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Blog - Page 1395

  • Une église vandalisée en Seine-Maritime

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    L’église de Saint-Jouin-Bruneval a été vandalisée le week-end dernier, dans la nuit du samedi au dimanche. Des voyous sont entrés par la porte du clocher, qui mène à la tribune. Ils sont ensuite descendus avec une échelle.

    Les vandales ont enfoncé la porte de la sacristie avec un banc de la chorale, qu’ils ont arraché. Ils ont renversé le pique-cierges et les cierges qui étaient dessus. Ils ont également arraché un coffre en bois près du maître-autel, arraché le tronc des cierges. Environ 20 euros se trouvaient à l’intérieur.
    Les gendarmes de Goderville sont sur l’affaire. La mairie a déposé plainte.

    Source : Paris Normandie, via Indignations.org

    SDource Défrancisation - 18/07/11

  • Le dessin du jour

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    200 voitures brûlées dans la petite couronne - (Cliquez sur le dessin)

  • Braquage d'un restaurant à Marseille: un enfant de 8 ans pris en otage - Les salauds ne sont pas -seulement- ceux que l'on croit !

     

    Communiqué de Stéphane Ravier, conseiller régional de PACA, membre du Bureau politique du Front National

    « On croyait avoir tout vu, tout entendu à Marseille. Des boulangers et des pompistes assassinés pour une poignée d’euros, des vieilles dames jetées à terre pour un collier en or, des trains attaqués comme au Far West, des touristes dévalisés en pleine rue, des joueurs de foot braqués à domicile les uns après les autres…

    Mais à Marseille, depuis quelques années, le pire est toujours à venir.

    Et l’on a beau savoir que, face à une police aux effectifs rachitiques, la délinquance ordinaire est désormais sans foi ni loi, ni scrupule, ni conscience, on est toujours stupéfait lorsqu’un cran supplémentaire est franchi dans la barbarie.

    Cette fois, c’est à l’Estaque, le village des panisses, des chichis frégis et des scènes d’amour de Plus Belle La Vie que les salauds ont frappé.

    « Les salauds »: c’est le mot qui vient à l’esprit, lorsqu’on imagine la terreur de ce gamin de 8 ans, pris en otage, pistolet pointé dans le dos.

    Un petit garçon qui, quelques minutes plus tôt, savourait encore l’insouciance de l’enfance, en finissant son dessert, au Cabanon de l’Estaque. Ce qui est sûr c’est que désormais à Marseille, aller dîner au resto le samedi soir, comme porter un bijou en or, ou téléphoner dans la rue, n’est pas sans danger. Et l’on n’ose imaginer quelle prochaine ignominie nous réserve la chronique des faits divers. »

    Le texte ci-dessus, je vous le confesse, n’est pas de Stéphane Ravier, ni de Marine Le Pen.

     Avouons que les termes utilisés pour dénoncer la dernière ignominie commise par des salauds qui franchissent un cran supplémentaire dans la barbarie dans une ville aux effectifs de police rachitiques et où le pire est toujours à venir, pouvaient laisser à penser qu’il s’agissait bien d’un communiqué d’un représentant du Front National.

    Il n’en est rien, ce communiqué de presse n’en est pas un ; il s’agit en réalité de l’extrait d’un article de presse trouvé dans le quotidien La Provence du jour et qui relate le braquage d’un restaurant dans le quartier de l’Estaque à Marseille.

    La journaliste on le voit, « se lâche » comme on dit aujourd’hui. Elle ne se contente plus en effet de rapporter de façon laconique un énième fait divers car celui-là, elle l’a pris en pleine figure ! Elle est touchée, blessée, horrifiée. Dès lors, ce n’est plus, ou plus seulement la journaliste qui écrit, c’est assurément la femme, peut-être la mère.
    Les mots sont durs, directs, percutants, et terriblement nouveaux sous la plume d’une journaliste du très politiquement correct quotidien de l’UMPS.

    A cette femme, à cette mère, et à cette journaliste, je veux dire, je veux rappeler, que les « salauds » ne sont pas, pas seulement, ces deux pourritures qui ont commis cette acte odieux.
    Les vrais salauds, les premiers, sont ceux et celles qui pendant des années ont nié, et continuent de nier la réalité de l’insécurité-barbarie « pour ne pas faire le jeu du Front National »
    Les salauds, ce sont celles et ceux qui, du haut du fronton de leur Mairie, du sommet de leur baronnie départementale ou régionale, du haut de leur hémicycle prétendument républicain, ont clamé et clament encore, que l’insécurité n’est qu’un sentiment, qu’un fonds de commerce électoral, et que le vrai problème se situerait ailleurs.

    Alors, à cette journaliste, à cette femme, ainsi qu’à toutes les femmes de Marseille et de France, je lance un appel au réveil des consciences précédent l’action salvatrice.

    Le temps est venu de permettre à une femme d’agir pour que nos enfants ne risquent plus leur vie en sortant de l’école, en traversant la rue, ou en accompagnant leurs parents au restaurant.


    Il est encore possible de s’arracher à cette spirale de l’ultra-violence, à cette « barbarie » en portant Marine Le Pen à l’Elysée pour qu’enfin la peur change de camp et que la tolérance zéro foudroie tous les salauds, qu’ils soient à capuche ou à cocarde !

    NPI - 18/07/11

  • La mère de Tristane Banon aurait eu une aventure avec DSK

    Ses déclarations pourraient faire l'effet d'une bombe. Le 13 juillet, Anne Mansouret, la mère de Tristane Banon, cette jeune écrivain qui a déposé plainte contre DSK pour tentative de viols'expliquait devant les enquêteurs de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) pendant six heures.

     

    L'express.fr en dévoile ce lundi soir la teneur : si l'élue PS a confirmé le récit de sa fille, elle a aussi fait une incroyable révélation. Elle aurait eu une relation sexuelle avec DSK.

    Selon le site de l'hebdomadaire, il s'agirait d'«une relation consentie mais clairement brutale, selon ses dires, qui se serait déroulée dans un bureau de l'OCDE, à Paris -où DSK avait été nommé, en 2000, conseiller spécial du secrétaire général de l'organisation. Un acte qu'elle n'a jamais voulu renouveler. Anne Mansouret était alors l'amie de Brigitte Guillemette, ex-femme de DSK et mère de Camille Strauss-Kahn, qui se trouvait être aussi la marraine de Tristane.»

    «J'ai couché avec la mère, j'ai pété un câble quand j'ai vu la fille»

    En révélant cet épisode -qu'ignorait sa fille- aux enquêteurs, Anne Mansouret dit vouloir décrire l'homme qu'elle a connu : «un prédateur qui cherche non pas à plaire mais à prendre, se comportant avec l'obscénité d'un soudard,» écrit lexpress.fr. 

    Anne Mansouret révèle également avoir eu des échanges avec son amie Brigitte Guillemette, l'ex-femme de DSK, à qui ce dernier aurait confessé, en substance : «Je ne sais pas ce qui m'a pris. J'ai couché avec la mère, j'ai pété un câble quand j'ai vu la fille.» Vendredi, Brigitte Guillemette a été entendue par la police et a démentie la version d'Anne Mansouret.

    était au courant

    Anne Mansouret confirme aussi qu'elle a déconseillé à sa fille de porter plainte, tout en voulant rencontrer DSK pour s'expliquer. Selon elle, le dirigeant socialiste «était désolé, s'excusait de son comportement, ne pensant pas faire du mal à Tristane.»
     
    Autre élément qui pourrait avoir des conséquences sur la vie politique des mois à venir : François Hollande était bien au courant de l'affaire, selon la mère de Tristane Banon. 

    «Anne Mansouret dit aussi avoir eu un échange avec François Hollande. Le premier secrétaire du PS, apparemment au courant, serait venu vers elle pour lui demander comment allait sa fille et ce qu'elle comptait faire, déposer plainte ou non. Il lui aurait aussi proposé de l'appeler - ce qu'il a fait, selon Tristane Banon», écrit lexpress.fr.

    François Hollande devrait être prochainement entendu par les policiers en charge de l'enquête, a-t-on appris lundi soir de source proche de l'enquête. La date de cette audition n'a pas été fixée.

    Source Le Parisien  - 18/07/11

  • Qui est-ce? n° 33

     

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    (Il s'agit de la même personne)

  • Laïcité: Bertrand Delanoë veut fêter la fin du Ramadan à l'hôtel de Ville!

    16/07/11

    PARIS (NOVOpress)– Les contribuables parisiens seront peut-être troublés par la conception très « relative » qu’a le Maire de Paris du principe de laïcité. En effet, à l’occasion de la rupture du Ramadan le 24 août prochain, Bertrand Delanoë « invite  les habitants et visiteurs de Paris de toutes les cultures et croyances à une soirée musicale d’échanges et de convivialité dans les salons de l’Hôtel de Ville ».

    Après le buffet qui marquera la rupture du jeûne, la chanteuse Abir Nasraoui et son ensemble se produiront sur scène pour le premier concert de la soirée.

     La seconde partie sera consacrée à Djerba International, groupe formé de musiciens venant « d’horizons différents ».

    Les festivités prévues pour le prochain carême catholique n’ont semble-t-il, elles, pas encore été programmées. Ni même envisagées.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • "Moi je vole les sacs à main et Allah Akhbar!"

     Le plus jeune a 12 ans. Ce sont des potes d’une cité. Ils s’amusent devant la caméra à décliner prénom, âge et « qualité ». L’un caillasse les bus. Un autre braque les vieilles. Etc. Ils jouent peut-être à être ce qu’ils ne sont pas ? Ce serait quand même le symptôme d’une France où, à leur âge, on devrait rêver d’être pompier, navigateur en solitaire ou pilote de chasse plutôt que voyou. Novopress avait présenté cette vidéo en décembre 2009 lors de sa publication sur Internet. Elle reste toujours symptomatique.

    NOVOPRESS.INFO - 17/07/11

  • VIDEO - Pérou: la Croix du Condor

    http://www.ina.fr/video/VDD09000527/perou-la-croix-du-condor.fr.html

    Au nord d'Arequipa, le Canyon del Colca présente par endroits des parois de plus de 3 000 m. C'est le cas à la Croix du Condor, lieu vertigineux connu pour être fréquenté par ces imposants oiseaux des Andes. Pour les observer, parfois par douzaines, il faut choisir les heures matinales. A ne pas confondre avec le vautour, le condor est le plus grand rapace au monde. Il peut atteindre une envergure de 3 m.

    17/07/11

  • Dessin du jour

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    (Cliquez sur le dessin)

  • Alpes du Sud: les loups font un carnage parmi les brebis et les agneaux

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    Cette année, 400 bêtes ont déjà été tuées par le loup. L'attaque la plus meurtrière a eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi à Méolans, en Ubaye. Éleveurs et élus montent au créneau.

    Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Ecologie, a été saisie.

    C'est sans doute l'attaque la plus meurtrière de ces dernières années. Et peut-être l'attaque de trop pour des éleveurs qui vivent depuis des années dans les Alpes du Sud avec la peur du loup. "Un vrai carnage", commente Emile Tron, le maire de Méolans-Revel. C'est sur cette commune de la vallée de l'Ubaye, à 1300 mètres d'altitude, dans la nuit de vendredi à samedi, que des loups ont attaqué un troupeau de presque 600 têtes, rassemblé dans un parc électrifié.

    Une brebis et un agneau ont été dévorés, 38 agneaux ont été tués et presque autant blessés, qui ont dû être euthanasiés. Un crève-coeur et une perte financière sèche pour Yves Derbez qui, depuis 2004, fait pâturer les mères et les agneaux dont la production a obtenu le label rouge, agneau de Sisteron, sur les terres de Méolans. "Nés au mois de juin, ils restent ici jusqu'à fin août avant de rejoindre le reste du troupeau, au vallon du Laverq", explique-t-il.

    "Un massacre"


    C'est Sandra Occelli, sa bergère depuis deux ans, qui a découvert le "massacre". "Je suis arrivée vers 7h30 et j'ai constaté que le parc était vide et défoncé. Je n'entendais plus les mères et leurs petits alors j'ai cherché. J'ai retrouvé le bétail et des cadavres éparpillés sur un rayon de 800 mètres", raconte cette fille d'éleveur. Selon le constat réalisé par les agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, cette attaque aurait été orchestrée par une louve et ses petits.

    "Pendant que la mère mangeait la brebis, les petits apprenaient à chasser sur les agneaux", raconte le berger. Hier soir, cet éleveur n'avait d'autre alternative que d'imposer à son bétail, affaibli, deux heures et demi de marche pour rejoindre la bergerie où il sera enfin à l'abri. Mais les craintes d'Yves Derbez et d'Émile Tron se portaient vers un autre troupeau stationné à quelques minutes de marche de son alpage. Et c'est chaque fois la même histoire....

    "Une situation critique"


    Depuis le début de l'année, près de 400 bêtes ont été tuées. La colère monte d'un cran dans les alpages et le député-maire UMP de Sisteron, Daniel Spagnou, l'a relayée hier en écrivant une (nouvelle) lettre à la ministre de l'Écologie, en charge du plan loup. Il y décrit une "situation critique".

    "Le prédateur est de plus en plus près des maisons et attaque maintenant en plein jour. Sans des vraies mesures radicales pour la survie de l'élevage (extensif-de qualité label rouge agneau de Sisteron-vitale économiquement avec le premier abattoir ovin d'Europe), c'est toute une filière structurée, éco-responsable, pourvoyeuse de plusieurs milliers d'emplois que vous condamnez". Et d'annoncer que, sans réponse du ministère, les bergers des Alpes du Sud pourraient bien organiser une transhumance inédite cet été, sous ses fenêtres.

    Source La Provence - 17/07/11

  • Oise: un maire refuse de marier deux handicapés mentaux

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    Suzon et Fabien (Cliquez sur la photo)

    Les ballons blancs accrochés aux rétroviseurs de la voiture de la mariée, les garçons et les demoiselles d’honneur, les coups de klaxon joyeux, des invités sur leur trente et un, les batteries des caméscopes et des appareils photo chargées à bloc… Une vraie fête de mariage… sans mariage. Suzon, 17 ans, et Fabien, 28 ans, tous deux handicapés mentaux, ont symboliquement échangé leurs alliances et un baiser tendre hier après-midi devant la grille fermée de la mairie de Hermes.

     

     Des « vive les mariés » retentissent sur la place du village, se mêlant à quelques insultes à l’intention du maire, Laurent Pagny, absent de la vraie-fausse cérémonie. Le premier magistrat a en effet refusé d’unir les deux tourtereaux au motif qu’il ne disposait pas de toutes les pièces nécessaires à la constitution du dossier de mariage, même si la mère de Suzon, cette dernière étant encore mineure, avait donné son autorisation, tout comme le juge pour Fabien, majeur sous curatelle.

    Evoquant des « zones d’ombre », Laurent Pagny a saisi le procureur de la République et une enquête a été diligentée. Elle prendra au moins un mois. Une décision qui a provoqué la colère du jeune couple et de leurs familles. Ils ont, malgré tout, décidé de maintenir la fête dont l’organisation avait été un peu précipitée en raison de l’état de santé préoccupant de la grand-mère maternelle de Suzon. Une manière aussi de manifester publiquement leur mécontentement sous la surveillance discrète de quelques gendarmes. « On est là pour dire aux gens qu’on peut être handicapé et se marier », confie Fabien, profondément ému dans son costume blanc à fines rayures.

    L’émotion mais la colère aussi quand il se met à secouer la grille de la mairie, qui reste obstinément fermée. Quelques minutes plus tôt, il avait les mains qui tremblaient lorsqu’il a remis son bouquet de fleurs roses et blanches, décoré de perles, à Suzon, qui ne se départ pas de son sourire sous la voilette de son chapeau ivoire, comme sa robe de mariée.

    « Je suis déçue de ce qu’a fait le maire », souffle-t-elle. Pour la cinquantaine d’invités présents, dont certains ont parcouru plusieurs centaines de kilomètres, comme pour des habitants de Hermes et Berthecourt « venus soutenir les mariés », il ne fait aucun doute que le dossier incomplet dont fait état le maire pour motiver son refus d’unir Suzon et Fabien n’est qu’un prétexte.

    « C’est inadmissible! Un abus de pouvoir! » s’indigne une habitante dans le « cahier de soutien », réalisé par Fabien et qui tourne comme une pétition. « C’est de la discrimination », assène Bettina Nicouleaud, la mère de Suzon, qui envisage de consulter un avocat pour déposer une plainte contre le maire. D’autres évoquent un contentieux ancien entre le grand-père maternel de Suzon et le premier magistrat au sujet de la ferme familiale, où les futurs époux doivent être hébergés.

    « Tout ça, c’est du n’importe quoi! » résume un oncle de la jeune femme, qui, comme d’autres membres de la famille, a été interrogé par les gendarmes dans le cadre de l’enquête en cours. « Ils cherchent à connaître les motivations de ce mariage. On nous a demandé s’ils s’aimaient vraiment, si ce n’était pas pour l’argent… »

    Après une heure passée devant la mairie, quelques larmes versées et photos-souvenirs engrangées, le cortège a pris la route de la salle des fêtes de Heilles. Comme prévu…

    Source Le Parisien - 17/07/11

     

  • Arles: excédé par le bruit, un homme de 76 ans a pris son fusil...

    http://www.lematin.ch/faits-divers/arles-excede-par-le-bruit-il-tire-dans-le-dos-dun-adolescent

    17/07/11

     

  • Arles: le cardinal Panafieu célèbre deux jubilés à Saint-Trophime

    Il a présidé, dimanche matin, la messe dans la Primatiale pour le jubilé des pères Bras et Cabanac.

     
    Le Cardinal Panafieu a ordonné les pères Cabanac (à g.) en 1991 et Bras (à d.) en 1986. Hier, la Reine d'Arles a assisté au jubilé.

    Le Cardinal Panafieu a ordonné les pères Cabanac (à gauche ) en 1991 et Bras (à droite ) en 1986.

    Photo A.T.

     Ce n'est pas au son d'un cor en corne de chèvre (traduction de jubilé en hébreu) mais bien avec le c (h) oeur de la Primatiale d'Arles que les pères Yves Bras et Stéphane Cabanac ont célébré, dimanche matin, leur jubilé à Saint-Trophime. Et à année exceptionnelle, invité exceptionnel, puisque c'est en présence du cardinal Bernard Panafieu, que les deux hommes ont fêté leurs 25 et 20 ans de sacerdoce. Cardinal depuis 2003, Bernard Panafieu a servi comme archevêque d'Aix et d'Arles de 1978 à 1994, avant d'être appelé à Marseille jusqu'en 2003.

    Un millier de fidèles et de proches se sont réunis dans la Primatiale pour célébrer ce moment à la fois solennel et joyeux. Une messe qui s'est déroulée en présence d'une dizaine de prêtres venus de toute la région mais aussi du Liban et du Sénégal, et devant une assistance fournie, où l'on a pu découvrir au milieu des touristes et des paroissiens, la toute nouvelle Reine d'Arles, Astrid Giraud, accompagnée de ses demoiselles d'honneur, le président de la Région, Michel Vauzelle ou encore le maire d'Arles, Hervé Schiavetti.

    Vingt années sacerdotales
    Vingt ans après son ordination, le père Stéphane Cabanac garde toujours sa foi intacte et le prêtre n'a pas manqué de témoigner au Cardinal sa reconnaissance. "Cher Père, en 1991 au moment de mon ordination vous m'avez envoyé une carte que je médite continuellement et qui contenait les mots du théologien Henri de Lubac' toutes les choses qui en valent la peine sont impossibles. Et pourtant Dieu nous les fait entreprendre'. Avant de poursuivre : le ministère presbytéral que j'ai reçu est une grâce".

    Des noces d'argent pour le père Bras
    Une grâce qui a aussi touché le père Bras, lorsque le Cardinal Panafieu l'a ordonné dans la cathédrale d'Aix-en-Provence, le 29 juin 1986. " Le sacerdoce est un don ", s'est ému celui qui fête cette année, ses 25 ans d'ordination. Pendant la messe l'Arlésien a aussi évoqué "sa vocation personnelle à devenir prêtre" qui résulte "d'un appel personnel de Dieu à des hommes qu'il a choisi pour ses limites et ses faiblesses". Par ce sacrement, le père Bras estime avoir reçu un pouvoir du Christ, dont il "n'est pas le propriétaire mais le serviteur" et qu'il transmet à ses fidèles à chaque messe. Et c'est non sans humour, "je vais finir par être un monument historique à Arles", qu'il a laissé le Cardinal Panafieu donner la bénédiction à tous les fidèles présents hier matin. Avant de se retrouver autour du vin d'honneur organisé dans les jardins de l'hôtel de ville.

    17/06/11

  • Les piscines musulmanes de Martine Aubry

    Regardez la vidéo jusqu'à la fin!

    17/07/11

  • 16 juillet 1942: "Je me suis évadée du Vel' d'Hiv' "

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    La famille Lichtsztejn - (Cliquez sur la photo)

    Depuis un mois, Sarah Lichtsztejn, 14 ans, et sa mère, Maria, n’ont plus le droit de sortir sans une étoile jaune cousue au côté gauche. Les jardins publics sont interdits à Sarah. Ce 16 juillet 1942, au petit matin, des coups sur la porte les arrachent brusquement à leur sommeil. « Police ! Ouvrez ! » Elles habitent un deux-pièces séparé par un rideau au rez-de-chaussée, en fond de cour, du 306, rue des Pyrénées, dans le XXe arrondissement de Paris.

    Evadé du camp d’internement de Pithiviers, dans le Loiret, où, interpellé dans la rue, il avait été conduit l’année précédente, le père de Sarah, Moïse, vit caché sous une fausse identité, Antoine Rinder, dans une chambre du passage d’Eupatoria, au métro Ménilmontant. Personne alors n’imagine que les femmes et les enfants risquent l’arrestation. Originaires d’un village de Biélorussie, où les Juifs ont l’habitude de dire « Heureux comme Dieu en France », les Lichtsztejn sont arrivés à Paris en 1930.

    Au petit matin

    Ce 16 juillet 1942, deux policiers français, un en civil, l’autre en uniforme, les pressent de s’habiller, de préparer une valise et de les suivre. Quelques heures plus tard, un autobus de la STCRP (Société des transports en commun de la région parisienne, ancêtre de la RATP), bondé d’autres Juifs, se gare rue Nélaton, dans le XVe, le long du Vélodrome d’Hiver. Une journée que relate Sarah Lichtsztejn-Montard dans un livre intitulé Chassez les papillons noirs, et que viennent de publier les éditions du Manuscrit.

    Peinte en bleu dans le cadre de la défense passive, l’immense verrière qui recouvre le Vél’d’Hiv jette une lumière fantomatique sur les flots d’hommes, de femmes, d’enfants, de vieillards, entassés dans les gradins et sur la pelouse. « La chaleur, se souvient Sarah, était étouffante, l’odeur épouvantable. Bouchées, les toilettes débordaient. Nous n’avions rien à manger, rien à boire. » Pour Maria et sa fille, il faut s’évader. Maria a compris que la rumeur selon laquelle les Juifs iraient travailler à l’Est dans des usines n’est que mensonge. « Quels emplois les Allemands, m’a-t-elle dit, pourraient-ils confier les Allemands à des grabataires ou à des nourrissons ? »

    Sarah y parvient la première. Devant le porche d’entrée, se massent des badauds, des proches en quête de nouvelles. Elle se faufile à reculons, dos tourné vers la rue, derrière un policier en faction. Lorsque celui-ci la surprend, elle lui explique qu’elle vient voir une amie. Il la refoule vers le trottoir. Elle est dehors. Sa mère va utiliser le même stratagème, également avec succès.

    Le mot de Drancy

    Durant deux ans, des amis vont aider Sarah et sa mère à se cacher. Jusqu’à ce qu’un voisin les dénonce, le 24 mai 1944. A Drancy, Sarah va écrire sur une feuille de papier quadrillé une lettre que lui dicte sa mère, et jette la feuille, sans enveloppe, par-dessus un balcon. Elle a indiqué deux adresses : rue Oberkampf, celle d’un oncle, et au Blanc-Mesnil, celle d’une amie de Maria.

    Le 30 mai 1944, Maria et Sarah, en gare de Bobigny, monteront dans le convoi 75 pour Auschwitz, où sur l’avant-bras gauche de Maria sera tatoué le matricule A 7141. Sur celui de Sarah : A 7142.

    Elles seront parmi les 85 rescapés de ce train de la mort de mille déportés. Le 15 novembre 1952, Maria se mariera avec un jeune résistant, Philippe Montard.

    Source France-Soir - 17/07/11

  • Un bull terrier "récidiviste" défigure une fillette de 4 ans à Boulogne-sur-Mer

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    (Cliquez sur la photo)

    La petite-fille de 4 ans qui a été sévèrement blessée samedi soir par un bull terrier de 7 ans répondant au nom de « Prince » présente des lésions irréversibles au visage. Le chien n'en est pas à sa première affaire.

     

    En septembre 2010, il s'était attaqué au cadavre de son maître qui était décédé naturellement quinze jours auparavant. Le chien qui aurait dû être euthanasié a pourtant été confié à un refuge animalier avant d'être adopté il y a une semaine par un jeune couple du Boulonnais qui ignorait tout de son histoire. C'est à l'occasion d'une fête entre amis au domicile du propriétaire du chien samedi soir que celui-ci a brutalement sauté au visage de la petite fille.


    Les sapeurs-pompiers sont alors intervenus et ont évacué la fillette à l'hôpital. Elle souffrait de profondes lésions au visage (nez arraché). Le chien qui n'est pas catégorisé comme un animal dangereux provenait d'un refuge animalier et il avait été adopté peu de temps auparavant.

    Source La Voix du Nord - 17/07/11

  • Fillon pris pour cible par la gauche après les propos scandaleux d'Eva Joly

    http://www.leparisien.fr/politique/fillon-pris-pour-cible-par-la-gauche-apres-l-affaire-eva-joly-16-07-2011-1535082.php

    16/07/11

  • Mouammar Kadhafi traite Sarkozy de "criminel de guerre" et de "retardé mental"

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    « Un criminel de guerre ». C'est en ces mots que Mouammar Kadhafi a désigné, jeudi, Nicolas Sarkozy, désormais élevé au rang de « meilleur ennemi » du régime libyen. Dans un enregistrement sonore diffusé par la télévision d'État – le troisième en deux semaines - le « guide » a une nouvelle fois motivé ses troupes en ciblant les ennemis occidentaux et donc, le chef de l'État français, qu'il critique violemment. « Sarkozy a détruit les rapports de son pays avec la Libye et les pays musulmans, assène-t-il avec sa retenue habituelle. C'est un retardé mental. » 

    Et Mouammar Kadhafi de faire référence aux origines hongroises du président de la République, assurant que le chef de l'État n'est « pas français » et qu'il a même « entaché l'histoire de la nation française ». Le dirigeant libyen va même jusqu'à conseiller le peuple de l'Hexagone. « En menant une croisade contre le peuple libyen, il (Nicolas Sarkozy) a entraîné son pays dans une guerre perdue. Celui-là n'est pas Français, il faut que le peuple bannisse ce criminel qui n'est pas français », a-t-il déclaré.

    Source France-Soir - 16/07/11

  • A Lille-plage, les hommes "vieux et seuls" sont refoulés !

     Trop de zèle à l'entrée de Lille-plage ?
     Trop de zèle à l'entrée de Lille-plage ?

    Comme dans les discothèques, ne rentre pas qui veut à Lille-plage. C'est en tout cas la mésaventure ...

     vécue par un sexagénaire la semaine dernière. À l'entrée de l'animation estivale, l'homme, venu d'Estaires (Flandres), a dû répondre aux questions des surveillants avant de se voir refuser l'entrée.

     La mairie confirme, embarrassée, nie toute consigne mais invoque un surcroît de vigilance depuis l'affaire de 2009 : cette année-là un garçon de 7 ans avait été victime d'attouchements. Les hommes seuls sont, depuis, particulièrement surveillés. Voire refoulés comme ce sexagénaire.

    Le patron d'un café lillois a vu arriver à son comptoir le vieil homme, que nous n'avons pu retrouver, dépité : « Il avait fait le déplacement pour voir Lille-plage, qu'il avait vu à la télé. Il voulait juste faire un tour ! On lui a dit qu'il fallait être accompagné d'une femme ou d'un enfant !

     « Notre souci est que les choses se passent bien pour les familles, insiste Walid Hanna, adjoint au maire. Il y a deux ans, on a tous été choqués et on nous a reproché de ne pas avoir fait suffisamment attention. » Traumatisée par cette affaire, la ville a renforcé la surveillance. « Les seules consignes, assure l'élu, c'est qu'on redouble de vigilance à l'intérieur.»

     Soit. Mais on ne peut imaginer que les jeunes agents prennent seuls la décision de refouler une personne à l'entrée. L'angoisse de la mairie les aurait au moins contraints à la faute.

     Samedi, nous avons tenté, sans décliner notre statut, de rentrer en homme seul. Nous avons passé les portes sans problème. On a bien senti un regard appuyé, mais pas un surveillant ne nous a questionnés. « Vous aviez une bonne tête et étiez souriant », nous expliquera-t-on plus tard. C'est ce qu'on appelle un délit de faciès. 

    Source La Voix du Nord - 16/07/11