Dati Vs Polony & Pulvar 2 [POL] Ruquier 120512... par peanutsie
12/05/12
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Dati Vs Polony & Pulvar 2 [POL] Ruquier 120512... par peanutsie
12/05/12
13/05/2012 – 14h00
PARIS (NOVOpress via le Kiosque Courtois de Radio Courtoisie) – Les élections législatives qui se sont déroulées en Grèce dimanche dernier ont marqué une véritable déroute pour les deux partis qui se partagent le pouvoir depuis plus de quarante ans.
Le parti de centre droit aux affaires, Nouvelle-Démocratie, atteint ainsi tout juste 18 % des suffrages, et le Pasok, socialiste, directement responsable de la crise, s’effondre à la troisième place avec 13 %. C’est en effet l’ancien patron du parti socialiste, Georges Papandréou (photo en Une), qui avait sollicité les prêts de la Troïka (Union européenne, Banque centrale européenne et FMI) et accepté des conditions drastiques d’austérité. C’est ce même dirigeant socialiste qui avait, avec l’aide de la banque Goldman-Sachs, truqué les compte grecs afin de permettre l’entrée de la Grèce dans la zone euro, une entrée dans la « cour des grands » que le peuple grec paie au prix fort. Nouvelle-Démocratie et le Pasok, qui constituaient les piliers du bipartisme grec depuis la fin du régime des colonels en 1974, en quelque sorte l’UMPS du cru, ne disposent, ni ensemble ni encore moins séparément, de la majorité au parlement.
Chryssi Avgi, Aube dorée, fait une entrée fracassante au parlement avec 7 % des voix, soit 21 sièges.
Immédiatement qualifiée de néo-nazi par les médias de l’oligarchie, ce parti populiste a séduit de nombreux Grecs, exaspérés par la mainmise croissante des banques sur l’économie du pays, et par la vertigineuse paupérisation de la population. Son chef, Nikos Michaloliakos, a dénoncé « les usuriers mondiaux » et « l’esclavage » imposé à la Grèce par la Troïka, déclarant, je cite encore : « L’heure de la peur a sonné pour les traîtres à la patrie ».
Avant-hier, le dirigeant du Pasok a reconnu son échec à former un gouvernement de coalition.
Après trois tentatives avortées, l’ultime chance pour former un gouvernement de coalition ou d’union nationale se trouve entre les mains du président grec, Carolos Papoulias (photo).
Carolos Papoulias qui vient par ailleurs de « féliciter » François Hollande pour sa victoire…
…déclarant sans rire : «Je suis sûr que vos positions européennes et la lutte que vous préparez en faveur de la croissance et de la stabilité en Europe, seront d’une grande importance pour la relance de mon pays». En cas d’échec du président Papoulias, les Grecs seront de nouveau appelés aux urnes. Une perspective positive pour les populistes de Chrysi Avgi, qui sauront profiter de l’exaspération croissante du peuple.
Des perspectives qui inquiètent Bruxelles, qui craint qu’un éventuel gouvernement populiste ne prenne exemple sur l’Islande.
L’Islande a en effet réussi à mettre au pas les banksters internationaux. Les Islandais ont tout bonnement refusé de payer une dette datant de 2008 et se sont même payé le luxe de faire démissionner le gouvernement, et d’imposer une réécriture de la constitution. Ecrasés il y a peu par une dette colossale auprès des banques britanniques, les Islandais recouvrent progressivement leur liberté.
De quoi faire réfléchir les Grecs.
Occulté par les médias de l’oligarchie, un fait important s’est déroulé le 23 avril dernier, puisque le verdict concernant l’ancien Premier ministre islandais Geir Haarde a été rendu. Comparaissant devant un tribunal spécial à la demande du Parlement, l’ex‑Premier ministre a été reconnu coupable de ne pas avoir convoqué de réunion ministérielle pour discuter de la situation qui a conduit le pays au bord du gouffre, alors que le système bancaire islandais implosait et plongeait le pays dans une grave crise.
Il s’agit d’une véritable révolution démocratique et antilibérale à l’heure où d’autres pays comme la Grèce mais aussi l’Espagne, l’Italie et la France sont proches de l’asphyxie.
La mobilisation du peuple islandais s’est traduite par un succès exemplaire, en faisant payer le coût de la crise aux responsables. Ainsi, 93 % des Islandais ont refusé que leur pays assume les dettes privées, et ont rejeté, lors d’un référendum d’initiative populaire, le sauvetage des banques d’affaires. L’Islande, qui a enregistré une croissance de 3,1 % en 2011, vient de donner une leçon aux autres pays européens, dont le nôtre, qui croulent sous la dette.
Crédit photo en Une : Λουκάς Παπαδήμος Πρωθυπουργός της Ελλάδας via Flickr, licence CC. Crédit photo Carolos Papoulias : DR.
[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origineLes caméras se bousculaient devant son bureau. Les envoyés spéciaux se relayaient devant la porte pour intervenir en direct sur les antennes nationales. Dans quelques instants, nous allions entrer dans l'intimité du Pouvoir. C'était dimanche dernier, et derrière la porte, François Hollande rédigeait son discours.
Sur France 2, le caméraman a été bon. Au lieu de se précipiter pour être le premier, il a laissé passer les autres chaînes. Résultat, quand il est entré à son tour dans le bureau, on voyait bien que deux caméras filmaient déjà Hollande. Ainsi, les téléspectateurs du Service Public ont compris qu'il s'agissait d'une mise en scène.
François (plus Valérie)
Il est là, stylo en main, traçant quelques mots sur une feuille A4. Que d'émotions ! En découvrant ses petits doigts courtauds crispés sur la plume, on a le vertige. Bientôt, ils auront le pouvoir de pianoter le code nucléaire !
Mais François n'est pas seul ; face à lui, il y a Valérie. Ben tiens ? Qu'est-ce qu'elle fait là ? On est bien obligé de se poser la question. Dans "Elle", Valérie s'en est expliquée : "Nous voulions vivre ce moment ensemble parce qu'il nous appartenait."
Faut dire que sans elle, François ne serait jamais devenu Président. Quand il était au fond du trou, prêt à abandonner, elle était la dernière à le soutenir. Selon un article du "Monde", au départ, François Hollande n'avait "pas grand monde autour de lui. Pas de vrai courant au sein du PS, pas de think tank, et même pas l'ombre d'un intellectuel mondain".
François hésitait donc à être candidat, mais dans l'article du "Monde", on apprend que Valérie lui a remonté les bretelles, façon femme forte : "Soit tu penses que tu es le meilleur, et tu y vas. Soit, tu penses qu'un autre est meilleur que toi, et tu n'y vas pas." Alors forcément, maintenant que François est sur le trône, Valérie reste à ses côtés.
Cécilia
C'est son modèle. Dans les interviews, elle prend toujours la défense de Cécilia. Dans son interview au "Times", Valérie s'indigne : "D'abord, je ne vois pas pourquoi on critiquait tout le temps Cécilia. Ça me choque ! Sans elle, Sarkozy n'aurait jamais été élu..." Et sans Valérie ? Est-ce que François aurait été élu ?
À la manière de Cécilia en 2007, Valérie a joué un rôle important en 2012. La preuve, elle avait son bureau au Q.G. de campagne du candidat socialiste. Manifestement, elle y jouait un peu le rôle de maîtresse de maison, puisque c'est elle qui a reconduit Julien Dray lorsqu'il est venu fêter la victoire sans y avoir été invité. En 2007, Cécilia a beaucoup insisté pour que Rachida Dati soit au gouvernement, Valérie défendra-t-elle aussi ses chouchous ?
À vrai dire, ce n'est pas tout à fait pareil. Cécilia était indomptable, elle est partie. Avec Valérie, c'est différent. Maintenant qu'elle a mené son petit poney à l'Élysée, ce serait bête de le quitter.
Carla
En tant que femme tout court, Valérie se sent très proche de Cécilia. Mais en tant que femme de gauche, elle se sentirait plutôt proche de Mitterrand (Danielle) ou de Clinton (Hillary).
Voilà qui nous éclaire sur son ambition. Sachant qu'Hillary Clinton a été candidate contre Obama aux primaires démocrates, on en déduit que Valérie a de l'appétit pour le pouvoir. La politique, c'est sa passion.
D'ailleurs, elle se demande ouvertement si Nicolas ne s'ennuyait pas un peu le soir en rentrant à la maison. "Je crois que ça a dû être dur pour Nicolas Sarkozy, dit-elle. Quand il rentrait à la maison tous les soirs, alors que Carla n'aimait pas du tout la politique. C'est impossible de ne pas partager ça".
Curieusement, au lieu de profiter de son relatif anonymat, Valérie a l'air bien décidé à imposer son brushing dans le paysage. Cela dit, il faut reconnaître qu'elle a bien du mérite. Elle n'avait pas le physique pour être top-model, elle n'avait pas le talent pour vendre des millions de disques, n'empêche, la voilà Première Dame.
Lire sa biographie: http://fr.wikipedia.org/wiki/Yves_Rocard
Jean-François Copé "s'étonne du déplacement pour le moins inopportun de Michel Rocard en Iran", lit-on dans un communiqué du parti du président sortant Nicolas Sarkozy. "Si Michel Rocard, ancien Premier ministre socialiste et figure morale du PS, n'estime pas nécessaire d'informer François Hollande d'un déplacement aussi sensible, il y a de quoi être inquiet pour l'avenir", ajoute le communiqué de l'UMP.
"Jean-François Copé demande à François Hollande de sortir de son silence et d'expliquer aux Français quelle politique il entend mener vis-vis de l'Iran", poursuit le texte.
Michel Rocard est arrivé vendredi soir à Téhéran pour une visite de trois jours durant laquelle il devait rencontrer plusieurs responsables iraniens, dont le ministre iranien des Affaires étrangères Ali Akbar Salehi et le négociateur iranien pour les questions nucléaires Saeed Jalili. Cette visite était une initiative personnelle à laquelle François Hollande n'a pas donné son accord, a-t-on déclaré dans l'entourage du président.
IRIB - 13/05/12
...Michel Rocard, car considéré comme un émissaire du nouveau Président François Hollande, dont Téhéran espère une amélioration des relations bilatérales.
Reçu samedi par le chef de la diplomatie Ali-Akbar Salehi puis par un vice-ministre, Michel Rocard a rencontré dimanche le négociateur iranien pour le dossier nucléaire Saïd Jalili -- également secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale ainsi que l'influent président de la commission des affaires étrangères du Parlement Alaeddin Boroujerdi. Jalili a rappelé à M Rocard a quel point l'Iran se sentait mal compris par les pays occidentaux qui en adoptant une politqiue de deux poids deux mesures lui nient le droit d'accès à l'énergie nucléaire à finalité civile. Salehi, ministre des AE a souhaité quant à lui que les deux pays ouvrent un nouveau chapitre dans leur relations bilatérales.
A M Rocard est réservé en effet un agenda unique, pour ne pas dire hors de proportion avec son statut, lui qui est arrivé vendredi en Iran pour une visite privée de trois jours à l'invitation des autorités pour donner notamment une conférence à l'université de Téhéran. Mais cette visite - prévue en avril puis retardée en raison de ses problèmes de santé - est intervenue au lendemain de l'élection du socialiste François Hollande à la présidence française, et Téhéran a saisi l'occasion pour faire une ouverture appuyée en direction du nouveau pouvoir français.
Car en Iran on comprend le pourquoi de tant d'hostilité de la France sarkozyste, de tant d'alignement aveugle sur les positions outre atlantique. Avec la crise économique dont les retombées s'amplifient de jour en jour, la France avait-elle besoin de mettre tant de zèle à sanctionner l'Iran, à se priver d'une présence efficace sur le marché énergétique de l'Iran? Etait-elle contrainte de réduire sa mission diplomatique de geler ses liens commerciaux avec Téhéran? Jamais la France n'aura été autant absente en Iran qu'à l'époque de Sarkozy.
Lors de son entretien avec Michel Rocard, Ali-Akbar Salehi a d'ailleurs «salué la victoire de François Hollande» et espéré qu'elle déboucherait sur «une nouvelle approche pour développer les relations entre Téhéran et Paris dans tous les domaines».
Dès l'élection de François Hollande, Téhéran avait souhaité publiquement qu'elle ouvre «une nouvelle ère» dans les relations franco-iraniennes, mises à mal par la ligne atlantiste du président sortant dans le dossier nucléaire iranien, un nucléaire au quel s'est initié l'Iran dans les années 50 grâce à la France.
Durant les cinq années qu'a duré le catastrophique mandat de Sarkozy, la France a notamment été en pointe depuis pour imposer des sanctions économiques sévères contre l'Iran et céder aux sirènes alarmistes américaines qui voit dans le chantage au nucléaire un levier de pression contre un état iranien plus que jamais hostile à son hégémonie.
Téhéran a choisi de défendre son dossier nucléaire auprès de Michel Rocard en organisant une rencontre avec Saïd Jalili, deux semaines avant une réunion cruciale le 23 mai à Bagdad de l'Iran avec les grandes puissances, dont la France, pour tenter de trouver une solution négociée à la crise. et il espère que ce geste de grande ouverture soit apprécié à sa juste valeur par Paris. Le Président Hollande s'est bien gardé de prononcer publiquement sur ce geste laissant à son entourage le soin de débiter la sempiternelle antienne émise à chaque fois qu'il est question du dossier nucléaire iranien. on ainsi eu droit dès hier à ces dépêches tombées sur les telex :
" Hollande a soigneusement pris ses distances avec cette visite, insistant sur le fait que l'ancien Premier ministre n'était porteur d'aucun message ni investi d'aucune mission".
ou encore :
«La position de François Hollande au sujet du programme nucléaire iranien est connue. L'Iran doit se conformer à ses obligations internationales et respecter les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies en cessant ses activités nucléaires, sans finalité civile crédible», et «coopérer pleinement avec l'Agence internationale de l'Energie atomique (AIEA)».
Mais M.Hollande, l'Iran ne s'est jamais soustrait à ses engagements internationaux, dans le cadre de son dossier nucléaire. il ne l'a pas fait, comme le prouve les rapports successifs de l'AIEA. Son espoir à l'approche des négociations de Bagdad, c'est que vous et vos compères occidentaux soyez prêts à le reconnaitre. Ce sera le début de la fin de la crise et peut-être, l'aube d'une relation nouvelle!
IRIB - 12/05/12
Moins d’une semaine après l’élection de François Hollande à la présidence de la République, c’est à l’appel de Nissa Rebela – les identitaires du Pays Niçois – que 220 personnes se sont rassemblée devant la permanence du Parti Socialiste à Nice.
Ce rassemblement avait comme objectif de rappeler aux socialistes qu’ils n’ont recueilli les suffrages que de 32% des Français en âge de voter, et qu’ils ne jouissent donc pas d’une légitimité suffisante pour lancer des réformes aussi fondamentales pour notre société que le droit de vote des étrangers ou l’accès au mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels.
Un responsable des jeunes identitaires de Jouinessa Rebela a rappelé qu’il existait dans notre pays une toute autre jeunesse que celle qu’on a vu “fêter” la victoire de François Hollande sur la Place de la Bastille dimanche soir. Une jeunesse fière des drapeaux de ses ancêtres (dans le rassemblement se côtoyaient drapeaux niçois et drapeaux tricolores). Appelant les très nombreux jeunes présents à la résistance dans les lycées et les facs, il a clairement opposé la génération identitaire à la génération Hollande.
C’est ensuite le délégué local de l’association Nationalité-Citoyenneté-Identité (militant contre le droit de vote des étrangers, et organisatrice des récentes assises “la France en danger”) qui a pris la parole. Dominique Guermouh a comme particularité d’avoir milité pendant plusieurs années dans les rangs du PS, et c’est ainsi en tant que connaisseur qu’il a pu expliciter la vision de la France de nombreux élus et militants socialistes.
Philippe Vardon, porte-parole de Nissa Rebela et membre du bureau directeur du mouvement identitaire, a terminé avec un discours vigoureux ponctué de slogans repris par la foule. Un discours qu’il n’a pas conclu en lançant “l’Internationale” mais “Nissa la bella”, l’hymne niçois. Une manière supplémentaire de démonter que nous nous battons au nom de nos traditions, de nos racines, de notre plus vieille mémoire. L’identité contre l’idéologie.
Avec ce rassemblement, mais surtout avec le succès immense rencontré par la campagne “Hollande n’est pas mon Président” (et cela bien au-delà des réseaux militants habituels du mouvement) [voir des exemples sur Novopress], les identitaires démontrent qu’ils seront bien le fer de lance de la lutte politique et culturelle qui va désormais opposer le camp de la défense des racines à la gauche folle.
Plus de renseignements sur cette campagne sur le site Hollande n’est pas mon Président. On peut y commander affiches et autocollants.
Pour Bernard Squarcini, le patron du renseignement intérieur (DCRI) interrogé le 23 mars par « le Monde », Mohamed Merah « s’est radicalisé seul », et son passage à l’acte — l’assassinat de trois militaires et de quatre personnes de confession juive dont trois enfants à Toulouse en mars — relève plus d’un « problème médical » que d’un parcours jihadiste.
Près de deux mois après les faits, il ne resterait donc aucune piste à creuser, aucun réseau à surveiller?
Les éléments du dossier d’instruction, que nous dévoilons ici, montrent au contraire que de nombreuses hypothèses sérieuses restent à explorer.
Une longue préparation, minutieusement calculée
Et que le petit voyou de cité ne s’est pas transformé en terroriste du jour au lendemain, par ses seuls moyens, mais bien à l’issue d’une longue préparation, minutieusement calculée et froidement exécutée. L’impressionnante enquête policière, réalisée en quelques jours, soulève en effet de nombreuses interrogations. Merah utilise de fortes sommes en liquide alors qu’il n’a aucun revenu. Les « braquages », évoqués un temps par le tueur à scooter pour expliquer ses ressources, n’apparaissent pas vérifiés à ce stade des investigations. Le gamin de la cité des Izards, qui a arrêté tôt l’école, sait comment dissimuler ses e-mails ou ses appels téléphoniques. Et que dire du rôle de sa famille, des liens de son frère Abdelkader avec le groupe islamique de Toulouse démantelé en 2008?
Enfin, ses nombreux séjours au Moyen-Orient, celui en Israël, puis au Pakistan et en Afghanistan restent mystérieux. D’après ses propres déclarations, c’est là-bas qu’il aurait suivi une formation paramilitaire. Ces fréquents déplacements lointains posent la question des méthodes de la DCRI. Malgré un signalement dès 2006, Mohammed Merah a pu voyager tranquillement à plusieurs reprises au Moyen-Orient sans jamais être surveillé. Défaillance des services? A-t-on tenté de recruter Merah pour obtenir des renseignements? Curieusement, aucun des documents liés à ces questions ne figure dans le dossier d’instruction.
Le Parisien - 13/05/12
12/05/12
12/05/12 – 14h00
STRASBOURG (NOVOpress) – Le comique Dieudonné n’en finit plus de susciter des appels à la censure et à l’interdiction.
Alors que les spectacles anti-chrétiens et les concerts anti-français sont vertueusement défendus par médias et bien pensants au nom de la “liberté d’expression“, le positionnement antisioniste du comique d’origine camerounaise ne bénéficie pas de la même indulgence.
Ainsi, l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) a demandé hier l’annulation pure et simple du spectacle de l’humoriste, programmé le 12 juin prochain au Zénith de Strasbourg. L’UEJF estime que ce spectacle représente une “tribune politique incitant à la haine raciale“.
Jonathan Hayoun, président de l’UEJF, « appelle les dirigeants de la Ville de Strasbourg ainsi que le directeur du Zénith de Strasbourg à annuler au plus vite ».
L'humoriste très controversé devait présenter de lundi à jeudi prochains quatre représentations du spectacle "Rendez-nous Jésus" au Canada. L'annulation de ses spectacles intervient après la dénonciation de ses "idées haineuses" par une association juive. Une série de spectacles que l'humoriste français controversé Dieudonné devait donner à Montréal la semaine prochaine a été annulé à la suite notamment de protestations d'une association juive.
Le théâtre Corona, où Dieudonné devait présenter de lundi à jeudi prochains quatre représentations du spectacle "Rendez-nous Jésus", a confirmé l'annulation, évoquant "un différend contractuel". L'annulation survient après une intervention du Centre consultatif des relations juives et israéliennes de Montréal auprès du théâtre Corona et de son propriétaire, le groupe Evenko. "Nous sommes satisfaits de constater que M. Dieudonné de par ses rodomontades antisémites et ses provocations haineuses continue de se marginaliser non seulement en France et en Belgique mais ici aussi au Québec", a déclaré le directeur adjoint du centre consultatif, David Ouellette. "Vous savez, en prônant la liberté d'expression, nous croyons aussi que dans une société civilisée comme la nôtre, les idées haineuses comme celles que propage M. Dieudonné devraient être reléguées aux marges de la société", a-t-il ajouté.
Virulent agitateur antisémite
Dans ses démarches auprès du Corona et d'Evenko, le centre avait rappelé qu'"il est notoire que cet individu a depuis longtemps cessé d'être un comédien et s'est transformé en un virulent agitateur antisémite, qui non seulement côtoie et promeut des négationnistes de la Shoah, mais est subventionné par le régime antisémite iranien".
Dieudonné n'est pas au bout de ses peines avec son spectacle, qui a été interrompu par la police mercredi soir à Bruxelles.
Yahoo - 11/05/12
Le quotidien libanais l’Orient le jour révèle que « le candidat FN aux législatives dans la zone des Français de l’étranger couvrant Israël, Michel Thooris, s’est vu confier une autre circonscription en région parisienne par Marine Le Pen, après s’être démarqué de la ligne du parti ».
Michel Thooris déclarait récemment « la défense des populations des régions juives de Judée et Samarie est au coeur de mon projet politique », ce qui a déplu à Marine Le Pen qui considère la présence des israéliens dans la région comme une « colonisation ».
« J’aurai à coeur de défendre dans l’hémicycle le Grand Israël et sa capitale éternelle, Jérusalem », ajoutait le candidat FN de la 8e circonscription des Français de l’étranger, qui regroupe Israël mais aussi notamment la Turquie, la Grèce et l’Italie.
Marine Le Pen, qui refuse de s’associer à la reconnaissance de Jérusalem comme capitale éternelle des Juifs, n’a pas digéré la pilule. « Les positions qu’il (Michel Thooris) développe sur le plan géopolitique ne sont pas dans la ligne de la vision internationale du Front national », a déclaré Marine Le Pen jeudi dans un message à l’AFP.
Michel Thooris a paru surpris. « Si elle vous dit ça, c’est que ce doit être le cas ».
La position de Marine Le Pen concernant les Juifs et Israël fait débat. Puis-je avancer qu’en éjectant un candidat FN aussi pro-israélien, elle a signifié que le débat est clos ?
Irai-je jusqu’à supposer que son échec à la présidentielle, et son rejet par une partie de l’intelligentsia juive, lui ont fait baisser les bras ? Des membres d’institutions juives, Richard Prasquier en tête, flirtent avec François Hollande. Si le président du Crif fronce les sourcils pour les alliances nauséabondes de François Hollande avec les plus radicaux antisionistes de l’extrême gauche, il le fait au loin, dans un quotidien israélien, et non dans le Monde, alors qu’il ne rate jamais une occasion de s’évanouir à l’idée que se rapprochent, même de loin, l’UMP et le FN.
Pareil pour Pierre Besnainou, Président du Fonds Social Juif Unifié, qui dans un communiqué publié hier 10 mai, se félicite de l’élection de François Hollande, et rappelle que « des inquiétudes ont pu être évoquées ici ou là. Le Fonds Social Juif Unifié ne s’y associe pas ».
Voilà l’occasion rêvée pour Gil Taïeb de donner aux électeurs dont il sollicite la confiance, les preuves du courage politique qu’ils attendent de lui. Qu’il dénonce le honteux refus de Besnainou, qui soutient Gil Taïeb, de s’inquiéter des appels au boycott d’Israël par les alliés de François Hollande qui nomment « Israël l’état voyou ».
Combien de fois faudra-t-il vous marteler, leaders Juifs de France, que l’ennemi antisémite est à l’extrême gauche ? Vos légitimes sympathies pour les idées humanistes de la gauche du siècle dernier ne vous autorisent pas à « ignorer » que les socialistes se prostituent dans les bras d’une gauche antisioniste. Ne soyez pas les pianistes du bordel.
Et je dis aux Français de l’étranger qui voteront aux prochaines législatives : l’expulsion d’un Michel Thooris vous montre qu’un encarté, de quelque parti qu’il soit, ne peut pas vous représenter : il est le pion de son parti politique, soumis au chantage immédiat de l’expulsion, bien avant que le serviteur de vos intérêts.
Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
Posté par Willy Legrand le 12 mai 2012
Tout fraîchement élu président de la République depuis le 6 mai 2012 avec 1 millions de voix en moins que son prédécesseur Nicolas Sarkozy, François Hollande va devoir apprendre la danse du ventre de l’austérité bruxelloise. Il pourra expliquer comment il compte faire pour réduire le déficit public à 3 % d’ici à 2013 en s’appuyant sur les promesses qu’il a osé vendre aux 17,8 millions de français !
En effet, la Commission européenne à Bruxelles vient d’adresser un avertissement à la France, suite au ralentissement de la croissance déjà constatée dans plusieurs pays de la zone euro.
M.P. | Publié le 12.05.2012, 11h28 | Mise à jour : 21h20
Je propose ma candidature dans la 11ème circonscription du Pas-de-Calais». C'est désormais officiel, Jean-Luc Mélenchon a annoncé lui-même ce samedi qu'il se lançait dans la bataille des législatives face à Marine Le Pen à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais).
«Tout le monde va parler de parachutage, mais tout le monde va commettre la même erreur», a déclaré le leader du Front de gauche sur TF1, au journal télévisé de 20 heures. «Je suis un parachuté depuis que ma mère m'a mis au monde et beaucoup de Français sont comme moi. Il faut arrêter avec ça ! Chaque Français est partout chez lui sur tout le territoire de la République», a poursuivi l'ancien sénateur socialiste de l'Essonne.
«Mme Le Pen, que je sache, n'est pas née à Hénin-Beaumont, elle habite le château de Montretout», a-t-il fait valoir. La présidente du FN dispose d'un logement dans l'enceinte de cette propriété de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) où vit également Jean-Marie Le Pen, un bien issu de l'héritage Lambert.
«Il n'y aura pas de bataille de chiens»
Plus tôt dans la journée, en déplacement dans le fief de l'ancienne candidate FN à l'élection présidentielle, l'eurodéputé a tenu une conférence de presse qui a relancé les hostilités avec sa rivale de l'autre «Front». Objectif : donner une résonance nationale à cet affrontement local.
« Nous mesurons tous le caractère extraordinaire de ce que nous allons entreprendre, a lancé Jean-Luc Mélenchon, grave et solennel. Nous mènerons cette bataille avec conscience, raison et arguments. Il n'y aura pas ici de bataille de chiens que certains espèrent. Je viens parce qu'il y a ici une bataille de dimension nationale et j'ose le dire, internationale. Il s'agit de battre l'extrême-droite ». Pas de «bataille de chiens» donc, mais très vite des mots doux à l'attention de « ce petit prétentieux de Louis Aliot », le vice-président du FN. «Ils ont intérêt à tout calibrer, y compris les blagues ... Je préviens madame Le Pen : je veux une campagne civilisée. Venez débattre, pour une fois »
A l’origine, cette circonscription était dévolue à un candidat communiste, Hervé Poly, secrétaire départemental du PCF, qui sera finalement le suppléant de Mélenchon. Le défi est de taille. Au premier tour de la présidentielle, Marine Le Pen est arrivée en tête des suffrages avec 31 % des voix, le double de Jean-Luc Mélenchon qui n'a recueilli que 14,85 %. Mais au second tour, c’est François Hollande qui s’est largement imposé (60,5%). Un rapport de force a priori favorable à la gauche.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a déclaré vendredi que l’Occident ne peut utiliser le langage de l’intimidation envers la nation iranienne en faisant notamment pression sur elle.
« La pression ne pourra jamais décourager la nation iranienne de poursuivre ce qu'elle souhaite réaliser » c’est ce qu’ a déclaré le président iranien s'adressant à un rassemblement de citoyens dans le nord de l'Iran.
Le président Ahmadinejad a conseillé aux puissances agressives de ne pas même penser à occuper d'autres pays et de ne pas stocker des bombes atomiques et chimiques.
Évoquant les causes de la chute du régime sioniste l’ayant conduit à un état le plus dégradant qu’il soit, le président iranien a déclaré que son existence même et pensées sont des sources de laideur et de sang.
Il a ajouté que les États sont animés de mauvaise volonté, y compris dans le but d'empêcher la nation iranienne d’accomplir davantage de réalisations.
Toutefois, a souligné le président, ils savent désormais que la nation iranienne va poursuivre ses objectifs avec détermination.
Publié le 11 mai 2012 à 19h20Mis à jour le 11 mai 2012 à 22h21
© MAXPPP
Le leader du Front de gauche va bien se présenter à Hénin-Beaumont face à la présidente du FN.
La question était sur toutes les lèvres du landernau politique depuis quelques jours. Jean-Luc Mélenchon ira finalement bien défier Marine Le Pen à Hénin-Beaumont pour les élections législatives, selon les informations d’Europe 1.
Réuni à Lens vendredi soir, le Parti communiste du Pas-de-Calais a approuvé à "une forte majorité" la candidature de Jean-Luc Mélenchon dans la 11e circonscription du département. Hervé Poly, le premier secrétaire fédéral du parti dans le département, sera son suppléant. Ce dernier n'avait aucune chance de l’emporter face à Marine Le Pen.
"Cela va être une bataille homérique avec une symbolique extrêmement puissante, puisque c'est le berceau du mouvement ouvrier français", avait lancé vendredi plus tôt dans la journée le patron du parti de gauche. L'ex-candidat à la présidentielle sera présent samedi à Hénin-Beaumont pour rencontrer les militants et tenir une conférence de presse. Vendredi soir, l'ancien candidat à la présidence de la République a publié sur son compte Twitter un bref message : "De retour #Henin Beaumont".
"Je crois que nous allons créer un élan de rassemblement très important pour garder cette circonscription à gauche", a commenté Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste, vendredi soir sur Europe 1. "Ce serait une anomalie que dans cette circonscription, qui a voté à 60% pour François Hollande dimanche dernier, on se retrouve à l'arrivée par défaut de combat ou d'énergie à gauche avec Marine Le Pen députée", a-t-il ajouté.
Pour sa part, la communiste Marie-George Buffet a exprimé sa satisfaction en apprenant la nouvelle. "Je trouve très courageux de sa part, très beau d'aller de nouveau mener ce combat contre les idées d'extrême droite à Hénin-Beaumont en construisant une réponse à gauche qui puisse l'emporter".
http://www.nationspresse.info/?p=169901
Louis Aliot, Vice-président du Front National et porte-parole du Rassemblement bleu Marine, est l’invité de l’émission débat « Elysée 2012 » animé par Serge Moati sur La Chaîne Parlementaire. Il débat face à Xavier Lemoine (UMP), maire de Montfermeil, Rama Yade, première vice-présidente du Parti radical, ancienne Ministre et Guillaume Tabard, rédacteur en chef adjoint au journal Les Échos.
Le thème du débat est Droite(s) : Les leçons de l’échec
11/05/12
Posté par NP Info Provence-Alpes-Côte d'Azur le 11 mai 2012
Marion Maréchal, candidate aux législatives dans la 3e circonscription du Vaucluse, a officiellement lancé sa campagne aux côtés du Président d’Honneur du Front National, Jean-Marie Le Pen.
Entourée d’une nuée de caméras et d’appareils photo, la blonde jeune fille de 22 ans a éclipsé les autres candidats du Front national dans le département, lors d’une conférence de presse organisée à Cavaillon sous l’égide du Président d’Honneur du parti.
« Je ne débute pas réellement en politique car j’ai déjà été candidate, aux municipales à Saint-Cloud et aux régionales en 2010 où j’étais deuxième de liste dans les Yvelines. »