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Blog - Page 1565

  • Marseille: le président du consistoire israélite mis en examen pour "modification d'une scène de crime"

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    De G à D: Zvi Ammar, Aragones et le procureur Dallest au cours d'un dîner du CRIF
    Personne n'est intouchable à Marseille", a martelé hier, le procureur de la République, Jacques Dallest, quelques heures après l'interpellation, à son domicile, du président du consistoire israélite, Zvi Ammar. Homme d'affaires et personnalité influente, Zvi Ammar a dû patienter une bonne demi-journée dans les geôles du palais de justice avant d'être présenté au juge Fontaine, en charge de l'épineux dossier Plançon. D'où il allait ressortir libre, en début de soirée, mais mis en examen pour "modification d'une scène de crime" et placé sous contrôle judiciaire.

    Le 8 novembre 2007, Olivier Plançon, cadre commercial d'une société monégasque d'équipements sportifs, était abattu dans le quartier des Arnavaux (14e), devant les locaux d'International Sport Fashion (ISF), société dirigée par Zvi Ammar.

    Alors que l'enquête part sur un "banal" vol à main armée, il apparaît rapidement que la victime se livrait régulièrement à des transferts d'argent liquide entre Marseille et Monaco. Ce jour-là, les braqueurs auraient convoité la somme non négligeable de... 346 360 €. Le nom du président du consistoire apparaît très vite dans la procédure. Des témoins affirment l'avoir vu retirer des sacs du véhicule de la victime. Des faits révélés par l'hebdomadaire Le Point qui avait valu au magazine une poursuite en diffamation, en septembre dernier, puis une relaxe.

    Mais hier, l'affaire a pris une autre tournure avec l'interpellation, au saut du lit, de Zvi Ammar, de son frère Simon, ainsi que de Simon Roques, le passager du véhicule dans lequel était abattu Olivier Plançon. Si une enquête a été ouverte l'an passé pour "abus de biens sociaux et blanchiment en bande organisée", le président du consistoire israélite a uniquement été mis en examen pour "modification d'une scène de crime". "Oui, j'ai pris un carton, reconnaissait-il, hier au téléphone. Mais c'est à la demande de M.Roques. Il hurlait que les assassins allaient revenir et qu'il fallait l'aider à cacher ces documents qui ne m'appartiennent pas".

    Entendu deux fois par la PJ, Zvi Ammar s'est dit "choqué" par la méthode du juge. "Il n'y avait aucune raison de lancer un mandat d'amener à l'encontre de cette personnalité imminente, déplore son conseil, Me Bismuth. C'est inadmissible. Si le juge l'avait convoqué, il y serait allé. Il y a une mesure d'humiliation dans cette affaire".

    La Provence.com - 13/07/10
     
  • Aubrac et Barbie

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    Raymond Aubrac, né Raymond Samuel
     
    Raymond Samuel, né en 1914, est fils de commerçants juifs aisés, propriétaires de magasins de confection à Vesoul et à Dijon. Son père Albert est né à Vesoul, sa mère, Hélène Falk née à Crest, dans un milieu de petits commerçants, est plus intellectuelle. La pratique religieuse des deux parents est peu prononcée. Le père est plutôt conservateur alors que la mère est sensible aux idées progressistes. Le jeune Raymond passe son enfance et sa jeunesse dans une dizaine de villes de province, fréquente les Éclaireurs de France, laïques, mais aussi un cercle d'études juives.
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    Klaus Barbie (1913-1991)
     
     

    En 1983, Klaus Barbie est extradé de Bolivie et il est jugé à Lyon en 1987, non pas pour les arrestations de Caluire ou des crimes perpétrés dans le cadre de la lutte contre la Résistance — pour lesquels il y a prescription — mais pour crimes contre l'humanité. Il est condamné à la peine maximum, la réclusion à perpétuité. Le 4 juillet 1990, Barbie demande à comparaître devant un juge accompagné de son avocat Jacques Vergès pour lui remettre un texte de 63 pages que l'on appellera Testament de Barbie, qui circulera dans les salles de rédaction dès la mort de Barbie en 1991, mais ne sera connu du grand public qu'en 1997, avec la publication du livre de Gérard Chauvy : Aubrac, Lyon, 1943. Dans ce « testament », Barbie présente Aubrac comme un agent à son service, qui aurait été « retourné » lors de sa première arrestation en mars 1943. Toujours selon ce document de Barbie, Lucie aurait été l'agent de liaison entre Aubrac et lui et elle aurait téléphoné à Barbie la date et le lieu de la réunion de Caluire.

    En mars 1997, juste après la sortie du film Lucie Aubrac, de Claude Berri, le journaliste et historien lyonnais Gérard Chauvy publie donc son livre Aubrac, Lyon, 1943 dans lequel il dévoile le Testament de Barbie et produit un certain nombre de documents d'archives connus ou inédits qui mettent en évidence les incohérences dans les différents récits et témoignages que Lucie et Raymond Aubrac ont fait depuis leur arrivée à Londres en 1944 sur les événements survenus à Lyon entre mars et octobre 1943.

    En conclusion, Chauvy, sans adhérer à la thèse de la trahison du Testament de Barbie, indique : « Aujourd'hui, aucune pièce d'archives ne permet de valider l'accusation de trahison proférée par Klaus Barbie à l'encontre de Raymond Aubrac, mais au terme de cette étude, on constate que des récits parfois fantaisistes ont été formulés."

    (Extraits de Wikipédia)

  • Distribution de légions d'honneur tous azimuts

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    François Fillon et Raymond Aubrac
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    Isabelle Adjani  - (Cliquez sur les photos)

    La promotion du 14-Juillet de la Légion d'honneur, publiée mercredi au Journal officiel, récompense d'anciens résistants comme Raymond Aubrac, des chefs d'entreprise tel Martin Bouygues ou encore des artistes à l'instar d'Isabelle Adjani ou Mireille Mathieu.

    Le grand résistant Raymond Aubrac ainsi que l'historien Jean Favier, spécialiste de Napoléon, sont les deux seules personnalités élevées à la dignité de grand'croix. Parmi les grands officiers, on retrouve notamment le compagnon de la Libération Jean-Louis Crémieux-Brilhac, auteur d'un ouvrage de référence sur la France libre, ainsi que le philosophe et académicien Michel Serres. Les anciens ministres Philippe Douste-Blazy, Renaud Dutreil (chevaliers) ainsi que Margie Sudre (officier) sont également promus. La journaliste au Figaro et présidente de l'association des journalistes parlementaires Sophie Huet devient officier tandis que l'ancienne directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy à l'Elysée Emmanuelle Mignon est nommée chevalier.

    Dans le monde économique, Jean-François Dehecq, président d'honneur du groupe pharmaceutique Sanofi-Aventis, est promu grand officier tandis qu'Alain Juillet, ancien responsable de l'intelligence économique, est élevé au grade de commandeur à l'instar de Bertrand Collomb, l'ancien patron de Lafarge, leader mondial des matériaux de construction. Le président de la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (FCD) Jérôme Bédier est promu officier. De son côté Martin Bouygues, PDG du groupe éponyme, est fait officier et l'ancien conseiller élyséen aujourd'hui à la tête du groupe Banque populaire-Caisse d'épargne (BPCE), François Pérol, est nommé chevalier, tout comme le directeur général du Crédit Agricole, Jean-Paul Chifflet. L'économiste Michèle Saint-Marc est promue commandeur.

    Mireille Mathieu et Charlotte Rampling promues

    Le contingent du monde de la culture est très fourni avec notamment parmi les nouveaux officiers l'historien Pierre Rosanvallon, le compositeur et chef d'orchestre de jazz Claude Bolling, l'homme de théâtre Antoine Bourseiller, le président du musée du Louvre Henri Loyrette, l'architecte Jean Nouvel ou encore la chanteuse Mireille Mathieu et l'actrice Charlotte Rampling. Parmi les chevaliers, on retrouve l'actrice Isabelle Adjani, l'écrivain Calixthe Belaya, le réalisateur serbe Emir Kusturica, le musicien camerounais Manu Dibango, le philosophe Jacques Bouveresse, le peintre Philippe Cognée, l'écrivain et journaliste Joël Schmidt ou encore l'administratrice de la Comédie-Française Muriel Mayette. La cinéaste et productrice Marcelline Loridan-Ivens, résistante et épouse du réalisateur de documentaires Joris Ivens, est promue officier, tandis que l'historien de l'art Jacques Thuillier est fait commandeur. Le scientifique Maxime Schwartz, ancien directeur de l'Institut Pasteur de Paris et directeur de recherche émérite au CNRS est élevé au grade d'officier.

    Enfin sont également couronnés les médaillés d'or aux derniers JO d'hiver de Vancouver Vincent Jay (biathlon) et Jason Lamy-Chappuis (combiné nordique), promus chevaliers. Les médaillés d'argent et de bronze ainsi que les médaillés des jeux Paralympiques d'hiver se voient pour leur part promus dans l'Ordre national du Mérite.

    Le Point- 14/07/10

  • Florence Woerth a posé sa candidature en 2009 auprès de filiales de banques suisses

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    Les Woerth - (Cliquez sur la photo)

    Florence Woerth, l'épouse du ministre du Travail Eric Woerth, a candidaté (sic) en 2009 auprès des filiales françaises de deux banques suisses, au moment où son mari luttait contre l'évasion fiscale, a affirmé mercredi le journal Libération, ce que l'avocat de Mme Woerth dément.

    Selon le quotidien, qui cite une "très bonne source", Florence Woerth, qui souhaitait mettre fin en 2009 à ses fonctions de gestionnaire de la fortune de la milliardaire Liliane Bettencourt, "a proposé ses services" aux filiales françaises de deux établissements bancaires helvétiques, dont le Crédit Suisse.

    Interrogée par l'AFP, la banque n'a pas souhaité mercredi faire de commentaires. Le nom de l'autre établissement financier n'est pas précisé par le journal.

    De son côté, l'avocat de Florence Woerth, Me Antoine Beauquier, a réitéré auprès de l'AFP son démenti, déjà formulé dans Libération. "C'est un nouveau mensonge", s'est-il offusqué, parlant "d'acharnement" contre sa cliente.

    Au moment où Florence Woerth a candidaté, selon Libération, Eric Woerth, alors ministre du Budget, avait érigé comme priorité la lutte contre l'évasion fiscale, rappelle le journal. Il souhaitait notamment pouvoir ratifier une convention fiscale avec la Suisse, lui permettant de demander des renseignements fiscaux à son voisin, note le quotidien.

    Florence Woerth est actuellement au coeur d'une affaire de conflit d'intérêts présumé entre ses ex-fonctions de gérante de la fortune de la Liliane Bettencourt et celles de son mari, quand il était titulaire du portefeuille du Budget.

    Le Point - 14/07/10

  • Jérusalem-Est: Israël a démoli aujourd'hui trois maisons palestiniennes

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    Enfants palestiniens à Beit Hanina le 13 juillet 2010 - (Cliquez sur la photo)
    Les autorités israéliennes ont procédé mardi à la démolition de trois maisons palestiniennes, dont une habitée, dans le secteur oriental annexé de Jérusalem, selon la police et des témoins, une initiative critiquée par les Etats-Unis, l'Union européenne et l'ONU.

    Les bâtiments, situés dans le quartier d'Issawiya, ont été rasés par ordre de la municipalité sous motif qu'ils n'avaient pas reçu de permis de construire.

    Dans une des maisons, la police a demandé aux occupants, six membres de la famille Al-Rajabi, de déménager avant qu'un bulldozer détruise leur habitation, a constaté un photographe de l'AFP.

    Les deux autres maisons, inhabitées car encore en construction, ont également été détruites, selon le photographe.

    La police, déployée sur les lieux en raison du risque d'affrontements avec des protestataires palestiniens, n'a pas eu à intervenir, a précisé un porte-parole de la police.

    Des milliers de maisons palestiniennes dans la partie orientale de Jérusalem sont menacées de destruction car construites sans permis des autorités israéliennes.

    La Commission européenne et l'Autorité palestinienne ont dénoncé mardi ces démolitions ainsi que de nouvelles autorisations en parallèle de constructions israéliennes, y voyant un obstacle à la paix.

    "Je dois exprimer ma profonde préoccupation au sujet des derniers développements à Jérusalem-Est", a déclaré à Bruxelles le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, lors d'une conférence de presse au côté du Premier ministre de l'Autorité palestinienne, Salam Fayyad.

    "Il s'agit d'initiatives qui sont contre-productives. Les colonies et la démolition d'habitation sont illégales, elles sont en infraction avec le droit international, elles constituent un obstacle à la paix et menacent de rendre impossible une solution (de paix) à deux Etats", a-t-il ajouté.

    M. Fayyad a lui aussi critiqué les récentes décisions, à ses yeux "en contradiction avec la nécessité d'avoir un concept viable de solution à deux Etats".

    L'envoyé des Nations unies pour le Proche-Orient Robert Serry a appelé les parties à "s'abstenir de toute action provocatrice".

    "Je continue à suivre avec préoccupation les développements à Jérusalem-Est et les tensions qui se poursuivent dans la ville", a souligné M. Serry dans un communiqué.

    Washington a aussi exprimé sa préoccupation.

    "Nous sommes préoccupés par les informations au sujet de la démolition de plusieurs bâtiments à Jérusalem-Est", a déclaré Philip Crowley, le porte-parole du département d'Etat.

    Washington "demande à chacune des parties d'éviter des actions qui peuvent diminuer la confiance" et est "opposé aux actions unilatérales qui préjugent des négociations sur le statut de Jérusalem".

    Les Palestiniens de Jérusalem-Est et les ONG de défense des droits de l'Homme accusent les autorités israéliennes de ne délivrer qu'au compte-goutte les permis de construire et déclarent qu'en conséquence, ils sont acculés à construire illégalement.

    Lundi, la municipalité israélienne de Jérusalem avait autorisé la construction de quatre immeubles comportant 32 appartements à Pisgat Zeev, un quartier de colonisation juive de Jérusalem-Est.

    Un porte-parole de la mairie a affirmé qu'une commission de planification municipale avait autorisé la construction de 100 maisons, dont une partie dans des quartiers arabes.

    Le statut de Jérusalem et la construction de logements juifs dans la partie orientale de la ville constituent une pomme de discorde majeure dans les discussions entre Palestiniens et Israéliens.

    Israël a proclamé Jérusalem sa "capitale éternelle et unifiée", alors que les Palestiniens veulent faire du secteur oriental de la ville la capitale de leur futur Etat.

    La communauté internationale ne reconnaît pas l'annexion israélienne du secteur oriental de la Ville sainte, occupé depuis juin 1967, non plus que les colonies juives de Cisjordanie.

    AFP. 13.07/10

  • A propos des évadés fiscaux

    A l’aube d’une période d’austérité et d’un plan de rigueur pour la France, il peut être intéressant de connaître la liste (non exhaustive, tirée du « Nouvel Observateur » n° 2359 du 21 Janvier 2010) des
    personnalités qui ont fui fiscalement le pays pour s’installer en Suisse, ou dans un autre paradis fiscal.

    S’ils l’ont fait en toute légalité (achat d’une résidence en Suisse, séjour inférieur à 6 mois sur le sol français), il est par contre inadmissible que certains d’entre eux continuent à s’immiscer dans la vie politique française, en participant activement aux campagnes électorales, pour soutenir tel ou tel candidat, ou pire, en étant officiellement investi par l’Etat pour représenter la France à l’étranger, comme c’est le cas actuellement pour Alain Delon qui est le parrain officiel du pavillon français à l’exposition universelle de Shanghaï.
     
    Parmi les plus actifs dans ce domaine, il y a donc Alain Delon, mais aussi Johnny Hallyday (le premier résidant à Genève depuis 1999 et le second à Gstaad depuis 2006), sans oublier Charles Aznavour (résidant à Genève), Patricia Kaas, Emmanuelle Béart, Daniel Auteuil, Marc Levy et Michel Houellebecq.

    Parmi les sportifs on peut citer Alain Prost, Jean Alesi, Richard Virenque, et les tennismen Guy Forget, Richard Gasquet, Henri Leconte, Amelie Mauresmo, Gaël Monfils, Cédric Pioline, et Jo-Wilfried Tsonga qui payent tous leurs impôts en Suisse.

    Moins étonnant, mais encore plus scandaleux, des personnalités des affaires qui exercent actuellement (ou ont exercé récemment) un pouvoir politique économique ou financier en France, parmi eux : Antoine Zacharias (Vinci), Claude Berda (AB groupe, TF1), Daniel Hechter (couturier) et Jean-Louis David (salons de coiffure,cosmétiques).

    Mais aussi des rentiers et des héritiers, dont les fortunes ont été créées en France, avec la participation de centaines de milliers d’ouvriers français :Eric Peugeot, Jean Taittinger (PDG de la société du Louvre, ancien ministre de la justice et député de la Marne), Philippe Hersant (patron de presse du Groupe Hersant), Corinne Bouyques (héritière de la fortune Bouygues), les familles Defforey (Carrefour), Mulliez (Auchan) et Halley (Promodès), tous résidant à Genève ou aux environs.

     Si ces gens n’aiment pas (fiscalement) la France, qu’ils la quittent et qu’ils l’oublient, et surtout qu’ils n’en profitent pas quand ils en ont besoin (comme par exemple pour venir s’y faire soigner).

    A tous les Français qui vont se serrer la ceinture dans un proche avenir, nous proposons de boycotter les concerts, les disques et les livres de tous ceux qui ne participeront pas à l’effort de solidarité nationale et aux médias, nous demandons de ne plus offrir de tribunes télévisées (pour la promotion de films et de disques) aux artistes concernés et de ne plus faire de sponsoring aux sportifs exilés.


    Aux députés nous demandons d’instaurer une loi pour qu’il ne soit plus possible pour un évadé fiscal de venir se faire soigner en France (dans un hôpital public) ni de représenter officiellement la France à l’étranger.
     
  • Des navires de guerre israéliens "entourent" le cargo d'aide libyen Amalthea

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    Des navires de guerre israéliens "entouraient" mardi soir le cargo d'aide libyen qui se dirigeait vers la bande de Gaza, a indiqué à l'AFP le directeur exécutif la Fondation Kadhafi qui a affrété le navire.

    "Des navires de guerres israéliens entourent le cargo et le menacent. Il y a réellement une menace", a déclaré Youssef Sawan.

    Auparavant, M. Sawan a affirmé de nouveau que le cargo, l'Amalthéa, se dirigeait toujours vers Gaza, démentant une annonce de source égyptienne que le navire irait à Al-Arich.

    "Le navire se dirige toujours vers Gaza et ne changera pas de direction", a déclaré à l'AFP M. Sawan, qui a ajouté que les communications étaient "brouillées avec le navire".

    Voila - 14/07/10

     

     

  • VIDEOS BOCCHERINI - Fandango et menuet

    http://www.youtube.com/watch?v=MLOmwmwPMxY

    http://www.youtube.com/watch?v=kSE15tLBdso

    Luigi Boccherini, né à Lucques en 1743, a passé la majeure partie de sa carrière en Espagne et on peut le considérer comme le fondateur de la musique espagnole. Il est mort à Madrid en 1805.

  • Bac 2010: 85,5% de réussite - un examen qui a perdu toute valeur de sélection

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    (Cliquez sur la photo)
     
     
    Le taux de réussite au baccalauréat 2010 toutes filières confondues a finalement été de 85,5 %, selon de nouveaux chiffres, encore provisoires, donnés aujourd'hui par le ministère de l'Education nationale, qui précise que 65,4% d'une génération a obtenu ce précieux sésame.

    Hier, le ministère avait annoncé que 85,4 % des candidats au bac 2010 l'avaient décroché, avec un taux de réussite de 87,2% dans la filière générale, de 81,7 dans la filière technologique et de 85,4 dans la filière professionnelle, selon des résultats provisoires qui ne comprenaient pas la partie "enseignement agricole", a expliqué le ministère à l'AFP.

    Aujourd'hui, dans une note d'information publiée sur son site internet, le ministère ajoute à ces résultats ceux de l'enseignement agricole. Le taux de réussite pour le bac technologique est donc de 81,4% et celui du bac professionnel de 86,2%. Les résultats du bac général (87,2%) sont inchangés.
    "En 2010, 65,4 % d’une génération obtient le baccalauréat contre 66,4 % l’an dernier" à la même époque, ajoute-t-il, soulignant que cette proportion "reste dans des valeurs comparables depuis une quinzaine d'années".

    Le taux de réussite toutes filières confondues dépasse 90 % dans les quatre académies de Grenoble, Nantes, Rennes et Strasbourg.
    Ces chiffres restent provisoires car ils n'incluent pas la session de septembre qui s'adresse aux candidats n'ayant pu se présenter en juin pour raisons de force majeure.
    Le Figaro - 13/07/10

  • Bettencourt-Woerth-Sarkozy: le document qui dérange

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    Le document que nous publions ci-dessous éclaire d’un jour nouveau les dons faits par l’héritière de l’Oréal et son époux au parti présidentiel. Ce "mémo strictement personnel et confidentiel" a été adressé à André Bettencourt par Patrice de Maistre -le gestionnaire de fortune de la milliardaire- le 29 septembre 2006. Son "objet"? "Financement UMP, NS" Les dernières initiales désignant, de toute évidence, Nicolas Sarkozy. "Nous avons convenu, avec Monsieur Woerth, écrit Patrice de Maistre dans ce courrier, que vous pourriez faire déposer ces quatre chèques à son attention, à l’UMP 55 rue de la Boétie Paris 8eme

    Quatre chèques ? "Pour la campagne présidentielle, explique Maistre, chaque personne peut donner jusqu’à 4.500 euros [en réalité 4.600 euros, plafond prévu par la loi pour un candidat]. Nicolas Sarkozy n’étant pas encore candidat déclaré, cette contribution n’est pas à l’ordre du jour. Votre épouse et vous-même pouvez donc faire chacun un chèque de 7.500 euros [plafond prévu pour un parti], à (…) l’Association Nationale de financement de l’UMP (ANFUMP) et à l’association de soutien à l’action de Nicolas Sarkozy". Selon le conseiller, Liliane et André ont donc la possibilité de signer en toute légalité deux chèques chacun, pour Nicolas Sarkozy et pour le parti qui doit l’amener jusqu’à l’Elysée. Au total, c’est donc 30.000 euros que le couple aurait versé dès 2006 (plus 7.500 euros "utilisé par Monsieur Renaud Donnedieu de Vabres" précise le memo). Ce document soulève trois questions.

    1/Quel est le montant exact des dons faits par les Bettencourt au parti de Nicolas Sarkozy, ces dernières années ? "Je n’ai pas à le dire" s’est offusqué Eric Woerth le 27 juin dernier sur RTL. "Madame Bettencourt a beau être milliardaire, elle ne peut donner plus de 7.500 euros par an à un parti politique. Voilà de quoi on parle !" avait-il assuré au JDD une semaine plus tôt.

    2/ La loi a-t-elle été respectée? Sans parler des accusations de financements illégaux portées par l’ex comptable Claire Thibout, les chèques suggérés par Maistre pourraient illustrer un constat déjà fait par la Commission nationale des comptes de campagne et de financement politique dans son rapport de 2006. La "création de partis satellites" dit la Cnccfp "a pour conséquence de faciliter le détournement de la loi". Le Nouvel Observateur avait déjà révélé que Liliane Bettencourt avait signé trois chèques pour les régionales de 2010: un pour Valérie Pécresse (qui se présentait à l’élection), un pour l’Association de financement de UMP et un dernier pour le micro parti de l’ex ministre du budget, l’Association de soutien à Eric Woerth, qui lui n’était pas candidat.

    3/ Quelles relations entretiennent Eric Woerth et Patrice de Maistre ? Le gestionnaire de fortune de Mme Bettencourt disait ne pas avoir eu de relation "en tête à tête" avec le trésorier de l’UMP avant 2007. Il a également expliqué aux policiers qu’il ne s’était "jamais occupé d’hommes politiques" et de financement de parti avant les régionales de 2010. Le mémo semble prouver le contraire. La fréquence des rencontres entre l’actuel ministre du travail et le conseiller financier est aussi attestée par les agendas de ce dernier (consultés par les enquêteurs). Ainsi que par le rapport de l’IGF qui mentionne, qu’à trois reprises -9 septembre, 9 novembre 2007 et 22 juin 2009- Patrice de Maistre a été reçu par la cellule fiscale de Bercy "à la demande du ministre".

    Nouvelobs.com - 13/07/10

  • Perquisition chez Liliane Bettencourt et chez François-Marie Banier

    INFO LE FIGARO - Les policiers de la brigade financière se sont présentés lundi dans un local comptable attenant au domicile de la milliardaire ainsi que chez son ami François-Marie Banier, dans le cadre d'une enquête ouverte pour «fraude fiscale et blanchiment».

    Plusieurs policiers de la brigade financière se sont présentés dans un local comptable attenant au domicile neuilléen de Liliane Bettencourt, lundi peu après 17 heures, pour y effectuer une perquisition dans le cadre de l'enquête préliminaire pour «fraude fiscale et blanchiment» ouverte en fin de semaine dernière par le parquet de Nanterre. Plus tôt dans la journée, une descente de police avait également eu lieu chez le photographe François-Marie Banier, rue Servandoni, dans le 6e arrondissement de Paris. Le juge des libertés et de la détention de Nanterre a autorisé ces deux perquisitions. Les enquêteurs sont à la recherche de documents susceptibles d'étayer les soupçons d'évasion fiscale mis au jour par les enregistrements clandestins effectués, de mai 2009 à mai 2010, dans l'hôtel particulier de l'héritière de L'Oréal.

    Agissant sur réquisition du procureur Philippe Courroye, les policiers s'intéressent tout particulièrement au statut de l'île d'Arros qui, bien que n'ayant jamais été déclarée au fisc, pourrait en fait appartenir à Liliane Bettencourt ou à l'un de ses proches. De même, ils cherchent à déterminer si une partie du patrimoine de la milliardaire n'a pas été placée à l'étranger afin d'être soustraits au fisc. Dans un entretien au Figaro , le gestionnaire de fortune Patrice de Maistre a récemment reconnu que Liliane Bettencourt détient, en Suisse, deux comptes bancaires provisionnés à hauteur de 78 millions.

    En l'absence de Liliane Bettencourt, qui se trouve actuellement dans sa propriété bretonne de L'Arcouest, c'est sa secrétaire comptable qui a ouvert lundi aux policiers de la brigade financière. De même, François-Marie Banier n'a pu accueillir les enquêteurs. Il se trouve ces jours-ci en déplacement à New York.

    Le Figaro - 13/07.10

  • Détruit par le fric

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    En couverture de MARIANNE, n° du 10 au 16 juillet 2010

  • Le verbe ne compense pas l'échec politique

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    Communiqué de Presse de Bruno GOLLNISCH, Député Européen, Vice-président du Front National, suite à l’entretien du Chef de l’Etat avec David PUJADAS :

    Qu’il s’agisse des « affaires », de l’affaiblissement du gouvernement, de la crise économique, de l’insécurité persistante, de la situation internationale, le verbe présidentiel n’opère plus.
    Si habile qu’il soit, il ne peut plus suffire à masquer l’échec de la politique menée ces dernières années.
    La vérité, c’est qu’on racle les fonds de tiroir pour payer les échéances mensuelles. C’est aussi que la réforme des retraites, à supposer qu’elle aboutisse, sera à recommencer dans cinq ou six ans. C’est que l’influence française n’a cessé de régresser sur la scène internationale. C’est que les violences contre les personnes continuent de progresser, alors que tous les textes pour les réprimer existent déjà, y compris quant à la mise en cause des parents responsables.

    Ce dont la France a besoin, ce n’est pas de lois nouvelles. C’est de la volonté politique de s’attaquer enfin aux réalités de la dénatalité, de l’immigration, du démantèlement de notre souveraineté, et de la désagrégation de notre industrie par le mondialisme.

    NPI - 13/07/10

  • Affaire Bettencourt-Woerth: Eva Ameil, une baronne au service de BNP Paribas

    Dans les journaux, elle est apparue sous le nom de Mme A. Elle est la baronne Eva Ameil et était le contact personnel, à la banque BNP Paribas, de l'ancienne comptable de Liliane Bettencourt, Claire Thibout.

    Elle contredit aujourd'hui certaines déclarations de l'ex-comptable. Pourtant, Claire Thibout n'en démord pas. Interrogée le 7 juillet sur la demande que lui aurait faite, début 2007, Patrice de Maistre de retirer 150.000 euros en liquide pour qu'il puisse les remettre à Eric Woerth, l'ancienne comptable a expliqué en ces termes son refus:

    «J'ai rappelé Mme Eva A... qui était la gestionnaire du compte de Mme Bettencourt place Vendôme pour lui dire qu'il était hors de question que je vienne récupérer une telle somme et qu'elle dise à M. de Maistre que ce n'était pas possible. Elle m'a alors répondu que j'avais raison et que si une telle chose se passait, il faudrait qu'(elle) le déclare à TRACFIN. Elle m'a dit qu'elle allait en parler directement à M. de Maistre.» (Lire son procès-verbal d'audition en cliquant ici ou ici.)

    Mme Ameil a formellement démenti les propos de l'ancienne comptable. Le Figaro s'est empressé de publier des extraits du procès-verbal de son audition: «Je n'ai jamais reçu cet appel téléphonique de madame Thibout (...) Je suis formelle.» Ou encore: «Je n'ai jamais eu madame Thibout au téléphone pour une demande de dépassement du montant de l'accréditif, que ce soit en mars 2007 ou à une autre date.»

    L'avocat de Claire Thibout, Me Antoine Gillot, s'est interrogé, samedi 10 juillet, sur la validité de ce témoignage, révélant qu'Eva Ameil était une proche amie de la sœur de Patrice de Maistre, l'homme de confiance de Liliane Bettencourt. Où l'on retrouve un petit monde, où se mêlent mondanités et business, argent et politique, carnet mondain, argent et luxe.

    Eva Ameil est un des membres de cette coterie. Officiellement, elle est banquière à BNP Paribas, chargée du secteur du luxe de la banque. Cette présentation semble un peu embarrasser la banque. «Nous n'avons pas de secteur luxe, explique un porte-parole de BNP Paribas. Sa fonction est conseillère de clientèle.» «Disons qu'elle sert de truchement entre la banque et les clients fortunés. C'est elle qui aide à trouver le bon interlocuteur à BNP Paribas. Elle peut amener aussi de nouveaux clients. Mais elle ne gère pas directement les dossiers», explique un familier de ce monde.

    Pour faire simple, la baronne Amiel est une super VRP pour le compte de BNP Paribas. Elle utilise son carnet d'adresses pour ramener vers la banque une clientèle sélecte et fortunée, qui préfère généralement des établissements bancaires plus discrets. Et son carnet d'adresses est des plus fournis, à en croire cet habitué: «Tout Paris a dîné à sa table. Elle connaît tout le monde, connaît parfaitement tous les codes sociaux», explique-t-il.

    Un lieu paraît particulièrement compter dans ce dispositif: le Maxim's Business Club ou Cercle MBC. Mme Ameil est vice-présidente de ce cercle depuis plus de cinq ans. En Suisse, où le cercle a créé sa seule antenne, c'est Nadine de Rothschild (compagnie financière Edmond de Rothschild) qui tient à peu près le même rôle. C'est dire que la baronne Ameil est une femme qui compte dans ce milieu mondain.

    MEDIAPART - 13/07/10

  • Les Français peuvent-ils encore aller au parc Astérix?

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    Un provincial de 30 ans a été roué de coups au pied des montagnes russes du «Tonnerre de Zeus», dimanche dernier au parc d’attraction de l’Oise, après avoir refusé de se laisser doubler dans la file d’attente. 10 individus, dont 3 mineurs, ont été placés en garde à vue.

    Mathilde Laurelli - Parismatch.com

     

    «Par Toutatis !» aurait pu s’écrier Filip de Witte, directeur d’exploitation du Parc Astérix, devant la folie quasi meurtrière des visiteurs du parc d’attraction situé à Plailly (Oise), si l’incident n’avait pas failli tourner au drame. Quatre amis venus de Gisors (Eure) font tranquillement la queue pour le «Tonnerre de Zeus», manège phare des irréductibles gaulois, dimanche dernier vers 13h15, quand une vingtaine de personnes, originaires du Val-d’Oise, essaye de resquiller. Un gisorsiens de 30 ans décide de ne pas se laisser passer devant. Résultat: une pluie de coups s’abat sur lui. Les deux agents de sécurité, sensés surveiller la file d’attente, ne perçoivent rien de l’incident, qui se déroule dans une boucle hors de leur champ de vision. Désespérés, ses trois amis - deux hommes et une femme - tentent tant bien que mal de s’interposer. En vain. Légèrement blessés dans la bagarre, ils assistent impuissant à cette altercation aussi violente que démesurée. Mâchoire ouverte, plaie à l’arcade… Le blessé souffre de multiples contusions faciales. Il est transporté dans un état critique à l'hôpital de Senlis (Oise), duquel il ressort quelques heures après avec plusieurs points de sutures au visage. Le verdict tombe: 5 jours d'Incapacité Totale de Travail (ITT).

    Quatorze personnes sont arrêtées sur place. 10 d’entre elles, dont 3 âgées de moins de 18 ans, sont placées en garde à vue par la gendarmerie. «On voit souvent des affrontements mais autant d’individus qui s’acharnent sur une seule personne, ça reste rare», confie une source policière proche de l’enquête au quotidien «Le Parisien». «Les dépassements dans les files d’attente, ça énerve. Il suffit d’une réflexion et le coup de poing part», explique un capitaine de la gendarmerie de Chantilly dans «Libération», avant d’ajouter: «Là, ce qui est exceptionnel, c’est le nombre de mis en cause. D’habitude, ces altercations concernent deux ou trois individus».

    Ce n’est pourtant pas la première fois que Filip de Witte doit faire appel aux forces de l’ordre. Le 23 mai dernier, une bagarre similaire avait éclaté sur le parking automobile du Parc Astérix. En plein pique-nique, une famille venue en voiture de Drouvin-le-Marais, dans le Pas-de-Calais, avait été agressée par une trentaine de jeunes venus des Ulis pour en découdre avec leur fils. Deux des bagarreurs s’était retrouvés derrière les barreaux pour «violences volontaires avec préméditation et en réunion».

    «Le parc Astérix n'est pas un champ de bataille»

    «Ce sont des événements très localisés et marginaux», tente de minimiser Filip de Witte dans «Le Parisien». Le directeur d’exploitation du Parc Astérix assure néanmoins que les mesures de sécurité vont être consolidées. «Nous allons encore renforcer la vigilance. Ces incidents ne se reproduiront pas. Mais nous ne pouvons pas mettre un agent derrière chaque visiteur», déplore-t-il. Cinq agents de sûreté supplémentaires ont ainsi été embauchés depuis l’anicroche du mois de mai, portant le nombre total à vingt employés. Des caméras de surveillance ont par ailleurs été installées en complément d’enquête. «Le parc Astérix n'est pas un champs de bataille», assure-t-il dans une interview accordée à TF1 News. Pour réduire le temps d’attente, les gestionnaires du Parc Astérix ont selon lui dépensé «plusieurs millions d'euros cet hiver pour augmenter le nombre de wagons dans les attractions avec des trains et de bouées dans les attractions dans l'eau». Ils misent également sur la prévention, «en publiant des messages à l'entrée du parc, indiquant qu'il est interdit de doubler dans les files d'attente». Sans oublier qu’un local de la gendarmerie d’Orry-la-ville se tient prêt à intervenir. «Les gendarmes sont sur place autant que possible, et même quand ils ne le sont pas, ils arrivent toujours très vite. Hier, plus de dix gendarmes étaient présents sur les lieux en trois-quatre minutes». Un temps d’attente malheureusement insuffisant pour permettre aux quatre normands de profiter pleinement des loopings du «Tonnerre de Zeus».

    L’enquête en cours devrait permettre au parquet de Senlis de décider des suites judiciaires.

    Paris-Match.com - 13/07/10

     

  • Crotalus atrox

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    Crotale diamantin ou serpent à sonnette (Crotalus atrox) - Cliquez sur la photo pour la voir en totalité

    Le crotale diamantin mesure de 1,30 m à moins de 2 m en moyenne pour un poids maximum de 6 kg. Le record de taille est de 2,13 m. Il se déplace aussi facilement sur terre que dans l’eau. Sa queue porte des anneaux noirs et blancs. La couleur de sa livrée est variable mais souvent brunâtre. Elle possède des dessins dorsaux en forme de diamants d'où son nom.

    A l’extrémité de la queue, se trouve la célèbre sonnette du crotale. Elle est constituée par un ensemble d’écailles dures, en forme d’anneaux, emboîtées les unes dans les autres de manière à former une chaîne très lâche.

  • Cargo d'aide libyen: arrivée mercredi à Gaza? Israël menace de l'arraisonner

    Le cargo d'aide affrété par la Fondation Kadhafi dirigée par Seif Al-Islam, fils du numéro un libyen Mouammar Kadhafi, est entré dans les eaux internationales au large de l'île grecque de Crète et doit arriver mercredi à Gaza, a annoncé aujourd'hui la Fondation.


    "L'équipe de la Fondation à bord du navire a indiqué qu'elle gardait bon moral et qu'elle se préparait à entrer à Gaza mercredi", selon le site internet de cette organisation caritative.
    Le bateau se trouvait à la mi-journée dans les eaux internationales à 100 km au large de l'île de Crète et continuait à avancer vers Gaza "à un rythme soutenu", a précisé la Fondation.

     
    Israël déploie des efforts diplomatiques intenses pour que le cargo Amalthéa battant pavillon moldave, parti de Grèce samedi soir, détourne sa route vers l'Egypte, tout en menaçant de l'arraisonner s'il maintient le cap sur Gaza.


    "Nous ne transportons pas d'armes ou de produits suspects. Il n'y a que de la nourriture, des médicaments et de jeunes pacifistes sur le bateau", a déclaré à l'AFP Machallah Zwei, un représentant de la Fondation qui se trouve sur le bateau..
    "Les Israéliens peuvent inspecter le navire et s'ils ont une once d'humanité, ils nous laisseront décharger le navire à Gaza", a ajouté M. Zwei joint par téléphone satellitaire.


    Il a appelé "la communauté internationale à faire pression sur Israël pour qu'elle permette de faire parvenir de l'aide à Gaza".


    Israël a prévenu dimanche qu'elle ne permettrait pas au bateau de décharger sa cargaison directement au port de Gaza. Le ministre de la Défense, Ehud Barak, a conseillé "aux organisateurs de cette expédition de se laisser escorter par les bateaux de la marine de guerre au port (israélien) d'Ashdod ou de se rendre directement au port (égyptien) d'Al-Arich".
    Une flottille internationale transportant du matériel humanitaire à destination de Gaza avait été arraisonnée le 31 mai par la marine israélienne dans les eaux internationales, une prise d'assaut au cours de laquelle neuf Turcs ont été tués.

    Le Figaro - 12/07/10

  • Le 14 Juillet, mettez une chemise blanche!

    Deux associations engagées dans la lutte contre la corruption ont lancé un appel aux citoyens et "aux élus soucieux de l'intérêt général" afin que chacun revête, le 14 juillet, une chemise blanche pour réclamer davantage d'éthique en politique.

    L'appel à la mobilisation, initié par les associations Anticor et Sherpa en pleine ébullition suscitée par l'affaire Bettencourt, s'élève contre "les scandales politiques liés aux graves révélations touchant le pouvoir exécutif".

    Il stigmatise un "état de collusion qui mine la démocratie" et s'accompagne d'un courrier adressé aux députés leur rappelant différents articles de loi sur la fraude fiscale, le financement des campagnes électorales ou encore le trafic d'influence.

    Le Figaro - 12/07/10

  • Polanski dit "merci", mais la justice américaine ne renonce pas

    Autre réaction attendue, celle des Etats-Unis. Le porte-parole du département d'Etat Philip Crowley a exprimé sa "déception" après la décision suisse, annonçant que son pays continuerait à chercher à ce que "justice" soit faite dans cette affaire. "Le viol d'une fille de 13 ans par un adulte est un crime", a-t-il ajouté. "Nous continuerons à chercher justice dans cette affaire et nous allons étudier nos possibilités".

    TF1 News - 12/07/10