Madame, Monsieur
Votre mobilisation a été exemplaire afin de permettre à TV Libertés ainsi qu'à nos partenaires de la Presse Quotidienne Régionale de Réinformation de se déployer autour de « l'affaire Black M » à Verdun.
Nous vous remercions pour vos dons et votre mobilisation . Grâce à vous, ce concert , véritable insulte à la mémoire de nos ancêtres tombés durant la Grande Guerre, est annulé.
Encore bravo et merci !
Philippe Milliau
Directeur de TV Libertés
Blog - Page 349
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Verdun sans Black M : concert annulé !
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La haine ant-française - Pau (64) : la statue de Jeanne d’Arc taguée (« Franchouillards de merde »)
20h51Il est vrai que l’affaire est passée plutôt inaperçue tant les tags ont été rapidement effacés par les services municipaux. Mais la statue de Jeanne d’Arc a bien été dégradée à Pau dans la nuit du 7 au 8 mai.
Côté face de la statue on pouvait lire l’inscription « Franchoullards de merde » (sic : le « i » a été oublié…). Et côté pile, une faucille et un marteau.
Voilà qui a irrité au plus haut point le secrétaire du Front national des Pyrénées-Atlantiques, Jean-Michel Iratchet. « Indigné », il dénonce des actes « de voyous », et parle de « profanation » du « symbole de nos racines chrétiennes et de la lutte pour notre souveraineté ».
Merci à Marduc
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Yannick Moreau : 500.000 travailleurs détachés en France : vive la concurrence déloyale !
Yannick Moreau, député de la Vendée, propose aujourd’hui un amendement Molière à la loi Travail, initié par le collectif d’élus locaux Franc Parler. Cet amendement vise à imposer aux travailleurs détachés de parler français. Explications.
BV
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27 avril 1937, la destruction de Guernica : une supercherie toujours enseignée
Dr Bernard Plouvier, auteur, essayiste ♦
Contrairement à ce que de nombreux historiens veulent nous faire croire, Adolf Hitler hésite beaucoup avant d’intervenir dans la guerre civile espagnole. Il n’aime guère les conservateurs espagnols (« Un parti de curés ») et n’aimera jamais le régime franquiste (« Un régime de profiteurs capitalistes, manœuvrés par la prêtraille »). C’est la même raison qui pousse Mussolini à refuser son aide le 21 juillet 1936, quatre jours après le début de l’insurrection des « nationalistes » menés par les généraux José Sanjurjo y Sacanell et Federico Franco y Bahamonde.
Pour s’opposer au risque d’implantation d’un régime marxiste en Europe occidentale, le Führer cède le 25 juillet, son entrée en lice entraînant celle du Duce (et non l’inverse comme l’écrivent encore certains historiens). Quarante avions allemands de transport (des Junkers 52) font passer les Espagnols de la Bandera (des fantassins de la Légion étrangère) du Maroc espagnol à Séville.
25 000 volontaires allemands, en congé de la Wehrmacht, serviront dans les rangs franquistes (mais il n’y aura jamais plus de 7000 Allemands à la fois sur le sol ibérique). Ils combattront aux côtés de 44 000 troupiers (dont un tiers de Maures) et phalangistes espagnols, 25 000 policiers « nationalistes », 20 000 volontaires portugais, enfin 80 000 volontaires italiens (jamais plus de 40 000 à la fois) et quelques centaines de volontaires internationaux.
Ces forces antimarxistes sont opposées à 46 000 soldats, 42 000 policiers « rouges », qui sont bien plus composés de radicaux anticatholiques et d’anarchistes que de marxistes espagnols, renforcés de 60 000 « combattants de la liberté », tous marxistes (25 000 d’entre eux proviennent d’URSS, le reste est issu des Partis communistes d’Europe et des Amériques et des célèbres « compagnons de route » des marxistes).
Adolf Hitler n’a expédié qu’un seul bataillon de chars légers (des Panzer I et II, très peu performants ; les Allemands utiliseront beaucoup de chars soviétiques capturés), quelques excellents canons à commande électrique (du type 88 – Flak) utilisés comme canons de DCA et comme antichars, ainsi qu’une centaine d’avions de combat.
Les Français expédient illégalement aux forces rouges plus d’une cinquantaine d’avions de combat (le ministre de l’Air Pierre Cot couvrant son chef de cabinet Jean Moulin) et Staline envoie un millier de chars et autant d’avions de combat… se faisant payer l’équivalent de 450 millions de $ en or, tandis que les nazis ne présenteront jamais de facture aux nationalistes.
Le 27 avril 1937, neuf Heinkel 111 jettent, de 2000 mètres d’altitude, 7,9 tonnes de bombes sur la cité basque de Guernica y Luno, vouée à l’industrie métallurgique, qui compte environ 5500 habitants. La charge totale de bombes des 9 appareils est inférieure à celle d’un seul bombardier britannique Lancaster (11 tonnes de bombes) ; elle équivaut à celle d’un B17 de l’Air Force Corps des USA (8 tonnes) de la Seconde Guerre mondiale.
S’il fallait en croire la presse communiste et sympathisante, ce raid aurait tué 1500 civils et en aurait blessé un millier, alors que les statistiques des bombardements durant les années 1939-1945 feront état, très logiquement, de deux à trois fois plus de blessés que de morts… soit un ratio tués / tonne de bombes 1000 fois supérieur à celui des bombardements de terreur des aviations britannique, canadienne et US au-dessus de l’Europe continentale quelques années plus tard, avec des avions nettement plus performants, touchant, on le reconnaît volontiers, des populations plus avisées et mieux protégées.
Ces curieuses statistiques ne pourraient que faire sourire, si l’on ne respectait la mémoire des victimes. En revanche, il est proprement scandaleux que de soi-disant universitaires utilisent encore, dans leur version politiquement correcte des faits, de telles inepties. Toute guerre est, pour paraphraser Shakespeare, « une histoire pleine de bruit et de fureur, racontée par un idiot », mais la guerre civile espagnole fut et demeure le triomphe de la désinformation de la part de ceux dont le métier est théoriquement d’approcher la vérité.
En réalité, le bombardement des Heinkel a tué 262 êtres humains, pour la majorité d’entre eux concentrés dans le même bâtiment, et n’a occasionné que de faibles dégâts, en revanche l’armée des « rouges », en retraite sur le front basque, a dynamité la cité quelques heures plus tard, permettant aux nombreux correspondants de presse de sensibilité marxiste de tirer des clichés dramatiques et de composer des articles emplis de lyrisme. Loin d’être une « ville ouverte », Guernica était une cité travaillant pour l’industrie de guerre du gouvernement « rouge » : on y recensait quatre fabriques de munitions.
La cible visée par les aviateurs allemands n’était pas la ville, même pas ses usines que les nationalistes espéraient prendre les jours suivants, mais un pont enjambant le Rio Oca, de façon à freiner la retraite des « rouges » vers Bilbao, pour en capturer un maximum. La notion de « bombardement de précision » sera introduite par la propagande de guerre US, en 1943, pour calmer l’émotivité des chrétiens aux USA, et ce sera, bien sûr, un ignoble mensonge.
À l’époque du bombardement de la ville basque, dans son atelier parisien, Pablo Picasso finissait de peindre, à sa façon géniale ou grotesque au gré du lecteur, une scène tauromachique. Il lui suffit de changer le titre de son œuvre pour que celle-ci devienne un symbole politique majeur du XXe siècle, puis les critiques d’art trouveront quantité d’interprétations symboliques, politiques et même psychanalytiques, à la présence d’un taureau dans cette composition.
Mystification et désinformation furent de tout temps les méthodes de travail des propagandistes, mais les marxistes du XXe siècle furent des maîtres… déjà surpassés par nos glorieux fumistes globalo-mondialistes.
Illustration : « Guernica » 1937. Trois exemplaires de cette tapisserie de 7 mètres de long et de 3,30 mètres de large sont tissés, dans l’atelier Cavalaire de Jacqueline et René DÜRRBACH de saint Rémy de Provence. Le premier (1955) se trouve dans la salle d’entrée du Conseil de Sécurité de l’ONU à New York, le second (1976) est conservé en France, au Musée Unterlinden de Colmar. Le dernier exemplaire, tissé en 1985, a été acquis par le Musée d’Art Moderne de Gunma au Japon en 1995.
METAMAG
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Trump ou la résurrection de l'homme blanc
http://www.ndf.fr/poing-de-vue/12-05-2016/trump-ou-la-resurrection-de-lhomme-blanc#.VzUUqO5f2M8
NdB: L'Homme Blanc est peut-être le meilleur et le pire, mais sans lui l'Humanité n'aurait pas d'Histoire
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UNESCO : Manuel Valls couche la France devant le lobby israélien (vidéo)
Lors des questions au gouvernement du 11 mai 2016 à l’Assemblée nationale, le député Meyer Habib a qualifié de « délire », de « falsification de l’histoire » et d’« entreprise négationniste » (pas moins !) la résolution de l’UNESCO sur Jérusalem et le patrimoine culturel palestinien, votée par la France le 14 avril dernier. Manuel Valls a donné raison à l’agent du lobby israélien à l’Assemblée en affirmant que « ce vote » aurait dû être « évité ».
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Gilbert Collard sur LCP - Etat d'urgence: le burn out de la police
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JOURNAL DU JEUDI 12 MAI 2016 : SOCIÉTÉ / VERDUN : LA RIPOSTE PATRIOTIQUE
La résistance s’organise ! Après l’annonce du concert du rappeur anti-français Black M à Verdun pour les commémorations du centenaire, de plus en plus de voix s’élèvent. Les propos injurieux à l’égard de la France, des homosexuels et des juifs contenus dans les “chansons” du rappeur provoquent l’incompréhension et surtout l’indignation. Les réseaux sociaux sont inondés des messages et de visuels de Français faisant part de leur mécontentement. Du coté de la mairie, on a mobilisé tous les employés pour répondre aux appels…
Du côté de l’armée française, c’est la consternation. Plusieurs généraux et officiers généraux devraient prendre position contre cet événement en forme de sacrilège. Nous avons joint le général Bertrand de Lapresle, vice-président de la Fondation des Gueules Cassées. Dans un premier temps, il a cru à un canular.
Une gêne qui est partagée par les politiques et même si peu d’élus Les Républicains se sont insurgés contre le concert si ce n’est les députés Hervé Mariton et Jean-Frédéric Poisson, la droite nationale s’est élevée pour la défense de nos morts. En 1ère ligne sur ce scandale de mémoire, le maire de Béziers. Robert Ménard est stupéfait par le choix de ce chanteur.
Sur l’échiquier politique, le Front National est le seul parti institutionnel a se mobiliser massivement contre cette initiative. La société civile se met également en ordre de marche. Notre confrère de Breizh Info, Yann Vallerie appelle à la résistance.
Cet appel a largement été relayé sur le web avec plus de 100 000 vues en moins de 24 heures. Des vidéos ou photos près des monuments aux morts de partout en France fleurissent un peu partout sur la toile. Si la pression se maintient jusqu’au 29 mai, date du concert, François Hollande et la mairie de Verdun pourraient bien être contraints d’annuler cet événement. Si vous aussi vous avez pris la pause ou enregistré une vidéo auprès du monument au mort de votre commune où si vous avez filmé une action de contestation, n’hésitez pas à nous les transmettre à l’adresse électronique verdun@tvlibertes.com
TVL
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Le patriarche Kirill de Moscou déclare la « guerre sainte » contre le terrorisme
Lors d’une célébration religieuse marquant la fête du saint patron de Moscou et de l’armée russe, saint Georges, le chef de l’Eglise orthodoxe russe a qualifié la lutte contre le terrorisme de « guerre sainte ». Le patriarche Kirill a chaleureusement soutenu l’intervention de son pays au Proche-Orient et en Syrie, assurant qu’elle n’avait aucune visée hostile mais se bornait à lutter contre un mal qui « menace toute l’humanité ». « Ce mal, nous l’appelons aujourd’hui terrorisme », a déclaré le patriarche.
Le patriarche Kirill de Moscou comme David Cameron
« Aujourd’hui, lorsque nos guerriers prennent part à des opérations de combat au Proche-Orient, nous savons qu’il ne s’agit ni d’une agression, ni d’une occupation, ni d’une tentative d’imposer quelque idéologie sur un autre peuple ; tout cela n’a rien à voir avec un quelconque soutien à certains gouvernements », a martelé le partriarche Kirill. C’est évacuer un peu vite le soutien inconditionnel de la Russie à Bachar el-Assad, les intérêts stratégiques qui conduisent la Russie à conserver à tout prix son « regard » sur la mer Méditerranée à Tartous, et sa volonté de tirer profit du conflit et de l’instabilité actuels au Proche-Orient.
Mais il est vrai que traditionnellement, l’Eglise orthodoxe de Russie a toujours été fidèlement alliée au pouvoir en place, fût-il communiste, et que le patriarche Kirill a lui-même coopéré avec le KGB.
Le plus intéressant est cependant cet appel à la « guerre sainte ». « Voici pourquoi la guerre contre le terrorisme aujourd’hui, est aujourd’hui la guerre sainte. Je prie Dieu que les peuples du monde entier le comprennent et cessent de diviser les terroristes en deux groupes, les bons et les méchants, en même temps qu’ils accrochent la guerre contre la terreur à leurs propres objectifs, souvent non avoués mais très présents dans leur programme politique », a déclaré le patriarche selon la source russe Russia Today.
« Guerre sainte » contre le terrorisme, un concept… effrayant
Parler de « guerre sainte », c’est au fond mettre en parallèle les combats d’hégémonie islamique au nom d’Allah et les guerres armées (et non spirituelles) des chrétiens, qui n’ont pourtant aucune commune mesure. C’est justifier toutes les ingérences et surtout, promouvoir le « choc des civilisations » qui possède ses propres objectifs non-dits, dont les intérêts russes ne sont évidemment pas absents, mais qui visent, au-delà, une sorte d’internationalisation du « bien ». Et en cela, on retrouve l’idée d’un messianisme temporel. Les chrétiens, par nature, n’imposent pas leur foi par les armes, mais prêchent l’appel à la conversion. Lorsqu’ils se battent dans des guerres justes, c’est pour défendre des intérêts légitimes et temporels, qui peuvent comprendre la volonté de créer des conditions propres à permettre la pratique du vrai culte au vrai Dieu.
En déplaçant le curseur de la guerre juste vers la guerre sainte, le patriarche Kirill fait doublement mouche, justifiant toutes les actions militaires de Poutine au nom d’un universel combat contre tous ceux qui seront désignés comme terroristes, et en appelant à la globalisation de ce combat. En février de cette année, un porte-parole de l’Eglise orthodoxe russe avait déjà appelé les leaders du monde entier à dépasser leurs différends politiques en s’unissant pour combattre le terrorisme international. Et le métropolite Hilarion, commentant la rencontre entre le pape François et le patriarche Kirill à La Havane, souhaitait lui aussi la fin de la multiplicité des coalitions antiterroristes afin qu’il n’y ait plus « qu’une seule alliance de ce type ».
Voilà qui, en profitant du chaos au Proche-Orient, permet de promouvoir une démarche mondialiste, une de plus.
Anne Dolhein
RT
NdB: C'est une démarche patriotique !
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L'Elysée doit renoncer à la programmation du rappeur "Black M" pour le concert commémoratif de Verdun !
Communiqués / 11 mai 2016 / / Rediffusion
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Commémorations du centenaire de la bataille de Verdun : réaction de Gilles Pennelle
VIDEO
A voir absolument!
Remarquable allocution de Gilles Pennelle
(Capture d'écran)
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VIDEO - Manif anti-migrants à Calais : 500 euros requis contre le général Piquemal
VIDEO. Général Piquemal se désolidarise de Pegida, «un groupe d'extrême droite presque pro-nazi»
| MAJ :
Cinquante jours-amende à dix euros ont été requis jeudi à Boulogne-sur-mer à l'encontre du général en retraite Christian Piquemal, jugé pour avoir participé à une manifestation hostile aux migrants organisée par l'extrême droite à Calais le 6 février malgré l'interdiction des autorités. Le jugement a été mis en délibéré au 26 mai.
Agé de 75 ans, l'ancien grand patron de la Légion étrangère de 1994 à 1999 était notamment poursuivi pour «organisation d'une manifestation interdite sur la voie publique». Le ministère public s'est dit «certain» que le général a été «l'organisateur de cette manifestation», invoquant pour preuve une vidéo diffusée lors de l'audience où on entend des manifestants crier «Général ! Général ! », faisant de l'homme de 75 ans un leader, selon le parquet. Pour le procureur Jean-Pierre Valensi, Christian Piquemal a pris «la tête de la manifestation» et sa prise de parole avec un mégaphone lors du rassemblement est «la concrétisation de ce rôle d'organisateur».
«Ce n'est pas l'organisateur de droit, mais l'organisateur de fait. C'est un moyen bien connu des réseaux d'extrême droite : certaines personnes organisent la manifestation de droit en déposant une demande en préfecture, mais qui ne participent pas au rassemblement, et d'autres sont organisateurs de fait», a affirmé le procureur. «Je suis formel, j'ai participé à la manifestation, mais je n'étais pas l'organisateur. Je suis arrivé à Calais la veille avec l'objectif de me rendre compte de la situation sur place», s'est défendu Christian Piquemal.
Le général était également poursuivi pour «participation sans arme à un attroupement qui ne s'est pas dissout après sommations de se disperser». Mais il a répété à l'audience qu'il n'avait «pas entendu les deux premières sommations» et qu'il avait «cessé de manifester lors de la troisième». Cet argument est «un classique» des manifestants, a répondu Jean-Pierre Valensi.
Dans ses réquisitions, le procureur a cependant retenu «l'absence de débordements» lors de cette manifestation à l'appel du mouvement islamophobe Pegida et «le passé glorieux» du général. Chrisian Piquemal a également assuré qu'il «regrett(ait) les faits tels qu'ils (s'étaient) produits» car «ils n'ont pas apporté grand chose».
Mais, «sur le fond, j'avais le droit de m'intéresser aux problèmes de Calais et d'exprimer mes idées, la liberté d'expression est un droit constitutionnel», a-t-il dit à la barre, dans son costume bleu marine et dans une salle comble. Devant le tribunal, une dizaine de personnes se sont rassemblées dans le calme pour apporter leur soutien à l'ancien militaire, dont David van Hemelryck, le meneur du collectif «Hollande démission».LE PARISIENNdB: tout de même il s'est déballonné et accuse PEGIDA... Lamentable. -
Le toit du musée européen de Schengen s'effondre, tout un symbole ?
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Bruno Gollnisch ne sera finalement pas exclu du bureau politique du FN
Marine Le Pen et Bruno Gollnisch enterrent finalement la hache de guerre. Le bureau politique du Front national avait demandé le lundi 2 mai dernier à Bruno Gollnisch et Marie-Christine Arnautu, deux hauts cadres historiques du parti, de quitter leurs fonctions dirigeantes après leur apparition à l’hommage à Jeanne d’Arc de Jean-Marie Le Pen. La direction leur reprochait d’avoir bravé l’interdiction de figurer aux côtés du cofondateur exclu du FN durant la manifestation.
Finalement, il n’en sera rien. Marine Le Pen a décidé de faire table rase du passé en trouvant une « solution à l’amiable avec Bruno Gollnisch, selon les informations de RTL. Il ne sera pas exclu du Bureau politique. Tous deux se sont rencontrés ce mercredi 11 mai, à la mi-journée, au Parlement européen de Strasbourg ».
Bruno Gollnisch reste relativement populaire parmi les militants. A l’élection au comité central fin 2014, sorte de baromètre interne, Bruno Gollnisch était arrivé 5e, incarnant les traditions du parti fondé par Jean-Marie Le Pen.
BV
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Toulouse : Victime d’un viol, une jeune femme coupe la langue de son agresseur avec ses dents
18h02Un homme a été mis en examen mardi à Toulouse (Haute-Garonne) après avoir agressé une jeune femme d’à peine 19 ans, révèle «La Dépêche du Midi».
Il est soupçonné d’avoir suivi la jeune femme jusque dans l’ascenseur de sa résidence d’un quartier de l’est de la ville et de s’être jeté sur elle, arrachant violemment son chemisier.
La victime résiste tandis que l’homme la viole. Une source judiciaire confirme à Côté Toulouse qu’il y a eu «pénétration et donc viol». «Quand il a tenté d’embrasser sa proie, la jeune femme s’est laissé faire, comme si elle se montrait enfin soumise avant de réagir, violemment», explique «La Dépêche». La victime mord vivement la langue de son agresseur, à tel point qu’elle la coupe en deux.
(…)
Merci à bleu marine
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Marine Le Pen sur le diktat migratoire exercé par Erdogan sur l'UE
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"Hillary parle aux Noirs comme si nous étions des animaux"
La chanteuse Azealia Banks soutient Donald Trump pour la présidentielle
- Publié le : mercredi 11 mai 2016
- Mots-clés : Antiracisme; Communautés; Culture; États-Unis; International; Politique
- Commentaires : 27
- Nombre de vues : 21 291
- Source : hollywoodreporter.com
- E&R
La chanteuse Azealia Banks a défendu son soutien au « trouduc » du Parti républicain et déclaré à propos d’Hillary Clinton : « Elle parle aux Noirs comme si nous étions des gosses ou des animaux ».
Donald Trump peut compter sur un nouveau soutien hollywoodien pour venir garnir sa déjà longue liste de supporters. Dimanche après-midi, la chanteuse Azealia Banks a exprimé son soutien au candidat républicain dans une série de tweets, débutant son propos par : « Je veux VRAIMENT que Donald Trump gagne l’élection ».
Elle a également rappelé à ses followers que ses prédictions au sujet des présidentielles s’étaient vérifiées : « Je vous avais dit les gars que Bernie Sanders ne faisait pas le poids. Je vous avais dit que ce ne serait pas lui le candidat ». Dans son chapelet de tweets, Banks a défendu Trump et ses avis tranchés. « Trump est un trouduc mais il n’est pas aseptisé ni piloté par je-ne-sais quelle magouille du genre MK Ultra pour faire et dire ce que l’establishment attend de lui » et, poursuivant, « Trump veut juste que les États-Unis soient prodigues…. Pour nous tous. Ça, ça me branche ».
Lorsqu’un fan lui rétorqua que : « Trump est tout de même ouvertement raciste », elle a maintenu son point de vue en admettant être raciste elle-même. « Je le suis aussi !.... lol. Le racisme/le racialisme est cousu dans l’étoffe de notre nation. C’est juste notre putain d’identité », déclara-t-elle avant d’ajouter, « Essayer d’être politiquement correct en prétendant ne pas être raciste ou racialiste n’est pas bon pour la culture. La censure c’est chiant et la censure c’est de la merde. La télé et le cinéma sont devenus chiants à cause de ça. Plus personne ne peut dire quoi que ce soit désormais ».
Mais alors pourquoi la chanteuse n’appelle-t-elle pas à voter Hillary Clinton ? « Hillary a été COOPTÉE pour la présidentielle. Elle est juste un pantin de l’establishment qui est là pour mettre en œuvre leur projet » twitta-t-elle. « Hillary parle aux noirs comme si nous étions des gosses ou des animaux. Je ne peux pas la supporter ».
Banks a également posté que : « Le simple fait d’être américain et de souscrire au rêve américain fait que nous sommes tous profondément racistes/racialistes ».
Traduction E&R -
Jean-Marie Le Pen et Jesse Jackson sont sur un bateau
Les médias et Taubira tombent à l’eau !
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VIDEO - Anne Hidalgo insulte Donald Trump et ridiculise la France
"You know, i’m atheist. Mister Trump is so stupid. My god !"
- Publié le : mercredi 11 mai 2016
- Mots-clés : États-Unis; France; International; Politique; Royaume-Uni
- Commentaires : 59
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- Source : lelab.europe1.fr
- E&R
Anne Hidalgo était, mardi 10 mai, à Londres, pour rencontrer son homologue britannique : le nouveau maire Sadiq Khan.
La socialiste française n’a pas tari d’éloge à propos du travailliste, faisant de celui qu’elle a présenté comme « le premier musulman élu à la tête d’une grande ville européenne » mais aussi « un progressiste, un humaniste et un démocrate » un modèle à suivre, « un exemple pour nous ». Des compliments qui ont trouvé un certain écho, Sadiq Khan saluant lui aussi le parcours d’Anne Hidalgo.
Plutôt raccords, les deux maires ont en plus un ennemi commun : Donald Trump. Les caméras de La Nouvelle Édition de Canal+ ont capté ces commentaires distillés, face caméra, par Anne Hidalgo et Sadiq Khan. Le Britannique a attaqué le candidat à l’investiture du Parti républicain pour la présidentielle aux États-Unis, critiquant sa vision manichéenne du monde en général, des musulmans en particulier.
[...]
La maire de Paris n’a pas été en reste. Face caméra – et en anglais – Anne Hidalgo a carrément insulté Donald Trump. Elle a dit : « Mister Trump is so stupid. My God ! My God ! »
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Michel Sardou chante "Verdun"
"Finalement la terreur, ce n’est qu’un vieux qui passe"
- Publié le : mercredi 11 mai 2016
- Mots-clés : Culture; France; Histoire; Mai 68; Nationalisme; People; Première Guerre mondiale; Tradition
- Commentaires : Aucun
- Nombre de vues : 277
- E&R
Olympia, 1995. Michel Sardou, qui hérissait le poil des gauchistes de Mai 68, rendait hommage aux Poilus dans cette chanson peu connue.