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https://www.tvlibertes.com/2016/12/15/11983/alain-paucard-art-contemporain
NdB: Ne pas confondre, comme on le fait trop souvent, l'art moderne avec le non-art contemporain qui est celui de la haine, de la provocation et de la destruction de la Beauté.
Mardi 13 décembre 2016, durant l’émission Tout le monde veut sa place, le dernier jeu télévisé animé par un certain Nagui, un candidat a dû répondre à une question de type « Quel est l’auteur de cette phrase ? »… et a commis l’irréparable...
« Mon cher ami,
Des amis m’ont encouragé à vous écrire au nom de l’humanité. J’ai résisté à leur requête, pensant qu’une lettre de ma part serait une impertinence. Mais quelque chose me dit que je ne dois pas faire de calcul et que je dois faire cet appel, quel qu’en soit le prix.
Il est assez clair que vous êtes aujourd’hui la seule personne au monde qui puisse empêcher le déclenchement d’une guerre pouvant réduire l’humanité à l’état sauvage.
Devez-vous payer ce prix pour atteindre votre objectif, aussi précieux vous semble-t-il ? Écouterez-vous l’appel d’un homme qui a délibérément évité la solution de la guerre, non sans un certain succès ?
Je sollicite néanmoins votre pardon au cas où j’ai commis une erreur en vous écrivant.
Je reste Votre ami sincère,
Sd. M. MK Gandhi. »
LE SCAN POLITIQUE - Un débat sur une meilleure reconnaissance des harkis en Provence-Alpes-Côte d'Azur a dégénéré après le rejet d'un amendement du Front National. La séance a été interrompue.
Ce vendredi, au conseil régional de Paca, était étudiée une proposition d'amendement du frontiste Philippe Vardon visant à instituer une lecture positive du colonialisme français en Algérie. Un sujet particulièrement sensible dans une région où de nombreux harkis et leurs descendants sont installés depuis les années 60. Appelant au rejet du texte, certains élus de la majorité LR ont accusé les cadres du FN de vouloir instrumentaliser la mémoire de la guerre d'Algérie à des fins politiques. De quoi soulever l'indignation de Thibaut de la Tocnaye, membre du bureau politique du FN et élu de la région, qui a crié à l'endroit de la majorité «enfoirés de gaullistes». Très remonté, Christian Estrosi a interrompu la séance et menacé de poursuites: «M. de la Tocnaye, vous aurez à en répondre devant des instances judiciaires».
La pique est donc mal passée, d'autant plus que son auteur est le fils d'Alain de La Tocnaye, l'un des conjurés de l'OAS impliqués dans l'attentat du Petit-Clamart contre le général de Gaulle d'août 1962. Conscient de l'émoi suscité, ce dernier a d'ailleurs repris la parole dès la reprise de séance pour préciser qu'il ne visait pas nommément Christian Estrosi. «Ce n'est pas mon genre, je me suis emporté. Pour moi, “enfoirés” reste un terme potache lancé à la cantonade. Quand j'ai entendu les accusations qui nous ont été faites de vouloir instrumentaliser les harkis, je n'ai pas supporté. Deux cent d'entre eux étaient présents au procès de mon père!», fait-il valoir auprès du Figaro.
Lors de l'interruption, Thibaut de la Tocnaye est «allé s'expliquer d'homme à homme» avec Christian Estrosi, avec lequel il assure que l'incident est clos. Reste que cette sortie garde une saveur particulière au regard de la crise qui oppose les soutiens de Marion Maréchal-Le Pen aux proches de Florian Philippot, qui se revendique très volontiers lui aussi du gaullisme. D'ailleurs, au-delà de la volonté de Thibaut de la Tocnaye de calmer l'incendie, les cadres FN entourant Marion Maréchal-Le Pen ont trouvé l'occasion de se saisir d'une diversion tapageuse sur les réseaux sociaux, à l'occasion de la délibération suivante. Dans une série de tweets assassins, ces derniers ont diffusé une série d'images à caractère pédopornographique et zoophile, en rappel d'une exposition polémique qui s'était tenue à Marseille en 2015. La droite régionale et Christian Estrosi sont accusés par le FN de n'avoir pas empêché l'exposition au nom de la défense de la liberté de création.
LE FIGARO
Bonne initiative – avec ce je ne sais quoi de provocateur qui n’est pas pour me déplaire… – que celle de Marion Maréchal-Le Pen, députée du Vaucluse, qui demande l’installation d’une crèche de Noël au Conseil régional Provence Alpes Côte-d’Azur… Nous attendons la réponde avec gourmandise !
L'Observatoire de la christianophobie
Après dix jours de recomptes, les autorités du Wisconsin ont annoncé que le magnat de l’immobilier avait bien devancé Hillary Clinton dans l’État. Ce dernier recompte met un terme définitif au scrutin.
Donald Trump est effectivement arrivé en tête des suffrages dans l’État du Wisconsin, ont annoncé les autorités locales, mettant un terme définitif aux espoirs de ceux qui pensaient pouvoir encore inverser le résultat de l’élection du 9 novembre.
Après dix jours de recomptes, les autorités du Wisconsin ont annoncé lundi que Donald Trump avait devancé son adversaire démocrate de 22.748 voix, soit 131 de plus que ce qui avait été initialement comptabilisé.
«Le résultat final du Wisconsin a été annoncé et, devinez quoi? Nous avons récupéré 131 voix de plus. Les démocrates et les Verts peuvent aller se coucher. Arnaque», a commenté Donald Trump sur son compte Twitter.
Un magistrat avait rejeté plus tôt la demande de Jill Stein, candidate écologiste à la présidentielle, qui demandait un recompte en Pennsylvanie, disant soupçonner un piratage du matériel électronique de vote.
Jill Stein avait déjà été déboutée dimanche dans le Michigan.
Les trois États concernés sont des bastions traditionnels démocrates.
NDF
A lire !
Le procureur général a estimé dans son réquisitoire que «les charges propres à fonder une condamnation pénale» de Christine Lagarde n'étaient «pas réunies», au procès de la patronne du FMI pour «négligence» dans l'affaire de l'arbitrage Tapie.
«Les audiences n'ont pas conforté une accusation bien faible, voire incantatoire», a estimé Jean-Claude Marin, représentant le ministère public, déjà hostile au principe même d'un procès de Christine Lagarde devant la Cour de justice de la République concernant l'affaire d'arbitrage ayant bénéficié à Bernard Tapie.
Lire aussi : Christine Lagarde jugée en décembre pour son rôle dans l'arbitrage Tapie
L'ex-ministre de l'Economie comparaît jusqu'au 16 décembre devant les trois magistrats et douze parlementaires de la CJR, qui juge les membres du gouvernement pour les délits commis dans l'exercice de leurs fonctions.
Elle risque jusqu'à un an de prison pour avoir fait preuve de «négligence» dans l'arbitrage ayant accordé 400 millions d'euros à Bernard Tapie, qui s'est ensuite révélé frauduleux.
Le 15 septembre au matin, le président Les Républicains de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, Gilles Carrez, est venu soutenir cette ancienne ministre «scrupuleuse». Claude Guéant a, lui, vanté le «sérieux» de Christine Lagarde et estimé que recourir à l'arbitrage était, à l'époque, «sage».
Lire aussi : Affaire Tapie : ouverture du procès de Christine Lagarde
Pudique, Jean-Louis ne tient pas à s’étendre sur son passé. Sur le décès de sa femme et la faillite de son entreprise de carrelage. Des événements qui l’ont conduit petit à petit à se retrouver sans toit. Avec sa voiture comme seul refuge. A 76 ans, ce sans-abri touche 700 euros par mois de retraite.
Les services sociaux de la ville d’Antibes connaissent déjà ce septuagénaire. Ils vont à nouveau le rencontrer pour faire un point sur sa situation. Jean-Louis a sept enfants. Mais il ne tient pas à demander leur aide. Alors, il se débrouille, comme il peut. Depuis qu’il s’est retrouvé dans la rue, Jean-Louis explique s’être tourné vers la religion. Il médite et prie beaucoup pendant ses longues journées d’errance. Dans le secret espoir d’un avenir meilleur.
Merci à Jerem
Toujours clair, précis et passionnant!
La personne a fait semblant de téléphoner pour pouvoir filmer ce qu'elle voyait... Merci à elle. Le GR n'est pas un fantasme!
Elle a publié sur Twitter une photo d’elle, lunettes de soleil, cheveux tombant sur les épaules. Elle risque l’exécution capitale.
Malak al-Shehri, vous connaissez ? Sans doute pas puisque, à ma connaissance, la « grande » presse quotidienne française n’en a pas parlé ; il faut se tourner vers l’étranger, et notamment le Daily Mail online, pour y lire l’histoire ahurissante de cette jeune Saoudienne.
Elle a publié sur Twitter une photo d’elle, lunettes de soleil, cheveux tombant sur les épaules, bottillons, vêtue d’un manteau trois-quarts d’où dépasse une jupe multicolore descendant à mi-mollet. On croise tous les jours des milliers de Malak dans les rues de nos villes. Pas de quoi fouetter un dromadaire, me direz-vous ? Vous avez tort !
Car la scène se passe dans une rue de Riyad, capitale d’Arabie saoudite. Là-bas, le code vestimentaire féminin comporte obligatoirement – o-bli-ga-toi-re-ment – un voile masquant la plus grande partie de la tête et une abaya, cette robe islamique qui couvre le corps, du cou aux chevilles. Il n’en a pas fallu plus pour que certains Saoudiens s’échauffent. L’une des amies de Malak, à l’abri d’un faux nom par sécurité, a mis sur les réseaux les commentaires que cette photo a suscités : « Il faut qu’elle paie pour son crime. » « Tuez-la et jetez son corps aux chiens. » « Nous voulons du sang. » « Nous demandons l’emprisonnement de la rebelle. » Ah ! La religion de tolérance et de paix…
L’affaire a eu lieu en début de semaine. Aujourd’hui, on ne sait pas exactement ce qu’est devenue Malak. Citant le journal arabe Al Sharq, le Daily Mail annonce que la jeune femme a été arrêtée à la suite d’une plainte déposée par la police religieuse.
Chez nous, nos féministes en peau de lapin regardent ailleurs. Ainsi, et par exemple, l’association Osez le féminisme, porte-drapeau de cette lutte farouche des classes, constelle son site de « campagnes d’action », toutes vachement importantes : « Guide de la routarde », « Journées du matrimoine », « LesBieFamily », « À bas le concours Miss France » et plein d’autres trucs du même tabac. Sur Malak, pas une ligne !
Car, en France, il semble que nous ayons l’indignation sélective. Tout dépend, en fait, de celui qui tient le manche du coutelas et là, comme dans les westerns, il y a les bons et les méchants. Aujourd’hui, le méchant, c’est Poutine : Ukraine, Crimée, Syrie – beurk. Le bon, c’est l’Arabie saoudite. Alors, le Yémen en guerre ? C’est où, ça, le Yémen ? Malak ? C’est bien fait pour elle ! N’avait qu’à se saper comme tout le monde ! Non mais, des fois, on ne va pas arrêter de vendre nos avions pour une donzelle qui se balade « à poil » ! Hollande a même refilé la Légion d’honneur au prince héritier de ce royaume qui, dans les trois premiers mois de 2016, avait déjà décapité 70 personnes.
Et pendant ce temps-là, nos prétendants au trône républicain nous gavent de belles paroles où il est sans arrêt question des « valeurs de la République ». Bon ! Ça va ! J’ai compris. C’est une potion à usage interne et, en aucun cas, un produit d’exportation.
« Oh eh la gauche », en rafistolant votre « Belle alliance », pensez un peu à Malak.
BV
Jack Lang a donné une interview à Libération dans le cadre de la semaine de la fête de la langue arabe. Il regrette que cette dernière n’ait pas une place plus importante en France.
Le président de l’Institut du monde arabe s’est confié sur sa conception de la place de l’arabe en France au journal Libération. Pour lui, nul doute possible, “nous sommes dans un pays où la langue arabe devrait être reine” car c’est “la quatrième langue la plus parlée au monde, la sixième officielle des Nations Unies, la cinquième en France”.
En rappelant certains liens historiques entre la France et le monde musulman, l’ancien ministre de l’Education national affirme que ce dernier “fait partie de nous-même” et que “c’est une chance d’avoir été ensemencé par ces cultures. Il faut le revendiquer avec fierté”. Il rappelle plus loin que lorsqu’il a été ministre de l’Education nationale entre 2000 et 2002, il s’est battu pour “l’enseignement des langues vivantes dès le CP, et en particulier l’arabe”…