Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1526

  • René Galinier reste en prison

    Prison de Béziers.jpg

    Prison de Béziers

     Par crainte de troubles à l'ordre public et pour sa sécurité personnelle, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Montpellier a refusé, ce après-midi, la demande de remise en liberté de René Galinier, emprisonné à Béziers. Le 5 août dernier, ce retraité de 74 ans avait tiré sur deux cambrioleuses entrées par effraction dans son domicile à Nissan-lez-Enserune.

    Pour la cour d'appel, « le maintien en détention est l'unique moyen de mettre fin au trouble exceptionnel et persistant de l'ordre public, provoqué par la gravité de l'infraction, les circonstances de sa commission et l'importance du préjudice ».

     Autre argument invoqué par les magistrats montpelliérains à l'appui de leur décision : « Une mise en liberté pourrait aussi susciter l'incompréhension dans l'ethnie d'origine des victimes et faire craindre des représailles à l'égard du mis en examen. »

    Cette décision a fait l'effet d'une bombe au sein du comité de soutien local qui attendait avec impatience la sortie de prison du retraité. « Nous sommes  abasourdis pour ne pas dire atterrés, confie Jean Pons, le président. Ils le maintiennent en prison malgré un état de santé fragile et bien que l'avocat général ait requis sa libération. René Galinier est devenu un otage de l'Etat. Jusqu'à présent, on nous avez demandé de rester calme. Mais là, les limites ont été atteintes et dépassées. L'heure de l'action a sonné.  »  Une manifestation pourrait être organisée samedi à Béziers.

    Un fait divers qui a mobilisé tout un village

    Le cas de René Galinier a suscité une vive émotion dans la région. Alors qu'il faisait la sieste dans son pavillon, le retraité entend du bruit. Selon son avocat, dans une interview accordée à Midi Libre, « il a vu une main passer et s'est levé sans bruit ». Le propriétaire aurait alors tenté d'appeler les secours mais aurait d'abord téléphoné aux pompiers. « Il leur a dit : appelez vite les gendarmes, on va commettre une infraction chez moi ». Pendant ce temps, l'effraction est commise, un volet est crocheté et des personnes entrent chez lui. « Il prend alors le fusil qui est dans la penderie, va chercher des vieilles cartouches dans un tiroir et rappelle la gendarmerie. » Ne voyant venir personne, il aurait selon son défenseur « paniqué et tiré », blessant les deux cambrioleuses âgées d'à peine plus de 15 ans et originaires des pays de l'Est.

    Un comité de soutien, particulièrement actif, s'était monté à l'occasion. Il n'a cessé de faire parler de lui depuis.

    Le Midi Libre - 05/10/10

  • Les Facs s'attaquent aux fautes d'orthographe - Que de perles!

    C’est un constat unanime : trop d’étudiants sont fâchés avec l’orthographe et, plus globalement, avec le français. Une vingtaine d’universités proposent désormais des cours de rattrapage.

    Retour aux fondamentaux! Accents oubliés, phrases sans verbe, participes passés massacrés… Les lacunes des étudiants sont telles que 19 universités (sur 84) lancent en cette rentrée des programmes de remise à niveau. A Amiens, Brest, Dijon, Le Havre, Nanterre, -XI (Orsay) ou Grenoble, ces dispositifs permettent aux 1re année de reprendre les bases de français pendant une trentaine d’heures, par petits groupes.

      
    n’hésite pas à parler de « bataille de l’orthographe ». « La communication écrite et orale est une des conditions nécessaires pour réussir son cursus et trouver un bon travail. Or le niveau des étudiants est très hétérogène. On constate pour certains de vraies difficultés à l’écrit et un manque d’autonomie à l’oral », analyse la ministre de l’Enseignement supérieur, qui appelle toutes les universités à se lancer dans des « programmes de consolidation ».

    Eviter d’amères désillusions sur le marché du travail

    Ce rattrapage commence généralement par un diagnostic. Beaucoup de facs organisent des tests, comme l’UBS (Bretagne-Sud) à partir d’aujourd’hui. « C’est une petite dictée de dix minutes, que passeront les 700 néo-étudiants inscrits en lettres et en sciences humaines. Les 150 qui ont fait le plus de fautes bénéficieront de notre dispositif de remise à niveau. » D’autres s’appuient sur les résultats du bac. A Paris-VI (Pierre-et-Marie-Curie), ceux qui ont eu moins de 7/20 à l’écrit et de 10 à l’oral de français (200 étudiants cette année) sont envoyés dans les ateliers d’expression écrite et orale. « Ça ne sert à rien de se lamenter, il faut agir. Depuis quinze ans, c’est une vraie dérive », plaide Patrick Porcheron, vice-président de la meilleure fac scientifique de France. « Si encore ce n’était qu’un problème d’orthographe ! Mais cela va bien au-delà : les mots sont employés de travers et les phrases construites sans queue ni tête. Un bêtisier permanent ! »
    Comme lui, de nombreux universitaires prennent le taureau par les cornes pour éviter à leurs étudiants d’amères désillusions sur le marché du travail. « A ce niveau d’études, les lacunes que nous constatons ne sont plus acceptables, s’étonne Bruno Sire, patron de Toulouse-Capitole, qui dispense des cours de culture générale aux 1re année de droit. Notre but, c’est d’en faire des juristes capables de rédiger des contrats. Que diront les entreprises de nos étudiants s’ils sont illisibles? »

    Les perles!

    Être xénophobe, c’est quoi ? L’an dernier, un quart des étudiants de -XIII n’ont pas su répondre au quiz proposé par la fac. Et un homicide ? « Pour beaucoup, c’est un meurtre à domicile », soupire Michel Mathieu-, qui y enseignait les lettres jusqu’à l’an dernier. Sporadique ? Un « drogué du sport », ont jugé les adeptes de l’anglicisme.

    Quant à la gérontologie, certains l’ont définie comme l’étude des... fossiles. « On peut en rire, mais au fond, c’est très grave pour leur avenir car au-delà de l’orthographe, on parle de compréhension de mots évidents », poursuit le prof retraité. Les principales lacunes des jeunes adultes ont trait à la grammaire et à la conjugaison. « Cette génération ne connaît pas le participe passé. Pour les livres que j’ai lus, c’est rare d’avoir le s », constate Bernard Fripiat, coach en orthographe . Les accords, mal maîtrisés, leur font mélanger futur et conditionnel, écrire « rosent » au lieu de roses au pluriel, mettre un s à mille... « Comme ils ont du mal à conjuguer envoyer, ils biaisent et écrivent plutôt je vous fais parvenir », poursuit-il.

    Le Parisien - 04/10/10

    

     

     

     

     

     

  • Le Vatican critique le choix du Nobel de médecine

    1073486213-le-britannique-robert-edwards-prix-nobel-de-medecine.jpg

    Robert Edwards, 85 ans

    Le président de l'Académie pontificale pour la vie, qui s'occupe pour le Vatican des questions éthiques et de défense de la vie, a vivement critiqué le choix de Robert Edwards, "père" de la fécondation in vitro, pour le Prix Nobel de médecine 2010.

    "Sans Edwards, il n'y aurait pas un marché où sont vendus des millions d'ovocytes" et "il n'y aurait pas dans le monde un grand nombre de congélateurs remplis d'embryons", a déclaré à l'agence Ansa Mgr Ignacio Carrasco de Paula.

    "Dans le meilleur des cas, ceux-ci attendent d'être transférés dans des utérus mais plus probablement ils finiront par être abandonnés ou par mourir", a ajouté Mgr Carrasco de Paula, en estimant que "c'est un problème dont est responsable le nouveau Prix Nobel",  Le président de l'Académie pontificale a aussi déclaré à l'agence italienne que "sans Edwards la procréation assistée ne serait pas dans l'état de confusion dans lequel elle se trouve, avec des situations incompréhensibles d'enfants nés de grand-mères et de mères porteuses".

    Une déclaration écrite plus nuancée de Mgr Carrasco a ensuite été diffusée dans laquelle il reprend certains passages de ses déclarations à l'Ansa mais pas tous, en particulier celui où il rend Edwards responsable de la mort de millions d'embryons. Mgr Carrasco a en outre souligné s'être exprimé à titre personnel, pas au nom du Vatican, et en réponse aux sollicitations des médias.

    Le Figaro - 04/10/10

     

     

  • VIDEOS Visite du Maréchal Pétain aux confréries musulmanes - Edouard Drumont

    9ca9c438-cfcf-11df-b3d6-0884bf3ab8df Montoire-sur-le-Loir 24 10 1840.jpg

    Entrevue de Montoire-sur-le-Loir le 24 octobre 1940 - (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    http://www.ina.fr/video/AFE85000991/visite-du-marechal-petain-aux-confreries-musulmanes.fr.html

     

    http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/AFE86001467/hommage-a-drumont-a-l-institut-des-questions-juives.fr.html

     Vidéos publiées par Le Figaro le 04/10/10

    Le Figaro - 04/10/10

  • Tramway suisse!

    Tramway-suisse.PNG

    (Cliquez sur la photo)

  • BRAVISSIMO

    à tous ceux qui ont donné les bonnes réponses!

    27 - Lewis Carroll  (1832-1898) http://fr.wikipedia.org/wiki/Lewis_Carroll

    28 - Nicolas Copernic (1473-1543) http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Copernic

    29 - Henri de La Tour d'Auvergne, viconte de Turenne (1611-1675 -mort au combat), Maréchal général des camps et armées du roi. 

     http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_La_Tour_d'Auvergne,_vicomte_de_Turenne

    30 - Michel-Ange (autoportrait) - 1475-1564 -

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel-Ange

    Toutes mes félicitations et tous mes remerciements à ceux qui ont participé à Qui est-ce?

    Les visages oubliés doivent sortir de l'ombre.

    J'espère que ce jeu vous a divertis.

    Je l'arrête momentanément pour ne pas vous lasser!

     

     

     

     

  • Bettencourt: découverte d'un aide-mémoire pour lui apprendre à mentir

    VIDEO http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/liliane-bettencourt-une-femme-sous-influence-1501153

    Nouvelles découvertes dans l'affaire Bettencourt : la juge Isabelle Prévost-Desprez, qui instruit un supplément d'information sur l'accusation d'"abus de faiblesse" contre le photographe François-Marie Banier, détient un document de trois pages, daté du début de l'année 2008, qui se présente comme un aide-mémoire destiné à Liliane Bettencourt afin de préparer son audition par la police et la justice. Saisie au domicile de la milliardaire lors d'une perquisition, cette note comporte les réponses que la milliardaire devait fournir, dans la perspective de questions délicates sur ses relations avec François-Marie Banier et sur les donations consenties en sa faveur, dont le total avoisine un milliard d'euros.

    Le document, qui semble constituer la synthèse de réunions tenues dans l'hôtel particulier de Neuilly, les 6 février, 8 février et 15 avril 2008, accrédite le sentiment que l'octogénaire se trouvait alors sous l'influence de plusieurs membres de son entourage - ce que les fameux enregistrements de son maître d'hôtel ont corroboré depuis lors. À ces dates, la plainte de sa fille, Françoise Bettencourt Meyers, venait d'être déposée, mais Liliane Bettencourt n'avait été ni sollicitée ni convoquée par la justice. L'identité de l'auteur de la note n'est pas précisée, mais il est certain que ce n'est pas Mme Bettencourt, puisque celle-ci y a ajouté en marge certaines annotations manuscrites, reconnaissables par l'écriture et par l'utilisation, habituelle chez elle, d'un feutre vert.

    Justificatif de générosité

    Le document atteste que les conseils de la milliardaire l'incitaient alors à mettre en avant "une question de jalousie" pour expliquer l'initiative de sa fille. "Mme Bettencourt regrette que sa fille ne comprenne pas que son amitié pour M. Banier n'enlève rien à son affection pour elle, indique encore le texte préparé à l'intention de la vieille dame. Ils ne sont pas en concurrence. En outre, elle a donné à sa fille pratiquement tout son capital de L'Oréal, pour un montant qui n'a aucune commune mesure avec les donations faites à M. Banier, qui n'ont jamais été faites qu'en prélevant sur ses revenus." Autre mention conçue pour justifier la générosité hors norme de la milliardaire envers le photographe : "M. Banier est à la fois un ami, dont la présence lui est précieuse, une ouverture sur le monde artistique et un artiste vis-à-vis de qui elle joue un rôle de mécène. Elle a souhaité qu'il soit à même de réaliser son oeuvre sans souci matériel."

    Le ou les auteurs de ce travail préparatoire ont, en outre, suggéré plusieurs interrogations à anticiper. Ainsi, à la question : "Pourquoi des sommes aussi importantes ?", il est suggéré à Liliane Bettencourt de répondre : "Elles sont proportionnées à ma fortune ; elles n'ont été prélevées que sur mes revenus." Cette double affirmation n'est pas tout à fait exacte, mais elle correspond à ce que déclarera la milliardaire le 13 mai suivant, au cours de ce qui reste à ce jour son unique audition dans cette affaire. Face à la mention Questions autour de l'état de santé, il est écrit : "J'ai eu des problèmes physiques qui n'ont jamais altéré mes facultés intellectuelles."

    "Je n'ai pas de compte à l'étranger"

    D'autres demandes sont anticipées, et les réponses attendues dictées à Mme Bettencourt. "Avez-vous des comptes à l'étranger ?" Réponse : "Non" - on sait aujourd'hui qu'elle en détenait deux en Suisse. "A-t-elle donné directement ou indirectement l'île d'Arros ?" Réponse : "Non, je n'en suis que locataire..." Il est acquis que la milliardaire avait acheté cette île aux Seychelles via une société-écran immatriculée au Liechtenstein et l'enquête a montré qu'elle la destinait à Banier...

    Autre question révélatrice de l'état d'esprit de l'entourage de l'octogénaire : "Est-ce qu'on ne vous présenterait pas des actes [de donation] tout préparés, des lettres que vous ne faisiez que recopier ?" L'intéressée est priée de répondre en ces termes : "J'ai toujours vérifié soigneusement leur portée et je n'ai signé que quand j'étais d'accord sur leurs termes." Les enregistrements clandestins du maître d'hôtel - révélés par Le Point - ont pourtant montré que Mme Bettencourt avait oublié avoir signé un testament désignant François-Marie Banier comme légataire universel, ou encore qu'elle ne se souvenait aucunement d'avoir voulu offrir son île aux Seychelles à son ami si cher. Récemment, elle a révoqué ce testament et chargé ses avocats de récupérer l'île d'Arros afin de pouvoir en déclarer au fisc la propriété.

    La note retrouvée par la police comporte enfin un passage troublant. L'auteur - qui pourrait être Patrice de Maistre, l'homme de confiance de Liliane Bettencourt - y indique ceci : "Me Goguel [avocat de la milliardaire] prépare une note que je pourrai remettre au directeur adjoint du cabinet du ministre de la Justice, de façon à ce qu'il puisse nous dire où en sont les choses, quel est l'état d'esprit du juge et quelle est la position du parquet." Aucun détail ne permet de savoir si une telle note a effectivement été remise au cabinet de Rachida Dati, alors garde des Sceaux, mais cette mention renforce l'impression d'une procédure particulièrement suivie en haut lieu depuis l'origine, ce que plusieurs extraits des fameux enregistrements ont également corroboré, évoquant notamment les contacts entre l'Élysée et Patrice de Maistre.

    Me Metzner (avocat de la fille de Mme Bettencourt) affirme parallèlement que l'interview récemment accordée par Mme Bettencourt à Paris-Match est "de la fabrication, de la construction". "Il y a des mensonges, on a orchestré cela, organisé cela, on sait le prix qu'a payé Paris-Match pour obtenir cette interview".

    "Pas un mot n'a été orchestré, une telle déclaration revient à remettre en cause l'honnêteté du journaliste", a répondu Me Kiejman.

    Le Point - 04/10/10

  • 30 - Qui est-ce?

    30 Qui est-ce.jpg

  • 29 - Qui est-ce?

    29 Qui est-ce.jpg

  • 28 - Qui est-ce?

    28 QUI est-ce 02.jpg

  • Le projet de loi sur le statut des Juifs en 1940

    Document Pétain.jpg

    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    On aimerait savoir qui a remis ce document à Serge Klarsfeld 70 ans après les faits? Et qui sont les experts qui l'ont authentifié?

    Est-ce une pièce originale ou une copie?

     Comment peut-on affirmer qu'une rature au crayon est de la main même du Maréchal Pétain?

    Beaucoup de questions se posent face à ce document présenté comme authentique par la presse.

  • Attentat de la rue Copernic le 3 octobre 1980: le lapsus de Raymond Barre

    744px-Plaque_Attentat_de_la_rue_Copernic,_Paris_16.jpg

    Plaque apposée au 24 de la rue Copernic, Paris 16e, siège et synagogue de l'Union libérale israélite de France.

     

    Le Premier ministre, Raymond Barre, choque le 3 octobre en déclarant sur TF1 : « Cet attentat odieux voulait frapper les israélites qui se rendaient à la synagogue et qui a frappé des Français innocents qui traversaient la rue Copernic... », lapsus que ses propos du 8 octobre à l'Assemblée nationale, assurant ses « compatriotes juifs » de la « sympathie de l'ensemble de la nation », n'effaceront pas des mémoires. Peu avant sa mort en août 2007, Raymond Barre a imputé cette campagne de protestations au « lobby juif»

    (Wikipédia)

  • Des banques françaises victimes d'une vaste escroquerie portant sur 100 millions d'euros

    Image escroquerie.jpg

    Mécanisme de l'escroquerie - (Cliquez sur l'image pour agrandir le texte)

    Plusieurs grandes banques dupées via leurs sociétés de crédit-bail, des dizaines de mis en examen dont le frère de Malik Oussekine, ce jeune étudiant tué par des policiers en 1986 en marge d’une à , une enquête fleuve de trois ans et près de 100 millions d'euros  de préjudice... C’est, en résumé, les principaux éléments de la vaste escroquerie en bande organisée mise au jour par les gendarmes de la section de recherches (SR) de Paris.

      Les militaires, soutenus par les enquêteurs du groupe d’intervention régional (GIR) de Seine-Saint-Denis, ont patiemment démêlé les fils de cette arnaque à dimension internationale, mise sur pied par des escrocs, spécialisés dans l’achat de matériel de chantier.

     Le dossier bouclé, fort de soixante volumes, est désormais entre les mains du juge d’instruction, Jean-Christophe Hullin, en poste au pôle financier de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Paris. « C’est une des plus importantes affaires d’escroquerie révélée au cours de ces dernières années, indique un proche de l’affaire.

    Le préjudice est colossal et a été supporté par des filiales de crédits de grandes banques françaises. Les commanditaires ont profité d’une faille dans le système de l’achat en crédit-bail. Ils ont été mis hors d’état de nuire mais d’autres escrocs ont déjà copié cette pratique et sont en train de la reproduire un peu partout en France. »

    Les aigrefins ont notamment mis à profit un mécanisme juridique légal, la transmission universelle de patrrimoine (TUP). Une procédure qui leur a permis de faire disparaître des sociétés-complices, implantées en France, en transférant leur patrimoine vers des entreprises basées à l’étranger. «Quelques rares biens immobiliers achetés avec une partie de l’argent détourné ont été saisis, ajoute la même source. Mais la quasi-totalité des fonds ne sera jamais récupérée...»

    Le Parisien - 03/10/10

  • Marseille: ces Roms qui peuvent rester

    A Marseille, 10 familles ont reçu un titre de séjour à titre dérogatoire. Objectif : tester leur capacité d'intégration.

      Il y a des rideaux en dentelle aux fenêtres, une soucoupe de calissons sur la toile cirée, et dans le coin cuisine impeccablement astiqué, une, non deux machines à laver. "Maintenant que je travaille, je n'ai plus le temps de nettoyer le linge à la main", sourit Monica, pas peu fière de nous faire visiter le petit appartement du Panier que sa famille loue depuis juin dernier. Un toit, enfin, à deux pas de la place du Refuge.

    Tout un symbole pour Monica et Ioan son mari, qui depuis leur arrivée à Marseille il y a 8 ans, n'ont connu que l'errance de squat en squat, leurs 4 enfants dans les bagages. "C'est la première fois qu'on s'endort le soir sans la peur d'être expulsés le lendemain matin". La première rentrée scolaire aussi pour Marcel et André, les petits derniers (6 et 12 ans). "Avant on avait peur de se faire repérer en les mettant les enfants à l'école. Et puis on n'était jamais sûr d'être encore là à leur retour".

    Mais cette vie d'"invisibles", comme les Roms se surnomment eux-mêmes, c'est déjà du passé pour Monica et Ioan. Comme 10 autres familles Roms de Marseille, ce couple a été admis à exister au grand jour. Une dérogation exceptionnelle de la Préfecture leur accorde un titre de séjour. Donc le droit de travailler. Donc la possibilité de trouver un logement.

    Alors que leurs parents, voisins, amis de Timisoara (la région d'origine de la plupart des Roms de Marseille) sont poussés aux frontières, ces privilégiés, qui répondent à des conditions strictes sur leur capacité d'intégration, bénéficient de ce dispositif unique en France. Mais qui reste révocable : les titres de séjour étant accordés à titre provisoire, Monica et Ioan, savent qu'ils ont six mois pour devenir une famille "modèle". Et le challenge ne leur fait pas peur.

    D'abord parce que Monica a trouvé un emploi déclaré "en cuisine, dans un restaurant du Panier". Et surtout, dit Ioan, parce qu'il n'existe "pas d'autre choix" : "Nous avons quitté la Roumanie parce là-bas, même si tu travailles, tu ne peux pas nourrir tes enfants. Moi j'étais agriculteur, ma femme employée dans une usine de câbles. On gagnait 100€ par mois. Avec ça, tu ne manges pas".

    En France, c'est Ioan et son aîné qui ont fait bouillir la marmite : le premier jouait du violon dans les restos, l'autre tendait la main aux carrefours. Dormir dans des squats ou entassés dans une carcasse de voiture, faire la manche, récupérer de la ferraille, "ce n'est pas culturel pour les Roms, juste une question de survie", martèle Marion Bonnet, coordinatrice de la mission Rom à l'Ampil.

    Alors la chance qui lui est offerte aujourd'hui, ce couple ne la laissera pas passer. "Maintenant, le soir, à table, avec nos deux garçons qui ont grandi ici, on parle français. Moi, je me sens déjà Marseillais", rigole Ioan en montrant son maillot de l'OM. Les supporters de l'équipe, ce sont Marcel et André, qui tous les soirs après l'école, refont le match avec les gamins du Panier.

    "Ici, les gens sont très gentils, tout le monde nous a déjà acceptés"
    , assure Monica. Tous, ou presque : il y a quelques jours, un policier est venu frapper à sa porte. Un voisin avait signalé que l'appartement était squatté. "On lui a montré nos papiers, il s'est excusé", raconte Monica, consciente que "qui dit Rom dit squat. C'est cette image que nous voulons changer".
    La Provence - 03/10/10
  • Trois bravos!

    24  - Fulgence Marie-Auguste Bienvenüe (1852-1936) - Le "père du Métro de Paris", avec Edmond Huet!

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Fulgence_Bienven%C3%BCe

    25 - Docteur Josef Mengele (1911-1979) 

     http://fr.wikipedia.org/wiki/Josef_Mengele

    26 - La célèbre actrice mexicaine Maria Felix, née le 8 avril 1914 à Sonora et décédée à Cuernavaca le 8 avril 2002.

    Bravo à ceux qui ont trouvé et bravo aussi à ceux qui ont cherché!

    Mais il manque le n° 27 !

    Vous allez l'identifier! Vous le connaissez!

  • Iran: les Etats-Unis ont "traîné le monde dans la boue", accuse le président Ahmadinejad

    Ahmadinejad le 2 oct 10 à Téhéran.jpg

    Ahmadinejad le 2 octobre 2010 à Téhéran - (Cliquez sur la photo)

    "Ils ont tellement de culot qu'ils nous menacent et affirment que toutes les options sont sur la table, que le diable vous emporte vous-mêmes, vous qui avez traîné le monde dans la boue", a déclaré le président Ahmadinejad.

    Les Etats-Unis et Israël, qui accusent l'Iran de chercher à fabriquer l'arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil, n'ont pas écarté l'option militaire pour stopper l'Iran. Téhéran a toujours affirmé que son programme nucléaire est purement civil.

    "Ils (les Etats-Unis, ndlr) ont lâché un chien sauvage (Israël, ndlr) dans la région et, sous ce prétexte, ils pillent en permanence la région", a déclaré M. Ahmadinejad.

    M. Ahmadinejad est également revenu sur l'attaque du 11 septembre 2001.

    "Nous avons des centaines de questions sur le 11 septembre et ils doivent y répondre", a déclaré M. Ahmadinejad.

    "S'ils prétendent que 3.000 personnes ont été tuées le 11 septembre, ils (les responsables) doivent être identifiés et exécutés. Nous vous aiderons aussi pour les arrêter mais à condition que vous donniez des preuves", a-t-il affirmé.

    Le président iranien a ajouté que "les Américains eux-mêmes n'acceptent pas leurs affirmations", a-t-il affirmé.

    Le mois dernier, le président Ahmadinejad a provoqué un tollé général en affirmant que les Etats-Unis étaient impliqués dans l'attaque du 11 septembre, lors d'un discours devant l'Assemblée générale des Nations unies.

    Un discours qualifié de haineux par le président américain Barack Obama.

    "Sous ce prétexte, ils ont envahi notre région, verse le sang des gens et font ce qu'ils veulent", a-t-il lancé.

    "Il vaut mieux que vous quittiez la région vous-mêmes car sinon les peuples de la région vous expulseront en vous donnant un coup de pied dans le derrière", a-t-il ajouté .

    AFP. 03/10/10

     

     

  • 27 - Qui est-ce?

    27 Qui est-ce.jpg

  • 26 - Qui est-ce?

    26 Qui est-ce.jpg

    26 Qui suis-je 2 XXX.jpg

    (Il s'agit de la même personne)

  • 25 - Qui est-ce?

    25 Qui est-ce.gif