Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 1362

  • Génocide arménien: cinglante réponse d'Ankara à Sarkozy

    Ankara a conseillé vendredi à la France d'affronter son passé colonial avant de donner des leçons aux autres pays, en réponse aux déclarations de Nicolas Sarkozy demandant la reconnaissance du génocide arménien.

    «Je vais lancer une grenade dégoupillée», prévenait jeudi Nicolas Sarkozy devant une partie de la délégation qui l'accompagnait à Erevan, en Arménie. Le président de la République y est revenu sur un sujet sensible en évoquant la reconnaissance du génocide arménien par la Turquie. Le Président a déclaré que la France modifierait sa législation pour que le négationnisme du génocide de 1915 soit condamné au pénal, si la Turquie ne reconnaissait pas officiellement le massacre de plus d'un million et demi d'Arméniens.

    Une vive réaction était à prévoir et la réponse, cinglante, ne s'est pas fait attendre. Vendredi, Ahmet Davutoglu a conseillé à la France d'«affronter son passé colonial avant de donner des leçons aux autres pays». Le ministre turc des Affaires étrangères a également insisté sur la situation des étrangers, considérés comme des «citoyens de seconde zone» dans l'Hexagone, selon lui.

    La Turquie dénonce l'«opportunisme politique»

    Le ministre turc des Affaires européennes, Egemen Bagis, a pris le même chemin que son collègue et raillé le Président français qui joue, selon lui, «les historiens» et l'a invité à «se creuser la tête pour sortir son pays du gouffre économique dans lequel il se trouve». Bagis a également dénoncé l'«opportunisme politique» dont ferait preuve Nicolas Sarkozy à l'approche de l'élection présidentielle, la diaspora arménienne représentant un demi-million de citoyens en France. «Sarkozy adopte ce type d'accroche après avoir été effrayé par les derniers sondages politiques en France», a déclaré le ministre.

    Claude Guéant, présent vendredi à Ankara pour la signature d'un accord de coopération sécuritaire, a rappelé que le président «n'a pas évoqué de délai» pour la reconnaissance du génocide. Lorsque des journalistes l'ont interrogé sur la réaction de la France si la Turquie lui demandait de reconnaître le «génocide des Algériens», le ministre français de l'Intérieur a évoqué les «propos extrêmement forts» de Nicolas Sarkozy à propos d'un «douloureux passé entre la France et l'Algérie», affirmant que la page était tournée.

    Avant son élection, Nicolas Sarkozy s'était engagé à faire adopter une loi pénalisant le négationnisme d'Etat à l'égard du génocide arménien, reconnu légalement par la France depuis janvier 2001. Votée par l'Assemblée nationale en 2006, la loi est depuis bloquée par le Sénat.

    Le Figaro - 07/10/11

  • Géraldine: "Mes locataires sont un cauchemar"

    En achetant un studio en 2004, Géraldine n’imaginait pas mettre le doigt dans un engrenage infernal. Grâce à un emprunt sur vingt-cinq ans et à un PEL, elle acquiert un 31 m2 dans un quartier populaire de Paris. Sept ans plus tard, son studio est dévasté. Rendu insalubre, occupé illégalement par ses locataires, il est invendable. Comment cette propriétaire de 33 ans en est-elle arrivée là ?

    Quand, en 2005, Géraldine part travailler comme graphiste à Perth, en Australie, elle confie son studio en location à l’agence qui lui a vendu son bien. Dès la deuxième année, des retards de loyer apparaissent. Début d’une valse de recommandés et d’injonctions à payer. Géraldine se montre d’abord sensible aux difficultés du locataire, elle qui a déjà manifesté contre les expulsions aux côtés de Droit au logement. « J’ai même proposé un bail solidaire. Le locataire a refusé. »
    En 2008, un dégât des eaux affecte les appartements voisins. Géraldine tente de faire intervenir, via son agence, des experts pour établir des devis sur ces travaux urgents. Impossible de pénétrer dans le studio : « Personne ne peut venir réparer quelque chose chez moi tant que je suis là », assène le locataire, quasiment injoignable.

     

    "En quatre ans, ils ont tout saccagé"

    En réalité, Géraldine découvre qu’un couple et cinq enfants vivent dans ses 31 m2. Bris de vitres, jets de poubelles, graffitis : les plaintes pleuvent au commissariat voisin. En septembre 2009, un huissier pénètre enfin dans les lieux. Ce qu’il découvre dépasse l’entendement. Serrures et carreaux arrachés, sanitaires brisés, cloisons cloquées et moisies… « Quand j’ai vu les photos, j’en ai pleuré. En quatre ans, saccager un logement ainsi, c’est impensable ! », se désole Géraldine.

    Son père, un enseignant qui vit en Moselle, prend le relais. Fin 2009, congé est donné aux locataires. Le bail prend fin en avril 2010. Mais les occupants ne quittent pas le studio. En décembre 2010 seulement, le tribunal d’instance prononce une décision d’expulsion. Géraldine ne perçoit plus de loyer depuis déjà cinq mois et pense le combat gagné. Mais, trêve hivernale oblige, les locataires gagnent quatre mois de répit. Et la série noire continue. Cette fois, c’est la propriétaire de l’étage du dessous qui assigne la jeune femme en justice pour dégradation de son logement. En conséquence, à l’été 2011, le studio de Géraldine est déclaré insalubre. Depuis, elle ne perçoit plus les allocations de ses locataires, ne peut ni vendre, ni louer, ni remettre en état son logement. Ubuesque !

    Elle ne peut ni vendre, ni louer, ni remettre en état

    « Nous sommes victimes d’une triple peine », estime son père, qui gère les relations avec le tribunal, l’avocat, la copropriété, le syndic et l’agence. « C’est devenu un suivi journalier », dit-il. Cerise sur le gâteau, la Préfecture vient de leur indiquer que si le studio est rendu temporairement inhabitable par les travaux, ils seront tenus de reloger les occupants ! « Ils ont tout saccagé, et ils vont peut-être obtenir un logement social. A quoi servent nos lois ? » Outre 4.650 € d’impayés de loyer, elle devra s’acquitter de 3.000 € de frais de justice et de 10.000 € de travaux.

    La mairie du quartier a promis d’appuyer leur cas auprès du préfet pour faire appliquer l’expulsion, sans effet depuis dix mois. A l’approche de la trêve hivernale, en novembre, la jeune femme a créé une page sur Facebook : « Je veux éclairer les gens sur la situation des petits propriétaires comme moi, qui n’ont aucun moyen de faire entendre leurs droits. Je reçois énormément de témoignages similaires. » Ironie du sort, elle-même pourrait se retrouver à la rue, en Australie. Le propriétaire de son logement a résilié son bail, préférant louer à la semaine en vue d’une compétition nautique internationale. Géraldine n’aura que vingt et un jours pour retrouver un toit. Aux antipodes, les propriétaires sont rois.

    Un pass anti-impayés
    Le pass Garantie du risque locatif mis en place par l’Etat et le 1 % logement couvre les revenus locatifs du propriétaire. Il garantit de percevoir le montant du loyer et les charges pendant la durée du bail, dans la limite de 70.000 €. Les dégradations sont indemnisées jusqu’à 7.700 €. Son coût : 1,8 % du loyer et des charges si le bailleur loue par agence, 2,5 % s’il loue en direct, déductible des revenus fonciers. Ainsi, pour un loyer de 600 €, le bailleur paie une prime de 180 €/ an.
    www.grl.fr

    Actu France-Soir - 07/10/11

  • Mort dans le métro, Babu avait porté les premiers coups...

    "Babu", c'est cet Indien de 33 ans décédé le 29 septembre en chutant sur les rails du métro parisien à l'issue d'une rixe avec un autre voyageur... Alors que de vibrants hommages lui ont été rendus très officiellement (jeudi, le ministre des Transports Thierry Mariani et Frédéric Mitterrand -Culture- avaient déposé une gerbe à la station de métro Crimée, et salué "un héros ordinaire"), on a appris hier que c'est en réalité lui qui avait donné les premiers coups lors de la bagarre...

    L’attitude de l'homme mort dans le métro lors d'une altercation est désormais remise en cause.

    Il avait été surnommé "le héros du métro". "Babu", l'Indien de 33 ans mort le 29 septembre en chutant sur les rails dans une station du métro parisien après une altercation avec un autre voyageur qui a depuis été arrêté, a donné en réalité les premiers coups lors de la bagarre, selon les informations dont Europe 1 a obtenu confirmation.

    L'altercation aurait débuté dans la rame du métro, avant la station Crimée dans le XXe arrondissement. L'homme suspecté d'avoir poussé Babu aurait importuné des jeunes filles, qui n'ont pas été retrouvées, en leur proposant des bonbons. Un détail donné par les quatre amis de Babu présents avec lui et corroboré par le fait que le suspect tient un paquet de friandises à sa descente de la rame. Babu serait alors intervenu "verbalement", de manière vive.

    A leur sortie de la rame de métro, à la station Crimée, la vidéosurveillance permet d'établir que Babu et l'homme suspecté "se repoussent mutuellement", selon les informations recueillies par Europe 1. Puis Babu "porte un coup" à l'autre homme "en le tenant fermement". Enfin, en retour, le suspect "porte un coup et Babu bascule sur les rails". C'est là qu'il est mort électrocuté.

    "On voit Babu qui se jette sur mon client"

    "Ce qu'il s'est passé, c'est que dans la rame, mon client a proposé des bonbons à une jeune fille qui a refusé. Toute cela était bon enfant", a assuré de son côté l'avocat de l'homme arrêté, Me d'Ollone. Ce dernier a certifié que son client "a eu peur" de Babu et a décidé de quitter la rame. "On voit Babu qui se jette sur mon client une première fois, puis Babu se jette une nouvelle fois sur mon client et le fait tomber. Mon client le repousse vivement, Babu recule et il tombe sur les rails. Il est électrocuté et il décède", a-t-il raconté.

    Me d'Ollone souhaite donc rétablir la vérité et a assuré que "Babu a pris l'initiative de la bagarre alors que mon client est resté passif, jamais menaçant". "L'histoire qui a été contée ne correspond pas à la réalité", a-t-il conclu.

    La détention provisoire requise

    Dans ce dossier, les enquêteurs disposent donc des bandes des caméras de vidéosurveillance placées sur les quais de la station Crimée. Pour les événements survenus dans la rame du métro, ils ne peuvent en revanche compter que sur les dires des quatre amis de Babu. Aucun autre témoin ne s'est signalé.

    Une information judiciaire a été ouverte pour "violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner". Le suspect arrêté après la mort de Babu se trouvait par ailleurs être en situation irrégulière en France. Le parquet a demandé son placement en détention provisoire.

    Europe 1 - 07/10/11

  • En Arménie, Sarkozy presse la Turquie de "revisiter son histoire"

    2011-10-06T153011Z_01_APAE795172F00_RTROPTP_2_OFRWR-FRANCE-ARMENIE-TURQUIE-SARKOZY-20111006.jpg

    EREVAN (Reuters) - Nicolas Sarkozy a exhorté jeudi la Turquie à reconnaître le génocide arménien de 1915 et brandi la menace d'une loi pour punir, en France, le négationnisme turc.

    Un des premiers gestes du président français après son arrivée en fin d'après-midi à Erevan, la capitale d'Arménie, pour une visite d'Etat, a été de se recueillir au mémorial du génocide arménien avec son homologue Serge Sarkissian.

    Cette esplanade dominée par une flèche et 12 stèles de basalte abritant une flamme, sur une colline d'Erevan, fait face au Mont Ararat, aujourd'hui en Turquie mais considéré par les Arméniens comme un emblème de leur identité.

    A l'issue d'une visite au musée qui retrace, sur le même site, le massacre d'un million et demi d'Arméniens, Nicolas Sarkozy a condamné le "négationnisme collectif", pire, selon lui, que le négationnisme individuel.

    "Le génocide des Arméniens est une réalité historique" et "le négationnisme n'est pas acceptable", a ajouté le chef de l'Etat français, qui a estimé que la Turquie "s'honorerait à revisiter son histoire" et à la "regarder en face".

    La France a officiellement reconnu en janvier 2001 le génocide des Arméniens par les Turcs. Mais le Sénat français a rejeté en mai dernier une proposition de loi socialiste visant à réprimer la négation du génocide arménien.

    Nicolas Sarkozy a laissé entendre que ce texte, ou un texte similaire, pourrait être remis à l'ordre du jour si Ankara s'entêtait dans son refus de reconnaître le génocide arménien.

    Si la Turquie persistait, "alors sans doute faudrait-il aller plus loin", a déclaré le président français.

    06/10/11

    NdB: La communauté arménienne compte en France environ 500.000 membres et représente un enjeu électoral.

  • Russie: castration chimique pour les crimes pédophiles

    04/09/2011 – 17h30
    MOSCOU (NOVOpress) –
    Face à la recrudescence de crimes de pédophilies (plus de 9.500 crimes sexuels ont été commis en 2010 sur des mineurs), la classe politique russe n’a pas hésité à prendre des mesures pour le moins radicales. La Douma a votée mardi la légalisation de la castration chimique des pédophiles reconnus coupables de crimes sexuels sur des mineurs de moins de 14 ans. Adoptée en première lecture, 322 députés ont voté en faveur de cette mesure de bons sens sur un total de 323 votants.

    Il s’agit d’un véritable renforcement de la loi contre les pédophiles, qui inclut également une peine allant jusqu’à la réclusion criminelle à perpétuité pour les récidivistes.

    La castration chimique sera encadrée et réalisée sur la base d’expertises médicales ordonnées par le tribunal comme l’affirme Garri Minkh, représentant du président russe à la Douma, pour qui « un tribunal s’appuyant sur l’avis d’une commission de médecins pourra contraindre l’auteur d’un crime sexuel sur un mineur de moins de 14 ans à une mesure de castration chimique ».

    Cette adoption en première lecture laisse désormais place à un examen de deuxième et dernière lecture, avant la navette avec la chambre haute du Parlement.

    La loi devrait être prochainement promulguée par le président Dmitri Medvedev, qui avait proposé en mai l’introduction de la castration chimique basée sur le volontariat.

    Une décision politique courageuse qui tranche avec le laxisme des politiciens et de la justice en France, contrairement à leurs homologues russes pour qui la victime potentielle doit être avant tout protégée des prédateurs sexuels.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Marine Le Pen présente à la presse son équipe de campagne présidentielle

    L’intégrale de l’équipe de campagne : cliquez ici pour télécharger le pdf

    06/10/11

     

  • Belgique: ouverture d'un tribunal islamique à Anvers

    Sharia4Bel_gr_jpg_crop_display.jpg

    Le leader de Sharia4Belgium

    L’organisation islamiste Sharia4Belgium est à l’initiative de l’ouverture, à Anvers, d’un « tribunal » chargé de régler, selon la justice islamique, des différends matrimoniaux et des questions d’héritage, rapporte samedi Het Laatste Nieuws samedi.
    Selon son site internet, ce « Centre de Services Islamiques » traitera, en accord avec la charia, tous les cas de divorces, d’annulation de mariage, de réconciliation ou de différends conjugaux et remettra un certificat si nécessaire ».

     L’échevine anversoise de la diversité, Monica De Cononck (sp.a), dont les services tiennent à l’œil Sharia4Belgium, estime que l’initiative n’est pas une mauvaise chose si elle se limite à de la médiation. Il n’est pas question, précise-t-elle, d’un tribunal prononçant et exécutant des peines.

    Source : Rtl.be

    Défrancisation

     

  • Les Identitaires niçois commémorent la bataille de Lépante

    commemoration-lepante-500x250.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    06/10/2011 – 18h30
    NICE (NOVOpress) –
    Il y a 440 ans, au large de la Grèce, 200 navires de la flotte européenne coalisée – rassemblée à l’appel du pape Pie V – de la Sainte Ligue affrontaient 300 galères de la flotte ottomane au large de Lépante. Cette victoire aura un retentissement dans l’Europe entière, marquant un coup d’arrêt à l’expansionnisme musulman dont les Turcs ottomans étaient alors les fers de lance.

    Nissa Rebela a décidé de commémorer cette victoire. Et comme le mouvement le rappelle dans un communiqué : « Trois décennies plus tard, la bataille de Lépante fait évidemment écho au siège de Nice, d’autant plus que c’est un Niçois – André Provana de Leyni – qui commandait les galères envoyées par la Savoie lors de ce véritable choc des civilisations. »

    Deux événements auront lieu pour cette commémoration. Tout d’abord, vendredi 7 octobre, un rassemblement est organisé à 19h30 place Sasserno. Aux couleurs de Nice, dela Savoie et de l’Europe.

    Le lendemain, samedi 8 octobre, aura lieu une conférence à Lou Bastioun, pour présenter le deuxième livre des éditions IDées, consacré justement à Lépante. Et ce en présence de plusieurs auteurs de ce livre : Jean-David Cattin, Mario Borghezio, Benoît Loeuillet et Philippe Vardon. A partir de 16h30.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Commentaires lus sur Youtube à propos de Michel Neyret

    Mais que fait le CRIF, la LICRA et toute la communauté juive de france face à ces accusations mensongères vis-à-vis de Michel Neyret ???? Que fait Sarkozy pour sanctionner ce juge d'instruction pour acte Antisémitisme ????

     Ces ATTAQUES relèvent d'une HAINE ANTISEMITE VIRULENTE ET IGNOBLE vis-à-vis de Michel Neyret. On est sur le chemin d'un NOUVEL SHOAH!!. Je suis effrondrée et condamne ces Actes ANTISEMITES envers Michel Neyret !!!
     
    feujshoah il y a 3 jours
  • SNCF: de fortes perturbations en vue après l'agression d'un contrôleur

    Les contrôleurs réagissent après l'agression d'un des leurs, dans un Corail Lyon-Strasbourg.

    La réaction des contrôleurs de la SNCF ne s'est pas faite attendre. Suite à l'agression, jeudi matin, d'un de leurs confrères sur un train Corail sur la ligne Lyon-Strasbourg, la SNCF accuse de "fortes perturbations", annonce-t-elle via un communiqué. Sur le site infoligne.com, un bandeau invite les voyageurs à "reporter leurs voyages".

    Les comptes Twitter de la SNCF prévienne également les usagers des retards potentiels. Selon le compte Twitter IDTGV, "suite à la violente agression d'un contrôleur, l'ensemble des personnels de bord suspendu son activité. Plus aucun train ne circule". Sur le compte Voyage-sncf.com, un message indique : "le trafic est très perturbé, consultez www.infolignes.com"

    "Suite à cette agression très violente dont a été victime un de leur collègue ce matin, de nombreux contrôleurs SNCF ont arrêté spontanément le travail. Ce "dépôt de sac" va provoquer une réduction significative des services assurés aujourd'hui et donc de très fortes perturbations du trafic", indique un communiqué de la SNCF.

    Cette mesure s'inscrit dans une procédure légale qui permet à tout salarié d'abandonner son poste de travail lorsqu'il se considère en danger. Il ne s'agit donc en aucun d'une grève mais d'un retrait de dépôt.

    100% des contrôleurs mobilisés en région PACA

    Pour l'heure, l'ampleur des perturbations est difficile à mesurer mais elles concerneraient l'ensemble du territoire, soit 11.000 contrôleurs. "L'émotion est très forte et donc le mouvement est général", a expliqué un porte-parole du groupe.

    "Nous sommes actuellement en train de faire le point dans toutes les régions sur les perturbations", a-t-il ajouté. Signe que le trafic est fortement perturbé, le site de renseignements de la SNCF, "Gares en mouvement" indique que les horaires sont temporairement indisponibles.

    Le point sur la situation, région par région :

    >> Paca : 630 contrôleurs exercent leur droit de retrait en région. Le mouvement serait particulièrement suivi en région PACA, où 100% des contrôleurs, soit 630 personnes, exerçaient, depuis 15h00, leur droit de retrait à l'appel des syndicats CGT, UNSA et SUD-Rail. De fait, la plupart des liaisons ferroviaires de la région Paca ont été annulées depuis quelques heures, indique La Provence. "On essaie de donner la priorité aux TER, afin que les usagers qui sont venus travailler à Marseille puissent rentrer chez eux, en faisant partir un train par heure et par axe important", a-t-on affirmé à la direction régionale de la SNCF. Selon des informations d'Europe 1, les TER, et les TGV en direction de Lyon, Paris ou Lille, sont concernés par les perturbations.

    >> Alsace : un train sur deux en moyenne dans la capitale. "Suite à la vive émotion suscitée par une grave agression, d'importantes perturbations sont probables dans notre région", indique le site TerAlsace.

    >> Rhône-Alpes : des perturbations qui s'amplifient. "Sous le choc émotionnel, les agents ne se présentent pas aux trains, ils ne souhaitent pas reprendre le travail", a dit une porte-parole de la SNCF locale. Selon des informations d'Europe1, 100 % des contrôleurs dans la région ont déposé leur droit de retrait. Des retards ont été enregistrés sur la plupart des lignes TER et TGV de la région, et la SNCF prévoyait des annulations de trains. Quelque 51.000 textos ont été envoyés aux clients rhônalpins pour les avertir.

    >> Nord-Pas-de-Calais et Midi-Pyrénées : 100 % des contrôleurs mobilisés. D'après les informations d'Europe 1, la quasi-totalité des contrôleurs de ces deux régions ont déposé leur droit de retrait.

    >> Aquitaine-Poitou-Charentes : 150 contrôleurs SNCF ont fait valoir leur droit de retrait. "100% des contrôleurs qui devaient prendre leur service à partir de 15h00" ont exercé leur droit de retrait ainsi que "certains contrôleurs qui avaient déjà pris leur service", a indiqué Samuel Champmartin, responsable CGT Contrôleurs pour la région SNCF. L'impact de ce mouvement sur la trafic est jugé "très conséquent" par cette même source. Certains trains peuvent toutefois circuler sans contrôleurs, par exemple sur la ligne Bordeaux-Arcachon, a-t-il expliqué.

    >> La Bretagne plus ou moins épargnée par le mouvement. La direction régionale précise que, peu avant 18 h, il n'y a pas de perturbation en Bretagne, rapporte Le Télégramme. "Les TER circulent normalement", assure la direction régionale. De même, tous les TGV, au départ de Paris et en provenance de Bretagne, devraient être assurés.

    "Un acte odieux"

    Le contrôleur agressé, âgé de 54 ans, a été poignardé à huit reprises par un passager. Il a été touché à la tête, à l'abdomen, au flanc et au bras. "Son état de santé s'est sérieusement aggravé. Il se trouve entre la vie et la mort", a déclaré une porte-parole de la SNCF.

    Guillaume Pépy, le président de la SNCF, tiendra un point presse à 17 heures à Besançon, dans le Doubs, où la victime a été hospitalisée.

    Le président de la SNCF condamne dans un communiqué "cet acte odieux et exprime son indignation face à cette grave agression". Même réaction indignée de la part des ministres de l'Écologie et des Transports, Nathalie Kosciusko-Morizet et Thierry Mariani, qui ont apporté "tout leur soutien aux agents de la SNCF dans l'exercice de leurs missions"...

    Europe1 - 06/10/11

  • Emeutes à Mayotte !

     

    A peine devenu le 101e département français le 31 mars 2011, l’île de Mayotte est confrontée, depuis plus d’une semaine, à une situation alarmante sur fond de revendications sociales. Profitant d’un inquiétant silence médiatique de la presse nationale sur cette situation, le gouvernement Sarkozy tente d’étouffer l’affaire. Le ministre de l’Outre-mer, Marie-Luce Penchard, a une nouvelle fois lancé un appel au calme et a exhorté chacun à faire preuve de responsabilité, sans avancer de propositions pour sortir de la crise.

    « Le droit de manifester ne doit pas être détourné au travers de débordements et de violences inacceptables », a-t-elle affirmé dans un communiqué au moment où quelques 300 et 600 Mahorais prenaient d’assaut les rues de Mamoudzou. « Beaucoup de barrages, beaucoup de blocages, mais aussi des débordements et dérapages en différents points de l’île », rapporte La Lettre de Malango. « Ce sont surtout des jeunes qui bloquent les rues notamment à Chirongui, au carrefour de Dapani, à Malamani, à Koungou ou à Vahibé… mais également en Petite-Terre, rendant quasi impossible l’accès à l’aéroport », d’après le quotidien mahorais.

    Cette grève illimitée, commencée le 27 septembre, tourne à l’émeute généralisée. Le préfet Thomas Degos nommé récemment semble totalement débordé… Alors que les négociations sur le coût de la vie traînent en longueur, il a dû faire appel à plusieurs

    escadrons de gendarmes mobiles appuyés par des blindés pour tenter de calmer les émeutiers. Le département est totalement paralysé, avec supermarchés et stations d’essence sans possibilité de ravitaillement. Des renforts de gendarmes en provenance de l’ïle de la Réunion ont été envoyés à Mayotte.

    Pour l’heure, personne n’est capable de chiffrer ce que tout cela va encore nous coûter !

    Sources : ici et ici

     

  • Un contrôleur poignardé dans le Corail Lyon-Strasbourg

    train-corail-maxppp-930620_scalewidth_630.jpg

    INFO E1 - Un passager du Lyon-Strasbourg l'a agressé jeudi. Il est entre la vie et la mort.

    Un contrôleur de la SNCF a été victime d'une agression extrêmement violente jeudi matin à bord d’un train Corail Lyon-Strasbourg, selon les informations recueillies par Europe 1. Vers 10h30, un passager lui a asséné huit coups de couteau. Le contrôleur, âgé de 54 ans, a été touché à la tête, à l'abdomen, au flanc et au bras. Il a été héliporté à l'hôpital de Besançon où il est entre la vie et la mort.

    Selon les premiers éléments recueillis par Europe 1 auprès de la SNCF, un client déséquilibré aurait d'abord pris à partie de façon agressive d'autres voyageurs. Les agents de la SNCF présents à bord seraient allés chercher du renfort. A leur retour, l'homme s'était tailladé les bras. Un des contrôleurs se serait alors interposé et aurait été touché à cette occasion.

    Dans un premier temps, le colonel Guillaume Grimaux, commandant du groupement de gendarmerie du Doubs, avait parlé d'un contrôle de billets qui aurait dégénéré.

    Le suspect a pu être interpellé

    L’auteur présumé des coups de couteau, âgé d"une vingtaine d'années, a été maîtrisé à bord du train par d’autres contrôleurs, en attendant l’arrivée des gendarmes qui l’ont interpellé. Il a finalement été placé en garde à vue.

    Le train a été un temps immobilisé en gare de Clerval, dans le Doubs. Les 300 passagers qui se trouvaient à bord du train ont été acheminés vers leurs destinations finales par d'autres moyens. Une cellule psychologique a été mise en place.

    Pépy exprime son "indignation"

    Guillaume Pépy, le président de la SNCF, a condamné "cet acte odieux". Il a exprimé dans un communiqué son "indignation face à cette grave agression" et a fait par à la famille du contrôleur de "sa profonde émotion" et de la "solidarité de l'ensemble des cheminots".

    06/10/11

  • Les "méthodes" de Neyret super-flic

    sipa_00625764_000002.jpg Neyret drogue.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    Les informations tombent au compte-goutte. Mais de fil en aiguille, d'auditions en auditions, la personnalité et la manière de procédé du commissaire Neyret se précisent. Notamment dans la manière dont ce « super-flic » récompensait ses différents indicateurs.  En effet, au cours de leur garde à vue dans les locaux de la police des polices (IGS), plusieurs fonctionnaires, placés sous les ordres du directeur-adjoint de la police judicaire de Lyon, ont précisé avoir été « mis sous pression » par ce dernier. C'est en tout cas ce que révèlent les différents écoutes au sujet de cet homme, incarcéré depuis quatre jours pour corruption et trafic de stupéfiants, et mises en ligne par Le Parisien.

    « La pression n’était pas sur une affaire. La pression réside dans le fait que vous êtes avec lui ou pas. Si vous n’êtes pas avec lui, vous êtes mis à l’index » explique un des enquêteurs auditionnés. A en croire celui-ci, le commissaire Neyret usait donc d'une pression psychologique pour se faire respecter. Ainsi, les policiers de sa direction étaient classés selon leur adhésion ou non au numéro 2 de la PJ et ses pratiques. Les différentes catégories se divisaient entre « conciliants », « moins conciliants » ou « psychorigides ».

    Des trafics récents

    Mais les révélations vont plus loin. Plusieurs policiers ont aussi ajouté avoir été sollicités par leur chef, à plusieurs reprises au début de l’année 2010, pour « récupérer de la drogue » saisie lors d’une affaire avant sa destruction. Et la dernière en date est très récente. En effet, les écoutes font état d'une demande au mois d'août de cette année après la saisie de 100 kilos de résine de cannabis. Michel Neyret indiquant à ses troupes qu'il fallait  « se servir ». Cependant ses ordres n’auraient pas été respectés.

    « Sur ces mêmes écoutes, Michel Neyret explique ouvertement au chef de l’antenne de la PJ de Grenoble que l’opération consiste à récupèrer la marchandise avant sa destruction et qu’il pratique déjà de la sorte avec quelques fonctionnaires de la BRI de Lyon et un ou deux chefs de groupe des Stups » explique une source proche de l’affaire au Parisien. La femme du commissaire aurait elle aussi « balancé » sur son mari en disant que celui-ci « a donné des kilos de merde à un copain à Vienne (Isère) et que ce dernier les a revendus ». Même si certaines personnes, comme Olivier Marchal, le soutiennent toujours et expliquent que ce genre de méthodes est normal au sein de la police. Toutes ces informations ne font qu'assombrir le tableau pour Michel Neyret. Reste à  savoir ce que va en penser la justice.

    06/10/11

  • Espagne: la duchesse d'Albe se remarie à 85 ans

    sipa-ap-408081-jpg_269409.jpg duchesse albe.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    http://fr.euronews.net/2011/10/05/troisieme-mariage-pour-la-plus-riche-aristocrate-d-espagne/

    + VIDEO

    euronews - 05/10/11

  • Qui est-ce ? n° 46

    n° 46.jpg

  • Les Suédois appellent au boycott universitaire d'Israël

    Plus de 200 étudiants, professeurs et chargés de cours à travers la Suède ont signé un appel à l’expansion du boycott universitaire.
    Ils demandent aux universités suédoises de ne participer à aucune coopération universitaire avec des établissements d’enseignement israéliens. Ils ont également appelé le gouvernement suédois à "agir vers l’arrêt du soutien de la recherche de l’Union européenne à Israël."
    L’appel public au boycott, initié par le groupe d’action pour le boycott d’Israël à l’Institut Royal de Technologie (KTH) de Stockholm, suit des campagnes similaires de boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) dans toute l’Europe et le monde entier - y compris l’engagement récent de syndicats d’étudiants de Londres à soutenir le boycott, ainsi que les initiatives du milieu universitaire à l’échelle nationale en Afrique du Sud après que l’Université de Johannesburg a rompu ses liens avec l’Université Ben Gourion en Mars.
    L’appel du groupe d’action ajoute : "Le boycott ne vise pas des individus mais des institutions. Jusqu’ici, aucune institution universitaire israélienne s’est dissociée de la politique d’apartheid d’Israël ou de la discrimination des Palestiniens en Israël.

     Par conséquent, toute collaboration avec des institutions universitaires israéliennes doit être arrêtée, disent les signataires. Le groupe d’action exige que KTH annule son accord en cours avec Technion, la première université israélienne de haute technologie.

     
     Technion collabore de près avec les forces militaires israéliennes. À titre d’exemple, il peut être mentionné que Technion développe de nouveaux types de drones pour la destruction de maisons palestiniennes... Les chercheurs du Technion agissent en tant que conseillers auprès des militaires israéliens et l’université collabore étroitement avec Elbit, le plus grand producteur d’armes d’Israël."
     
     
    Al Manar
    ALTER INFO - 05/10/11

     

  • Un scandale: la levée de l'immunité parlementaire de Bruno Gollnisch confirmée par le CJUE

    untitled.jpg

    Le 10 mai dernier, par 511 voix sur 632, les parlementaires européens réunies en session plénière à Strasbourg, avaient  approuvé la levée d’immunité parlementaire de Bruno Gollnisch. Et ce au nom d’une plainte pour « incitation à la haine raciale » déposée par « une organisation stipendiaire dont l’action s’exerce à l’encontre de la liberté d’expression », à  savoir  la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra), officine proche de   l’UMP et dirigée  par Alain Jakubowicz.

     Etait  visée ici la teneur d’un communiqué du groupe FN au Conseil régional de Rhône-Alpes publié en octobre 2008 sur son site web. Texte que Bruno Gollnisch n’avait d’ailleurs pas rédigé mais dont il est tenu responsable en tant que président de ce groupe politique… Le site Lex times.fr rapportait hier que « l’immunité européenne de Bruno Gollnisch est pour le moment levée. L’eurodéputé français membre du Front National n’a plus le choix, il va devoir répondre à la justice.

     Il a tenté de se protéger à travers un recours en urgence devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), qui a échoué vendredi dernier. »

    « En juillet dernier, l’eurodéputé (avait) introduit un double recours devant la Cour de justice de l’union européenne. Il (demandait) d’une part l’annulation de la décision du Parlement, avec en réparation 8 000 euros pour préjudice moral et 4 000 euros pour les dépens. Il (faisait) d’autre part la même demande en référé, sollicitant le sursis à l’exécution de la décision attaquée. » C’est ce double recours qui a été rejeté rapporte ce site.

    Déjà en mai, à l’issue du vote de « ses collègues »,  Bruno Gollnisch  déclarait avoir « la certitude d’être visé par un Parlement minable composé majoritairement de minables ». « Ce Parlement est tout sauf un Parlement. On n’y parle pas, on n’a pas la possibilité d’y débattre. Au-delà de ma personne, j’ai honte pour notre institution. Elle est engluée dans le politiquement correct. Ce Parlement maintient l’immunité de députés de gauche ou de la majorité même quand il s’agit de forbans, bandits et autres crapules. Et il ne protège pas l’expression d’un parlementaire que ses adversaires politiques au pouvoir, donc contrôlant le Parquet et certaines associations, attaquent. »

    « Vous défendez les droits de l’homme au Guatemala, en Indonésie, partout dans le monde où vous n’avez aucune compétence », affirmait-il encore  à l’adresse de la majorité des parlementaires. « Mais vous n’êtes pas capables de défendre les droits d’un de vos membres ! »

    Marine Le Pen, avait  jugé alors  « scandaleuse » cette levée de l’immunité parlementaire de Bruno Gollnisch, éminemment contestable » de ne « pas protéger la liberté de parole d’un parlementaire contre les poursuites qui sont très souvent engagées, soit par des organismes qui sont des adversaires politiques, soit par un parquet dont on peut également douter de l’indépendance. » Or, « la seule liberté d’un député, c’est sa liberté de parole » indiquait la présidente du FN.

    Lors de la conférence de presse qu’il avait tenu à Strasbourg le 11 maiBruno Gollnisch avait relevé que ce harcèlement judicaire  est bien évidemment à géométrie variable,  rappelant le cas d’un député appartenant au groupe du PPE, M. Brok, poursuivi en Allemagne pour fraude fiscale, mais dont l’ immunité a été maintenue. Bref « si vous appartenez au courant dominant vous êtes protégés… et matraqués si vous êtes dans le camp des pestiférés, du politiquement incorrect… »

    Evoquant les termes même de ce fameux  communiqué du groupe FN Rhône-alpin d’octobre 2008, et qui dénonçait notamment «l’invasion de notre patrie et la destruction de notre culture et de nos valeurs», le député européen avait  précisé que même si ce texte ne fut pas rédigé par ses soins, les propos « litigieux » relevaient bien de son «expression politique.»

    «On a le droit de critiquer l’islam dans ses manifestations agressives», «le droit d’exercer une critique aussi bien à l’encontre des voyous ou des bandes ethniques qui sévissent dans notre pays, que je ne confonds pas avec l’ensemble des musulmans de France.»

    Bruno Gollnisch pointait  encore en juin dernier  la relaxe par les autorités judiciaires néerlandaises, « au nom de la liberté d’expression »,  de  Gert Wilders, « homme politique néerlandais poursuivi pour avoir critiqué l’islam en comparant le Coran à « Mein Kampf ». Une décision constituant un « camouflet pour la majorité du Parlement Européen » sous l’emprise de la police de la pensée, sachant que le communiqué  imputé  à Bruno Gollnisch  « ne confondait pas tous les
    musulmans dans les mêmes pratiques » et « était beaucoup plus modéré que les propos de M. Wilders ».

    Il conseillait pareillement à  la Licra « de s’intéresser au sort des musulmans à Gaza plutôt qu’à Lyon où il est beaucoup plus enviable ». Mais  Me Jakubowicz en est-il capable ?

    Cette décision de la CJUE n’entame en rien la détermination de Bruno Gollnisch, plus combatif  et résolu que jamais, à faire triompher le droit et  la justice… et le renforce encore dans  sa certitude du  bien fondé des valeurs portées par l’Opposition nationale!

    Blog de Bruno Gollnisch - 05/10/11