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Blog - Page 1399

  • DSK: la rediffusion du dîner avec Tristane Banon est repoussée par le CSA

    Le CSA a demandé à Paris Première de ne pas programmer mercredi soir l'émission « 93 Faubourg Saint-Honoré » où l'écrivain accuse DSK d'agression sexuelle.

    Paris Première ne diffusera pas, mercredi soir comme prévu, le numéro du magazine de Thierry Ardisson «93 faubourg Saint-Honoré» dans lequel la journaliste-écrivain Tristane Banon avait lancé des accusations de tentative de viol contre Dominique Strauss-Khan. Et ce à la demande du CSA. Une chaîne de télévision doit respecter un délai de 14 jours avant de déprogrammer une émission, sauf en cas d'actualité brûlante. Or, Paris Première n'a annoncé que lundi son intention de diffuser ce fameux dîner avec Tristane Banon. Ce n'est que partie remise, celui-ci devrait être reprogrammé le 27 juillet à 22h35.

    C'est en 2007 qu'a été enregistrée la rencontre. Ce 5 février, le dîner est sur le point de s'achever. Comme d'habitude, les convives ont rigolé autour du thème du jour, les coulisses du pouvoir ; ambiance sympa au domicile de Thierry Ardisson qui a transformé son appartement en plateau de télévision pour l'émission « 93 rue du Faubourg-Saint-Honoré » sur Paris Première. Et puis, Tristane Banon, écrivain et journaliste, sans se départir du ton « badin » de l'émission, comme le dira plus tard Jean-Michel Aphatie, un des invités, raconte son interview avec Dominique Strauss -Kahn, dont le nom sera bipé lors de la diffusion du magazine le 13 février, comme il le sera mercredi soir.

    Elle raconte comment il lui a donné rendez-vous dans un « appartement vide, fermé la porte », lui a demandé de « lui tenir la main » pendant l'entretien, puis lui a pris les bras, jusqu'à ce que Tristane Banon se dégage. Elle explique alors qu'il s'est jeté sur elle comme un « chimpanzé en rut », qu'ils se sont « battus », qu'il a essayé de « dégrafer son soutien-gorge », qu'elle lui a parlé de viol. A l'image, mis à part quelques commentaires de Thierry Ardisson (« tu as commencé en col roulé, tu as fini en string ») et du voisin de la romancière, Roger Hanin, qui s'insurge (« tu vois, ça c'est de la connerie générale, s'il fait ça il peut faire n'importe quoi »), pas de réaction autour de la table. Pourtant à l'époque, Jean-Michel Aphatie a bondi. « J'avais entendu parler de cette histoire, raconte-t-il aujourd'hui. Je me suis étonné du ton de Tristane Banon, mais j'ai compris qu'elle voulait se mettre au diapason des autres, qu'en réalité elle était un bloc de douleur et qu'elle avait besoin de raconter cette agression ».

    Après le récit de la jeune femme, le journaliste de RTL s'emporte devant cette « passivité collective » : soit elle dit vrai et ces propos relèvent de la justice, soit elle ment et «nous sommes les otages de ce mensonge ». Aphatie demande à Thierry Ardisson de couper au montage la séquence où Tristane Banon accuse DSK sinon il quitte le plateau. L'animateur le rassure mais c'est cette séquence avec Aphatie qui sera coupée et le nom de DSK bipé. « Nous ne pouvions pas la garder », explique Stéphane Simon, producteur de « 93 rue du Faubourg-Saint-Honoré ». « Dans la charte de l'émission, il est bien stipulé que nous ne diffusons pas les moments où le téléspectateur pourrait s'apercevoir que l'émission n'est pas en direct ».

    Autre participant au dîner, le conseiller en communication Thierry Saussez, à l'époque conseiller du candidat Nicolas Sarkozy. Il explique pourquoi il n'a pas réagi : « D'abord, parce qu'il n'y avait aucun caractère dramatique dans le ton de Tristane Banon et que cette affaire ne suscitait pas un grand débat ; et puis, je ne pouvais pas profiter de ce dîner, où j'étais venu présenter mon livre, pour sauter sur DSK ! Vous imaginez les commentaires de l'opposition ! ».

     L'humoriste Gérald Dahan a simplement demandé à l'accusatrice : « Tu as porté plainte ? » ; en revanche motus et bouche cousue de la part des journalistes Claude Askolovitch et Hedwige Chevrillon, et du publicitaire Jacques Séguéla.

    Source Le Figaro - 12/07/11

     

  • Fillon fait voter la prolongation de l'action française en Libye

    Peu avant 18h, l'Assemblée a autorisé mardi par 482 voix contre 27 la prolongation au-delà de quatre mois de l'intervention militaire française en Libye. L'issue du vote ne faisait guère de doute, les groupes UMP, Nouveau Centre et PS ayant annoncé leur intention de voter pour la poursuite de l'opération.

    Depuis le début de l'intervention armée le 19 mars, "la situation militaire n'a cessé d'évoluer dans la bonne direction", avait auparavant estimé le chef du gouvernement lors de son discours dans l'hémicycle. "Partout les Libyens libres gagnent du terrain et c'est désormais sur Kadhafi que l'étau se resserre". "Kadhafi est acculé et il se dit lui-même dos au mur", a-t-il ajouté. "Certes, le point de rupture n'est pas encore atteint, mais c'est maintenant qu'il faut être ferme et c'est maintenant que la communauté internationale doit se montrer inflexible".

    "L'usage de la force armée est toujours lourd de conséquences", a-t-il souligné. "Mais que vaudraient aujourd'hui toutes nos interrogations, toutes ces critiques, si Benghazi était tombé et si sous nos yeux impuissants des milliers de civils supplémentaires avaient été exécutés?", s'est-il interrogé. "Ceux qui aujourd'hui nous reprochent notre activisme auraient sans doute été les premiers à nous reprocher notre passivité", a-t-il ajouté. "Comme vous et avec vous, je préfère le risque de l'action plutôt que la certitude de la défaite morale", a-t-il lancé aux députés.

    "Notre cause est juste, et c'est parce que cette cause est juste que le gouvernement et le Parlement ne tremblent pas devant cette responsabilité", a-t-il estimé. Depuis la réforme de 2008, la Constitution prévoit que le gouvernement doit demander au Parlement l'autorisation de prolonger toute intervention armée au-delà de quatre mois.

    12/07/11

     

     

     

  • L'intervention en Libye a déjà coûté 160 millions d'euros à la France!

    Les opérations françaises contre les forces du colonel Kadhafi, qui durent depuis trois mois, représentent un surcoût d'environ un million d'euros par jour pour l'armée française.

    Selon l'amiral Édouard Guillaud, chef d'état-major des armées, le surcoût pour la France de trois mois de guerre en Libye s'élève exactement à 160 millions d'euros. Moins précis, le ministre de la Défense Gérard Longuet s'est contenté de reconnaître un «ordre de grandeur» aux alentours de 100 millions d'euros. Un chiffre obtenu sur la base d'un million d'euros par jour, pour une opération qui a débuté le 19 mars.

    Ce montant est bien celui du surcoût, et non du coût net, c'est-à-dire qu'il n'inclut que les dépenses réalisées par l'armée en-dehors de ses frais routiniers. Par exemple, le salaire des soldats engagés n'est pas pris en compte, seule l'est la majoration qui leur est versée lors d'opérations extérieures. Environ 4000 soldats français participent à l'opération. Le total de leurs primes s'élève pour l'heure à 27 millions d'euros.

    70 millions d'euros de munitions

    Le poste de dépense le plus important est de loin celui des munitions. Un missile de précision Scalp vaut par exemple environ 500.000 euros. En tout, 70 millions d'euros de munitions ont déjà été tirées. À cela il faut ajouter l'usure du matériel, plus difficile à estimer. La marine nationale est engagée en première ligne, avec une dizaine de bâtiments déployés au large des côtes libyennes, dont le porte-avions Charles-de-Gaulle et le porte-hélicoptères Tonnerre. Dans les airs, Paris a mis en oeuvre une trentaine d'avions de chasse mais aussi des avions-radar ou ravitailleurs, ainsi qu'une quinzaine d'hélicoptères de combat depuis fin mai. Hors le coût de l'heure de vol (40.000 euros pour un Rafale), il faut prendre en compte le besoin accru d'opérations de maintenance lié aux nombreuses sorties effectuées (plus de 200 par semaine depuis le Charles-de-Gaulle).

    La ministre du Budget Valérie Pécresse assure que le pays «peut absorber» cet effort. Reste que les 100 millions d'euros déjà dépensés en Libye représentent 15% du budget annuel des opérations extérieures (Opex), voté à l'automne 2010 (630 millions d'euros). Une enveloppe qui ne sert pas à financer que les opérations en Libye mais aussi celles menées en Afghanistan et en Côte d'Ivoire. En cas de dépassement de ce budget, ce sera au gouvernement de mettre la main à la poche, et non au seul ministère de la Défense nationale, les Opex étant considérées comme des «actions gouvernementales», a précisé Gérard Longuet. Pour cela, le gouvernement pourrait être amené à demander au Parlement de voter de nouveaux crédits.

    Outre la France, les deux principaux contributeurs de la coalition internationale en Libye sont le Royaume-Uni et les États-Unis. Pour Londres, la facture des opérations menées par la Royal Air Force et la Navy s'élève jusqu'ici à environ 120 millions de livres (136 millions d'euros). Les Américains ont quant à eux estimé leurs dépenses au 3 juin à environ 715 millions de dollars, soit près de 500 millions d'euros.

    Source La  Figaro - 12/07/11

  • La mairie de Paris donne 700 € aux migrants qui acceptent de rentrer en Tunisie

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    Le "printemps arabe"... à Paris - (Cliquez sur la photo)

    C’est d’une véritable ornière dont la mairie de Paris tente de se sortir tant bien que mal : comment trouver une issue dans le dossier complexe de l’aide aux centaines de migrants tunisiens arrivés dans la capitale après le printemps arabe. Car la facture s’allonge : hier 500000 € supplémentaires ont été votés pour alimenter le plan d’aide qui est censé s’interrompre le 31 août.

     

    Et après? Les élus misent sur une mesure exceptionnelle : l’octroi d’une aide au retour en Tunisie de 700 €, pour les volontaires qui répondent aux critères d’attribution. Une première pour une mairie alors que ce type d’aide se gère habituellement au niveau international.

    « C’est une façon de répondre à la politique indigne de l’Etat dans ce dossier », s’est exclamé hier, en marge du conseil. Les élus parisiens dénoncent depuis le départ l’absence de l’Etat dans l’aide aux migrants tunisiens.

    Plus d’une centaine seraient prêts à accepter

     « Un cynisme absolu qui va très loin, poursuit Pascale Boistard, adjointe (PS) en charge de l’intégration. Alors que les aides au retour de l’Etat vont jusqu’à 2 000 € par personne, le gouvernement les a limitées exprès à 300 € pour les Tunisiens! Non seulement le gouvernement refuse d’assurer la plus simple aide humanitaire, mais en plus il empêche ces personnes de retourner chez elles, alors que certaines le souhaitent. Mais souvent, elles ont tout vendu pour payer leur passage en France, il faut bien qu’elles reviennent en Tunisie avec quelque chose. Je rappelle aussi que avait conclu un accord d’immigration choisie autorisant l’entrée en France de 8000 travailleurs tunisiens, accord qui n’a jamais été respecté. »

    Une vision de la situation contredite par le préfet de police, Michel Gaudin, qui affirme que 250 migrants sont déjà retournés en Tunisie avec la simple aide au retour de 300 €. De son côté, le président du groupe UMP, Jean-François Lamour, a fustigé le coût opaque que cette politique « fait supporter aux Parisiens ».

    La mairie héberge aujourd’hui 330 migrants dans différents sites gérés par des associations et subventionne des fournitures de repas et de kits sanitaires. Pascale Boistard estime que plus d’une centaine d’entre eux seraient prêts à accepter les 700 € pour l’aide au retour.

    Source Le Parisien - 12/07/11

     

     

     

  • Entretien de Marine Le Pen dans France-Soir: "Dix millions de fausses cartes Vitale circulent!"

     

    Qu’il s’agisse de l’immigration, de l’euro, du bilan de Sarkozy ou du destin de DSK, la candidate durcit le ton. Et renvoie gauche et droite dos à dos.

    France-Soir. Sur les questions d’immigration, n’êtes-vous pas frappée par le rapprochement qui s’esquisse entre le FN et une partie de l’UMP ?

    Marine Le Pen. « Frappée » ? Je suis surtout frappée par l’explosion de l’immigration. M. Guéant a admis qu’il avait accordé 203.000 titres de séjour en 2010. Sous Lionel Jospin, on était à 148.000 par an. L’UMP me fait penser à ces cancres qui, à l’école, ne font strictement rien de leurs deux premiers trimestres et qui, le dernier mois du dernier trimestre, se mettent subitement à travailler. Le problème c’est que cela ne fonctionne pas ! Les responsables UMP sont insincères, et ne réagissent aujourd’hui que pour des raisons purement électoralistes. Enfin, ce n’est pas Mme Royal qui est au pouvoir depuis quatre ans et demi : c’est Nicolas Sarkozy. Les gesticulations de Claude Guéant ne suffiront pas pour convaincre les Français que ce gouvernement est capable de répondre aux questions que pose l’immigration. Pas plus que celles des députés de la Droite populaire (l’aile droite de l’UMP, NDLR) : ils ne sont là que pour canaliser la colère des électeurs trahis. Je vais vous dire : si Nicolas Sarkozy leur a menti, c’est parce que, d’accord avec ses amis du CAC 40, il se sert de l’immigration pour peser à la baisse sur les salaires français.

    F.-S. La France peut-elle se permettre, comme le suggère le FN, de stopper demain toute forme d’immigration légale ?

    M. L. P. Bien sûr !… Je propose la mise en place d’un moratoire total sur l’immigration légale. Elle doit diminuer et être limitée, au bout de cinq ans, à 10.000 entrées annuelles. Alors que nos finances publiques sont en déliquescence et que nous avons 5 millions de chômeurs, on ne peut plus se permettre de faire entrer chaque année sur notre territoire une population équivalente à celle de la ville de Rennes. Pour les enfants d’immigrés, l’école et les soins sont gratuits. Or ce n’est pas gratuit pour les contribuables français. Ces gens-là vivent grâce à la solidarité de la communauté nationale. Savez-vous qu’un tiers de l’aide aux personnes âgées est délivrée à des immigrés en situation légale, qui, pour certains, n’ont jamais cotisé en France ? Celui qui est venu chercher du travail en France et qui, après un certain nombre de mois, n’en a pas trouvé, on doit pouvoir lui dire : « Monsieur, vous n’avez pas trouvé d’emploi dans notre pays, il faut que vous rentriez chez vous. »

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    NPI - 11/07/11

  • Nice - Non au quartier halal!

    http://www.nissarebela.com/2011/07/07/rue-de-suisse-place-saetone-quartier-notre-dame%e2%80%a6-non-au-quartier-halal/

    07/07/11

  • DSK: l'audience du 18 juillet reportée au 1er août

    Les avocats de DSK espèrent que la procédure sera abandonnée d'ici à cette date...

    L'audience dans l'affaire DSK devait avoir lieu le 18 juillet, elle aura finalement lieu le 1er août, ont fait savoir les avocats de Dominique Strauss-Kahn, qui ont trouvé un accord en ce sens avec les procureurs.

    «Nous espérons que d'ici là le procureur prendra la décision nécessaire d'abandonner les charges contre M. Strauss-Kahn», écrivent Benjamin Brafman et William Taylor dans un communiqué. Le but du report est clair: il s'agit de faciliter l'enquête autour du viol présumé de Nafissatou Diallo par Dominique Strauss-Kahn.

    Tristane Banon entendue en France

    Le porte-parole du procureur Cyrus Vance, qui a confirmé l'information, a quant à lui indiqué qu'aucune décision n'avait été prise au sujet des charges qui pèsent sur DSK. En d'autres termes, malgré l'annonce de ce report, l'enquête va bien continuer, et l'ancien directeur du FMI est soumis aux mêmes contraintes de déplacement qu'auparavant.

    Source 20minutes - 11/07/11

  • Tristane Banon a été entendue par la police de 9h à 15h

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    (Cliquez sur la photo)

    La journaliste et romancière attaque Dominique Strauss-Kahn. L'enquête préliminaire pour tentative de viol a débuté.

    L'enquête sur la plainte pour tentative de viol déposée par Tristane Banon a débuté dès lundi. La jeune femme qui accuse DSK d'avoir voulu abuser d'elle en février 2003 à l'occasion d'une interview a été entendue pendant un peu plus de cinq heures lundi par les enquêteurs de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRSP) à Paris. Cette enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris vise à vérifier la crédibilité des faits invoqués par l'écrivain et à déterminer, dans l'affirmative, s'ils s'apparentent à une tentative de viol ou à une agression sexuelle qui serait prescrite.

    Selon son avocat David Koubbi, la jeune femme dispose d'éléments matériels à l'appui de ses dires. Des SMS envoyés par DSK à l'issue de ce rendez-vous auraient notamment été vus par des témoins. « Je vous fais peur ?  » aurait notamment écrit l'ancien ministre. À l'époque, Tristane Banon s'est livrée autour d'elle.

    De nombreuses personnes de sa maison d'édition d'alors ont été informées de cet entretien qui aurait mal tourné. Dans les années qui ont suivi, la jeune femme s'est également exprimée à travers l'un de ses livres, puis sur les plateaux de télévision, en face du présentateur Alexis Trégarot puis chez Thierry Ardisson, mais toujours sans dévoiler l'identité de l'agresseur supposé.

    Anne Mansouret, la mère de Tristane Banon, élue PS, devrait être entendue à son tour d'un jour à l'autre par les policiers. La mère a raconté avoir recueilli sa fille choquée au pied de l'immeuble dans lequel DSK avait donné rendez-vous à Tristane Banon et avoir parlé de sa fille avec plusieurs responsables du PS. Ses propos ont plongé le PS dans l'embarras. La plupart de ses membres rechignent aujourd'hui à aborder l'épineuse question de leur connaissance éventuelle, à l'époque, du cas «Banon».

    Pourtant, informé, François Hollande aurait, lui, conseillé à la jeune femme de porter plainte. Laurence Rossignol, responsable PS, aurait également tenu le même langage à Anne Mansouret dont elle était proche. La mère de Tristane Banon a toutefois expliqué qu'elle avait dissuadé à l'époque sa fille de se tourner vers la justice. Mais selon son entourage, la jeune femme disposerait aujourd'hui d'un dossier étayé. «De nombreuses personnes se tiennent à la disposition de la justice pour témoigner», a expliqué lundi David Koubbi. Les témoignages recueillis par l'avocat parisien Thibault de Montbrial à la demande des avocats de Nafissatou Diallo aux États-Unis pourraient, s'ils étaient crédibles, venir à terme étayer les accusations de Tristane Banon.

    En face, l'avocat de l'ancien dirigeant du FMI, Henri Leclerc, a indiqué lundi que la plainte de DSK en «dénonciation calomnieuse» était déposée. Malgré tout, cette plainte ne pourra être étudiée qu'à la fin des poursuites engagées par Tristane Banon. Or, si le procureur de Paris estime l'enquête concluante, il pourra confier le dossier à un juge d'instruction.

    Source Le Figaro - 11/07/11

  • Afghanistan: un 64ème soldat français tué en mission

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier))

    Le ministère de la Défense a annoncé qu'un soldat français en mission en Afghanistan avait trouvé la mort, lundi, tué par un tir de son propre camp dans l'est du pays. Ce brigadier du 1er régiment de chasseurs de Thierville (Meuse) a été grièvement blessé par le tir accidentel d'un autre soldat français. Il a été immédiatement évacué vers l'hôpital militaire de Kaboul, où il est décédé des suites de ses blessures.

     

    Selon le texte mis en ligne sur le site du ministère de la Défense, les faits se sont déroulés en début de matinée, dans une base, au retour d'une opération menée dans la province de Kapisa, au nord-est de Kaboul. « Le convoi de véhicules blindés venait de pénétrer dans le poste de combat avancé et était en train d’effectuer des manœuvres. Un militaire descendait de son véhicule, un AMX 10 RC, pour effectuer ses opérations de sécurité lorsqu’il a été touché par le tir accidentel d’un autre militaire français embarqué sur un véhicule placé devant lui », explique le texte.

    Il s'agit du 64e militaire français à trouver la mort en mission sur le sol afghan, le 12e depuis le début de l'année. Les Français sont notamment déployés dans la capitale, Kaboul, mais également en Surobi et en Kapisa. C'est déjà dans cette province qu'un soldat avait été tué par un tir d'insurgés, le 25 juin dernier.

    Fin juin, et dans le sillage de , l'Elysée avait annoncé un retrait progressif des 4000 soldats français en Afghanistan. Cette déclaration faisait suite à la décision des Etats-Unis de retirer, d'ici à l'été 2012, un tiers des 99 000 soldats américains stationnés dans le pays.

    Source Le Parisien - 11/07/11

    Qu'il repose en paix parmi les braves

  • Homosexualité: David-Xavier Weiss attaque le "Canard enchaîné" après s'être fait "outer"

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    David-Xavier Weiss - (Cliquez sur la photo)

    Le secrétaire national de l'UMP porte plainte pour violation de la vie privée...

    «C’est la première fois qu’un journal dit sérieux porte atteinte à la vie privée et pratique l’“outing” [révélation de l’homosexualité d’une personne].» David-Xavier Weiss, secrétaire national de l’UMP, a décidé de porter plainte contre Le Canard enchaîné pour violation de la vie privée et contre X pour complicité et recel de violation du secret de l’instruction.

    En cause: un article qui cite Roger Karoutchi, interrogé par des policiers dans le cadre d’une enquête sur des rumeurs diffamatoires lors des dernières régionales, et qui parle de David-Xavier Weiss comme de son «compagnon depuis sept ans».

    Une explication avec ses proches

    «J’ai dû avoir une explication avec mon père et la personne avec qui je vis aujourd’hui», se désole David-Xavier Weiss. Interrogé par  20 Minutes, Roger Karoutchi a lui aussi annoncé son intention de porter plainte. L’ancien secrétaire d’Etat avait fait son coming-out en janvier 2009. «J’ai toujours parlé de moi, mais jamais voulu donner le nom de personnes qui partageaient ma vie», indique celui qui parle d’une «dérive extrêmement grave».

    «Je suis contre l’“outing” par principe mais là, c’est plus compliqué puisqu’il s’agit du compagnon supposé d’une personnalité qui a elle-même fait son coming-out», nuance Jean-Luc Romero, le premier homme politique qui s’était fait «outer» en France en 2000 par un magazine gay.

    Jean-François Copé a refusé de commenter l’affaire.

    Alexandre Sulzer
    Source 20minutes - 06/07/11
  • Côte varoise

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    Aquarelle - (Cliquez sur le tableau)

  • Rouge-Blanc-Bleu

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    (Cliquez sur le dessin pour l'agrandir)

  • Flottille pour Gaza: colère de Marie-Christine Vergiat au Parlement européen


    Flotille pour Gaza : Coup de colère au Parlement... par 54fiorentino54

    10/07/11

  • Une école musulmane bientôt à Bordeaux

    10/07/2011 – 12h00
    BORDEAUX (Infos Bordeaux) – Le projet n’est pas encore abouti, mais il avance sérieusement. Bordeaux pourrait bientôt avoir sa 1èreécole musulmane. Sous l’égide de l’association “le Palmier des Savoirs”, une école maternelle musulmane devrait ouvrir, avec comme but à plus long terme, l’ouverture d’un collège et d’un lycée.

    Un emplacement en centre-ville semble être privilégié par les organisateurs. Selon l’un d’entre eux, l’objectif est “d’offrir une éducation scolaire de qualité pour nos enfants et leur apprendre très tôt à vivre pleinement leur religion”.

    Pour le moment, il existe moins une dizaine d’établissements privés de ce type en France, mais les projets se multiplient devant le nombre sans cesse croissant de musulmans.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine 
  • Sicile: un immigré maghrébin détruit la statue du saint patron d'Agrigente

    10/07/2011 – 08h00
    AGRIGENTE (NOVOpress) – Vive émotion aujourd’hui dans la ville d’Agrigente en Sicile, après l’acte sacrilège (les journaux italiens n’ont pas peur d’employer le mot) d’un immigré maghrébin, qui s’est introduit dans le sanctuaire de San Calogero pour y détruire une statue du saint, le patron de la ville.

    La statue avant sa destruction

    Vendredi 8 juillet au matin, vers 7 heures, alors que le portail venait d’être ouvert pour la messe de 7h 30, un immigré Nord-Africain (qui, selon certaines sources, était en état d’ébriété) a pénétré dans l’église. Il s’est alors mis à hurler des phrases en arabe, avant de s’introduire dans la sacristie, où se trouvait une statue en plâtre de saint Calogero. Il l’a saisie et jetée violemment contre un mur, la détruisant complètement.

    Un fidèle qui se trouvait dans l’église a tenté d’arrêter le maghrébin mais a été légèrement blessé : il a ensuite, dans son émotion, fait un malaise. La police, prévenue, est intervenue immédiatement. Il n’a pas fallu moins de quatre agents pour maîtriser l’immigré, qui a été arrêté.

    Saint Calogero (Caloger), ermite, figure au Martyrologe romain au 18 juin, aurait vécu au Vème siècle. D’après l’ancien office de sa fête, publié en 1610 et repris dans les Acta Sanctorum des Pères Bollandistes, c’était un Grec, né à Constantinople, qui se rendit à Rome, où il reçut l’habit monastique des mains du pape. Il évangélisa la Sicile, dont il chassa tous les démons qui l’infestaient. Il y reste très vénéré.

    « Un exemple d’intégration entre les peuples », selon l’archevêque d’Agrigente, Francesco Montenegro, aujourd'hui en morceaux

    « Un exemple d’intégration entre les peuples », selon l’archevêque d’Agrigente, Francesco Montenegro, aujourd'hui en morceaux

    À Agrigente, sa fête est précisément célébrée ces jours-ci, entre les deux premiers dimanches de juillet. La statue détruite était depuis toujours objet d’un pèlerinage populaire, et les fidèles y portaient du pain et des vêtements à bénir. Il n’en reste aujourd’hui que des fragments, rassemblés dans des boîtes en carton.

    Ironiquement, du fait de ses origines orientales, saint Calogero est souvent représenté comme un vieillard à la peau noire : c’était le cas de la statue détruite. L’archevêque d’Agrigente, Francesco Montenegro (également président de la Caritas italiana, dont l’engagement immigrationniste est bien connu), avait même cru pouvoir présenter saint Calogero comme « un exemple d’intégration entre les peuples ». Un exemple aujourd’hui en morceaux.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

  • Marseile: sept marins-pompiers agressés par un groupe de Cap-Verdiens

    Tôt ce matin, vers 5 heures, la caserne des marins-pompiers de Plombières, dans le 3e à Marseille, a été "attaquée" par une quinzaine de personnes (des Cap-Verdiens), en état d'ébriété, en provenance de Nice et qui participaient à une soirée africaine, organisée dans la cité phocéenne.

     Il y a d'abord eu des échanges verbaux à hauteur du poste de garde avant que les choses ne dégénèrent en coups.

    Sept marins-pompiers ont été légèrement blessés, quatre ont tout de même été transportés à l'hôpital de Laveran. Quatre des assaillants sont en garde à vue, après avoir été interpellés par la police.

    Source La Provence - 10/07/11

  • DSK: un rapport psychologique conforte la version de Nafissatou Diallo

    Vraie victime ou fausse accusatrice ? Dans l’affaire DSK, le débat judiciaire en est réduit à cela. Une certitude en revanche, Nafissatou Diallo, la femme de chambre du Sofitel, reste encore, aux yeux de la justice new-yorkaise, le témoin de l’accusation. Et cette femme présentait bien, selon un rapport du Centre de traitement des victimes de crime (CTVC) de l’hôpital Saint-Luke’s-Roosevelt, où elle a été conduite le 14 mai après sa première audition à l’hôtel, toutes les caractéristiques d’une victime d’un viol ou d’une agression sexuelle violente.

       Ce document est rédigé en plusieurs parties. Une première fait état de constatations médicales strictement confidentielles. Un autre volet s’intéresse au déroulé des faits. Un autre, enfin, porte sur l’attitude et le décryptage psychologique de la victime, partie que notre journal a pu consulter. Un rapport où les soignants de ce centre de référence pour les victimes de viol, créé par une travailleuse sociale elle-même victime en 1974, consignent plusieurs points dans des rubriques déjà toutes prêtes sur leurs fiches de consultation : le comportement, le regard, l’attitude, les angoisses, la psychologie des victimes conduites au CTVC. Leur mission est « d’évaluer la victime et d’anticiper les risques liés à ce traumatisme ».

    Kenneth Thompson, l’avocat de la femme de chambre, insiste toujours pour assurer qu’elle a « bien été la victime d’une agression violente » et que « les preuves biologiques et scientifiques ne manquent pas » dans ce dossier. Pour accréditer cette version, l’avocat a évoqué les ecchymoses relevées par les médecins sur ses parties intimes lorsqu’elle a été examinée dans ce service. Ce 14 mai, ce sont, comme souvent, les policiers de l’unité spéciale pour les victimes qui accompagnent Nafissatou Diallo dans ce centre. Elle y est accueillie par la directrice, puis d’autres bénévoles la prennent en charge.

    D’emblée, l’un des soignants note chez elle « une intense surréaction émotionnelle sans doute alimentée par son absence de références culturelles qui la place dans une forte situation de stress face au personnel ». « Il est évident que cette femme revit et perçoit de très fortes images mentales de son agression », peut-on lire. Autre point relevé : « Cette femme n’arrête pas de passer sa main autour de sa bouche. » Un geste interprété comme « un signe réel d’angoisse ».

    Toujours selon ce volet, Nafissatou Diallo montre également des « marques de colère qui la submergent », ce qui la « prive parfois de ses moyens de concentration ». La jeune femme semble « à l’évidence perturbée par des récurrences mentales de son agression ». Tellement « perturbée et affectée » qu’elle ne sait pas dire où elle réside avant d’accepter finalement un examen médical. Dans l’une des cases, on peut lire « état de sidération » lorsqu’un soignant lui demande de décrire les faits subis.

    C’est sur ce point que la victime présumée présente quelques faiblesses qui ont miné sa crédibilité. Elle a, en effet, livré plusieurs versions. Elle a indiqué, selon le rapport sur les faits du CTVC, être « restée dans la chambre » après avoir été contrainte à une fellation par son agresseur qui lui « tenait la tête avec force », comme l’a indiqué mardi dernier le « New York Times ». Un agresseur qui n’a « pas dit un mot » et qu’elle a regardé « s’habiller » et « vu partir ». Or, dans une première version aux enquêteurs, Nafissatou avait dit avoir fui la suite 2806 aussitôt après l’agression avant de nettoyer une autre chambre. Ce changement dans son récit a été saisi comme une aubaine pour accréditer un mensonge de plus dans la série livrée par Nafissatou.

     Ce que certains décrivent comme un mensonge intentionnel ou récit erroné a son explication pour des spécialistes de la protection des victimes de viol : « Il s’agit simplement d’un réflexe d’autoprotection de la mémoire. Lorsqu’un événement est trop difficile à endurer, on se protège mécaniquement et on peut oublier certains événements. Cela n’a rien à voir avec un mensonge intentionnel. On est souvent confronté à cela », indique l’un des porte-parole du programme pour les victimes de viol de l’hôpital Bellevue à New York.

    Source Le Parisien - 10/07/11

  • Nouveau soutien apporté à Nafissatou Diallo

    L’accusatrice de Dominique Strauss Kahn, une "hooker"? En bon Français : "une pute"? L’information révélée par le New York Post en début de semaine qui a jeté le discrédit sur la femme de chambre guinéenne pourrait avoir du plomb dans l’aile. Contrairement à certaines révélations de tabloïds new-yorkais, elle aurait été placée au Sofitel de Manhattan par une ONG réputée au-dessus de tout soupçon.

     
     Nafissatou Diallo, celle par qui le scandale est arrivé, a en fait été placée au Sofitel par une association humanitaire renommée,  International Rescue Committee (IRC). L’organisation, fondée par Albert Einstein en 1933 pour aider les opposants à Adolf Hitler, est une structure réputée au-dessus de tout soupçon. Elle aide les réfugiés dans 40 pays à travers le monde et dans 22 villes aux Etats-Unis en leur trouvant notamment des emplois au moment où ils obtiennent leur statut de réfugiés politiques.

    C’est donc grâce à l’IRC, comme le confirme le syndicat du personnel de l’hôtellerie, que Nafissatou Diallo a trouvé une place de femme de chambre dans un hôtel de luxe de Times Square et non, comme le suggérait la source anonyme du Sofitel, par ses douteuses relations à l’intérieur du palace ou du syndicat. L’organisation humanitaire qui souhaite avant tout la protection des personnes dont elle s’occupe, refuse de confirmer ou d’infirmer cette information. Cet éclairage n’apporte aucun élément sur ce qui s’est passé dans cette chambre entre Dominique Strauss-Kahn et elle. Mais il pourrait mettre à bas la théorie de l’ascension "mystérieuse" de la petite Guinéenne.

    Le président du syndicat hôtelier "soutient totalement la jeune femme"

    Le syndicat du personnel de l’hôtellerie de New York, le "New York hotel trade concil", dans un message adressé à ses membres, réfute violemment les accusations de prostitution contre leur adhérente. "Il est dit dans la presse que nos employés commencent d’abord dans les hôtels de l’aéroport avant d’avoir accès aux établissements de luxe de Manhattan. C’est totalement faux. Nafissatou Diallo n’avait pas travaillé chez nous avant le Sofitel." Le président du syndicat affirme qu’il "soutient totalement la jeune femme" et qu’il souhaite faire savoir largement que ses collègues de travail, les membres du syndicat et le syndicat lui-même lui renouvellent leur confiance.

    Pour Dominique Strauss-Kahn, ce nouveau soutien apporté à Nafissatou Diallo, après celui des policiers noirs de la police, "100 blacks in law enforcement", est une mauvaise nouvelle. Le procureur Cyrus Vance Jr, qui semblait vouloir clore rapidement son dossier après avoir révélé que l’accusatrice avait menti à plusieurs reprises sur son passé, va, selon toute vraisemblance, devoir continuer son enquête et affûter ses arguments.

     Les groupes de pression sont puissants aux Etats-Unis et le procureur, pour voir son mandat renouvelé, doit passer devant les électeurs. Cyrus Vance ne pourra faire l'économie de la puissance des lobbies américains...

    Source Le JDD - 09/07/11