http://www.fdesouche.com/728041-nogent-52-une-dame-de-87-ans-raconte-sa-violente-agression
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
http://www.fdesouche.com/728041-nogent-52-une-dame-de-87-ans-raconte-sa-violente-agression
On aurait tort de sous estimer ce fait majeur de notre histoire contemporaine.
L’élection du nouveau maire travailliste de Londres n’a pas manqué de susciter les réactions les plus diverses. Sadiq Khan restera pour l’Histoire, quoi que puissent en dire les beaux esprits, le premier maire musulman d’une grande ville européenne, et pas des moindres. Londres bascule entre les mains des travaillistes après une longue période conservatrice, incarnée par le charismatique Boris Johnson, actuel meneur des partisans du « Brexit ».
Néanmoins, si vous pensiez que Sadiq Khan appartenait à la faction islamo-gauchiste du grand parti de gauche britannique, vous vous trompiez. L’homme est plutôt considéré comme un bébé Tony Blair, héritier de la deuxième gauche parfois abusivement qualifiée de « libérale-libertaire » et partisan convaincu du maintien de la Grande-Bretagne dans l’Union européenne. Son modèle politique n’est autre que le baron Kinnock, chef de l’opposition travailliste de 1983 à 1992, membre de la Commission européenne de 1995 à 2004 et connu pour son engagement militant au sein de l’Association humaniste britannique (British Humanist Association). Sadiq Khan s’est aussi fait remarquer pour son zèle en faveur de l’immigration de masse, se laissant photographier muni d’une pancarte « Refugees Welcome » en plein cœur de la capitale anglaise.
N’appartenant certes pas au courant islamo-gauchiste et antisioniste du Parti travailliste, Sadiq Khan a su se ménager cette faction importante de la formation politique, actuellement déchirée entre les partisans de Corbyn et les nostalgiques de Tony Blair. Comment ? D’abord pour ce qu’il est essentiellement, c’est-à-dire le fils d’un immigré pakistanais musulman. Même s’ils ne sont pas très exactement sur sa ligne politique, les gauchistes communautaristes savent que les symboles comptent plus que toute autre chose en politique. Sadiq Khan incarne, après Barack Obama, la revanche des anciens colonisés, des damnés de la Terre, sur ce « monde blanc » honni. Malin, il a d’ailleurs laissé les antisionistes du parti attaquer son adversaire conservateur Zac Goldsmith, milliardaire de confession juive, sans les appuyer ni les contredire.
Quelques commentateurs informés ont jugé bon de préciser que Sadiq Khan n’était pas aimé des musulmans londoniens les plus radicaux, notamment les influents salafistes, en raison de certaines prises de position « progressistes » comme son vote en faveur du mariage homosexuel. Ce qui vaut pour des minorités agissantes ne vaut pas pour le petit peuple musulman de Londres. D’abord, une grande majorité n’était certainement pas au courant. Ensuite, ceux qui l’étaient ne pouvaient que s’en moquer car ces « choses-là » n’auront pas cours dans la « communauté ». Sadiq Khan n’a pas été élu maire de Londres uniquement en raison de ses origines ou de sa religion. Il serait faux de le dire. Il a été principalement élu maire de Londres parce que les électeurs en avaient assez d’une caste politique souvent interchangeable, mais aussi en raison d’un programme plus social dans une ville à deux vitesses.
On aurait cependant tort de sous-estimer ce fait majeur de notre histoire contemporaine, témoignant des profonds changements démographiques à l’œuvre en Europe de l’Ouest. Ce n’est pas anodin. Sadiq Khan incarne physiquement la transformation de l’Europe par un phénomène que certains appellent le « Grand Remplacement ». Bientôt, les Européens natifs ne pourront plus gagner des élections dans les grands centres urbains. La gauche continentale l’a très bien assimilé. Pour que l’électorat issu de la « diversité », ou plus précisément extra-européen, ait envie de se déplacer, il faudra que les candidats lui ressemblent. Et c’est cet électorat-là qui fera pencher la balance en faveur de la gauche, quand la bobocratie locale lui est déjà acquise quoi qu’il advienne… Sadiq Khan est donc le nom d’un changement de paradigme : le vote ethnique dans l’Europe multiculturelle.
BV
Le samedi, vous pourrez retrouver la reprise hebdomadaire de l’émission « Juvin en liberté » qui suit, quotidiennement ce journal et qui rencontre un véritable succès. »Juvin en libertés-Hebdo », l’occasion de ne rien perdre de la pertinence et de l’impertinence de cette voix qui compte dans les milieux d’experts internationaux.
TVL
Une vidéo à voir absolument!
Sophie Okonedo, née de père nigérien et de mère juive ashkénaze, jouera le rôle de Marguerite d’Anjou, femme d’Henri VI, dans une prochaine série de la BBC sur ce roi.
Les antiblancs ont besoin de détruire la mémoire et l’imaginaire collectif des Européens pour opérer le Grand Remplacement.
A lire!
" LUI"
La statue de cire et résine réalisée en 2001, sobrement intitulée «Lui», était estimée de 10 à 15 millions de dollars.
De dos, on dirait la silhouette d'un enfant agenouillé, vêtu d'une veste de tweed. En contournant la statue, on découvre un visage au regard intense et à la petite moustache, immédiatement identifiable: celui d'Hitler. Son auteur, connu pour son sens de la provocation, avait raconté lui-même qu'il avait «voulu la détruire et avait mille fois changé d'avis». Le précédent record pour Cattelan aux enchères était de 7,9 millions de dollars, pour une oeuvre sans nom, le représentant sortant de terre, adjugée en mai 2010. Le prix obtenu dimanche (avec taxes) est plus du double de cet ancien record.
La statue d'Hitler, notamment été exposée lors d'une rétrospective Cattelan au musée Guggenheim à New York en 2012, était la pièce phare d'une soirée thématique intitulée «Bound to fail» («Voué à l'échec»), qui proposait 39 pièces d'art moderne et contemporain, explorant le thème de l'échec commercial, associé à la prise de risques pour repousser les frontières de l'art.
Une vente jugée «difficile»
C'était une vente «difficile», un défi, a reconnu après la vente Loic Gouzer, vice-président de la section «Après-guerre et art contemporain» de Christie's, qui avait monté ces enchères thématiques, au premier jour des enchères d'art de printemps à New York. Mais «cela s'est très bien passé», a-t-il ajouté, estimant que cela prouvait la force du marché de l'art. «Les artistes n'ont quasiment jamais approché le sujet d'Hitler», contrairement au cinéma, avait-il expliqué avant la vente. Selon lui, la statue, extrêmement puissante, extrêmement déconcertante», aurait été difficile à vendre il y a quelques années.
LE PARISIEN
MENL : Mouvement Europe Nations Liberté
Werner Faymann
Il a jeté également l'éponge de ses fonctions à la tête du parti social démocrate (SPÖ). C'est l'actuel vice-chancelier, le conservateur Reinhold Mitterlehner (ÖVP), qui assurera l'intérim à la tête du pays.
Plus de 35 % des suffrages : c'est le pourcentage de voix qu'a obtenu le 24 avril Norbert Hofer, le candidat du parti d'extrême droite FPÖ, soit environ 24% de plus que les sociaux-démocrates et que le parti conservateur (ÖVP). Les deux partis traditionnels qui se partagent le pouvoir depuis 1945 n'ont obtenu chacun que quelque 11% des bulletins. Une véritable humiliation. Tous deux sont hors course pour le second tour de la présidentielle qui se déroulera le 22 mai où Norbert Hofer (FPÖ), 45 ans, sera face à Alexander Van der Bellen, 72 ans, un indépendant soutenu par les écologistes.
Les sociaux-démocrates vont choisir un nouveau leader
Le SPÖ se réunit à partir de ce lundi après-midi pour désigner sous huit jours un nouveau président qui ait l'appui des militants sociaux-démocrates, ce qui n'est plus cas de Werner Faymann. Le candidat Norbert Hofer avait annoncé que s'il était élu président, il nommerait chancelier tout candidat proposé par la gauche. Le SPÖ entend ainsi prendre les devants. Il peut choisir un dirigeant qui refuserait toute compromission avec l'extrême-droite ou qui composerait avec elle.
Le président, élu pour un mandat de six ans, ne participe pas à la gestion au quotidien du pays mais il dispose de pouvoirs formels étendus, notamment celui, dans certaines circonstances, de nommer un nouveau chancelier et de dissoudre le parlement.
La question des réfugiés pèse dans la politique autrichienne. Après avoir dans un premier temps critiqué la politique anti-réfugiés du Premier ministre hongrois Viktor Orban, Werner Faymann a rétabli des contrôles aux frontières du pays. Il a fait construire le premier mur en barbelés de l'histoire de l'Espace Schengen entre son pays et la Slovénie. Vienne prévoit aussi une barrière de 4 mètres de haut au niveau du col du Brenner, nœud commercial et routier majeur avec l'Italie qui y est fermement opposée.
LE PARISIEN
Chers commentateurs du blog, j'ai été mise en retard par des blocages d'écran intempestifs et je ne pourrai lire et poster vos interventions que demain 9 mai dans l'après-midi. D'avance je vous remercie pour votre compréhension et vous prie de bien vouloir m'excuser.
Gaëlle MANN
C’est un projet de longue date qui se concrétise. À Hénin-Beaumont ville dirigée par un maire FN et fief de Marine Le Pen, la communauté musulmane locale n’est pas confrontée comme à Fréjus ou Mantes-la-Ville à l’islamophobie de leurs maires, prêts à tout pour les empêcher d’avoir des mosquées dignes de ce nom.
Steeve Briois a choisi l’apaisement, une ligne radicalement différente de celle de la présidente du parti d’extrême-droite qui appelle pourtant depuis janvier 2015 au « gel de construction de toute nouvelle mosquée ». Un avis que ne partage pas la municipalité frontiste qui a délivré le permis de construire pour la nouvelle mosquée Ennasr le 7 mars dernier.
UN MAIRE ISLAMOPHILE ?
Une nouvelle qui surprend mais pas tellement si l’on suit de très près les rapports entre la municipalité FN et les représentants musulmans héninois.
Dès le 9 janvier 2015 soit deux jours après les sanglants attentats de Charlie Hebdo, Steeve Briois et un de ses adjoints s’étaient rendus à la mosquée Ennasr pour rassurer ses administrés musulmans, les invitant à se joindre à un rassemblement organisé deux jours plus tard par la municipalité.
Une ligne que semble aussi suivre le maire FN du Pontet (Vaucluse) Joris Hebrard puisqu’en avril 2014, lui et une partie de son conseil municipal assistaient à la pose de la première pierre d’une mosquée de sa ville.
D&M
(Merci à Dirk)
vendredi 06 mai 2016
Interrogé sur la campagne britannique pour le référendum, Donald Trump a déclaré, sur Fox News :
« Je pense que les migrants ont été une chose horrible pour l’Europe. Beaucoup ont été poussés par l’UE. Je dirais que les Britanniques seraient mieux hors de l’UE, personnellement, mais je ne fais pas une recommandation, c’est juste mon sentiment. Je connais très bien la Grande-Bretagne, je connais très bien ce pays, j’ai beaucoup d’investissements là-bas. Je dirais qu’ils seraient mieux en dehors. Mais je veux que ce soit eux qui prennent leur propre décision. »
Ça aussi, c’est vraiment un ton nouveau…
Blog d'Yves DAOUDAL
L’ancien directeur de campagne de Marion Maréchal-Le Pen aux élections régionales a publié un message sur sa page Facebook pour réagir à un article de Var-Matin, estimant que les migrants sont « lâches » et « égoïstes ».
Frédéric Boccaletti ne partage pas l’analyse de Var-Matin, c’est le moins que l’on puisse dire. Pour réagir à un dossier sur la situation des migrants publié dans le quotidien régional mercredi, le secrétaire départemental du Front national a dit ce qu’il pensait des hommes qui arrivent en France depuis le début de la crise migratoire : « ces hommes, que beaucoup de médias présentent avec complaisance comme des victimes, voire des héros, sont animés d’un égoïsme exacerbé doublé d’une lâcheté honteuse », affirme-t-il. [...] – Valeurs Actuelles
Agrandir le texte avec le zoom
http://www.fdesouche.com/727689-les-grandes-envolees-lyriques-demmanuel-macron-sur-jeanne-darc
Macron acclamé et hué à Orléans
2 VIDEOS
Éric Zemmour analyse et dévoile le véritable fond politique de François Hollande : « Hollande c’est un mini-Mitterrand, mais il distribue un maximum ».
La chronique d’Éric Zemmour du 5 mai 2016 sur RTL.
Le musulman Sadiq Khan a bien été élu maire de Londres avec 57% des voix, ce qui est paraît-il un record historique.
Il a été « intronisé » ce matin au cours d’une cérémonie en la cathédrale anglicane de Southwark. Il est entré dans la cathédrale en compagnie de l’archiprêtre Andrew Nunn, et a été salué par une standing ovation. L’archiprêtre a déclaré que l’élection de Sadiq Khan apportait une « atmosphère de carnaval » à l’édifice religieux. Sic.
Il y avait là aussi bien sûr l’évêque anglican de Southwark Christopher Chessun, qui applaudissait, et d’autres prélats de la religion officielle britannique, venus en enthousiastes dhimmis saluer la nouvelle autorité islamique.
On peut constater que Sadiq Khan avait pris bien soin que sur les photos de sa signature on voie à sa droite une femme voilée. Dont je ne vois nulle part qui c’est (ce n’est pas sa femme). A sa gauche, la « baroness » Doreen Lawrence of Clarendon, une Jamaïcaine dont le seul titre de gloire est que son fils fut tué à Londres par des racistes.
L’élection de Sadiq Khan occulte logiquement les autres informations concernant les élections d’hier. On notera que l’Ukip continue de s’installer, remportant au conseil de Londres deux sièges (sur 25) et à l’Assemblée nationale du Pays de Galles 7 sièges (sur 60).
Blog d'Yves DAOUDAL
Le président de la Cour suprême de l’Alabama a été suspendu vendredi après la plainte d’un organisme de supervision judiciaire concernant ses efforts pour empêcher les mariages entre personnes de même sexe dans cet Etat du sud, ont rapporté des médias.
Roy Moore, 69 ans, pourrait devoir comparaître lors d’une audience devant un panel constitué notamment de juges et d’avocats. Il risque la destitution.
Selon les médias, la plainte de la Commission d’enquête judiciaire estime que le juge Moore a « fait preuve d’un mépris flagrant et abusé de son autorité » en essayant de bloquer les mariages homosexuels.
Le juge a rétorqué que la Commission n’avait aucune autorité en la matière, a affirmé qu’il allait combattre ces accusations et qu’il s’« attendait à l’emporter ».
Il a accusé l’entité de supervision d’écouter des « gens comme (la militante transgenre locale) Ambrosia Starling, qui se présente comme un travesti, et d’autres personnes homosexuelles et bisexuelles, ainsi que des organisations qui soutiennent leur cause ».
Le juge a essayé à maintes reprises d’empêcher le mariage gay en Alabama, même après le feu vert historique donné au niveau national par la Cour suprême des États-Unis en juin 2015.