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Blog - Page 300

  • Elle n’avait que 7 euros dans son petit sac noir en bandoulière !

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    Brutalement, un scooter tapi en embuscade s’élance derrière la vieille dame…

     

    Ancien officier de Gendarmerie

    Diplômé de criminologie et de criminalistique

     

    image: http://www.assoc-amazon.fr/e/ir?t=boulevard-voltaire-21&l=as2&o=8&a=208067949X

     
     

    Le temps hésite, ce lundi 25 juillet après-midi, entre nuages et soleil dans la région parisienne, plus exactement à Malakoff, dans les Hauts-de-Seine. À l’angle de la rue Savier et de la rue d’Hébécourt, une octogénaire rentre chez elle. Elle a mis son sac en bandoulière en sécurité sur son épaule. À cet âge-là, les plaisirs sont simples et c’est une joie de rejoindre son appartement pour profiter de la fraîcheur et retrouver son mari qui l’attend impatiemment.

    Brutalement, un scooter tapi en embuscade s’élance derrière la vieille dame, elle n’a pas le temps de se retourner que l’homme qui conduit l’engin essaie de lui arracher le sac en tirant sur la courroie. Mais la vieille dame résiste, elle ne veut pas lâcher son bien. Alors, l’homme la traîne par terre sur plusieurs mètres. Sonnée, presque évanouie, son sac se libère enfin de son bras et l’agresseur prend la fuite avec son butin.

    Deux personnes, une automobiliste et un piéton qui viennent d’assister à la scène, se portent à son secours, la relèvent, vérifient son état de santé et la raccompagnent chez elle.

    Elle est meurtrie mais saine et sauve, elle a retrouvé son foyer. Certes, son sac manque mais elle est vivante. À son compagnon, bouleversé de découvrir son épouse dans cet état, elle parle de son agression. Ses pensées sont flous mais elle se souvient qu’il y avait au moins un homme sur le scooter.

    Quelques heures plus tard, la douleur qu’elle ressentait au poignet s’est accentuée, le mari contacte le médecin de famille qui, inquiet, décide de la faire hospitaliser.

    Le personnel médical est obligé de noter un état bien plus grave qu’un simple os cassé. Ils détectent une hémorragie cérébrale due à la chute. Malgré les soins, la situation ne fait qu’empirer. Finalement, elle décède le lendemain matin. Elle n’aura survécu que quelques heures à son agression.

    Le plus affreux, dans cette histoire, est que la victime est morte pour un total de sept euros, le nombre de pièces qu’elle avait dans son petit sac en bandoulière avant qu’il ne lui soit dérobé, selon la police judiciaire chargée de l’enquête.

    Le parquet a immédiatement saisi le SDPJ 92 pour vol avec violence sur personne vulnérable ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Les enquêteurs ont lancé un appel à témoins et recherchent notamment les deux passants (l’homme et la femme) qui se sont arrêtés pour porter secours à la victime.

    Cette personne avait exactement 85 ans, l’âge du père Jacques Hamel égorgé dans son église de Saint-Étienne-du-Rouvray. Les médias ne se sont pas emparés de son accident funeste de la même manière. On peut le comprendre : il ne s’agissait pas de terrorisme et la mort n’est pas survenue de façon aussi horrible.

    Pourtant, il ne se passe pas de mois sans que des personnes âgées ne soient attaquées dans la rue pour s’emparer de leurs quelques économies. Il ne se passe pas de mois sans qu’en prenant le métro ou en sortant d’une discothèque, une femme ne soit agressée physiquement.

    Le gouvernement nous répète que nous sommes en guerre, que Daech est devenu l’ennemi absolu. Il est regrettable qu’on nous parle moins d’une guerre présente sur notre sol, une guerre insidieuse qui infecte nos quartiers. Une guerre que l’État ne veut pas reconnaître et, pourtant, qu’il est en train de perdre. Celle que nous livrent les bandes et leur violence quotidienne.

    Elle était fière de son petit sac en bandoulière de couleur noire, elle se méfiait (on n’est jamais assez prudent), elle le tenait fermement contre elle. Hélas, cet humble joyau a été fatal à sa propriétaire.


    En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrefabrebernadac/elle-navait-que-7-euros-dans-son-petit-sac-noir-en-bandouliere,274490#gwuBFTcUFjWLoS6g.99
     
    BV
     
     
  • 10 questions sur le financement des mosquées

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/07/29/01016-20160729ARTFIG00319-10-questions-sur-le-financement-des-mosquees.php

  • LE GREC POUR LES NULS

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  • Aux JMJ, le pape François récuse les «jeunes-divans»

    http://www.lefigaro.fr/international/2016/07/30/01003-20160730ARTFIG00139-aux-jmj-le-pape-francois-recuse-les-jeunes-divans.php

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  • Le jour où Abdel Malik Petitjean a traité son père adoptif de « raciste »

     

     

    30/07/2016 – FRANCE (NOVOpress) : C’est Franck Petitjean, le père adoptif d’Abdel Malik Petitjean, qui le raconte ce matin dans Sud-Ouest : « Quand j’ai voulu mettre mon fils en garde, il m’a répondu que j’étais raciste. »

    Franck Petitjean, qui habite à Bordeaux, raconte que, « il y a trois mois et demi environ, mon ex-femme m’a appelé en me disant qu’elle était convoquée par l’imam d’Aix-les-Bains avec Malik. Elle m’a expliqué qu’il traînait avec des barbus. Quand j’ai voulu mettre mon fils en garde, il m’a répondu que j’étais raciste. […] En trois mois, ils l’ont endormi et lui ont retourné le cerveau. »

    Et qui ça, « ils » ? Ces « barbus » mus par une idéologie indéterminée puisque le papa du barbare qui, avec Adel Kermiche, a égorgé le père Hamel à l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray en est persuadé : « Daesh n’a rien à voir avec l’islam »…

    Au passage, Franck Petitjean détruit les explications avancées par son ex-épouse puisque, dans ses diverses déclarations, Yamina Boukezzoula, la mère d’Abdel Malik, a affirmé qu’elle ignorait tout de la radicalisation de son fils, ce qui est donc faux. « Il ne parlait jamais de Daesh […] On est positifs nous, on parle des trucs biens », avait par exemple déclaré à BFM TV celle qui tient, il est vrai, l’assassinat du prêtre pour « une connerie à deux balles »

    Franck Petitjean, relate Sud-Ouest, a reconnu Abdel Malik « en 1997 devant l’état civil alors qu’il n’avait que 5 ou 6 mois et a assuré son éducation jusqu’à la date de son divorce, en 2011 ». Et s’il l’a encore eu au téléphone début juillet, il ne l’avait pas vu « depuis un peu plus de trois ans ».

    Il est en revanche le père biologique d’une fille de dix ans et demi issue de son union avec Yamina Boukezzoula, et dont il dit n’avoir « aucune nouvelle » : « J’ai peur qu’elle se venge, car elle était très proche de son frère. Je tire la sonnette d’alarme pour la sortir de là. »

  • Gyula Márfi, archevêque hongrois : « Ils veulent occuper l’Europe »

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    15h40

    [Extraits d'un entretien avec Gyula Márfi, archevêque de Veszprém (Hongrie), paru ces jours-ci sur le site italien Riscossa Cristiana]

     

    Gyula Márfi : [...] Ce n’est pas leur faute s’ils veulent occuper l’Europe, mais c’est notre faute.

    Andras Kovacs : Pour vous, la vague d’immigration actuelle est donc aussi une conquête ?

    Gyula Márfi : Le jihad est pour les musulmans un principe, il signifie qu’ils doivent se répandre. Il leur faut transformer la plus grande partie de la terre en Dar al-Islam, c’est-à-dire en territoire islamique, en introduisant une législation spécifique, la charia.

    Andras Kovacs : Croyez-vous sérieusement que même des gens qui ont parcouru des centaines de kilomètres avec des enfants veuillent conquérir notre continent ?

    Gyula Márfi : Je suis persuadé qu’ils ont aussi un tel but, mais naturellement ils ne viennent pas que pour cela. Il y a toujours eu des guerres et des catastrophes naturelles. Le fait qu’une pression migratoire d’une telle force soit exercée maintenant sur l’Europe ne peut donc être un hasard, la volonté de conquête peut y jouer un rôle. C’est pourquoi les banques arabes l’appuient. Ils ne les laissent pas entrer au Qatar ou aux Émirats arabes unis, mais ils leur donnent de l’argent et les incitent à émigrer chez nous. Les migrations n’ont pas seulement des causes, mais aussi des buts. Comme par exemple la déstabilisation de l’Europe et de l’euro, et ils trouvent là le soutien des États-Unis. Le troisième objectif consiste à trouver un remède au manque de main-d’œuvre dans certains États membres de l’Union européenne. Les multinationales ont besoin d’une main-d’œuvre bon marché, en d’autres termes d’esclaves modernes.

    Andras Kovacs : Le pape François, chef de l’Église catholique, a dit ces jours-ci que dans le migrant refoulé pourrait se trouver le Christ. N’y a-t-il pas là une contradiction ?

    Gyula Márfi : Jésus a dit  » Soyez doux comme les colombes », mais il a dit aussi « Soyez intelligents comme les serpents ». Ce n’est pas parce que nous voulons du bien aux loups, en tant que créatures de Dieu, que nous les laissons s’approcher des moutons, même s’ils nous arrivent déguisés en moutons. Il ne convient pas que le Saint-Père exprime avec force certaines pensées, parce que les musulmans pourraient alors se venger sur les chrétiens du Proche-Orient.

    (Traduction Fdesouche)

    Source

    (merci à Dirk)

  • Un tweet d'Eléonore Bez

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  • Fillon et Cazeneuve se marrent à Notre-Dame à l’hommage au père Hamel ! (bis)

    http://fr.novopress.info/202814/fillon-cazeneuve-se-marrent-a-dame-a-lhommage-pere-hamel/

  • Fillon et Cazeneuve en plein fou rire pendant l’hommage au prêtre égorgé

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Fillon-et-Cazeneuve-en-plein-fou-rire-pendant-l-hommage-au-pretre-egorge-40671.html

  • Malakoff (92) : une octogénaire meurt après un vol à l’arraché

     

    13h52

    Une femme de 85 ans est morte mardi, après avoir été victime d’un vol à l’arraché commis par un homme à scooter à Malakoff qui l’a traînée au sol en lui arrachant son sac à main Les médecins détectent alors une hémorragie cérébrale. La vieille femme décède le lendemain matin.

    La victime n’avait que quelques pièces dans le sac qui lui a été dérobé. « Elle est morte pour sept euros« , a commenté la police judiciaire. Les enquêteurs, qui ont lancé un appel à témoins, recherchent notamment deux passants, un homme et une femme, qui se sont arrêtés pour porter secours à la victime, ainsi que son petit sac noir en bandoulière.

     

    Le Figaro

    Merci à T M

  • Le FLNC et les islamistes en Corse : quand l'Etat ne terrorise pas les terroristes...

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    • Par Alexis Feertchak
    • Mis à jour
    • Publié
     

     

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Les nationalistes corses du FLNC ont annoncé qu'ils répondraient s'il le fallait par les armes aux terroristes islamistes. Pour Jean-Paul Brighelli, une telle déclaration symbolise la faiblesse de l'Etat.


    Jean-Paul Brighelli est enseignant à Marseille et essayiste. Spécialiste des questions d'éducation, il est ancien élève de l'Ecole normale supérieure de Saint- Cloud, et a enseigné les lettres modernes en lycée et à l'université. Il est l'auteur de La fabrique du crétin (éd. Jean-Claude Gawsewitch, 2005). Son dernier livre, Voltaire ou le Jihad, le suicide de la culture occidentale, est paru en novembre 2015 aux éditions de l'Archipel.


     

    FIGAROVOX. - En Corse, le Front de libération nationale corse (FLNC) a déclaré dans un communiqué qu'il répondrait «sans aucun état d'âme» aux «islamistes radicaux de Corse» en cas d'attaque sur l'île. Que vous inspirent ces déclarations?

    Jean-Paul BRIGHELLI. - Ce sont des déclarations un peu opportunistes, certainement, pour faire aussi parler de soi. Cela étant dit, on sait que les Corses sont chatouilleux et ne se laissent pas marcher sur les pieds. L'interview complète se garde bien d'ailleurs d'appeler à des représailles, et veut se distinguer des tentations extrêmes.

    Ce qu'il convient d'y lire, c'est que la Corse se considère comme un Etat indépendant faisant la police chez lui (rien d'étonnant de la part d'indépendantistes), mais que cela porte aussi constat de la carence des autorités françaises. Si l'Etat était fort, et le manifestait, aucun groupe ne se substituerait à lui.

    Le FLNC est néanmoins un groupe terroriste. Cette manière comme disait Pasqua de «terroriser les terroristes» ne pose-t-elle pas problème dans un Etat de droit?

    Le FLNC a officiellement déposé les armes en mai dernier — dans le cadre du conflit qui oppose les indépendantistes à l'Etat français. On allait — sans doute grâce à l'entrée en force des autonomistes et

    indépendantistes à l'Assemblée régionale — vers un climat plus serein. Mais les attentats terroristes islamistes (appelons les choses par leur nom, même si François Hollande répugne à le faire) ont créé une situation nouvelle. Ce n'est par ailleurs pas un hasard si ces déclarations du FLNC tombent 24 heures après l'assassinat d'un vieux prêtre dans la banlieue de Rouen. La Corse reste très imprégnée de culture chrétienne, le 15 août y est une fête majeure, l'hymne indépendantiste (choisi jadis par Pascal Paoli) est en fait un cantique à la Vierge, et s'il y a bien une région qui assume ses origines gréco-latino-chrétiennes, c'est bien la Corse. Il est donc logique que des indépendantistes (et, en fait, tous les Corses) ressentent très fortement le sens d'un attentat commis dans une église sur la personne d'un prêtre. Qu'ils aient du coup envie de terorriser les terroristes, rien de plus normal. Là encore, ils se substituent à un Etat qui ne terrorise personne — en tout cas, pas les terroristes qui œuvrent partout avec un sentiment d'impunité — ni eux, ni ceux qui les protègent.

    Au-delà du cas corse, les défaillances de l'Etat en matière sécuritaire risquent-elles d'engendrer une prise en charge de la sécurité par les citoyens eux-mêmes ou par des groupes communautaires organisés?

    Je crois que c'est déjà le cas, et que des fidèles commencent à s'organiser pour protéger les églises. Je crains fort qu'au prochain attentat — et nous en sommes tous, chaque jour, à recenser les milliers de belles cibles dans notre quotidien — les Français ne soient tentés de s'organiser en groupes d'auto-défense. Quand l'Etat est faible, les citoyens pensent être en droit de se substituer à une autorité défaillante. Croyez bien que je le déplore.

    Vous avez publié l'essai Voltaire ou le djihad: Le suicide de la culture occidentale en 2015. Face à l'islam radical, faut-il dire avec le philosophe du Traité sur la tolérance : «Ecrasons l'infâme»?

    Il faut être sérieux. Convoquer à chaque attentat les représentants des diverses croyances n'est pas une réponse appropriée — d'autant que l'agnosticisme est de loin la position philosophique la plus répandue en France, et que personne ne songe à demander leur avis à tous les libres-penseurs de ce pays. Il faut combattre le fanatisme, la superstition, la prétention au «communautarisme», avec tous les moyens que peuvent fournir les médias et l'Ecole. Oui, il faut «écraser l'infâme» — ou il nous écrasera. On ne fait pas la guerre en gants de velours.

    La majorité des terroristes islamistes sont nés Français en France. Ce mal moderne n'est-il pas l'expression ultime de la faillite de l'école républicaine?

    Je me suis souvent exprimé sur le sujet — et encore dans le Point.fr aujourd'hui. Oui, l'Ecole porte une responsabilité considérable — l'Ecole, ou plutôt ceux qui ont travaillé à en détruire la fonction première, qui était de propager les Lumières. Au lieu de faire passer des savoirs, on s'est «mis à l'écoute» de gosses qui

    répètent ce qu'ils entendent sur Internet ou à la maison. Ou à la mosquée.

    Nous devons tirer le bilan terriblement négatif de trente ans de dérives, et reprendre sérieusement les choses en main. Les terroristes français qui ont frappé depuis bientôt deux ans sont des jeunes issus d'un système scolaire à la dérive. Assez de compassionnel, assez de compréhension. Nous devons inculquer la culture et les valeurs françaises — à commencer par la langue française, et non l'insupportable sabir dans lequel ces malheureux gosses s'expriment, ce qui semble ravir les auteurs des programmes du collège 2016: tout pour l'oral, tout pour «l'expression», rien pour la réflexion. Dans ces crânes soigneusement évidés les certitudes les plus létales ont toute la place qu'elles veulent.

    La République a su être une transcendance à d'autres époques. Nous savons désormais quel est le prix de l'ignorance — nous le payons chaque jour. Il faut à nouveau réinvestir dans le Savoir, et nous extirperons le fanatisme, qui se repaît d'ignorance.

    Alexis Feertchak
     
    (Merci à Dirk)
  • Comment Saint-Etienne-du-Rouvray est devenu un ghetto islamiste

     

    11h21

    Hebergeur d'image

    En exclusivité pour Causeur, Florence M., enseignante à quelques kilomètres du lieu de l’attentat, livre un témoignage édifiant sur l’évolution de Saint-Etienne-du-Rouvray, passé en quelques années de paisible banlieue ouvrière de Rouen à ghetto islamisé.

    Daoud Boughezala. Jusqu’ici, les djihadistes visaient essentiellement des grandes villes (Paris, Nice). Avez-vous été étonnée de voir le terrorisme frapper un petit village a priori paisible comme Saint-Etienne-du-Rouvray ?

    Florence M.1 Oui et non. On se croyait moins exposé qu’à Paris mais Saint-Etienne-du-Rouvray n’est pas une zone rurale ou pavillonnaire. C’est une ville ouvrière de la banlieue rouennaise de 30 000 habitants qui est peu à peu devenue un ghetto depuis la construction massive de logements sociaux dans les années 1970 et 1980. Le vendredi, j’y croise beaucoup d’hommes barbus et même des petites filles voilées. Dans certaines écoles, on compte 90% de maghrébins et des femmes voilées de pied en cap vont chercher leurs enfants à la sortie. Depuis quelques années, j’assiste à une recrudescence du nombre de musulmans barbus dans la région, y compris à Rouen.

    « Alors que je n’ai aucune animosité envers les populations arabo-musulmane, cela m’interpelle : ces personnes qui, à mon sens, affichent ostensiblement leur pratique excessive de la religion ne seraient-elles pas proches des milieux radicaux qui véhiculent des idées extrémistes ? »

    De votre propre aveu, l’immigration arabo-musulmane n’a pas débarqué du jour au lendemain en Normandie. Avez-vous vu l’intégration progressivement reculer ?

    Il y a vingt ans, j’enseignais à Saint-Etienne-du-Rouvray. C’était déjà une population très majoritairement maghrébine mais la religion n’y était pas présente comme aujourd’hui. D’année en années, les comportements ont évolué, et une partie de la population maghrébine a adopté une attitude beaucoup plus intransigeante dans la pratique de la religion. Au départ, les enfants se contentaient de ne pas manger de porc à la cantine, ce qui est normal. Puis, il y a une dizaine d’années, les parents les ont poussés à refuser les bonbons censés contenir de la gélatine de porc. Depuis trois ou quatre ans, ils ne mettent plus leurs enfants à la cantine certains jours parce que la viande servie n’est pas hallal ou bien demandent qu’on ne serve pas de viande à leurs enfants. Cela fait également cinq ou six ans qu’on nous propose des cours d’arabe sous le nom d’ « enseignements de langue et culture d’origine ». (…)

    « Après ce dernier attentat, j’ai peur que les djihadistes s’en prennent à nos écoles. Il est inévitable qu’une psychose s’installe. »

    Source

  • Prêtre égorgé: le père adoptif d'un des tueurs s'est présenté à la police

     

    • Par LeFigaro.fr
    • Mis à jour
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    Le père adoptif d'Abdel Malik Petitjean, second auteur identifié de l'attaque djihadiste de Saint-Etienne-du-Rouvray, s'est présenté spontanément à la police mercredi soir à Bordeaux et aucune charge n'a été retenue à son encontre, a-t-on appris vendredi de source policière.

     Une perquisition a été menée au domicile bordelais de Franck Petitjean, son ordinateur a été saisi et examiné mais "rien de spécial" n'a été découvert et "aucune mesure coercitive n'a été menée à son encontre", a-t-on ajouté de même source.

    Selon Sud Ouest, qui a révélé l'information sur son site internet, Franck Petitjean a adopté et reconnu devant l'état-civil Abdel Malik "alors que celui-ci n'avait que 5 ou 6 mois". C'est par son frère qu'il a appris que son fils était le terroriste abattu à la sortie de l'église avec Adel Kermiche.

    Franck Petitjean a assuré à Sud Ouest qu'il n'avait pas vu son fils "depuis un peu plus de trois ans".

    "Ça m'a brisé, cela fait deux jours que je ne dors plus", a-t-il ajouté. "J'ai été surpris. Malik était adorable. Crédule. Daech (acronyme arabe de l'organisation terroriste Etat Islamique, ndlr) lui a monté la tête, retourné le cerveau. Je l'ai eu au téléphone au début du mois de juillet, il était avec son cousin à Nancy. Il m'a dit qu'il voulait venir en vacances à Bordeaux au mois d'août", le cite encore Sud Ouest.

    Abdel Malik Petitjean, Savoyard de 19 ans, sans casier judiciaire, était connu depuis peu des services antiterroristes. Il avait été signalé par la Turquie fin juin après avoir pénétré dans le pays et une fiche "S" avait été émise à son encontre le 29 juin. Des vidéos récentes d'allégeance de Petitjean à l'EI, qui a revendiqué l'attentat, ont été retrouvées.

    "Maintenant j'ai peur pour ma fille, j'ai peur qu'elle se venge car elle était très proche de son frère. Je tire la sonnette d'alarme pour la sortir de là", a ajouté Franck Petitjean.

    La soeur d'Abdel Malik Petitjean et l'ami de cette dernière, interpellés mercredi, ont été relâchés jeudi soir. "Ils ont livré des indications intéressantes sur son parcours, mais aucun élément ne montre leur implication dans les faits", selon une source proche de l'enquête.

    En revanche, un Français de 30 ans, également dans l'entourage familial de Petitjean et qui réside en Meurthe-et-Moselle, était toujours en garde à vue. Les enquêteurs cherchent à savoir "s'il aurait pu avoir connaissance d'un projet d'attentat fomenté par le tueur".

  • Les populistes de droite peuvent se réunir à la brasserie fréquentée par Hitler

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    © Flickr/ Merle ja Joonas
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    En dépit des protestations du propriétaire, la cour d’État de Munich a autorisé les membres du parti de droite allemand AfD à tenir une réunion à la célèbre brasserie Hofbräukeller, où Hitler avait ses habitudes.

     

    Le propriétaire de la brasserie, Friedrich Steinberg, a annoncé plus tôt cette semaine qu'il voulait annuler la visite prévue par le chef de l’AfD, Frauke Petry, en expliquant qu'il était préoccupé par les dommages causés à sa réputation et la possibilité de violentes manifestations.

     Mais les juges de la Cour d'État de Munich a donné tort à M. Steinberg en affirmant qu'il ne présentait pas de raisons suffisantes pour rompre le contrat qu'il avait signé avec le parti populiste de droite.

    "Nous avons reçu (l'injonction, nldr) de la cour et maintenant nous sommes en train d'examiner les options juridiques," a déclaré M. Steinberg jeudi, après que le jugement du tribunal ait été prononcé.

    Pour sa part, le chef de la branche bavaroise du parti, Petr Bystron, a estimé que cette décision était une "claque retentissant sur l'oreille du Parti social-démocrate (SPD) et de l'Union chrétienne-démocrate (CDU)."

     Les deux principaux partis allemands ont tenté plusieurs fois de bloquer les événements organisés par l’AfD, a ajouté M. Bystron.

    Le Hofbräukeller bénéficie d'une certaine notoriété car Adolf Hitler a donné son premier discours en tant que chef du Parti ouvrier allemand (DAP) – qui deviendra plus tard le parti nazi – dans la salle de cette brasserie.

    SPUTNIK

  • Marine Le Pen au Journal de 20h du 29 juillet 2016 sur France 2

    http://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-2/20-heures/jt-de-20h-du-vendredi-29-juillet-2016_1558921.html

  • Prêtre assassiné : la conversation surréaliste des terroristes avec les religieuses

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/pretre-assassine-j-ai-eu-droit-a-un-sourire-du-terroriste-29-07-2016-6003823.php

    + VIDEO

  • Belgique : Angélique, 20 ans, battue et violée par son petit ami afghan

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    17h33

    Angélique, une jeune femme de 20 ans originaire d’Eeklo, en Flandre-Orientale, a raconté le calvaire qu’elle a enduré pendant plus de 10 mois. La jeune femme a été battue et violée, jusqu’à quatre fois par jour, par son petit ami. Un beau jour, son compagnon l’a battue tellement fort qu’elle a perdu le bébé qu’elle attendait.

     

    Angélique s’est confiée au quotidien flamand Het Laatste Nieuws… La jeune femme de 20 ans au visage tuméfié a expliqué le calvaire qu’elle a enduré pendant 10 mois… Son petit ami, Bahir, un Afghan pour qui elle a eu un coup de foudre a fait montre d’une grande violence à son égard.

    « Les premiers mois, c’était bien. Ensuite, il a commencé à me manipuler. Il voulait que nous vivions ensemble et j’ai accepté » concède Angélique au quotidien flamand.

    C’est à ce moment précis que le calvaire d’Angélique a commencé… Son petit ami s’est montré de plus en plus violent et la violait jusqu’à quatre fois par jour. « J’avais des inflammations… Je ne pouvais même plus aller à la piscine ».

    « Il détruisait tous mes téléphones. Un jour, il m’a enfermée dans la chambre. Je me suis urinée dessus » déclare Angélique.

    Un jour, son bourreau a fait preuve d’une violence inouïe en la battant publiquement sur le marché d’Eeklo. Angélique, alors enceinte de 6 semaines, a perdu son bébé… Selon les paroles d’Angélique, Bahir a mis l’embryon dans un sac et s’est enfui avec le sac.

    Source