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Blog - Page 1033

  • Scandale alimentaire : 57 tonnes de mouton prohibé chez Spanghero

     

    Les services vétérinaires français et de la répression des fraudes ont découvert chez Spanghero 57 tonnes de viande de mouton britannique, pourtant interdite d’importation. Cette entreprise de transformation alimentaire était déjà en première ligne lors du scandale de la viande de cheval.

    La viande ovine a été découverte lors des inspections effectuées à Castelnaudary (Aude) chez Spanghero en février, a indiqué le procureur de Carcassonne Antoine Leroy. L’entreprise était alors au cœur du scandale de la viande de cheval dans des lasagnes estampillées au bœuf.

    "On n’a pas le droit d’importer en provenance de l’Europe de la viande obtenue dans ces conditions", a expliqué le procureur Antoine Leroy. Le procédé employé et proscrit consiste à racler l’os pour en obtenir de la viande, mais aussi des nerfs ou du muscle, a-t-il dit.

    Rappel de tous les produits

    "Tous les éléments ont été transmis à la justice, saisie d’une affaire qui s’est étendue à toute l’Europe", a dit le ministre français délégué à l’Agro-alimentaire, Guillaume Garot. "Par mesure de prévention, nous avons enjoint à rappeler tous les produits fabriqués à partir de cette viande", des merguez, de la charcuterie, a-t-il dit.

    Spanghero est déjà accusée d’avoir sciemment revendu plusieurs centaines de tonnes de viande censée être du bœuf, mais contenant du cheval. Le parquet de Carcassonne devait se dessaisir de manière imminente en faveur du pôle de santé publique du parquet de Paris, qui centralise les investigations.

    E&R

  • Nouvelle étape du progrès républicain : les attaques de train

     

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    Petit à petit le pays s’enfonce dans la barbarie.

    Cela s’est passé samedi, mais l’info n’a circulé que tardivement :
    « Un groupe d’une vingtaine de jeunes a attaqué une rame du RER D samedi au niveau de la gare de Grigny-Centre dans l’Essonne, agressant plusieurs passagers, indiquent aujourd’hui des sources concordantes. Samedi vers 22 heures, entre 20 et 30 personnes ont attaqué un RER stationné en gare de Grigny-Centre. Ils sont entrés dans la rame et s’en sont pris aux gens qui s’y trouvaient pour les forcer à leur remettre portables et argent, a expliqué une source policière. » selon le Figaro.
    Evidemment, il n’est pas nécessaire que nous traduisions pour nos lecteurs le terme « jeunes » : tout le monde sait maintenant quelle réalité ethnique se cache derrière ce vocabulaire de la Novlangue.

    Un témoin raconte : « J’étais dans le RER en direction de Corbeil-Essonnes, et à Grigny nous avons entendu beaucoup de bruits et de cris et nous avons vu des gens courir sur les quais ». Après avoir tiré le signal d’alarme, les jeunes gens, qui avaient le visage dissimulé, sont passés de wagon en wagon et ont attaqué « le plus de monde possible », a-t-il expliqué. « Moi j’ai pris un coup de poing et du gaz lacrymogène dans les yeux. Ils ont arraché le sac à main de mon amie et m’ont pris mon argent. C’était rapide, violent et cela avait l’air très organisé », a ajouté ce jeune homme, étudiant à Evry.

    Pendant ce temps, et au grand dam de la gauche bienpensante, le livre de Laurent Obertone, La France Orange mécanique, qui décrit « l’ensauvagement d’une nation », continue de se vendre comme des petits pains.
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    Contre-info.com

  • Djamel le jihadiste français arrêté au Mali n'a jamais été policier - Qui dit vrai ?

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    Rebelles islamistes du Mujao au Mali

    Le jihadiste français de 37 ans arrêté au début du mois au Mali n'a jamais été policier ni gendarme, selon une source au ministère de l'Intérieur, contrairement à ce qu'affirmait sa soeur dans les colonnes du Parisien et sur les ondes de RTL lundi matin.

    Arrêté parmi les rebelles islamistes qui combattent l'armée française dans le massif des Ifoghas au Mali, Djamel, de son prénom, a simplement postulé comme adjoint de sécurité en 2000 et en 2001, mais avait vu sa candidature rejetée, selon le ministère de l'Intérieur. Ce poste, qui ne nécessite aucun diplôme, consiste à assister les forces de l'ordre dans leurs missions de prévention et de répression de la délinquance.

    L'homme, franco-algérien, n'a pas non plus effectué son service militaire, selon le ministère. Il a juste effectué les "trois jours" réglementaires à l'époque, lors de sa naturalisation en 1995.

    Plus tôt dans la matinée, sa soeur avait affirmé au Parisien et à RTL que l'homme avait travaillé durant un an à la brigade anticriminalité de Grenoble, avec l'envie de devenir un jour CRS.

    BFMTV - 18/03/13

    NdB: Pourquoi sa soeur mentirait-elle? On voit mal quel serait son intérêt

  • François le jésuite, premier pape "noir"

    VATICAN – La Compagnie de Jésus a gagné avec l'élection de François son premier pape de l'Histoire. Tout un symbole pour un ordre qui a longtemps entretenu une relation difficile avec Rome, à tel point que leur supérieur général est surnommé "le pape noir".

    Premier pape non européen  (bien que d'origine italienne) depuis mille ans, François est aussi le premier pape jésuite de l'Histoire. "Enfin un pape noir !", se réjouit donc malicieusement le magazine brésilien Veja, en référence au surnom donné au supérieur général des jésuites.

    Fondé par Ignace de Loyola dans la première moitié du XVIe siècle, la Compagnie de Jésus est aujourd'hui le deuxième ordre de l'Eglise, derrière les Franciscains, avec 19.000 membres. Parmi ses sept co-fondateurs se trouve aussi un certain Saint François-Xavier, missionnaire basque canonisé au XVIIe siècle. C'est sans doute, au delà du lien évident à Saint François d'Assise, l'une des références du nom de règne que le pape François s'est choisi.

    Missionnaires et enseignants

    En d'autres temps, l'élection d'un pape jésuite aurait été impensable. La relation avec le Saint-Siège démarre pourtant sous de bons auspices : les "Constitutions" de la Compagnie de Jésus - ensemble de textes élaborés par ses fondateurs pour régir l'organisation - stipulent l'obéissance à la personne du pape, se proposant d'effectuer des missions là où il le jugera utile.

    "Mais du XVIe au XVIIIe siècle, l'expansion de l'ordre ne lui vaut pas que des sympathies", explique à Metro Gérard Chauvin, auteur d'une Petite histoire des jésuites. Sa vocation missionnaire place d'abord l'ordre en concurrence avec d'autres congrégations, notamment les dominicains. C'est le cas en Amérique latine, où le souci qu'apportaient les jésuites aux populations indigènes a laissé un lien affectif qui ne s'est jamais démenti. La qualité réputée de l'enseignement jésuite lui vaut en outre, à son apogée, de compter "plus de 700 collèges dans le monde, qui enseignent à 200.000 élèves", détaille l'historien. "A la cour du roi de France, de Henri III à Louis XIV, tous les confesseurs du souverain sont jésuites".

    L'influence en Asie

    Cette puissance finit par susciter la jalousie des grands de ce monde. Au Vatican, l'ordre est perçu comme une Eglise dans l'Eglise, à tel point que son supérieur général est surnommé le "pape noir", pour son habit sombre et son influence de l'ombre. La discorde atteint son apogée en 1773, quand la Compagnie de Jésus est dissoute par le pape Clément XIV. Elle ne sera rétablie que quarante ans plus tard, à la faveur de la Restauration.

    Aujourd'hui, si l'élection d'un jésuite argentin fait bien entendu le bonheur des Sud-Américains, elle tourne également l'Eglise vers une autre partie du monde : l'Asie. C'est là-bas que Saint François-Xavier a mené ses principales missions d'évangélisation, de l'Inde jusqu'au Japon ; il meurt d'ailleurs aux portes de la Chine. Aujourd'hui, 30% des jésuites vivent sur ce continent. Soucieuse de s'ouvrir aux nouveaux territoires de la chrétienté, l'Eglise semble donc avoir trouvé pour remplacer son pape démissionnaire... un pape des missionnaires.

    Metro - 14/03/13

     
  • Irlande: Dublin va avoir sa grande mosquée - De Saint Patrick à Mahomet...

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    Saint Patrick, évangélisateur de l'Irlande (385-461)

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    18/03/2013 – 08h00
    DUBLIN (NOVOpress Breizh) –
    97 ans après l’insurrection qui devait conduire à l’indépendance de l’Irlande, la municipalité de Dublin vient de valider le projet de construction d’une grande mosquée. Une bonne nouvelle pour la communauté musulmane de la capitale irlandaise, qui compte 40.000 fidèles.

    Selon le site islamique SaphirNews, qui donne l’information, la future mosquée, pourra accueillir 5.000 personnes à la fois. Ce sera la plus grande d’Irlande.

    Piloté par une organisation musulmane répondant au nom de Dublin Welfare Society, le projet comprend, outre la mosquée proprement dite, des salles de conférences, un restaurant une école primaire et un collège. Le coût de l’opération est évalué à 40 millions d’euros, financés par un bailleur de fonds des Émirats arabes unis.

    La mosquée sera construite dans la nouvelle ville de Clongriffin, située au nord de l’agglomération de Dublin. Selon le site d’informations irlandais The Independent, le conseil municipal de la ville a approuvé ce projet « à condition que l’appel à la prière ne soit pas audible en dehors de la zone de la mosquée ».

    Le 24 avril prochain sera commémoré dans toute l’Irlande le quatre-vingt-dix-septième anniversaire de l’insurrection irlandaise contre l’occupation anglaise. C’était à Dublin, un Lundi de Pâques.

     

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Liberté d'expression: Anne-Marie Le Pourhiet ne mâche pas ses mots

    Lire: http://fr.novopress.info/134353/liberte-dexpression-anne-marie-le-pourhiet-ne-mache-pas-ses-mots/

    + 2 VIDEOS

  • Vaucluse: deux retraités condamnés à démolir la maison qu'ils ont bâtie

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    Avignon / Publié le lundi 18 mars 2013 à 08H09
     

    Le couple pourrait se retrouver sans domicile 23 ans après s'être installé sur ce terrain

    Photo Ange Esposito
    Christiane et Jacques Aubepart ont mis seize années à transformer leur cabanon en un petit pavillon confortable où ils comptaient finir leurs jours. Jusqu'à ce que la Justice les rattrape.

    Cette maison qu'ils ont construite, ils ne pensaient avoir à la quitter que "les pieds devants". Jamais Jacques et Christiane Aubepart n'auraient imaginé qu'un tribunal les condamnerait à la démolir de leurs propres mains, surtout pas après tant d'années.

    Pourtant, vendredi dernier, la cour d'appel de Nîmes a confirmé le premier jugement et déclaré la construction illégale. Le couple doit remettre ce terrain classé en zone naturelle - qui leur appartient depuis plus de cinquante ans - dans l'état où il se trouvait auparavant c'est-à-dire avec le seul cabanon de 12 m² qui s'y trouvait à l'origine. S'ils ne s'exécutent pas d'ici septembre, ils devront payer 50 € par jour de retard.

    C'est dans cette masure que le couple et leurs deux filles ont trouvé refuge en 89 "pour ne pas accumuler les dettes" lorsque Jacques, mécanicien, a perdu son travail. Au fil des ans et malgré les deux refus de permis de construire, la famille a édifié un douillet petit nid. Après seize années d'effort, le cabanon initial s'est "fondu" dans un solide pavillon de 50 m² disposant de toutes les commodités et d'une "double isolation phonique et thermique" se rengorge Jacques, pas peu fier du travail accompli.

    Bien qu'illégale, l'habitation est reliée à l'électricité, au téléphone et à internet et ses habitants s'acquittent des taxes foncières et d'habitation. Mais il semblerait que imposition ne vaut pas légalisation. "Ils se sont acharnés. On a vu des maisons se construire tout autour de nous et maintenant nous allons être SDF. On a que 1 200 pour vivre, où peut-on aller ?", se désole le couple qui espérait que le délais de prescription de trois ans les mettrait à l'abri, tant d'années après l'achèvement du bâti.

    Mais l'application d'un enduit sur les façades en 2011 a relancé les poursuites. Demain, ils doivent rencontrer leur avocat pour envisager un recours de la dernière chance mais, la mort dans l'âme, Jacques Aubepart songe déjà au pire : "Sinon, j'irai acheter une masse. Je n'ai pas les moyens de la faire démolir. Cette maison je l'ai montée moi-même, je la tomberai moi-même".

    La Provence

     

     

     

     

  • Mort d'Olivier Metzner. L'autopsie confirme la thèse du suicide par noyade

    Lire: http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/olivier-metzner-suicide-au-large-de-boedic-17-03-2013-2037929.php

    +  4 VIDEOS  et DIAPORAMA

  • Législative partielle dans l’Oise : le PS éjecté dès le 1er tour

     

    Duel UMP-FN au second tour

     

     

    La candidate du Parti socialiste a été éliminée dimanche au premier tour de la législative partielle dans la 2e circonscription de l’Oise, laissant la voie libre au FN pour un duel avec le député sortant de l’UMP Jean-François Mancel, alors que l’exécutif est au plus bas dans les sondages.

    Le PS a réagi dans la soirée, disant « prendre acte de l’élimination de sa candidate », Sylvie Houssin (photo ci-dessus), et a appelé « sans hésitation à faire barrage au Front national » lors du second tour.

    Jean-François Mancel, dont la réélection en juin avait été invalidée par le Conseil constitutionnel, est arrivé largement en tête (40,61% des suffrages) de ce scrutin, boudé par les électeurs, avec 67,21% d’abstention, soit plus de 25 points de plus que lors du premier tour des législatives en juin dernier.

    Le député UMP sortant, élu pour la 1ère fois député de l’Oise en 1978, affrontera au second tour la candidate du FN Florence Italiani (26,58%).

     Arrivée en troisième position (21,37%), Mme Houssin n’a pas obtenu 12,5% des inscrits, nécessaires pour figurer au second tour.

    E&R

  • Essonne: une vingtaine de jeunes attaquent un RER à Grigny et dépouillent les voyageurs

    sans-titre.png RER D.png

     

    Un groupe d'une vingtaine de jeunes aurait attaqué une rame du RER D samedi dernier au niveau de la gare de Grigny-Centre dans l'Essonne, agressant plusieurs passagers.

    • Par Emmanuelle Hunzinger
    • Publié le 18/03/2013 | 18:45, mis à jour le 18/03/2013 | 18:47

     

    Samedi vers 22H00, entre 20 et 30 personnes auraient attaqué un RER stationné en gare de Grigny-Centre. Ils seraient entrés dans la rame et s'en seraient pris aux gens qui s'y trouvaient pour les forcer à leur remettre portables et argent, a expliqué une source policière.

    Une dizaine de personnes auraient été agressées.
    "J'étais dans le RER en direction de Corbeil-Essonnes, et à Grigny nous avons entendu beaucoup de bruits et de cris et nous avons vu des gens courir sur les quais", a déclaré un jeune homme sous couvert d'anonymat. Après avoir tiré le signal d'alarme, les jeunes gens, qui avaient le visage dissimulé, sont passés de wagon en wagon et ont attaqué "le plus de monde possible", a-t-il expliqué.

    "Moi j'ai pris un coup de poing et du gaz lacrymogène dans les yeux. Ils ont arraché le sac à main de mon amie et m'ont pris mon argent. C'était rapide, violent et cela avait l'air très organisé", a ajouté ce jeune homme, étudiant à Evry.

    "Cela ressemble à une attaque de diligence de l'époque moderne", a estimé la source policière. "De cette ampleur, ce n'est pas habituel."

    Le commissariat de Juvisy a été chargé de l'enquête.
     
    France 3
     
    NdB: Pourquoi cet emploi du conditionnel alors que les faits sont avérés?
     
    Au temps des diligences du Far-West, il y avait la peine de mort pour les bandits que l'on branchait haut et court!
     
    Elle était où, la police, pendant cette attaque?  
     

     

     

  • Mali: le jihadiste français arrêté a servi dans la police nationale !

     sans-titre.png Djamel.png

    C’est un témoignage rare, car le sujet est sensible. Sonia*, la sœur d’un jihadiste français arrêté il y a quelques jours dans le nord du Mali, a décidé de sortir du silence. Révoltée par le comportement de son frère, elle confie sa colère et son incompréhension. Djamel, 37 ans, a été arrêté les à la main par l’armée française.

     
     

    Au terme d’un parcours étonnant. Car avant d’aller combattre aux côtés des islamistes du Mali, il a servi dans les rangs de la police nationale.

    Sonia, mère de famille de 30 ans, réside dans la région grenobloise. C’est là que Djamel, de nationalité franco-algérienne, a longtemps vécu avant de partir à Bonneville (Haute-Savoie) où il s’est marié. Puis il est revenu à Grenoble, chez sa mère, lorsqu’il s’est séparé de son épouse avec laquelle il a eu trois garçons, âgés de 6, 4 et 1 an et demi. Aujourd’hui, Sonia a des mots très durs contre son frère : « J’ai honte de ce qu’il a fait, j’ai honte de ce qu’il est devenu. Depuis que j’ai su qu’il était au Mali, ce n’est plus mon frère. Ce n’est plus un membre de la famille. Il a commis le pire du pire : combattre les troupes françaises alors que c’est la qui l’a fait grandir, lui a permis d’étudier, de travailler, d’avoir une femme, des enfants… »

    La sœur du jihadiste s’interrompt puis reprend sur le même ton. « Il a trahi sa famille, il a trahi une nation, il a trahi la . Il s’est aussi trahi lui-même. Car il a demandé à être français. Détenir une carte d’identité française et aller combattre la France, il faut vraiment être culotté. Il a fait du mal à tout le monde. Il faut qu’il paye! » martèle Sonia.

    Le père de Djamel, ouvrier spécialisé dans la chimie, a quitté l’Algérie pour la France en 1977, avant de faire venir sa famille à Grenoble. Djamel, un de ses quatre fils, commence par se distinguer dans le domaine sportif : « Il faisait de l’athlétisme, à un très bon niveau », se rappelle Sonia. A sa majorité, Djamel demande la nationalité française. Qu’il obtient. « A la fin des années 1990, il a travaillé dans la police, témoigne Sonia. A la BAC, la brigade anticriminalité de Grenoble. Il a donc porté l’uniforme français. C’est vrai que cela peut paraître hallucinant, lorsqu’on voit ce qu’il est devenu aujourd’hui. Il voulait devenir CRS. Il est resté environ un an au sein de la BAC. » La sœur s’attarde sur un épisode : « Un jour, lors d’une course-poursuite, Djamel a été confronté à une situation très particulière. Il a été obligé d’arrêter son frère. Ses collègues lui avaient alors lancé quelques piques. C’est une des raisons de son départ. »

    Djamel quitte ensuite Grenoble pour rejoindre un de ses frères en Haute-Savoie, dans la vallée de l’Arve. C’est à Bonneville qu’il rencontre sa future épouse. « A cette époque, Djamel était comme tout le monde. Il aimait faire la fête. Il allait à la mosquée, sans plus. Après son mariage en 2005, il a commencé à se faire pousser la barbe, à avoir de mauvaises fréquentations avec des barbus qui essayaient d’endoctriner des jeunes. Il nous disait qu’il allait juste faire sa prière, que cela n’allait pas plus loin. Ensuite, je ne sais pas comment il a basculé », reconnaît Sonia. Djamel multiplie les emplois : agent de sécurité, maintenance d’engins de chantier, employé dans un abattoir… Il connaît aussi de sérieuses difficultés dans son couple. « Il ne s’occupait plus de ses enfants, de sa femme. Il était devenu salafiste, portait des qamis, les djellabas des salafistes. Il disait parfois qu’il allait rejoindre Al-Qaïda. » Pour ses proches, ce ne sont alors que des paroles en l’air.

    En novembre dernier, alors qu’il vivait chez sa mère à Grenoble, Djamel lui annonce qu’il part travailler à Paris. « Puis, un jour, il a appelé sa femme en lui demandant de lui passer ses enfants. Ma belle-sœur s’est alors aperçue qu’il appelait de l’étranger. Elle a vérifié ensuite le numéro et a vu qu’il téléphonait du Mali! On ne s’attendait vraiment pas à ce qu’il passe à l’acte comme ça », confie Sonia, aussi effondrée qu’en colère.

    « On vit en France, on respecte la laïcité. On ne renie pas notre religion qui fait partie de notre vie. Mais de là à partir comme ça faire le jihad, non! C’est pour cela que j’espère qu’il paiera. Mais avant, il faut qu’il s’explique, vis-à-vis de sa famille, de la France. Qu’il dise pourquoi il a fait ça, comment il en est arrivé là », lance Sonia. Au Mali, Djamel attendrait toujours son extradition. La semaine dernière, son épouse et sa mère ont été longuement entendues par la police.

    * Le prénom a été changé.

    Le Parisien - 18/03/13

    NdB: Son parcours n'est pas si étonnant que ça!

  • Marseille: une sociologue au secours des voyous

    Alors que les règlements de comptes ravagent Marseille sur fond de guerre entre dealers. Alors que l’envoi de 300 CRS, policiers et gendarmes mobiles ne semble pas suffisant pour venir à bout des voyous de la cité phocéenne. Alors que la liste s’allonge des malfrats abattus à la Kalachnikov, au fusil à pompe ou carbonisés dans leur voiture : Khemessi Amari, Aissa Lanane, Hichem Agaba, Rochdi Gharbi… (sans commentaire). Alors que, à juste raison, chacun s’interroge sur la meilleure manière de venir à bout de cette violence, d’autres, à Marseille toujours, tiennent de drôles de discours… Jugez vous–mêmes.

    Interrogée par Le Parisien, une dénommée Claire Duport, sociologue de son état, spécialiste de « l’univers urbain à Marseille », explique à propos du marché du cannabis : « C’est d’abord une économie de la pauvreté. Cet argent sert surtout à remplir les réfrigérateurs, à payer le loyer, et à remplir le cartable du petit frère. » Eh oui, vous ne le saviez pas, nos dealers marseillais sont des Jean Valjean, des Arsène Lupin, des Robin des Bois, des grands cœurs au service de la veuve et de l’orphelin ! Jamais ils n’achètent de voitures de luxe, jamais ils ne tombent dans les bras d’une Zahia à la façon d’un Ribéry ou d’une Ruby comme de vulgaires Berlusconi. Non, ils ne sont soucieux que des leurs, de l’avenir du petit dernier, de la scolarité de la grande sœur, des fins de mois de la maman. Et d’ailleurs, poursuit notre sociologue, les gamins qui leur servent de guetteurs « n’ont pas l’impression d’être dans l’illégalité. Prévenir les dealers que les flics arrivent, c’est aussi normal pour eux que de faire des appels de phares entre conducteurs. Ils ont le sentiment de rendre service. »

    La naïveté, l’imbécillité n’ont décidément pas de limites. Avec des « sociologues » de cette trempe, nos dealers n’ont pas besoin d’avocats…

    Robert Ménard, le 18 mars 2013
     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Chypre ou le racket de l'euro grandeur nature !

    Communiqué de Presse de Florian Philippot, Vice-président du Front National

    A Chypre, pays membre de la zone euro, l’Union européenne et le FMI viennent d’imposer une taxe de 6,75% à 9,9% sur tous les dépôts bancaires, en contrepartie d’un plan de renflouement de 10 milliards d’euros. Ce sont déjà des milliers de Chypriotes qui, dans la panique, sont allés retirer leurs économies des banques.

    Chypre est une illustration dramatique, et grandeur nature, du racket effroyable de l’Union européenne sur les peuples.
    Au nom du dogme de la monnaie unique, des institutions supranationales volent une partie substantielle des économies des habitants, en plus de leur imposer des cures d’austérité insupportables.
    Il faut le dire sans détour : l’euro qui était censé garantir notre épargne au contraire la détruit.

    Ne laissons pas les technocrates et les banquiers de Bruxelles faire de Chypre notre avenir ! Ce sont demain les dépôts des épargnants français qui sont menacés d’une telle spoliation.
    La crise de l’euro n’en est qu’à ses débuts, d’autres coups très violents seront portés aux nations si on poursuit dans cette voie.

    Dès janvier 2014, un grand référendum sur la fin de l’Union européenne par la sortie de la France doit être organisé. Il en va de notre redressement, de notre prospérité et de notre liberté de peuple.

  • L'avocat Olivier Metzner retrouvé mort au large de son île en Bretagne - Il se serait suicidé

    Selon d'autres informations, son corps aurait été retrouvé sur une plage de l'ïle

     

  • Un joueur grec, Giorgos Katidis, banni à vie pour un salut nazi

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    (regarder en mode plein écran)

     

     Un joueur de football du club AEK Athènes FC, Giorgos Katidis s'est distingué samedi 16 mars en célébrant son but victorieux par un salut nazi en plein stade olympique.

     

    Annonçant que le joueur est banni à vie de toute participation à la sélection nationale, la fédération grecque de football a estimé dans un communiqué que "le geste de ce joueur est une provocation grave qui insulte toutes les victimes de la bestialité nazie et porte atteinte au caractère pacifiste et profondément humain du jeu".

     

    "Il pleurait dans les vestiaires"

     

    Le joueur grec de 20 ans a plaidé l'innocence sur twitter : "je ne suis pas un fasciste et je ne l'aurais jamais fait si j'avais su ce que cela voulait dire". Selon France 24, le joueur a déclaré qu'il était simplement en train de montrer son coéquipier Pavlis Michalis dans les tribunes, un geste pour lui dédier son but alors que son coéquipier continue à lutter contre des problèmes de santé.

     

    L’entraîneur du club, l’Allemand Ewald Lienen, cité par France 24, soutient son joueur : "C’est un jeune garçon qui ne s’intéresse pas à la politique. Il a probablement vu un tel salut sur Internet ou ailleurs et a fait ça sans même savoir ce que cela voulait dire", a-t-il déclaré. "Je suis sûr à 100 % que Giorgos ne savait pas ce qu’il faisait. Il pleurait dans les vestiaires en voyant comment les médias ont réagi. Il est jeune et doit être protégé."

     

    L’AEK Athènes a demandé à son joueur de s’expliquer et a annoncé qu’il se prononcerait sur son avenir au cours d’une réunion prévue la semaine prochaine.


     
    Des commémorations ont eu lieu en Grèce ces derniers jours pour le 70e anniversaire du premier train de déportés juifs parti de Thessalonique, dans le nord de la Grèce, pour le camp d'Auschwitz-Birkenau le 15 mars 1943.

     

    Le président du Congrès juif européen Moshe Kantor, présent à Thessalonique ce week-end s'est chargé de traduire l'inquiétude des juifs d'Europe. "En Grèce, l'antisémitisme et le racisme ont trouvé un refuge politique au sein du parti Aube dorée" a-t-il dit à l'agence de presse grecque ANA.

     

    Le chef d'Aube Dorée, parti néo-nazi entré au Parlement grec en juin 2011 (6,92 % des suffrages exprimés et 18 sièges sur 300), Nikos Mihaloliakos, a publiquement nié en mai l'extermination des Juifs par les nazis, et l'existence des camps, chambres à gaz et fours crématoires, sans être inquiété par la justice grecque.

     

    "Il n'y a pas vraiment d'éducation à la Shoah dans les lycées"

     

    Début mars, la chaîne britannique Channel 4 a diffusé des images, reprises par les télévisions grecques, où l'on voit un représentant de ce parti en train de "plaisanter" avec des amis sur le sort à réserver aux sympathisants de gauche et étrangers : "Nous sommes prêts à ouvrir les fours (...) nous en ferons des savons pour laver les voitures et les trottoirs".

     

    Le Premier ministre grec Antonis Samaras a appelé à la tolérance zéro face au racisme en assistant dimanche à une cérémonie de commémoration à la synagogue de la ville. "Les néonazis réapparaissent aujourd'hui dans toute l'Europe, à la faveur de la crise et du taux élevé de chômage", a-t-il dit. "C'est la raison pour laquelle aujourd'hui, plus encore qu'à aucune autre période et en particulier dans les pays qui traversent une crise grave, il est de notre devoir d'être vigilants", a ajouté le chef du gouvernement.

     

    "Beaucoup de problèmes en Grèce viennent du fait qu'en dépit des affirmations officielles, il n'y a pas vraiment d'éducation à la Shoah dans les lycées", a regretté pour sa part la responsable du musée juif de Thessalonique, Erika Perahia Zemour. "Cinq lignes dans les livres d'histoire, et c'est tout".

     

    Le Huffington Post - 18/03/13

  • Pour Najat Vallaud-Belkacem, le mariage forcé concerne aussi les familles catholiques...

    Par  le 17 mar, 2013 @ 21:26

    Alors que, dans « Dimanche + », Anne-Sophie Lapix abordait ce 17 mars sur Canal + la question des deux projets de loi du Gouvernement pour lutter contre « un phénomène qui concerne des familles musulmanes », « le mariage forcé », Najat Vallaud-Belkacem la reprend : « Alors, d’abord, ça ne concerne pas que les sociétés musulmanes, vous voyez. C’est aussi de ce point de vue là qu’il faut, je pense, arrêter les amalgames ou la stigmatisation : le mariage forcé, ça peut concerner des sociétés catholiques. » Le Concile de Trente ? Le catéchisme de l’Église ? Connaît (manifestement) pas. Devant l’air sceptique de la présentatrice, la porte-parole du Gouvernement admet : « C’est vrai que ça concerne, on va le dire autrement, plus souvent des étrangères. » Y a pas à dire, elle est mignonne, mais qu’est-ce qu’elle est… !!!

    Nouvelles de France

  • La pédophilie "n'est pas un problème ecclésial" (Mgr Vingt-Trois)

     

    Dimanche 17 Mars 2013 modifié le Dimanche 17 Mars 2013 - 11:57


    Monseigneur Vingt-Trois a réagi dimanche matin dans le Grand Rendez-vous Europe1 - i>TELE - Le Parisien - Aujourd’hui en France aux propos d'un cardinal sud-africain qui a assimilé les pédophiles à des "malades" plus qu'à des "criminels".

    "Le registre du crime, c'est le registre judiciaire. Le registre de la maladie, c'est le registre des causes", a souligné l'archevêque de Paris. "Le jugement consiste précisément à savoir si les causes expliquent ou atténuent le crime, mais elles ne font pas disparaître le crime", a-t-il poursuivi.

    "C'est un problème très important au sein de la société, et donc au sein de l'Eglise. Mais ce n'est pas un problème ecclésial par lui-même", a estimé Monseigneur Vingt-Trois. .Je rappelle quand même que 80% des actes pédophiles se produisent dans les familles. Ils ne se produisent pas dans l'Eglise"

    C'est une façon un peu facile, parfois, que la société a choisi de désigner des groupes boucs émissaires pour ne pas avoir à expliquer ce qui se passe dans son sein", a conclu Monseigneur Vingt-Trois.     

    Atlas Info.fr