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GAELLE MANN - Page 1181

  • Peugeot contraint de renoncer au marché iranien

     

    Haro sur les dirigeants industriels de Peugeot à qui l’on reproche, essentiellement le président de la République et son ministre du redressement productif Arnaud Montebourg, la fermeture de l’usine d’Aulnay et les licenciements qui en seraient consécutifs. Tout est bon : les mauvaises performances commerciales, la vente à l’export de types de véhicules en fin de série, ne pas avoir su, comme l’aurait fait Volkswagen, adapter sa stratégie industrielle aux nouveaux marchés et enfin laisser planer le spectre d’une OPA sur le groupe après avoir été déjugé avec une action qui a chuté de 77% en un an.
    Benjamin Pelletier, formateur – management interculturel chez Freelance, chargé de cours à l’Ecole Centrale de Paris, à l’Ecole de guerre économique…, écrivain, donne un éclairage géopolitique de la cabale lancée contre Peugeot, sans doute plus près de la réalité que les invectives partisanes du ministre, largement reprises par nos grands médias nationaux.

    Auteur : Benjamin Pelletier - le 21 Juillet 2012

     

    Polémia

  • Lille: un violeur récidiviste a fait 4 victimes

    Entre avril et juillet, dans la région lilloise, une jeune femme a été violée et plusieurs autres jeunes femmes ont été victimes de tentative de viol, et à chaque fois par le même homme.

    Le mode opératoire était toujours le même. Il s'introduisait chez ses victimes avec un pied de biche. Puis, après s'être assuré qu'elles étaient seules, il passait à l'acte.

    Un suspect, âgé de 24 ans, a été interpellé dans la nuit de mercredi à jeudi. Placé en garde à vue, il a nié les faits.

    Pourtant plusieurs de ses victimes l'ont reconnu formellement.

    De plus, il a déjà été condamné en 2008 à huit ans de prison ferme, pour viol. Depuis peu, il bénéficiait d'un aménagement de peine.

    Il a été mis en examen.

     
    Faits Divers - 21/07/12
  • Bayreuth: Evgeuni Nikitine, une star russe qui dérange pour cause de tatouages

     

    Evgueni Nikitine a expliqué s'être fait tatouer en 1989, 1990 et 1991 en Russie et avoir choisi les motifs dans des "livres sur des mythes nordiques et des catalogues de magazines de tatouages". "Les motifs n'ont pour moi aucune signification politique. Ils ont simplement une signification spirituelle. Je n'ai jamais appartenu à un parti politique, ni hier, ni aujourd'hui", a-t-il dit.

    Un remplaçant sud-coréen

    Parmi les différents tatouages à connotation nazie sur la poitrine du baryton-basse de 38 ans, Bild am Sonntag dévoile : une croix gammée, sur laquelle a ensuite été tatouée un autre motif, et deux runes (caractères de l'ancien alphabet des langues germaniques orientales et septentrionales). Une rune en forme de flèche qui est, selon un expert cité par Bild am Sonntag, Volker Koop, la "rune de combat", ancien signe de reconnaissance d'une division de volontaires SS. Et une rune en forme de triangle avec un trident, "la rune de vie" utilisée notamment par l'organisation nazie Lebensborn, dont le but était d'augmenter le taux de naissance d'enfants aryens.

    Selon le porte-parole du Festival de Bayreuth, Peter Emmerich, cité par Bild am Sonntag, Evgueni Nikitine, s'est "montré calme et paisible", lors de l'entretien qu'il a eu samedi matin avec la direction du Festival après les révélations sur ses tatouages. Questionné sur la signification de ces motifs, il a réagi avec "une grande ignorance et naïveté", a ajouté Peter Emmerich. Katharina Wagner, 34 ans, qui dirige avec sa demie-soeur, Eva Wagner-Pasquier, 67 ans, le Festival a confié à Bild am Sonntag: "Ma soeur et moi, nous sommes très touchées et bouleversées" par cette histoire.

    La décision de Nikitine de se retirer est "complètement en harmonie avec la politique du Festival de rejeter l'idéologie national-socialiste sous n'importe quelle forme", avait déclaré samedi soir le Festival sur son site internet. L'annulation de la présence de Nikitine à Bayreuth, quatre jours avant la première du "Vaisseau Fantôme", a obligé la direction à trouver un nouveau chanteur pour le premier rôle. Il s'agit du Sud-Coréen de 40 ans Samuel Youn. Le baryton, qui a étudié le chant à Séoul, Milan et Cologne, occupe également le rôle du "héraut du roi" dans la production de "Lohengrin", programmée le 27 juillet notamment au Festival, deux jours après la première du "Vaisseau Fantôme".

    TF1 - le 22 juillet 2012 à 13:43
  • Rafle du Vél d'Hiv - Hollande: "Ce crime a été commis en France par la France"

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    François Hollande a reconnu dimanche la responsabilité historique de la France dans la gigantesque rafle de Juifs du vélodrome d'Hiver commise en juillet 1942 à Paris par la police française au service de l'occupant nazi. Sur ce sujet resté longtemps un tabou de la France d'après-guerre, le chef de l'État a ainsi confirmé la première déclaration en ce sens formulée en 1995 par Jacques Chirac, mais il a surtout brisé l'ambiguïté entretenue sur le sujet par le premier président socialiste de la Ve République, François Mitterrand.

    "La vérité, c'est que la police française s'est chargée d'arrêter des milliers d'enfants et de familles. (...) La gendarmerie les a escortés jusqu'aux camps d'internement. La vérité, c'est que le crime fut commis en France par la France", a-t-il dit lors d'un discours de commémoration à Paris. "La vérité, c'est que le crime du Vél'd'Hiv fut aussi commis contre la France, contre son honneur, contre ses valeurs, contre son idéal", a-t-il ajouté. Il a rappelé que des milliers de personnes ciblées ce jour-là avaient pu survivre en étant prévenues par des Français qui s'opposaient à cette politique.

    Hommage à Chirac

    Le chef de l'État a aussi salué la "lucidité" et le "courage" de Jacques Chirac. "La reconnaissance de cette faute a été énoncée pour la première fois, avec lucidité et courage, par le président Jacques Chirac, le 16 juillet 1995", souligne François Hollande dans cette introduction. Ce dernier - que Hollande a rencontré samedi en Corrèze - fut le premier président à reconnaître la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs de France.

    Lors d'une rafle à Paris et en banlieue menée par la police française et soigneusement préparée, 13 152 Juifs étrangers réfugiés en France, dont plus de 4 000 enfants, avaient été arrêtés, internés dans le vélodrome d'Hiver, dans le 15e arrondissement. Le bâtiment ne fut rasé qu'en 1959. Conduits dans les camps français de Drancy, Beaune-la-Rolande et Pithiviers, où les enfants furent séparés des parents, tous furent ensuite acheminés vers les camps d'extermination nazis, dont Auschwitz. Les survivants furent à peine quelques centaines. Ce fut l'acte le plus grave de la politique de collaboration avec l'occupant nazi décidée par le gouvernement de Vichy et son chef, le maréchal Pétain. Il y eut au total 76 000 Juifs déportés de France sous l'Occupation, un quart de la communauté. Il y eut 2 500 survivants.

    Hollande se démarque de Mitterrand

    François Hollande se démarque ainsi de son ancien mentor, l'ex-président François Mitterrand, qui considérait que la France ne pouvait être mise en cause dans la déportation des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, puisque, selon lui, il n'y avait eu, durant l'occupation allemande, qu'une seule France légitime, celle de la France libre. Le premier président socialiste de la Ve République avait occupé un poste subalterne dans l'administration de Vichy avant d'être résistant, et fut surtout toute sa vie l'ami personnel de René Bousquet, chef de la police de Vichy et organisateur de la rafle du Vél'd'Hiv, tué par un déséquilibré en 1993. François Mitterrand créa cependant une journée de commémoration nationale de la rafle en 1993.

    Jacques Chirac fut ensuite le premier en 1995 à briser le tabou en admettant la responsabilité du pays. "Ces heures noires souillent à jamais notre histoire, et sont une injure à notre passé et à nos traditions. Oui, la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des Français, par l'État français. (...) La France, patrie des Lumières et des droits de l'homme, terre d'accueil et d'asile, la France, ce jour-là, accomplissait l'irréparable."

     

    Le Point - 22/07/12

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  • Notes du bac français: discrimination anti-catholique par l'enseignement public ?

    http://www.contre-info.com/des-eleves-sacques-car-venant-dun-lycee-catho

     

    VIDEO

     

    Contre-info.com - 21/07/12

  • C'était un 21 juillet...

    1306 : excédé par leurs exactions, le roi Philippe le Bel décide l’expulsion de tous les juifs vivant en France et la confiscation de leurs biens. On parle de 100 000 exilés.

    1861 : première grande bataille de la guerre de Sécession, à Bull Run (Virginie), où les Confédérés battent les troupes de l’Union. Chacun comprend que la guerre sera longue et sanglante.

    1934 : mort du maréchal Louis Hubert Lyautey. Ce monarchiste légitimiste a été élu à l’Académie française (1912) et promu maréchal de France en 1921. Sa carrière, commencée à Madagascar, connaîtra son apogée au Maroc où il mènera une politique particulièrement intelligente, en associant l’élite marocaine au développement du pays.

    1936 : début du siège de Tolède, dont la défense héroïque est assurée par le colonel José Moscardo (jusqu’au 27 septembre).

    Source : Éphémérides nationalistes

    Contre-info.com

  • Braquage de la bijouterie: Alain C. mis en examen, le braqueur né à Marrakech

    Damien le 21 juillet 2012 à 19:38 

    Le bijoutier parisien a été mis en examen samedi pour homicide volontaire après avoir tué le braqueur qui s’était introduit dans sa boutique jeudi. Âgé de 60 ans, le commerçant a été laissé libre sous contrôle judiciaire. [1]

    Alain C, le bijoutier du 7e arrondissement de Paris qui a abattu son braqueur jeudi, a-t-il agi en état de légitime défense ? (…) Les policiers ont retrouvé cinq douilles en possession du bijoutier. La thèse de la légitime défense pourrait alors être mise à mal : le bijoutier aurait eu, en effet, à recharger l’arme entre les différents tirs. (…)

    Le bijoutier, installé avenue de La Motte-Picquet, a sorti son arme, un Manurhin qu’il détenait légalement et gardait dans un coffre-fort, alors que le braqueur venait de rentrer dans sa boutique armé d’un revolver de type 22 long rifle. (…)

    D’après nos informations, le braqueur serait un homme de 52 ans, né à Marrakech, connu des services de police, mais sans rapport avec le grand banditisme.[2]

    Sources : 1 Lci.tf1.fr, 2 Le Point, Merci à Merdalor et Veilleur

    Défrancisation

  • Assemblée Nationale/AME: amendement présenté par Gilbert Collard

    Posté par le 21 juillet 2012

     

    Jeudi 19 juillet, Gilbert Collard a présenté à l’Assemblée Nationale l’amendement n°376 relatif à la suppression de l’Aide médicale d’État

     

    Liste complète des cinq amendements déposés par Marion Maréchal Le Pen et Gilbert Collard (n° 374 sur le rétablissement de la TIPP flottante; n°377, 378, 376 sur l’AME; n°380 sur la prise en charge des frais de scolarité pour les Français de l’étranger).

  • Mis en examen, le bijoutier parisien conteste l'homicide volontaire

    Le bijoutier parisien qui a tué un homme qui tentait de braquer son commerce, jeudi, a été mis en examen pour homicide volontaire ce samedi. Alain, 60 ans, a été laissé libre sous contrôle judiciaire, avec notamment interdiction de détenir ou de porter une arme.

     
     

    «Ce qui, vu les circonstances, me semble logique», réagit son , Me Laurent-Franck Liénard. En revanche, le bijoutier contestait le chef de mise en examen d'homicide volontaire, car «l'intention de repousser l'agresseur y était mais l'intention d'homicide n'y était pas», affirme Me Lienard. «Effectivement la qualification d'homicide volontaire le gêne beaucoup puisque logiquement, il n'a pas voulu tuer, il a juste voulu se défendre», insiste-t-il, ajoutant : «C'était son troisième et au cours des deux précédents, il s'était fait tirer dessus

    Alain assure qu'il a agi pour se défendre. «Il regrette ce décès tout en ayant la certitude qu’il n’y avait pas d’autre choix. C’était ou lui ou le braqueur», soulignait vendredi Lienard. L'enquête devra déterminer s'il s'agit bien de légitime défense.

    Il aurait tiré à cinq reprises

    L'autopsie a révélé que la victime a reçu une balle à l'épaule et une à la hanche, avait précisé vendredi une source judiciaire ajoutant qu'il n'y avait pas eu d'échange de coups de feu. Selon les premiers éléments de l'enquête, le bijoutier a tiré à cinq reprises sur le braqueur dont l'arme n'était pas chargée, a indiqué samedi une source judiciaire. Cinq douilles ont été retrouvées dans la bijouterie, a-t-il été précisé. Selon l'article 122-5 du code pénal, la légitime défense, excluant une responsabilité pénale, est retenue «sauf s'il y a disproportion entre les moyens de défense employés et la gravité de l'atteinte».

    «Evidemment la légitime défense sera débattue et évidemment nous la démontrerons parce qu'elle ne fait pas de doute : il a des traces partout, il a été vu par un médecin, il a des traces de coups sur le corps. La confrontation a vraiment été très violente», argumente Me Liénard .


    Agé de 52 ans, le braqueur n'était pas connu pour des faits similaires commis par le passé, a indiqué une source proche de l'enquête. Il n'avait jamais été condamné, a ajouté une source judiciaire qui a précisé qu'il était juste soumis à une interdiction de gérer.

    Jeudi, «le braqueur est rentré avec une arme de poing dans la bijouterie, le bijoutier possédait une arme et s'en est servi. Il a tiré et le braqueur est décédé quelque temps après», indique une source policière. «L’enquête n’en est qu’à ses débuts, mais il y a eu lutte à mains nues», indique au «Parisien» Me Lienard. «Les traces de coups qui ont marqué mon client sur le visage et les bras l’attestent. Alors qu’il était mis en joue, il a ensuite répliqué et fait feu.»

    Selon une source proche du dossier, le bijoutier a tiré «à plusieurs reprises, au moins deux fois» et il n'y a pas eu d'«échange de coups de feu». Il disposait d'un permis de détention d'arme. Il gardait son arme dans son coffre-fort. Il a lui-même appelé les services de police.

     

    Le Parisien - 21/07/12

  • Syrie: Fabius pense déjà "le jour d'après"

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    Laurent Fabius a invité l'opposition syrienne à former rapidement un gouvernement provisoire.

    Les opposants au régime de Bachar el-Assad doivent "se mettre en ordre de marche afin de prendre les commandes du pays". Alors que la bataille fait rage à Damas entre insurgés et forces gouvernementales, le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a dit samedi souhaiter "la formation rapide d'un gouvernement provisoire représentatif de la diversité de la société syrienne".

    "Quelles que soient ses manoeuvres, le régime de Bachar al-Assad est condamné par son propre peuple, qui fait preuve d'un grand courage. Le moment est venu de préparer la transition et le jour d'après", déclare Laurent Fabius.

    Le ministre a indiqué que la France était prête "à toute initiative - y compris la tenue à Paris d'une réunion ministérielle - en vue de consolider les efforts des pays arabes dans la construction de la Syrie de demain". Laurent Fabius a par ailleurs dit avoir "pris un certain nombre de contacts, notamment avec le secrétaire général de la Ligue arabe, ainsi qu'avec le Premier ministre du Qatar".

    Laurent Fabius assure enfin vouloir aborder lundi à Bruxelles avec ses homologues européens la question de l'aide aux réfugiés syriens qui fuient, de plus en plus nombreux, les combats.

     

    Europe1 - 21/07/12

  • Paris - Le bijoutier qui a tué le braquur plaide la légitime défense

    Jusqu’au bout, Alain a cru qu’il n’avait que blessé son agresseur. Jeudi, en fin d’après-midi, ce bijoutier de l’avenue de la Motte-Picquet, à , a dû se rendre à l’évidence : les pompiers n’avaient rien pu faire pour sauver sa victime, un homme de 52 ans qui venait de tenter de son commerce. « Lorsqu’il a appris la nouvelle, il a été bouleversé, souffle Me Laurent-Franck Lienard, l’avocat du bijoutier.

     
      Mais il a vu sa propre en face. Il regrette ce décès tout en ayant la certitude qu’il n’y avait pas d’autre choix. C’était ou lui ou le braqueur. »

    D’après les résultats de l’autopsie, réalisée hier, deux balles ont été tirées dans l’épaule droite de la victime. L’une d’elles a ricoché avant de traverser le thorax et de provoquer une hémorragie. Le braqueur est décédé en vingt minutes. Jusqu’alors inconnu des services de police, il avait seulement été mentionné une fois au Stic, le système de traitement des infractions constatées, pour une affaire de recel. « Il n’a pas eu de chance, estime une source policière. Ses blessures auraient pu ne pas être mortelles. »

    Placé en garde à vue, Alain a détaillé sa version des faits, qui semble coller avec les éléments de l’enquête et accréditer la thèse de la légitime défense. Le braqueur aurait fait irruption armé dans la boutique, mais on ne connaît pas pour l’instant la nature de l’arme ni si elle était réelle ou factice. D’abord, le bijoutier aurait tenté de désarmer son agresseur. « L’enquête n’en est qu’à ses débuts, mais il y a eu lutte à mains nues, reprend Me Lienard. Les traces de coups qui ont marqué mon client sur le visage et les bras l’attestent. Alors qu’il était mis en joue, il a ensuite répliqué et fait feu. »

    Le commerçant possédait son arme légalement. Il disposait d’une autorisation de la préfecture, à titre de défense, délivrée pour cinq ans et qui venait d’être renouvelée. Veuf, installé dans le quartier de longue date, le bijoutier avait déjà été agressé et braqué par le passé. « Il avait été traumatisé, relève son avocat. Mais ça n’en faisait pas pour autant un va-t-en-guerre. Tout le monde le décrit comme quelqu’un de très calme et discret. »

    Les commerçants du secteur ont d’ailleurs organisé une collecte en sa faveur. Un à un, ils ont été interrogés par les enquêteurs du troisième district de police judiciaire. Alors que la piste d’un éventuel complice était avancée jeudi, « nous sommes très prudents sur cet aspect, souligne une source proche de l’enquête. Quelques témoins mentionnent la présence d’un second individu, mais nous n’avons pas grand-chose si ce n’est la photo d’un homme de dos qui nous a été remise. »

    Le bijoutier saura, lui, aujourd’hui en fin d’après-midi, le sort que lui réserve la justice à l’issue de sa garde à vue. Son conseil en est persuadé : « Il a tiré dans un cadre légal, avance Me Lienard, donnant une réponse proportionnée à la menace de cet individu qui le braquait avec l’intention de tirer. »

    Le Parisien - 21/07/12

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    Les commerçants du quartier soutiennent le bijoutier

     

    NdB: Curieux: le bijoutier a un prénom, Alain, mais le braqueur n'en a pas...

     

     

     

     

     

     

  • Le baryton au tatouage nazi n'ira pas au festival de Bayreuth

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    le 21 juillet 2012 à 17h21 , mis à jour le 21 juillet 2012 à 17h29

    Le Russe Evgeny Nikitin, qui devait faire ses débuts au Festival de Bayreuth dans le rôle principal de la nouvelle production du "Vaisseau fantôme", a annulé sa venue après la révélation par une télévision qu'il avait un tatouage nazi.

     
     
      
     

    Des objets portant la croix gammée nazie (archives).Des objets portant la croix gammée nazie (archives). © LCI

    Sa venue au festival exclusivement dédié au compositeur allemand Wagner, risquait de faire des vagues. Le Russe Evgeny Nikitin, qui devait faire ses débuts au Festival de Bayreuth dans le rôle principal de la nouvelle production du "Vaisseau fantôme", a annulé sa venue après la révélation par une télévision qu'il avait un tatouage nazi.

    Le baryton-basse Evgeny Nikitin a annoncé sa décision samedi matin à la direction du Festival de Bayreuth, a indiqué un porte-parole du Festival, temple dédié à l'oeuvre du compositeur Richard Wagner.

    Vendredi soir, l'émission culturelle de la télévision publique allemande ZDF, "Aspekte", avait montré le tatouage sur le buste du chanteur: au dessus de la poitrine, on pouvait voir une croix gammée sur laquelle avait été rajouté par dessus un autre motif. Le Russe Evgeny Nikitin, cité par l'agence de presse allemande dpa, a de son côté déclaré: "je n'avais pas conscience de la portée des irritations et blessures que ces signes et symboles, particulièrement à Bayreuth, dans le contexte du Festival, pouvaient engendrer".

    Uniquement dédié à Wagner, Bayreuth, bourgade reculée de Bavière (sud) réunit pendant un mois les aficionados du compositeur. Les liens du Festival avec les hauts dignitaires de la dictature nazie en Allemagne font partie des chapitres les plus sombres de l'histoire de la musique en Allemagne: Adolf Hitler était un invité régulier du Festival et s'y laissait fêter.

    le 21 juillet 2012 à 17:21
     
    TF1
  • De faux reportages sur la Syrie seraient filmés au Qatar

     

    Selon l’agence Ria Novosti « de faux reportages sur les événements en Syrie sont réalisés par une entreprise qatarie spécialisée dans la production de décors cinématographiques, rapporte jeudi l’agence syrienne SANA, précisant que cette entreprise est située dans les environs de Doha.

    Selon l’agence, qui cite ses propres sources, on trouve dans la région d’al-Zoubayr, en banlieue de Doha, des maisons et des rues ressemblant à celles de Damas, de Lattaquié et d’Alep. A l’heure actuelle, cette région voit affluer des véhicules, dont des jeeps militaires avec des plaques d’immatriculation syriennes, ainsi que des lots d’uniformes syriens destinés à simuler les opérations des « troupes du régime de Damas ».

     

    D’après les journalistes de SANA, ces mises en scène seront utilisées par des chaînes de télévision arabes et occidentales hostiles à Bachar el-Assad pour déclencher une nouvelle vague de guerre médiatique et convaincre la communauté mondiale de la nécessité d’une intervention armée en Syrie. »

     

    Contre-info.com

  • Syrie: point de la situation par Thierry Meyssan

    Depuis le début de la bataille de Damas, nous attendions avec impatience la réaction de Thierry Meyssan (qui se trouve en Syrie). La bataille de Damas, mensonge ou réalité ? Le journaliste indépendant dresse un bilan sans appel de ce qui se passe en Syrie.

     

    Voici cinq jours que Washington et Paris ont lancé l’opération « Volcan de Damas et séisme de la Syrie ». Il ne s’agit pas d’une nouvelle campagne de bombardements aériens, mais d’une opération de guerre secrète, comparable à celle conduite à l’époque Reagan en Amérique centrale.

    40 à 60 000 Contras (NDLR : mercenaires/contractors), principalement libyens, sont entrés en quelques jours dans le pays, le plus souvent par la frontière jordanienne. La majorité d’entre eux sont rattachés à l’Armée « syrienne » libre, structure paravent des opérations secrète de l’OTAN, placée sous commandement turc. Certains sont affiliés à des groupes de fanatiques, dont Al-Qaida, placés sous commandement du Qatar ou d’une faction de la famille royale saoudienne, les Sudeiris. Au passage, ils ont pris quelques postes frontières, puis ont rejoint la capitale où ils ont semé la confusion en attaquant au hasard les cibles qu’ils trouvaient : groupes de policiers ou de militaires isolés.

    Lire la suite

    Contre-info.com - 20/07/12

  • Attentat de Bourgas: le terroriste kamikaze n'est toujours pas identifié...

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    A une conférence de presse sur l’attentat suicide de mercredi à Bourgas, lorsqu’un car de touristes israéliens a été détruit par une forte explosion, le ministre de l’Intérieur Tsvétan Tsvétanov a déclaré que les enquêteurs continuent les opérations pour permettre d’établir le point de départ du terroriste et son identification. Une des nombreuses hypothèses indiquerait il n’est pas exclu que le kamikaze aurait eu un complice. Il n’y a aucun lien entre le terroriste et la photo de l’homme qui aurait été à Guantanamo publiée sur certains sites, a ajouté le ministre.
     
    Radio Bulgarie
  • Le kamikaze de Burgas en Bulgarie est un détenu de Guantanamo avec un permis de conduire américain

     

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    Les médias bulgares parlent du kamikaze qui a fait exploser le bus avec des touristes israéliens, mercredi, tuant sept personnes dont cinq israéliens. Pour eux, le terroriste se nomme Mehdi Ghezali, un islamiste algérien-suédois qui a passé deux ans à Guantanamo Bay.

    Les autorités ont jusqu'ici refusé de commenter l'information.

    En effet, cela signifie que le coup aurait pu être monté par les USA.

    De plus, le kamikaze portait vraisemblablement un permis de conduire américain portant le nom de Jacque Felipe Martin que les autorités croient être un faux.

    Mehdi Ghezali est un islamiste de 33 ans, qui a été arrêté au Pakistan en 2001 et a ensuite passé deux ans en détention à Guantanamo.

    Quand il a été renvoyé en Suède, le gouvernement local a refusé de porter des accusations contre lui. Il a été arrêté à nouveau par les autorités pakistanaises à la frontière avec l'Afghanistan en 2009, mais encore une fois mis en liberté puis extradé vers son pays natal.

     

    L'homme plutôt célèbre a même un wikipedia

     

    Marc Bieldermann pour WikiStrike

    Source : RT - Voix de la Russie