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Blog - Page 798

  • Art dégénéré : des homosexuels souillent l’image de la reine Marie-Antoinette avec une prostituée

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    Le Mobilier national, établissement public dépendant du ministère de la Culture, a embauché, avec l’argent du contribuable, deux déviants sexuels notoires, connus pour leurs « œuvres » marquées par le mauvais goût et la laideur. Le portrait de la prostituée algérienne (Zahia Dehar) – qui comporte dans le décor des rats et un étron humain, et est éclairé par une boule à facette – a été placé dans un salon de la Galerie des Gobelins (Paris), au milieu d’œuvres classiques et d’époque, dans une exposition intitulée « les Gobelins au Siècle des Lumières ».

    Au total, 35 000 euros ont été dépensés pour insulter l’histoire de France, un prix équivalant à trois manufactures de tissage pour une institution dont le budget a été sévèrement réduit par l’État ces dernières années (-12 %).

    Source

    Contre-info.com

    IGNOBLE !

  • Quand Zemmour valide la notion de « Grand Remplacement » !

    Wikimedia    

    Le 12 avril 2014
    J’ai eu le plaisir d’assister à un grand moment de télévision, le vendredi 11 avril 2014. Mémorable.
             

    J’ai eu le plaisir d’assister à un grand moment de télévision, le vendredi 11 avril 2014. Mémorable. En effet, au terme d’une diatribe enflammée, Éric Zemmour l’a enfin dit : le « Grand Remplacement » est une réalité ! C’est une première, le concept de Renaud Camus a été repris sur un grand média, i>Télé, dans l’émission « Ca se dispute ». Même Nicolas Domenach n’a pas eu le temps de relever, il était sonné.

    Alain Finkielkraut passait alors sur le banc des accusés : avait-il été, ou non, trop loin en affirmant que certains Français votent Front national car ils estiment que leur civilisation disparaît, que nos charcuteries traditionnelles sont remplacées par des boucheries halal, ou qu’il n’y a plus d’autochtones dans certaines villes de la banlieue parisienne ? Fantasmes, selon Nicolas Domenach, ou effet secondaire d’autres crises sociales, économiques…

    Éric Zemmour ne s’est, lui, pas abrité sous le paravent du politiquement correct ; il a même tout emporté sur son passage. Oui, la France subit de multiples crises, elle est touchée dans l’essence de sa civilisation, son système éducatif n’est pas bien noté, une profonde récession économique la frappe de plein fouet… Mais ça n’est pas tout, elle est aussi en pleine crise identitaire et, selon la formule consacrée par Renaud Camus, elle vit un remplacement de sa population. Il fallait oser le dire sur une antenne nationale, ça n’est pas anodin, et nous devons pleinement reconnaître le courage d’Éric Zemmour. Il a ouvert une route auprès du grand public, lequel pourra désormais mettre des mots sur ses maux.

    Une réaction de Nicolas Domenach montre d’ailleurs que la gauche, elle aussi, commence à être désarçonnée. Il a répondu, d’une façon qui a pu paraître anodine (mais ne l’est pas), que la France connaissait des « crises psychologiques ». C’est-à-dire, en novlangue politiquement correcte, une crise identitaire. Lui aussi a admis, en creux, que nous sommes face à une situation dramatique, dont les enjeux ont une portée historique.

    Surtout, cette irruption du réel à une heure de grande écoute fait figure d’électrochoc salvateur et prouve que ceux qui n’ont eu de cesse d’annoncer le phénomène du « Grand Remplacement » ne sont pas des « Cassandre », mais tout au contraire des lucides, des non-racistes véritables. Quand les socialistes ont, eux, inventé SOS Racisme pour culpabiliser les Français et la droite.

    Cliquez ici pour regarder la vidéo.

    Gabriel Robin

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

  • L’illusion russe

    Ecrit le 21 déc 2013 à 12:50 par Olivier Bault dans Histoire de comprendre

     
     

    L’illusion russe

    En publiant dans Nouvelles de France une interview avec le journaliste polonais Artur Dmochowski (1) sur la situation en Ukraine, je m’attendais à certaines réactions critiques et je remercie M. Alexandre de la Cerda d’avoir bien voulu exprimer la vision russophile d’une certaine droite française à sensibilité conservatrice et chrétienne dans l’article Noyer la Russie et son Église avec l’eau du bain. Abstraction faite d’une contre-vérité, la présence supposée de ministres polonais auprès des manifestants ukrainiens, et d’une manipulation quand M. de la Cerda évoque l’espionnage du Vatican par les Polonais sans rappeler que les services secrets polonais qui espionnaient Jean-Paul II travaillaient pour le compte de Moscou, cet article a le mérite de représenter l’opinion de beaucoup de Français et de donner l’occasion d’y répondre.

    Les Polonais sont souvent très surpris, pour ne pas dire extrêmement choqués, de l’image de la Russie et de Vladimir Poutine en France. Dans l’hebdomadaire catholique polonais Gość Niedzielny(n° 1 des hebdomadaires d’opinion en Pologne), le journaliste conservateur Marek Magierowski mettait en garde les lecteurs polonais de droite contre toute sympathie pour le Front National français justement à cause du programme de sortie de l’OTAN et d’alliance avec la Russie professé par le parti de Marine Le Pen, même si le FN n’est pas très clair sur son intention : s’agirait-il uniquement de quitter le commandement militaire intégré comme l’avait fait le général de Gaulle ou bien de sortir carrément de l’Alliance atlantique ? Après son séjour en France dans le cadre du tournage de son documentaire sur le totalitarisme LGBT, le réalisateur polonais Jarosław Mańka me confiait au téléphone avoir été très étonné de l’espoir que mettent dans la Russie certains militants de la Manif pour Tous interviewés. Sans doute aurait-il été moins étonné s’il avait lu le livre Sainte Russie de l’historien Alain Besançon qui expose l’illusion entretenue par la Russie tsariste, puis soviétique et enfin poutinienne, et l’histoire de la fascination française pour ce grand pays.

    C’est pourquoi j’ai demandé à Artur Dmochowski de répondre à Alexandre de la Cerda et aux Français qui partagent son point de vue.

    Un lecteur de Nouvelles de France, M. Alexandre de la Cerda, a réagi à notre interview du 3 décembre en accusant la Pologne d’avoir envoyé ses ministres pour encourager les manifestants en Ukraine…

    J’ai lu cette réaction et je pense intéressant d’apporter un point de vue différent, sans doute mieux informé, sur le rôle de la Russie dans la région. En ce qui concerne les leaders politiques polonais qui se sont rendus en Ukraine pour soutenir les manifestations en faveur d’un rapprochement de ce pays avec l’Europe, il y a eu le leader de l’opposition conservatrice, Jarosław Kaczyński, ainsi que des députés et eurodéputés polonais, mais aucun ministre ni aucun représentant du gouvernement polonais n’a été présent à aucun moment lors de ces manifestations en Ukraine.

    Cette réaction, qui me paraît assez représentative de ce que pense une certaine partie de la droite française à propos de la Russie, semblait suggérer par ailleurs que les médias en Russie seraient bien plus libres que les médias français.

    C’était une des thèses les plus surprenantes de cet article selon moi. Je ne veux pas m’exprimer sur la liberté des médias en France, car je sais pas vraiment ce qu’il en est réellement, mais en ce qui concerne la Russie, une des premières choses que Poutine a faites quand il a pris le pouvoir en 1999 après les années Eltsine en s’appuyant sur les services spéciaux du FSB (ex-KGB) qu’il dirigeait depuis 1998, a été de remettre progressivement les médias du pays au service du pouvoir politique. Aujourd’hui, pratiquement tous les médias importants en Russie, que ce soient les grandes chaînes de télévision, les grands journaux ou les gros sites d’information sur Internet, expriment le point de vue du gouvernement russe. La situation est d’ailleurs similaire en Pologne même si les méthodes employées ont été différentes, moins brutales qu’en Russie où il y a eu de nombreux assassinats de journalistes trop critiques vis-à-vis du pouvoir. Ce contrôle des médias par le pouvoir politique est un problème commun à la plupart des pays de l’ancien bloc de l’Est et c’est sans doute pour cela que nous avons plus de facilités à comprendre ce qui se passe en Russie.

    J’aimerais d’ailleurs en profiter pour dire que les insinuations de M. de la Cerda selon lesquelles les Polonais en voudraient aux Russes pour des événements survenus il y a 400 ans sont saugrenues. Je n’ai absolument rien contre le peuple russe et je lui souhaite tout ce qu’il y a de mieux, mais j’ai la conviction, et je ne suis pas le seul, que Vladimir Poutine nuit à son pays. Il a de facto liquidé la démocratie, il a mis en place un régime oligarchique, un régime fondé sur la coercition, la contrainte et le contrôle étroit des médias, un régime qui s’appuie sur la présence à tous les niveaux du pouvoir du FSB, c’est-à-dire de l’ex-KGB soviétique. Les rivalités entre nos pays dans les siècles passés n’ont absolument rien à voir dans ce jugement, si ce n’est que nous, Polonais, connaissons et comprenons probablement mieux la Russie que M. de la Cerda que je crois sincère dans ses affirmations mais chez qui je remarque une grande naïveté vis-à-vis du pouvoir russe actuel.

    Nous parlons ici de la situation intérieure de la Russie, mais pouvez-vous m’expliquer pourquoi la Russie reste perçue, plus de vingt ans après la dislocation de l’empire soviétique, comme une menace dans beaucoup des anciennes républiques soviétiques, comme l’Ukraine, et dans la plupart des anciens pays satellites, comme la Pologne. Beaucoup de Français estiment que la Russie d’aujourd’hui n’est pas une menace et certains se posent même la question de l’utilité de l’OTAN.

    On pourrait poser la question à ces Ukrainiens qui manifestent pour se rapprocher de l’Europe et s’éloigner de la Russie. Ils sont encore plus près que nous de la Russie et ont eu l’occasion de la connaître de bien plus près que les Français fascinés par le mythe de la Sainte Russie. En Europe centrale et orientale nous avons fait l’expérience de ce que peut signifier la domination russe. Il semblerait que l’Ukraine doive rester, en tout cas dans un avenir proche, sous cette domination, même si c’est une version adoucie, économique et politique, et non pas militaire, de la domination russe.

    On pourrait penser aujourd’hui que la domination russe peut être préférable à la domination d’élites européennes apôtres de la pensée unique ?

    Il est extrêmement naïf de s’imaginer que l’action russe est motivée par des considérations morales comme j’ai cru comprendre à la lecture de cette réaction à mes affirmations dans les colonnes de Nouvelles de France. N’allons pas croire qu’être sous domination russe signifie être protégés des dérives homosexualistes ou abortionnistes européennes. Toutes ces déclarations du pouvoir russe sur la lutte contre la propagande homosexuelle et les avortements ne sont que des slogans. À part quelques actions de communication comme l’arrestation des Pussy Riots ou la récente loi russe interdisant la propagande homosexuelle vis-à-vis des mineurs, le gouvernement russe ne mène pas une politique globale en faveur des valeurs conservatrices ou chrétiennes

    Il n’y a pas par exemple en Russie de véritable politique de lutte contre les avortements massifs qui restent perçus comme un moyen de contraception.

    Pour revenir aux voisins de la Russie, pouvez-vous me dire pourquoi la Pologne semblait plus intéressée que certains autres pays de l’UE, comme la France pour n’en citer qu’un, par cet accord d’association avec l’Ukraine ? La Pologne a-t-elle quelque chose à y gagner ?

    Les pays les plus intéressés par cet accord, côté UE, ce sont bien sûr, pour des raisons géographiques, l’Allemagne et les pays d’Europe centrale. Si l’on pouvait amarrer l’Ukraine à l’Europe, cela accroîtrait la stabilité et la sécurité du continent sur sa façade orientale, et cela pour deux raisons :

    -       La première raison, c’est que cela affaiblirait les capacités d’expansion de la Russie et ses moyens de pression sur les pays voisins en Europe. Faute de pouvoir dicter à l’Ukraine ses choix politiques et économiques, la Russie perdrait son statut de puissance dominante dans la région.

    -       La deuxième raison, c’est que cela éloignerait de l’Europe centrale la pression expansionniste russe qui continue de nous menacer. La nouvelle de l’installation dans l’enclave de Kaliningrad, tout près de la frontière avec la Pologne, de missiles à courte portée Iskander-M, capables de transporter des charges nucléaires, vient nous rappeler à nous, Polonais, mais aussi aux États baltes voisins, que le risque d’une attaque russe reste bien réel si nous devions nous retrouver isolés et privés de la protection de l’OTAN.

    Faut-il d’ailleurs évoquer l’attaque cybernétique en règle de la Russie contre l’Estonie en 2007 lorsque ce petit pays avait décidé de déplacer un monument de l’Armée rouge qui insultait la mémoire des victimes des exactions communistes ? Ou encore la manière dont la Russie a distribué des passeports russes aux Ossètes et aux Abkhazes en Géorgie, qui ne sont pourtant Russes ni par l’appartenance ethnique, ni par la culture, ni par la langue, pour justifier ses interventions contre cette ancienne république soviétique et l’occupation d’une partie de son territoire. J’étais observateur de la CSCE lors des élections en Géorgie en 1994 et j’ai été en Ossétie. Ces forces russes supposées être des forces de maintien de la paix sont en en réalité des forces d’occupation ! Le contrôle de la Géorgie est stratégique pour la Russie à cause du transit vers l’Europe des hydrocarbures produits dans les ex-républiques soviétiques, et c’était la raison de la guerre contre la Géorgie en 2008. C’est justement le contrôle du transport du gaz vers l’Europe et le monopole de Gazprom en Europe centrale et orientale qui permet à la Russie d’exercer d’énormes pressions comme aujourd’hui en Ukraine.

    Il y a eu en septembre dernier les grosses manœuvres militaires « Zapad 2013 » avec quelque 13 000 militaires russes et 10 000 militaires biélorusses, en Russie, en Biélorussie et en mer Baltique. Si le but officiel de ces manœuvres était de simuler une réaction à des attaques de groupes terroristes près des frontières avec la Pologne et les pays baltes, les autorités estoniennes et lituaniennes ont exprimé leurs doutes en raison de l’implication d’unités blindées, de l’aviation, de la flotte et des exercices de tirs de missiles. Selon elles, ces manœuvres visaient à tester des scénarios d’attaque contre la Lituanie, la Lettonie et l’Estonie. Il y aurait aussi eu un exercice de simulation d’attaque nucléaire préventive contre Varsovie.

    En effet,  avec les problèmes économiques de la Russie dont l’économie et le budget national s’appuient en très grande partie sur la production d’hydrocarbures, il n’est pas absurde de craindre l’intensification de la politique de reconstruction de l’empire russe perdu avec la chute de l’Union soviétique dans le but de maintenir la popularité de Poutine. L’effort militaire de la Russie, qui s’est lancée dans un vaste programme de réarmement, et le retour actuel de la Russie à l’historiographie soviétique, ne laissent rien présager de bon pour nous. C’est pourquoi nous avons attaché beaucoup d’importance aux manœuvres de l’OTAN organisées sous le cryptonyme « Steadfast Jazz » du 2 au 9 novembre en Pologne et dans les pays baltes, les plus gros exercices de défense collective de l’OTAN depuis 2006. Leur but était de faire la démonstration de la capacité de l’OTAN à défendre ses membres en cas d’attaque russe contre un des pays baltes même si officiellement les exercices étaient dirigés contre un État fictif. Six mille militaires de 23 pays de l’OTAN y ont pris part, dont 3000 militaires polonais. Fait significatif, l’Ukraine, la Finlande et la Suède ont également participé à ces manœuvres.

    Par sa nature défensive, l’OTAN reste la meilleure garantie de paix dans la région grâce à sa force dissuasive. Cela est encore plus vrai si l’Ukraine reste dans le giron russe, permettant ainsi à la Russie d’entretenir ses rêves de puissance.

    Quant à la politique russe en Syrie évoquée dans l’article de M. de la Cerda, elle est motivée avant tout par la nécessité pour la Russie de conserver ses alliances dans la région et de maintenir son accès à la base navale de Tartous. Et il faut reconnaître que Vladimir Poutine a su exploiter adroitement le thème de la défense des chrétiens d’orient, mettant à profit les incohérences et l’hypocrisie des pays occidentaux face aux persécutions des minorités religieuses en général et des chrétiens en particulier dans le monde musulman.

    Je tiens aussi à préciser que mon évocation des liens étroits entre l’Église orthodoxe et les services spéciaux russes n’avait rien d’une assertion gratuite contrairement à ce que prétend Alexandre de la Cerda. Ceci concerne en premier lieu le patriarche Kyrill accusé d’avoir été un agent du KGB à l’époque soviétique mais aussi une bonne partie de la hiérarchie de l’Église orthodoxe en Russie. Quant au rôle du patriarcat de Moscou dans la politique étrangère russe, il se reflète aujourd’hui dans l’attitude ouvertement pro-russe de l’Église orthodoxe russe en Ukraine, une attitude qui contraste avec celle de l’Église orthodoxe ukrainienne, dépendante du patriarcat de Kiev, de l’Église gréco-catholique ukrainienne et de l’Église catholique en Ukraine.

    —————————–

    > Lire aussi, à propos du poids de la tragédie de Smolensk d’avril 2010 sur les relations entre Pologne et Russie, l’interview avec le Polonais Antoni Macierewicz, vice-président du parti conservateur Droit et Justice (PiS) de Jarosław Kaczyński, ministre de l’Intérieur en 1991-1992, vice-ministre de la Défense en 2006-2007.

    1. Artur Dmochowski est journaliste au quotidien et hebdomadaire conservateur « Gazeta Polska » et auteur d’ouvrages sur la politique internationale. Né en 1959 à Cracovie, il est diplômé d’histoire de l’Université Jagellonne de Cracovie. En 1977 il a participé aux manifestations après la mort de l’étudiant Stanislaw Pyjas assassiné par les services de sécurité. Membre actif de Solidarnosc dans les années 80, il a pris part à différentes publications du syndicat d’opposition et aux grèves de 1981 et 1988. Arrêté et interrogé à de nombreuses reprises par les autorités communistes, il est devenu directeur de la rédaction de l’antenne régionale de la télévision publique à Cracovie au moment du changement de régime, puis a travaillé pour différentes rédactions. Conseiller du ministre des Affaires étrangères en 1993-96, puis représentant de la Pologne dans le cadre de la mission de la CSCE en Géorgie en 1994 et de la mission de l’OSCE en Bosnie-Herzégovine en 1996. En 2006, Artur Dmochowski a présidé à la création de la chaîne historique de la télévision publique polonaise TVP Historia et a été le premier directeur de la nouvelle chaîne avant d’être remercié avec la première vague de nettoyage politique au sein des médias publics qui a suivi l’arrivée de Donald Tusk au pouvoir. Artur Dmochowski est aussi, entre autres, co-auteur, avec le reporter Mariusz Pilis, du film documentaire « Lettre de Pologne » tourné pour la télévision publique hollandaise et du livre publié sous le même titre. Il s’agissait du premier film polonais sur la tragédie de Smolensk. Dans le mensuel Nouvelles de France d’avril 2012, Artur Dmochowski s’exprimait sur le crash de Smolensk dans une interview intitulée « La tragédie de Smolensk, un attentat russe ». Depuis le début des manifestations en Ukraine, il est fréquemment invité à s’exprimer sur le sujet sur le plateau de la télévision polonaise d’information en continu Telewizja Republika, une nouvelle chaîne de télévision à sensibilité conservatrice et chrétienne diffusée sur Internet et sur les principaux réseaux câblés.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Le PS et l’UMP dirigeront ensemble la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB)

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    13/04/2014 – BORDEAUX (via Infos Bordeaux)
    Alors que la droite possède une large majorité à la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB), Alain Juppé, maire de Bordeaux et candidat à la présidence de la CUB, a décidé de la diriger conjointement avec le Parti socialiste. Les profondes divergences exprimées devant les médias, pendant la campagne des municipales, n’étaient-elles qu’un écran de fumée ?

    Le maire de Bordeaux a donc décidé de réserver 7 des 20 vice-présidences à des élus de gauche (PS, Verts et communistes). Alain Anziani, maire socialiste de Mérignac, s’occupera de la métropolisation et devrait être le premier vice-président de la CUB.

    Cette nouvelle organisation se mettra en place le 18 avril prochain avec l’élection d’Alain Juppé à la présidence de la CUB. Il succèdera au socialiste Vincent Feltesse.

  • C'est arrivé un 13 avril... La France occupée et libérée

    Le 13 avril 1360 : le doigt de Dieu détruit l'armée anglaise.

    1346, 30.000 Anglais mettent en déroute 100.000 Français à Crécy ; 1356, 8000 Anglais écrasent 50.000 Français à Poitiers. A titre de comparaison, à Bouvines 60.000 Français écrasèrent plus de 200.000 européens!

    En 1360, la France ne ressemble bientôt plus qu'à une province anglaise. Les grandes compagnies ravagent le pays ; le roi de Navarre vient de trahir et le Roi de France est prisonnier à Londres. Les prétentions du roi d'Angleterre, lors des négociations de Brétigny sont énormes, à l'échelle de ses succès militaires et de la déliquescence française. Les négociations échouent. Edouard III veut en finit et s'apprête à mettre le siège devant Chartres. Fou de rage, Édouard III remonte vers Paris et laisse son armée commettre de nombreuses exactions : il ne s'agit plus de la simple extorsion visant à nourrir son armée, mais de la destruction systématique de toutes les ressources - les pieds de vignes sont arrachés, le bétail abattu et toute âme qui vive massacrée. Ces exactions entraînent un vif ressentiment contre les Anglais. Nombre d'entre elles ont lieu pendant le carême et la Semaine sainte et, lorsque l'armée anglaise est décimée par un violent orage de grêle, mêlé d'éclairs, le 13 avril, nombre de chroniqueurs y voient la main de Dieu, à commencer par le roi d'Angleterre, qui apercevant les flèches de Chartres, prie Notre Dame d'épargner ce qu'il lui reste d'armée.

    Il promet de donner la paix à la France. La tempête s'apaise.

    Reconnaissant et honnête Édouard III se décide alors à négocier ; il va même pénétrer dans Chartres, en pèlerin pour y vénérer le Saint Voile. Il signe la paix à Brétigny, où il dissout son armée de mercenaires.

    Le marquis de la Franquerie, dans son livre La vierge Marie dans l'Histoire de France, (page 86) raconte cette destruction de l'armée anglaise que Français et Anglais attribuèrent à Notre Dame. Il souligne que les principaux historiens relatent le fait : Froissart, Mézeray, Daniel, Polydore, Virgile, Hamon…

    • Le 13 avril 1436 : prise de Paris par Arthur de Richemond.

    L'armée anglaise dans Paris compte environ 3 000 hommes et est soutenue par l'université de Paris. 2000 routiers et écorcheurs la renforcent. La garnison attend également un renfort de 3 000 anglais.

    L'armée française est dispersée et seul contre presque tous le duc de Bretagne, le connétable Arthur III de Richemont, soutenu par d'anciens compagnons de la Pucelle d'Orléans tels La Hire, Jehan de Dunois, cousin naturel du Roi, Jehan de Brosse Maréchal de Sainte-Sévère et Jehan Poton de Xaintrailles conduit une armée de 5000 Bretons pour reconquérir Paris. En novembre 1438, Charles VII (1403-1461) peut retrouver sa capitale, abandonnée en 1418. Richemont encercle Paris par le nord et le sud, en s'assurant le contrôle de la vallée de l'Oise, de la Champagne et de la Brie. L'Ost royal profite aussi de la révolte des Parisiens dans la capitale, des bourgeois menés par le Receveur aux Comptes Michel de Laillier. Richemont avec une petite troupe de cinq à  six cents combattants réussit à se faire ouvrir la porte Saint-Jacques et pénètre dans Paris où il est accueilli en libérateur par la population enthousiaste aux cris de « vive le Roi et le duc de Bourgogne ». Débordés, les Anglais se réfugient dans la Bastide Saint-Antoine (Bastille). Richemont leur promet alors la vie sauve s'ils quittent Paris, ce qu'ils font le 15 avril 1436.

    Cette libération, réalisée avec peu de pertes et sans effusion de sang ni de pillage, est célébrée le 22 avril, par une grande fête religieuse, au milieu d'une foule immense. Cette fête est renouvelée pendant trois siècles, jusqu'à la révolution, comme une victoire nationale. Dans la foulée, Creil, Meaux et Montereau sont délivrées. Mais la libération de la France commence, mais il faudra 20 ans au connétable pour l'achever.

    Toile commandée par le comte d'Angiviller au nom de Louis XVI, un tableau de Jean-Simon Berthélemy commémore l'événement : "La Reprise de Paris sur les Anglais" (1787), musée du Louvre.

    Le Salon Beige

  • CHAPPATTE

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  • 764 Juifs auraient échappé aux camps de la mort en sautant des trains

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    Revue de presse
    Publié le 11 Avril 2014

     

     

    Article publié sur Alyaexpress le 11 avril 2014

    Une nouvelle recherche publiée en Allemagne a établi qu’au moins 764 Juifs ont réussi a échapper aux chambres à gaz en sautant des trains qui les emmenaient vers les camps, en France, en Hollande et en Belgique.

     

    L’un de ces hommes Léo Brettholz, qui vient de mourir aux Etats-Unis, avait passé sa vie à rechercher d’anciens nazis… Lire la suite.

    CRIF
  • Défendre d’abord nos intérêts…

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    Les événements qui se déroulent depuis quelques mois en Ukraine ont entrainé, surtout sur les réseaux sociaux, un débat animé au sein de notre famille d’idées. Cela est bien naturel et à le mérite de prouver, à ceux qui en doutaient, que les nationalistes français sont attentifs à ce qui se passe dans le reste de l’Europe. Les uns, au nom d’une vision romantique des choses et s’appuyant sur des faits historiques terribles (la grande famine planifiée en Ukraine par Staline au début des années 30 qui fit plus de six millions de victimes réelles), soutiennent l’insurrection ukrainienne, tandis que les autres, par réalisme géopolitique et sans doute par admiration pour le style « direct » du Président Poutine, épousent la cause de la Russie.

    Tout cela nous amène à quelques observations.

    D’abord, force est d’admettre que les deux points de vue sont compréhensibles et il est dommage que certains en arrivent à s’insulter pour défendre celui qu’ils ont choisi.

    Les nationalistes ukrainiens, et le peuple ukrainien dans son ensemble, ont souffert, c’est indéniable, du joug soviétique pendant plus de 70 ans. Cela à tel point qu’une partie n’a pas hésité dans un premier temps à se ranger aux côtés des forces de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais, depuis l’indépendance de l’Ukraine, au début des années 1990, la Russie a toujours eu une position ambiguë par rapport à Kiev dont elle dépend en bonne partie économiquement. Les raisons du soulèvement sont d’ailleurs, dans un premier temps, plus à mettre sur le compte d’un refus des pouvoirs ukrainiens corrompus et incapables qui se sont succédés depuis l’indépendance, et sur celui de la misère sociale qui gangrène ce pays, que sur celui de la rancune envers les Russes. Même si celle-ci demeure vivace.

    En tant que Français attachés à notre pays et en tant qu’Européens fiers de notre civilisation, nous pouvons comprendre les motivations des insurgés du Maïdan. Le problème, c’est que ces motivations ne sont pas forcément les mêmes que celles de ceux qui ont tout intérêt à ce que l’Ukraine se détache de l’influence russe et qui œuvrent en sourdine depuis longtemps dans ce sens.

    La sincérité ne doit pas engendrer la naïveté

    J’ai pu le constater par moi-même, les nationalistes ukrainiens font parfois preuve d’une certaine candeur. J’ai eu l’occasion il y a quelques mois, avec notre ami Robert Spieler, par l’intermédiaire de Thibaut de Chassay, le dynamique président du Renouveau français qui entretient des liens politiques avec différents mouvements patriotiques de l’Est européen, de rencontrer des responsables de Svoboda, le principal parti nationaliste ukrainien, venus à Paris pour présenter leur mouvement et leurs revendications. Sans douter un instant de la sincérité de ces nationalistes, au demeurant fort sympathiques, j’ai été frappé par leur fascination, frisant la naïveté, pour l’Union européenne. Leur vision du monstre bruxellois était totalement tronquée. Ils plaçaient toutes leurs espérances dans leur visite au Parlement européen prévue pour le lendemain à Bruxelles. Curieuse approche des choses… Je dois avouer que Robert et moi sommes restés sceptiques suite à cette rencontre. Néanmoins, comme quoi en politique il ne faut jamais écarter « l’imprévu », quelle ne fut pas ma surprise de voir que deux de nos interlocuteurs d’alors sont aujourd’hui membres du nouveau gouvernement. Cela dit, il ne faut pas se leurrer. L’Europe, une fois qu’elle se sera bien servie des patriotes ukrainiens contre la Russie, se débarrassera d’eux vite fait car leur idéologie est malgré tout diamétralement opposée à ses projets mondialistes

    Parlons maintenant de la position de la Russie de Vladimir Poutine. Celle-ci qui estime, à juste titre, que l’Ukraine est « son berceau » ne peut en aucun cas laisser se développer, à ses frontières, des Etats qui lui seraient foncièrement hostiles. Ce d’autant plus que cela risquerait de faire « tache d’huile ».

    Nous considérons pour notre part que la Russie est actuellement, malgré tous ses défauts, l’un des meilleurs remparts face aux intentions belliqueuses et aux menées hégémoniques de l’Empire de la Haute finance apatride. Qu’on le veuille ou non, la Russie d’aujourd’hui n’est pas l’URSS d’hier. Nous ne tomberons donc pas, bien évidemment, dans le piège tendu par les lobbys droits-de-l’hommistes stipendiés par les Fondations mondialistes qui voudraient faire passer Poutine pour un nouveau Staline. Les maîtres du Nouvel Ordre mondial croyaient en avoir fini, au lendemain de la chute du Mur de Berlin, avec l’Union soviétique. Ils pensaient que la Russie allait devenir une puissance déliquescente dirigée par des mafieux ou des ivrognes type Boris Eltsine. Ils se sont lourdement trompés car ils n’avaient pas imaginés l’émergence d’un Poutine capable, en quinze ans, de redonner à son pays sa fierté, comme on a pu le constater à l’occasion des magnifiques Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, et de lui offrir à nouveau une place essentielle dans le monde. Ce renouveau de la Russie peut, légitimement, susciter une grande sympathie auprès des patriotes français écœurés de voir leur pays « dirigé » par une bande de baudruches incapables.

    Ne pas se tromper de combat

    Nous le voyons, chacun peut trouver de nombreuses bonnes raisons de soutenir un camp ou un autre. Mais, est-ce bien à nous, nationalistes français et identitaires européens, de nous immiscer dans ce conflit qui, quoi qu’en disent tous les va-t’en-guerre de la terre style BHL, ne nous concerne pas vraiment ?

    Notre rôle ne serait-il pas, plutôt, de chercher à apaiser ces antagonismes qui ne peuvent que servir les projets fumeux de ceux qui veulent justement anéantir les nations ?

    Louis XIV, pour expliquer sa politique étrangère, disait que « la France n’a pas d’amis ni d’ennemis, elle n’a que des intérêts ». C’est ainsi que les nationalistes français, qui sont sensés mettre l’intérêt national au-dessus de tout, devraient voir les choses aujourd’hui. Plutôt que s’entredéchirer à propos de ce conflit qui, finalement, concerne avant tout les Ukrainiens et les Russes, ne serait-il pas plus judicieux de s’interroger sur ce qui sert le plus notre pays ?

    La menace que fait peser sur nos identités et nos libertés le mondialisme destructeur devrait suffire à elle seule pour nous guider. La réalité, en France comme dans la plupart des pays, c’est que ce sont justement des gouvernements inféodés à la politique mondialiste imposée par les financiers de Wall Street, et leur bras armé qu’est l’OTAN, qui sont aux affaires. Alors, ne nous trompons pas de combat. Au lieu de s’entredéchirer sur la question ukrainienne, les nationalistes français doivent se mobiliser totalement contre le Système qui, ici comme ailleurs, veut détruire notre nation et notre civilisation.

    Or, face à ce Système, force est de reconnaître que la Russie, dans l’état actuel des choses, est un allié nécessaire.

    Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale

    Editorial du n°35 de la revue Synthèse nationale

    Publié par ALTERMEDIA

  • Le « progrès » : dans une usine, 150 000 poussins broyés chaque jour, car mâles

     

    Une association américaine de défense des droits des animaux dénonce dans une vidéo le traitement réservé aux poussins mâles dans la plus grande usine de poules pondeuses des Etats-Unis : les poussins mâles, non rentables, sont hachés vivants au rythme de 150 000 par jour…

    Dans notre monde capitaliste, le cauchemar industriel broie le vivant, au figuré comme au propre…

     

    « Grâce à une caméra cachée, l’association a mené l’enquête et filmé un aperçu de la réalité industrielle des écloseries modernes.

    Comme les poussins mâles ne pourront jamais pondre et que leur croissance est trop lente pour en tirer de la viande, ils naissent et meurent le même jour, hachés vivants dans une machine.

    Dans un premier temps, les poussins sont triés par des ouvriers en fonction de leur sexe, manipulés et jetés comme des objets. Puis, ballotés par un convoyeur, ils sont précipités dans un broyeur à haute pression pour finir en chair sanguinolente…

    Le sort réservé aux femelles n’est guère plus enviable. Pour elles, c’est le début d’une vie de cruauté et de confinement. »

    source & détails

    Contre-info.com

  • Haute-Savoie - La force de l'instinct de survie: victime d'un terrible accident de la route, Aline, 23 ans, raconte comment elle a échappé à la mort

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    A 23 ans, Aline Vercoutter, est une miraculée. Cette jeune femme a été victime d'un terrible accident sur une petite route de montagne, mais elle s'en tire avec seulement quelques bleus et des contusions.

    Le 24 mars, au volant de sa Clio, Aline quitte son domicile du Mont-Saxonnex (Haute-Savoie) pour se rendre à un concours hippique dans le sud de la . <btn_noimpr>

     
     

    Elle veut devenir monitrice d'équitation.

    Elle croit en sa bonne étoile

    Il est 3 h 30 du matin et la route qui descend vers la vallée est enneigée : « Dans un virage, ma voiture a glissé et a basculé dans le ravin. J'ai dévalé sur près de 300 m en faisant des tonneaux. D'après les gendarmes, j'ai dû faire au moins 10 à 12 tonneaux. Heureusement, je n'ai pas perdu connaissance. Mon véhicule a fini dans le Bronze, un torrent, au milieu d'un trou d'eau profond. La voiture s'est retrouvée totalement immergée, dans une eau glacée. Mon instinct de survie a alors pris le dessus. J'ai réussi à enlever ma ceinture de sécurité et je me suis glissée par la vitre de la portière qui avait éclaté », explique Aline. Frigorifiée..

    La jeune femme arrive à regagner la berge en nageant, mais son cauchemar n'est pas terminé. « J'ai perdu mon téléphone portable durant la chute. Impossible d'appeler les secours. Il a fallu que je remonte seule le ravin. Il y avait de la neige, de la boue. Je glissais. J'ai mis deux heures pour remonter, sur 300 m, jusqu'à la route. J'ai ensuite rejoint un hameau de Bonneville. Et là, un automobiliste a pu prévenir les secours. J'étais en état d'hypothermie. Mais j'étais vivante. »

    Aujourd'hui, Aline, qui souffre encore d'une hanche, sait qu'elle revient de loin : « J'avais une bonne étoile avec moi », reconnaît-elle. Ce que confirme le lieutenant Thomas , de la gendarmerie de Bonneville « Je n'ai jamais vu un tel accident se terminant aussi bien. »

     

    Aujourd’hui en France - 04 04 14 

  • Israël nationalise des terres en Cisjordanie

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/13/97001-20140413FILWWW00167-israel-nationalise-des-terres-de-cisjordanie.php

  • Les autorités ukrainiennes prêtes à envisager un élargissement des pouvoirs des régions

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    Aujourd'hui, 20:45
     

     

     

    Par La Voix de la Russie | Cette déclaration a été faite dimanche par le président par intérim d'Ukraine Alexandre Tourtchinov.

    « Nous sommes prêts à envisager une expansion substantielle des pouvoirs des régions et une réforme plus large de l'administration locale, ainsi qu'un renouveau du pouvoir dans les régions. Cependant, toute personne, qui, en soutien des agresseurs et occupants, se bat contre notre nation, n’échappera pas à la punition et en portera la responsabilité », a indiqué Tourtchinov dans un message vidéo adressé au peuple ukrainien.

    Le président par intérim a également exhorté les habitants de l'Ukraine orientale à ne pas soutenir ceux qui veulent déstabiliser la situation dans le pays. « Je lance un appel à ceux qui veulent protéger l'Ukraine. Actuellement, le plus important, c'est d'éviter de déstabiliser la situation dans le pays », a ajouté Tourtchinov, en exhortant tous les citoyens de l'Ukraine de s’unir pour éviter une guerre civile.
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_04_13/Les-autorites-ukrainiennes-pretes-a-envisager-un-elargissement-des-pouvoirs-des-regions-9634/

  • EN DIRECT - Kiev accuse Moscou de "mener une guerre contre l'Ukraine"

    http://www.leparisien.fr/international/en-direct-ukraine-premiers-morts-dans-les-combats-entre-l-armee-et-les-pro-russes-13-04-2014-3764811.php

    VIDEOS  PHOTOS  CARTES

  • Affaire Alègre/Baudis: le témoignage des enfants du juge Roche

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Affaire-Alegre-Baudis-le-temoignage-des-enfants-du-juge-Roche-24642.html

    Dans l’affaire Patrice Alègre, le juge Pierre Roche fut accusé d’avoir couvert les agissements du tueur. Président de Chambre à la cour d’appel de Montpellier, Pierre Roche est mort le 22 février 2003 à l’âge de 60 ans dans des circonstances suspectes. Dans ce témoignage publié en 2005, ses enfants relatent les informations que leur père leur aurait confiées peu avant sa mort. Il aurait notamment explicité ses relations avec Dominique Baudis, mort ce jeudi 10 avril 2014.

  • La funeste visite de Merkel à Athènes

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    Olivier Renault Rédaction en ligne

     
     
    11 avril, 16:18
     
     

    Par La Voix de la Russie | Angela Merkel se rend ce vendredi dans la capitale grecque, protégée par 7000 policiers revêtus de carapaces de protections et de casques face au peuple grec armé, lui encore, de ses seules mains nues, de panneaux de protestation et de leurs cris de colère, le lendemain de l’annonce du retour par la Grèce sur le marché financier par l'émission d'emprunts d’État sur cinq ans. A l'aéroport d'Athènes, des limousines noires toutes brillantes de célèbres marques allemandes attendent Angela Merkel et son escorte berlinoise sous une rangée de drapeaux grecs et allemands.

    La presse française parle d'un attentat à Athènes un jour avant la visite de la chancelière et d'un retour réussi sur les marchés pour la Grèce totalement ruinée. La chancelière vient féliciter et soutenir la politique d'austérité mené par Antonis Samaras.

    Dans son dernier livre, Le Putsch silencieux (pas encore disponible en français) paru fin mars 2014, le journaliste d'investigation Jürgen Roth montre le système de corruption de la Troïka, de Berlin avec Angela Merkel et de Bruxelles, assis sur les peuples européens. Pour Jürgen Roth, la Grèce est le premier pays à avoir subi le test de la Troïka, un plan qui s'applique déjà aux autres nations européennes, Allemagne comprise. Un autre auteur, Panagiotis Grigoriou, qui nous a accordé plusieurs entretiens, avait déjà parlé de la destruction de la société grecque de manière technique par les technocrates de Bruxelles et les banquiers.

    Bombe. Un jour avant l'arrivée d'Angela Merkel, une voiture a explosé dans le quartier des banques à Athènes. Des manifestants s'étaient réunis devant le Parlement grec avec des panneaux où on pouvait lire « Frau Merkel get out. Get out of our country bitch ». Pendant que les médias occidentaux parlent du retour avec succès de la Grèce sur le marché financier et même d'une baisse du chômage à 26,7 %, la population grecque ressent cette annonce comme une trahison. La population grecque s'enfonce dans la misère voulue par la Troïka, ce qui constitue une bombe sociale. Pour le Handelsblatt, l'économie grecque pourrait augmenter de 1 % cette année mais ne pourra pas réduire de manière significative le chômage. Le chômage des jeunes est à 60 %, ce qui n'est pas supportable sur le long terme pour une démocratie. La crise grecque, construite par la Troïka, profite aux investisseurs. Le retour d'Athènes sur le marché fait le bonheur des investisseurs qui s'arrachent les emprunts d’État grecs. « Nous vivons une situation exceptionnelle en Grèce. Les dettes d’État cachent la privatisation des biens et des services » écrit Jürgen Roth en citant un conseiller en économie du Pasok qui ne veut pas citer son nom.

    Pays test de la Troïka. Colonie administrée par Berlin et Bruxelles, la Grèce est le premier pays test aux plans de la Troïka : baisse des salaires, baisse des retraites, disparition des soins d’État, privatisation de tous les services publics, réduction du nombre des fonctionnaires. « Rien n'est dévoilé. Les privatisations des structures conduisent au dumping salarial, aux contrats précaires, en Allemagne aussi. Les salariés doivent travailler dans les sociétés privatisées pour des salaires de misère où le mot d'ordre " bouffe ou crève " est de mise», écrit Jürgen Roth. Les bâtiments d’État grecs ont été vendus aux investisseurs et sont loués à des prix élevés à la même administration d’État. Plus de 300 îles sont à la vente. L’État grec, qui possède 70 % du pays, le vend aux financiers. « Les financiers se régalent de la forte baisse des salaires et des prix sur l'immobilier », écrit Jürgen Roth. L’État grec et la Troïka ne sont pas vraiment intéressés par les privatisations selon le journaliste Yannis Moutsos : « Ils utilisent la Grèce et le Portugal comme un terrain d'expérimentation. »

    L’Allemagne exporte sa démocratie. L'historien et anthropologue grec Panagiotis Grigoriou nous a fait le nouveau portrait robot de son pays qui tombe en ruine humaine et sociale et démocratique à vitesse grand V dans un entretien en deux parties en décembre 2012 sous le titre « La Grèce, une colonie allemande qui souhaiterait l'aide de la Russie ». En décembre 2012, Panagiotis Grigoriou nous disait : « On découvre le changement interne de la société grecque, l'occupation du pays par l'Allemagne et l'administration européenne, la pulsion de mort dans une société qui fut l'une des plus vivantes du monde » et expliquait en citant des exemples que la Grèce est une colonie administrée par l'Allemagne : « Oui, nous avons des administrateurs coloniaux. Le Consul général allemand, Wolfgang Hoelscher et Hans-Joachim Fuchtel, CDU ont été nommés par Angela Merkel. Ils sont basés en Grèce, chez nous. Le job de Hans-Joachim Fuchtel, CDU, est de mettre en contact les entreprises allemandes et les municipalités grecques. Hans-Joachim Fuchtel, CDU, nous le considérons comme l'administrateur colonial ou comme un Gauleiter». Ce vendredi, la chancelière rend visite à son Gauleiter pour une tournée d'inspection. » N
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_04_11/La-funeste-visite-de-Merkel-a-Athenes-8500/

  • Carla Bruni : "Je suis folle d’Israël"

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    Dans une interview donnée au quotidien israëlien Yediot Aharonot le 11 avril dernier, l’ex-première dame s’est dite « folle d’Israël », précisant « c’est plein de vie ».

    L’épouse de Nicolas Sarkozy a détaillé ses liens avec le judaïsme et Israël en rappelant que son père était juif :

    « Je suis née d’une mère catholique et d’un père juif, et ce qui est important pour moi, c’est l’ouverture. »

    Elle a ensuite expliqué que son fils Aurélien, né en 2001 d’une relation avec Raphaël Enthoven, a été à la fois circoncis et baptisé :

    « Son père est juif et je lui ai donné le cadeau d’un double héritage. »

      

    L’ancien top model reconverti dans la chanson a déclaré qu’elle souhaitait emmener son époux et Aurélien en Israël à l’occasion de son concert à Tel-Aviv le 25 mai prochain : « Si mon mari vient, nous resterons peut-être quelques jours de plus. Je veux emmener mon fils en Israël pour qu’il découvre », a-t-elle ajouté.

  • Alain #Finkielkraut, académicien : "L’antifascisme fait, dit n’importe quoi et devient incontinent. Il fait pipi partout" (Grand Journal)

  • Education nationele: en plein délire!

     

    EDUCATION NATIONALE  - On ne certifie plus rien

    On ne certifie plus rien



    Michel Lhomme
    le 12/04/2014
    La fin des mauvaises notes en dictée ? Le ministère de l’Education nationale travaillerait actuellement sur un nouveau barème de notation pour cet exercice scolaire. Le principe : valoriser plutôt que sanctionner. Il s’agirait ici de ne plus compter le nombre de fautes mais plutôt le nombre de mots qui sont bien orthographiés. C’est ce qu’on appelle dans le jargon pédagogique : « l’évaluation positive » parangon de la « pédagogie inversée » et autres billevesées éducatives.
     
    En fait, une nécessité pour le ministère qui a écrit, dans une note que l’actuel système de notation de la dictée ne permettait pas « de bien cerner » les « difficultés orthographiques » d’un élève ni « les remèdes » qu’on pouvait lui apporter. Alors, on casse le thermomètre. Sauf que, toujours face à de telles idées folles, la réalité est implacable. En fait, près de neuf e-mails sur dix contiennent une erreur orthographique. Or, les fautes d’orthographe coûteraient des millions d’euros aux entreprises et les plus affectées par ce problème seraient celles sur internet

    Une étude anglaise affirme qu’une seule faute d’orthographe sur un site de e-commerce peut diviser les ventes par deux. « Sur Internet, il est facile de comparer, de changer de site, de commencer son achat à droite et de le finir à gauche. La forme devient stratégique. Il n’y a pas de deuxième chance. Et la forme, c’est quoi ? Des images et du texte. Point. L’enjeu est simple, il faut susciter la confiance, convaincre d’acheter, avec des images et du texte. Agrémenter le tout de fautes d’orthographe, c’est se tirer une balle dans le pied », a expliqué Pascal Hostachy, cofondateur de Woonoz et spécialiste de la remise à niveau en orthographe.
     
    Du coup, certaines entreprises envoient désormais leurs salariés en formation orthographique, avec certificat à la clé et d'autres exigent un tel certificat lors de l'embauche. Ce certificat, on l'aura compris, le Ministère de l'Education nationale est bien incapable de le fournir même pour ses bacheliers. 

    L'Education nationale  sert-elle encore à quelque chose ? En attendant refusons et contestons les courriers administratifs mal orthographiés. La loi le permet. 
     
    METAMAG
  • Israël impose des sanctions économiques aux Palestiniens

    par Crispian Balmer

    JERUSALEM (Reuters) - Israël a imposé jeudi des sanctions économiques aux Palestiniens en riposte à la signature par Mahmoud Abbas d'une quinzaine de traités internationaux, dont les Conventions de Genève, a annoncé un responsable israélien.

    Selon ce responsable, qui s'est exprimé sous le sceau de l'anonymat, les sanctions portent sur une réduction du montant du transfert des taxes collectées par Israël au profit de l'Autorité palestinienne, dont sera désormais déduit le remboursement de la dette, ainsi que sur une limitation de la somme que le gouvernement palestinien peut déposer dans les banques israéliennes.

    Les taxes qu'Israël prélève sur les marchandises destinées aux Palestiniens représentent une centaine de millions de dollars par mois, soit les deux tiers du budget palestinien.

    En outre, Israël a décidé de suspendre sa participation à un projet de prospection gazière au large des côtes de la bande de Gaza.

    Israël, qui accuse le président palestinien d'avoir trahi sa promesse de ne pas se tourner vers les Nations unies pendant les négociations, reste néanmoins prêt à "poursuivre les efforts de paix", a dit le responsable israélien.

    Un haut responsable palestinien, Yasser Abed Rabbo, a condamné les mesures de rétorsion israéliennes.

    DES PROGRÈS ENTRE NÉGOCIATEURS

    "Ces sanctions ne nous font pas peur. Elles montrent à la communauté internationale qu'Israël est un Etat d'occupation, raciste, qui recourt à l'arme de la punition collective, en plus d'autres pratiques comme l'expansion des colonies de peuplement et le refus de nos droits les plus fondamentaux", a-t-il dit.

    Mahmoud Abbas a expliqué sa décision de signer des traités internationaux par le refus des autorités israéliennes de libérer avant la fin mars un groupe d'une vingtaine de détenus arabes, comme elles s'y étaient engagées l'été dernier au moment de la reprise du processus de paix sous l'égide des États-Unis.

    Israël avait déjà, en signe de rétorsion, décidé mercredi de limiter ses contacts avec les responsables palestiniens.

    Malgré cette crise sont apparues jeudi les prémices d'un accord sur la poursuite des négociations de paix, fortement fragilisées ces derniers jours.

    Les négociateurs israéliens et palestiniens, qui se sont retrouvés jeudi pour la troisième fois de la semaine, ont évoqué des propositions pour sortir de l'impasse actuelle et proroger le cycle de négociations jusqu'au début 2015, a dit une source israélienne, confirmant les informations de certains médias israéliens et arabes.

    A Washington, le département d'Etat a indiqué que les deux camps avaient réalisé des progrès mais n'a pas voulu pour autant parler d'accord sur la prolongation des négociations au-delà de la date-butoir du 29 avril.

    (Tangi Salaün et Eric Faye pour le service français)

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