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Blog - Page 1715

  • Double infanticide: Mélissa et Jason ont été drogués pendant plusieurs mois

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    Marie-Hélène Martinez arrive à la Cour d'assises d'Aix-en-Provence le 7 septembre
    (Cliquez sur la photo)

    Mélissa et Jason, qui sont morts empoisonnés en 2005, ont absorbé plusieurs médicaments à fort effet sédatif pendant plusieurs mois avant le soir du drame, selon un expert interrogé mardi au deuxième jour du procès de la mère et du beau-père des deux enfants.

    Les analyses toxicologiques des cheveux, qui excluent les toxiques ingérés le jour fatal, ont révélé "une concentration importante" de plusieurs anxiolytiques destinés à des adultes, parmi lesquels du Lexomil, Seresta, Temesta.

    C'est un niveau "totalement anormal", a souligné Pascal Kintz, expert judiciaire au laboratoire Chemtox, basé à Strasbourg. Ainsi, la concentration de Lexomil retrouvée chez Jason correspond à 360 comprimés avalés.

    "Ce sont probablement les concentrations les plus élevées que je n'ai jamais vues", a-t-il affirmé, en concluant que l'administration des médicaments avait dû se faire sur "une très longue période".

    Selon M. Kintz, les enfants devaient par conséquent "fonctionner au ralenti, somnoler, être peu réactifs, souvent prostrés, sédatés".

    Interrogés à ce sujet, la mère Marie-Hélène Martinez et le beau-père Jean-Paul Steijns disent n'avoir rien remarqué de bizarre et nient tous deux leur avoir donné des médicaments.

     "Il me paraît inconcevable qu'ils aient pu ignorer les troubles du comportement" des enfants, a réagi Me Nicole Pollak, qui représente les grands-parents paternels, avant d'émettre l'hypothèse que "depuis des mois, ces enfants gênaient".

    Le père de Mélissa et Jason, Antoine Correlejo, n'a pas observé de changement non plus, mais il n'a quasiment pas pu voir les enfants, qui n'étaient en outre pas scolarisés, au cours de la dernière année de leur vie.

    Les cadavres de Mélissa et Jason, 8 et 7 ans, avaient été retrouvés en octobre 2005 dans le coffre de la voiture de leur mère.

    Le couple risque la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est attendu vendredi.

    AFP. 08.09.09

     

     

     

  • Le retour

    Afghanistan le retour.jpg
    Aéroport de Roissy le 8 septembre 2009
    (Cliquez sur la photo)

  • VIDEO Une chanson de Gainsbourg peu connue...

    http://www.dailymotion.com/video/x1nr7c_le-sable-et-le-soldat_music

    Cette chanson écrite en l' "honneur" de la guerre de 1967 est restée très discrète durant toute la carrière de Serge Gainsbourg avec l'aide bienveillante des médias français.

    Le chanteur avait ordonné de cacher cette chanson afin de garder comme clients les Français horrifiés par les crimes de l'entité sioniste. C'est avec un zèle incroyable que cette chanson fut cachée à la population française pendant des décennies. La carrière de ce sioniste fut bien sûr fulgurante, le passage de ses chansons "neutres" remplirent les radios et tous les plateaux T.V étaient à l'écoute pour toutes les promotions possibles. Comme il est simple d'être connu et célèbre dans le beau pays qu'est la France...


    Alterinfo -02.09.09
  • JEUX - Bonne pioche!

    heaume_o_1.jpg
    Un roi tyrannique a capturé son opposant le plus farouche. Le lendemain, il lui donne une ultime chance d'être gracié.
    Il place deux billes au fond d'un heaume, une blanche symbolisant la liberté, une noire représentant la mort.
    Devant le peuple réuni pour l'occasion, le prisonnier devra tirer au hasard une seule bille qui décidera de son sort.
    La nuit, un espion apprend au prisonnier que le roi a placé dans le heaume deux billes noires.
    Comment peut-il s'y prendre pour être libéré en ne tirant au hasard qu'une seule bille? 

  • "Sarkozy , Israël et les Juifs" de Paul-Eric Blanrue enfin diffusé en France

    Les éditions Oser dire qui ont publié
    Sarkozy, Israël et les juifs de Paul-Éric Blanrue
    (208 pages - ISBN : 9782919937127 16 euros)
    ont trouvé un diffuseur en France :

    Primatice diffusion distribution
    10 rue Primatice 75013 Paris
    Tél. 01 42 17 00 48 - Fax 01 42 17 01 21


    CE QU'ILS EN DISENT :
    « (Le dernier livre de l’historien à succès Paul-Éric Blanrue n’était en effet pas disponible dans les librairies françaises) Non que son contenu ait été condamné par les tribunaux, mais parce qu’au mépris total de la liberté d’expression, le distributeur de son éditeur a tout simplement décidé de ne pas le diffuser. C’est que son sujet est explosif : les liens entre le président de la République française et la colonie juive de Palestine. Grâce à la concentration économique dans le domaine de l’édition, la censure politique ne passe plus par des institutions publiques, mais par de grands groupes privés. » (www.voltairenet.org).

    « Un livre qui mérite le débat, et non un interdit de fait » (Alain Gresh, directeur-adjoint du Monde diplomatique).

    « Sarkozy, Israël et les juifs, le livre qu’on nous cache
    Paul-Éric Blanrue vient de faire une de ces erreurs qui vous plombent à jamais la carrière d’un écrivain. S’imaginant naïvement que la France était toujours une démocratie, notre homme a enquêté sur les rapports qu’entretient l’époux de Carla Bruni avec une communauté religieuse influente et avec l’État qu’elle a instaurée entre le Jourdain et la Méditerranée. Il en est ressorti le livre : “Sarkozy, Israël et les juifs”. S’il avait été sage, quand tous les éditeurs français à qui ils le proposa, eurent refusé, les uns après les autres, son manuscrit, Paul-Éric Blanrue aurait du se poser la question de l’opportunité de sa publication. Il ne l’a pas fait. Il s’est obstiné et a soumis son livre à des maisons francophones à défaut d’être françaises. C’est ainsi que l’ouvrage est finalement paru, en Belgique, aux éditions Oser dire. En avait-il fini de ses tracas ? Non pas, car il ne suffit pas d’éditer un livre, encore faut-il qu’il soit mis à la disposition des libraires, ce qui est le travail des diffuseurs. Or toutes les sociétés assurant ce service en France refusèrent de mettre “Sarkozy, Israël et les juifs” à leur catalogue, condamnant l’ouvrage à un statut de samizdat distribué quasiment sous le manteau par des réseaux improbables.
    Dans le même temps, les grand médias habituellement si prompts à dénoncer toutes les censures et toutes les atteintes à la liberté d’expression sont, significativement, restés muets, se refusant à aborder tant le livre que le scandale de sa proscription.
    Ainsi, dans la patrie de Voltaire et des Droits de l’Homme, à défaut d’interdire les écrits qui dérangent organise-t-on leur occultation.
    » (Christian Bouchet, Flash Infos magazine n°18)

    Librairie - comptoir de vente éditeur
    Primatice
    10 rue Primatice 75013 Paris
    Tél. 01 42 17 00 48 - Fax 01 42 17 01 21
    Mél. primatice@francephi.com
    www.dualpha.com
    www.librad.com

    La rue Primatice est juste derrière la Mairie du XIIIe
    Métro : Place d’Italie

  • "La fin des mensonges" par une historienne juive russe

    bolchevicks_vn.jpg
    En 1992 parut en Allemagne un livre qui fit l’effet d’une petite bombe : Das Ende der Lügen [La fin des mensonges], signé par l’historienne juive russe Sonia Margolina. L’auteur, qui ne cache pas qu’elle est la fille d’un bolchevik russe, faisait une description honnête et réaliste de la participation juive massive dans les atrocités bolcheviques, un sujet habituellement tabou.

    Extraits choisis :


    « Si l’officier, l’officiel aristocrate ou le bureaucrate en uniforme étaient typiques du régime tsariste, ensuite sous le nouveau pouvoir révolutionnaire bolcheviste, le commissaire juif avec sa veste de cuir et son pistolet automatique, qui parlait souvent mal le russe, devint un spectacle courant dans la rue. »

    « Mais en tous cas, des débordements de potentiels destructeurs, criminels et pathologiques, qui s’étaient accumulés à l’intérieur de la communauté juive, se mirent en mouvement dans les premières années de la Révolution Soviétique… Le problème était que les Juifs avaient pris le pouvoir pour la première fois dans l’histoire russe. Et pour la première fois ils apparaissaient non comme des victimes, mais comme des agresseurs… Quoi qu’il en soit, les horreurs de la révolution, de la guerre civile et des répressions qui s’ensuivirent ne peuvent pas être séparées du règne de la terreur instauré par les commissaires juifs. 
    Tout à fait typiques étaient les révolutionnaires juifs comme Jakov Bljumkin, un socialiste de gauche, qui tua l’ambassadeur allemand von Mirbach en 1918. Cet aventurier névrosé avait été accepté par la Tcheka en récompense de ses services rendus aux bolcheviks. Nadesha Mandelstam raconta dans ses mémoires que dans un café de Kiev Bljumkin montrait à une foule horrifiée des formulaires en blanc de condamnation à mort. Il se vantait qu’il pouvait inscrire tout nom qu’il voulait sur les formulaires de mort imprimés à l’avance. Mandelstam le décrivit comme un mélange de meurtrier et d’intellectuel – pas un personnage typique de cette époque. »

    « Pour une personne impartiale comme l’historien Boris Paramanov, qui vit à New York, la présence juive dans le pouvoir était si frappante qu’il se demandait si la promotion des Juifs à des postes de direction n’avait pas été une ‘gigantesque provocation’ envers le peuple russe. »

    « Les Juifs du monde entier soutenaient le pouvoir soviétique, et restaient silencieux face à toute critique venant de l’opposition. »

    « La participation enthousiaste des Juifs bolcheviks à la subjugation et à la destruction de la Russie fut disproportionnée. Ce fut un péché historique qui était porteur de sa propre punition. Le pouvoir soviétique serait confondu avec le pouvoir juif, et la haine furieuse contre les bolcheviks deviendrait de la haine contre les Juifs… Il y avait maintenant des Juifs partout et à tous les niveaux du pouvoir. Le peuple russe voyait les Juifs à la tête de la Ville du Tsar, Moscou, où le nouveau pouvoir soviétique était concentré, et aussi comme commandants de l’Armée Rouge… »

    « Le citoyen russe ordinaire avait une bonne chance d’avoir affaire à un interrogateur et à un exécuteur juif. Partout où le Russe allait, il rencontrait un Juif dans un poste supérieur. Ce n’est pas une surprise, quand les Russes d’aujourd’hui comparent leur situation avec celle du passé, s’ils arrivent à la conclusion que le pouvoir actuel [de Eltsine] est à nouveau juif et donc si horrible. »

    « Le peuple était révolté par le fait que des communistes juifs participent à la destruction des églises russes. »

    « A la fin des années 20, on vit pour la première fois un nombre appréciable de communistes juifs investis d’un pouvoir de vie ou de mort dans les campagnes. C’est pendant la collectivisation que se fixa définitivement l’image du Juif comme ennemi implacable du paysan – jusque dans les endroits les plus reculés où personne n’avait jamais vu un Juif en chair et en os. »

    « Les Juifs constituèrent l’élite de la révolution, ils étaient dans le camp des vainqueurs. »

    « Il y a, dans cette histoire, des pages que l’on ne peut ouvrir sans frémir. Et ce sont précisément ces pages qui ont été sciemment et systématiquement occultées dans la conscience des Juifs. »

    Sonia Margolina ose même remarquer :

    « Le solide capital moral amassé par les Juifs après Auschwitz semble aujourd’hui épuisé. »

    Nous laisserons la conclusion finale à Soljenitsyne, dans le second volume de son livre Deux siècles ensemble (édition française, Fayard 2002) : à l’argument habituel des Juifs d’aujourd’hui qui éludent (assez lâchement) la question en disant que les Juifs bolcheviks étaient des Juifs non-religieux, donc « renégats », Soljenitsyne répond : « les nations peuvent-elles renier leurs renégats ? ». Comme chacun sait, c’est une chose interdite aux Allemands.
    VOXNR.com - 06.09.08

  • Faurecia: les ouvriers-figurants ont été choisis pour leur petite taille... Si c'est vrai, c'est vraiment ridicule!

    VIDEO : http://www.wat.tv/video/sarkozy-utilise-figurants-1rp5t_ovzl_.html

    Le 3 septembre 2009, Nicolas Sarközy visitait l'usine Faurecia de Caligny. Derrière lui, quelques ministres et des employés de plusieurs sites du groupe. A sa droite, discrète et presque hors-cadre, se trouvait une ouvrière de l'usine, en tablier blanc. Avant le discours du chef de l'Etat, la chaîne belge RTBF lui tend son micro, et le journaliste lui lance : "On m'a dit que vous avez été choisie sur un critère de taille. Est-ce que c'est vrai?" "Oui", répond cette femme. "Il ne faut pas être plus grand que le président?", insiste le journaliste. "Voilà", répond l'employée.

    Celle-ci aurait donc été choisie pour sa "petite" taille, de même, on l'imagine, que les autres ouvriers présents à l'image, pour ne pas paraître plus grands que le chef de l'Etat. L'Elysée a réagi dimanche, qualifiant cette affirmation de "saugrenue" et "grotesque", démentant catégoriquement que tout consigne ait été donnée. Même réaction de la part de la direction de l'entreprise.

    Mais un syndicaliste CFDT de Faurecia a assuré lundi que l'Elysée avait effectivement demandé que soient sélectionnés pour l'occasion des salariés de petite taille. "Nous avons la certitude, de source sûre et fiable, que cette exigence n'est pas sortie de la tête d'un responsable de Faurecia  et qu'il s'agit bien d'une requête venant de l'Elysée", a déclaré José De Sa Moreira, délégué syndical  central, dans une interview au site internet Rue89. Et un salarié de Faurecia souhaitant garder l'anonymat a lui aussi déclaré que le critère de taille "était une demande de l'Elysée". Présent lors du déplacement du président à l'usine de Caligny, il a évoqué l'existence "d'une liste de la direction avec le nom des personnes et leur taille". Le chef de l'Etat "était sur une tribune, il ne fallait pas que les gens derrière soient trop grands", a-t-il expliqué.

      Quoi qu'il en soit, le sujet fait désormais boule de neige. Benoît Hamon, porte-parole du PS, a dénoncé lundi  la "mise en scène complète" de la visite de Nicolas Sarkozy à l'usine Faurecia et le fait que cette "manipulation" n'ait été révélée que par la télévision belge et par aucune des télévisions françaises sur place. Mais selon la RTBF, la question de la taille n'était qu'un élément parmi d'autres : pour cette visite très cadrée, tout avait été "mis en oeuvre pour ne pas laisser de place à l'imprévu : des questions ciblées, une usine difficile d'accès pour éviter les manifestants et des employés d'autres sites sélectionnés sur casting", a ajouté la chaîne belge.

    Pour Gérard Filoche, ancien inspecteur du travail et membre du Parti socialiste, "le problème ce n'est pas la petite taille des ouvriers choisis pour être derrière Sarkozy, c'est surtout la 'répétition', le casting, la mise en scène effectuée avec les figurants amenés artificiellement alors qu'ils ne sont pas de l'usine. On les voit bel et bien venir et descendre en car spécial. Ils sont déjà tous habillés en blouse blanche toutes marquées Faurecia dans le dos".

    LCI.fr - 07 septembre 2009

  • Un couple jugé pour avoir empoisonné ses enfants

    Boulevard Rabatau à Marseille.jpg
    L'immeuble où ils vivaient Bd Rabatau à Marseille 8ème
    (Cliquez sur la photo)

    Ce dimanche 18 septembre 2005 à , Mélissa, 8 ans, et son frère Jason, 7 ans, mangent avec réticence leurs cannellonis. Les pâtes à la viande ont un goût amer. Les enfants ne finissent pas leurs assiettes, mais le mal est fait. Ils succombent dans la nuit à un puissant cocktail de cinq médicaments à base d’anxiolytiques.

    Leurs assassins présumés, leur mère Marie-Hélène Martinez, 29 ans, et leur beau-père, Jean-Paul Steijns, âgé de 39 ans, comparaissent à partir de ce matin devant la cour d’assises des Bouches-du-, à Aix-en-Provence. Le mobile de ce double infanticide est effroyable.

    Expulsé de leur logement et englué dans des difficultés financières inextricables, ce couple fusionnel aurait voulu se débarrasser des enfants pour démarrer une nouvelle vie. Détenu depuis quatre ans, Jean-Paul Steijns reconnaît avoir empoisonné Mélissa et Jason avec son épouse. Libre sous contrôle judiciaire, Marie-Hélène Martinez nie. Tous deux risquent la prison à vie.

     Drogués aux médicaments pendant des mois

    Jean-Paul rencontre Marie-Hélène en 2000 dans le restaurant où travaille la jeune mère de famille. C’est le coup de foudre. Il vient déjeuner pendant un an pour voir la serveuse, subjuguée de son côté par l’image de réussite et le train de vie de ce client. Ses généreux pourboires achèvent de la séduire. Ils se marient en mai 2003. Affabulateur invétéré, Jean-Paul ment depuis le début sur sa situation réelle. Cet homme diplômé et intelligent soutire depuis des années de l’argent à son entourage, détourne les fonds d’une entreprise de fruits et légumes, monte des escroqueries au . Dès 2003, ce mythomane, qui s’est construit l’image d’un personnage aisé et fascinant, se retrouve désœuvré.
    Chaque matin, il quitte leur domicile en faisant croire qu’il rejoint un lieu de travail imaginaire. Le couple visite de luxueuses villas qu’ils n’ont pas les moyens d’acheter. Jean-Paul cache la vérité à sa femme mais il l’aime. Il s’occupe de Mélissa et de Jason, qui l’appellent « papa », assurant leur parfaite éducation pendant l’année où ils sont retirés de l’école.

    La famille vit en vase clos et la mère empêche le père biologique des enfants d’exercer ses droits de visite. Juin 2005 marque sans doute un basculement dans l’avenir du couple. Ils n’ont plus d’argent et vont être expulsés. Le père de Mélissa et de Jason risque de récupérer la garde. Pour Marie-Hélène, l’idée est insupportable. Le 19 octobre, un huissier se présente chez eux. L’appartement est vide.

    Le cadavre d’un nouveau-né est découvert sur le balcon. Interpellé le lendemain, Jean-Paul Steijns indique que les corps de Mélissa et de son frère se trouvent dans une voiture garée depuis un mois dans un box. Les expertises confirment l’empoisonnement. Elles révèlent aussi que les victimes ont été droguées aux médicaments pendant des mois. Le beau-père se dit sidéré par cette nouvelle.

    Lui qui a d’abord assumé seul les faits finit par impliquer sa femme : le samedi 17 septembre 2005, elle lui aurait expliqué que la seule solution pour repartir à zéro était de sacrifier les enfants.

    « M. Steijns s’y est opposé, indique son avocat, Me Fabien Perez. Le dimanche, ils ont commis cette horreur. Cette femme, pour laquelle il conserve des sentiments, l’a toujours mené par le bout du nez. Il avait peur de la perdre. » Marie-Hélène, elle, affirme avoir découvert le décès des enfants après un coma médicamenteux de quarante-huit heures, thèse contredite par les expertises. « Le mari a toujours été manipulateur », relèvent Mes Mudry et Collard, conseils de l’accusée qui plaideront l’acquittement. Quant au nouveau-né, l’enquête n’a pas permis de déterminer s’il avait été tué. Le verdict est attendu vendredi.

    Le Parisien - 07.09.09 

  • Bonne chance pour Dylan, l'enfant martyr

    Privé d'école depuis toujours, Dylan, l'enfant martyr découvert en mars à Millau (Aveyron), a fait sa première rentrée. RTL révèle que le petit garçon est désormais scolarisé en secret.

    Il vit dans une famille d'accueil dans les environs de Millau.

     Le garçon de 7 ans vivait enfermé dans une chambre-prison sans toilettes et aux volets toujours clos.

     Ses parents, sa grand-mère et l'un de ses voisins ont été mis en examen. Le procès devrait s'ouvrir en octobre à Rodez.

     Les experts psychiatres qui l'ont examiné ont conclu que l'enfant, intelligent, aurait certainement du mal à se remettre de son traumatisme.

    Le parisien - 07.09.09

  • Les Maghrébins se battent avec les Turcs: un Comorien poignardé!

    Un déferlement de violence né, semble-t-il, du simple vol d'un autoradio il y a deux mois. Dimanche soir, en plein centre ville du Pontet, une localité située au nord d'Avignon, des jeunes de la communauté magrébine s'en sont pris à d'autres jeunes d'origine turque. L'altercation a fait un mort, un jeune homme d'origine comorienne de 22 ans. Absolument pas mêlée à la querelle, la victime a tenté de s'interposer entre les combattants et a été poignardée en dessous du cœur. Il a succombé à ses blessures à l'hôpital. Deux frères qui cherchaient également à séparer les belligérants ont été grièvement blessés à coups de battes de base-ball et de couteau.

    Selon le maire UMP, la dispute n'est pas d'origine communautaire, les jeunes avaient, semble-t-il, décidé d'en découdre pour une histoire de vol d'autoradio. Mais «on m'a dit que les tensions étaient vives depuis le vol de l'autoradio. Dimanche, le ton est monté: c'est le ramadan, il fait chaud, ils se sont énervés», a déploré Alain Cortade. La bagarre s'est alors transformée vers 18h30 en bataille rangée impliquant une centaine de personnes dans la rue principale du Pontet. Les gendarmes ont été dépêchés sur place immédiatement et ont été renforcés par un escadron de gardes mobiles mais la nuit a été calme.

    «Je suis très déçu, on fait beaucoup social (sic). Si c'est vraiment pour une simple histoire d'autoradio volé, c'est terrible », regrette Alain Cortade. Le maire réunit lundi matin la police, le médiateur et les présidents des diverses associations des deux communautés pour «faire en sorte qu'il n'y ait pas de représailles». «Je veux du calme dans ma ville».

    Une communauté d'origine turque forte d'environ 1.500 personnes vit au Pontet, ainsi qu'une importante communauté maghrébine essentiellement d'origine marocaine. Il y a trois ans, une bagarre similaire avait déjà éclaté cette fois au sujet d'une femme.

    Le Figaro - 07.09.09

  • Le droit de vote à 16 ans

    L'Union nationale lycéenne (UNL) lance une campagne dans ce sens. Qu'en pensez-vous ?

    L'Union nationale lycéenne s'engage pour le droit de vote dès 16 ans, comme cela se fait en Autriche. Le principal syndicat lycéen estime qu'on ne peut pas considérer les jeunes comme pénalement responsables à partir de cet âge et leur interdire de s'exprimer lors des grands scrutins nationaux.

    «On constate que les jeunes aujourd'hui savent se mobiliser, réfléchir ensemble, que les jeunes de 16 ans sont responsables pénalement mais ne peuvent pas s'exprimer dans les grands débats publics en France», a déclaré lundi à l'Associated Press le président de l'UNL, Antoine Evennou, à l'occasion de l'annonce de cette campagne.

    Le Figaro - 07.09.09

    Pour faire voter les jeunes des cités!

  • Tamara de Lempicka (1898-1980)

    Kizette en rose.jpg
    Kizette en rose (1926)
    (Cliquez sur le tableau pour l'agrandir)
     
    Portrait de sa fille par Tamara de Lempicka

  • JEUX - Qui suis-je?

     Ici, l'accouchement arrive avant la grossesse; l'adolescence avant l'enfance; la course avant la marche; l'écriture avant la lecture; l'arrivée avant le départ... et l'oeuf avant la poule!

     Qui suis-je?

     

     

     

  • L'inauguration du "Mur des Expulsés" perturbée par le Bloc identitaire

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  • Le Venezuela va vendre de l'essence à l'Iran

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    (Cliquez sur la photo)
    Le Venezuela va vendre à l' 20.000 barils d'essence par jour, a annoncé le président au terme de sa visite à marquée par ailleurs par des critiques contre les Etats-Unis.

    "Le Venezuela va exporter 20.000 barils d'essence par jour à l'Iran à partir d'octobre aux termes d'un accord d'un montant de 800 millions de dollars", a-t-il déclaré dans la ville sainte de Machhad (nord-est de l'Iran), cité par les médias locaux.

    "Ce montant sera déposé dans un fonds établi en Iran et servira à financer l'achat d'équipements et de la technologie d'Iran", a ajouté M. Chavez, principal allié de Téhéran en Amérique latine.
    L'Iran est le deuxième exportateur de pétrole au sein de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), mais paradoxalement manque de capacités de raffinage suffisante et dépend des importations pour 40% de ses besoins en essence.
    Les nouvelles sanctions que les Occidentaux pourraient imposer à l'Iran qui refuse de suspendre son programme nucléaire controversé, porteraient sur l'importation de carburant.
    Selon M. Chavez, les deux pays ont en outre "convenu d'injecter dans les 30 prochains jours 100 millions de dollars dans la banque binationale Iran-Venezuela bank".

    M. Chavez s'est rendu à Machhad en compagnie du président Mahmoud Ahmadinejad, où un protocole d'accord dans les domaines du commerce et de la médecine ont été également paraphés entre les deux pays.

    De son côté, M. Ahmadinejad a affirmé que la politique des Etats-Unis en Amérique du Sud était "vouée à l'échec".
    "L'Amérique du Sud est en proie à une révolution politique. Les nations là-bas ne peuvent plus supporter les intimidations et si quelqu'un pense pouvoir vaincre leurs convictions par les moyens militaires, il se trompe", a-t-il ajouté cité par les médias.
    "Les politiques militaristes des Etats-Unis en Amérique du Sud sont certainement vouées à l'échec et je leur conseille d'arrêter leurs intimidations. Nous nous tiendrons aux côtés des nations sud-américaines dans toutes les circonstances", a ajouté le président iranien.
    Avant de se rendre à Machhad, M. Chavez a été reçu par le guide suprême d'Iran Ali Khamenei.
    "La coopération dans les domaines industriel, économique, bancaire et des transports entre les deux nations doit se développer, parallèlement à la coopération politique", a dit l'ayatollah Khamenei selon son bureau. "En renforçant cette coopération, l'Iran et le Venezuela peuvent consolider leur 'front pour l'indépendance' nouvellement créé".
    Le parisien - 06.09.09
  • VIDEOS Jean Sarközy fait du jogging et les ministres dansent au Campus UMP...

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafMLlZ.html

    Samedi 5 septembre, à Seignosse (Landes), au Campus des jeunes de l'UMP. Alors que les tables rondes se multiplient entre militants et membres du gouvernement, Jean Sarközy s'offre un petit jogging dans la forêt landaise. Trente minutes d'effort pendant lesquelles il n'hésite pas à faire tomber le T-shirt...

    Qu'il aille courir en Afghanistan s'il en a le courage! 

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafMLfZ.html

    Pour la dernière soirée de l'université d'été de l'UMP, baptisée Campus, le 5 septembre à Seignosse (Landes), les ministres ont fait le show ! Après le barbecue géant organisé sur la pelouse du stade municipal, près de 2.000 jeunes militants ont dansé jusqu'au bout de la nuit, accompagnés par plusieurs ténors du parti : Xavier Darcos, Xavier Bertrand, Patrick Devedjian... et l'incontournable Nadine Morano.

     Ils n'ont pas honte alors que des soldats français viennent de mourir? Quelle indécence!

  • Honneur au caporal-chef Thomas Rousselle du 3ème RIMa de Vannes

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    Thomas Rousselle, 30 ans, décédé le dimanche 6 septembre 2009
    Qu'il repose en paix

  • Israël condamne la "conduite" indigne de Chavez en Iran

    Israël a condamné fermement dimanche "l'attitude et les déclarations indignes" du président vénézuélien Hugo Chavez, actuellement en visite en Iran.

     "L'attitude et les déclarations d'Hugo Chavez sont indignes du peuple vénézuélien, un pays fier et ami d'Israël", a affirmé  le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères Yigal Palmor.

    Selon lui, le président Chavez n'est pas à la hauteur de "la tradition bolivarienne" de l'histoire de son pays. Il faisait allusion à Simon Bolivar, héros au 19e siècle de l'indépendance des colonies espagnoles en Amérique latine.

    Le président Chavez, principal allié de Téhéran en Amérique latine, soutient notamment le programme nucléaire controversé iranien. Israël et les Etats-Unis accusent l'Iran de chercher à se doter de l'arme nucléaire sous couvert de son programme civil, ce que Téhéran dément.

    "Il n'y a pas une seule preuve que l'Iran fabrique une bombe atomique", a dit M. Chavez à la télévision vénézuélienne après son arrivée dans la capitale iranienne, dans la nuit de vendredi à samedi, en provenance de Damas.

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    Le guide suprême d'Iran Ali Khamenei a appelé aujourd'hui le président du Venezuela Hugo Chavez à oeuvrer pour développer les relations économiques bilatérales. "La coopération dans les domaines industriel, économique, bancaire et des transports entre les deux nations doit se développer, parallèlement à la coopération politique", a dit l'ayatollah Khamenei en recevant Hugo Chavez à Téhéran.

    "En renforçant cette coopération, la République islamique d'Iran et le Venezuela peuvent consolider leur 'front pour l'indépendance' nouvellement créé", a-t-il dit.

    La veille, Hugo Chavez, principal allié de Téhéran en Amérique latine, et son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad s'étaient engagés à soutenir les "nations révolutionnaires" et les "fronts anti-impérialistes", lors d'une rencontre à Téhéran.

    Le président vénézuélien avait aussi apporté son soutien au programme nucléaire civil de l'Iran.

    Le Figaro - 06.09.09

  • La DGSE avait déjà prévenu l'ambassade sur les risques encourus par les jeunes "chercheurs"

    Mise en garde! Bien avant l’arrestation de Clotilde Reiss le 1er juillet à Téhéran, les services spécialisés du ministère de la Défense avaient averti Bernard Poletti, l’ambassadeur de France en Iran, contre les risques d’envoyer de jeunes chercheurs enquêter sur des sujets sensibles, alors que les relations entre Paris et Téhéran étaient exécrables depuis longtemps.

    La mise en garde conjointe de la DGSE et de la Direction des renseignements militaires avait été lancée l’an dernier après qu’un étudiant, lié à un centre de recherches parisien, eut passé plusieurs semaines à travailler sur l’influence croissante des Gardiens de la révolution dans l’économie iranienne. Or ce sont eux qui, sous l’autorité du guide suprême et du Conseil national de sécurité, ont la haute main sur le programme nucléaire. « L’Iran est un pays où il faut faire très attention à ne pas trop s’exposer », affirme un spécialiste qui a longtemps vécu en République islamique.

    La DGSE est réputée avoir une connaissance fine de l’Iran, loin des a priori idéologiques ou des idées reçues, qui ont cours aujourd’hui dans certains cercles dirigeants français. Cette expertise remonte au début des années 2000, lorsque l’ambassadeur Jean-Claude Cousseran dirigeait la « Piscine ». Il avait commencé sa carrière à Téhéran au moment de la Révolution islamique en 1979, avant de jouer un rôle dans les négociations entre Paris et Téhéran pour la libération des otages français au Liban au milieu des années 80. Depuis, il a su garder l’oreille de certains hauts responsables iraniens.

    La chercheuse Clotilde Reiss a été libérée sous caution de la prison d’Evine à Téhéran le 16 août dernier. Sous contrôle judiciaire, elle est actuellement « hébergée » à l’ambassade de France dans l’attente de son procès.

     Mais les dernières déclarations de Nicolas Sarközy – « les Iraniens méritent mieux que leurs dirigeants actuels » - risquent encore d’alourdir le contentieux entre Paris et Téhéran. Et Melle Reiss pourrait en faire les frais.

    D’autant que les Iraniens n’ont pas apprécié certains épisodes, qui ont marqué sa sortie d’Evine, en particulier la photo la montrant un verre de champagne à la main entrain de célébrer sa liberté quasi retrouvée à l’ambassade de France. « Un choix malheureux », lâche un homme d’affaires bon connaisseur des mœurs iraniennes.

    Le Figaro - 06.09.09