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GAELLE MANN - Page 1198

  • L'extrême droite progresse en Europe

  • La France doit "se donner les moyens" d'abolir la prostitution selon Najat Vallaud-Belkacem

     

    Le Monde.fr | 24.06.2012 à 09h36 • Mis à jour le 24.06.2012 à 09h36

     

    Najat Vallaud-Balkacem, le 17 mai. 

     

     La ministre des droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, souhaite voir la France "se donner les moyens" d'abolir la prostitution, explique-t-elle dans un entretien au Journal du dimanche. "Je ne suis pas naïve, je sais que ce sera un chantier de long terme", précise la porte-parole du gouvernement, ajoutant que la "position abolitionniste" du Parti socialiste est "le fruit d'une réflexion tirant les leçons des insuffisances des dispositifs actuels".

    A propos du vote par les députés en 2011 d'une résolution préconisant de pénaliser les clients de la prostitution, Najat Vallaud-Belkacem assure que le ministre de l'intérieur Manuel Valls et elle "ne resteront pas inactifs sur cette question". "Nous organiserons une conférence de consensus", ajoute-t-elle sans plus de précision.

  • Hongrie : le retour en force du néo-paganisme

     

    Par Vincent Baumgartner et Corentin Léotard

    Les néo-païens sont de retour en Hongrie ! Dernière preuve en date de leur influence grandissante, leur don au Kazakhstan d’un « arbre de la vie » de 9 mètres de haut en l’honneur de leurs « peuples frères des steppes ». Cet « életfa » symbolise dans la mythologie hongroise la résistance au Christianisme et constitue un élément essentiel des croyances táltos, les chamanes hongrois. Plus significatif encore, une scène extraordinaire s'est déroulée quelques semaines plus tôt au sein du parlement hongrois : Ojun Adigzsi See-Oglu, un grand chamane venu de la République russe de Touva aux confins de la Sibérie, s’est livré à une danse rituelle devant la Sainte-Couronne, le symbole du christianisme en Hongrie. Ces anecdotes illustrent un renouveau identitaire plus profond et une contre-culture qui prend de l'ampleur.

    Le cerf merveilleux "Csodaszarvas"

    Face au catholicisme romain imposé par la force il y a mille ans par le roi Szent-Istvan (Saint-Étienne), le paganisme est en train de renaître de ses cendres. De nombreux courants néo-païens se sont développés au cours de ces dernières années avec le dépoussiérage d’une histoire hongroise mythifiée et régulièrement célébrée dans des festivals. Il est fréquent de rencontrer l’aigle Turul ou le cerf merveilleux Csodaszarvas au détour d’un village, dont le nom sur le panneau est désormais écris en proto-hongrois (les runes hongroises), banni jadis par Saint-Étienne. Emese, Magor, Koppány, Álmos… ces prénoms issus de la mythologie hongroise sont très populaires. A tel point qu’il semble que la mythologie païenne et chamanique soit en train de devenir un élément symbolique de l’identité nationale.

    Un pays « fondamentalement païen et en pleine crise identitaire »

    Avec l'arrivée au pouvoir au moi de mai 2010 de la Fidesz et de son « éminence grise » - le parti chrétien-démocrate (KDNP) - la Hongrie actuelle se verrait bien en porte-étendard de la Chrétienté en Europe. En fait, comme l’explique l'historien des religions Attila Jakab, "la Hongrie est un pays chrétien seulement dans la rhétorique politique de la droite. En réalité c'est un pays frustré, en pleine crise identitaire, en quête effréné de soi, et fondamentalement païen". Il affirme aussi que "le fondement sociopolitique de ce néo-paganisme hongrois est constitué des frustrations et de l’inculture. Une bonne partie des Hongrois cherche à s’évader et à s’imaginer un passé glorieux, à rechercher le paradis perdu, car le présent est de plus en plus perçu comme invivable". Selon son analyse, habitués à la servitude pendant de longs siècles - le communisme couronnant le tout- les Hongrois sont toujours en attente d’une Moïse-Messie qui les conduirait dans le Canaan de l’abondance pour résoudre leurs problèmes, sans efforts ni sacrifices individuels en contrepartie.

    « De même que l’univers des croyances du chamanisme a toujours fait partie de la culture hongroise, il semble que la mythologie chamanique se soit transformée en élément symbolique de l’identité nationale. », écrit pour sa part l’ethnologue Mihály Hoppál[i]. Cette mythologie est particulièrement attrayante pour l’extrême-droite car elle constitue un trait d’union avec d’autres peuples d’Asie centrale et renforce sa thèse selon laquelle les Hongrois ne seraient pas un peuple finno-ougrien (proche des Finlandais et des Estoniens), comme cela est admis par une majorité des scientifiques, mais partageraient des racines communes avec d’autres peuples d'Asie centrale : les Turcs, les Kirghizes, les Turkmènes, les Ouïgours, les Tatars et même les Tchétchènes. Le festival « Nagy-Kurultaj » célèbre chaque année ce « touranisme », un courant idéologique qui vise à l’union des peuples issus des tribus turcophones d’Asie centrale.

    L’Eglise catholique sonne l’alarme

    En 2009, la « Conférence Hongroise des Évêques Catholiques »[ii] publiait une lettre qui a été lue dans toutes les églises et qui dénonçait le paganisme véhiculé par les divers courants de la droite extrême. « Il y a quelques années nous pensions que la sécularisation était pratiquement le seul danger. La mentalité de consommation, l’idole de l’hédonisme sont toujours présents chez notre peuple, mais aujourd’hui on assiste aussi à un renforcement du néo-paganisme », indiquait le communiqué. Le président de la « Fédération des Intellectuels Chrétiens » (KÉSZ), le très influent Evêque Zoltán Osztie, déclarait quant à lui que "le néo-paganisme comporte également un aspect anti-hongrois incarné par une certaine forme de radicalisme politique et surtout par le parti d’extrême-droite Jobbik".

    Le professeur Attila Jakab explique aussi que "l’Église catholique en Hongrie est plutôt de type byzantin. Elle fut toujours une servante du pouvoir politique en contrepartie de privilèges et d’avantages matériels". En effet, bien que certains religieux aient courageusement tenu tête aux différentes dictatures – tels que le cardinal Mindszenty, célèbre opposant au régime communiste - force est de constater que la majorité d'entre eux n'a fait qu'obéir docilement au pouvoir en place. A présent, les Églises traditionnelles (catholique et protestante) sont "vides d’un point de vue spirituel et intellectuel. Elles n’ont plus les ressources humaines pour faire face au déferlement du néo-paganisme. D’autant plus, qu’une partie des prêtres et des pasteurs, théologiquement très mal formés (à une théologie datant du XIXe siècle), est aussi adepte ou sympathise avec ces idées néo-païennes".

    Un mouvement porté par le parti Jobbik

    Cette contre-culture rampante au sein de la société hongroise se manifeste à plusieurs niveaux. Une partie de la nébuleuse néo-païenne actuelle en Hongrie n’est pas politiquement marquée et se réclame plutôt proche d’un courant New Age, plus ou moins sectaire. Mais, comme le relève le sociologue des religions Miklós Tomka, la majorité des cultes païens se développent actuellement de pair avec une idéologie d'extrême-droite. Ils ont effectués leur grand retour dans l’espace publique avec le parti parlementaire Jobbik, le principal parti d’opposition à Viktor Orbán avec le parti socialiste.

    L’opposition entre christianisme et paganisme trouve un débouché politique, comme l’explique Attila Jakab : "Le néo-paganisme est déjà un puissant facteur de division entre la droite traditionnelle - qui se définie comme chrétienne et bénéficie de l’appui des Eglises traditionnelles - et l’extrême-droite pour qui le christianisme redéfini est un décor rhétorique. Comme une partie de la droite traditionnelle peut basculer à tout moment vers l’extrême-droite, Viktor Orbán est contraint de jouer double-jeu : préserver les chrétiens traditionnels (de plus en plus fondamentalistes) et ménager les néo-païens". Mais l'opposition entre christianisme et paganisme n’entraîne pas un clivage politique absolu. La droite extrême se trouve elle-même divisée sur le sujet et, tout en se défendant d’être païen, Jobbik accuse la droite traditionnelle Fidesz de renier les racines de la culture hongroise en rejetant le paganisme.

    Entre Erzsébet et Edit, deux femmes d’une soixantaine d’années habitant un petit village du nord du pays, la conversation est animée. La première soutient le parti socialiste (chassé du pouvoir en 2010) et se dit "scandalisée que n’importe qui puisse venir faire le clown dans un endroit comme le parlement hongrois". "En quoi ce chamane menaçait-il la Sainte-Couronne ?!", lui rétorque la seconde, à la fois fervente catholique et proche de Jobbik. Elle relativise la portée de ce mouvement néo-païen et, à l’en croire, si la société hongroise est réellement secouée de spasmes de paganisme, c’est inconscient. "La plupart des gens n’ont même jamais entendu parler des táltos [sorte de chamanes hongrois]. Ici les gens ne croient en rien", regrette-t-elle.

    Ce néo-paganisme reste encore flou, si bien qu’il est plus juste de parler de « syncrétisme » qui se compose d’éléments religieux - un chamanisme hongrois réinventé s’articulant avec un christianisme imaginé – et d’un élément d’ordre idéologique : l’antisémitisme. Car l’une des raisons de l'attrait des croyances païennes, c’est le rejet du judaïsme à travers celui du christianisme. Pour une partie de la nébuleuse néo-païenne, le christianisme n’est qu’un avatar du judaïsme. Comme le proclame le site catholique d'extrême-droite « Regnum Sacrum », « Les adeptes du néo-paganisme considèrent le christianisme comme une secte juive qui est devenue religion universelle et qui a conquise et détruite l'Europe païenne en volant et en détournant ses fêtes et ses mythes. »

    Malgré la volonté du gouvernement conservateur de faire du Christianisme le ciment de la nation hongroise, la résurgence d’un néo-paganisme mêlant croyances anciennes et fantasmées, nationalisme et antisémitisme apparaît comme un symptôme d’une société qui n’a pas encore digéré son histoire récente et à la recherche de repères identitaires. Comme l'a écrit le philosophe Alain : « Mais les dieux païens, aussi, croyez-vous qu'on puisse les mépriser ? Le catholicisme en porte l'empreinte, par ses Saints, ses chapelles et ses miracles... ».

    Images : Barikad.hu


    [i] « Le chamanisme dans la culture hongroise », Mihály Hoppál, Institut d’ethnologie, Académie hongroise des sciences.

  • Le Frère musulman Mohamed Morsi élu président d'Egypte

    Posté par le 24 juin 2012

     

    Washington a bien travaillé : après avoir laissé choir Hosni Moubarak, un de ses principaux alliés au Proche Orient, voilà que les USA laissent le champ libre à la réislamisation radicale de l’Egypte, événement dont les conséquences géopolitiques seront sans le moindre doute catastrophiques, non seulement pour la région, mais jusqu’en Europe occidentale. Le candidat des Frères musulmans, Mohamed Morsi, vient d’être reconnu vainqueur de la présidentielle, contre le candidat des forces armées et des services spéciaux, héritier de la période Moubarak.

    Avec quelques 13 millions de voix contre plus de 12,3 millions à son rival Ahmed Chafiq, ancien Premier ministre de Hosni Moubarak, Mohamed Morsi peut désormais entamer la deuxième phase, celle de la prise de contrôle du pays : mettre la puissante armée égyptienne sous sa coupe, placer un peu partout des islamistes fiables sachant utiliser les largesses de Washington sans inquiéter certains faucons favorables à un remodelage des Proche et Moyen Orient. Ce sera, du reste, la première fois, qu’une armée proche-orientale qui a été ces dernières décennies équipée, entraînée et encadrée à l’Occidentale, va devenir l’outil de défense d’un Etat islamiste. La Maison Blanche, Langley et le Pentagone jouent gros.

    Ainsi s’achève une lente mutation égyptienne voulue par les puissants lobbies politiques, religieux et militaro-industriels qui décident des choix géopolitiques des Etats-Unis, évolution commencée sous la période de Bush père, qui s’est accélérée sous les deux mandats de son fils pour se terminer avec Obama.

    A l’annonce de cette victoire, des cris de joie, accompagnés de rafales d’armes automatiques tirées en l’air, ont été entendus dans la ville palestinienne de Gaza. Le mouvement islamiste Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, issu des Frères musulmans, est actuellement sur le point de se retrouver un puissant allié dans la région, avec une Égypte tombée sous la coupe des islamistes. D’autant qu’en Syrie, dans un contexte de poussée régionale des « Frères », ce sont essentiellement eux (avec des mercenaires affiliés à la nébuleuse al-Qaïda) qui mènent les plus durs combats contre les forces gouvernementales, avec l’assentiment de Washington, de Paris, de Londres, d’Ankara et des monarchies du Golfe persique comme l’Arabie saoudite et le Qatar.

  • Mort de Killian: le parquet requiert une mise en examen pour homicide volontaire

    Le parquet de Rennes a requis dimanche 24 juin la mise en examen pour "homicide volontaire sur mineur de 15 ans" et le placement en détention de l'adolescent de 16 ans, soupçonné d'avoircausé la mort d'un élève vendredi dans un collège de la ville, a annoncé le procureur.

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    L'autopsie de la victime "a permis de confirmer que son décès résultait bien d'une strangulation, les constatations étant compatibles avec les déclarations de la plupart des témoins (mis en cause serrant le cou de la victime avec son bras replié)", a précisé le parquet.

    Une rixe a opposé les deux élèves durant la récréation vendredi matin au collège de Cleunay. Après une altercation aux toilettes puis un échange de coups dans la cour, le jeune mis en cause a vraisemblablement fait subir une clé d'étranglement rapide à la victime, qui est tombée au sol alors que les enseignants intervenaient pour séparer les deux élèves.

    L'élève décédé, en classe de 5e, joueur de foot prometteur habitant à Saint-Jacques-de-la-Lande (au sud de Rennes), devait intégrer le Stade Rennais la saison prochaine. Le collégien de 16 ans, fils de réfugiés politiques tchétchènes et élève de 3e, pratiquait la boxe, selon plusieurs témoignages.

  • C.D. FRIEDRICH (1774-1840)

     

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    Lever de soleil sur la mer  (1822)

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    Clair de lune dans la forêt  (1823- 1830)

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    Soir sur la mer Baltique  (1830-1834)

     

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    L'été  (1807)

  • Meurtres, prises d’otage, agressions, mort de Kilian : marre de l’exportation de la violence mahométane !

     

    Il y en a marre. Peut-on encore dire que le hasard fait mal les choses quand on considère la liste des faits-divers tragiques qui endeuillent notre pays depuis plusieurs mois ?

    Hasard si le tueur de Montauban-Toulouse était islamiste radical et s’appelait Mohamed Merah ?

    Hasard si l‘assassin du petit Kilian s’appelle Souleymane ?

    Hasard si le tueur des deux gendarmes s’appelle Abdallah ?

    Hasard si le preneur d’otage de Toulouse se réclame d’Al Qaïda et s’appelle Fethi ?

    Hasard si les violences entre musulmans de diverses obédiences ont alimenté les faits-divers cette semaine ?

    Hasard si ceux qui, à Bruxelles, s’opposent par la violence quand ce n’est pas par l’émeute aux arrestations effectuées par les policiers sont musulmans ?

    Hasard si un français se déplace de Paris à Bruxelles, agresse deux policiers et déclare mener son combat dans le cadre du djihad islamique ?

    Certes, l’assassin d’Agnès s’appelle Mathieu. Les choses ne sont donc, fort heureusement, pas complètement manichéennes, il y a une majorité de musulmans, d’immigrés ou de descendants d’immigrés paisibles et respectueux des lois et une majorité de Français d’origine paisibles et respectueux des lois.

    Néanmoins, on est bien obligés de constater que, si notre civilisation est peu à peu parvenue à discipliner l’être humain à coups de morale, d’interdits, d’entraînement au respect de l’autre et, plus que tout, au respect de la vie, ce n’est pas le cas de la civilisation mahométane fondée sur le coran et les hadith-s de la vie de Mahomet. Tout simplement parce que les enfants qui ont le malheur de naître dans une famille musulmane pratiquante sucent avec le lait de leur mère les sourates proclamant la supériorité des musulmans sur les autres, la répétition ad nauseam de la nécessité de frapper, faire obéir ou tuer Infidèles et mécréants en tous genres et voient dès le berceau Mahomet présenté comme un modèle. Or, qui est Mahomet ? Un chef de guerre qui ne parle que conquête au nom d’Allah des terres non musulmanes, qui n’hésite pas à exterminer des tribus entières de juifs, qui fait fouetter femmes et opposants, qui proclame que apostasie et homosexualité sont passibles de la peine de mort et impose une obéissance absolue au nom d’un Dieu dont il prétend appliquer la volonté.

    On est fort loin, vous en conviendrez, de notre civilisation marquée par Socrate, qui cherche à ébranler les opinions fausses par la réflexion et préfère mourir plutôt que de s’enfuir, quand, condamné par un procès inique, il refuse de trahir les lois de son pays ; par Descartes qui enjoint de douter de tout avant tout ; par Jésus qui appelle à pardonner et à accepter l’autre avec ses imperfections et son mode de vie, fût-il contraire à l’enseignement du Christ.

    Alors comment s’étonner que les prosélytes de la religion d’Allah qui ont un compte à régler avec eux-mêmes, avec l’autre ou avec la société aient plus de mal que nos jeunes à se maîtriser et n’hésitent pas à tuer ?

    On rappellera ici que la politique du gouvernement ne peut que favoriser la naissance et le développement de nombreux Mohamed Merah, Abdallah Boumezaar et autres Fathi ou Souleymane. Taubira se glorifie de la disparition des tribunaux correctionnels pour mineurs. Taubira se glorifie de la disparition prochaine des peines plancher. Si on avait appliqué les peines plancher, les deux gendarmes seraient encore en vie…

    Combien faudra-t-il de petits Kilian assassinés pour que notre gouvernement ose répondre à la violence par une violence légitime, seule susceptible de calmer ceux qui ne connaissent que la barbare loi du plus fort ?

    Combien faudra-t-il de petits Kilian assassinés pour que notre gouvernement rompe avec la fuite en avant de l’école qui n’est plus républicaine et va l’être de moins en moins en plus avec l’application du programme éducatif de Hollande ?

    Marre de voir des petits voyous anti-école traîner leurs guêtres sur les bancs d’un « collège unique » qui refuse d’orienter avant 16 ans (et bientôt 18 ) vers un apprentissage de métier manuel qui les débarrasserait d’une école haïe et qui débarrasserait condisciples et enseignants de contestateurs violents et irrespectueux qui cannibalisent toutes les aides, sans aucun résultat et empêchent, en plus, les autres de progresser. Epouvantable cerise sur le gâteau, ils rackettent, frappent, dealent et cognent à mort dans les toilettes ceux dont la tête ne leur revient pas ou qui osent leur dire non.

    Marre de cette école qui n’est pas capable d’imposer sa loi et qui veut, sous prétexte d’égalitarisme et de mixité sociale, enlever des établissements scolaires des quartiers les perturbateurs pour les imposer là où ils seront minoritaires, sans se soucier de mettre en danger les jeunes qui respectent les autres et ceux qui ne sont pas capables de se défendre ?

    Marre de cet état d’esprit qui interdit d’enfermer dans des établissements spécialisés sont qui sont des dangers pour autrui !

    Marre de voir la France transformée par une immigration majoritairement arabo-musulmane, depuis trente ans, sans intégration, en période de chômage de masse.

    Marre de voir l’islam harceler quotidiennement nos principes laïques, avec la complicité des dhimmis de gauche et de droite.

    Marre d’avoir peur tous les jours pour nos enfants et petits-enfants.

    Marre de voir nos policiers et nos gendarmes désarmés par les juges et la dictature de la bien-pensance.

    Marre de sentir les racailles se sentir de plus en plus invulnérables.

    Marre de sentir qu’à chaque élection, le poids de l’islam est de plus important, et qu’il a été décisif dans l’élection de Hollande à l’Elysée.

    Marre d’une presse qui ne donne les noms des assassins que quand, exceptionnellement, ils s’appellent Mathieu.

    Marre de sentir que l’élection de Hollande-Taubira donne l’impression aux voyous que tout leur est désormais permis.

    Il nous faut du changement, du vrai. Mais exactement le contraire du changement qu’une Aubry appelle de ses vœux, qui ne peut qu’augmenter le nombre de victimes d’une culture de la violence qui s’implante sur notre sol avec la complicité criminelle nos politiques.

    Christine Tasin

    Résistance républicaine

     Riposte Laïque

  • 13 martyrs et 70 blessés sont le bilan sanglant de 6 jours de l'agression sur Gaza - 23/06/2012

     

    IRIB-Le Ministère de la Santé a confirmé que l'agression perpétré par les forces occupantes israéliennes sur la bande de la Gaza a fait un bilan sanglant, au cours des 6 derniers jours, augmentant à 13 martyrs et 70 blessés, dont 49 blessés et 21 patients ont souffert de suffocation.

    Le Dr Achraf el-Koudra, le porte-parole du ministère, a déclaré dans un communiqué, le samedi matin 23/6, a souligné que l'agression commis par l’occupant, depuis le lundi, sur la bande de Gaza pour le sixième jour d'affilée - a visé directement des civils non armés.

     Il a souligné que tous les raids effectués par les forces armées  occupantes ont pris pour cible des quartiers et des rues achalandées de la circulation des citoyens, tuant 13 citoyens, dont deux enfants et un infirmier, ainsi que 49 citoyens qui ont été blessés, dont 5 enfants et 3 femmes et un infirmier.

    En attirant l’attention à l’utilisation des armes interdites au niveau international, Koudra a ainsi souligné que les éléments des équipes médicales ont également été blessés, et suffoqués, jeudi matin, en raison de l'inhalation de gaz toxiques quand ils ont récupéré les corps des martyrs.

     
    Irib
     
    ALTERINFO.COM - 23/06/12

     

  • Plaidoiries bouleversantes des parties civiles au procès des parents de Marina

     

    Le Monde.fr | 22.06.2012 à 21h06 • Mis à jour le 22.06.2012 à 21h06

    Par Patricia Jolly

     

    Devant la cour d'assises de la Sarthe où sont jugés depuis le 11 juin Virginie Darras, 33 ans, et Eric Sabatier, 40 ans, pour "actes de torture et de barbarie ayant entraîné la mort" de leur fille Marina, 8 ans, et "dénonciation d'infraction imaginaire", Me Olivier Godard a ouvert les plaidoiries bouleversantes des parties civiles, vendredi 22 juin. L'avocat qui porte la voix des frères et sœurs de la fillette, morte des suites des coups portés par leurs parents en août 2009, les a décrits comme des "bouts de chou bâillonnés, robotisés et instrumentalisés". Ces quatre enfants aujourd'hui âgés de 13 à 4 ans sont parties civiles mais absents du procès en raison de leur jeunesse. Et ils peinent à trouver leurs marques hors de l'infernal huis clos familial qu'ils considéraient comme "normal", selon les éducateurs qui les suivent.

    "Ils ont un besoin terrible de dire ce que Marina a toujours tu, ces spectateurs impuissants du calvaire de leur sœur, ces figurines exposées dans la vitrine d'une famille ordinaire, a expliqué Me Godard. Ils s'interdisent d'être victimes car [ce qu'ils ont vécu] leur paraît dérisoire au vu de ce que Marina a souffert, et ils culpabilisent toujours [de n'avoir pas parlé]." L'avocat a rappelé les "2 000 journées de calvaire" de la petite fille - dont il a été établi qu'elle était martyrisée depuis l'âge de deux ans et demi -, l'humiliation, les privations, "jusqu'à cette nuit où elle a été frappée à mort". "J'ai longtemps cherché, a-t-il soufflé, mais dans l'enfer de Marina, je n'ai trouvé qu'un démon à deux têtes."

    Le conseil s'est alors approché du box des accusés. "Marina vous vouait un amour aveugle et vous avez été en permanence aveugles à cet amour, a-t-il lancé aux parents. Elle vous aimait tellement qu'elle vous protégeait. Vous deviez la vérité à la mémoire de votre fille, mais vous vous taisez pour vous protéger."

    Les parents de la petite n'ont pas réagi. Eric Sabatier, escogriffe de 2 mètres souvent très agressif à l'audience, n'a jamais apporté la moindre explication à ses actes. "Je suis un monstre", s'est-il contenté de répéter. A l'isolement depuis le début de sa détention, il a dit, jeudi, avant les plaidoiries des parties civiles, rencontrer un aumônier "une fois par semaine".

    Virginie Darras, 1,58 m, n'a cessé de pleurer sans s'expliquer non plus pendant ces neuf journées de débats. Elle aurait récemment "retrouvé la foi" en prison. Depuis, a-t-elle révélé dans un stupéfiant lapsus, elle parvient à prier "pour me demander pardon".

    DYSFONCTIONNEMENTS DES SERVICES SOCIAUX

    Me Pierre-Olivier Sur, avocat, avec Me Clémence Witt, d'Innocence en danger - une des quatre associations de protection de l'enfance parties civiles au procès -, a qualifié le couple Darras-Sabatier d'"à peu près normal". "Pour eux, Marina était un doudou à l'envers, a-t-il estimé. Ils avaient besoin d'elle pour la détruire et c'est de cette destruction que se consolidait leur relation."

    Conseil de L'enfant bleu-Enfance maltraitée, Me Vanina Padovani a pointé la faillite des institutions, et plus particulièrement celle du conseil général de la Sarthe destinataire de deux signalements concernant Marina en 2008 et en 2009. Le service d'aide sociale à l'enfance (ASE) qui en dépend n'a déclenché qu'une enquête sociale très tardive. L'avocate a réclamé "la création d'un droit d'ingérence des travailleurs sociaux dans les maisons lorsqu'il y a un signalement", et la multiplication des "unités d'accueil médico-judiciaires".

    Entendue dans une de ces structures spécialisées - dont une à été créée au Mans depuis l'affaire - , la fillette aurait pu être sauvée, a estimé l'avocate. "Son comportement gestuel et son rire métallique auraient alors pu être analysés par des professionnels", a expliqué Me Padovani, faisant référence à la vidéo projetée à l'audience d'une audition de l'enfant par les gendarmes dans le cadre d'une enquête classée sans suite, faute d'éléments probants, par le parquet du Mans, en octobre 2008. "Des fonctionnaires frileux ont mal évalué la situation de danger dans laquelle se trouvait Marina", a déploré l'avocate.

    "MARINA EST MORTE À LA NAISSANCE"

    Me Anastasia Pitchouguina, conseil de la sœur d'Eric Sabatier et de l'association La voix de l'enfant, a insisté sur la responsabilité conjointe des parents de Marina dans les faits qui ont entraîné la mort de la fillette. "Vous n'avez eu de cesse de rejeter la faute l'un sur l'autre, sur vos familles, votre passé, votre enfance, mais Virginie Darras et Eric Sabatier ont toujours agi à deux, a-t-elle lancé aux accusés qui, au temps de leur vie commune, s'affublaient des surnoms respectifs de 'mon diable' et 'ma diablesse'. Ce sont vos coups, votre acharnement à tous les deux qui ont fini par tuer Marina."

    Pour l'association Enfance et Partage, Me Rodolphe Costantino a rappelé que "Marina est morte à la naissance". Séparée d'Eric Sabatier à l'époque, Virginie Darras avait en effet accouché sous X affirmant que la fillette était décédée. Avant de la récupérer un mois plus tard et de reprendre la vie commune avec le père de l'enfant... "Virginie Darras ne voulait pas de cette enfant qui symbolisait l'échec de son couple, a tonné Me Costantino. Marina était une tache indélébile dans la vie de cette femme, inscrite sur une page du livret de famille qu'il aurait fallu pouvoir déchirer. Et Eric Sabatier n'a pas trouvé sa place de père, car leur relation était claudicante."

    Selon l'avocat, "les tortures infligées étaient une communion, les souffrances de Marina une jouissance partagée" pour le couple. "Ils se sont unis dans le sadisme jusqu'à la déraison, jusqu'à l'abomination, jusqu'au meurtre, a-t-il poursuivi. Ni la présence de leurs autres enfants, ni la crainte d'être découverts, ni les suppliques de Marina, ni ses blessures [ne les ont arrêtés]. C'était plus fort que tout. Il y avait leur histoire, et Marina n'a jamais rien été."

    UNE "DÉLIVRANCE"

    Juste avant les plaidoiries, la cour présidée par Denis Roucou avait donné lecture de SMS échangés par le couple étayant l'hypothèse de Me Costantino. Le 30 août, dans la perspective d'un énième déménagement pour échapper à la vigilance des enseignants de plus en plus curieux de leurs enfants, Eric Sabatier avait notamment pianoté à Virginie Darras : "Je t'aime. Enfin, une maison pour être heureux avec notre petite famille..." Le corps de Marina, leur fille aînée, était alors recroquevillé depuis trois semaines dans un carton, au fond du congélateur familial.

    Dos à une salle d'audience en larmes, Me Costantino a conclu que Marina est "de ces enfants dont on se réjouirait presque de la mort, parce que celle-ci est une délivrance". "Elle est passée de vie à trépas dans le silence et dans le froid, a-t-il martelé. Elle est morte comme elle est née. Toute seule."

    Le réquisitoire de l'avocat général Hervé Drevard et les plaidoiries de la défense sont prévues lundi 25 juin. Le verdict est attendu mardi 26 juin. Les accusés encourent la réclusion criminelle à perpétuité.

    Patricia Jolly

  • Killian, collégien de 13 ans, est mort sous les coups de Souleymane, 16 ans

    http://www.defrancisation.com/rennes-le-collegien-blesse-dans-une-bagarre-est-mort/

     

    + AUDIO  RTL

     

    "Il riait dans les couloirs, il disait bien « je l’ai mis K.O », il rigolait. (…) On a l’impression qu’il y avait un désir de tuer, une volonté de tuer."

     

     

    23/06/12

  • Hongrie: un test génétique crée la polémique

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    23 juin 2012

    Les médias hongrois ont rué dans les brancards quand les résultats d’un test génétique commandé à un laboratoire d’analyse médicale par un député du Jobbik, l’excellent parti nationaliste, ont été rendus publics.

    L’un des principaux sites nationalistes magyars s’est naturellement réjoui des résultats qualifiés de « nobles » :
    « Aucune trace génétique d’ancêtres juifs ou roms. »

    Emoi (probablement feint) chez les « scientifiques » stipendiés et les politicards de gauche comme de droite. Ceux-là qui faisaient mine de se haïr récemment (le parti conservateur d’Orban, au pouvoir, étant présenté comme « d’extrême-droite », sic) s’unissent sur-le-champ dans un concert d’indignation citoyenne, républicaine, etc.

    Le directeur de l’institut de génétique de l’Académie hongroise des sciences, István Raskó, a qualifié ce test de « non-sens », n’hésitant pas à mentir en affirmant qu’il est « impossible de déduire des origines ethniques d’après des variations génétiques dans le génome ».

    Le Conseil scientifique de la santé, qui assiste le gouvernement hongrois sur les questions de santé, a pour sa part dénoncé « une supercherie » (sic) scientifique et a saisi, mardi 12 juin, l’office du Procureur général hongrois, pour porter l’affaire en justice, selon les bonnes vieilles habitudes des démocrates quand ils sont acculés sur les plans scientifique, historique ou réthorique. « Nous avons aussi informé le gouvernement, car nous estimons qu’une telle pratique est inacceptable et inconcevable, d’un point de vue légal comme professionnel », a expliqué le professeur Jozsef Mandl, secrétaire du Comité scientifique.

    Pour Paul Gradvohl, spécialiste des civilisations d’Europe centrale et maître de conférences à l’université Nancy-II, cette unanimité s’explique par « l’urgence d’invalider le fondement scientifique du test, afin d’éviter toute résurgence des thèses du racisme scientifique ». (source)

    Encore une fois, le Jobbik aura su, même involontairement et indirectement, remettre en cause la domination de la bien-pensance et « faire bouger les lignes », en remettant sur le devant de la scène des sujets interdits.

    Contre-info.com

  • Rennes : Killian, un petit Breton tabassé à mort… et aucun ministre à son chevet !

     

     

    Billet d’humeur d’Isabelle Weber

    Le gamin avait 13 ans et toute sa vie devant lui… sauf que sa vie à lui s’est arrêtée à 13 ans… c’est court pour une vie. Pourquoi est-il mort si brutalement ? Il aurait, selon certains journaux, osé regarder Souleymane dans les yeux au lieu de baisser la tête… Et le présumé responsable, fort de son bon droit de caïd de 16 ans en troisième dans un collège de Rennes, aurait à priori explosé la tête de ce petit gamin sur le sol à coups de pieds, lui bloquant la carotide du bout du pied…

    Killian est mort. A 13 ans. Normal ? Non. Abject, oui ! Devons-nous nous souvenir de ce voleur de scooter qui dès l’accident avec les forces de police a eu droit à la visite d’Emmanuel Valls ? Killian a-t-il eu droit sur son lit d’agonisant à la visite des plus hautes sphères de l’Etat ?

    La réponse est tristement, horriblement, non !

    Imaginons l’inverse… Killian, 13 ans tabasse à mort Souleymane, 16 ans… Le MRAP, SOS-Racisme, la LICRA, et tout le toutim seraient intervenus en parlant des « heures les plus sombres de notre histoire ». Mais Killian avait 13 ans, il était Breton… et au fond, cela va suffire à trouver des circonstances atténuantes à la présumée violence meurtrière de Souleymane… Évidemment !

    Pourquoi Valls n’est-il pas venu de suite ? Pourquoi ces communiqués larmoyants de la part de ce gouvernement qui ne s’est pas donné la peine de se déplacer avant la mort de ce gamin ? Terrible affaire à suivre… Mais gardez en mémoire les événements. Bienvenue dans le monde socialiste.

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    Note NPInfo : la loi nous impose de respecter la présomption d’innocence. Nul débordement dans les commentaires ne sera toléré.

  • Le jeune collégien de Rennes a succombé à ses blessures


     

     

    Par lefigaro.fr Mis à jour le 23/06/2012 à 16:39 
     
    Des roses ont été accrochées ce samedi matin sur la grille de l'établissement où a eu lieu la bagarre..
     

    Le jeune garçon de 13 ans a été victime vendredi de coups portés par un élève dans la cour de récréation d'un collège tranquille de Rennes. La cause de l'affrontement reste inexpliquée.

    Le collégien de 13 ans prénommé Killian et blessé vendredi dans son établissement scolaire de Rennes, lors d'une altercation avec un autre élève dans la cour de récréation, est décédé samedi matin. «Transporté à l'hôpital dans un état critique, il est décédé des suites de ses blessures», a annoncé samedi peu avant midi le procureur de la République de Rennes. Plus tôt, la préfecture de région avait annoncé que l'enfant était en état de «mort clinique» et que «l'encéphalogramme était plat».

    Vendredi soir, le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, puis le ministre de l'Éducation, Vincent Peillon, avaient annoncé le décès de l'enfant avant que la directrice de la communication du CHU où il était hospitalisé n'explique qu'il était toujours en vie. Le premier ministre avait alors exprimé quelques heures après «ses regrets les plus vifs», ainsi que ceux de Vincent Peillon, pour avoir «annoncé à tort» le décès du collégien, évoquant des «informations erronées» émanant de sources d'ordinaire fiables.

    Le ministre de l'Éducation s'est rendu sur place ce samedi, afin de rencontrer la communauté éducative à qui il a exprimé «la solidarité du gouvernement et du président de la République». «Je suis très impressionné par la force d'âme» et «l'intelligence humaine de l'équipe éducative», très présente depuis le moment du drame pour accompagner les élèves, a également déclaré Vincent Peillon.

    Selon l'inspecteur d'académie d'Ille-et-Vilaine, Jean-Yves Bessol, «il y a eu une bagarre qui a opposé deux élèves ordinaires», et l'un des deux protagonistes «ne s'est pas relevé». «Il y a eu deux coups de poing» et «la tête a peut-être heurté quelque chose», a indiqué Jean-Yves Bessol. Selon un parent d'élève rapportant le témoignage de son fils, copain de Killian, «il y a eu une bousculade au niveau des toilettes, puis des coups échangés et un étranglement, très long.» Un étranglement «avec le coude», a précisé un membre de l'équipe éducative.

    «Pas d'incidents entre ces deux élèves précédemment»

    L'agresseur, un élève de troisième âgé de 16 ans, a été interpellé par la police chargée de l'enquête et de l'audition des témoins. Il était toujours en garde à vue samedi matin. Il y avait beaucoup d'élèves dans la cour à cette heure de récréation, surveillée par quatre adultes. «On est amenés à gérer régulièrement des problèmes de dispute de ce genre en récréation», mais «il n'y avait pas eu d'incidents entre ces deux élèves précédemment», a souligné la police.

    Selon un syndicaliste policier breton contacté par Le Figaro, l'agresseur serait d'origine tchétchène. «La communauté tchétchène est importante à Rennes et Vannes», dit-il. Killian, «de constitution frêle» selon les policiers sur place, «a été frappée par son agresseur qui lui a mis deux coups de poing puis s'est acharné sur lui en l'étranglant, le mettant en détresse respiratoire». Quand le SMUR est arrivé sur les lieux du drame, la victime était «en arrêt ventilatoire». Le jeune garçon a été réanimé dans le véhicule des sauveteurs, puis il a fait «un second arrêt ventilatoire durant le transport à hôpital».

    «Ni l'un ni l'autre» de ces élèves n'avaient posé de problème jusqu'à maintenant, dans ce collège, a indiqué Jean-Yves Bessol. Ces deux élèves sont arrivés au collège à la rentrée 2011. La victime, en classe de 5e, habitait la banlieue de Rennes mais était scolarisée dans ce collège car il propose une section sport-foot, en liaison avec le Stade Rennais. Une cellule d'écoute a été mise en place avec quatre médecins qui reviendront lundi et mardi si nécessaire. Construit en 1964, ce collège accueille 374 élèves. Ce samedi, des fleurs et des mots en hommage au jeune garçon ont été accrochés sur les grilles de l'établissement.

  • Une collégienne de 13 ans piégée par de jeunes violeurs

     

    Cinq garçons, tous âgés de 14 à 16 ans, sont suspectés d’agressions sexuelles sur une collégienne à deux reprises. Deux de leurs amies, qui ont joué les rabatteuses, ont également été interpellées.

    NATHALIE PERRIER | Publié le 22.06.2012, 07h10

    SAINT-DENIS (SEINE-SAINT-DENIS). Un accompagnement éducatif et pédagogique devrait être mis en place au collège Garcia-Lorca, où étaient scolarisés les auteurs des viols et leur victime.

    SAINT-DENIS (SEINE-SAINT-DENIS). Un accompagnement éducatif et pédagogique devrait être mis en place au collège Garcia-Lorca, où étaient scolarisés les auteurs des viols et leur victime.
    | (LP/BÉRANGÈRE LEPETIT.)

     

    Sept collégiens, cinq garçons et deux filles âgés de 14 à 16 ans, ont été déférés hier matin au parquet de Bobigny pour « viols en réunion » et « complicité de viols en réunion » sur une adolescente de 13 ans et devaient être mis en examen dans la soirée. Le parquet a requis à leur encontre un mandat de dépôt et, au vu de la gravité des faits, saisi directement le juge des libertés et de la détention.
     
     
    Ce dernier devait rendre sa décision hier, tard dans la soirée.

    Ces adolescents, jusque-là inconnus des services de police, sont suspectés d’avoir violé à deux reprises le 30 avril et le 31 mai derniers une de leurs camarades, élève au collège Garcia-Lorca, un établissement classé en ZEP, dans le quartier du Franc-Moisin, à Saint-Denis. Si tous les protagonistes sont scolarisés dans cet établissement, les faits se sont déroulés à l’extérieur, dans les parties communes d’immeubles de cette cité difficile. « Les deux filles, de soi-disant copines de la victime, ont joué les rabatteuses, explique une source proche de l’enquête. Ce sont elles qui ont manipulé l’adolescente et l’ont entraînée sur les lieux du . » La victime, inscrite depuis seulement quelques mois au collège Garcia-Lorca et décrite comme une adolescente « intelligente, mais fragile », aurait été violée par cinq garçons la première fois, par trois la seconde. « Deux d’entre eux sont imprégnés d’images de films pornographiques. Ce sont eux les meneurs », précise cette même source.

    Des scènes filmées avec un téléphone portable

    Choquée, la jeune fille s’est vu délivrer trente jours d’arrêt de travail pour traumatisme psychologique. C’est en fait la rumeur sur une vidéo de tournante impliquant un ou plusieurs élèves du collège qui a alerté l’équipe enseignante. Un signalement a immédiatement été fait au parquet de Bobigny, qui a saisi début juin le commissariat de Saint-Denis. Au terme d’une minutieuse et difficile , et grâce notamment à l’exploitation de pages , les policiers ont rapidement identifié les sept auteurs et complices présumés. Ces derniers ont été arrêtés mardi et placés en garde à vue. Au cours de leurs auditions, les mineurs ont partiellement reconnu les faits, sans toutefois — à l’exception de l’un d’entre eux — exprimé le moindre remords. Certains ont confirmé avoir filmé avec un téléphone portable des scènes du viol avant de les effacer quelques jours après. Aucune vidéo n’a été retrouvée par les enquêteurs. La victime a été entendue.

    Cette affaire a suscité un vif émoi au sein du collège et un accompagnement éducatif et pédagogique devrait être mis en place dans les jours à venir auprès des élèves. Paniquée à l’idée de subir des représailles pour avoir osé briser la loi du silence, la famille de la victime souhaite, elle, quitter au plus vite Saint-Denis.


    Le Parisien

  • Rennes - Le jeune collégien donné pour mort par JM Ayrault serait toujours en vie, mais dans un état désespéré

    Le jeune collégien de Rennes, grièvement blessé lors d'une altercation avec un autre élève en cours de récréation et donné pour mort dans un premier temps, est toujours en vie vendredi 22 juin au soir, a déclaré une source hospitalière. 'Le pronostic vital est toujours engagé. Son état est toujours très grave, mais il est en vie', a annoncé cette source.

    Plus tôt dans la journée, Jean-Marc Ayrault avait exprimé sa 'grande tristesse' en apprenant la mort de ce collégien de 13 ans, démentie par la suite, faisant part 'à la communauté éducative tout entière de son soutien dans cette épreuve'. Le ministre de l'éducation, Vincent Peillon, avait exprimé 'toute son émotion'.

    ALTERCATION DANS LA MATINÉE

    Selon l'inspecteur d'académie d'Ille-et-Vilaine, Jean-Yves Bessol, l'altercation a opposé en matinée, pendant la récréation, 'deux élèves ordinaires', et l'un des deux protagonistes 'ne s'est pas relevé'. 'Il y a eu deux coups de poing' et peut-être un début de 'strangulation', et 'la tête a peut-être heurté quelque chose', a indiqué M. Bessol. 'Le scénario n'est pas clairement établi', a-il précisé.

    Deux enseignants sont immédiatement intervenus et ont prodigué les premiers soins, notamment un massage cardiaque, au jeune garçon, en liaison téléphonique avec le SAMU. Ce dernier est arrivé moins d'un quart d'heure plus tard et a emmené la victime à l'hôpital en réanimation, a déclaré Mme Merdy.

    Les deux élèves étaient arrivés au collège à la rentrée 2011. La victime, en classe de 5e, habitait la banlieue de Rennes mais était scolarisée dans ce collège car il propose une section sport-foot, en liaison avec le Stade rennais, a précisé la principale. L'autre protagoniste, en situation scolaire difficile, selon l'équipe éducative, est un élève de troisième âgé de 16 ans.

    Il a été interpellé sur les lieux par la police chargée de (...) Lire la suite sur lemonde.fr

  • Marseille: à la cité, les livreurs ne passent plus

    Rédacteur : Damien le 22 juin 2012 à 21:20 Fil Info

    Certains quartiers ‘sensibles’ sont évités par les sociétés de livraison.

    Comme d’habitude, ce 5 juin, Chantal (1) avait validé sa commande sur Internet. Avec son arthrose, impossible de faire ses courses elle-même au supermarché, « je ne pourrais pas porter mes sacs », avoue cette femme de 55 ans qui vit de l’allocation adulte handicapé. Alors deux fois par mois, depuis près de deux ans, elle fait appel à ooshop.com, le service de livraison à domicile de Carrefour. Le jour dit, le livreur est là : mais un groupe cagoulé et lourdement armé l’entoure, le force à ouvrir son camion. La bande ne le laissera filer que lorsqu’elle découvrira qu’il transporte seulement des denrées alimentaires.

    « Carrefour refuse de revenir », déplore cette Marseillaise (…)

    Début juin encore, c’est un livreur de Darty qui se faisait braquer pour un lave-linge à la Solidarité (15e). « Ce n’était pas une première, indique Alain Zagaroli, directeur général de Darty Provence Méditerranée. (…)

    Eddy, livreur à Marseille pour une grande marque d’électroménager, n’hésite pas, lui, à le dire : « C’est triste, mais non. On ne va pas partout. Quand on voit le bon de commande, on ne va pas prendre de risque pour un salaire de mille balles. »

    Mourad, salarié à la Castellane, autre grande cité sous le contrôle des dealers, l’affirme : « Depuis 3-4 ans, il y a des enseignes qui ne viennent plus du tout. D’autres refusent d’entrer dans la cité, comme Darty : si vous voulez être livré, il faut que vous alliez à l’entrée de la cité attendre le livreur, qui ne viendra jusqu’à votre immeuble que sous votre escorte ! »

    Suite et source : La Provence, Merci à Adrien

    Contre-info.com

  • Mauvaise nouvelle: le prix du gaz va augmenter !

    Par Hayat Gazzane, Frédéric De Monicault Mis à jour le 21/06/2012

     

     

    Le rapporteur public du Conseil d'État estime que le gel des tarifs imposé l'an dernier n'a pas permis de répercuter la hausse des coûts d'approvisionnement. La facture du dernier trimestre 2011 pourrait augmenter de près de 10%.

    Mauvaise nouvelle à l'horizon pour les ménages: la facture de gaz de la période allant du 1er octobre au 31 décembre 2011 pourrait être revue à la hausse de 8,8% à 10%. Le rapporteur public du Conseil d'État s'est prononcé aujourd'hui en faveur du recours déposé par GDF Suez contre le gel des prix réglementés du gaz à l'automne dernier. Reste maintenant au Conseil d'État à trancher définitivement dans ce dossier: un délai de trois semaines est généralement évoqué.

    D'après l'avis du Conseil d'État, qui avait été saisi par GDF Suez et par l'Association nationale des opérateurs détaillants en énergie (les fournisseurs alternatifs), ce gel doit être annulé rétroactivement car non conforme à la loi qui affirme que les coûts d'approvisionnement doivent intégralement être répercutés dans les prix au consommateur. En l'occurrence, les prix du gaz sont indexés sur les cours du pétrole.

    Parallèlement, Nicole Bricq, la ministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, devra déjà fixer, au 1er juillet, les tarifs réglementés du gaz, en vertu du système de révision trimestrielle en vigueur depuis plusieurs années. Selon la formule tarifaire en cours, GDF Suez pourrait demander à cette date une augmentation de l'ordre de 5%. L'entreprise a transmis une demande de révision tarifaire au gouvernement. Il s'agit comme toujours d'un dossier très politique car le gouvernement ne veut pas mécontenter l'opinion publique avec une hausse de la facture énergétique.

    LIRE AUSSI:

    » Le prix du gaz risque encore d'augmenter cet été

     

    Le Figaro

  • Syrie - Le ministère de la Défense: le colonel pilote Hassan Merï Hamada trahit sa patrie et son honneur militaire - 22/06/2012


    Le ministère de la Défense: Le colonel pilote Hassan Merï Hamada trahît sa patrie et son honneur militaire

    IRIB-Le ministère de la Défense a annoncé que ce matin à 10h:34 le contact avec l'avion Mig 21 aux commandes duquel se trouvait le pilote Hassan Merï, a été interrompu alors que ce dernier était en train de faire des entraînements.
     
    Le ministère a précisé que le pilote qui s'est posée en Jordanie est considéré comme déserteur du service et qu'il a ainsi trahi sa patrie et son honneur militaire. "Les sanctions y relatives seront appliquées contre le pilote Merï conformément aux lois et règlements militaires en vigueur.Le ministère a ajouté que des contacts sont actuellement en cours avec les parties concernées en Jordanie pour arranger la récupération de l'avion.
     
     A noter qu'une source officielle avait affirmé que le contact avec l'avion Mig-21 qui était dans un vol d'entraînement a été perdu aujourd'hui à 10:34 du matin.La source a déclaré que l'avion, dont le pilote est le colonel Hassan Merï al-Hamadeh, était à proximité des frontières sud de la Syrie. A Amman, une source gouvernementale jordanienne a affirmé que l'avion a été forcé d'atterrir au nord de la Jordanie.
     
    Irib
     
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