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Blog - Page 1129

  • Les socialistes vont faire rembourser l'avortement volontaire à 100%

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    28/09/2012 – 17h40
    PARIS (NOVOpress) –
    Comme François Hollande l’avait promis durant la campagne présidentielle 2012, les interruptions volontaires de grossesse (IVG) seront bientôt prises en charge à 100 % par l’assurance maladie, alors que les soins nécessaires à la vie sont de moins en moins bien remboursés. Cette mesure devrait figurer dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale, présenté lundi. Actuellement, un avortement volontaire est remboursé à 70 ou 80 % par l’assurance maladie. Le coût des IVG représentant 70 millions d’euros pour les contribuables.


    Le Planning familial veut que les socialistes aillent plus loin en dotant tous les centres hospitaliers d’un centre d’avortement. Ces initiatives vont banaliser encore plus l’avortement industriel dans l’Hexagone : 240 000 par an, tandis que les IVG sont en hausse chez les femmes de moins de 25 ans (15 000 sont pratiqués chaque année sur des mineures). Il y a dix ans, c’est une autre socialiste, Martine Aubry, qui avait rallongé le délai légal de mise à mort de l’enfant à naître de dix à douze semaines et supprimé l’autorisation parentale pour les mineures.

    Avortement, mariage et adoption homosexuels… les amis de François Hollande n’aiment décidément pas la famille.

     

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Immigration - Des habitants d'une cité des quartiers nord font la loi à Marseille !

     

    Lire: http://www.europe1.fr/Faits-divers/Marseille-ils-delogent-des-Roms-1255111/

     

    NdB: Depuis quand un Rom vaut-il moins qu'un Maghrébin ?

     

     

     

     

  • Allemagne : enquête préliminaire contre un ancien garde d’Auschwitz vivant aux Etats-Unis

     

    L'entrée du camp d'Auschwitz-Birkenau.
    L'entrée du camp d'Auschwitz-Birkenau.
    DR
    Par RFI

    La justice allemande a annoncé, mardi 25 septembre 2012, l'ouverture d'une enquête préliminaire contre Johann Breyer, un homme de 87 ans vivant aux Etats-Unis. Il est soupçonné d’avoir participé à la mort de 344 000 juifs en 1944 dans le camp de concentration et d'extermination nazi d'Auschwitz, où il était garde.

     

    Avec notre correspondant à Berlin, Pascal Thibaut

    « Je n’ai tué personne, je n’ai violé personne, je n’ai rien fait de mal. » Face à des journalistes de l’agence Associated Press, l’ancien garde du camp d’extermination nazi d’Auschwitz, Johann Breyer, rejette toute culpabilité.

    Cet Américain d’origine slovaque reconnaît certes avoir été membre de la SS et travaillé dans le camp, mais nie avoir participé directement à la "solution finale".

    Ce n’est pas l’avis des autorités allemandes, qui disposent de documents prouvant la présence de l’homme dans la partie du camp où les déportés étaient exterminés.

    Depuis quelques années, la justice allemande estime que de simples sentinelles ont contribué au fonctionnement de la machine de mort nazi et peuvent être poursuivies pour complicité d’assassinat. Cela avait été le cas pour John Demjanjuk, qui avait été extradé des Etats-Unis vers l’Allemagne où il avait été condamné en 2011 à cinq ans de prison.

    L’enquête préliminaire de la justice allemande reproche à Johann Breyer d’avoir participé aux meurtres de plus de 300 000 juifs en 1944 à Auschwitz. Il faudra certainement plusieurs mois, d’après le parquet allemand, avant de demander éventuellement l’extradition de l’octogénaire

    Quatre-vingts gardiens de camp de concentration seraient encore en vie aujourd’hui.

    25/09/12

  • Lille: une professeur de l'université poignardée

    Une professeur de l'université Lille 1 à Villeneuve d'Ascq a reçu deux coups de couteau ce matin par l'un de ses élèves selon une information de la Voix du nord. Les faits se sont produits vers 10 heures alors que l'enseignante d'une quarantaine d'année donnait au pôle «GMP et chimie» de la faculté.



    Pour des raisons encore inconnues, l'étudiant a poignardé son enseignante à deux reprises, avant d'être rapidement désarmé par d'autres étudiants. Agé d'une vingtaine d'années, l'agresseur présenterait des troubles psychiques, selon le quotidien.

    L'enseignante a été transportée à l'hôpital Saint Vincent de Lille. Ses jours ne sont pas en danger.

    Les agressions d'enseignants se multiplient

    Ces derniers jours, les agressions d'enseignants se multiplient. A deux jours d'intervalle, une professeure de français et une principale de collège ont été agressées par des collégiens. L'une à La Seyne-sur-Mer (Var), l'autre aux Herbiers (Vendée).

    D'autres cas de violences scolaires ont émaillé cette rentrée scolaire, notamment à Bordeaux (Gironde) et à Poitiers (Vienne). A Poitiers, l'enseigante a été frappée par la mère d'un élève, tandis qu'à Bordeaux un professeur a lui été frappé par un de ses élèves.

    LeParisien.fr -28/09/12

  • Marseille : des riverains expulsent les Roms et brûlent leur camp

     

     Publié le vendredi 28 septembre 2012 à 08H49

     

    À Marseille, des habitants exaspérés ont assuré eux-mêmes l'évacuation

    Agacés par des cambriolages, les habitants se sont réunis, ont rencontré différentes institutions avant de décider de procéder par leurs propres moyens à l'expulsion des Roms.

    Agacés par des cambriolages, les habitants se sont réunis, ont rencontré différentes institutions avant de décider de procéder par leurs propres moyens à l'expulsion des Roms.

    Photo Thierry Garro

    La démarche ne présage rien de bon. Au pied de la cité des Créneaux, à Saint-Louis à Marseille (15e), une cinquantaine d'habitants du quartier vient d'achever son opération. Une expulsion de Roms. Hier soir, aux environs de 19h30, la police n'a pu que constater les faits et s'assurer qu'aucun débordement n'allait se produire. Les riverains du camp se sont eux-mêmes organisés et préparés pour pousser la quarantaine de personnes installée depuis quatre jours sur le terrain vague jouxtant la cité à partir au plus tôt, sous peine de représailles.

    Des vieux meubles, quelques vêtements et des appareils ménagers sont encore en train de se consumer derrière une clôture métallique. Et ceux qui ont réussi leur coup affichent leur satisfaction : "On les avait prévenus. D'abord, on n'était pas vraiment contre le fait qu'ils restent là. On leur a juste dit de ne pas faire de bêtises. En deux jours, on a eu plusieurs cambriolages. Alors, avec plusieurs personnes, on s'est rassemblé et on les a fait partir. C'est un problème de société. Et on n'a pas eu besoin de l'armée."

    On peut craindre le pire

    Une poussée de fièvre, qui n'a fort heureusement pas eu de conséquences graves. Les forces de l'ordre, intervenues sur place, n'ont même retenu aucune infraction et n'ont pas procédé à des interpellations. Mais ce mouvement spontané pourrait faire tâche d'huile, dans d'autres quartiers, où plusieurs autres camps sont installés et où des incidents se produisent régulièrement avec les riverains.

    Sur place, Sabrina, une autre habitante des lieux, expliquait comment la décision s'était imposée d'elle-même : "Ce matin, on est allé à la police, à la préfecture, à la mairie de secteur et même chez les bailleurs, la Logirem. Chaque fois, c'était la même réponse. Qu'il fallait attendre plusieurs mois, avant qu'il y ait une intervention. Ce qu'on nous laissait entendre, c'était 'débrouillez-vous tout seuls'. Très bien, c'est ce qu'on a fait. Dans l'après-midi, on s'est tous téléphonés et on est arrivés tous ensemble devant le camp. Tout le monde se connaît ici. Cela s'est passé très rapidement."

    La plupart des personnes qui occupaient le camp ont quitté les lieux à pied. Pour investir un autre terrain, sans doute à proximité. La population environnante se comportera-t-elle de la même manière à leur égard ? On peut désormais le craindre.

    La Provence

  • Le Journal de Syrie 27 septembre 2012

  • Islam et persécutions: qui sauvera les Chrétiens du Kosovo ?

    Lire : http://fr.novopress.info/120997/islam-et-persecutions-qui-sauvera-les-chretiens-du-kosovo/

     sans-titre.png Enfant et peluche Kosovo.png

     

  • Var - Une élève de 14 ans mise en examen pour avoir frappée son enseignante

    Une collégienne de 14 ans a été mise en examen jeudi pour "violences aggravées", après avoir frappé une enseignante mardi pendant un cours dans un collège de La Seyne-sur-Mer dans le Var.

    L'adolescente a été mise en examen pour "violences aggravées sur personne chargée d'une mission de service public" et placée en "liberté surveillée préjudicielle" (sous le contrôle d'un éducateur) en attendant son jugement. Mardi matin, l'adolescente a frappé sa professeur de français au visage alors que celle-ci lui avait demandé son carnet de correspondance parce qu'elle perturbait la classe. D'après le quotidien Var-Matin, l'enseignante a été touchée à la bouche et à la mâchoire, la mineure lui ayant porté un coup avec son avant-bras.

    Le collège Henri Wallon de la Seyne-sur-Mer, où s'est produite l'agression , est classé "ambition réussite". Il se trouve dans la cité Berthe, un quartier sensible de la ville. Douze des 500 postes d'assistants de prévention annoncés doivent revenir à l'académie de Nice, dont il dépend, contre 50 pour la mieux dotée, celle de Créteil.

    Après une série de violences exercées contre des enseignants, le ministre de l'Education nationale Vincent Peillon a officialisé, le 17 septembre, la création d'une délégation ministérielle présentée comme la "première structure pérenne" ayant "pour mission de lutter contre les violences en milieu scolaire". Au mois de juin, il avait déjà annoncé que 500 personnes seraient affectées à cette fin "dans les établissements les plus difficiles", d'ici la Toussaint ou Noël.

    TF1 News - 27/09/12

  • Stoppons la zoophilie en Allemagne

     

    Pétition : Stoppons la zoophilie en Allemagne

    Auteur : Olivier Dumont

    Créé le 26/09/2012 - Fin le 26/01/2013

    11825 Signatures

    À l'attention de Angela Merkel

    Nous sommes actuellement en train de nous rapprocher d'associations allemandes et européennes de protection animale afin de voir comment lutter efficacement contre ce vide juridique (la loi interdisant les abus sexuels sur les animaux en Allemagne a été abrogée le 1er septembre 1969 et n'a pas été remplacée depuis).


    Nos premières investigations nous ont permis de découvrir des faits particulièrement dérangeants : outre-Rhin, ouvrent de plus en plus de « bordels animaliers ». La vente, la location ou le prêt d'un animal à des fins sexuelles est autorisée. De plus, il est permis en Allemagne de dresser et de conditionner les bébés animaux (chiots, chatons, etc.) pour leur faire accepter que de tels attouchements soient pratiqués sur eux. De là, il devient plus facile pour leurs tortionnaires d'affirmer qu'ils sont consentants...


    L'hypocrisie va encore plus loin : alors que la loi allemande réprime les actes de cruauté commis envers les animaux, la zoophilie n’est pas entendue comme tel au motif qu’il n’est pas possible de prouver la cruauté d’un tel acte. Comment est-il possible de ne pas reconnaître les souffrances, psychologiques et physiques, d'un animal ainsi malmené, souffrances attestées par les vétérinaires allemands dans certaines de leurs études ? La France considère ces mêmes actions comme des délits réprimés par l’article 521-1 du Code Pénal qui prévoit des peines maximales de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.


    Les seules condamnations qui ont été prononcées en Allemagne l’ont été au motif que l’acte a été filmé, car la zoopornographie est, elle, interdite dans les Länder (régions).


    Dans le pays de Goethe, on trouve même une association de zoophiles qui s'assument, la Zeta, qui s'exprime publiquement en faveur des rapports sexuels entre humains et animaux « tant qu'ils sont sans violence », et qui défend ces actes comme un « droit »...


    Les associations de protection des animaux allemandes n’ont cessé de se battre, condamnant la cruauté de tels agissements. Notre Association, qui n’est pas compétente pour intervenir juridiquement en Allemagne, va toutefois se rapprocher d’associations locales afin de leur apporter son soutien et d’étudier avec elles nos possibilités d’actions.


    Il est bon de signaler que le problème a été inscrit à l’ordre du jour du conseil des ministres à Berlin, mercredi dernier, suite à une initiative de la chambre des régions (Bundesrat). Il faut espérer que les discussions qui en découleront mèneront à la création d'une législation interdisant de tels sévices.


    Enfin, il est scandaleux que des pays européens, signataires de la Convention Européenne pour la protection des animaux de compagnie -entrée en vigueur le 1er Mai 1992-, puissent encore tolérer ces actes barbares sans être sanctionnés, alors qu’un article de ladite convention, ratifiée par l’Allemagne, précise clairement que « nul ne doit causer inutilement des douleurs, des souffrances ou de l’angoisse à un animal de compagnie ».

    Je me joins à la SPA pour leur faire part de ma pétition, ainsi que de tout vos signatures et commentaires pour stopper cette horreur.


    Il est en conséquence, plus que judicieux de faire le nécessaire afin de faire respecter cette Convention via le Gouvernement français. L’étude d’une uniformisation de la réglementation de l’Union Européenne est également primordiale.

    Plus d'infos sur ce sujet : Cliquez ici
     
    Mes Opinions.com
  • Pour Obama, l'Holocauste est une religion

    La Maison Blanche (25 septembre 2012)
    Discours du Président Obama devant l'Assemblée générale des Nations Unies
    Un extrait :
    " L'avenir ne saurait appartenir à ceux qui diffament le prophète de
    l'Islam. Toutefois, pour être crédibles, ceux qui condamnent cette
    diffamation doivent aussi condamner la haine qui se manifeste dans la
    profanation de l'image de Jésus-Christ, la destruction des églises ou la
    négation de l'Holocauste. "


    Pour le texte complet du discours en anglais:
    http://www.nationaljournal.com/whitehouse/full-text-president-obama-s-speech
    -at-the-united-nations-general-assembly-20120925

  • Carcassonne. Le chef Michel del Burgo agressé : insultes racistes anti-blanc et caillassage!

     

     
    Carcassonne. Le chef Michel del Burgo agressé à la Conte ()
     
    27/09/12

     

    Comment décrire l'état d'esprit qui est celui, actuel, de Michel del Burgo ? Colère ? Dégoût ? Incompréhension ? C'est un peu tout à la fois. Mardi soir, vers 18 h 30, le grand chef cuisinier qui s'apprête à ouvrir un restaurant de grand prestige à Carcassonne a été victime d'une agression qu'il ne s'explique pas. Et qui le rend malade. Il raconte.

    «Je sortais de mon établissement et me rendais en centre-ville en voiture en passant par le quartier la Conte. Je me suis arrêté à hauteur du bureau de tabac, de l'autre côté de la chaussée, pour répondre à un appel téléphonique… Tandis que je discutais, j'ai entendu des cris : «casse-toi de là, sale Français. T'es pas chez toi ici, casse toi !», raconte-t-il. «Sur le moment, ajoute-t-il, je n'ai pas pris ces invectives pour moi». Et de poursuivre sa conversation… «Tout d'un coup, une pierre est venue briser la vitre latérale du véhicule utilitaire, un petit camion frigo. Et puis une seconde a fait exploser le pare-brise», raconte Michel Del Burgo qui n'a eu d'autre choix que de démarrer et partir.

    Hier, bien sûr, il a déposé plainte au commissariat de police pour cette agression qu'il ne s'explique pas. «Pourquoi est-ce que je n'aurais rien à faire à la Conte ? J'ai peut-être une tête à claques ?», s'interroge Michel del Burgo. «J'ai quitté Carcassonne il y a 14 ans, et j'ai travaillé dans plusieurs pays où je n'ai jamais subi le moindre acte raciste. Et là, je reviens ici, dans une ville que j'ai quittée belle et tranquille, pour vivre ça ?», s'indigne le Chef. «C'est mon devoir aujourd'hui de raconter cette histoire car je sais que je ne suis pas le seul à subir ce genre d'agression. J'aime ma ville. Dans son ensemble. Mais c'est sûr, désormais, je ne passerai plus par la Conte», ajoute Michel Del Burgo.

    C'est sans rapport évidemment, mais hier les propos de Jean-François Copé portant sur le «racisme anti-français» ont suscité de vifs débats. Ici, manifestement, il ne s'agit pas de mots, mais de faits.

    La Dépêche du Midi

  • Avec l’UMPS : Nîmes bientôt« charia compatible » ! Pour le FN, Nîmes doit rester française !

     

     

    Communiqué de Julien Sanchez, conseiller régional de Languedoc-Roussillon, délégué national du FN

    Cette semaine quartier du Chemin Bas d’Avignon à Nîmes, des musulmans intégristes ont menacé les commerçants qui vendaient du vin, du porc ou des « vêtements légers », et leur ont interdit de revenir sous peine de mort.

    Ces débordements d’une extrême gravité ne sont hélas pas des actes isolés mais tendent au contraire à se banaliser depuis plusieurs mois.

    Évidemment, face à ces événements occultés par la plupart des médias, les pouvoirs publics et les élus locaux, à part se réunir, n’ont rien à dire et pour cause : il ne faudrait surtout pas trop faire de publicité à ces faits qui ne font hélas que donner raison une fois de plus aux analyses de Marine Le Pen et du Front National.

    Jusqu’à quand ces responsables politiques de droite comme de gauche vont-ils se voiler la face ? Jusqu’où iront leur irresponsabilité, leur mollesse et leur impuissance?

    Il est temps aujourd’hui de prendre des mesures !

    Seul le Front National demande l’arrêt des flux migratoires, l’abolition du droit du sol, la fin du regroupement familial automatique, l’impossibilité de régulariser des clandestins, la surveillance systématique des prêches dans les mosquées, l’interdiction des imams salafistes, la mise sur écoute et les perquisitions régulières des domiciles des prosélytes de toute sorte.

    Le FN demande en outre la reconduite à la frontière d’étrangers revenant de voyages suspects en Afghanistan ou dans tout autre pays où l’on entraîne au terrorisme, et le port permanent du bracelet électronique pour les Français concernés par ces faits.

    L’Etat doit être fort et doit faire respecter son identité en rappelant aux nouveaux arrivants qu’ici nous sommes en France, pays laïc aux racines chrétiennes.

    Particulièrement choqué par ces faits devenus courants, Julien Sanchez demande par ailleurs aux élus socialistes, communistes et UMP qui ont laissé entrer avec légèreté dans notre pays une immigration pléthorique et inassimilée de rendre des comptes !

    Pour quelles raisons ces partis continuent-ils à soutenir activement et main dans la main la politique d’immigration imposée par l’Union Européenne qui va nous imposer dans les 10 ans à venir plusieurs millions d’immigrés supplémentaires dont évidemment de nombreux autres salafistes et extrémistes ?

    Pour quelles raisons la minorité auteure de tels actes reste-t-elle impunie ?

    Pour quelles raisons nos honnêtes commerçants et les habitants de ces quartiers ne sont-ils pas soutenus face à ces dérives communautaires quotidiennes ?

    Doit-on laisser ces quartiers aux mains des salafistes et accepter que les honnêtes citoyens déménagent lorsqu’ils en ont les moyens ?

    Nîmois, il est temps de vous débarrasser de cette racaille politique qui est totalement impuissante et aveugle face aux problèmes que vous rencontrez Chemin Bas d’Avignon mais aussi quartiers Pissevin, Valdegour ou Gambetta.

  • Manuel Valls inaugure la mosquée de Strasbourg avec l’islamiste bosniaque Mustafa Ceric

    Posté par le 27 septembre 2012

     

    Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, inaugurait ce matin la toute nouvelle mosquée de Strasbourg en compagnie d’un hôte de marque : l’imam intégriste bosniaque Mustafa Efendi Ceric (photo). Il est le plus haut dignitaire musulman de Bosnie-Herzégovine et a toujours considéré l’islam comme une religion de guerre et d’intolérance. « Pour marquer le coup », écrit saphirnews.com, Mustafa Ceric, le grand mufti de Bosnie-Herzégovine, dirigera, vendredi 28 septembre « la grande prière hebdomadaire à la Grande Mosquée de Strasbourg ».

    Plus de 1.200 personnalités, dont des responsables politiques, des représentants catholiques, protestants et juifs, de même que le président du Conseil français du culte musulman, Mohammed Moussaoui, étaient présents à la cérémonie.

    Implanté à moins de 2 km de la cathédrale, au bord de la rivière Ill, le nouveau lieu de culte est déjà utilisé au quotidien depuis le dernier ramadan, en août. Il peut accueillir quelque 1.500 fidèles, dans une salle de prière de 1.300 m2, la plus grande de France devant la mosquée d’Evry (800 m2).

    Le bâtiment est surmonté d’un imposant dôme de cuivre de 16 mètres de diamètre, mais n’a pas de minaret. Le projet, qui date de 1993, a coûté 10,5 millions d’euros, dont 26 % financés par les collectivités locales grâce aux spécificités du droit d’Alsace-Moselle, 37 % par le gouvernement marocain, et 13 % par l’Arabie saoudite et le Koweit. Les autorités de ces pays étaient d’ailleurs représentées lors de la cérémonie.

    La mosquée a bénéficié de subventions publiques comme celles de la mairie de Strasbourg (610.000 euros), du Conseil régional d’Alsace (420.000 euros) et du Conseil général du Bas-Rhin (510.000 euros).

    L’invité d’honneur est le reis-ul-ulema de Bosnie-Herzégovine depuis 1993 jusqu’à 2013. Il a toujours été un chef religieux de combat, qui a su utiliser les extrémistes musulmans en provenance des pays du Proche et du Moyen Orient, mais aussi d’Afghanistan, du Pakistan et du Maghreb, dans le jihad des années 1990 contre les Serbes et les Croates*. Il a même reçu l’aide de Washington pour réaliser cette union militaire, religieuse et politique au cœur même de la Bosnie-Herzégovine en guerre civile. Le fait qu’il ait été, durant plusieurs années, imam de l’Islamic Cultural Center of Greater Chicago (ICC) à Northbrook, dans l’Illinois, a grandement facilité ses relations avec l’Administration US alors en conflit contre le peuple serbe.

    Ambiance bosniaque de « paix et de tolérance » : Mustafa Ceric justifie la venue des jihadistes internationaux en Bosnie « pour aider les musulmans quand ils en avaient le plus besoin » !

    Nous, les Bosniaques nous avons un profond respect pour les moudjahidin de tout le Monde islamique qui ont aidé notre peuple
    Ils se sont engagés pour aider les gens et ils ont enseigné à nos jeunes
    comment combattre dans le sentier d’Allah

    Si le prophète Mahomet est mort pauvre, après vingt ans de pouvoir sans partage, Mustafa Ceric, qui a confondu religion et politique, et légitimé des courants islamiques les plus radicaux, fait en sorte de quitter ses fonctions riche.

    En janvier dernier, Mgr Vinko Puljic cardinal catholique croate de Bosnie-Herzégovine, âgé de 66 ans, s’inquiétait de l’islamisation croissante en République de Bosnie-Herzégovine et de l’avenir des chrétiens dans cette partie des Balkans occidentaux. Grâce aux pétrodollars venus d’Arabie saoudite, des centres musulmans et des mosquées se sont édifiés en de nombreux endroits, avec l’assentiment de Mustafa Ceric. Rien qu’à Sarajevo, au moins 70 nouvelles mosquées ont été construites au cours des dernières années. De plus, entre 3.000 et 5.000 activistes wahhabites sont présents dans le pays, souvent des vétérans des guerres des années 1990 qui tentent de gagner en influence dans la société.

    L’islamisation croissante d’après-guerre, encouragée par Ceric, est le fruit des investissements de nombreux pays du Golfe persique qui, non seulement reconstruisent les mosquées endommagées par la guerre, mais en construisent de nouvelles, en plus de diverses madrasas et même d’une faculté de théologie islamique. De surcroît, Ceric a toujours été un ardent défenseur de la « diagonale verte », cet axe de pénétration islamique dans le sud-est européen qui engloberait à la fois la Bosnie-Herzégovine réislamisée, le Sandjak de Novi Pazar, une partie de la Bulgarie, la grande Albanie réunifiée et jusqu’à la Turquie islamiste d’Erdogan. A l’été 2006, Mustafa Ceric a souhaité, lors d’une conférence organisée à Istanbul, la mise en place d’un « islam européen » sur la base de cette « diagonale » et a souhaité la mise en œuvre d’une « turquisation » des Bosniaques : « Notre seule faute est de ne pas être des Turcs »…

    Voilà donc ce que propose Manuel Valls, ministre socialiste de l’Intérieur, comme perspectives religieuses aux musulmans en invitant à cette cérémonie d’inauguration un individu aussi sulfureux que Mustafa Ceric.

    Nous reviendrons sur le parcours de Mustafa Ceric dans le numéro 31 (novembre 2012) de Nations Presse Magazine

    _________

    * A savoir qu’une partie des Croates, minoritaires, ceux qui se réclamaient de l’Ustasha (HSP, HOS…), ont toujours revendiqué une alliance avec les musulmans de Bosnie contre les Serbes orthodoxes au nom d’une « grande Croatie » et sur le principe que les « musulmans [seraient] la fine fleur de la nation croate ».

  • Un évêque écossais compare avortement et Holocauste

     

    24 septembre 2012 par Jeanne Smits

    L’évêque catholique de Motherwell, en Ecosse, est devenu la cible de toute la presse « bien-pensante » au Royaume-Uni en osant comparer l’avortement aux atrocités du camp d’Auschwitz. Mgr Joseph Devine s’est exprimé cette semaine à la suite de la relaxe de deux militants chrétiens poursuivis pour avoir brandi des affiches montrant des « produits d’avortement » (comme les nomme la profession médicale) lors d’une manifestation pour le respect de la vie devant une clinique d’avortement à Brighton, en Angleterre.

    Mgr Devine s’est félicité de la relaxe, affirmant : « De telles images ne devraient pas être effacées de la conscience publique, pas plus que des images de famine ou de la réalité de la guerre. Si nous ne pouvons pas confronter l’image, comment pouvons-nous concevoir de justifier la réalité » qu’elles représentent, a-t-il demandé.

    « Je n’ai aucun doute que la publication des photos des victimes d’Auschwitz et de la voie ferrée de Birmanie ont fait comprendre les horreurs de catastrophes aussi maléfiques de manière beaucoup plus efficace qu’un million de paroles d’intercession. Deux cent mille avortements ont lieu en Grande-Bretagne chaque année. Pourquoi le lobby pro-choix est-il à ce point aux abois pour vouloir cacher la réalité de l’avortement au public ? »

    Le dit lobby ne s’est pas fait attendre. Le Service britannique de conseil pour la grossesse (British Pregnancy advisory service) a qualifié les propos de Mgr Devine d’« incendiaires » par la voix de son porte-parole, Claire Murphy. « Je crois que la plupart des gens trouveraient cela totalement méprisable de comparer l’avortement à l’Holocauste. C’est profondément insultant pour les millions de personnes juives qui sont mortes pendant la Seconde Guerre mondiale. Je ne peux pas m’imaginer que quiconque puisse ressentir que la comparaison entre l’avortement et l’Holocauste puisse être une analogie utile ou pertinente. »

    Le groupe « Abortion Rights » (Droits à l’avortement) pense quant à lui qu’il est « totalement inapproprié » qu’un membre de la communauté catholique se laisse aller à des « déclarations qui semblent justifier un comportement de harcèlement ». Pour l’association humaniste britannique, le prélat fait preuve d’un « manque tordu de perspective morale ».

     

    © leblogdejeannesmits

  • Il ne violait que des femmes blanches

    15 viols: toutes ses victimes étaient Blanches