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Blog - Page 1037

  • L’essai nucléaire en Corée du Nord n’a laissé aucune trace

     

     
     
    12.03.2013, 23:09, heure de Moscou
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    кндр полигон ядерное оружие ядерный полигон Пунге-ри северная корея карта Google Earth

     
    © Capture d'ecran : Google Earth

    Les experts du Comité préparatoire de l’Organisation du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires (OTICE) n'ont trouvé aucune trace de matières radioactives sur le sol après l’essai nucléaire souterrain réalisé par la Corée du Nord, a déclaré mardi la représentante du comité Annika Thunborg.

    Les experts n’arrivent pas à identifier quel combustible nucléaire a été utilisé en Corée du Nord pour le troisième essai nucléaire en raison de l'absence des traces de radioactivité, soulignant le fait que la RPDC a empêché la fuite des matières nucléaires après l'explosion.

    La Voix de la Russie

  • Nouveau reportage russe : « Dans 23 ans, la Ve République sera musulmane ! »

     

    La télévision russe revient sur l’islamisation de la France. Extraits tirés de la vidéo ci-dessus :

    « Ici, une personne sur cinq est musulmane. Dans cette course démographique, l’islam a depuis longtemps vaincu l’Europe ! En général, les Français de souche ont un enfant par famille, alors que les musulmans en ont cinq ! »

    « A ce rythme-là et d’après les sociologues, dans 23 ans, la cinquième république sera musulmane, les Français n’auront plus qu’à se résigner ! »

    « En France, il y a 2.200 mosquées, qui occupent une surface de 300.000 m². Selon l’évaluation du conseil des musulmans de France, chaque musulman a besoin d’au moins un mètre carré pour l’accomplissement des rites religieux, ce qui signifie qu’il faudra multiplier par deux le nombre de mosquées. »

    Contre-info.com

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  • France Orange mécanique : le making-of du livre choc qui donne (enfin) à voir la délinquance telle qu’elle est

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    La France orange Mécanique de Laurent Obertone est une plongée au cœur de l’insécurité en France, juxtaposant faits divers et statistiques contestant les données officielles. Comment s'est déroulé ce travail d’enquête remontant aux origines de l'insécurité ?

     

    Publié le 19 janvier 2013

     

     

     

    Votre livre se caractérise aussi par son style incisif et son humour noir pince-sans-rire. La forme provocatrice ne risque-t-elle pas d’occulter le fond et notamment votre impressionnant travail de recherche sur les chiffres ?

     

    Je pense qu'il est important de rendre intelligibles les choses, y compris les pires, sans s'interdire un certain humour. Faute de quoi on termine la lecture -et l'écriture- d'un tel livre sous anxiolytiques. Mon livre s'adresse au grand public qui cherche à comprendre ce qui se passe, pas à d'austères sociaux-bureaucrates.

     

    La France Orange Mécanique est également un réquisitoire contre les grands médias qui, selon vous, minorent la réalité de l’insécurité. Ne craignez-vous pas que votre livre soit boycotté par certains médias ?

     

    À partir du moment où l'information est lancée (par Atlantico puis par RMC), les grands médias suivent le mouvement. Y compris les médias conditionnés par une hostilité réflexe contre tout ce qui piétine leur dogme. S'ils ne peuvent pas tuer un livre par le silence, ils tenteront de le tuer par la calomnie.

     

    Ne craignez-vous pas également d’être l’objet de multiples récupérations notamment de la part de l’extrême droite ?

     

    Non. Soi-disant pour ne pas faire le jeu de l'extrême droite, en réalité pour dicter ses idéologies boiteuses, la gauche impose aux foules la négation du réel. Il est temps de cesser de négocier avec les terroristes intellectuels. Disons les choses et tout ira mieux.

     

    Votre constat est implacable, mais vous apportez assez peu de solutions. Le problème de la violence est-il insoluble ?

     

    Mon livre est avant tout un témoignage, en effet. Ce constat montre que la prison, juste et efficace, est abandonnée au profit de sanctions « alternatives » aberrantes parce qu'elle ne dissuadent pas et ne punissent plus. Ce constat montre que la politique est impuissante, que gouvernants, médias et administrations sont cloisonnés dans le déni idéologique de la réalité, qu'ils mènent une course morale contre la liberté de penser. Si l'on est certain d'avoir raison, pourquoi restreindre cette liberté ? Mon constat montre encore que l'immigration massive ne peut qu'accroître mécaniquement l'ultraviolence, entre autres désagréments. Des mesures simples permettraient de venir à bout de l'insécurité... Personne n'a le courage ni la volonté de les imposer.

     

    Votre livre a été envoyé au ministre de l’Intérieur, Manuel Valls et à la garde des Sceaux Christiane Taubira. Ont-ils réagi ? Comment ? Quelles solutions rapides peuvent-ils apporter ?

     

    13 000 vols, 2 000 agressions, 200 viols, toutes les 24 heures : Manuel Valls a confirmé ces chiffres. Mais que peut-il faire de plus ? Notre police et nos lois sont irréprochables, si la justice persiste à ne pas sanctionner les criminels, par manque de moyens ou par idéologie, rien ne changera. Valls est une marionnette : un ministre de l'Intérieur n'a plus aucun pouvoir sur l'insécurité. Ce n'est pas lui qui peut décider de construire des prisons ou de faire appliquer la loi. Je doute fort que Christiane Taubira, qui fait montre chaque jour de son époustouflant angélisme, ne daigne un jour jeter un œil sur ce livre, pas plus qu'elle n'a jamais daigné regarder la criminalité en face.

     

    La gauche est dans une logique de négation, la droite aussi, parce qu'elle a peur de la gauche. Le gouvernement Hollande n'a que ses bisous et ses rêves à proposer aux honnêtes gens qui sont chaque jour aux prises avec la triste réalité. Et s'ils se plaignent, c'est qu'ils sont des racistes, des salauds. Avec Taubira jamais la justice n'a été si loin de son rôle originel. Les solutions éventuelles la dépassent : elles concernent l'immigration, la construction massive de prisons, la mise au pas de l'administration...

    Avant de penser à des solutions, il faut cesser d'avoir peur des excommunications de la gauche, qui paralysent toute action. Le bon sens, ce fameux sens commun fondateur de nos sociétés, doit reprendre le dessus.

     

    Propos reccueillis par Alexandre Devecchio


    En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/orange-mecanique-making-livre-choc-qui-donne-enfin-voir-delinquance-telle-qu-elle-est-611945.html#7PpptPcdfOPST2gS.99

    ATLANTICO

     

  • Election du pape: les 115 cardinaux sont entrés dans la chapelle Sixtine

    Les 115 cardinaux électeurs vont entrer en conclave, un événement suivi par des millions de fidèles dans le monde, pressés de connaître celui qui succèdera à Benoît XVI, premier pape en sept siècles à avoir démissionné.

    Dès lors, ils sont tenus au plus grand secret et seront coupés du monde.

    Vers 16h30 les cardinaux ont en procession de la chapelle Pauline à la chapelle Sixtine. Derrière des officiants portant des bougies et les maîtres de cérémonie, tout de rouge vêtus et coiffés de leur barette cardinalice, les cardinaux entonnaient la litanie des Saints. Ils se sont inclinés devant le maître-autel avant d'aller s'asseoir à leur place pré-attribuée. Ils ont ensuite prêté serment la main posée sur l'Evangile. Ils ont «juré de garder le secret absolu sur tout ce qui concerne directement ou indirectement les votes et les scrutins pour l'élection du souverain pontife».


    Ce matin, ils ont participé à une messe solennelle en la basilique Saint-Pierre, marquée par un tonnerre d'applaudissements à l'ancien souverain pontife. A leur côté, la centaine de prélats ayant dépassé les 80 ans, qui ne participeront donc pas au conclave. Les applaudissements ont retenti pendant une minute dans la basilique et sur la place, où des milliers de chrétiens ont afflué dès 8 heures.

    «Soutenez-vous les uns les autres avec amour»


    Lors de cette messe retransmise sur grands écrans, le cardinal Sodano a exhorté les cardinaux à «travailler tous ensemble pour construire l'unité de l'Eglise» et à «coopérer avec le successeur de Pierre». Il a cité un épître de Saint-Paul : «Ayez beaucoup d'humilité, de douceur et de patience, soutenez-vous les uns les autres avec amour».

    A l'issue de la cérémonie débute le conclave. Les cardinaux sont confinés à l'isolement. Vêtus de pourpre et coiffé de la barrette cardinalice, ils devront prononcer un serment solennel sous peine d'excommunication. Même les femmes de ménage et les cuisiniers au service des cardinaux doivent faire la promesse de ne rien révéler de ce qu'ils pourraient entendre . Aucun appareil électronique n'est toléré, et les télécommunications seront même brouillées autour de la chapelle Sixtine le temps du conclave.

    Les cardinaux coupés du monde

    «L'isolement des cardinaux est vraiment , avait raconté un des cardinaux ayant participé à la précédente élection, celle de Joseph Ratzinger en 2005, le pape démissionnaire. Télévision, radio et journaux sont inaccessibles. Les téléphones portables sont bloqués. Mais nous pouvons parler. Un anonyme raconte qu'à son arrivée à Casa Santa Marta, la très spartiate résidence des électeurs pendant leurs délibérations, il a pensé que les stores étaient cassés car il n'arrivait pas à les ouvrir. Il a vite découvert qu'ils étaient scellés afin que les pensionnaires soient bien coupés du monde.

    Le cardinal britannique Cormac Murphy-O'Connor, actuel Archevêque émérite de Westminster, a raconté pour sa part comme il avait été frappé par le fait que celui appelé à devenir le chef d'1,2 milliard de catholiques devait être choisi parmi des hommes enfermés dans une pièce. «Je me souviens avoir pensé, en regardant les 114 cardinaux : L'un de nous va sortir d'ici avec une soutane blanche», a-t-il raconté à la BBC.

    «Difficile de faire des pronostics»

    En 2005, un solide favori se dégageait dès avant le conclave, et les cardinaux n'ont pris que deux jours pour choisir Joseph Ratzinger. Cette fois, la tâche s'annonce délicate et si plusieurs prétendants se démarquent, difficile de savoir qui succèdera à Benoît XVI.

    Un point de vue partagé par Mgr Jean-Michel Di Falco, évêque de Gap, sur Europe 1. «Il est assez difficile de faire des pronostics», a-t-il souligné. «Je m'attends à une surprise, à un nom qu'on n'a pas prononcé, à un homme auquel on n'a pas pensé, qui sera l'homme dont l'Eglise a besoin aujourd'hui». Le futur pape devra posséder les qualités requises pour exercer les fonctions de souverain pontife. «J'attends que le pape soit un homme de prière, un homme de gouvernement, de communication, un homme jeune, un homme ouvert sur les différentes cultures, un guide pour la foi», a-t-il énuméré, sans toutefois être trop exigeant : «L'homme qui rassemblera toutes les qualités nécessaires n'existe pas, ou alors il serait Dieu», a-t-il lancé.


    Le déroulement du conclave
    6 heures : les princes de l'Eglise entrent dans les murs du Vatican, pour emménager dans la Maison Sainte Marthe, un ancien hospice où ils habiteront tant qu'ils n'auront pas élu le nouveau chef d'une Eglise d'1,2 milliard de fidèles.

    10 heures : une messe «pro eligendo Pontifice» (pour l'élection du pontife romain) est célébrée dans la basilique Saint-Pierre par le cardinal Angelo Sodano, doyen du Sacré Collège. Des milliers de fidèles qui font en général la queue de bon matin sont censés y assister.

    16h30 : les cardinaux entrent en procession dans la Chapelle Sixtine peinte par Michel-Ange, accompagnés du chant de la litanie des saints. Chacun d'eux doit, la main posée sur l'Evangile, «jurer de garder le secret absolu sur tout ce qui concerne directement ou indirectement les votes et les scrutins pour l'élection du souverain pontife».

    17 heures : selon un rituel immuable et strict, hérité du Moyen-Age, les portes seront ensuite fermées «à clé», d'où l'origine du nom de «Conclave». Totalement coupés du monde, les cardinaux procèdent alors au premier vote.

    Quatre scrutins sont ensuite prévus chaque jour, deux en matinée et deux l'après-midi. Tous les bulletinssont brûlés en fin de journée pour effacer toute trace de scrutins très secrets dont les cardinaux ne peuvent faire état, même longtemps après. Grâce à l'adjonction de fumigènes, s'échappera une fumée noire si aucun pape n'est élu, blanche en cas d'élection.

    Selon les vaticanistes, et sauf surprise, le conclave qui s'ouvre devrait être court, de deux à quatre jours au maximum.


    LeParisien.fr - 12/03/13

  • Marine Le Pen : "La France recule face aux revendications du fondamentalisme islamique"

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  • Belgique - Meurtre de Charlotte Renard à Jumet: Mohamed El Mjaidri, son concubin, placé sous mandat d'arrêt pour meurtre

     

    Belga

    Mohamed El Mjaidri a été placé sous mandat d’arrêt mardi, pour le meurtre de sa compagne Charlotte Renard, tuée de plusieurs coups de couteau dans leur appartement de Jumet. Le suspect aurait agi parce que sa compagne voulait le quitter.

     

    
La victime Charlotte et son concubin qui a été interpellé ce lundi.

    F.VH. et DR

    La victime Charlotte et son concubin qui a été interpellé ce lundi.

    Lundi matin, le corps sans vie de Charlotte Renard (22 ans) était retrouvé dans son appartement de la rue Vandervelde à Jumet. Frappée de plusieurs coups de couteau, la victime a été découverte par sa mère, venue lui rendre visite. Ses deux filles d’un an et demi et de deux ans et demi se trouvaient toujours dans l’appartement, l’une à côté du corps de sa maman, l’autre dans sa chaise haute. Les deux enfants souffraient de déshydratation à l’arrivée des secours.

    Soupçonné du meurtre, Mohamed E. (44 ans) a été intercepté lundi après-midi. Il a avoué les faits et dit avoir agi parce que sa compagne s’apprêtait à le quitter. Connu de la justice pour des vols avec violence et des problèmes de stupéfiants, l’intéressé a été placé sous mandat d’arrêt ce mardi. Selon le voisinage, le couple était coutumier des scènes de ménage. Mohamed E. s’était déjà montré violent à plusieurs reprises.

    La Gazette.be - 05/03/13

     
     
     
     

     

  • Les soldats maliens en grève 11/03/2013

     

    мали военные мали солдаты армия лагерь исламистов авиаудар мали военная операция
     
    Photo : EPA

    Plusieurs dizaines de soldats de l'Armée du Mali ont temporairement abandonné leurs positions, en demandant des primes pour leur participation aux opérations militaires. La campagne de désobéissance a été accompagnée de tirs en l'air réalisés par les soldats mécontents.

    Une telle « grève » des militaires a eu lieu les 7-8 mars dans la région de la ville de Diabali. A l'heure actuelle, la situation dans Diabali s'est normalisée, et plusieurs instigateurs de la rébellion ont été punis.
    À son tour, l'un des participants de la « grève » a déclaré aux journalistes que les exigences des soldats étaient satisfaites et c'est pourquoi ils étaient revenus à leurs postes.

     
    french.ruvr.ru
     
    ALTER INFO.NET
  • Honneur à Bastien Thiry

  • 11 mars 1963 : l’exécution de Jean-Marie Bastien Thiry

     

    11 mars 1963 : l’exécution de Jean-Marie Bastien ThiryIl y a exactement cinquante ans, le lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry rendait son ultime souffle face à un peloton d’exécution. Il avait été condamné à mort le 4 mars précédent par le tribunal militaire de justice pour son implication dans l’attentat du Petit-Clamart commis le 22 août 1962. Bastien-Thiry dirigea le commando qui cribla de balles la DS présidentielle sans faire de blessés. Il avait alors utilisé un journal qu’il avait agité afin d’indiquer à ses hommes le moment où il leur fallait tirer. Durant le procès, il tint tête à ses juges, revendiquant son acte en raison de ce qu’il estimait être une trahison du président de Gaulle envers les français d’Algérie et les harkis ainsi que pour la défense de l’Algérie française. Il sera arrêté en septembre 1962 après son retour d’une mission en Angleterre. Il fut défendu par les avocats Dupuy, Le Coroller, Isorni et Tixier-Vignancourt. Ceux-ci tentèrent de sauver sa tête en se basant sur une expertise médicale démontrant qu’il n’avait pas toute sa raison au moment de l’attentat, mais Bastien-Thiry refusa ce recours et préféra affronter son destin. Ce qu’il fera dignement et courageusement. Il entra ainsi dans l’histoire comme étant le dernier condamné à mort fusillé de l’histoire de France. De Gaulle aurait dit à son sujet : « Celui-là, ils pourront en faire un martyr ». Le général aurait refusé sa grâce essentiellement parce qu’il mit en danger la vie de sa femme Yvonne et parce qu’il n’avait pas pris de risque personnel dans l’opération. Les deux tireurs, Alain de La Tocnaye et Jacques Prévost, également condamnés à mort, furent graciés par le chef de l’État.

    Aîné d’une famille de sept enfants, fils de parents catholiques et d’esprit militaire, il se basa notamment sur la lecture de Saint-Augustin pour justifier sa participation à l’attentat du point de vue de sa foi catholique. De son mariage avec Geneviève Lamirand, il aura trois filles.

    Nouvelles de France

  • Le CRIF écrit-il les discours de François Hollande sur la Palestine ?

     

    Par Alain Gresh, le 27 novembre 2012

    Finalement, le gouvernement français votera en faveur de la reconnaissance de l’État palestinien. À reculons, après avoir longtemps hésité, en demandant mille et une garanties à l’Autorité palestinienne. Il est loin le temps où la France défendait une position originale, appelait à l’autodétermination des Palestiniens et au dialogue avec l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), passant outre aux injonctions des États-Unis et d’Israël.

    L’information de l’hebdomadaire L’Express ne semble pas avoir suscité de fortes réactions. Dans un article du 8 novembre de Marcelo Wesfreid, « Paul Bernard, la plume de l’ombre de François Hollande », on apprend en quoi consiste le travail de Paul Bernard :

    « De l’ouverture de la conférence sociale à l’anniversaire de la Libération de Paris, de la commémoration du Vél’ d’Hiv à celle de la tuerie de Toulouse, du discours sur l’école à celui sur la mutualité française, il est celui qui rédige les premières trames, amendées ensuite par son supérieur hiérarchique, le conseiller politique Aquilino Morelle, puis remodelées par le président lui-même. Paul Bernard planche aussi sur les interviews télévisées et les Légions d’honneur, quand il ne s’occupe pas d’une préface de livre. »

    Qui est donc cet homme de l’ombre ?

    « Les plumes ne ressemblent jamais aux technocrates qui peuplent les cabinets. Et Paul Bernard n’a pas le parcours type d’une plume. En sortant de Normale-Sup, un DEA sur la littérature de l’époque napoléonienne en poche, il entre chez Publicis comme chargé de mission auprès du magnat de la publicité Maurice Lévy. Il participe pour le compte de l’homme d’affaires à la rédaction du rapport commandé en 2006 par le ministre des finances Thierry Breton, sur l’“économie de l’immatériel”, cosigné avec Jean-Pierre Jouyet.

    Parallèlement, il rejoint le Mouvement juif libéral de France (MJLF), un courant du judaïsme progressiste qui s’est notamment illustré en menant campagne pour l’accès des femmes aux fonctions du culte. Le touche-à-tout a récemment intégré le comité directeur du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF). »

    Rappelons que parmi les objectifs du CRIF figure celui de soutenir l’Etat d’Israël. Et que, depuis des années, cette organisation a toujours soutenu toutes les aventures militaires israéliennes, de la guerre contre le Liban en 2006 à celle contre Gaza en 2012.

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    E&R

  • Hollande et Fabius limogent plusieurs diplomates français opposés à la guerre au Mali

     

    Selon TTU (Très Très Urgent, lettre d’information hebdomadaire consacrée aux questions stratégiques et de défense), les divergences de vues sur la gestion de la crise malienne et l’intervention de l’armée française dans ce pays ne sont pas du tout tolérées par François Hollande. Plusieurs hauts fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères qui ont osé critiquer cette politique ont perdu leur poste.

    Il ne s’agit pas seulement de punir ceux qui sont sortis de l’unanimisme, mais surtout, selon TTU, de mettre à l’écart des éléments « hostiles » susceptibles de parasiter la conduite actuelle du dossier malien. Parmi les victimes de cette purge : d’abord la directrice de la DAOI (Direction Afrique-Océan indien), Elizabeth Barbier, puis Laurent Bigot, sous-directeur dans la même structure.

    Aucune explication ni affectation ne sont données aux limogés qui sont sommés par leur hiérarchie de quitter leurs postes « sous 48h ». Laurent Bigot n’était pas d’accord, et l’a dit, avec « la décision française de s’appuyer sur un gouvernement intérimaire contesté et une armée suspectée d’exactions contre les populations civiles, et, dans le même temps, de favoriser le MNLA, en utilisant ses hommes pour mener à bien la bataille des Ifoghas ».

    Fin janvier déjà, l’ambassadeur Jean-Félix Paganon a connu le même sort : remercié sans affectation. Il avait été nommé en juin dernier par Laurent Fabius comme son représentant spécial pour le Sahel. TTU fait savoir que c’est un « ancien » de Bamako qui l’a remplacé dans la coordination interministérielle Mali-Sahel (MMS) au sein de la DAOI.

    Ancien gendarme saint-cyrien, Gilles Huberson avait rejoint en septembre l’ambassade de France à Bamako pour opérer comme officier de liaison entre le Quai d’Orsay et la Défense. Selon des sources diplomatiques, rapportées par TTU, il a fait partie, aux côtés de la DGSE, des discussions initiées à Kidal avec les responsables locaux et les chefs des grandes tribus targuies, dont le très influent chef ifoghas, Intalla ag Attaher.

    TTU s’attend à de nouvelles purges dans les rangs, cette fois, des ambassadeurs en poste dans la région. Par ailleurs, toujours selon TTU, Michel Réveyrand de Menthon, ambassadeur de France au Tchad et ancien ambassadeur au Mali, pourrait remplacer Dov Zerah à la tête de lʼAgence française de développement.

    E&R

  • Mohamed Merah compte ses fans sur Twitter où le racisme anti-blanc explose

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    11/03/2013 – 10h00
    PARIS (NOVOpress) — Mercredi 6 mars 2013, France 3 diffusait un reportage sur Mohamed Merah, la “chance pour la France” qui a mal tourné. À la suite de cette émission, nombreux furent les internautes qui réagirent sur Twitter, s’indignant de la monstruosité du personnage, et appelant à la vigilance sur le danger que représente l’islamisme.

    Il n’en fallait guère plus pour déclencher un véritable lynchage en ligne de la part des islamo-racailles qui considèrent Mohamed Merah comme un des leurs, et sanctionnent toute critique par des insultes racistes en série à l’égard des Blancs, agrémentées de menaces de mort : « j’espère que tu bruleras vif », « (…) j’ai envie de te buter pour les propos que tu tiens sale merde », « sale blanc nique ta mère plus loin », « Vous etes que des blancs vous valez rien » etc…

     

    L’un des internautes pris à partie s’appelle Hervil Legros, militant UMP dans la région d’Arras. Il a décidé de ne pas en rester là puisqu’il porte plainte pour menaces de mort et propos racistes à son encontre.

    Il en est de même envers certains militants de l’UNI (syndicat étudiant de droite proche de l’UMP), où le phénomène s’est reproduit pour les mêmes raisons, mais de la part de ce qui semble être des militants du Front de Gauche cette fois, tels des émissaires de la bonne parole : « Le jour où des mecs te feront la peau ce ne sera que la récolte méritée de la haine que tu sèmes à longueur de tweet… ».

    Rappelons qu’à une question posée par le député Divers Droite Jacques Bompard sur le racisme anti-Blanc, Christiane Taubira, ministre de la Justice, avait tout bonnement botté en touche.

    D’après un récent sondage TNS Sofres datant de septembre 2012, 56% des personnes interrogées pensent qu’un “racisme anti-Blanc” se développe dans les quartiers de nos villes, 82% chez les sympathisants de l’UMP et 90% chez ceux du FN. Ce chiffre descend à 34% chez les sympathisants socialistes, pour lesquels la politique de l’autruche ne semble toutefois pas avoir les résultats escomptés.

    Reste à savoir si les plaintes déposées vont aboutir, ou bien classées sans suite. Quoi qu’il en soit, ces réactions auront eu le mérite de mettre un nouveau coup de projecteur sur deux phénomènes : le premier est cette immigration catastrophique dont les conséquences ne sont pas encore arrivées à maturité, mais dont les prémices ne manquent pas de nous alerter sur l’état de guerre civile larvée à laquelle la France s’expose chaque jour davantage. Le second n’est que la conséquence du premier, à savoir une haine croissante des nouveaux arrivants envers la population autochtone, les Blancs.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Le Japon pleure ses morts dans les décombres

    DIAPORAMA http://www.leparisien.fr/diaporama/en-images-le-japon-pleure-ses-morts-dans-les-decombres-11-03-2013-2632795.php?pic=9#infoBulles1

  • Rectificatif: Raphaella mythomane et fausse mère porteuse

    Samedi dernier, le 9 mars 2013, nous avons publié le témoignage d’une jeune habitante de Calais de 24 ans qui affirmait avoir été mère porteuse en 2011 pour aider un couple de Français ne pouvant plus avoir d’enfant. Après de plus amples vérifications auprès de ses proches, et notamment sa mère que nous avons jointe par téléphone ce lundi après-midi, il s’avère que cette jeune femme, Raphaella, a inventé cette histoire de toutes pièces, dissimulant une situation parentale en réalité très compliquée.

     
     

    Ses deux garçons et une petite fille, née en 2011, auraient en effet été confiés aux services de protection de l’enfance.

     

    «Ma fille est une mythomane qui croit à ses mensonges», nous a dit par téléphone la mère de Raphaella, qui explique avoir, pour cette raison, «coupé les ponts avec [sa] fille depuis avril 2011». «Ma fille ment tellement qu’elle cause énormément de dégâts autour d’elle, sans le vouloir», ajoute sa mère. Et de conclure : «Ma fille déménage tellement souvent que les services sociaux n’arrivent pas à la suivre».

    Usant des possibilités d’Internet pour construire son scenario, Raphaella avait posté une annonce proposant ses pseudo services de mère porteuse, notamment sur le site aufeminin.com. La gestation pour autrui (GPA) étant une pratique illégale en , des annonces de ce type fleurissent sur . Ayant visiblement écumé tous les sites consacrés à la stérilité et à la GPA, Raphaella avait bâti un faux témoignage comportant de très nombreux détails, ce qui a abusé notre vigilance, ainsi que celle d’autres médias lui ayant également donné la parole.

    Notre souci étant d’informer avec exactitude nos lecteurs, nous tenons ici à apporter ces rectifications qui rétablissent la vérité.

     

    LeParisien.fr - 11/03/13

  • Les révélations du passé nazi de l'Orchestre philharmonique de Vienne

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    Le prestigieux Orchestre a dû admettre dimanche soir avoir été dirigé de 1954 à 1968 par un ancien nazi, membre de la SS, la troupe d'élite du dictateur Adolf Hitler, et collaborateur de la Gestapo.

    Le prestigieux Orchestre philharmonique de Vienne, sous le feu de critiques quant à ses réticences jusqu'à présent à faire la lumière sur son passé nazi, a dû lever certains de ses secrets. L'orchestre a admi dimanche soir avoir été dirigé de 1954 à 1968 par un ancien nazi, membre de la SS, la troupe d'élite du dictateur Adolf Hitler, et collaborateur de la Gestapo.

    C'est la révélation la plus spectaculaire de l'enquête menée par des historiens à l'initiative de l'Orchestre philharmonique sur "les pages brunes" de son histoire, de 1938 à 1945. Ces historiens avaient pour mission d'étudier "la politisation de l'orchestre sous le nazisme", "les biographies des musiciens exclus, persécutés et, éventuellement, assassinés pour des raisons racistes et politiques", ainsi que "les archives disponibles sur la nazification et la dénazification".

    Helmut Wobisch, trompettiste et membre du parti nazi

    Oliver Rathkolb, professeur à l'Université de Vienne, a coordonné l'étude, assisté de Fritz Trümpi, auteur en 2011 du livre "Orchestres politisés : les Orchestres philharmoniques de Vienne et de Berlin sous le national-socialisme", et de Bernadette Mayrhofer, qui a étudié les cas d'exclusion et de déportation de musiciens juifs. Ainsi, ces historiens ont révélé qu'un trompettiste de l'orchestre, Helmut Wobisch, membre dès 1933 du Parti nazi NSDAP, alors clandestin, de la SS dès 1938 et collaborateur de la Gestapo, avait été exclu de l'orchestre en 1945, mais réintégré en 1951 avant d'accéder à la présidence de la prestigieuse phalange, dont les musiciens choisissent eux-mêmes leur "patron".

    Et c'est Helmut Wobisch qui remet en 1966 une copie de la plus haute distinction de l'Orchestre philharmonique, l'Anneau d'honneur, au dirigeant nazi Baldur von Schirach, chef des Jeunesses hitlériennes puis Gauleiter (gouverneur) de Vienne (1941-1945), condamné à 20 ans de prison par le Tribunal de Nuremberg, gracié en 1966. Ce dernier l'avait reçu en 1942 mais il lui avait été confisqué après son arrestation en 1945 par les troupes américaines.

    Selon les recherches de Bernadette Mayrhofer et du porte-parole des musiciens de l'orchestre, le violoniste Clemens Hellsberg, six musiciens juifs de l'Orchestre philharmonique avaient été assassinés et dix déportés vers les camps d'extermination nazis. De ceux qui ont réussi à s'exiler, notamment en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, aucun n'est revenu. La proportion de membres du NSDAP au sein de l'orchestre - 60 musiciens sur un total de 123 - était aussi très supérieure à la moyenne au sein de la population (environ 10%). A l'occasion du 75e anniversaire de l'annexion (Anschluss) de l'Autriche par l'Allemagne nazie, le 12 mars, les conclusions de cette enquête historique pourront être lues sur le site internet de l'Orchestre philharmonique de Vienne.

    TF1 - 11/03/13