Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1163

  • Sarkozy achète un palais au Maroc pour 5 millions d'euros

     

    L’ancien président de la « ripoublique » ne connait pas la crise. D’après une information révélée par le quotidien « Akhbar Al Yaoum », reprise par le site « Bladi.net », l’ancien couple présidentiel vient de mettre la main sur un superbe palais, « Antarès », dans le triangle d’or de Marrakech, pour la bagatelle de cinq millions d’euros. Ce n’est pas la première fois que cette rumeur circule. Au début de l’année, elle nous avait été rapportée par le magazine « Le Point ». Cette fois cependant, elle semble se confirmer, assurent les médias marocains. Il s’agit d’une luxueuse résidence située dans la Palmeraie Amelkis à Marrakech, non loin du palais « Rhoul ».

    Contre-info.com

  • " Gustave Le Bon est un esprit universel, loin des caricatures" - Entretien avec Catherine Rouvier

    sans-titre.png Gustave Le Bon.png

    Catherine Rouvier - docteur d’État en droit public et en science politique, maître de conférences à l’Université de Paris XI- a consacré il y a quelques années une thèse d’histoire des idées politiques à Gustave Le Bon (photo), qui a eu les honneurs d’une publication rapide aux Presses universitaires de France (1986) sous le titre Gustave Le Bon ou la mesure de l’irrationnel en politique, livre assorti d’une préface d’Edgar Faure et, last but not least, d’un prix de l’Académie française… Un jeune éditeur, Grégoire Boucher (éd. Terramare), a souhaité que cette œuvre soit disponible à nouveau tout en étant mise à la portée d’un large public.

     

    Minute : Pourquoi faut-il se plonger dans Gustave Lebon aujourd’hui ?

    Catherine Rouvier : Parce que durant la période décisive pour les idées politiques comme pour les avancées scientifiques contemporaines où il a vécu (1841-1931), il a fait des découvertes étonnantes. Pour ce qui est des sciences « exactes », ses recherches ont attiré l’attention du physicien Edouard Branly, avec qui il a travaillé sur les ondes hertziennes, puis d’Albert Einstein, dont on possède une lettre louant Le Bon d’être arrivé aux mêmes résultats que lui sur la radioactivité. Mais ses découvertes tout aussi éminentes en sciences sociales ne lui ont étrangement pas attiré les mêmes louanges académiques. De son vivant, si ses « déjeuners du mercredi » attirent les grands hommes de son temps, de Poincaré à Bergson, Emile Durkheim, premier titulaire du cours de sociologie à la Sorbonne, l’ignore. C’est pour le rendre au public que j’ai remis sur le métier mon ouvrage à l’occasion des dernières élections.

    Vous parlez d’incompréhensions dont Gustave Le Bon aurait fait les frais. Pouvez-vous nous donner un exemple ?

    Son ouvrage capital, celui qui demeure le plus souvent cité, s’intitule Psychologie des foules. Il est paru pour la première fois en 1895, a été lu par Lénine, Staline, Mussolini (dont on conserve une lettre à Lebon), mais aussi par Hitler ou encore De Gaulle. Mais à propos de ce livre, on fait couramment un contre-sens en confondant les foules et les masses. Gustave Lebon n’a pas pensé les masses. Si l’on cherche quelqu’un qui s’est intéressé aux masses, il y a le psychanalyste Wilhelm Reich… Gustave Le Bon, ce qui l’intéresse, c’est la foule, non pas un groupe statique comme la masse, mais un groupe en mouvement.

    Qu’est-ce qui provoque ce mouvement ?

    Notons d’abord qu’il s’agit d’un phénomène temporaire. Deux choses peuvent être à l’origine de ce «mouvement de foule » : un événement ou un choc émotif. Pour comprendre la puissance de ce mouvement, il faut admettre d’abord que la foule est naturellement en attente. Parce qu’elle est expectative ou expectante, elle est éminemment suggestible. Donc elle peut obéir au premier mot d’ordre et cela dans l’instant. Et elle va agir comme un seul individu. Il y a ce que Gustave Le Bon appelle « l’unité mentale de la foule ».

    Il faut que la foule se trouve réunie dans une manifestation monstre pour que cette attente se manifeste ?

    « Gustave Le Bon est un esprit universel, loin des caricatures » – Entretien avec Catherine Rouvier Non, ce n’est pas nécessaire. C’est l’une des grandes découvertes de Le Bon. Il a anticipé sur un phénomène contemporain que l’on appelle « le public ». On peut donc appliquer les considérations de Le Bon à un électorat par exemple, qui est aussi un public. Le succès des discours politiques vient souvent de la réactivation mémorielle d’un passé de gloire ou d’humiliation, et cela fonctionne parfaitement, même à distance. Les neurosciences sont venues récemment confirmer les intuitions de Le Bon. L’« alerte neuronale », en cas d’émotion forte, provoque une réaction à la fois très rapide et potentiellement irrationnelle car court-circuitant le néocortex, et l’empathie permet la propagation rapide de cette réaction à l’ensemble de la foule.

    Ne peut-on pas reprocher à Le Bon cette dimension très médicale de son œuvre sociologique ?

    Le Bon est d’abord médecin : il a écrit sur le choléra, sur la mort apparente ou sur l’hygiène du soldat. Il est aussi physicien. Mais c’est un esprit universel. Dès son premier ouvrage de sciences sociales L’homme et les sociétés, il se montre un vrai sociologue et le premier psychosociologue de notre temps. Il est également géographe, lithographe, photographe. Son livre La civilisation des arabes, dont il a lui-même exécuté les dessins, est une merveille. Pour que le panorama soit complet, il s’est aussi intéressé à l’équitation. Edgar Faure, cavalier émérite, avait particulièrement apprécié cet aspect de son œuvre. Il a même touché à la métaphysique, avec un livre très attachant publié en 1914 et intitulé La vie des vérités. La question de la vie après la mort le passionnait, il a d’ailleurs aussi rédigé un ouvrage sur le phénomène de la mort apparente et des inhumations prématurées.

    Pourquoi Gustave Le Bon a-t-il réputation d’être réactionnaire ?

    On ne lui a pas pardonné Psychologie du socialisme. Il propose, dès les premières pages de son ouvrage, sa vision de ce que donnerait le triomphe du socialisme : « L’Etat fabriquerait tout sans concurrence permise. Les plus faibles traces d’initiatives, de liberté individuelle, de concurrence seraient supprimées. Le pays ne serait plus qu’une sorte d’immense couvent soumis à une sévère discipline, maintenu par une armée de fonctionnaires ». Pour lui, d’ailleurs, le socialisme est plus une religion qu’un simple étatisme. Sans la dimension de la croyance, il ne s’installerait pas aussi facilement…

    Le Bon, tout rationaliste qu’il soit, accorde une grande importance au fait religieux…

    Il apprécie le fait religieux dans la mesure où ce fait est capable de fonder une civilisation. Il s’intéresse à ce titre au christianisme mais aussi au bouddhisme et à l’islam et se montre, de ce fait, l’adversaire résolu d’un colonialisme reposant sur l’assimilation. Mais pour lui, le religieux n’est jamais loin du politique. C’est à propos du socialisme qu’il écrit : « Dès qu’une croyance est fixée dans les âmes, son absurdité n’apparaît plus, la raison ne l’atteint plus, le temps seul peut l’user ».

    Propos recueillis par Joël Prieur

    – Catherine Rouvier – Gustave Le Bon, Clés et enjeux de la Psychologie des foules – éd. Terramare, 19,90 euros.
    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 1er aout 2012 reproduit avec son aimable autorisation. En kiosque ou sur Internet.

    Crédit photo en Une : auteur inconnu, domaine public (plus de 70 ans).

     

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Syrie: l'AG de l'ONU adopte une résolution: Moscou vote contre

    sans-titre.png ONU AG.png

    L'Assemblée générale de l'Onu a adopté vendredi une résolution condamnant le bombardement des rebelles par l'armée syrienne; qualifiant ce document d'"inéquitable", la Russie a voté contre.

    La résolution a été soutenue par 133 pays, 12 ayant voté contre et 31 pays s'étant abstenus.

    La résolution, initialement proposée par l'Arabie saoudite, a été considérablement modifiée lors de son examen, des appels de la Ligue arabe aux sanctions contre la Syrie et à la démission du président Bachar el-Assad ayant été retirés du texte. Toutefois, le texte condamne surtout les autorités syriennes et non pas l'opposition qui veut renverser le gouvernement.

    La résolution de l'Assemblée générale, à la différence de celles du Conseil de sécurité de l'Onu, porte exclusivement le caractère de recommandation et de déclaration.

     

    RIA Novosti - 03/08/12

     

     
     
  • Le dessin du jour

    sans-titre.png  Syrie médailles de plomb.png

    Médailles de plomb en Syrie

  • Un bijoutier attaqué à Asnières

     

    Un bijoutier d’Asnières (Hauts-de-Seine) a été attaqué vendredi après-midi, avenue de la Redoute. La police a été alertée par l’entreprise de télésurveillance du magasin et s’est rendue sur place vers 16 heures.

     

     Le bijoutier gisait dans sa boutique, mâchoire fracturée et visage tuméfié.

     

    Les circonstances de l’attaque sont encore floues et le préjudice inconnu. La police judiciaire des Hauts-de-Seine est chargée de l’enquête.

     

    LeParisien.fr

  • L'Occident et l'apologie du terrorisme, par Thierry Meyssan

     http://www.voltairenet.org/L-Occident-et-l-apologie-du

     

    Un article très important, à lire!

     

    Réseau Voltaire | Damas (Syrie) | 1er août 2012

  • JO - La "judokate" saoudienne éliminée au premier tour

    sans-titre.png saoudienne voilée.png

     

    Un petit tour et puis s'en va. La Portoricaine Melissa Mojica, 13e mondiale, a éliminé la Saoudienne Wojdan Shaherkani au premier tour du tournoi olympique de judo, dans la catégorie des plus de 78 kilos, par ippon.
     
     
    Après une minute vingt-deux secondes de combat durant laquelle la Saoudienne n’a placé aucune attaque et semblait ne maîtriser aucun des fondamentaux du judo… Elle a combattu la couverte d'une sorte de bonnet de bain.

    Pour mémoire, la internationale de judo estimait avant le début des JO que l'athlète, âgée de 16 ans, devait combattre sans son hijab (le voile) pour des raisons de sécurité. Le Comité olympique saoudien avait alors indiqué qu’il retirerait sa judokate de la compétition si elle ne pouvait porter ce signe distinctif religieux. Après d'âpres discussions entre la Fédération internationale de judo (IJF) et le Comité olympique saoudien, le 31 juillet, le Comité international olympique (CIO) autorisait finalement la judokate Wojdan Shaherkani à monter sur le tatami.

    Les règlements de l'IJF sont clairs. Les combattants doivent se présenter tête nue, pour des raisons de sécurité. Au terme de l'accord finalement conclu mardi dernier, la judokate avait été autorisée à se présenter la «tête couverte de quelque chose». Capuche, filet, chapeau... Ce fut finalement un bonnet de bain.

    LeParisien.fr

     

    NdB: Il s'agissait vraisemblablement d'une "provocation" islamique!

  • BHL déçu par Hollande le presse d'agir !

    Au 2011, Bernard-Henri Lévy avait joué avec succès les aiguillons auprès de dans le conflit libyen, contribuant à l’intervention des Occidentaux qui s’était soldée par la chute de Kadhafi. Pour le philosophe, le nouveau français doit tenir ses « promesses » sur le dossier syrien.

     


    Les rebelles syriens ne cessent d’appeler la communauté internationale au secours. Que peut faire la France face aux veto russe et chinois?
    BERNARD-HENRI LÉVY.
    Passer outre. C’est ce que Nicolas Sarkozy avait envisagé de faire pour la Libye. Je le revois, le 10 mars 2011 à l’Elysée, face aux Libyens lui demandant ce qui se passerait si Russes et Chinois opposaient leur veto à la résolution française. Il y a eu un long silence. Il a dit : « On fera comme au Kosovo. Avec les Britannqus, la Ligue arabe et certains Etats africains, on passera outre. »



    Ça voudrait dire quoi, aujourd’hui?
    Ça voudrait dire acter l’échec lamentable des Nations unies. Et forger une alliance ad hoc avec la Ligue arabe et cette fois les Turcs. Les plans d’attaque sont prêts. Il ne faut plus grand-chose, chacun le sait, pour donner le coup de grâce au régime. Il manque juste un pilote dans l’avion. Et, même si les avions sont turcs, le pilote peut et doit être français.

    François Hollande est critiqué pour sa passivité. Trouvez-vous qu’il a fait pour l’instant ce qu’il fallait?
    Ce dont je suis sûr, c’est qu’il n’a pas fait ce qu’il avait promis le 29 mai sur France 2. Il parlait ce soir-là de « chasser » Bachar al-Assad. Et il n’excluait pour cela aucun moyen, même militaire. Nous sommes loin du compte.

    Vous êtes déçu?
    Bien sûr, je suis déçu par Hollande. J’ai voté pour lui. J’ai trouvé courageuses et justes les décisions prises en matière économique et face à la crise de l’Europe. Mais là, devant ce qui restera peut-être comme la grande épreuve historique, politique, morale, du quinquennat, cet attentisme, ce flot de bonnes paroles sans effet, ce n’est plus possible.

    Et Fabius?
    La France a pris hier (NDLR : mercredi) la présidence du Conseil de sécurité. On va voir ce que Fabius en fera. L’histoire n’est jamais complètement écrite, vous savez. Et il n’est pas rare qu’une parole, une simple parole, si elle est inspirée et forte, crée un électrochoc mondial et touche la conscience universelle. Y compris, pourquoi pas, la conscience chinoise ou russe. Attendons. Espérons.

    Faut-il livrer des armes aux insurgés?
    C’est toujours la même histoire. Ou bien on les aide ou bien on les laisse s’aider eux-mêmes. Personnellement, je préférerais que la communauté internationale prenne ses responsabilités. Et assume, comme en Libye, celle de protéger. Mais si elle persiste dans l’atermoiement, alors, oui, il faudra livrer plus d’armes.

    Il y a aussi des exécutions côté rebelles, des règlements de comptes, les chrétiens se sentent menacés…
    Plus on attend, et plus il y aura d’exactions. C’est une autre raison qui rend si urgente l’intervention. Quant aux chrétiens, bien sûr que leur situation est terrible. L’intervention, quand elle aura lieu, devra être assortie d’un avertissement clair aux Syriens libres : « Ne touchez pas aux chrétiens. »

    Assad peut-il tenir? N’est-il pas moins isolé que ne l’était Kadhafi?
    C’est un autre mythe, propagé par ceux qui ne veulent rien faire. Assad est plus isolé que ne l’était Kadhafi dans le monde arabe. Plus isolé en Afrique. Et quant à ce fameux soutien russe et chinois qui arrange finalement tant de gens, Kadhafi en a bénéficié tout autant… et bien après le début de l’intervention! La différence, c’est que la coalition en Libye n’a pas cédé au chantage.



    Le Parisien - 03/08/12

  • Depuis un mois, un voyagiste refuse d’emmener ses clients en Hongrie, dénonçant la dérive antidémocratique du pays

    sans-titre.png Dominqie Friedman.png

    Dominique Friedman

    sans-titre.png Magyar Garda à Budapest.png

    Budapest, 31 juillet 2012 - Les membres de la très controversée Garde de Fer hongroise (Magyar Garda)

     

    MICHEL VALENTIN | Publié le 01.08.2012, 07h00

    « Je n’amène pas mes clients là où, moi, je n’irais pas. » Fort de ce raisonnement, Dominique Friedman, patron du voyagiste Sept & Demi, a décidé depuis un mois de boycotter la Hongrie. Une destination que ne dessert donc plus ce petit voyagiste spécialisé dans les groupes, les incentives (séjours mêlant travail et détente), ou les voyages mémoriels en Europe centrale et de l’Est.
     


    Une initiative mûrement réfléchie, revendique ce membre de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme), dont la famille est originaire de ces contrées orientales, et qui dirige un tour-opérateur plus important, Nortours, expert de la Scandinavie. « Depuis que je fais ce métier, j’essaie le plus possible d’avoir une ligne éthique. La Hongrie est un pays qui me tient à cœur, et qui représente d’ailleurs 10% de mon chiffre d’affaires. Mais, là, ce n’est plus possible. Ils sont là-bas en train de réhabiliter des symboles des années 1930 et de la guerre, des personnages qui ont été les alliés de Hitler et de Mussolini, qui ont collaboré à l’assassinat des juifs. »

    « C’est un peu comme si en on faisait aujourd’hui des statues à la gloire de Pétain et de Laval, s’étrangle Dominique Friedman. Je vois aussi sur place une très forte résurgence de l’antisémitisme, et la haine des Roms qui prend de l’ampleur. Je ne peux pas rester insensible à ce qui se passe en Hongrie. Le tourisme responsable, c’est aussi ça. » Sept & Demi s’interroge d’ailleurs sur le maintien d’autres destinations, comme la Russie : « J’y travaille de moins en moins, et je me pose des questions », assure le voyagiste. Il n’est manifestement pas le seul. Selon un sondage informel réalisé par le site spécialisé Tourmag.com auprès de plus de 500 professionnels et publié lundi, 46,67% des personnes interrogées ont répondu par l’affirmative à la question « Arrêteriez-vous de vendre une destination pour raison politique? ». 34,51% des sondés refusent, et 12,94% bottent en touche en disant « Peut-être ». « Un large consensus, donc, en faveur d’un boycott éventuel », analyse Tourmag, qui se pose tout de même la question : « Le feraient-ils vraiment? On n’en sait rien, mais cette prise de position est, en soi, plutôt courageuse. » Reste que Sept & Demi n’est qu’un tout petit voyagiste (« Quelques centaines de dossiers par an », reconnaît Dominique Friedman), et qu’aucun des mastodontes du secteur ne semble le suivre dans sa prise de position. « Elle est dangereuse assure même René-Marc Chikli, du Ceto, le Centre d’études des tour-opérateurs, qui regroupe tous les plus gros professionnels du secteur (mais ni Sept & Demi ni Nortours). Si on part sur cette philosophie, on peut rayer la moitié du monde de nos catalogues! La politique n’a pas à entrer en ligne de compte. Ce qui compte avant tout, c’est la sécurité de nos clients. Nous évaluons en permanence la situation sur place dans les pays avec lesquels nous travaillons. Lorsqu’ils courent le moindre risque, nous supprimons immédiatement une destination, mais pas pour des motifs ! »

    Le Parisien

  • BHL: "Une intervention en Syrie est inévitable"

    sans-titre.png BHL WC.png

    Interrogé par Europe 1, Bernard-Henri Lévy est revenu la situation en Syrie où la ville d'Alep est en proie à de violents combats depuis plusieurs jours. Bernard-Henri Lévy estime qu'une "intervention militaire est inévitable en Syrie".

    Alors que la France prend la tête de la présidence du Conseil de Sécurité de l'ONU, le philosophe appelle le pays à "mettre au pied du mur la Russie et la Chine qui s'opposent à une intervention en Syrie. "Les Russes ont intérêt à débloquer ce verrou et la France peuvent les aider en tenant un discours de fermeté et en leur faisant savoir que, quoique qu'il arrive, une intervention militaire est inévitable. Pas de la même forme que la Libye, que les pays voisins, la Turquie, certains pays arabes, mais on ne peut plus laisser faire ce massacre au quotidien. Voila ce qui doit être dit aux Russes avec eux ou sans eux", a-t-il commenté.

    BHL se montre toutefois confiant pour faire changer les Russes et les Choinois d'avis. "Je pense que les Russes et les Chinois sont en train de changer de position, ils en donnent des signes multipliés. Ils sont en train de le faire non pas parce qu'ils sont en train de se convertir à la morale humaniste universelle, mais parce qu'ils se rendent compte que pour sauver une base navale en Syrie, ils sont en train de perdre toute leur position dans le monde arabe en général, parce qu'ils s'associent aux assassins", a estimé le philosophe.


     

    Illustration Les moutons enragés

    Europe1 - 01/08/12

  • Montélimar - Une fillette de 18 mois brûlée par un verre d'eau bouillante donné à la crèche

    Les faits datent du 19 juillet dernier, mais n’avaient pas été rendus publics.

    À Montélimar (Drôme), à la crèche intercommunale Montlouis, une fillette de 18 mois a été sérieusement brûlée par un verre d’eau bouillante que lui avait donné, accidentellement, une auxiliaire de puériculture.

    L’enfant a été soignée au centre hospitalier de Montélimar, puis a été hospitalisée dans le service des grands brûlés de Lyon. Ses parents ont déposé plainte.

    Le Dauphiné libéré - 02/08/12

  • La chasse aux nazis : opération "Dernière chance" pour Efraïm Zuroff

    sans-titre.png chasse aux nazis.png

    Il a passé sa vie à faire des listes de noms. Sans relâche. Il peut en réciter certaines par cœur, tant elles sont ancrées dans sa mémoire. A Jérusalem, dans son petit bureau tout déglingué, encombré de papiers et de livres, Efraïm Zuroff, du Centre Simon-Wiesenthal, est l'un des derniers "chasseurs de nazis" en activité.

    A 63 ans, l'homme refuse obstinément de prendre sa retraite, même si ses proies sont désormais nonagénaires. Et que, le temps passant, elles s'éteignent une à une, ainsi que les témoins de leurs actes. Chaque année, Zuroff publie la liste des dix criminels nazis les plus recherchés. Et, tous les ans, il doit rayer des noms. Deux sur la liste de 2011. Et déjà un sur celle de 2012, publié en avril : Klaas Carel Faber, réfugié en Allemagne, mort un mois plus tard, alors qu'il était sous le coup d'une demande d'extradition des Pays-Bas.

    "Le temps, mon pire ennemi"

    "Chaque fois que l'un d'eux meurt, je suis terriblement déprimé. Je suis le seul juif qui prie chaque jour pour qu'ils restent en bonne santé et vivants", dit Zuroff, qui alors remplace les noms par d'autres. Il en a encore une petite vingtaine en "stock". Des collaborateurs du régime nazi - hongrois, allemands ou autrichiens-, tous identifiés, avec leurs adresses : bien souvent, des procédures ont été entamées, mais sans aboutir au procès. Leur dossier s'est baladé du Canada à l'Australie, en passant par l'Autriche.

    Et puis tout le monde les a oubliés, les médias comme les autorités. Pas Zuroff. Il y a dix ans, ce drôle de justicier lançait l'opération "Dernière Chance", pour retrouver ces vieillards, ex-criminels de guerre, avant que la mort ne les fauche. "Simon Wiesenthal a dû se battre contre les autorités, à un moment où il n'était pas si facile de parler de l'Holocauste. Mais je dois en revanche me battre contre le temps. C'est mon pire ennemi." (...)

    Doan Bui

    Le Nouvel Observateur - 01/08/12

  • Scandaleux! " Les faits ou les circonstances des faits dont vous vous êtes plaint n’ont pu être clairement établis par l’enquête "

         

    (…) Nous sommes le 5 mars, vers 16 h. Marcel marche au bras de sa femme à proximité de la Fnac. Il se déplace lentement tant le handicap dont il souffre l’atteint. Il suffit de regarder cet homme âgé de 86 ans pour ne rien ignorer de sa vulnérabilité. « Sans raison apparente, un jeune excité fonce sur moi et m’agresse d’un coup de tête au visage. »

    …« Je ne voulais pas porter plainte parce que j’avais peur. Mais pour l’exemple, je me suis décidé. » Persuadé que la justice sera de son côté, Marcel attend.
    « Les jours passent mais le traumatisme reste. Depuis, nous évitons la foule, nous ne sortons plus à la nuit tombée. Nous n’arrivons plus à nous sortir cette histoire de la tête. » C’était difficile, c’est devenu insupportable. Depuis cet avis de classement sans suite, la colère se mêle à un sentiment d’abandon. « Je n’ai jamais rien demandé. À 18 ans, je me suis engagé pour que ces jeunes puissent vivre librement. Aujourd’hui que j’en appelle à la justice pour me rendre justice, on me tourne le dos. »

    Suite et source : L’Est Eclair, merci à Miserecord

    Défrancisation

  • La statue de Carla Bruni a bien été installée dans le Val-de-Marne

    http://www.rtl.fr/actualites/insolite/article/il-y-aura-bien-une-statue-de-carla-bruni-sarkozy-dans-le-val-de-marne-7751340456

    PHOTOS

  • Un massacre ordinaire de l'ASL, par Thierry Meyssan

    Après avoir échoué à se maintenir à Homs et avoir perdu la bataille de Damas, l’Armée « syrienne » libre a lancé une attaque contre Alep.

    L’ASL a réussi à prendre le contrôle de deux quartiers de la ville et d’un vaste parc public. Elle s’est emparée de plusieurs commissariats, massacrant tous les policiers.

    La majorité de la population des quartiers concernés s’est réfugiée dans la partie de la ville contrôlée par les loyalistes. L’ASL voudrait ériger un Émirat islamique dans le quartier d’Al-Nereb comme elle le fit à Baba Amr, un quartier de Homs. Pour cela, elle a expulsé les résidents non-sunnites restés sur place, non sans avoir massacré au préalable les familles jugées « favorables au régime ».

    Sur cette vidéo, filmée par l’ASL le 31 juillet 2012, 15 membres de la famille bédouine Al-Berri sont alignés contre un mur et fusillés. On notera l’état d’extrême excitation des islamistes qui, pour la plupart, sont sous l’emprise de drogues.

    Les journalistes occidentaux "embedded" dans l’ASL, qui sont entrés illégalement en Syrie avec les combattants de l’ASL stationnés en Turquie, ont été ramenés à la frontière depuis plusieurs jours déjà pour ne pas assister aux exactions. Ils n’auront été baladés que quelques jours par les services de Relations publiques de l’OTAN, ne voyant que ce qu’on avait décidé de leur montrer et que l’on avait parfois mis en scène pour eux. Ils persistent à décrire la situation comme une révolution populaire et démocratique bien qu’ils aient constaté par eux-mêmes que les combattants venaient de Turquie et n’avaient d’autre soutien en Syrie que des groupuscules de fanatiques religieux.

    Réseau voltaire - voltairenet.org - 01/08/12

  • Le Projet Apache et le BI Paris-IdF soutiennent le bijoutier de la Motte-Picquet

    sans-titre.png Projet Apache.png

    01/08/2012 – 19h00
    PARIS (NOVOpress) – Les Identitaires du Projet Apache et du Bloc Identitaire Paris – Ile de France ont manifesté leur soutien au bijoutier de l’avenue de la Motte-Picquet.

    Rappelons que ce bijoutier, braqué pour la troisième fois, a eu le tort de tirer, avec une arme légalement détenue pour se protéger, avant que son agresseur armé, Mahjoub Ainani, tire. Le malfrat est mort et le bijoutier a été mis en examen pour « homicide volontaire » et placé sous strict contrôle judiciaire.

    Ces deux formations ont distribué des tracts (photo) vendredi près de la boutique du bijoutier, “recevant un accueil chaleureux de la part des passants et des habitants du quartier, émus par l’incroyable inversion des rôles et le traitement réservé à ce commerçant, qui a commis le crime de sauver sa peau”. Elles ont également affiché des tracts à proximité de la bijouterie et signé une pétition lancée par les habitants du quartier.

    Le nom de ce bijoutier “aurait pu rejoindre la liste déjà longue des bijoutiers abattus par des malfrats : par exemple en avril 2011 où un bijoutier fut assassiné dans le quartier des Batignolles à Paris, tandis qu’un autre se faisait tuer d’une balle en pleine tête au mois de novembre 2011, à Cannes.” ont-elles ajouté.

    Dans leur publication ces formations “exigent, avec le bon sens le plus évident, qu’on arrête de faire des agresseurs les victimes, et inversement. Comme nous l’avions fait au moment de l’affaire René Galinier, pour lequel nous étions en première ligne, nous soutenons que défendre son foyer n’est pas un crime et appelons la Justice à une réforme du statut de légitime défense, incluant la notion de sanctuarisation du domicile, et du commerce.En l’état, nous exigeons l’arrêt immédiat des poursuites envers notre commerçant, la reconnaissance par la Justice du statut de légitime défense qui apparaît ici évident, et la tolérance zéro face à la racaille, sans laquelle le bijoutier (et d’autres !) passerait aujourd’hui des vacances tranquilles !”

    Une pétition en ligne peut être signée en soutien au bijoutier. Elle sera remise à Messieurs Bertrand Delanoë (Maire de Paris), Manuel Valls (Ministre de l’Intérieur), et Bernard Boucault (Préfet de Paris).

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

     

  • Al-Assad: les combats en ce moment en Syrie sont "fatidiques" - 01/08/2012

     

    Al-Assad: les combats en ce moment en Syrie sont "fatidiques"




    DAMAS, 1er août (Xinhua) -- Le président syrien Bachar al-Assad a déclaré mercredi que les troupes de l'armée luttaient dans des combats "fatidiques" car les "ennemis" utilisent des éléments internes pour déstabiliser la Syrie, alors que la mission d'observation de l'ONU a confirmé que les rebelles armés étaient en possession d'armes lourdes, dont des chars à Alep.

    Devant l'armée syrienne, à l'occasion du 67ème anniversaire de sa fondation, M. Assad a déclaré que les ennemis de la Syrie utilisaient les agents internes comme "pont" pour nuire à la stabilité et à la sécurité de la Syrie et "faire plonger nos potentiels économiques et nos compétences scientifiques".

    Le président s'est exprimé à ce propos, car son pouvoir connait des difficultés en interne comme à l'extérieur, les rebelles armés par l'Occident étant engagés dans une guerre d'usure contre les bastions du gouvernement dans la capitale Damas et la province d'Alep au nord, plateforme de l'économie syrienne.

    Les derniers rapports sur les combats à Alep, qui ont commencé il y a six semaines, montrent que les rebelles ont en leur possession des missiles surface-à-air turcs. Le Premier ministre turc a d'ailleurs récemment déclaré que les Syriens "seraient bientôt libérés du régime avec du sang sur leurs mains".

    Par ailleurs, la Mission de supervision de l'ONU en Syrie (la MISNUS) a confirmé que les rebelles armés, pour la première fois, étaient en possession d'armes lourdes, notamment de chars, comme à Alep.

    Mercredi, Sausan Ghosheh, porte-parole de la mission, a déclaré: "Nous détenons des informations... il y a eu une forte utilisation d'armes lourdes dont des chars et mitraillettes", ajoutant que " hier (mardi)... nous avons vu des tirs émanant d'avions".

    A Alep, l'agence de presse officielle syrienne SANA a rapporté mercredi que les forces militaires avaient pourchassé des groupes terroristes armés dans le nord de la ville. Des dizaines de terroristes auraient alors été tués et blessés, certains de nationalité arabe.

    Les affrontements à Alep ont également été marqués par la participation d'une tierce partie. Les informations montrent que des centaines de Jihadistes affiliés à Al-Qaïda et à des groupes similaires ont réussi à entrer récemment en Syrie pour exploiter le chaos.

    Le journal Guardian a rapporté les propos d'un leader rebelle qui déclarait: "Al-Qaïda est désormais à plusieurs endroits en Syrie, ils travaillent séparément, ils sont même à Alep. Nous ne travaillons pas avec eux. Ils ont des combattants syriens et arabes et ont leurs propres cibles et armes".

    "Il y a différents groupes radicaux. Nous ne traitons pas avec eux", a-t-il poursuivi.

     

    http://french.news.cn/monde/2012-08/02/c_131754493.htm http://french.news.cn/monde/2012-08/02/c_131754493.htm    

     

    ALTERINFO.COM