« La forêt, c'est encore un peu du paradis perdu. Dieu n'a pas voulu que le premier jardin fût effacé par le premier péché. »
Marcel Aymé
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Ecrit le 6 avr 2014 à 4:13 par François Falcon dans Poing de vue
D’habitude, on ressent de l’amertume à voir son pays s’enfoncer sans espoir apparent de retour, à voir un territoire défendu jadis au prix de millions de morts désormais ouvert aux vents les plus mauvais, à voir la richesse d’une civilisation séculaire dilapidée en quelques années, à voir des valeurs millénaires foulées aux pieds par des pédants superficiels… mais il vient toujours un temps où cette plongée dans la déchéance devient jouissive. Pour certains, c’est la jouissance du porc dans sa soue mais pour tous les autres, c’est la joie profonde de celui qui sait que ce sont là les signes annonciateurs du renouveau, l’arc-en-ciel qui résulte de la rencontre de la pluie finissante et du soleil renaissant, le drapeau LGBT qui ne flotte plus que grâce au souffle de la Manif pour Tous.
Alors, n’hésitons plus, délectons-nous de cette valse des ministres, de ce théâtre de guignols, de cette farce hallucinante. Rions de ces journalistes aux perruques courtisanes, de ces perroquets insipides et répétitifs, de ces courtisanes devenus maires. Écoutons ravis les chants sinistres de la corneille de la place Vendôme, du cygne de Matignon et du canard boiteux de l’Élysée. Applaudissons aux crachats pyrotechniques des associations anti-je-ne-sais-quoi pour ne pas dire antidémocratiques ; courbons-nous devant les pachas de Bruxelles, les imperators de Washington et les torquemadas de la Nouvelle Bien-Pensance. Acclamons les Grandes prêtresses adoratrices des veaux d’or : fausse liberté, fausse égalité, fausse fraternité, vraie servitude.
Oui, tout cela est enthousiasmant : ouvrez grand vos narines et enivrez-vous de ce parfum de fin de règne : il y a là un peu de l’odeur de 1958 avec tous ces clowns pathétiques sur le perron de Matignon, un peu du soufre de 1789 dans cette colère sourde et dévastatrice jaillissant des tréfonds de la nation, un peu de la myrrhe de 476 dans cet effondrement créateur. Courrez-donc aux balcons pour assister médusés à la chute de l’oligarchie, au relèvement du peuple de France, à la modeste résurrection de l’humanité.
NOUVELLES DE FRANCE
Le bobo des villes s’enorgueillit de ne pas voter pour le FN et de vivre dans une ville cosmopolite.
La montée du FN confirmée par les élections municipales est la conséquence d’une crise économique et d’une crise identitaire. Si beaucoup préfèrent y voir la seule conséquence de la crise économique, l’immigration massive, l’insécurité et la perte de contrôle de nos frontières sont des facteurs importants des scores du FN. Cette réalité est illustrée par l’électorat du nord de la France, électorat de « gauche » à fibre sociale, qui choisit de voter pour le FN plutôt que pour le Front de gauche.
Un raccourci idéologique voudrait que l’électeur FN vive souvent dans des lieux où l’immigration est très faible et vote par peur de ce qu’il ne connaît pas. Ces élections prouvent à nouveau le contraire avec les régions du Sud à fort taux d’immigration votant massivement FN. Et si, dans certaines régions périurbaines où l’immigration est faible, le FN fait toujours de bons scores, c’est en réalité parce que ces habitants ont fui les villes et les banlieues autant par contraintes économiques et foncières que par choix culturel (pour fuir une immigration massive dans les derniers quartiers populaires).
Le bobo des villes s’enorgueillit de ne pas voter pour le FN et de vivre dans une ville cosmopolite. Croisant ses concitoyens d’origine étrangère dans le métro, il pense vivre avec eux mais le soir, il rejoint ses semblables dans son quartier. Chacun vit à côté des autres avec sa propre culture. La mixité n’existe quasiment pas dans les tribunes d’un concert de rock, de rap ou d’un match de rugby. Le vivre ensemble, l’inclusion sociale, le faire France n’existent pas sauf dans la bouche d’une élite coupée du peuple, une élite protégée des conséquences négatives de la mondialisation qui se permet en outre de distribuer elle-même des brevets de civisme. Dans ces villes boboïsées, on se vante de respecter son voisin et sa différence de mode de vie. Mais cette tolérance revendiquée n’est en réalité qu’indifférence individualiste.
À une fracture sociale s’est ajoutée une fracture identitaire. Au sein d’une même classe sociale, les gens se séparent en raison de leurs origines. Si la France ne retrouve pas le contrôle de ses frontières, des frontières moins visibles mais réelles se multiplieront : celles qui empêchent déjà d’entrer dans des cités dites « zones de non-droit », celles qu’élèvent les classes aisées en se regroupant dans des quartiers éloignés de tout problème d’insécurité ou d’immigration. À ce petit jeu, les classes populaires sont toujours perdantes. Il est urgent de stopper l’immigration massive et de privilégier la culture française avant que le semblant de vivre ensemble qui reste ne se transforme en une société multiculturelle du « vivre à côté ».
Edouard de PRARON
BOULEVARD VOLTAIRE
À propos du Parlement anglais, notamment pour expliquer sa souveraineté par rapport à la Couronne, on avait coutume de dire qu’il pouvait tout faire, sauf changer un homme en femme. Ceci demeure en partie vrai, sauf à considérer qu’en ayant autorisé, par une loi du 17 juillet 2013, le « mariage » des pairs du royaume, les chambres basse (Westminster) et haute (House of Lords) ont repoussé un peu plus les frontières de leur liberté législative. Mais force est de reconnaître la prolifique inventivité de la perfide Albion et de ses sœurs du Commonwealth qui, après la Grande Charte de 1215, l’anglicanisme et le rosbif à la gelée de groseilles, offrent au monde entier un… troisième sexe !
C’est ainsi que, très sérieusement, la Haute Cour d’Australie (équivalent de la Cour suprême aux États-Unis) a reconnu « qu’une personne peut être ni de sexe masculin ni de sexe féminin et autorise donc l’enregistrement d’une personne comme étant d’un genre non spécifique ». En l’occurrence, l’affaire concernait une personne née de genre masculin qui avait subi une intervention chirurgicale pour changer de sexe en 1989. Celle-ci ayant échoué, le registre d’état civil de Nouvelle-Galles du Sud (l’État de Sydney) avait accepté de l’enregistrer sous la catégorie « genre non spécifique », jusqu’à ce que l’administration retire sa décision.
L’honnêteté commande, tout de même, de reconnaître que les législateurs népalais et allemands avaient précédé le juge australien. Ainsi, en Allemagne, une loi du 1er novembre 2013 permet-elle désormais d’inscrire un enfant à l’état civil sans que soit mentionné son sexe biologique. Au Népal, la loi est intervenue fin janvier 2013. Toutefois, comme aurait dit Pascal en inversant la formule, « vérité au-delà des Pyrénées, erreur en deçà ». Le Népal, comme l’Inde voisine, ont une conception différente des Occidentaux en matière d’identité sexuelle. L’intersexualité, bien que n’étant pas la norme sociale majoritaire est, en effet, une réalité anthropologique impliquant l’appartenance à une caste particulière comme celle des « Hijras » en Inde.
Vérité ethnologique inexistante dans les sociétés blanches occidentales et européennes qui ont entamé la longue marche de leur inexorable déclin. L’esprit public européen, frappé d’anomie durkheimienne, est corrélativement consumé par un désir hédoniste illimité et irrépressible. La quête folle et effrénée de l’individu-roi cherchant à imposer sa souveraineté à la nature est fort ancienne. Marcel Gauchet, à la suite de Louis Dumont, parlait d’une « genèse métaphysique de l’individu » remontant aux sociétés chrétiennes médiévales et dont l’épiphanie s’est accomplie, de manière éclatante, dans son « hypercontemporanéité », au XXe siècle.
Cette reconnaissance de ce que l’on appelle abusivement « un troisième sexe », en référence au second, existentialisé par Simone de Beauvoir, est un non-sens, car il n’y aura jamais que deux sexes. Comme l’observe Sylviane Agacinski, citée par Alain de Benoist (Les Démons du bien, p. 116), « la diversité des orientations sexuelles ne supprime pas la dualité des sexes : elle la confirme au contraire ».
Aristide LEUCATE
BOULEVARD VOLTAIRE
Nostalgie. L'Union soviétique a disparu en 1991, mais le président russe est bien décidé à la faire revivre. Pas seulement en annexant la Crimée, mais en agitant les symboles et en restaurant le GTO, l'éducation physique à caractère militaire.
Emmanuel Grynszpan | Publié le 05.04.2014, 09h16
Le Parisien 05 04 14
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6 avril 2014
1333 : une déclaration générale interdit formellement aux juges d’autoriser le combat judiciaire (« jugement de Dieu »). Cependant, en 1386, le parlement de Paris ordonne un duel entre deux seigneurs. Ce fut le dernier.
1652 : Jan van Riebeeck accoste au Cap de Bonne Espérance, alors vide de toute population, pour y fonder une colonie, qui deviendra la République Sud-africaine. Ce n’est qu’en 1770 que les Bœrs rencontrèrent pour la première fois des Noirs, les Bantous.
1992 : l’Union européenne reconnait la création (totalement artificielle) par les États-Unis, du premier État musulman en Europe : la Bosnie.
Contre-info.com
Pascal Lamy, ex-directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et proche du président François Hollande, a plaidé mercredi pour plus de « flexibilité » sur le marché du travail, avec notamment des « petits boulots » payés en dessous du Smic.
« Je sais que je ne suis pas en harmonie avec une bonne partie de mes camarades socialistes mais je pense qu’il faut, à ce niveau de chômage, aller davantage vers de la flexibilité et vers des boulots qui ne sont pas forcément payés au Smic », a-t-il déclaré lors de « Questions d’Info » LCP/France Info/Le Monde/AFP.
Contre-info.com
Robert Ménard, le 23 mars 2014, à Béziers. (archives)
Nouvelle épisode dans la polémique autour des "cantines halal". Marine Le Pen a remis de l'huile sur le feu, vendredi 4 avril, en affirmant que les mairies frontistes rétabliront des menus avec porc s'ils ont été supprimés dans les cantines. "Nous n'accepterons aucune exigence religieuse dans les menus des écoles", a-t-elle déclaré au micro de RTL.
Interrogé à ce sujet, Robert Ménard, nouveau maire de Béziers, a annoncé ce 5 avril qu'il ferait de même : "Il faut donner toujours aux gens le choix d'éviter de manger un certain nombre d'aliments qu'ils ne veulent ou ne peuvent pas manger en raison de leurs convictions religieuses. Ceci dit à Béziers, comme dans bon nombre de villes qui se disent laïques comme nous, il n'y aura pas de repas halal dans les cantines municipales".
Ici, le patron c'est moi et seulement moi Robert Ménard
Il insiste toutefois : cela relève de sa décision et non d'une pression de la part du Front national, qui l'a soutenu lors de sa campagne mais dont il n'est pas membre officiel. "Nous ne sommes pas une municipalité Front national. (...) Ici, le patron c'est moi et seulement moi. Je ne reçois d'ordre de personne. (...) Je fais ce que je veux", a-t-il répété.
Il revient à chaque mairie de décider des menus proposés dans les cantines scolaires. Mais aucune donnée officielle ne permet de connaître le nombre d'écoles qui proposent de la viande halal, ni même s'il en existe.
BOULEVARD VOLTAIRE
Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.
À chaque élection, les hommes de gauche prétendent rassembler les « forces de progrès ». Mais un cancer peut, lui aussi, progresser ! Le progrès serait-il une fin en soi ?
Les malheureux ne savent même plus de quoi ils parlent ! Historiquement, l’idée de progrès se formule autour de 1680, avant de se préciser au siècle suivant chez des hommes comme Turgot ou Condorcet. Le progrès se définit alors comme un processus accumulant des étapes, dont la plus récente est toujours jugée préférable et meilleure, c’est-à-dire qualitativement supérieure à celle qui l’a précédée. Cette définition comprend un élément descriptif (un changement intervient dans une direction donnée) et un élément axiologique (cette progression est interprétée comme une amélioration). Il s’agit donc d’un changement orienté, et orienté vers le mieux, à la fois nécessaire (on n’arrête pas le progrès) et irréversible (il n’y a pas de retour en arrière possible). L’amélioration étant inéluctable, il s’en déduit que demain sera toujours meilleur.
Pour les hommes des Lumières, étant donné que l’homme agira à l’avenir de façon toujours plus « éclairée », la raison se perfectionnera et l’humanité deviendra elle-même moralement meilleure. Le progrès, loin de n’affecter que le cadre extérieur de l’existence, transformera donc l’homme lui-même. C’est ce que Condorcet exprime en ces termes : « La masse totale du genre humain marche toujours à une perfection plus grande. »
La mythologie du progrès repose ainsi sur l’idolâtrie du nouveau, puisque toute nouveauté est a priori jugée meilleure du seul fait qu’elle est nouvelle. La conséquence en est le discrédit du passé, qui ne peut plus être regardé comme porteur d’exemples ou de leçons. La comparaison du présent et du passé, toujours à l’avantage du premier, permet du même coup de dévoiler le mouvement de l’avenir. La tradition étant perçue comme faisant, par nature, obstacle au progrès, l’humanité doit s’affranchir de tout ce qui pourrait l’entraver : s’arracher aux « préjugés », aux « superstitions », au « poids du passé ». C’est déjà tout le programme de Vincent Peillon ! À l’hétéronomie par le passé, on substitue en fait une hétéronomie par l’avenir : c’est désormais le futur radieux qui est censé justifier la vie des hommes.
En ce sens, la « réaction » peut faire figure de sain réflexe, mais ne raisonner qu’en « contre », n’est-ce pas abandonner toute pensée autonome ?
La « réaction » est saine quand elle nourrit l’esprit critique, plus discutable quand elle se borne à dire que « c’était mieux avant ». La critique de l’idée de progrès, qui à l’époque moderne commence chez Rousseau, représente souvent le double négatif – le reflet spéculaire – de la théorie du progrès. L’idée d’un mouvement nécessaire de l’histoire est conservée, mais dans une perspective inversée : l’histoire est interprétée, non comme progression perpétuelle, mais comme régression généralisée. La notion de décadence ou de déclin apparaît en fait tout aussi peu objectivable que celle de progrès. En outre, comme vous le dites, se borner à raisonner en « contre », c’est encore rester dépendant de ce à quoi on s’oppose. C’est en ce sens que Walter Benjamin pouvait dire que « l’antifascisme fait partie du fascisme »…
« Progrès » et « réaction » ne procèdent-ils pas finalement tous deux d’une vision linéaire de l’histoire, laquelle pourrait tout aussi bien fonctionner par cycles ?
Chez les Grecs, seule l’éternité du cosmos est réelle. L’histoire est faite de cycles qui se succèdent à la façon des générations et des saisons. S’il y a montée et descente, progrès et déclin, c’est à l’intérieur d’un cycle auquel en succédera un autre (théorie de la succession des âges chez Hésiode, du retour de l’âge d’or chez Virgile). Dans la Bible, au contraire, l’histoire est purement linéaire, vectorielle. Elle a un début absolu et une fin nécessaire. L’histoire devient alors une dynamique de progrès qui vise, dans une perspective messianique, à l’avènement d’un monde meilleur. La temporalité est, en outre, orientée vers le futur, de la Création au Jugement dernier. La théorie du progrès sécularise cette conception linéaire de l’histoire, d’où découlent tous les historicismes modernes. La différence majeure est que l’au-delà est rabattu sur l’avenir, et que le bonheur remplace le salut.
Mais les gens croient-ils encore au progrès ?
L’excellent Baudoin de Bodinat remarque que, « pour juger du progrès, il ne suffit pas de connaître ce qu’il nous apporte, il faut encore tenir compte de ce dont il nous prive ». Le fait est que bien des progrès dans un domaine se doublent d’une perte, d’un manque, voire d’une régression dans un autre. Les totalitarismes du XXe siècle et les deux guerres mondiales ont, de toute évidence, sapé l’optimisme des Lumières. On ne croit plus guère au « sens de l’histoire » ni que le progrès matériel rende l’homme automatiquement meilleur. L’avenir lui-même inspire plus d’inquiétudes que d’espoirs, et l’aggravation de la crise paraît plus probable que les « lendemains qui chantent ». Il n’est jusqu’à la technoscience dont l’ambiguïté se révèle un peu plus chaque jour, comme le montrent les débats sur la « bio-éthique ». Bref, comme le disait l’écrivain italien Claudio Magris : « Le progrès n’est pas un orgasme ! »
Pour être juste, il faut cependant reconnaître qu’au travers des progrès de la technologie et de l’idéologie du « développement », la notion de progrès reste quand même présente dans une société qui, parce qu’elle croit encore que « plus » est toujours synonyme de « mieux », recherche ou accepte la suraccumulation infinie du capital et l’extension perpétuelle de la marchandise.
BOULEVARD VOLTAIRE
Par Margaïd Quioc de LCM | publié le 4/04/2014 à 14h27
Première passe d'arme de la nouvelle mandature au Conseil municipal de Marseille. L'élu Front de gauche Jean-Marc Coppola s'inquiète de la présence en nombre du Front National dans l'hémicycle. Le parti a obtenu 21 sièges contre seulement 16 pour le PS. Stéphane Ravier lui répond : "Je n'ai pas de leçon à recevoir des enfants de Staline".
Médias du Sud
NdB: Stéphane Ravier a été élu maire du 7e secteur de Marseille, qui représente deux arrondissements et 150 000 habitants.
4 avril 2014
Dans un pays largement livré à l’anarchie depuis la destruction du pouvoir blanc qui était parvenu à maintenir l’ordre moral et public, le nombre de sidaïques, au rythme des viols, des comportements sexuels débridés, ne cesse d’augmenter. Un Sud-Africain sur 8 est désormais séropositif (12,2 % de la population), un chiffre en nette augmentation en 4 ans : +2 % (10,2 % en 2008).
Les statistiques ethniques, qui n’ont pas encore été interdites, donnent un aperçu de la situation : 15 % des Noirs sont touchés, contre 3,1 % des métis et moins de 1 % des Blancs.
Le gouvernement vient d’annoncer un vaste programme pour lutter contre ce fléau : la distribution gratuite aux jeunes du pays de préservatifs colorés et parfumés.
« C’est une question d’emballage, de présentation, mais aussi la couleur et le parfum du préservatif lui-même, il faut que cela devienne cool » a précisé le porte-parole du ministère de la Santé.
Contre-info.com
Communiqué de Karim Ouchikh, conseiller de Marine Le Pen à la Culture, à la Francophonie et à la Liberté d’expression Président exécutif du SIEL
Faisant écho à la proposition d’Esther Benbassa, sénatrice écologiste du Val-de-Marne, qui réclamait en février dernier la mise en place d’un groupe de travail sur la liberté d’expression sur Internet, le député socialiste Malek Boutih a souhaité, le 12 juin à l’Assemblée nationale, que les pouvoirs publics prennent « le contrôle sur Internet », en confiant cette surveillance au CSA : pour l’ancien président de SOS Racisme « contrôler les tuyaux, c’est contrôler les contenus » !
Déjà, dans son rapport sur la politique culturelle à l’ère des contenus numériques, remis le 13 mai dernier au Président de la République, Pierre Lescure avait préconisé la dévolution au CSA de missions de régulation nouvelles touchant aux vidéos distribuées via internet et la création d’une taxe sur les plateformes vidéos. Dans une tribune publiée le 13 juin par le Huffington Post, Esther Benbassa récidivait en n’hésitant pas à voir dans la mort de Clément Méric la marque des réseaux sociaux….Répétées à l’envi, ces déclarations troublantes constituent autant de signes avant-coureurs, annonciateurs sans doute d’une loi inédite qui viserait à domestiquer la liberté d’expression en ligne. En procédant à la refonte substantielle de la loi sur la liberté de la presse de 1881, pour l’adapter aux nouvelles technologies, il s’agirait ni plus ni moins pour nos e-censeurs que de faciliter la répression des propos diffusés sur les réseaux sociaux.
Considérant que l’état du droit français est largement opérationnel pour réprimer les éventuels dérapages qui se produisent sur le net, Marine Le Pen et le Rassemblement Bleu Marine mettent solennellement en garde le gouvernement Hollande contre la tentation liberticide qui l’anime manifestement en voulant ainsi mettre au pas les libertés numériques. Echappant aux pesanteurs de la pensée dominante et du politiquement correct, Internet demeure en France le dernier espace de liberté d’expression : son intégrité est devenue aujourd’hui à ce point irremplaçable que nos compatriotes ne toléreront jamais qu’il y soit porté atteinte aussi peu que ce soit.
NPI
Selon de nouvelles analyses ADN effectuées pour un documentaire bientôt diffusé outre-Manche, Eva Braun aurait eu des origines juives ashkénazes.
Eva Braun, l'épouse d'Adolf Hitler, aurait eu des origines juives, selon de nouvelles analyses ADN effectuées pour un documentaire qui sera diffusé mercredi prochain par la chaîne britannique Channel 4. Cette thèse s'appuie sur l'analyse de cheveux provenant d'une brosse retrouvée au Berghof, la résidence de Hitler en Bavière où Eva Braun a passé l'essentiel de son temps pendant la Seconde Guerre mondiale.
Sur ces cheveux, les chercheurs ont trouvé une séquence spécifique d'ADN "fortement associée" aux juifs ashkénazes, qui représentent environ 80 % de la population juive. En Allemagne, beaucoup de juifs ashkénazes se sont convertis au catholicisme au 19e siècle.
"C'est une découverte troublante"
"C'est une découverte troublante. Je n'aurais jamais pu rêver trouver un résultat potentiellement aussi extraordinaire", a commenté Mark Evans, le présentateur de The Dead Famous DNA sur Channel 4. Selon les réalisateurs du documentaire, tout indique que les cheveux analysés proviennent bien d'Eva Braun. Mais le seul moyen de le prouver formellement serait de les comparer à l'ADN de ses deux descendantes vivantes. Or celles-ci ont refusé de se soumettre au test.
Eva Braun a été la maîtresse pendant de longues années de Hitler avant que le couple ne se marie le 29 avril 1945, la veille de leur suicide commun dans le bunker du Führer à Berlin.
Yahoo!Actu 05 04 14
Qu'on analyse le peigne de Staline!