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Blog - Page 1030

  • Les nouvelles cloches de Notre-Dame de Paris ont sonné pour la première fois aujourd'hui

    23/03/13

    NdB: J'y vois un très bon signe pour la France!

     

  • Un pédophile de 47 ans fait du baby-sitting et agresse sexuellement un enfant de 4 ans

    Lyon 3e. Déjà condamné en 2005 dans l’Ain pour des attouchements sur un petit garçon, il a répondu à une annonce pour garder deux enfants. Il a été écroué jeudi soir.

    Elle croyait ses enfants en sécurité, ils étaient en réalité livrés à un homme au passé de pédophile, qui a agressé sexuellement son plus jeune fils, âgé de quatre ans.

    Au cours de l’été dernier, une mère de famille lyonnaise est à la recherche d’une personne susceptible de garder ses deux fils quatre jours par semaine. Elle devra aller les chercher à l’école, les reconduire dans l’appartement familial et s’occuper d’eux jusqu’à son retour. La mère publie une annonce sur un site spécialisé dans le baby-sitting et ne tarde pas à recevoir une candidature. C’est un homme, âgé de 47 ans, qui se prévaut de compétences pour s’occuper de jeunes enfants et qui semble tout à fait recommandable. Il s’agit en réalité d’un prédateur, condamné en 2005 dans l’Ain pour des attouchements sur un jeune garçon, qui est à l’affût d’une opportunité. Il prend ses fonctions en août dernier et tout semble bien se passer.

    Mais le mois dernier, l’aîné des garçons, âgé de 10 ans se confie à sa mère. « Quand on était en voiture, il m’a demandé s’il pouvait mettre sa main dans ma culotte, je n’ai pas voulu », dit en substance ne petit garçon. Sa mère dépose aussitôt plainte et les enquêteurs de la BDPF (brigade de protection de la famille) ne tardent pas à découvrir que le cadet de la famille, âgé de 4 ans, a subi des attouchements à plusieurs reprises.

    Placé en garde à vue mercredi, l’homme a nié les faits, avant d’être présenté jeudi au parquet, qui a ouvert une information judiciaire. Mis en examen, le quadragénaire a été écroué jeudi soir. 

    Le Progrès - 23/03/13

  • Occupez-vous du bien être des Français…pas des « communautés » ! Par Bruno Gollnisch

     22 mars 2013

    français

    Bruno Gollnisch sera bien évidement présent ce dimanche 24 mars à la « Manif pour tous », comme des milliers d’électeurs, de sympathisants du Front National, des dizaines de cadres et d’élus du Mouvement de Marine Le Pen, pour ce nouveau rassemblement à Paris contre le mariage, l’adoption, la PMA, la GPA pour les couples homosexuels. A cette occasion, Bruno donne rendez-vous à nos amis 80 avenue de la Grande Armée, devant la brasserie Le congrès à 14 H. 

    Un projet adopté par la commission des lois du Sénat a relevé mercredi le secrétaire général adjoint du FN Nicolas Bay, « grâce » au vote favorable de deux sénateurs UMP, Christophe-André Frassa et Christian Cointat…

    Une loi Taubira, d’essence communautariste, comme l’était déjà la précédente portant son nom en mai 2001, qui reconnaissait la traite négrière et l’esclavage comme crimes contre l’humanité. Loi de repentance invitant les Français à battre leur coulpe. Il s’agit cette fois sous couvert de progressisme, de flatter un lobby gay qu’il ne faut pas confondre avec la majorité des homosexuels, hostile à cette loi et revendiquant avant tout le droit à l’indifférence. Le PS, nous l’avions souligné, s’inspire des conseils du club de réflexion Terra Nova qui l’a invité à répondre plus avant aux souhaits des « minorités » et des « communautés organisées », sexuelles, religieuses, ethniques ; un gage de sa survie électorale au fur et à mesure que le peuple français « traditionnel » qu’il a trompé se détourne de lui.

    Reflexe communautariste qui imprègne plus largement les partis du Système dont les représentants étaient donc, comme chaque année, nombreux à se presser le 19 mars au traditionnel dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France ( Crif), qui prétend lui aussi, bien faussement d’ailleurs, parler au nom de l’ensemble des juifs de France.

    Son président en partance, Richard Prasquier, sans originalité mais en toute logique, a exhorté la classe politique à défendre l’Etat d’Israël, a loué le « sionisme », dénoncé « l’antisémitisme » et « l’islamisme radical » devant une dizaine de ministres en exercice. Manuel Valls, Laurent Fabius, Vincent Peillon, Christiane Taubira, Pierre Moscovici, Najat Vallaud-Belkacem côtoyaient des dizaines d’anciens ministres, des personnalités comme Simone Veil, Arno Klarsfeld, Michèle Alliot-Marie, Harlem Désir, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé, Anne Sinclair, Jean-Louis Borloo ou encore Patrick Devedjian.

    Le président israélien Shimon Peres avait tenu le même discours devant les parlementaires européens à Strasbourg le 12 mars dernier, M. Prasquier a cependant fustigé la « frilosité » et la « faiblesse » de la France dans son refus d’inscrire le Hezbollah au nombre des organisations terroristes et recommandé de redoubler de fermeté vis-à-vis de Téhéran et de la menace du nucléaire iranien.

    Pour sa première intervention en tant que président de la république, François Hollande a prononcé un discours convenu, peu ou prou ceux des derniers locataires en date de l’Elysée. Il a réaffirmé que la lutte contre l’antisémitisme passe par l’éducation et l’enseignement de la Shoah qui « doit pouvoir être enseignée partout, dans tous les collèges et les lycées de France, dans nos villages, dans nos cités, dans nos banlieues ». Il est clair que cette précision vise les écoles des quartiers pluriels où de nombreux professeurs pratiquent l’autocensure sur un certain nombre de sujets et de périodes pour éviter les conflits

    M. Hollande s’est arrêté aussi sur le cas des « tweets antisémites », expliquant qu’il « ne peut y avoir d’impunité pour les auteurs racistes et antisémites ». Ils « doivent savoir qu’ils seront poursuivis et condamnés pour leurs agissements ». Le chef de l’Etat évoquait ici les derniers développements de l’affaire qui avait éclaté en octobre dernier avec le concours de blagues généré par le hashtag #Unbonjuif sur Twitter. Selon plusieurs associations dites antiracistes, ce hashtag aurait été l’occasion « de toutes sortes de tweets et de retweets ouvertement antisémites ».

    Force est de constater en effet que si humour il y avait ici, il nous est très largement étranger, notions-nous alors. Mais l’association proche du PS, l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), a décidé de surfer médiatiquement sur cette affaire. L’UEJF a annoncé qu’elle attaquait au pénal Twitter et son président Dick Costolo et qu’elle réclamait 38,5 millions d’euros de réparations (!), pour ne pas avoir répondu à la demande de la justice française d’identifier les auteurs de tweets antisémites. Sur les réseaux sociaux, certains avancent que ce refus de la direction de Twitter fait partie intégrante de la philosophie américaine de cette entreprise qui refuse pareillement de donner aux autorités des pays où la liberté d’expression est réprimée, comme en Chine par exemple, les noms des auteurs de tweets professant des opinions dissidentes.

    Le discours de M. Hollande entendait aussi répondre aux propos de Richard Prasquier faisant état d’un récent rapport d’une structure appelée Service de Protection de la Communauté Juive (SPCJ), selon laquelle le nombre d’actes antisémite a augmenté de 58% en 2012 (614 actes antisémites, dont 96 violences contre des individus), et au rapport annuel de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), qui estime que l’intolérance s’installe de manière «préoccupante».

    La CNCDH indique une « augmentation toujours plus marquée de la méfiance à l’égard des musulmans » et « un rejet croissant des étrangers, perçus de plus en plus comme des parasites, voire comme une menace ». Un an après l’équipée sanglante de Mohammed Merah, et en pleine polémique sur le refus du footballeur Karim Benzema de chanter la Marseillaise, 55 % des personnes interrogées estimeraient que « les musulmans forment un groupe à part dans la société » (+ 4 points par rapport à 2011 et + 11 points par rapport à 2009). 69 % des sondés déclareraient aussi qu’ « il y a trop d’immigrés aujourd’hui en France », soit + 10 points par rapport à 2011 et + 22 points par rapport à 2009.

    La Commission établit ainsi un lien entre le résultat de ce sondage et ce qui serait une « une forte augmentation » (+ 23 % en 2012) « des actes et menaces à caractère raciste et antisémite ». 1 539 actes et menaces ont été dénombrés par les services de police et de gendarmerie l’an passé. Mais la CNCDH distingue le « racisme », en « relative stabilité » (+ 2 %) du « racisme anti-musulman » (+ 30 %) et de l’ « antisémitisme » (+ 58 %, pourcentage identique à celui avancé par la SPCJ ). « Cette vraisemblable hausse des actes antisémites restera à confirmer en 2013 », a souligné lors d’une conférence de presse Christine Lazerges, présidente de la CNCDH, faisant état d’ « indicateurs insatisfaisants ».

    S’agissant de l’antisémitisme et du racisme anti-musulman, la CNCDH pointe « l’existence de pics » entre mars et avril, dans la foulée de l’affaire Merah. « Face à une situation économique et sociale extrêmement tendue, ce sont bien les Noirs, les Arabes, les Juifs, les femmes et les homosexuels, qui deviennent les premières victimes de la conjoncture », a réagi le pseudopode socialiste SOS racisme dans un communiqué qui, comme d’habitude, tord la réalité des faits pour la plier au chantage idéologique dont cette officine est coutumière.

    Pas en reste, dans ses propositions le CNCDH appelle les pouvoirs publics « à trouver les moyens pour lutter contre les préjugés », et ce, « dès la crèche et l’école maternelle » ! Ne doutons pas que le ministre Peillon, chantre la « morale laïque », a reçu cinq sur cinq un message qui recoupe ses préoccupations intimes. Mais est-il encore possible d’intensifier encore plus la propagande gouvernementale sur le sujet ? Aussi surprenant que celui puisse paraître, il faut croire que oui…avec les limites évoquées plus haut en ce qui concerne l’enseignement de la tolérance dans les quartiers pluriels qui selon les humanistes au pouvoir sont l’avenir de la France métissée

    Plus justement constate Bruno Gollnisch, et pour évacuer les mauvais fantasmes (intéressés) des politiciens et des structures en question, la violence dont il est fait état ici n’est pas comparable avec le développement du racisme anti-français autrement plus prégnant mais qui n’intéresse pas la caste au pouvoir, et d’une criminalité violente en pleine expansion dans notre pays en voie d’ensauvagement rapide.

    Les menaces et agressions évoquées par le Crif et le CNDCH, et que nous condamnons bien évidemment au-delà même de toute polémique sur leur réalité, s’inscrivent plus largement dans un contexte ou selon les données fournies par Laurent Obertone, 13 000 vols, 2 000 agressions, 200 viols sont commis quotidiennement en France. Selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) « les violences aux personnes ont augmenté de 14 % depuis 2005. Moins de parlotte, d’hypocrisie, de démagogie et de dîners mondains, mais plus d’actions efficaces pour s’attaquer aux problèmes du quotidien, c’est cela qu’attendent les Français.

  • Pour 42% des Autrichiens, les choses n'étaient pas si mauvaises sous Hitler

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    Hitler en 1935

     

    SONDAGE - Les Autrichiens souhaitent un «homme fort» à la tête de leur pays...

    Etrange parfum de nostalgie en Autriche. Trois Autrichiens sur cinq souhaitent qu'un «homme fort» dirige leur pays et 42% pensent que les choses n'étaient pas si mauvaises sous Hitler, à en croire un sondage rendu public par le journal Der Standard.

    Ce sondage de l'institut Market, réalisé à l'occasion du 75e anniversaire, la semaine prochaine, de l'Anschluss (le rattachement de l'Autriche à l'Allemagne en 1938), montre que 61% des personnes interrogées, et surtout les personnes âgées, verraient d'un bon oeil l'accession d'un «homme fort» à la tête du pays.

    Dans un précédent sondage réalisé en 2008, un cinquième seulement des sondés se disaient favorables à «un homme fort qui n'ait pas à se soucier d'un parlement ou d'élections», rappelle le journal. Dans le dernier sondage, 53% pensent que l'Anschluss a été voulu par l'Autriche en 1938 et 46% que l'Autriche en a été la victime. Seuls 15% des sondés estiment que l'Autriche aurait dû résister à cette annexion. Last but not least, 42% des personnes interrogées estiment que «tout n'était pas mauvais sous Hitler», alors que 57% ne voient aucune bonne chose réalisée sous le IIIe Reich.

    Avec Reuters
     
    20 minutes- 08/03/13
  • Avec Cohn-Bendit retour du spectre de la pédophilie

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    Cette fois c'est le Président de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, Andreas Vosskuhle, 50 ans, qui vient de refuser de lire le discours de remise du prix prestigieux Theodor Heuss à Daniel Cohn-Bendit, 68 ans, qui devait célébrer son combat pour la démocratie et les droits fondamentaux le 20 avril à venir. « Le Président ne pouvait pas associer la Cour avec des écrits parlant de la sexualité entre les adultes et les enfants » explique le service de presse.

    Curieusement les élus et financiers ou ancien Président fédéral comme Richard Von Weizsäcker qui forment la Fondation Theodor Heuss ou le nouveau Président fédéral et ancien patron des archives de la Stasi et ancien nominé du prix Theodor Heuss, Joachim Gauck, ne dénoncent pas ouvertement les dires de l'ancien « hippie » vert datant de son ouvrage des années érotiques écrit en 1975, Le Grand bazar, où Daniel Cohn-Bendit évoque : « Il m'était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m'avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ? Mais s'ils insistaient, je les caressais quand même. » http://www.lexpress.fr/actualite/politique/le-remords-de-cohn-bendit_492893.html .

    Fondation. La très sérieuse Theodor Heuss Stiftung du nom du premier président fédéral (1884-1963), symbole sacré de la démocratie et d'une constitution retrouvée pour avoir redonné une virginité à l'Allemagne d'après-guerre, qui « soutient la pédagogie politique et la culture en Europe, est une fondation qui récompense des personnalités politiques depuis 1965 pour leur comportement exemplaire envers la démocratie et pour la défense de l'épanouissement individuel. Le but de la fondation est de mettre en valeur des initiatives et des engagements civiques. Les nominés sont ainsi devenus une preuve temporelle de la démocratie », peut-on lire sur le site. A lire ce contenu et en connaissant la décision du patron de la Cour constitutionnelle fédérale allemande on pourrait rire si le sujet n'était pas aussi grave. Car en Allemagne, même si la loi permettant d'avoir des relations sexuelles avec son animal domestique a été modifiée seulement en 2012 pour protéger les petits animaux, une accusation d'actes pédophiles envers un enfant entraîne traditionnellement la prison et non pas la clémence de la société et de la justice qui se veut exemplaire sur ce terrain. Récemment encore, l'Allemagne a été secouée par des actes pédophiles au sein de l'église allemande ou parmi les écoles religieuses où plusieurs années après les faits, des enfants devenus adultes ont révélé des actes d'attouchements ou de viols subis durant leurs années scolaires. L'Allemagne, très sensible envers ce sujet, punit rapidement, et souvent dans les cas d'accusations d'attouchements sexuels d'un parent envers un enfant par un autre parent, sans laisser le temps à la personne accusée de prendre une bouffée d'air. Dans le cas de Daniel Cohn-Bendit cela fait bien trente-huit ans que l'évocation sexuelle envers les enfants est dans son livre intitulé « Le grand bazar » édité en 1975. Mais la figure de proue de la Révolution 68 a toujours eu curieusement le loisir de prendre des bouffées d'air durant sa carrière politique, sans être réellement inquiété par ses dires et écrits qui relèvent de la pédophilie.

    Fin d'une ère. Die Grünen c'est fini. En 2010 Angela Merkel déclarait officiellement la fin de l'ère de la société multiculturelle car « c'est un échec». En 2013 la décision du président de la plus haute Cour allemande, qui avait cinq ans en 68, peut se traduire par « Die Grünen, c'est un échec ». Même si des voix comme, Gesine Schwan, SPD, la présidente de l'Université Humboldt-Viadrina school of Governance, qui elle aussi reçoit un prix Erich-Fromm-Preis en 2013 pour récompenser son engagement européen, explique que « les vétérans de ces années 69 sont excusables » car « ils ont des biographies explosives». Avec les réformes politiques en Allemagne qui visent à nettoyer la vie politique par l'emploi de nouveaux mots comme « Leitlinien» (lignées directives) ou « Leitkultur» (culture directive) des années 2005 lancés par le président du Bundestag Norbert Lammert, CDU, par les coups de balai récents sur les faux diplômes des divers ministres et élus politiques ou par le sabotage du navire du parti des Pirates, la ligne de mire est aujourd'hui orientée sur la tête de Dany le Rouge. Le nettoyage politique de printemps vient de commencer outre-Rhin et Angela Merkel qui tient la culotte dans son ménage semble bien manier le balai.

    Profil bas. Cette fois loin de montrer de l'ironie et ne tentant pas de répéter ses dires sur la question avec fierté comme il l'a fait dans l'émission culte Apostrophes en 1982 http://www.youtube.com/watch?v=cSNie6V2nyw vous savez la sexualité d'un gosse c'est absolument fantastique. Avec les gosses qui avaient entre quatre et six ans, vous savez quand une petite fille de cinq ans commence à vous déshabiller, c'est fantastique car c'est un jeu érotico-maniaque. », le Révolutionnaire des années 68-69 cherche, aujourd'hui, à s'excuser pour un contenu qu'il considère avec le recul « pas intelligent et qu'il ne faut pas lire en dehors du contexte de l'époque » où le mouvement des Verts réclamait la fin de la scolarisation obligatoire et les relations sexuelles avec des mineurs http://www.youtube.com/watch?v=0gTLWCm20q0.

    Fondation douteuse. La Theodor-Stiftung apparaît loin de son image sérieuse avec sa volonté de toujours remettre le prix à l'auteur du Grand bazar. Tout semble pécher entre ses murs. Des membres de la fondation ont été des individus actifs du SED du temps de la RDA, le parti politique qui avait organisé le système stasi et des répressions politiques comme on peut le voir dans le film La vie des autres de Florian Henckel von Donnersmarck. C'est le cas de Martina Weyrauch, qui a fait ses études de droit en RDA, qui a travaillé pour le SED sans pour autant avoir été, selon les dires, directement active pour la Stasi, qui aujourd'hui se trouve dans le curatorium de la fondation Theodor-Stiftung en étant aussi la directrice de la Centrale du Land de Brandenburg pour la formation politique basé à Potsdam et qui compte comme curateur le Ministre Président du Land de Brandenbourg, Matthias Platzeck, SPD, le successeur de Manfred Stolpe accusé sans succès d'avoir travaillé pour la Stasi. Ce dernier étant invité encore cette année à tenir une conférence dans les murs de la fondation dirigée par Martina Weyrauch, on peut doublement s'interroger  sur la qualité de la Theodor Stiftung à remettre un prix sur les valeurs de la démocratie. Surtout que les étudiants en droit de la RDA ont été ceux qui subirent les programmes d'épuration lancés par la RFA.

    La Voix de la Russie - 22/03/13

  • Le harcèlement des femmes dans les rues "françaises"

    Un reportage édifiant quoique en-dessous de la réalité (ethnique)

    Contre-info.com

  • Sarkozy mis en examen dans l'affaire Bettencourt...

    Pour l’instant, Sarközy échappe encore à la justice du peuple pour tous les coups qu’il a porté à la France, à son identité, à son indépendance, à sa santé, etc.

    Contre-info.com - 23/03/13

  • Marche à la mémoire de Yassin à la cité Félix-Piat à Marseille

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    Plus de 300 personnes ont défilé silencieusement à la mémoire de Yassin Aibeche, 19 ans, tué d'une balle dans la soirée du 14 février dernier devant une supérette de l'avenue Roger-Salengro de Marseille (XVe arrondissement). Le coup de feu mortel avait été tiré par un policier en état d'ébriété avec son arme de service alors qu'il ne se travaillait pas ce soir là. Mis en examen pour "homicide volontaire", le fonctionnaire a été écroué.

    Derrière une banderolle réclamant "Justrice pour Yassin", la famille du jeune homme, ses amis, ses proches et de nombreux habitants de la cité Félix-Pyat se sont rassemblés en début d'après-midi sur le terrain de football en synthétioque de la cité, avant de se rendre en cortège devant les lieux du drame puis de revenir vers la cité. Submergée par l'émotion, Fatiha Aibeche, la mère de Yassin, a remercié toutes les personnes venues soutenir sa famille dans l'épreuve, mais n'a pas pu s'exprimer plus longtemps, la voix étranglée par les sanglots. Yamina Bencheni, soeur d'un jeune garçon tué en 1980 par un CRS lors d'un contrôle, a ensuite pris la parole au nom du "Collectif des familles de crimes racistes et de violences policières", exhortant les jeunes à s'"organiser" pour sortir de la spirale négative, martelant que "ceux qui meurent sont ceux qui n'ont pas eu la chance de trouver un emploi, un logement".

    Me Dany Cohen, avocat de la famille Aibeche, qui a rappelé "défendre les droits des populations immigrées depuis plus de 40 ans", a également pris la parole pour faire le point sur l'enquête et indiquer qu'il entendait continuer à se battre pour empêcher "que les jeunes issus de l'immigration se laissent agresser".

    Trois élus étaient présents mais n'ont pas pris la parole : Nora Preciozi, conseillère municipale (UMP) déléguée à l'action familiale, Samia Ghali, sénatrice-maire (PS) des XVe et XVIe arrondissements et Patrick Mennucci, député-maire (PS) des Ier et VIIe arrondissements. Le rassemblement a pris fin dans le calme et le recueillement vers 15h30.

    La Provence - 23/03/13

  • Marseille: l'hôpital Saint-Joseph braqué, une caissière légèrement blessée

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    Un homme seul armé et encagoulé a fait irruption ce matin dans le hall d'accueil de l'hôpital Saint-Joseph de Marseille (8e), pour se faire remettre le contenu de la caisse centrale. Le malfaiteur a pu prendre la fuite avec son butin.

    Aucun coup de feu n'a été tiré mais l'une des caissières a été légèrement blessée par le braqueur qui l'a tirée par les cheveux. Avec sa collègue, elle ont été conduites aux urgences de l'hôpital. La sûreté départementale est saisie de l'enquête.

    "Les employées très choquées"

    Le directeur de garde de l'établissement, Stéphane Campagnola a détaillé la façon dont le braquage s'est produit : "C'est un service qui n'est normalement pas accessible au public. Le malfaiteur a profité qu'une salariée ouvre la porte pour s'engouffrer avec elle. Il se trouvait alors avec trois femmes, dont l'une a été bousculée.

    "Il s'est fait remettre quelques milliers d'euros et a pris la fuite. Les employées sont très choquées. Nous avions déjà renforcé la vidéoprotection. On va regarder ce qu'il y a désormais lieu de faire pour renforcer la sécurité."

    La Provence

    23/03/13

     

  • Dénaturation du mariage: l'Etat-PS redoute une mobilisation massive

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    22/03/2013 – 12h00
    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) - L’interdiction de manifester le dimanche 24 mars sur les Champs‑Elysées annoncée cette semaine par la Préfecture ne fait que renforcer la détermination des défenseurs de la famille et du droit de l’enfant.

     

    Comme l’a rappelé le Printemps français, « ce qui est en jeu, c’est notre identité et l’avenir de nos libertés, de nos traditions, de la culture de nos provinces et de notre pays. La France est une famille de familles. Le pays de nos parents est l’héritage de nos enfants. Nous voulons le leur transmettre, intégralement, de père en fils et de mère en fille comme toutes les générations qui nous ont précédées. Nous sommes tous nés d’un père et d’une mère ». C’est sur ce leitmotiv que des milliers de cars au départ des villes de toutes les régions de France, ainsi que des trains, se rendront à nouveau sur Paris ce dimanche 24 mars pour la manifestation d’opposition au projet de loi Taubira (voir ici la liste des transports disponibles). Le trajet de la Manif pour tous a bien été modifié, puisqu’elle partira de l’avenue de la Grande Armée et non sur les Champs‑Elysées comme prévu initialement.

    Le mouvement Printemps français a d’ores et déjà annoncé qu’il comptait installer une « opposition irréductible » au projet Taubira et qu’il ne se contenterait pas « de danser et lancer des ballons. »

    Ce mouvement qui se définit comme « spontané et citoyen » fait partie du collectif de la Manif pour tous. Il appelle dès dimanche à occuper le pavé tant que le projet de loi ne sera pas retiré. Sur le constat des précédentes manifestations, du mépris à l’égard des opposants à la loi dont a fait preuve le gouvernement, le Printemps Français fait appel « aux Français indignés et libres pour entrer officiellement en résistance ». Cette résistance se fera essentiellement par une occupation du lieu d’arrivée de la manifestation où un campement de fortune sera organisé. Il est donc conseillé aux manifestants de venir avec des vêtements chauds, un sac de couchage, une tente, de la nourriture, une lampe de poche… mais aussi un masque blanc signe du déni de démocratie dont les opposants à la loi Taubira sont victimes.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Shimon Pérès invite le pape François en Israël

     

     

    Par Anita Sanchez-Bourdin pour Zenit

     

    Le président d’Israël, Shimon Peres, a adressé un message au nouveau pape François et il l’a invité à se rendre en Terre Sainte. « Le Pape nouvellement élu représente dévotion, amour de Dieu, amour de la paix, une sainte modestie, et un nouveau continent qui maintenant s’éveille. Que le Seigneur bénisse le nouveau Pape ». Il ajoute : « Je voudrais inviter le Pape nouvellement élu à se rendre en visite en Terre Sainte. Il sera un hôte très bienvenu ».

     

     

    Le président israélien a en effet félicité le nouveau pape lors d’une rencontre à sa résidence, avec les responsables de l’Église catholique polonaise.

     

    « Nous avons besoin plus que jamais, a dit le Prix Nobel de la Paix, d’un leadership spirituel et pas seulement politique. Là où des responsables politiques peuvent diviser, les responsables religieux peuvent unir. Unir autour d’une vision, unir autour de valeurs, unir autour d’une foi qui peut faire de ce monde un monde où vivre mieux. »

     

    « Je voudrais saisir cette occasion pour inviter le pape nouvellement élu à visiter la Terre Sainte dès que possible », a insisté le président israélien : « Il sera un hôte très bienvenu en Terre Sainte comme un homme inspiré qui peut contribuer à l’effort d’apporter la paix dans cette région tourmentée. Tout le monde ici, sans exception, sans différence de religion ou de nationalité, accueillera le Pape nouvellement élu ».

     

    À propos des relations avec le Vatican, le président Peres a ajouté : « Les relations entre le Vatican et le Peuple juif sont maintenant à leur meilleur niveau depuis 2000 ans, et j’espère qu’elles vont grandir dans leur contenu et en profondeur. »

     

    Le président Peres a ensuite rendu hommage à Benoît XVI en déclarant: « J’ai beaucoup de respect pour le pape émérite, Benoît, j’ai trouvé en lui un ami très cher de notre peuple, un penseur profond et il a réellement tellement contribué au rapprochement historique, et pas seulement, des relations entre l’Église catholique et le Peuple juif. »

     

    Puis il dit sa confiance dans le pape élu : « Je suis sûr que le nouveau pape, François, continuera. En tant que Berger de notre époque, il nous rappellera à tous que le Seigneur aime les pauvres et pas seulement les puissants (sic), que le Seigneur nous appelle à la paix et non à la haine, que le Seigneur nous appelle à nous servir mutuellement, à construire un monde où les peuples vivent ensemble sans haine. »

    Crif  - 22/03/13

     

  • De Mohamed Merah et de la démesure

    Mort au service de la nation?

    Primo, le 11 mars, le ministre de la Défense, dont les combats en cours au nord du Mali n’obèrent apparemment pas trop l’emploi du temps, s’est rendu sur la base de Francazal pour rendre un hommage posthume à Imad Ibn Ziaten. Rappelons que ce Marocain, citoyen français et adjudant parachutiste au 1er RTP*, avait été assassiné il y a un an par son coreligionnaire Merah. La mémoire de ce militaire malchanceux méritait-elle une prise d’arme, la remise de la Légion d’honneur puis l’inauguration d’une plaque commémorative plantée sur la voie publique, à Toulouse, avec la mention « Mort au service de la nation » ? Mention inédite car, dans un réflexe de pudeur résiduelle peut-on supposer, Jean-Yves Le Drian et les autorités militaires semblent avoir renâclé devant le souhait de la famille du défunt et de l’association Imad Ibn Ziaten (parrainée par Djamel Debbouze) qui, lit-on dans la presse, voulaient benoîtement et sans lésiner du « Mort pour la France ». Et pourquoi pas un cénotaphe au rond-point des Champs-Elysées ?

    Or, feu Imad Ibn Ziaten n’est pas un héros mort pour sa patrie d’adoption ; il est la victime d’un crime relevant formellement du droit commun. Le défunt avait rendez-vous avec la mort, non en allant combattre l’ennemi, mais… en allant vendre son scooter ! Les morts de Verdun n’ont pas reçu la Légion d’honneur pour la seule raison d’être morts au feu, c’est pourtant au combat et sur ordre de la République qu’ils ont été tués, et non pas pour répondre à une petite annonce pour une vente de particulier à particulier. Le Moloch guerrier est moins gourmand à l’heure actuelle, aussi ne dirai-je rien contre l’allocation systématique de la Légion d’honneur à titre posthume à nos soldats tués au Mali : eux sont bien tombés pour la France ou, si l’on préfère, au service de la nation…

    Antisémitisme ?

    Secundo, le 17 mars, c’est rien moins que François Hollande lui-même qui s’est rendu sur place derechef, à l’occasion d’une « marche blanche », pour se livrer à l’un de ces discours pour lesquels le « président normal » est si peu doué (mais a-t-il quelque don que ce soit ?) : élocution hésitante, borniolitudes de circonstance et lieux communs politiquement corrects. Le président de la République a ainsi déclaré, sans risque de voir décommander son invitation au dîner du CRIF** : « Ce qui a frappé c’est un mal terrible, il a un nom et il doit être prononcé : l’antisémitisme », comme si c’était là l’expression d’un vieux mal français illustré par une émission de fantaisie haineuse sur Edouard Drumont (France 2, 19 mars). Seulement, il y a un hic, car si Mohamed Merah a aussi tué quatre Juifs dont trois enfants, ce n’est pas par antisémitisme. Arabe issu d’une famille d’expression arabe, Mohamed Merah était lui-même indéniablement un Sémite… La nuance n’est nullement une manière de jouer sur les mots car, comme Isaac Kadmi-Cohen l’a montré dans son livre Nomades (1929), malgré des destinées divergentes, Arabes et Juifs ont une profonde identité commune au sein de ce qui a pour nom sémitisme. Au surplus, car je ne doute pas de l’ignorance de M. Hollande de ce qui précède, il ne s’agissait pas non plus, dans ce crime multiple, à proprement parler d’antijudaïsme. Les assassinats commis par le djiadiste dans l’école Ozar Hatorah ont eu à l’évidence pour mobile une cause étrangère à notre pays ; ces assassinats ont eu pour mobile les passions et haines proches-orientales que suscite le conflit israélo-palestinien au sein de deux communautés sémites. D’ailleurs les malheureux enfants tués par le criminel fanatique n’ont-ils pas été enterrés en terre d’Israël ?

    Avec le chaos ethnique, MM. Hollande et consorts importent des passions qui nous sont étrangères à tout point de vue. Les Français historiques, que l’on charge de tous les péchés d’Israël, selon l’expression consacrée, n’y sont pour rien, si ce n’est de laisser faire une immigration incontrôlée. Aussi la démesure officielle donnée à ces tragédies est-elle tout particulièrement déplacée et ne plaide pas pour la qualité intellectuelle de nos dirigeants.

    Eric Delcroix
    19/03/2013

    Notes :

    (*) Régiment du train parachutiste.
    (**) Conseil représentatif des institutions juives de France.;

    Correspondance Polémia – 23/03/2013

  • USA Géorgie - Un bébé tué par balle dans sa poussette par deux jeunes ados

    Reportage CNN

    La police de l'Etat américain de Géorgie recherche activement deux suspects après le meurtre d'un bébé de 13 mois que sa mère promenait en poussette. Un des auteurs pourrait ne pas avoir plus de 10 ans.

    La mère a été blessée à la jambe et a reçu des soins à l'hôpital. Elle dit avoir été agressée par deux jeunes adolescents, l'un âgé d'environ 13 ans, l'autre de 10 à 12 ans, a précisé le policier.

    Dans une interview accordée à une chaîne de télévision locale, la mère a expliqué que l'agresseur le plus âgé avait menacé de la tuer si elle ne lui donnait pas d'argent. Quand elle lui a répondu qu'elle n'avait pas d'argent sur elle, et qu'elle a passé son bras autour de son bébé, «il lui a tiré une balle en pleine tête», a-t-elle raconté.

    Le porte-parole de la police a déclaré de son côté que le mobile du crime n'avait pas encore été établi avec certitude.

    20minutes  22/03/13

     

  • Les bouddhistes brûlent des mosquées en Birmanie 23/03/13

     

    Les bouddhistes brûlent les mosquées en Birmanie




        Un couvre-feu a été imposé dans une ville du centre de la Birmanie après des émeutes dans lesquelles des mosquées ont été détruites et deux personnes ont été tuées dont un moine bouddhiste, a-t-on appris jeudi de sources policières.

    «Le couvre-feu a été imposé parce que la situation empirait», a déclaré un responsable policier par téléphone. «Nous essayons de contrôler la situation (…) qui n’est pas encore revenue à la normale».

    Un moine et un homme de 26 ans, «qui étaient soignés à l’hôpital pour des brûlures, sont morts», selon un message sur la page Facebook de la police birmane. Des informations confirmées de sources locales.

    «Trois mosquées ont été détruites. Le couvre-feu reste en vigueur de 20h00 à 05h00 du matin», a précisé une source policière à Meiktila, proche de Mandalay.

    Les violences ont, semble-t-il, démarré mercredi après une querelle dans un marché entre un vendeur musulman et des clients, qui a tourné à la bagarre.

    Il était encore trop tôt pour affirmer s’il s’agissait à proprement parler de violences communautaires mais ces incidents interviennent dans un pays où les relations sont devenues extrêmement tendues entre bouddhistes et musulmans ces derniers mois.

    Racisme bouddhiste

    Deux vagues de violences opposant des membres de l’ethnie bouddhiste rakhine et des musulmans apatrides de la minorité des Rohingyas ont fait au moins 180 morts et plus de 115 000 déplacés en 2012, dans l’Etat Rakhine, à l’ouest du pays.

    Les violences, qui ont déclenché un puissant exode de boat-people rohingyas en Asie du sud-est, ont révélé un racisme profondément inscrit dans la société birmane, qui considère dans sa grande majorité le bouddhisme comme partie intégrante de la culture nationale.

    La majorité des Birmans avait été particulièrement choquée par la destruction par les talibans en mars 2001 des bouddhas géants de Bamiyan, en Afghanistan, et par les attentats du 11-Septembre.

    Peu après, en octobre 2001, des affrontements avaient éclaté entre bouddhistes et musulmans à Prome, à une centaine de km au nord de Rangoun.

    En 2003, après un incident à Kyaukse, au centre du pays, des émeutes anti-musulmanes menées notamment par des moines bouddhistes s’étaient étendues aux deux plus grandes villes du pays, Rangoun et Mandalay, faisant une dizaine de morts.

    Mais les tensions sont plus anciennes encore. En État rakhine, elles durent depuis plusieurs décennies. Et en mars 1997, des attaques avaient visé des mosquées dans plusieurs villes du pays après des rumeurs faisant état du viol d’une jeune fille par un musulman.   

    http://www.algerie1.com/international-2/les-bouddhistes-brulent-les-mosquees-en-birmanie/http://www.algerie1.com/international-2/les-bouddhistes-brulent-les-mosquees-en-birmanie/  

    ALTERINFO

     

     

  • Sarkozy, un coup d'arrêt au scénario du retour: la salissure

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    par Sophie Louet

    PARIS (Reuters) - Les ennuis judiciaires de Nicolas Sarkozy bouleversent le scénario du retour auquel travaillaient ses fidèles pour la présidentielle de 2017, libérant singulièrement l'horizon de François Fillon, qui ne s'imposerait toutefois que par défaut.

    Passé le choc de la mise en examen de l'ancien président dans le dossier Bettencourt, la réprobation et l'indignation étaient de mise vendredi à l'UMP mais déjà les coulisses bruissaient de murmures et d'arrière-pensées.

    "C'est un coup dur", soupirait un député sarkozyste, conscient que le canevas qui se tissait insensiblement depuis la rentrée, face à la déclaration d'indépendance de François Fillon, venait de subir un fâcheux accroc.

    "Avant cette mise en examen, Nicolas Sarkozy était en train de terminer son réatterrissage dans la vie politique française avec succès. Après cette mise en examen, quelle qu'en soit l'issue, l'idée qu'il puisse revenir à brève et moyenne échéances apparaît extrêmement compromise", résume le politologue Thomas Guénolé.

    Champion des sympathisants UMP dans le sondages, quasi assuré d'une investiture de fait en 2016, hors de toute primaire ouverte, Nicolas Sarkozy perd un avantage tactique, celui du "recours gaulliste", qu'il instillait dans les médias.

    "C'est Fillon qui doit se frotter les mains....", glisse un des partisans de l'ancien Premier ministre. Quant à Jean-François Copé, qui peine à restaurer son image dans l'opinion, cette péripétie lui permet "d'exister à nouveau".

    SALISSURE

    L'épisode est "fâcheux" pour Nicolas Sarkozy, confirme Gaël Sliman. "Il n'y avait personne à droite pour incarner le recours, ni Fillon, ni Copé, Nicolas Sarkozy apparaissant comme celui qui avait le plus de chances de gagner".

    "Si les sympathisants de droite se mettent à dire, 'on aime toujours autant Nicolas Sarkozy, on lui fait confiance, mais c'est une faiblesse pour celui qui serait éventuellement notre candidat', à ce moment-là, ça peut compliquer son come-back politique", explique le directeur général adjoint de BVA.

    Epargnée par les meurtrissures tenaces du combat fratricide entre Jean-François Copé et François Fillon pour la présidence de l'UMP, l'image de "recours pur et parfait" de Nicolas Sarkozy est à son tour entachée.

    "Quand Henri Guaino parle de salissure, il a raison. C'est une salissure très persistante d'avoir été mis en examen. Souvenez-vous de Dominique Strauss-Kahn qui avait des ambitions possibles à Paris aux municipales de 2001 ; affaire de la Mnef : plusieurs années de placard", souligne Thomas Guénolé.

    Au vu du calendrier judiciaire qui s'ouvre, entre recours et possible renvoi devant un tribunal correctionnel pour "abus de faiblesse" (délit passible de trois ans de prison), de longs mois de procédure attendent Nicolas Sarkozy, qui n'aura désormais plus la pleine maîtrise de son agenda.

    Sans compter, déplore un soutien, les autres affaires dans lesquelles son nom est cité - sondages de l'Elysée, volet financier de l'affaire Karachi, financement libyen de la campagne de 2007, notamment.

    Le président de l'UMP, Jean-François Copé, et le sarkozyste "historique" Brice Hortefeux, président de l'Association des amis de Nicolas Sarkozy, ont adressé vendredi un message à leurs adhérents pour les assurer de la combativité de leur champion.

    "Il m'a fait part de son fort sentiment d'incompréhension face à cette décision invraisemblable. Il est extrêmement combatif et confiant. Et il est résolu à faire éclater toute la vérité dans cette affaire", écrit Jean-François Copé dans un courriel aux militants.

    "BONNE NOUVELLE POUR FRANÇOIS FILLON"

    Le cercle rapproché de l'ex-président s'est réuni vendredi au domicile du couple Sarkozy-Bruni, Villa Montmorency à Paris. Son avocat, Me Thierry Herzog, l'ex-préfet de police Michel Gaudin, désormais directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, mais aussi son ancien conseiller en communication, Franck Louvrier, étaient au nombre des visiteurs.

    "Voici qu'une mise en examen bien à propos voudrait remettre en cause" la "confiance grandissante" envers Nicolas Sarkozy, écrit Brice Hortefeux sur son site internet.

    Guillaume Peltier, chef de file du courant sarkozyste "La Droite forte" à l'UMP, est plus explicite sur Twitter : "Plus Nicolas Sarkozy est populaire, plus certains tentent de l'empêcher par un troisième tour judiciaire".

    Ou encore le député Lionnel Luca : "La seule chance pour François Hollande en 2017, c'est d'éliminer par tous les moyens la possibilité d'une candidature du seul adversaire qui peut le battre!"

    "J'espère que la vérité triomphera", a déclaré jeudi soir François Fillon, en déplacement à Moscou, tout en réaffirmant que sa candidature à la présidentielle de 2017 était "assez probable".

    "Ne le cachons pas, la mise en examen de Nicolas Sarkozy est une bonne nouvelle pour François Fillon car dans une confrontation Sarkozy-Fillon, soyons lucides, c'est Sarkozy qui gagne", relève Thomas Guénolé.

    "Pour autant, devenir chef de file dans ces conditions, ce n'est même pas une victoire à la Pyrrhus, c'est une défaite repeinte en victoire", ajoute-t-il. "C'est problématique comme façon d'entrer en scène".

    "Ni préséance, ni hiérarchie" dans la compétition à droite, avait prévenu François Fillon. Dans le cas de figure, l'ex-Premier ministre prend la pole position.

    Avec Marine Pennetier, édité par Gilles Trequesser

    Yahoo! Actu 22/03/13 

  • Réaction de Marine Le Pen à la mise en examen de Nicolas Sarkozy

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    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Marine Le Pen prend acte de la mise en examen de Nicolas Sarkozy dans le cadre de l’affaire Bettencourt.

    S’ils étaient avérés, les faits qui motivent l’enquête du juge Gentil seraient particulièrement graves, puisqu’il s’agirait d’un abus de faiblesse sur une femme âgée et diminuée, dans le cadre du financement illégal d’une campagne électorale.

    Toujours présumé innocent, Nicolas Sarkozy ne peut en revanche en aucun cas rester membre du Conseil constitutionnel, sa situation judiciaire l’empêchant aujourd’hui d’exercer cette fonction avec l’impartialité et la neutralité requises.

    Après un quinquennat marqué par d’innombrables affaires et un climat totalement contraire à la République irréprochable qu’il avait pourtant promise, Nicolas Sarkozy opère, via cette affaire judiciaire, un retour dans la vie publique certainement assez différent de celui qu’il s’était imaginé.

    22/03/13

  • Le pape François a l'intention d'établir un dialogue avec le monde islamique et les athées

     

     
    22.03.2013, 19:51, heure de Moscou
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    Франциск папа римский Франциск I площадь Святого Петра Ватикан интронизация

     
    Photo : EPA

    Le pape François a annoncé vendredi son intention de prendre des mesures pour renforcer la coopération interreligieuse.

    « Il est important de s'engager activement dans le dialogue entre les différentes religions. Tout d'abord, avec l'Islam. J'ai apprécié la présence de nombreux représentants laïques et religieux du monde islamique lors d'une messe commémorant le début de mon pontificat », a déclaré le nouveau primat de l'Église catholique romaine.

    Selon le nouveau pontife, « à l’heure actuelle, il n’est pas moins important d’établir des contacts avec le monde athée ».

    La Voix de la Russie

  • Quelques échos de « la France d’après »

     

    Un petit coup d’oeil à trois extrémités de notre doux pays, pour observer l’actualité locale.

    Dans la belle Alsace : une émeute a lieu à Wittelsheim dans la nuit de jeudi à vendredi. « Un groupe de jeunes » a brûlé des voitures puis caillassé les pompiers venus sur place. Se déplaçant, ils sont ensuite allés sur un pont et ont « jeté des pavés et des pierres » sur une route très fréquentée. Les policiers ont dû couper la circulation puis appeler des renforts pour « pacifier la zone ». Aucune arrestation cette nuit-là.
    Les raisons de la colère des « jeunes » ? Cinq de leurs congénères avaient été interpellés quelques jours plus tôt, pour une histoire de viol collectif sur une fille de moins de 15 ans…. (source)

    En Flandres, la boulangerie de la place de Béthune à Lille existe depuis 500 ans. La semaine prochaine, Myriam et Alain Sieuw arrêtent. C’est un kebab qui prend le relais. (source)

    A Avignon, a lieu un procès avec des jeunes immigrés. Les plus malchanceux d’entre eux vont s’en tirer avec quelques mois de prison, qu’ils ne feront probablement pas.
    « Le 7 janvier 2009, Serge Juillard, qui rentrait chez lui a été ralenti par un embouteillage dû à la neige. Au niveau de la Barbière, des jeunes de la cité s’amusaient à lancer sur les voitures des boules de neige « farcies avec des pierres ». Après avoir entendu un choc, M. Juillard est sorti constater les dégâts. Il a alors été victime d’une agression sauvage. Une dizaine de jeunes l’ont insulté, fait chuter au sol et l’ont passé à tabac. »
    Il lui ont baissé son pantalon pour mieux le frapper dans les parties génitales. Ils le maintenaient écartelé pour mieux le frapper à coup de barres de fer, en commençant par la tête.
    « J’ai essayé de faire le mort mais vous savez c’est difficile », témoigne avec une vive émotion M. Juillard, aujourd’hui cloué dans un fauteuil roulant. « Ils m’ont bourré la bouche avec de la neige, j’arrivais plus à respirer. » « Aujourd’hui, son quotidien, ce sont des crises et des souffrances terribles qu’il soulage avec de la morphine et le soutien indéfectible de son épouse. »
    Une dizaine de suspects ont été interpellés mais seulement trois ont été renvoyés devant le tribunal pour enfants. (source)
    Notons que la motivation « raciale » – si souvent invoquée contre des Français -, n’a pas été retenue par la « justice » dans cette affaire.
    Pourtant, les mots dont se souvient la victime et qui résonnent encore dans sa tête sont « Finissons cette face de craie »

    A quand la révolution nationaliste ?!

    Contre-info.com

  • Des jeunes jouent au foot sur le toit de l’église pendant la Messe…

     

     
     

    Cela se passe à Laeken, quartier nord de la ville de Bruxelles. Les jeunes dont il est question dans l’article de l’Avenir ne sont pas identifiées mais « ils affichent fièrement leur appartenance ». Seraient-ce des jeunes Flamands opposés aux Wallons, ou des jeunes Wallons opposés aux Flamands ? Je plaisante, vous l’aurez compris… En attendant, arrêtez de sourire et lisez l’enfer que c’est que d’être catholiques à Laeken…

    « Ils cassent des fenêtres, ils urinent contre l’église, ils y entrent et s’appellent sur leurs GSM. Parfois, ils “accueillent” les paroissiens sur le parvis. Ou ils traînent sous le portail et laissent des déchets derrières eux. Il m’est déjà arrivé de devoir tout nettoyer en vitesse avant un enterrement. Ils se moquent vraiment de nous. Ils vont même jusqu’à jouer au football sur le toit de l’église pendant la messe ».

    Le vicaire Yves Lebrun n’en peut plus. Depuis deux ans, son église du Christ Roi à Laeken est la cible des vandales. Ceux-ci appartiennent à la bande de Versailles, bien connue dans ce quartier du nord de Bruxelles. Les jeunes affichent fièrement leur appartenance : ils sont allés jusqu’à taguer le nom de leur bande sur la porte de l’église, comme le père Lebrun l’explique au Nieuwsblad.

    « Mais je ne réagis plus : j’ai peur de la bande de Versailles. Je n’ai pas envie de recevoir des coups ou de voir ma voiture démolie ». Le prêtre estime que la sécurité de ses paroissiens est en jeu. « Ce sont surtout des néerlandophones âgés. Ils n’osent plus se promener en rue le soir. Conséquence : nous organisons notre veillée pascale à 16 h 45 et plus à 20 ou 22 h comme avant », explique Yves Lebrun sur FM Brussel.

    Le vicaire avoue son impuissance. Il a porté plainte à la police à chaque acte de vandalisme et travaille avec les autorités communales et l’ASBL de prévention BRAVVO. « Mais je ne peux tout de même pas installer une barrière autour de l’église ».

    M. le vicaire ne devrait-il pas, justement, installer une barrière ou un mur autour de l’église ? C’est que font les Coptes en Égypte pour tenter de protéger leurs églises et leurs fidèles des agressions. Nous en sommes là en Belgique. Nous pourrions aussi en être tout bientôt là en France.

    Source : avenir.net

    Observatoire de la christianophobie