garde, pendant le débat animé par Jacques Thomet, auteur du livre Retour à Outreau- Contre-enquête sur une manipulation pédocriminelle (éditions KontreKulture).

    « Nous appelons tous les enfants victimes de viols à Outreau avant les assises de 2004 à nous rejoindre dans notre lutte pour que soit mis au jour publiquement la réalité de notre drame à tous, y compris les mineurs qui n’ont pas été convoqués aux procès malgré les crimes sexuels commis contre eux », ont répété les trois frères.

    C’était la première fois que ces trois enfants de Myriam Badaoui et de Thierry Delay, désormais majeurs, intervenaient ensemble en public. Sur la photo ci-dessous, il manque leur petit frère mineur, D., interné dans un foyer de la DASS jusqu’à sa majorité.

    Les douze enfants reconnus victimes de viols à Outreau avaient été indemnisés par l’Etat à hauteur de 30.000 euros chacun (sauf 10.000 euros pour l’un), contre 250.000 euros à chacun des adultes acquittés, dont trois avaient pourtant avoué leurs forfaits devant la justice.

    E&R

  • Le printemps s'éveille dans la nuit

    photomagic_image.jpg Le printemps s'éveille dans la nuit.jpg

    Photo  EB  - Marseille 26 mars 2013

    Le cerisier du Japon est en bourgeons, prêt à fleurir

  • Manif: tout compte fait, mieux vaut être une racaille !

    sans-titre.png Athenais et Calixte gazés.png

    Athenais et Calixte ont reçu du gaz lacrymogène

    Lire: http://www.bvoltaire.fr/sylvainbanducci/manif-tout-compte-fait-mieux-vaut-etre-une-racaille,16530?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=9f0f610d88-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email

    + VIDEO Emeute de 2005

     

     

  • Il paraît qu'il ne faut pas dire que "la police gaze des enfants"

     

    Selon certains médias et selon Manuel Valls (aujourd'hui à l'Assemblée), cela serait trop connoté.

    Sauf quand c'est Mediapart qui utilise l'expression à propos de l'évacuation d'un camp de Roms :

    "La police gaze des enfants et saccage un camp de roms"

    Forts de cette jurisprudence journalistique, nous continuerons donc à employer cette expression pour dénoncer les dérives infâme de ce régime socialiste.

    Michel Janva

    Le Salon Beige

     

  • Il paraît qu'il ne faut pas dire que "la police gaze des enfants"

    Selon certains médias et selon Manuel Valls (aujourd'hui à l'Assemblée), cela serait trop connoté.

    Sauf quand c'est Mediapart qui utilise l'expression à propos de l'évacuation d'un camp de Roms :

    "La police gaze des enfants et saccage un camp de roms"

    Forts de cette jurisprudence journalistique, nous continuerons donc à employer cette expression pour dénoncer les dérives infâme de ce régime socialiste.

    Michel Janva

    Le Salon Beige