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Blog - Page 1126

  • Reconnaissance de paternité: quelle est cette procédure qu'aurait engagée Rachida Dati ?

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    Dominique Desseigne, 68 ans

     

    Pour TF1 News, une avocate spécialisée dans le droit de la famille explique en quoi consiste l'action en justice pour tenter de faire reconnaître le père d'un enfant.

    A quoi correspond l'acte qu'aurait engagé Rachida Dati, selon Le Point, pour faire reconnaître officiellement le père de sa fille Zohra, née le 2 janvier 2009 et dont elle a toujours tu l'identité du père ? (Lire notre article : Fille de Rachida Dati : le PDG du groupe Barrière assigné en justice)

    "Cette procédure de recherche de paternité peut être lancée par une mère si le père de son enfant ne l'a pas reconnu à la naissance", explique Me Chantal Couturier-Leoni, spécialiste du droit de la famille, à TF1 News.

    "La mère va alors engager une action en recherche de paternité devant un Tribunal de grande instance en déposant une assignation afin que soit établie la filiation paternelle. Cette procédure vise forcément une personne nommée : l'assignation est un document officiel rédigé par un avocat et remis par un huissier à l'homme dont elle pense qu'il est le père de l'enfant", poursuit-elle.

    Accès aux droits de succession

    Dans le cas de Rachida Dati, il s'agirait donc de Dominique Desseigne, le PDG du groupe d'hôtels et casinos Lucien Barrière. Ce dernier devrait alors subir un test ADN ordonné par le Tribunal de grande instance qui, selon Le Point, aurait été saisi par l'ex-ministre. S'il refuse, "la justice en déduira qu'il est bien le père en vertu du principe ‘qui ne dit mot consent' ", souligne l'avocate. "Si la filiation est établie, l'enfant aura alors accès automatiquement à des droits comme les droits de succession. Son père aura quant à lui l'obligation de participer à son éducation".

    Une telle procédure "peut être engagée par la mère ou l'enfant lui-même entre sa majorité et ses 28 ans, dure en général entre 12 et 24 mois si elle ne se poursuit pas devant les cours d'appel et de cassation", rappelle par ailleurs Me Chantal Couturier-Leoni.
     
    TF1 News - 02/10/12
  • Mariage gay: Lebel, mouton noir de l'UMP

    Les ténors de l’opposition fustigent les propos du maire du 8e arrondissement de Paris.

    Dire que François Lebel a perdu quelques soutiens à l’UMP est un doux euphémisme. En estimant, dans un édito du journal municipal, que la légalisation du mariage homosexuel pourrait ouvrir la voie à l’inceste, la polygamie et la pédophilie, l’édile du 8e arrondissement de Paris s’est attiré les foudres de ses collègues de l’opposition.

    Fillon et Copé condamnent

    Premier à réagir : François Fillon. Après avoir quelque peu esquivé la question mercredi matin sur France Inter, l’ancien Premier ministre s’est fendu d’un tweet sans équivoque :

    Jean-François Copé, soutenu par François Lebel dans sa course à la présidence de l’UMP, ne pouvait garder le silence après cette saillie qui a fait bondir plusieurs associations. Ses lieutenants ont pris les devants, à commencer Franck Riester, l’un des rares hommes politiques à avoir fait son coming out :

    Pierre-Yves Bournazel, conseiller UMP de Paris et proche de Jean-François Copé, a lui aussi condamné "avec la plus grande fermeté" ces propos, jugeant qu'il "appartient à chacun des responsables" de l'UMP "de mettre un terme à de tels dérapages".

    "Il faudrait le faire expertiser ce maire ! "

    Interrogé sur le sujet lors de la conférence de presse hebdomadaire du mouvement, Jean-François Copé a déclaré être "très engagé contre tous les comportements et les propos à caractère homophobe", une attitude "qui doit être combattu avec la même force que le racisme sous tous ses formes", a estimé le député-maire de Meaux. Avant de rappeler son opposition au mariage homosexuel.

     

    Bernard Debré, habitué à mettre les pieds dans le plat, a certainement frappé le plus fort. "C'est une honte absolue. C'était inimaginable. Il faudrait le faire expertiser ce maire !", a lancé le député UMP de Paris dans les couloirs de l'Assemblée nationale. "J'ai été humilié parce que je me dis ‘quand même, il est UMP!’", a-t-il conclu.

     

    Europe1 - 03/10/12

  • Charles BAUDELAIRE (1821-1867)

    Chant d'automne

     

    Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ;
    Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !
    J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres
    Le bois retentissant sur le pavé des cours.

    Tout l'hiver va rentrer dans mon être : colère,
    Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,
    Et, comme le soleil dans son enfer polaire,
    Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé.

    J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ;
    L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd.
    Mon esprit est pareil à la tour qui succombe
    Sous les coups du bélier infatigable et lourd.

    Il me semble, bercé par ce choc monotone,
    Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.
    Pour qui ? - C'était hier l'été ; voici l'automne !
    Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.

     

    Les Fleurs du mal

  • Violences à Perpignan : de mieux en mieux !

     
     
     

    Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National

    Nous apprenons avec stupéfaction l’attaque préméditée du palais de justice de Perpignan par des familles et amis d’un trafiquant de stupéfiant. Ces assaillants, des « jeunes » issus de l’immigration, ont donné l’assaut selon les témoins, et tenté d’extirper leur « copain » d’un fourgon cellulaire tout en menaçant les forces de l’ordre de mort, empêchant de sortir magistrats et personnel du palais.

    Cette nouvelle violence « clanique » s’accompagne de l’information selon laquelle le gouvernement socialiste abandonne le projet de cité judiciaire dont Perpignan aurait un grand besoin, tant pour un meilleur fonctionnement de la justice que pour la sécurité publique.

    On ne peut s’empêcher de songer au 45 millions d’euros dépensés par les politiques locaux pour un théâtre élitiste et indécent dans une des villes les plus pauvres de France où l’insécurité se banalise.

    Le Front National demande aux pouvoirs publics de poursuivre les voyous qui s’en prennent à l’un des symboles de l’autorité de l’Etat et à Madame Taubira de revenir sur sa décision.

    Les citoyens et contribuables ne comprendraient pas que des projets utiles à la vie de la cité soient écartés alors que leur argent est dépensé inutilement dans des équipements accessoires liés à la mégalomanie de certains élus locaux !

  • Florian Philippot invité de BFM Story

    2 octobre 2012

  • Pour le Front de gauche, l'argent du Qatar n'a pas d'odeur


    Le Qatar investit dans les banlieues marseillaises par LCM

    Posté par le 3 octobre 2012

     
    Entretien avec Haouaria Hadj-Chikh, maire adjointe Front de gauche des XIIIe et XIVe arrondissements de Marseille, qui se félicite que le Qatar investisse ses pétrodollars théocratiques dans les banlieues ethniques. Intervention de Stéphane Ravier pour le Front National à 2mn 50.
  • Marine Le Pen invitée de "Questions d'info"


    Marine Le Pen, Présidente du Front National par LCP

    Posté par le 3 octobre 2012

     Marine Le Pen, Présidente du Front National, était l’invitée de « Questions d’info » sur LCP, une émission présentée par Frédéric Haziza avec la collaboration de Françoise Fressoz (Le Monde), Sylvie Maligorne (AFP) et Marie-Eve Malouines (France Info).
  • Grande mosquée de Strasbourg: "Un rêve devenu mosquée"

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    Photo : Une de “Dernières Nouvelles d’Alsace” du 28/09/2012

    02/10/2012 – 18h00
    STRASBOURG (NOVOpress) —
    Nous publions ci-dessous 2 photographies prises dans la matinée de vendredi, le lendemain de l’inauguration de la grande mosquée de Strasbourg.

    On y voit, assis sur l’herbe et debout sur le pont, une petite vingtaine de lycéens. Face à eux, de l’autre côté de la rivière Ill, la mosquée. Sous l’œil attentif de leur professeur (non visible sur les photos), ils font des croquis du bâtiment. Une séance en plein air de travaux pratiques de dessin.

     

    Cette scène, prise 24 heures après l’inauguration en grande pompe par le ministre de l’intérieur, en présence de dignitaires religieux marocains, saoudiens et koweïtiens, principaux financiers du projet, est à mettre en parallèle avec l’extraordinaire campagne de communication réalisée par le quotidien régional Dernières nouvelles d’Alsace (DNA).

    Ainsi, le principal quotidien de la région a fait sa couverture, le jour ou ont été prises ces photos, par un imposant “Un rêve devenu mosquée”. Les éditions précédentes ont vu une longue suite d’articles, tous plus admiratifs les uns que les autres, recensant les projets de mosquées dans la région, de Haguenau à Saint-Louis, avec notamment un “Mulhouse : la longue marche des musulmans”.

    Une campagne de communication dont l’intensité étonne même les observateurs les plus avisés.

    Les DNA et L’Alsace, l’autre titre régional, appartiennent au même groupe de presse (EBRA, 1er groupe de presse quotidienne régionale de France) qui détient 11 quotidiens régionaux ainsi que des télés locales. Le groupe, dont les journaux sont présents dans 23 départements, est contrôlé majoritairement par le Crédit Mutuel, 1ère banque dans la région.

    Le directeur général des DNA, Francis Hirn, est par ailleurs président de l’association Les amis de Marcel Rudloff. Cette association, dont l’objet est d’entretenir la mémoire de M.Rudloff, ancien maire de Strasbourg et figure démocrate-chrétienne de la vie politique régionale, comprend notamment dans son conseil d’administration Philippe Richert, président (UMP) de la région et ex-ministre des collectivités territoriales ; Guy-Dominique Kennel, président (UMP) du conseil général du Bas-Rhin ; Roland Ries, sénateur-maire socialiste de Strasbourg.

    Tous trois ont fait verser par les collectivités qu’ils président de très importantes subventions qui ont permis de financer le quart de la construction. Le conseil d’administration de cette association compte également parmi ses membres un ancien directeur des DNA, Alain Howiller.

    Concentration économique de la presse, contrôle par une banque, proximité des individus, tout ce petit monde a donc l’habitude de se cotoyer, ce qui explique sans doute l’absence de tout débat dans la région sur certaines questions.

    La droite alsacienne, qui domine la région depuis toujours, est désormais confinée aux zones rurales. La gauche, majoritaire dans les grandes villes en raison de la recomposition du corps électoral, soigne son électorat communautaire. Les élus alsaciens, incapables de s’entendre sur des projets majeurs tels que le conseil unique d’Alsace ou le grand contournement ouest de Strasbourg, semblent avoir trouvé un consensus sur les constructions de mosquées : les favoriser au maximum.

    Le service après-vente étant assuré par les DNA et l’éducation nationale.

    Lycéens en cours d'arts plastiques : "Dessine moi une mosquée..."

    Lycéens en cours d’arts plastiques : “Dessine moi une mosquée…”

    Etudiants en arts plastiques : "Dessine moi une mosquée..."

    Grande Mosquée de Strasbourg : “un rêve devenu mosquée” selon les Dernières Nouvelles d’Alsace

    Crédit photo : Alsace Identitaire, pour Novopress

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine.

  • Marseille: quatre policiers de la BAC interpellés dans une affaire de corruption présumée 02/10/2012

     

    Marseille: quatre policiers de la BAC interpellés dans une affaire de corruption présumée



        MARSEILLE (Sipa) — Douze policiers, dont des membres de la Brigade anti-criminalité (BAC) Nord à Marseille, âgés de 35 à 45 ans, ont été interpellés mardi, a confirmé le procureur de Marseille Jacques Dallest après la perquisition menée un peu plus tôt des locaux de la BAC Nord. D'autres interpellations vont avoir lieu, a-t-il ajouté, dans cette affaire portant sur des faits présumés de vols de produits stupéfiants et d'argent saisis sur des trafiquants. Une dizaine d'autres personnes sont dans le même temps entendues sous le statut de simples témoins.

    Une enquête préliminaire a été ouverte en novembre 2011. Confortée par des écoutes téléphoniques, elle a débouché sur l'ouverture d'une information judiciaire par le parquet de Marseille le 22 février 2012 pour "vols en bande organisée, extorsion en bande organisée, violences par personne dépositaire de l'autorité publique et infractions à la législation sur les stupéfiants". Les investigations ont été confiées aux juges d'instruction marseillais Patricia Krummenacker et Caroline Charpentier.

    L'enquête, qui concerne essentiellement des policiers en poste de jour, vise des faits présumés de vols de produits stupéfiants et d'argent saisis sur des trafiquants mais aussi sur des vendeurs de cigarette de contrebande, a précisé le procureur de la République de Marseille, évoquant des "pratiques condamnables".

    "Un certain nombre d'entre eux se payaient sur la bête, comme on dit communément. Ils prélevaient leur dîme en espèces ou en nature à des fins personnelles", a fait valoir Jacques Dallest. "Personne ne sait toutefois pour l'heure si les faits sont de nature crapuleuse, si les policiers en question ont agi pour rendre service pour des raisons professionnelles d'infiltration ou pour des raisons de pur appât du gain. Il ne s'agit pas de stigmatiser un service, mais de déterminer s'il y a des brebis galeuses dans ce service".

    Une perquisition de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été menée dans la matinée dans les locaux de la Brigade anti-criminalité (BAC) nord, située Traverse de la Chèvre à Marseille. Les policiers ont été interpellés alors qu'ils prenaient leur service et leurs gardes à vue devraient durer quatre jours, selon M. Dallest. Divers documents ont été saisis et les vestiaires des policiers ont été fouillés dans les locaux de la BAC. Des perquisitions ont également eu lieu aux domiciles des suspects.

    L'enquête a banalement débuté en novembre 2011 par un différend de voisinage. Une femme en conflit direct avec un policier marseillais qui occupait le logement mitoyen au sien avait dénoncé son "comportement contraire à la loi et à la déontologie". Elle avait évoqué une forme de racket auquel se livrait le fonctionnaire aux dépens des petits dealers qui croisaient sa route. D'anciens policiers ont également été auditionnés par la "police des polices".

    "On est confronté à une pratique qui semble répandue dans ce service depuis un certain temps", a ajouté le procureur.

    Au mois de septembre 2011, un commandant de la Bac Nord avait été suspendu, puis muté pour avoir fourni des informations réputées secrètes à des tierces personnes, en utilisant notamment les fichiers auxquels il avait accès. En février 2012, un gardien de la paix de 35 ans, lui aussi affecté à la Bac Nord, avait été condamné par le tribunal correctionnel de Marseille, pour avoir tapé un faux procès-verbal à la suite d'un cambriolage dont il avait été victime, à six mois de prison avec sursis. Il avait été interdit d'exercer son métier pendant un an.

    Les faits aujourd'hui reprochés aux mis en cause leur font encourir jusqu'à 20 ans de réclusion criminelle au titre de l'extorsion en bande organisée. Les avocats des suspects ont évoqué mardi soir "des pratiques à la limite de la légalité qui devront nécessairement être confortées par l'enquête en cours".

    xnis/mw

    (Sipa / 02.10.2012 18h22)
     

    http://www.romandie.com/news/n/Marseille_quatre_policiers_de_la_BAC_interpelles_dans_une_affaire_de_corruption_presumee021020121822.asp http://www.romandie.com/news/n/Marseille_quatre_policiers_de_la_BAC_interpelles_dans_une_affaire_de_corruption_presumee021020121822.asp

     

  • Un rouleau de Torah pour le centre nucléaire israélien de Dimona

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    Publié le : 2 octobre 2012
     

    Pour la première fois, un rouleau de Torah a été installé dans la nouvelle synagogue de l’usine nucléaire de Dimona, dans le sud d’Israël. Comme on peut s’en douter, seul un nombre très restreint d’invités a été convié à la cérémonie.

     

    Les prières quotidiennes, pour les employés religieux de la centrale, étaient jusqu’alors menées dans un abris anti-bombe. Mais depuis un an, un petit groupe d’employé ont lancé l’initiative de la synagogue.

    Le milliardaire américain et philanthrope Ira Rennert, qui a fourni des fonds pour des dizaines de rouleaux de Torah et yeshivot en Israël, a répondu favorablement à un appel du rabbin David Abuhatzeira. « Le rabbin a dit qu’une synagogue dans le réacteur nucléaire serait une combinaison extraordinaire de sainteté [non-spirituel] et de pouvoir», selon une source étroitement impliqué dans l’effort de collecte de fonds. « Le rabbin a demandé que nous travaillons dès que possible pour construire la synagogue, qu’il a décrit comme étant« splendide ». Elle peut accueillir environ 300 personnes.

     

    « Le réacteur fonctionne 365 jours par an, même pendant les vacances, mais jusqu’à présent, il n’avait pas de synagogue appropriée », a dit la source. « C’était très important pour le rabbin. Il y a des milliers de travailleurs au réacteur, et nous avons été surpris de découvrir qu’il n’y avait pas synagogue pour les centaines de juifs pratiquants qui y travaillent. »

    « Je n’ai aucun doute que la construction d’une nouvelle synagogue et la mise en place d’un nouveau rouleau de la Torah ici va nous protéger contre toutes les menaces éternelles, y compris celles de l’Iran », a t-il ajouté.

    Le site nucléaire, officiellement connu comme le Centre de recherche nucléaire du Néguev, se trouve plusieurs km à l’est de Beer Sheva et au sud d’Arad.

    Eric Pétrosino – JSSNews

  • Laurent Wauquiez ne célébrera pas de «mariage» homosexuel au Puy-en-Velay

     

    Laurent Wauquiez, député de la Haute-Loire, ancien ministre de François Fillon (qu’il soutient pour l’élection à la présidence de l’UMP) et maire du Puy-en-Velay a été clair, samedi soir à Périgueux (Dordogne), devant 300 personnes : si le « mariage » homosexuel venait à être instauré, il ne faudrait pas compter sur lui pour participer à cette mascarade. « Je ne célèbrerai pas de mariage homosexuel » a-t-il assuré publiquement, rapporte Minute du 3 octobre. « Une position vivement applaudie par la salle et notamment par l’ensemble des élus ruraux présents », note l’hebdomadaire.

    Nouvelles de France

  • Marseille, ville musulmane

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    Un vieux Marseillais

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    Les nouvelles Provençales

    (Photos SA) 

    2 octobre 2012

  • Rachida Dati assigne en justice le père supposé de sa fille

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    Dominique Desseigne, né le 19 août 1944  à Commercy (Meuse)

     

    Dominique Desseigne, PDG du groupe Lucien Barrière, a été assigné en justice par l'ancienne garde des Sceaux Rachida Dati pour "reconnaissance de paternité", a dit mardi 2 octobre une porte-parole du groupe, confirmant une information du Point.fr.

    Dominique Desseigne ne souhaite pas faire d'autres déclarations pour le moment, l'information judiciaire étant en cours, a ajouté la porte-parole.

    De son côté, Rachida Dati, maire du VIIe arrondissement de Paris, dément l'information: "C'est faux", a-t-elle déclaré.

    Selon le Point.fr, Rachida Dati a assigné Dominique Desseigne devant un tribunal civil hors de Paris pour "reconnaissance de paternité" de sa fille Zohra, née le 2 janvier 2009, et dont elle a toujours tu l'identité du père.

    Alimentant ainsi les plus folles rumeurs. Parmi les noms cités : le secrétaire d'Etat aux Sports, Bernard Laporte, l'ancien chef du gouvernement espagnol, José Maria Aznar, ou encore le procureur général du Qatar, Ali Bin Fetais al-Marri. Tous ont nié être le père de la petite Zohra.

    Le groupe Lucien Barrière (GLB) que dirige Dominique Desseigne comprend 37 casinos, 15 hôtels de luxe et près de 130 restaurants et bars, dont le célèbre Fouquet's à Paris. Son chiffre d'affaires 2011 s'est établi à près de 1,1 milliard d'euros.

     

    Le Nouvel Obs - 02/10/12

     

     

  • Orwell, au secours!

     

    Les néofachos et leurs amis. Provocant, le titre s’étalait en couverture du Nouvel Observateur la semaine dernière, annonçant un dossier croustilleux à souhait, propre à faire frémir des lecteurs ne demandant qu’à croire qu’est toujours fécond « le ventre qui accoucha de la Bête immonde ».

    Sur la première double du dossier, une galerie de têtes coupées ou à couper : Patrick Buisson, Gilbert Collard, Élisabeth Lévy, Éric Zemmour, Robert Ménard, Renaud Camus, Richard Millet et Alain Soral.

    Au fil du dossier, fourre-tout aussi cocasse que le catalogue de La Redoute, surgissent, comme des lapins du chapeau d’un prestidigitateur, d’autres noms de factieux, d’Ivan Rioufol à Paul-Marie Coûteaux, de Denis Tillinac à Marc-Édouard Nabe, de Jean Raspail à Alain de Benoist, rassemblés selon des critères à la pertinence surréaliste.

    Lire la suite de l’article

     

    E&R

  • Hervé Ryssen condamné pour injures homophobes envers Bertrand Delanoë

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    La liste des condamnations du d'extrême droite Hervé Lalin, alias Hervé Ryssen, s'est allongée ce mardi. L'homme, qui se dit «écrivain nationaliste», a été condamné par le tribunal correctionnel de à 6000 euros d'amende pour avoir proféré, sur son blog, des injures homophobes à l'encontre de .

     
     

    Lire l'article en entier: http://www.leparisien.fr/paris-75/un-militant-d-extreme-droite-condamne-pour-injures-homophobes-contre-delanoe-02-10-2012-2198027.php

     

  • A l'ONU, la diplomatie syrienne accuse la France et les Etats-Unis de soutenir le terrorisme

     

    Le ministre syrien des Affaires étrangères (G) et le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, à l'ONU. New York, le 1er octobre 2012.
    Le ministre syrien des Affaires étrangères (G) et le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, à l'ONU. New York, le 1er octobre 2012.
    REUTERS/Lucas Jackson
    Par RFI

    Une accusation ferme devant les Nations unies, ce lundi 1er octobre : le ministre syrien des Affaires étrangères a accusé la France et les Etats-Unis de soutenir le terrorisme dans son pays. Wallid Mouallem s'en est pris aussi à la Turquie et à l'Arabie Saoudite accusés comme Washington et Paris de financer et d'armer la rébellion.

     

    Avec notre correspondant à New York, Karim Lebhour

    Devant l’Assemblée générale de l’ONU, le ministre syrien des Affaires étrangères n’a pas dévié de la ligne de défense du régime. Walid Mouallem a prononcé pas moins de 24 fois les mots « terroriste » et « terrorisme », accusant les pays du Golfe et la Turquie, mais aussi les Etats-Unis et la France, de financer et d’armer des combattants étrangers sur le sol syrien.

    « Ce qui est pire que tout, c'est de voir des membres permanents du Conseil de sécurité, qui ont lancé des guerres au nom de la lutte contre le terrorisme, et qui soutiennent désormais le terrorisme dans mon pays », a déclaré le ministre des Affaires étrangères syrien.

    Walid Mouallem a insisté sur l’offre de dialogue à laquelle, a-t-il dit, l’opposition syrienne n’a jamais répondu.

  • Israël : graffiti en hébreu insultant Jésus sur un monastère

    Un graffiti en hébreu insultant Jésus a été inscrit mardi sur la porte d’entrée d’un monastère franciscain du Mont Sion à Jérusalem, a indiqué la Custodie de Terre sainte sur son site, un mode opératoire rappelant de précédents incidents attribués à des extrémistes juifs.

    Les inscriptions "Jésus, fils de p..." et "Le prix à payer"ont été taguées à la peinture bleue sur la grille d’entrée du couvent Saint-François, tout près du Cénacle, haut lieu du christianisme dans la Ville sainte, où selon les Evangiles a eu lieu le dernier repas du Christ avec ses disciples.

    Le graffiti avait été effacé en milieu de matinée, a constaté un photographe de l’AFP. La police a confirmé l’incident. "Une église sur le Mont Sion a été visée, avec des graffitis antichrétien. Nous avons ouvert une enquête. C’est arrivé pendant les premières heures de la matinée", a déclaré le porte-parole de la police israélienne Micky Rosenfeld.

    Dans un communiqué, les évêques catholiques de Terre sainte ont fait part de leur "profonde consternation face à de tels agissements". Les évêques expriment "une nouvelle fois encore, leur inquiétude sur l’éducation donnée aux jeunes dans certaines écoles (israéliennes) où le mépris et l’intolérance sont enseignés" et appellent à un changement du système éducatif "sinon les mêmes causes produiront les mêmes effets".

    "Cette attaque fait partie de plusieurs actes d’intolérance en Israël et dans le monde qui sont insoutenables", affirme le communiqué. Lors d’une visite aux rabbins les plus éminents d’Israël, à l’occasion de Soucot, la fête juive des Tabernacles, le président israélien Shimon Pérès a condamné des "actes qui vont à l’encontre de la morale et des valeurs du judaïsme et font grand mal à l’Etat d’Israël".

    "Il est interdit de profaner les lieux saints des religions et des fois", a expliqué M. Pérès, selon un communiqué de son bureau. En septembre, des extrémistes israéliens religieux présumés avaient incendié une porte du monastère catholique de Latroun en Israël et inscrit des graffitis antichrétiens sur les murs, provoquant des protestations générales.

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait alors dénoncé "un acte répugnant dont les auteurs doivent être sévèrement punis", en assurant que "les libertés de religion et de culte sont des valeurs fondamentales en Israël". Malgré les condamnations systématiques de tels actes par les autorités israéliennes, leurs auteurs sont rarement appréhendés et traduits en justice.

    Des ultras de la colonisation israélienne mènent depuis des années une politique dite du "prix à payer", consistant à se venger sur des villageois palestiniens, des lieux de culte musulmans et chrétiens, des décisions gouvernementales qu’ils jugent hostiles à leurs intérêts. Le 20 février, des graffitis avaient été découverts sur les murs d’une église baptiste à Jérusalem-Ouest. Treize jours auparavant, des inconnus avaient inscrit "Mort aux chrétiens" et "Le prix à payer" sur un mur d’enceinte du monastère de la Croix à Jérusalem-Ouest, la partie juive de la Ville sainte.

    E&R

  • Argentine: la présidente Kirchner tient tête au FMI

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    02/10/12 – 14h00
    NEW YORK (NOVOpress)
    — « Mon pays n’est pas une équipe de football, c’est une nation souveraine qui prend souverainement ses décisions et qui ne se soumet à aucune pression et encore moins aux menaces », c’est ainsi que Cristina Kirchner, présidente de l’Argentine (photo ci-dessus), a répondu à la tribune des Nations unies aux injonctions lancées à son pays par le FMI et son actuelle dirigeante Christine Lagarde.

    Le FMI a en effet lancé un ultimatum de trois mois à Buenos Aires pour « remettre en ordre » ses statistiques économiques et présenter un bilan complet sous peine de se voir retirer son droit de vote au sein de l’institution internationale, voire même d’en être exclu.

     

    Des exigences et un ton comminatoire inacceptables pour la présidente argentine qui a dénoncé « l’absence totale d’autocritique » du FMI et son « incapacité totale à résoudre la crise économique ».

    Très en verve, la dirigeante argentine s’en est également prise au fonctionnement du conseil de sécurité de l’ONU, qui « permet aux membres permanents de ne pas se soumettre aux règles générales et de violer systématiquement les normes, comme par exemple l’Angleterre sur la question de la souveraineté des îles Malouines. »

    Un ton frondeur et dissident qui a déclenché d’importantes salves d’applaudissements dans l’assemblée.

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine.