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Blog - Page 1925

  • Allemagne: véhicules polluants interdits en centre ville

    Pas de vignette, pas d'accès... A partir de ce mardi 1er janvier, les voitures ou camions voulant accéder au centre-ville de Berlin et de deux autres villes allemandes doivent arborer sur leur pare-brise une nouvelle vignette, de couleur verte, jaune ou rouge, suivant leur degré de "propreté". Les voitures considérées comme vraiment trop polluantes ne peuvent obtenir aucune de ces vignettes. Et sont donc de facto interdites d'accès.

    Sous peine d'une amende. Les automobilistes qui circulent ou stationnent sans vignette dans les zones concernées s'exposent à une amende de 40 euros et à un retrait d'un point sur leur permis. A Berlin, les autorités ont toutefois annoncé qu'elles feraient preuve de clémence au moins jusqu'à fin janvier.

    1,7 million de véhicules polluants

    La mesure doit être étendue au cours de 2008 à une vingtaine de villes du pays, dont Stuttgart et Munich. L'objectif de cette réforme, inédite en Allemagne, est de bannir des grandes villes, en commençant par Berlin, Cologne et Hanovre, les voitures émettant trop de particules fines. Au total 1,7 million de véhicules, principalement des diesel anciens, seraient concernés. Les autorités espèrent ainsi convaincre les propriétaires de véhicules anciens de les équiper de filtres à particules lorsque c'est possible.
     
    Cette réforme est "la tentative la plus sérieuse jusqu'à présent pour lutter contre la plus grave des sources de pollution de l'air, qui provoque 75.000 décès prématurés par an", s'est félicitée l'ONG écologiste "Deutsche Umwelthilfe", en annonçant qu'elle déploierait dès mercredi ses propres équipes de contrôleurs pour sensibiliser la population.

    (Souce LCI.Info)

  • STATS DU BLOG POUR DECEMBRE 2007

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  • Viol filmé à Mandelieu

    Ils ont été écroués à Grasse pour avoir commis un viol avec acte de barbarie sur un adolescent de 16 ans.

    Une soirée très arrosée, à Mandelieu, dans les Alpes-Martimes. Sept  jeunes âgés de 16 à 19 ans se réunissent au domicile d'un des parents, absents. Très vite, la soirée dégénère : l'un des participants âgé de 16 ans est entraîné dans une pièce par les trois agresseurs présumés qui le viole avec un manche à balai.

    Un viol accompagné de faits et gestes qualifiés «d'actes de barbarie» par la justice.

    Un troisième jeune homme est accusé d'avoir filmé la scène avec un portable. Il est également poursuivi pour «complicité».

    (Source Le Figaro - 01.01.08)

  • Beauté de la France

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    Laon (Aisne)
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    Chavonne en hiver (Aisne)
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     Chavonne
    (Photos de VLAAMS)

  • VIDEO L'âme européenne

    http://www.dailymotion.com/video/x3x2a1_ame-europeenne_politics

    L'âme européenne est en train de mourir. Il faut comprendre ces images de révolte, nées de la colère d'une jeunesse blanche bafouée, sans espoir dans l'avenir, qui refuse la soumission et l'esclavage promis par un Mondialisme et un Capitalisme inhumain. Dans vingt ans, l'Europe n'existera peut-être plus... C'est ce que veulent précisément ses ennemis: détruire l'Europe et ses racines millénaires. Et nous désespérer pour mieux nous asservir.

  • FARC et attrapes: le sale petit jeu des terroristes

    La libération de trois otages des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC, extrême gauche) a échoué, lundi 31 décembre 2007, après plusieurs reports successifs. Le 18 décembre, les FARC avaient promis de libérer l'assistante d'Ingrid Betancourt, Clara Rojas, son enfant Emmanuel né en captivité, et l'ancienne députée Consuelo Gonzalez de Perdomo. A Caracas, le président vénézuélien Hugo Chavez, organisateur de l'opération humanitaire, a lu une lettre des FARC invoquant "d'intenses opérations militaires engagées dans la région" pour suspendre la remise des trois otages, attendue depuis le 26 décembre. "Nous pourrions envisager un changement de formule", a ajouté M. Chavez.

    En Colombie, le président Alvaro Uribe s'est rendu à Villavicencio, chef-lieu du département du Meta, base de la "caravane aérienne humanitaire" qui devait récupérer les otages. Après s'être entretenu avec l'ancien président argentin Nestor Kirchner, ainsi qu'avec les autres observateurs internationaux et le ministre vénézuélien des relations extérieures, M. Uribe a présenté un long exposé devant la presse rassemblée sur la base militaire d'Apiay. "Les FARC mentent, l'Etat colombien tient parole", a-t-il répété à plusieurs reprises.

    M. Uribe et le général Fredy Padilla de Leon, commandant de l'armée, ont assuré qu'il n'y avait guère eu de combats dans la région depuis deux semaines. En outre, le président colombien a accepté l'idée des observateurs internationaux d'un "corridor humanitaire" devant permettre aux FARC d'amener sans danger les otages du lieu de captivité au lieu de leur remise au Comité international de la Croix-Rouge (CICR).

    M. Uribe a ensuite évoqué une "hypothèse" renversante, digne d'un feuilleton télévisé sud-américain. Les FARC n'auraient pas tenu leurs engagements parce que le petit Emmanuel aurait été arraché à sa mère aussi bien qu'à son père, un guérillero, pour être remis en 2005 aux services sociaux de San José de Guaviare.

    Le haut-commissaire colombien pour la paix, Luis Carlos Restrepo, a lu le dossier médical d'un enfant enregistré sous le nom de Juan David Gomez Tapiero, qui présentait à l'époque des symptômes de malnutrition, paludisme, leishmaniose, diarrhée et une fracture du bras, signes de mauvais traitements, négligence et abandon. L'Institut colombien pour le bien-être familial (ICBF) a placé cet enfant dans un foyer à Bogota, dont l'identité etl'adresse n'ont pas été révélées.

    A en croire M. Uribe, la personne qui avait amené cet enfant à San José de Guaviare aurait tenté de le récupérer récemment, prétendant être le père, peut-être dans l'intention de le rendre aux FARC. Le président colombien a demandé au CICR de comparer l'ADN de cet enfant à celui de la mère et des frères de Clara Rojas, actuellement à Caracas, ainsi qu'à celui du père présumé, pour vérifier ou écarter cette "hypothèse".

    A aucun moment le président colombien n'a critiqué son homologue vénézuélien. Au contraire, il a fait assaut d'amabilités, en insistant sur la collaboration apportée par Bogota à toutes les médiations nationales ou internationales qui ont tenté de trouver une solution à l'affaire des otages. M. Uribe a réservé sa fermeté aux FARC, accusés d'être non seulement des "terroristes", mais aussi des "menteurs impénitents". A Caracas, la première réaction de M. Chavez a été de dire que "le gouvernement colombien ment, alors que les FARC ne mentent jamais".

    A Villavicencio, prenant acte de l'échec de l'opération, les observateurs internationaux ont plié bagage. "Je ne veux pas croire que tout est fini", a déclaré Barbara Hintermann, la déléguée du CICR, seul à rester sur place. Quant aux proches des otages, ils devront encaisser cette nouvelle déception.

     

  • "Sale Keuf"!

    Toulouse (Haute-Garonne)

    «Aujourd'hui, il suffit d'un croisement de regard et on se fait tabasser. » Cette réflexion émanait hier d'un policier de Mazamet (Tarn), abasourdi après avoir appris la sauvage agression qui a visé l'un de ses collègues. Samedi soir, vers 21 h 30, alors qu'il vient de finir son service et qu'il rentre à pied chez lui, un policier en civil de 38 ans se fait interpeller par un groupe de jeunes devant une pizzeria du centre-ville.

    « Sale keuf ! » entend le fonctionnaire qui ne répond pas et poursuit sa route. Mais un peu plus loin, quatre hommes descendent d'une voiture et le rouent de coups avant de s'enfuir. Malgré ses blessures, la victime réussit à atteindre une cabine téléphonique pour prévenir les secours avec l'aide d'un passant. Hospitalisé à Mazamet, il souffre de contusions sur tout le corps et d'une vertèbre lombaire fracturée. Il fait l'objet d'une incapacité totale de travail de trente jours.

    Hier matin, les enquêteurs ont interpellé deux suspects, âgés de 18 et 22 ans. Le plus âgé serait connu des services de police pour des faits de violence. « Tous deux nient, mais ils auraient fait l'objet, quelques jours auparavant, d'un banal contrôle d'identité, auquel participait le policier. Mais celui-ci ne s'en souvient pas », a indiqué le vice-procureur de Castres. La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a téléphoné à ce dernier « très atteint moralement », selon ses collègues. Elle a aussi adressé ses « félicitations » aux enquêteurs pour l'interpellation de deux des quatre suspects, dont la garde à vue a été prolongée. Les recherches se poursuivent pour retrouver les deux autres. Une information judiciaire pour violences en réunion sur un agent de la force publique pourrait être ouverte aujourd'hui.

     Nous n'ajouterons rien à cette information qui se suffit à elle-même...

    Nous adressons tous nos meilleurs voeux de prompt rétablissement à ce policier courageux si durement frappé par quatre racailles. Nos pensées vont aussi à sa famille.  

  • Bilan partiel pour l'Ile-de-France 1ère nuit de l'année

    Selon un bilan partiel établi auprès des préfectures et de sources policières, au moins 170 véhicules incendiés ont brûlé la nuit de la Saint-Sylvestre.

    Seine-Saint-Denis Environ 75 voitures ont brûlé.

    Yvelines. 49 voitures brûlées (44 l'an passé), dont 15 à Mantes-la-Jolie, 10 à Trappes et sept aux Mureaux.

    Val-de-Marne. 46 véhicules incendiés (66 l'an passé), dont 16 par propagation, essentiellement sur les communes d'Orly, d'Ivry-sur-Seine et de Vitry-sur-Seine, où un entrepôt SNCF a par ailleurs été endommagé par un incendie. .

    Essonne. 37 véhicules incendiés, dont 10 par propagation, sur une quinzaine de communes dont Evry, Grigny, Corbeil-Essonnes et Athis-Mons. Sept personnes interpellées.

    Val-d'Oise. Une vingtaine de voitures brûlées.

    Seine-et-Marne. 18 véhicules incendiés (16 pour le Nouvel an 2007)

    Bravo les jeunes! 

    (Source Le Parisien 01.01.08)

  • Tous mes voeux!

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    BONNE ET HEUREUSE ANNEE A TOUS!

    ET MEILLEURS VOEUX POUR LA FRANCE!

  • Des voeux? L'annonce du programme mondialiste pour la France

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    31 décembre, à l'Elysée...
    Dans un style plus classique qu'attendu, Nicolas Sarközy a adressé lundi soir ses premiers voeux aux Français depuis l'Elysée, insistant à nouveau sur "l'urgence" des réformes, et lançant l'idée nouvelle d'une "politique de civilisation".

    Le chef de l'Etat a appelé à une "nouvelle Renaissance" et tracé à grands traits ses contours.

    "Nous ne résoudrons rien", a-t-il lancé, "si nous ne bâtissons pas l'école et la ville du XXIème siècle", sans mettre "au coeur de la politique le souci de l'intégration, de la diversité, de la justice, des droits de l'Homme, de l'environnement", sans retrouver "le goût de l'aventure et du risque" ni "moraliser le capitalisme financier".

    M. Sarközy a aussi décrit sa mandature comme une "tâche immense tant la France a pris de retard sur la marche du monde", et assuré avoir "engagé depuis huit mois beaucoup de changements profonds".

    Le président a passé en revue comme autant d'"urgences" l'ensemble des réformes entreprises en 2007. Et "à ceux qui trouvent que cela n'est pas allé assez vite", il a expliqué avoir simplement tenu compte "de l'exigence du dialogue social et de la négociation", affirmant au passage "ne pas croire à la brutalité comme méthode de gouvernement".

    M. Sarközy a reconnu les "craintes", "l'angoisse" et "l'exaspération" des Français tout en assurant que sa "détermination est sans faille".

    Le président a promis que "les premiers résultats de l'action entreprise devraient se faire sentir" en 2008, malgré "une conjoncture internationale freinée par la crise financière".

    Parmi les premiers à réagir, François Fillon a affirmé que son gouvernement était prêt pour les "réformes de civilisation".

    Dans un communiqué, le Premier ministre a ainsi décrit la "feuille de route pour 2008" fixée par M. Sarközy: "changer la France en profondeur, pour qu'elle soit toujours en initiative dans le monde, plus conquérante en économie mais aussi plus juste pour ses citoyens et plus respectueuse de la planète".

    Pour l'UMP, le secrétaire général de l'UMP, Patrick Devedjian, a aussi salué une intervention qui, a-t-il dit sans autre détails, vise à "redonner l'espoir à tous nos concitoyens" et à "les mobiliser sur un grand projet".

    Julien Dray, porte-parole du PS, a décrit en revanche la "politique de civilisation" comme un "concept fumeux" visant à "faire couler un peu d'encre".

    Sur le pouvoir d'achat, principale préoccupation des Français, "le président de la République est vite passé", a ajouté M. Dray.


  • Une vieille dame (française) indigne...

    Version 1  - 30 décembre - La police soupçonne un crime crapuleux...

    C'et une sombre histoire digne d'un roman de Zola. Une vieille femme de 84 ans a été retrouvée morte, seule, dans son pavillon délabré de Draveil (Essonne). Quasi squelettique, elle gisait dans une flaque de sang, sous la table de sa cuisine.

    Crime crapuleux ? Mort d'épuisement, de froid, de malnutrition et de solitude ? Les deux hypothèses restent, pour l'instant, à l'étude. Aujourd'hui, les résultats des médecins légistes vont être déterminants. Le corps a été transporté ce matin à l'IML (Institut médico-légal) de Paris pour autopsie. C'est la voisine de la vieille dame, qui habitait rue Rémy-Aubeau, qui, inquiète de ne plus l'apercevoir, a donné l'alerte en appelant le 17, samedi midi. Les policiers de Draveil ont ensuite fait la macabre découverte. Mais depuis samedi soir, l'enquête a circulé entre différents services, chacun livrant son interprétation des faits. Hier soir, elle avait finalement été confiée à la sûreté départementale d'Evry. Samedi soir, la police judiciaire, après avoir passé la maison au peigne fin avec la police scientifique, avait écarté la thèse de l'acte criminel. Les enquêteurs s'orientaient alors vers un scénario de mort naturelle. La victime épuisée se serait fracturée le nez en tombant. Mais hier, le parquet soulignait « des circonstances troubles » ouvrant de nouvelles pistes, éventuellement criminelles. « Tout sera épluché. Son entourage, ses comptes bancaires », promet une source policière.


    Selon ses voisins, Jeanne Michon, 84 ans - Jeannette, comme on l'appelait dans ce petit quartier pavillonnaire en bordure de forêt - « avait fait le vide autour d'elle ». Ni amis, ni ennemis, ni richesse, la vieille dame recluse était, selon les mots des services sociaux de la ville, « acariâtre ». Elle s'était fâchée avec ses trois enfants. Parfois, égarée et agressive, elle sonnait chez ses voisins pour quémander du pain. Pour se chauffer, elle allait chercher du bois en forêt. Au printemps dernier, après un signalement de la même voisine, Jeanne avait eu la visite d'une employée du CCAS (centre communal d'action sociale) de Draveil. Mais elle ne l'avait même pas laissé entrer, et l'avait accueillie en vociférant par-dessus la grille de sa maison. « On ne peut pas forcer les gens à aller à l'hôpital ou à accepter de l'aide », déclare Marie-Claire Bourchet, adjointe au maire de Draveil aux affaires sociales. Autre aspect troublant de la personnalité de la victime, Jeanne louait, depuis dix ans, une chambre à une autre femme de 70 ans. Quinze mètres carrés au garage, un taudis sans lumière pour un loyer de 260 € !* Cette locataire, sans famille, malade, a été entendue par la police. Délogée de son garage, elle a été relogée dans un hôtel de Draveil - quatre nuits payées aux frais de la ville, après l'intervention du maire. « Une misère insoupçonnable », souffle un proche du dossier.

    * Le montant du loyer a-t-il été vérifié? Qui est cette locataire, dont on ne donne pas le nom et qui semble faire l'objet de plus de sollicitude que la victime?

     Version 2 - 31 décembre-  L'affaire est étouffée !

    La femme de 84 ans retrouvée morte samedi à son domicile de Draveil (Essonne) est décédée d'un malaise cardiaque, selon l'autopsie pratiquée lundi, et non d'épuisement et de faim comme l'avait affirmé précédemment une source judiciaire.

    Les premiers éléments de l'enquête avaient conclu à un état de total dénutrition et des conditions d'hygiène jugées déplorables, selon cette même source, avant de requalifier le décès en mort naturelle.

    L'expertise médicale pratiquée lundi matin sur l'octogénaire a fait apparaître une maladie du coeur ainsi que d'importants problèmes de cholestérol et de circulation sanguine. La Sûreté départementale chargée de l'enquête a annoncé lundi qu'elle excluait toute piste criminelle.

    Une femme de 70 ans, locataire dans le pavillon et qui vivait en très mauvais termes avec la victime, a été entendue par la police qui l'a totalement mise hors de cause. D'importants hématomes et des bleus ont été découverts sur le corps de la victime, mais ils sont tous dus à des problèmes de circulation sanguine et non à des violences, a précisé la Sûreté départementale.

    L'octogénaire, pourtant propriétaire de son pavillon et titulaire de plusieurs comptes en banque «bien remplis» selon les enquêteurs, vivait relativement misérablement.

    La police a précisé qu'elle ne payait plus depuis plusieurs mois ses factures d'électricité ni de chauffage. Elle avait également rencontré ces dernières semaines des problèmes avec le fisc !

    (Source Le Parisien -30 et 31.12.07)

  • La grande peur de la St Sylvestre

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    Le réveillon du "tout-ethnique"
    Quelque 13.000 policiers et gendarmes ont été mobilisés pour assurer la sécurité en Ile-de-France dans la nuit de la Saint-Sylvestre, a annoncé lundi la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie, lors d'une visite à la Préfecture de police (PP).

    Sur ce nombre, 4.500 concernent la seule capitale, alors que consigne a été donnée aux forces de l'ordre de se faire "très visibles" à des fins de dissuasion.

    Mme Alliot-Marie s'est rendue peu avant 18H00 à la Préfecture de police pour passer en revue le dispositif mis en place.

    Le préfet de police, Michel Gaudin, a dressé un inventaire de la mobilisation (gendarmes, policiers, Samu, pompiers), faisant état d'un renfort de douze escadrons de gendarmerie mobile et de trois compagnies de CRS, soit 1.200 hommes.

    Selon les Renseignements généraux (RG), de 300.000 à 400.000 personnes sont attendues sur les Champs-Elysées.

    "Les gens arrivent vers 23H00 et les deux tiers sont partis vers une heure du matin", a expliqué Bruno Lafargue, patron des RG de la Préfecture de police.

    L'an dernier, 400.000 personnes avaient été comptabilisées aux Champs-Elysées à minuit et 40.000 au Champ de Mars et au Trocadéro. Durant la nuit, quelque 800 perturbateurs avaient été repérés et les forces de l'ordre avaient procédé à 190 interpellations et 131 gardes à vue.

    Le préfet a souligné que les forces de l'ordre avaient pour consigne d'être très "visibles" pour être "le plus dissuasif possible".

    Autre consigne: se montrer "particulièrement ferme sur la nécessité d'interpeller en cas de besoin, avec constitution d'un dossier pour déférer devant la justice".

    Des contrôles d'alcoolémie seront pratiqués entre 01H30 et 05H00 du matin. Qui sera contrôlé? Ceux qui n'ont pas de couteaux, de battes de baseball, de barres de fer? Voire d'armes de tir?
    Pierre Mure, directeur de l'ordre public et de la circulation, a également mis l'accent sur la nécessité d'"occuper le terrain en se montrant extrêmement visible, particulièrement aux sorties de métro".

    La police ferroviaire a mis en place un dispositif "dynamique et très mobile avec identification des groupes à risque : 70 équipes opérationnelles fonctionneront sur le réseau francilien alors que les grandes gares sont sécurisées". Les forces de l'ordre seront présentes dans "les trains à problèmes", a-t-il précisé.

    Tout en affirmant ne pas nourrir "d'inquiétude particulière", M. Lafargue a révélé que lundi après-midi, les policiers avaient découvert en Seine-Saint-Denis "quelques stocks de projectiles, en particulier des morceaux de pierre et de béton sur des toits d'immeuble, vraisemblablement destinés à être utilisés contre les forces de l'ordre". Des renforts de la police technique et scientifique ont été acheminés dans ce département.

    Evoquant "la cartographie" des voitures brûlées, il a souligné que leur nombre "correspondait de moins en moins à la cartographie des quartiers difficiles. En revanche, les incidents les plus graves continuent de se dérouler dans les quartiers les plus sensibles".

  • Mystérieuse Rachida...

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    Stricte sur le respect de sa vie privée, la ministre de la Justice aime bien pourtant être l'objet d'indiscrétions... à condition qu'elles soient "autorisées". Ainsi a-t-elle laissé filtrer qu'ele avait été le 9 novembre 2007 l'invitée d'honneur à Nice d'un raout organisé par le CRIF*, auquel elle a confié avec émotion avoir "un lien particulier avec la communauté juive".
    Non seulement, on le sait, elle est intime avec Simone Veil (qui lui aurait offert sa propre robe de magistrat malgré la différence de stature et de corpulence), mais Mme Dati mère aurait aussi vécu dans le quartier juif d'Oran où elle aurait laissé un souvenir si impérissable qu'un arbre à sa mémoire a été planté dans la forêt de Jérusalem. Ce qui explique bien sûr la détermination de Rachida à combattre sans fléchir les fléaux que sont le racisme, l'antisémitisme et le révisionnisme.
    *Conseil Représentatif des Institutions Juives de France
    (Source: RIVAROL  21.12.07)

  • Venise, cité de l'amour!

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    Città di Venezia : affiche "Love 2008" 
    Plusieurs dizaines de milliers de personnes sont attendues ce lundi soir sur la célèbre place Saint-Marc de Venise pour participer à un gigantesque "baiser collectif" à l'occasion du Nouvel An 2008.

    "Le Nouvel An 2008 à Venise deviendra le Nouvel An de l'amour", a affirmé la ville de Venise sur son site internet, précisant que des milliers de personnes sont attendues à partir de 22H00 (21H00 GMT) sur la place Saint-Marc et s'embrasseront à minuit "pour commencer la nouvelle année par un geste d'amour, de paix, de fraternité et de passion".

    Près de 60.000 personnes devraient participer, selon l'agence de presse italienne Ansa, à ce rassemblement baptisé "Love 2008" et organisé par la ville de Venise, la région de Vénétie, des sociétés de communication et le casino de la ville.

     

  • Un poste politique en France pour Ingrid Betancourt ?

    Poste politique envisagé pour Ingrid Betancourt en France selon El Tiempo

    BOGOTA, dimanche 30 décembre 2007 (LatinReporters.com) - "Le destin d'Ingrid" Betancourt, otage de la guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) depuis le 23 février 2002, pourrait être "un poste public en France" écrit dimanche une analyste de l'influent quotidien colombien El Tiempo (centre droit) en se référant aux contacts entre le président français Nicolas Sarközy et son homologue du Venezuela, Hugo Chavez.

    "Depuis que les rênes de l'affaire ont échappé au président Alvaro Uribe, les conversations ont même porté sur ce que serait le destin d'Ingrid: un poste public en France". Autrement dit, Nicolas Sarkozy préparerait le futur politique en France de la plus célèbre otage de la planète.

    Jouissant de la double nationalité franco-colombienne, Ingrid Betancourt briguait la présidence de la Colombie, conquise trois mois plus tard par Alvaro Uribe, au moment de son enlèvement par les FARC en février 2002. Une loi spéciale lui permit, malgré sa séquestration, de rester éligible à la magistrature suprême, mais elle ne recueillit que 0,49% (bien 0,49%) des voix, se classant cinquième de l'élection présidentielle. Aujourd'hui encore, Ingrid Betancourt est, sinon plus connue, en tout cas plus populaire en France qu'en Colombie.

    L'analyste d'El Tiempo, dont l'article est titré "Ingrid, le prochain objectif", croit que, selon un plan étudié par Hugo Chavez avec les FARC, la libération de la Franco-Colombienne et d'otages malades de la guérilla pourrait être séparée du dossier complexe de l'échange humanitaire. La libération en cours de Clara Rojas, principale collaboratrice politique d'Ingrid Betancourt, de son fils Emmanuel né en captivité et de l'ex-parlementaire Consuelo Gonzalez s'effectue également en marge de cet échange.

    Cette opération en cours imposant "un nouveau rythme" aux FARC, grâce à "la participation de sept pays" [outre le Venezuela et la Colombie], ferait comprendre à la guérilla, croit l'analyste, que "libérer Ingrid pourrait lui faire gagner des points".

    Marisol Gomez Giraldo note que, tant pour maintenir l'attention internationale que pour tenter de conquérir une légitimité de fait en forçant le gouvernement colombien à négocier un échange humanitaire après l'éventuelle libération d'Ingrid Betancourt, la guérilla marxiste disposerait encore, parmi la quarantaine de ses otages dits politiques, de trois Américains séquestrés depuis février 2003. (Marc Gonsalves, Thomas Howe et Keith Stannsen, collaborateurs du Département d'Etat américain, ont été capturés par les FARC après la chute de leur avion lors d'une mission anti-drogue dans le sud de la Colombie).

    (Source: LatinReporters.com)

  • La nuit, tous les chats sont gris...

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  • La nouvelle mouture du fichier ELOI provoque des inquiétudes...

    Le fichier Eloi est de retour. Cette base de données des étrangers expulsables avait été créée par le ministère de l'intérieur en juillet 2006. Mais, à la suite d'un recours d'associations, le fichier avait été annulée par le Conseil d'Etat en mars 2007, qui avait estimé qu'il devait donner lieu à un décret et passer par la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL).

    Le décret contenant la nouvelle mouture du fichier Eloi a été publié au Journal officiel dimanche 30 décembre 2007. Il crée un fichier automatisé de "données à caractère personnel relatives aux étrangers faisant l'objet d'une mesure d'éloignement" pour permettre "le suivi et la mise en oeuvre" de ces mêmes mesures. Dans sa nouvelle version, le fichier permettra toujours d'enregistrer une multitude de données sur un étranger expulsable : état-civil, identité des parents et des enfants, langues parlées, état de la procédure le concernant ou "nécessité d'une surveillance particulière au regard de l'ordre public." Le fichier sera accessible aux agents des services centraux du ministère de l'intérieur, des services préfectoraux et des services de gendarmerie ou de police "spécialement habilités".

     

    Le gouvernement n'a pas encore atteint les objectifs qu'il s'était fixé en matière d'expulsions :  21 000 expulsions étaient effectives fin novembre sur les 25 000 fixées au titre de l'année 2007, ce qui est inférieur de 500 à la même période sur l'année 2006.

    "FLICAGE DES SANS-PAPIERS"

    Le décret ne fait plus mention de l'enregistrement des données relatives aux visiteurs d'une personne placée en rétention administrative, l'une des mesures les plus critiquées à l'époque par les associations. Si certaines données seront conservées seulement "trois mois après la date de l'éloignement effectif", celles concernant l'identité ou la filiation pourront être conservées trois ans.

    Si les associations, que le ministère assure avoir régulièrement consulté, voient quelques avancées, elles restent très critiques. Pour le directeur général de France Terre d'Asile, Pierre Henry, le fichier s'inscrit encore "dans une philosophie 'Big Brother et Père Fouettard' qui tend à faire de l'immigration une question d'affrontement permanent".

    Le président de la Ligue des droits de l'Homme, Jean-Pierre Dubois a estimé qu'"il y a de sérieux progrès", "mais il demeure qu'on est dans un fichage des sans-papiers comme s'il s'agissait de délinquants". Le président de SOS Racisme, Dominique Sopo, a qualifié d'"extrêmement dangereux" le fichier Eloi, déplorant notamment qu'il permette le "flicage" des personnes venant en aide aux sans papiers.

    (LE MONDE 30.12.07)

    On ne dit plus "expulsion", mais "éloignement"! Mais on les "éloigne" où? Jusqu'à ce qu'ils reviennent...

  • "Une authentique histoire d'amour"

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    C'est fou ce qu'elles se ressemblent. Toutes les deux grandes, élancées, avec les pommettes saillantes et la même chevelure châtaine. Entre Carla Bruni, 39 ans, et Cécilia Ciganer Albeniz , 50 ans, il y a vraiment un air de famille...

    Et depuis l'apparition de la top-modèle devenue chanteuse au bras du président de la République, Carla a opté, comme avant elle Cécilia, pour les ballerines les plus plates que l'on puisse trouver. Car il s'agit de faire croire qu'avec son 1,77m, elle n'est pas plus grande que le chef de l'Etat.

    Tout commence le 23 novembre. Carla Bruni est invitée à dîner chez Jacques Séguéla, le publicitaire, l'homme de « la force tranquille » de François Mitterrand. Sarközy lui a téléphoné : « Fais-moi un dîner de copains chez toi avec ta bande. Je n'en peux plus d'être seul, le soir, à l'Elysée. » Ce soir-là, Carla Bruni arrive avec Denis Olivennes, patron de la Fnac. Aux dires des témoins, elle n'a pas un regard pour le président, qui n'a d'yeux que pour elle. Mais c'est pourtant avec lui qu'elle repart.

    Entre l'icône glamour de la gauche bobo, qui manifestait il y a peu au Zénith contre les tests ADN, et le chef de file de la droite française, l'histoire d'amour vient de commencer. Depuis ce 18 octobre où le divorce d'avec Cécilia a été officialisé, les paparazzis traquaient le président célibataire, alimentant les rumeurs les plus variées, dont l'une conduira la journaliste Laurence Ferrari à demander réparation devant les tribunaux. Le samedi 15 décembre, les photographes suivent Carla Bruni et Nicolas Sarkozy jusqu'à Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne), à Disneyland Resort Paris. 


     Ils sont là avec Aurélien, le garçon de 6 ans que Carla a eu avec Raphaël Enthoven, et Marisa, la mère de Carla. Confidence de celle-ci : « J'ai horreur de Disney. C'est fatigant, il faut faire la queue, j'ai toujours peur des rapts. Mais là, on a visité d'une manière exceptionnelle. Je n'ai pas eu le choix. » A l'Elysée, on maintient que Sarkozy n'a rien fait pour que l'histoire soit rendue publique. « S'il pouvait vivre sans avoir les paparazzis au cul, dit crûment l'un de ses proches, il préférerait. » Et quand on rétorque que pour rester discret, il vaut mieux éviter d'aller à Disneyland, le même conseiller répond : « Il a le droit de vivre comme tout le monde ! »

    Après Disney, il y eut la visite au Vatican, sans Carla, mais avec Marisa, qui voulait prier pour son fils, Virginio, mort l'année dernière. Et pendant les vacances égyptiennes, le monde entier a pu voir les deux amoureux se tenant par la main, par la taille ou s'embrassant. Carla Bruni, la prédatrice, la croqueuse d'hommes, qui se vante de préférer la polygamie à la monogamie, est-elle entrée durablement dans la vie de Nicolas Sarkozy ? Autrement dit, la première dame de France sera-t-elle un jour cette belle Italienne ? Pour Séguéla, pas de doute : « J'ai vécu en direct le coup de foudre. Ils ne s'étaient jamais vus et je pense qu'ils ne se quitteront jamais », a-t-il confié sur Europe 1. Mme Bruni mère partage cet avis : « Carla vit une authentique histoire d'amour. »

     Chez les proches de Sarközy, certains jurent pourtant qu'il n'a toujours pas renoncé à Cécilia. Mais selon le « Canard enchaîné » et « Marianne », des sondages auraient été commandés pour étudier l'image de Carla Bruni dans l'opinion. Carla « première dame » ?

    (Le Parisien 30.12.07)