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Blog - Page 1046

  • Faits d'hiver, par Jacques Aboucaya

     

     

    Il a neigé sur la France. En plein février. Il paraît même que, dans certaines régions, le thermomètre a plongé en dessous de zéro. Nouvelle horrificque, eût dit Rabelais. Les media nous en tympanisent. Ils découvrent que l'hiver, il fait froid. Ce ne sont que congères et chasse-neige, camions de travers sur les chaussées. Pour annoncer de tels cataclysmes, les reporters ont des accents de correspondants de guerre. Une ménagère témoigne devant une caméra, son balai à la main : "Ce matin, quand j'ai voulu faire démarrer la voiture, impossible ! Trente bons centimètres !" Elle en frémit encore. On ne sait comment tout cela tournera. La météo est pessimiste, les commentateurs arborent une mine grave.

    Pour ne rien arranger, une mère de famille est soupçonnée d'avoir trucidé ses enfants. Les images de son pavillon de meulière, dans un quartier calme, tournent en boucle sur les écrans de télévision. Une voisine : "Jamais je n'aurais imaginé cela d'elle, elle me saluait quand nous nous rencontrions, une femme normale, quoi !" On attend avec quelque curiosité celui ou celle qui déclarera avoir toujours pensé que sa voisine était une infanticide en puissance. Mais rien ne vient.

    Pendant ce temps, une sombre crapule alcoolisée jusqu'aux moëlles, au volant d'une voiture volée (un quatre-quatre, bien sûr. Pas une Smart), percute à grande vitesse le véhicule des gendarmes tentant de l'intercepter. Bilan, deux victimes "parmi les forces de l'ordre", selon les termes habituels. Et un troisième fonctionnaire en piètre état. Le conducteur est indemne, son passager aussi. Il n'avait pas son permis de conduire. Il a été placé, ainsi que son complice, en garde à vue.

    Assassin ? Que nenni.  Seulement "chauffard". Les media n'en démordent pas, qui, en d'autres circonstances, ne sont guère familiers de la litote et de l'euphémisme. Pourquoi tant d'indulgence ? Pourquoi ce refus d'appeler un chat un chat ? Si un lecteur de ce blog a la réponse, qu'il nous la donne...

    Et puis, Dieu merci, il y a l'arrivée au PSG du footballeur Beckham. Sa suite dans un hôtel luxueux. Son salaire fabuleux, sa famille qui ne l'est pas moins. Aucun de ses faits et gestes ne nous est épargné. Rien de ce qui le concerne ne doit nous échapper. Superlatifs à la pelle. J'attends en vain un commentateur qui soulignerait l'indécence du règne de l'argent dans le sport devenu spectacle. Et, aspect encore plus déplaisant,        la manière dont les Qatari sont en train de nous coloniser de manière rampante, avec l'aval des autorités qui leur déroulent le tapis rouge. Chut ! Les gens bien élevés se gardent d'aborder de telles questions.

    Pas davantage n'ai-je entendu, dans la bouche ou sous la plume d'un journaliste, l'étonnement (pour le moins !) qu'un obscur sous-ministre soit toujours en poste après avoir commis l'énorme bourde d'annoncer à tort la libération de nos otages. Avec toutes les conséquences qu'on imagine, l'espoir déçu des familles, l'absence de crédibilité d'un gouvernement déconsidéré. Impudence, impunité, sentiment de toute-puissance.

    Il est vrai que l'exemple vient de haut. Du Président, de son Premier ministre. Ils avaient annoncé, sur la dette, sur la croissance, des chiffres surs lesquels il n'était pas question de revenir. Promis, juré. Ils l'affirmaient avec de jolis mouvements de menton - même s'il était clair que ces promesses étaient fallacieuses. Des mensonges purs et simples.

    Voici qu'ils reconnaissent la fausseté de leurs prévisions. Pour présenter à leurs compatriotes des excuses ? Reconnaître qu'ils les avaient trompés - ou, à tout le moins, qu'ils s'étaient trompés ? Pas le moins du monde. Avec les mêmes mouvements de menton. La même arrogance. La même certitude que, quoi qu'ils disent, quoi qu'ils fassent, les moutons qui les ont élus et qu'ils tondent jusqu'à la racine ne leur en tiendront aucune rigueur. A preuve, j'ai vu, de mes yeux vu, des paysans applaudir M. Hollande au Salon de l'agriculture.

    Il n'empêche : les nouvelles sont mauvaises. Un nouvel "épisode neigeux", comme on dit en langage météo, est prévu pour les jours à venir. Autant dire que la fin du monde n'est pas loin.

     

    Jacques Aboucaya

     

  • Aulnay: si une militante voilée peut exercer la médecine, sommes-nous encore en FRANCE ?

    Lire l'article: http://ripostelaique.com/aulnay-si-une-militante-voilee-peut-exercer-la-medecine-sommes-nous-encore-en-france.html

    + PHOTOS

  • Face à la flambée d'insécurité, le maire de Cuxac-d'Aude lance un appel: une jeune femme poignardée chez elle une semaine après une tentative de cambriolage

    sans-titre.png Cuxac d'Aude.png

     

    Il n'hésite pas à parler de "grave agression". Ce fait divers violent, survenu vendredi après-midi, a poussé Jacques Pociello à prendre la parole hier pour alerter les pouvoirs publics de la flambée d'insécurité constatée dans sa commune. Le maire de Cuxac l'affirme : "La situation est devenue intolérable".

     

    "Dispositif de protection de la population"

    Vendredi, donc, peu après 17 h, deux individus encagoulés font irruption au domicile d'une jeune femme. Les intrus sont carrément passés par les toits pour atteindre la terrasse, située au premier étage. A peine arrivés, ils s'en prennent brutalement à l'occupante des lieux : la victime est frappée au visage, puis blessée aux bras avec un couteau. Les agresseurs ont ensuite pris la fuite. "Une semaine auparavant, cette Cuxanaise avait déjà surpris deux hommes qui s'apprêtaient à cambrioler son domicile", indique Jacques Pociello. "Je lui avais recommandé de porter plainte".

    Les violences subies ont-elles été commises par les mêmes personnes ? S'agit-il de représailles suite au dépôt de plainte ? Il est bien sûr encore impossible de répondre à ces questions. Seule certitude : pour le maire, trop, c'est trop. "Il y a quelques jours, c'est une dame qui a été victime d'un vol à l'arraché. A cela s'ajoutent les dégradations de biens privés et publics". Hier, Jacques Pociello a donc tenu à lancer un appel solennel. "Suite à ces multiples actes d'incivilité commis dans le centre du village et à l'agression de cette jeune femme, je demande d'urgence audience à Madame la sous-préfète et à Monsieur le commandant de groupement de la gendarmerie, afin que leurs services respectifs mettent en place un dispositif de protection de la population".

    En attendant, le maire a d'ores et déjà "remobilisé la gendarmerie", hier matin. A l'image sans doute de ses administrés, l'élu espère désormais que son cri d'alarme sera suivi d'effet.

    L'INDEPENDANT - 25/02/13

  • Une drôle de petite grenouille !

    Repérée par un photographe animalier, en Afrique du Sud, cette petite grenouille des sables est en train de devenir une star du net (Plus de 4 millions de vue sur Youtube depuis sa mise en ligne).

    Ce n'est pas son minois, peu attirant il faut bien l'avouer, qui attire les internautes. C'est son inénarrable cri. Un cri sensé éloigner les prédateurs. Ou plutôt un couinement de bébête en caoutchouc. Celle que bébé malaxe dans son bain.

    Midi Libre - 25/02/13

  • Otages: le Boko Haram revendique le rapt des sept Français enlevés au Cameroun

    Publiée le 25 févr. 2013

    Le Boko Haram revendique dans cette video le rapt de la famille française au Cameroun.Le groupe veut la libération de plusieurs islamistes détenus au Nigeria et au Cameroun.Par ailleur,le preneur d'otages menace de tuer les sept Français si les revendications du groupe ne sont pas satisfaites.

  • Angleterre : à 9 ans, il se suicide à cause du racisme antiblanc

     

    Encore sous le choc, la famille de l’enfant de 9 ans rapporte qu’il s’est pendu après avoir subi le racisme de « racailles » d’origine asiatique (NDLR : c’est-à-dire indo-pakistanaise).

    Aaron Dugmore – aujourd’hui connu pour être l’un des plus jeunes Britanniques à s’être donné la mort après avoir été martyrisé – a été retrouvé mort dans sa chambre après des mois de railleries subies à l’école. Les proches d’Aaron racontent qu’un enfant d’origine immigrée l’avait menacé avec un couteau en plastique ; il l’avait prévenu : « La prochaine fois ce sera un vrai (couteau) »

    Bien qu’elle ait signalé les incidents à l’école, où 75% des élèves sont d’origine immigrée, la famille clame que rien n’a jamais été mis en œuvre afin de stopper les violences.

    Kelly-Marie Dugmore, la mère au cœur brisé, est convaincue que les menaces et pressions ont mené leur fils à se donner la mort il y a deux semaines.
    Elle ne peut retenir ses larmes : « Nous ne sommes pas racistes, Aaron s’entendait bien avec ses camarades dans son ancienne école, et savoir qu’il a été martyrisé à cause de la couleur de sa peau me retourne l’estomac! »

    Aaron avait rejoint l’école primaire Erdington Hall de Birmingham en septembre dernier, après que sa famille a emménagé dans le coin.
    Mais Kelly-Marie, 30 ans, et Paul, le beau-père du défunt, avaient remarqué un changement d’attitude dès son premier jour de classe.

    Paul raconte : « Il devenait agressif avec ses frères et sœurs, ce qui ne lui ressemblait pas du tout.
    Enfin il nous avait dit que des camarades asiatiques le maltraitaient à l’école et qu’il devait se cacher, se tenir éloigner d’eux dans la cours de récréation à l’heure du midi.
    Il m’avait raconté qu’un jour un des gosse lui avait dit : "Mon père dit que tous les blancs doivent mourir! »

    Kelly-marie répond : « Il a même été menacé avec un couteau en plastique par un élève. Quand Aaron lui a tenu tête, l’agresseur a répondu : la prochaine fois ce sera un vrai. »

    « J’ai rencontré la directrice plusieurs fois, mais elle m’avait répondu : Personne ne vous a obligé à inscrire votre enfant ici, vous avez fait ce choix. »

    Un porte-parole de l’école Erdington Hall, classée ZEP par le corps d’inspection éducatif, avait pourtant rapporté que Aaron s’était vite intégré. la Police de West Midlands enquête sur les causes de la mort de Aaron.

    Source The Sun, via fdesouche

    Contre-info.com

  • Michel Galabru: autrefois on s'habillait


    Galabru défend la messe en latin et les prêtres... par Le_Salon_Beige

    Michel Galabru, acteur français, est né en 1922

  • “La Russie aux temps postmodernes” par Georges Feltin-Tracol

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    25/02/2013 – 14h00
    MOSCOU (via Europe Maxima) - Penseur néo-eurasiste influencé par les œuvres de René Guénon et de Julius Evola, polyglotte émérite à l’insatiable curiosité, Alexandre Douguine (ci-dessus) incarne pleinement ce que le communiste italien Antonio Gramsci qualifiait d’« intellectuel organique ». L’auteur d’une abondante bibliographie qui va de la géopolitique à l’étude sociologique des musiques contemporaines vient de publier la traduction française de sa Quatrième théorie. Il faut en saluer la parution tant ses écrits demeurent rares et méconnus dans le monde francophone. La sortie de cet essai est un grand événement éditorial !

     

    Lecteur attentif d’Arthur Moeller van den Bruck, de Claude Lévi-Strauss, de Georges Sorel, Alexandre Douguine s’est aussi inspiré des travaux de Martin Heidegger, Francis Fukuyama, Carl Schmitt, Gilles Deleuze ou Guy Debord.

    Pragmatique partant d’un constat accablant, le fondateur du Mouvement international eurasien se demande : « Comment faire de la politique quand il n’y a pas de politique ? Il n’existe qu’une seule solution : refuser les théories politiques classiques, tant vaincues que triomphantes, et faire preuve d’imagination, saisir les réalités du nouveau monde global, déchiffrer correctement les défis du monde postmoderne et créer quelque chose de nouveau, au-delà des affrontements politiques des XIXe et XXesiècles (p. 12). » Prenant par conséquent acte de la victoire de la pensée libérale qu’il appelle « Première théorie » et des échecs du communisme, « Deuxième théorie », et du « fascisme » (au sens très large du mot), « Troisième théorie », Alexandre Douguine esquisse une « Quatrième théorie politique » « non pas comme un travail ou une saga d’auteur, mais comme la direction d’un large spectre d’idées, d’études, d’analyses, de prévisions et de projets. Tout individu pensant dans cette optique peut y apporter quelque chose de soi (p. 13) ».

    Cela fait très longtemps qu’Alexandre Douguine était en quête d’une nouvelle solution politique. Dès 1994, il en exposait les prémices théoriques dans un entretien passé inaperçu paru dans le n° 119 nouvelle série du magazine Le Crapouillot (mai – juin 1994), intitulé « Créer l’Europe des ethnies (pp. 9 – 13) ». Estimant que « le temps de la gauche anti-capitaliste est définitivement passé (art. cit., p. 9) », Douguine prévoyait l’entrée « dans l’ère de la droite anti-capitaliste – donc nationaliste, identitaire, différencialiste et organiciste (art. cit., p. 9) ». Il ajoutait plus loin que « nous sommes en présence de la naissance de la nouvelle idéologie anti-libérale, qui unira, en son sein, trois tendances politiques collectivistes, à savoir : le nationalisme, le socialisme et la démocratie, en opposition à la tendance libérale qui est essentiellement individualiste (art. cit., p. 12) ».

    Contre le libéralisme postmoderne
    Une nouvelle vision du monde s’impose, car le début du XXIe siècle marque l’achèvement de l’ère moderne ainsi que l’obsolescence de ses trois grandes théories mobilisatrices au profit d’une fluidité croissante et d’une mutation majeure de la doctrine libérale elle-même. Ce changement s’opère néanmoins dans un monde saturé d’idées libérales qui, du fait de leur réussite même, engendrent un « post-libéralisme » ou un « libéralisme 2.0 », promoteur d’une « société de marché globale (p. 21) ». C’est parce que « le libéralisme, mettant toujours l’accent sur la minimalisation du politique, a décidé, après sa victoire, de supprimer de façon générale la politique (p. 11) » que « le monde global doit être dirigé seulement par les lois économiques et la morale universelle des “ droits de l’homme ”. Toutes les décisions politiques sont remplacées par des techniques (p. 21) ». Ce « post-libéralisme » commence même à modifier la nature humaine. Douguine désigne donc clairement « le libéralisme et ses métamorphoses (p. 37) » postmodernistes (terme à préférer à celui de « post-moderne ») comme l’ennemi principal à abattre. Émanation des Lumières, « l’individualisme est devenu le sujet normatif à l’échelle de toute l’humanité. Apparaît alors le phénomène de la mondialisation, et le modèle de la société post-industrielle commence à se manifester, l’époque du postmoderne commence. Désormais, le sujet individuel n’apparaît plus comme le résultat d’un choix mais comme une certaine donnée générale obligatoire. La personne est libérée de “l’appartenance”, l’idéologie “des droits de l’homme” devient communément acceptée (du moins – en théorie) et, dans les faits, obligatoire. L’humanité, composée d’individus, tend naturellement vers l’universalité, devient globale et unifiée. Ainsi naît le projet d’État mondial et de “gouvernement mondial” (le globalisme) (p. 20) ». Ses méfaits, réels, insidieux et profonds, dévastent tout autant les milieux naturels pollués que les psychismes. Il relève que « la logique du libéralisme mondial et de la mondialisation nous tire vers l’abîme de la dissolution postmoderniste dans la virtualité. Notre jeunesse a déjà un pied dans cet abîme : les codes du globalisme libéral s’introduisent de plus en plus efficacement au niveau de l’inconscient, dans les habitudes, la publicité, le glamour, les technologies, les modèles de réseau. La perte de l’identité, non seulement nationale ou culturelle mais aussi sexuelle et bientôt humaine, est désormais chose commune. Et les défenseurs des droits de l’homme, sans remarquer la tragédie de peuples entiers sacrifiés selon les plans cruels du “nouvel ordre mondial”, hurleront demain à la violation des droits des cyborgs ou des clones (p. 54) ». L’égalitarisme prôné par le « libéralisme 2.0 » est l’ultime réductionnisme de l’Occident globalitaire anomique.

    Ce dispositif total, néo-totalitaire, de nivellement général bénéficie d’un redoutable modèle attractif : les États-Unis d’Amérique. Fille de la Modernité et matrice d’un postmodernisme « ultra-moderne », « l’Amérique prétend désormais à une diffusion universelle d’un code unitaire, qui pénètre dans la vie des peuples et des États par des milliers de voies différentes – comme le réseau global – à travers la technologie, l’économie de marché, le modèle politique de la démocratie libérale, les systèmes d’information, les clichés de la culture de masse, l’établissement du contrôle stratégique direct des Américains et de leurs satellites sur les processus géopolitiques (p. 47) ».

    Pour lire le texte dans son intégralité

    Crédit photo : DR

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

     

  • Les armes à l'uranium appauvri : un crime contre l'humanité

    Par Vincent Reynouard

    Dans l’ indifférence générale, des armes terribles sont aujourd’hui produites et utilisées par les plus grandes armées du monde : les armes à l’uranium appauvri.

    Il ne s’agit pas de bombes atomiques mais de balles et d’obus capables de traverser aisément les blindages traditionnels. L’ennui est que la radioactivité de l’uranium appauvri que l’on trouve dans les éclats transforment les champs de bataille en zones contaminées. D’où les horribles conséquences pour les populations civiles (cancer, malformations congénitales).

    Dans ce DVD, Vincent Reynouard dévoile cet immense crime contre l’Humanité.

    E&R

  • Le cardinal Barbarin, primat des Gaules, prie à la grande mosquée de Lyon - VIDEO

     

    Le site du diocèse de Lyon n’en parle pas. La presse l’évoque : le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, a prié jeudi à la Grande mosquée de Lyon pour la libération de la famille de sept otages français détenue au Cameroun. Allah exaucera-t-il plus les prières que Notre-Seigneur ?

    Kamel Kabtane, Recteur de la Grande Mosquée de Lyon, communique sur ce sujet :

    PB

    « Le cardinal Barbarin, primat des Gaules, s’est rendu le jeudi 21 février 2013 à la Grande Mosquée de Lyon au moment de la prière de l’après-midi (Asr) afin de prier avec la communauté musulmane pour la libération des 7 otages français, dont 4 enfants, originaires du département du Rhône.

    C’est en présence d’une assistance nombreuse qu’une cérémonie de recueillement et de prière a été organisée. Après la psalmodie du Coran, le Recteur de la Mosquée, Kamel KABTANE, a pris la parole pour appeler la communauté à élever des prières pour une libération rapide de nos compatriotes, et dire son inquiétude face à ces incertitudes qui ont plané toute la journée. Le cardinal s’est dit très ému après cette rencontre fraternelle organisée par la Mosquée de Lyon dans l’enceinte même de la salle de prière et il a prié avec eux.

    La cérémonie a été clôturée par l’imam de la Grande Mosquée de Lyon qui, après des invocations, a invité l’assistance a élevé des prières pour le retour rapide des membres de cette famille auprès des leurs sains et saufs, mais également pour la paix et la fraternité entre les hommes et pour que cesse ces guerres injustes qui touchent des populations innocentes. »

    Sur Saphir news, vous pouvez voir une vidéo de cet événement. (A voir !)

    Ce n’est pas une première : comme l’avait déjà rapporté Perepiscopus, le cardinal Barbarin avait fait lire le Coran à la fin d’une messe et, une autre fois, il avait prononcé la chahâda, soit la profession de foi de l’islam.

    RIPOSTE CATHOLIQUE

     

  • Depardieu a exécuté lezghinka avec le président tchétchène

     

     
    25.02.2013, 20:58, heure de Moscou
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    Photo : RIA Novosti

    Gérard Depardieu, qui a obtenu la citoyenneté russe au début du janvier dernier, est devenu le citoyen d'honneur de la République tchétchène, a déclaré le chef de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov sur sa page d'Instagram.

    L'acteur était heureux de voir les ensembles de chants et de danses, qui se sont produits lors d'un dîner de gala dans la capitale tchétchène, Grozny. Pendant l'exécution de lezghinka, Depardieu ne pouvait pas rester assis et s’est livré à cette danse traditionnelle sous les applaudissements de l'auditoire.

  • Grenoble: Hugo, 11 ans, obligé de fuir son collège après deux violentes agressions

     

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    Hugo, 11 ans, a le sentiment d’être victime d’une double peine. Ce jeune Grenoblois, très violemment frappé dans son collège, a été contraint de quitter l’établissement alors que son agresseur, lui, continue à y être scolarisé. Scandalisés, les parents d’Hugo ont décidé de porter plainte contre le proviseur.

     
     

    En septembre, Hugo, élève de 6e du collège Stendhal de Grenoble (Isère), est agressé par un camarade de classe âgé de 12 ans. « Il m’avait prévenu : Je vais te taper, tu vas voir qui est le plus fort. Je t’attends à la sortie. J’étais allé voir la conseillère principale d’éducation. Elle m’avait dit qu’elle placerait des surveillants devant le collège. Mais il n’y avait personne lorsque j’ai été frappé », raconte Hugo.

    Une exclusion… mais assortie du sursis

    Ses parents signalent les faits à la police. De son côté, la direction du collège affirme qu’elle ne peut rien faire, l’incident s’étant produit à l’extérieur. Le 25 janvier, Hugo est la cible du même agresseur. A l’intérieur du collège cette fois. « Avec ses mains, il m’a serré au niveau de la trachée-artère. Il m’étranglait, je ne pouvais plus respirer. Je me suis évanoui. Il m’a donné des coups de poing et jeté dans les escaliers. J’aurais pu mourir », relate, encore traumatisé, le garçon. Le médecin qui l’a examiné conclut ainsi son rapport : « Traumatisme crânien avec perte de connaissance suite à une tentative de strangulation suivie d’une chute dans les escaliers. »

    L’enfant se voit délivrer une incapacité totale de travail de dix jours, prolongée jusqu’au 22 février. Ses parents portent plainte. Ils attendent une sanction exemplaire de l’Education nationale contre l’agresseur. Or, le 18 février, le conseil de discipline prononce à son encontre « une exclusion définitive » mais « avec sursis ». Cet élève reste dans l’établissement mais change juste de classe. « Il n’a même pas eu une heure de colle pour des faits aussi graves. C’est scandaleux », clame Véronique, la mère d’Hugo.

    Hors de question pour l’enfant de revenir au collège avec le risque de recroiser son agresseur. Ses parents décident donc, contraints et forcés, de le changer d’établissement. Hugo est écœuré : « J’ai dû partir alors que c’est moi qui me suis fait agresser. Je trouve cela injuste.»

    « Si, aujourd’hui, on inculque à nos enfants que l’on peut faire ce que l’on veut, sans être sanctionné, mais dans quelle société vit-on? » s’insurge son père. Les parents d’Hugo ont décidé de porter plainte contre le proviseur pour « manquement à la sécurité » et « mise en danger de la vie d’autrui ».

    Du côté du rectorat, on regrette le départ d’Hugo, mais on justifie l’absence d’exclusion contre son agresseur : « Nous sommes dans le domaine de l’accompagnement de mineurs. Il convient de donner au jeune agresseur une chance pour le futur et qu’ayant pris conscience de ce qui s’était passé il ne renouvelle pas ce genre d’exaction », explique le directeur de cabinet du recteur.

     

    Le Parisien - 25/02/13

    NdB: Maintenant ce sont des "Chances Pour le Futur"!

  • Enfants adoptés: à 14 ans, il viole sa soeur de 10 ans qui tombe enceinte...

    Le parquet d’Avignon doit ouvrir demain une information judiciaire pour un viol entre enfants adoptés commis en Ardèche, dans un village proche de Valence (Drôme).

    L’enfant mis en cause est suspecté d’avoir abusé de sa sœur, autiste et âgée d’environ 10 ans selon nos informations recueillies auprès du parquet d’Avignon. Le garçon en aurait seulement 4 de plus. Tous deux sont originaires de Madagascar, et ont été adoptés par une famille ardéchoise.

    La victime présumée est tombée enceinte : elle a été contrainte à un avortement thérapeutique. Les tests ADN ont identifié le jeune garçon comme étant le père, et il a été placé en garde à vue.

    Le pôle de l’instruction d’Avignon est saisi de l’enquête, compétent pour les affaires criminelles du ressort de l’Ardèche.

     

    par J.G. le 21/02/2013 à 21:04
     
    ledauphine.com
  • Une commission d'enquête sur la mort d'Arafat Jaradat

    sans-titre.png Arafat  Jarabat.png

    Arafat Shaheen Jaradat, 30 ans, père de deux enfants, est mort samedi dans la prison de Megiddo dans le nord d’Israël, d’un arrêt car­diaque selon les auto­rités israé­liennes. C’est le sixième mort enre­gistré dans cette prison.

    S’agissant d’un homme jeune, en bonne santé et en garde à vue depuis son arres­tation le 18 février, sa mort est plus que sus­pecte. Accusé d’appartenance au Fatah et de par­ti­ci­pation à la résis­tance popu­laire, il avait été arrêté à la suite de heurts avec les colons hyper vio­lents de Kyriat Arba près d’Hébron.

    Transféré en Israël après son arres­tation, en vio­lation de la 4ème convention de Genève, il y était interrogé par le Shin Beth dans les condi­tions qu’on imagine.

    L’AFPS dénonce avec force la vio­lence ins­ti­tu­tion­na­lisée de la poli­tique car­cérale des auto­rités israé­liennes dans le but de briser la résis­tance de toute une société. Elle s’associe à la demande d’une Com­mission d’enquête inter­na­tionale pour faire la lumière sur les condi­tions de cette mort. Le gou­ver­nement français, alerté depuis long­temps sur les condi­tions d’enfermement des pri­son­niers poli­tiques pales­ti­niens, doit fer­mement appuyer cette exigence.

    Il doit sans attendre tirer, comme il l’a fait pour d’autres pays, toutes les consé­quences de ces vio­la­tions sys­té­ma­tiques des droits de l’homme et des Conven­tions inter­na­tio­nales par les auto­rités israéliennes.

    Aujourd’hui est un jour de deuil et de révolte dans les prisons où 3000 pri­son­niers com­mencent une grève de la faim. Nous sommes à leurs côtés. Il faut lever le voile sur les condi­tions d’arrestation et de détention des pri­son­niers. Le mur du silence doit être brisé.

    Nous appelons à ren­forcer la cam­pagne de par­rainage des pri­son­niers palestiniens.

    La résistance ne sera pas brisée par la répression !

    Bureau national AFPS

    Paris le 24 février 2013

    http://www.france-palestine.org/Une-commission-d-enquete-sur-la

    ALTERINFO. NET

  • Sondage: l'Europe, on n'y croit plus !

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    C’est un sondage qui fera certainement mal au cœur à tous ceux qui défendent encore ardemment l’idée européenne. Alors que la économique s’accroît et que les plans d’austérité se succèdent dans les 27 pays de l’UE, les Français n’ont jamais été aussi désenchantés vis-à-vis de l’institution bruxelloise.

     

    Ils sont seulement 38% à considérer la construction européenne comme une source d’espoir, selon une exclusive BVA réalisée pour l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris*). Alors qu’ils étaient 50% fin 2011 et même 61% en 2003!

    Qui connaît son ?

    Une dégringolade qui touche surtout les catégories les plus modestes. Car une fracture nette se dessine entre les « gagnants » de la construction européenne (cadres, seniors, urbains, hauts revenus…) et ceux qui se considèrent comme les « perdants » (ouvriers, employés aux revenus modestes, ruraux). L’Europe, qui se voulait protectrice face aux dangers de la mondialisation, est désormais vécue comme une entité anxiogène. D’ailleurs, les Français s’accordent massivement — ils sont 75%! — pour considérer que l’UE a été inefficace ces dernières années. Un constat qui peut paraître sévère au vu des plans successifs d’aide pour sauver la Grèce de la faillite ou des instruments de régulation mis en place comme le mécanisme d’union bancaire.

    Incapable de se mettre d’accord pour aider la France engagée contre les jihadistes au Mali, l’Europe n’est guère incarnée au niveau politique. Qui connaît son président, le Belge Herman Van Rompuy? Ou celle qui est censée incarner la politique étrangère de l’Union, la Britannique Catherine Ashton? Evidemment, cela n’aide pas…

    Sondage réalisé les 14 et 15 février 2013 auprès de 1069 personnes pour l’Iris, en collaboration avec notre journal.

    Le Parisien  

  • Décès d'un prisonnier palestinien: Israël est accusé de l'avoir torturé à mort

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    Le ministre palestinien des Prisonniers a affirmé, dimanche, que le détenu palestinien mort samedi dans une prison israélienne est décédé à la suite de tortures. Une accusation qu'il fonde sur l'autopsie du prisonnier, à laquelle un médecin palestinien a assisté.

    Le détenu palestinien décédé samedi dans une prison israélienne est mort à la suite de "tortures", a affirmé dimanche le ministre palestinien des Prisonniers, Issa Qaraqaë, après l'autopsie à laquelle a participé un médecin palestinien. Les résultats de l'autopsie d'Arafat Jaradat, 30 ans, "prouve qu'Israël l'a assassiné", a déclaré M. Qaraqaë lors d'une conférence de presse à Ramallah, en Cisjordanie. Au même moment, 3000 détenus palestiniens observaient une journée de grève de la faim pour protester contre la mort d'Arafat Jaradat.

    L'autopsie a montré des fractures sur tout le corps et des contusions au visage de la victime, résultant de tortures, a précisé M. Qaraqaë, en citant le docteur palestinien qui a pris part à l'expertise, ajoutant que la condition cardiaque d'Arafat Jaradat était bonne.

    Les autorités israéliennes ont attribué son décès "probablement" à une crise cardiaque. Selon le Shin Bet, le service de la sécurité intérieure israélien, qui l'interrogeait pendant sa détention, le jeune homme a été "victime d'un malaise" et est décédé samedi après le déjeuner dans la prison de Megiddo (nord d'Israël).

    Arafat Jaradat, originaire d'un village de la région d'Hébron (sud de la Cisjordanie), avait été arrêté le 18 février pour être interrogé par le Shin Bet à la suite de heurts près de la colonie de Kiryat Arba, à proximité d'Hébron, au cours desquels un Israélien avait été blessé le 18 novembre 2012. Il doit être enterré lundi près d'Hébron.

  • Valence: quatre étudiants de 21 à 24 ans sauvagement agressés

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    Les coups portés ont été d’une rare et d’une extrême brutalité. Un déchaînement de violence commis par deux jeunes hommes âgés d’une vingtaine d’années, et qui a fait quatre victimes. Quatre étudiants de l’École régionale des Beaux-arts de Valence, qui ont été sérieusement blessés jeudi en début d’après-midi.

    Il est 13 heures quand les quatre étudiants, un jeune homme âgé de 21 ans et trois jeunes femmes de 21, 22 et 24 ans, patientent à l’arrêt de la rue Georges-Bizet dans le quartier Fontbarlettes, avant de prendre leur bus.

    Les quatre jeunes gens sont rapidement abordés par deux individus qui leur demandent des cigarettes. C’est à partir de là, que le cauchemar des quatre étudiants va débuter.

    De 20 à 45 jours d’ITT

    Manifestement sans raison, les deux agresseurs vont s’acharner sur le jeune homme. Ils lui portent de violents coups de poing et de pied. Des coups qui ne cessent de pleuvoir alors que leur victime s’effondre au sol.

    Une de ses camarades, qui s’écarte de la “scène” pour tenter de prévenir la police, est rattrapée par les cheveux et est également rouée de coups.

    Les deux autres sont à leur tour violemment frappées alors qu’elles veulent porter secours au jeune homme à terre.

    Ces deux jeunes filles sont par ailleurs dépouillées de leur téléphone portable.

    L’arrivée d’un bus, dans lequel les quatre étudiants vont trouver refuge, va enfin mettre un terme à ce déchaînement de violence. Même si des menaces sont encore proférées à leur encontre.

    Les quatre victimes ont été prises en charge par le centre hospitalier de Valence. Le jeune homme s’est vu délivrer 45 jours d’incapacité totale de travail, l’étudiante qui a tenté d’alerter les secours a 30 jours d’ITT et les deux autres, 20 jours d’ITT.

    Depuis jeudi après-midi, les policiers valentinois, qui ont ouvert une enquête pour “vols avec violences en réunion” multiplient leurs investigations pour identifier ces deux jeunes agresseurs.

     

    par Thomas ZIMMERMANN le 23/02/2013 à 06:02
     
     
    ledauphine.com