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GAELLE MANN - Page 1832

  • Medvedev fustige les Etats-Unis et annonce un déploiement de missiles

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    Dimitri Medvedev le 5 novembre 2008 au Kremlin
    Le président russe, Dmitri Medvedev, a accusé mercredi les Etats-Unis d'être à l'origine de la crise financière internationale et la guerre en Géorgie, et annoncé le déploiement de missiles à Kaliningrad en réponse au bouclier américain.
    Au cours de son premier discours annuel à la nation, M. Medvedev a également exprimé l'espoir que la "nouvelle administration américaine" opterait pour de "bonnes relations" avec la Russie, sans citer une seule fois le nom du démocrate Barack Obama, élu mardi 44e président des Etats-Unis.

    Intervenant devant les parlementaires, représentants des corps constitués et un parterre de personnalités russes réunis au Kremlin, le président russe a promis de répliquer au déploiement d'éléments du bouclier antimissile américain en Europe de l'est.

    "Pour neutraliser en cas de nécessité le système de défense antimissile, on va déployer dans la région de Kaliningrad le complexe de missiles Iskander", a-t-il déclaré. "Depuis la même région, on va brouiller les nouveaux éléments du système de défense antimissile que les Etats-Unis ont l'intention de déployer" en Pologne et en république Tchèque, a-t-il poursuivi.

    M. Medvedev s'en est aussi pris à Washington à propos de la crise financière internationale, dénonçant les "erreurs" à l'origine de cette crise "qui est loin d'être finie". "En gonflant la bulle financière pour stimuler leur croissance, les Etats-Unis ne se sont pas donné la peine de coordonner leurs efforts avec d'autres participants des marchés et ont ignoré tout sens élémentaire de la mesure", a déclaré M. Medvedev.

    Revenant sur la guerre russo-géorgienne dans le Caucase, M. Medvedev a affirmé que la "tragédie de Tskhinvali", capitale de la république séparatiste d'Ossétie du Sud, était "une conséquence de la politique présomptueuse de l'administration américaine".

    "Le conflit dans le Caucase a été utilisé comme prétexte pour introduire dans la mer Noire des bateaux de guerre de l'Otan et pour imposer plus vite encore à l'Europe le système de défense antimissile américain ce qui va provoquer des mesures de rétorsion de la Russie", a-t-il ajouté.

    La tentative de Tbilissi, allié des Etats-Unis, de reprendre le contrôle de l'Ossétie du Sud dans la nuit du 7 à 8 août a provoqué une intervention russe en Géorgie et une guerre de cinq jours. "Nous ne reculerons pas dans le Caucase", a prévenu le président russe.

    Evoquant la politique intérieure, M. Medvedev a proposé d'allonger à six ans la durée du mandat présidentiel en Russie contre quatre actuellement et celui des députés de la Douma, chambre basse du Parlement, à cinq ans contre quatre.

    AFP. 05.11.08

  • "Use your brain, vote McCain!"

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    Encore fallait-il avoir un cerveau...

  • John F. Kennedy le matin de sa mort

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    Kennedy prononce son dernier discours à Fort Worth le 22 novembre 1963, en face de l'hôtel Texas

  • John-John (25 novembre 1960-16 juillet 1999)

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    A Hyannis Port - 31 août 1980
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    25 novembre 1963 à Washington DC
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    14 octobre 1963 - dans le Bureau ovale, entouré de son père et de ses conseilers 

  • Le destin tragique de John Kennedy Jr - retour sur un accident d'avion

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    John Kennedy Jr
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    Le 8 août 1998 avec sa femme Carolyn
     William Reymond   
     Le vendredi 16 juillet 1999 à 21h40, le Piper Saratoga de John Kennedy jr plongeait dans les eaux noires
     des côtes de Martha’sVineyard.
     Le petit prince de l’Amérique, accompagné de son épouse et sa belle-sœur confirmait ainsi
     l’étrange malédiction pesant sur la dynastie Kennedy. Après avoir goûté à la gloire, le clan
     connaissait à nouveau l’amertume du deuil.
    Lire la suite de l'article sur le site de William Reymond

  • Rama l'a échappé belle!

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    Adolphe Muzito, Premier ministre du Congo
    Rama Yade, secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères et aux Droits de l’Homme, était en République démocratique du Congo (RDC) en juin. La secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’homme décrit une situation catastrophique, notamment pour les femmes.

    Toutes les ONG présentes dans la région parlent de « catastrophe humanitaire ».

    Quelle est l’urgence ?

    Rama Yade. L’urgence, c’est que le cessez-le-feu du 29 octobre décrété par la rébellion de Laurent Nkunda soit respecté. Il faut apaiser les tensions pour revenir à un processus politique. La situation humanitaire, que certains semblent aujourd’hui découvrir, est dramatique.
    J’étais en juin dans le Nord-Kivu et le Sud-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo, et ce que j’ai vu là-bas, moi qui ai déjà effectué environ 70 déplacements, je ne l’ai jamais vu ailleurs. Je suis réellement revenue de l’enfer ! C’est une tragédie oubliée.

    « Le viol est devenu une arme de guerre »

    Et vous êtes rentrée traumatisée…


    Le mot n’est pas trop fort! En RDC, où l’on compte entre 50 000 et 100 000 femmes violées depuis 2003, j’ai entendu les récits insoutenables de femmes enlevées, transformées en esclaves sexuelles par des bandes armées avant d’être abandonnées à leurs communautés qui, bien évidemment, n’en veulent plus à cause du sida ou de terribles séquelles physiques comme les fistules. A travers ces femmes, ce sont des communautés entières qui sont ainsi détruites. Sous l’effet d’une totale impunité des auteurs, le viol est devenu une arme de guerre au Congo. Et ce phénomène a pris dans ce pays une ampleur effroyable. A l’hôpital de Panzi, j’ai ainsi rencontré un homme remarquable, le Dr Mukwege qui, seul avec quatre aides-soignantes, opère ces femmes brisées à l’aide de moyens dérisoires.

    Assiste-t-on à un nouveau conflit ethnique entre Hutus et Tutsis ?

    Il ne s’agit pas à l’origine d’un conflit "expressément" ethnique. La population congolaise est bien plus diverse que cela. Même si certains rebelles utilisent de temps en temps l’argument ethnique pour justifier leur action. Ce qui est certain, c’est que, depuis la reprise des combats début septembre, on compte plus de 200 000 personnes déplacées qui s’ajoutent aux 800 000 qui croupissent depuis des années dans les camps de réfugiés, à la suite des différents conflits de la région. Sans parler du recrutement d’enfants soldats qui a repris. Il semble que la rébellion de Laurent Nkunda, implantée dans le Nord-Kivu, cherche à asseoir son contrôle sur une région très riche en coltan, un minerai très recherché pour la fabrication de téléphone portables.

    La Monuc (Mission des Nations unies au Congo) a-t-elle assez de moyens ?


    Je pense qu’il est plus que temps de renforcer ses moyens d’action. On ne peut plus se contenter de dire que la Monuc, avec ses 17 000 casques bleus, est la plus grande force des Nations unies au monde alors que, sur le terrain, les viols de femmes se poursuivent et les réfugiés se multiplient. Les militaires de la Monuc sont certainement ceux qui en ont le plus conscience car ils sont présents sur le terrain. Le mandat de la Monuc, qui vient d’être renouvelé, spécifie pourtant noir sur blanc qu’elle a mission de protéger les civils.

    L’envoi d’une force européenne, c’est en dernier recours ?

    Même si l’Union européenne a décidé que ce n’est pas d’actualité, je pense qu’il est indispensable d’étudier des moyens d’action le plus vite possible. L’Histoire nous regarde.

     

    Le Parisien -04.11.08

  • Out of America!

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    Le démocrate Barack Obama "menait" confortablement mardi face à son rival républicain John McCain dans une mise en scène de l'élection présidentielle américaine organisée par des comédiens kényans, dans le fief de la famille paternelle du sénateur de l'Illinois.

    Quelque 1.500 "électeurs" avaient déposé le bulletin de leur choix mardi à la mi-journée (09h00 GMT) dans les urnes disposées dans plusieurs quartiers de la ville de Kisumu (ouest du Kenya).

    "Obama mène", a déclaré à l'AFP avec aplomb Lawrence Onyango, un des deux comédiens qui ont organisé la consultation: "la participation est forte".

    "McCain obtient également des voix", a tenu à souligner Milton Obote (nom d'un ancien dictateur ougandais), le second organisateur, selon qui l'événement n'a aucune autre prétention que des "réjouissances pacifiques".

    Nicolas Okoth, l'un des rares habitants de la ville à reconnaître avoir "voté" John McCain, a expliqué son choix sur le mode de la plaisanterie: "les Blancs nous ont aidés, ils nous ont colonisés, nous ont amenés l'éducation et les connaissances. Je soutiens Obama, mais on ne peut pas voter pour les deux".

     Kisumu est la troisième ville du Kenya et fief de l'ethnie Luo dont était issu le défunt père de Barack Obama.
    Mardi, les habitants se préparaient à défiler dans les rues et à célébrer la victoire, déjà acquise à leurs yeux, du sénateur démocrate.

    Kogelo, le village de la grand-mère paternelle de M. Obama se trouve à une soixantaine de km de Kisumu.

  • Obama: jusqu'à la nausée...

    "Thanks Grand'ma !" : la grand-mère d'Obama a voté avant de mourir

    Comme le soulignent certains commentaires ironiques voire idiots sur le Net, "si Barack Obama n'a qu'une voix, au moins il saura d'où elle vient !" : en effet, la grand-mère du candidat, Madelyn Dunham, décédée hier, veille du scrutin, à l'âge de 86 ans, a tout de même pu glisser, par Internet, son bulletin dans l'urne. Et nul doute que son vote ira à son petit-fils.

    Comme tous les votes par correspondance, celui-ci sera pris en compte (y avait-il doute ?) par les autorités électorales de Hawaii lorsque l’île du Pacifique fermera ses bureaux de vote, soit quelque six heures après la fermeture des derniers bureaux de la côte est des Etats-Unis.

    Emotion, forcément, de penser que cette femme sera décédée à deux jours peut-être, de voir Barack Obama sacré président des Etats-Unis.

    Etrange que l'on nous informe de cela le jour même du scrutin, peut-être aussi...Serait-ce un dernier argument de campagne de la part d'Obama, qui fort habilement, selon certains observateurs, avait rendu visite à cette femme qui l'avait élevé, dont il parlait abondamment dans ses discours, et dont il confiait la peur des Noirs...

    Une raison de plus de voter pour lui : car si une telle femme avait une telle peur de cette communauté mais avait tout donné à Barack, cela prouve que l'électorat blanc qui hésite encore n'a pas à avoir honte de ses peurs...

    Magistral comme stratégie, ironisait-on.

    04.11/08

    http://journalismetotal.20minutes-blogs.fr/archive/2008/11/04/thanks-grand-ma-la-grand-mere-d-obama-a-vote-avant-de-mouri.html

  • Clip vidéo: la rastamania

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafYCzn.html


    A la veille de l'élection présidentielle aux Etats-Unis, les Américains pro-Obama de Paris se sont réunis une dernière fois sur le parvis du Trocadéro pour un lâcher de ballons aux couleurs de leur pays.

  • John McCain contre l'avortement

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    Contrairement à son adversaire démocrate, John McCain est un « pro-vie » : il est opposé au droit à l’avortement. Par conséquent, il a déjà dit qu’il nommerait des juges conservateurs à la Cour suprême, s’assurant une majorité conservatrice sur ces grands thèmes.

    Il est « pour le retournement de Roe V. Wade », cet arrêt des années 1970 qui procure aux femmes le droit fédéral à avorter.


  • VIDEO L'AIPAC, "groupe de pression"

    http://fr.youtube.com/watch?v=kUzWQiMe0Fc

    Pour plus d'informations sur l'AIPAC:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/American_Israel_Public_Affairs_Committee

     

  • Obama annonce la mort de sa grand'mère la veille de l'élection

    Le candidat démocrate à la Maison Blanche Barack Obama a annoncé lundi la mort de sa grand-mère, âgée de 86 ans et qui souffrait d'un cancer, à la veille de l'élection présidentielle américaine.


    Le mois dernier, M. Obama, qui pourrait devenir le premier président noir des Etats-Unis, avait interrompu sa campagne électorale pendant un jour et demi, pour se rendre à Hawaii, au chevet de sa grand-mère maternelle souffrante, de crainte qu'elle ne vive pas jusqu'au scrutin qui pourrait voir sa victoire, comme le prédisent les sondages.


    "C'est avec une grande tristesse que nous annonçons que notre grand-mère Madelyn Dunham, s'est éteinte paisiblement après avoir lutté contre un cancer", a déclaré M. Obama, dans un communiqué commun avec sa soeur Maya Soetoro-Ng.
    "Elle était la pierre angulaire de notre famille et une femme à la force, à l'humilité et aux actes extraordinaires", ajoutent le candidat et sa soeur.
    "Elle était la personne qui nous a encouragés et nous a permis de nous réaliser", ont-ils poursuivi.
    "Elle était fière de ses petits-enfants et de ses arrière-petits-enfants et a quitté ce monde en sachant que son oeuvre sur nous tous est significatif et durable. Notre dette envers elle est sans limite", ont-ils dit.


    Madelyn Dunham avait aidé à élever le jeune Barack Obama après la mort de sa mère d'un cancer, alors que son père kényan avait quitté le domicile conjugal.


    Elle est décédée lundi à Honolulu entre 09H00 et 10H00 GMT à quelques heures du scrutin présidentiel, selon la porte-parole de Barack Obama, Linda Douglass. Elle souffrait d'un cancer.


    Mme Douglass a précisé que le prétendant à la Maison Blanche avait appris le décès de sa grand-mère lundi juste avant un rassemblement électoral à Jacksonville en Floride (sud-est) mais n'avait pas montré sa tristesse.


    Le communiqué a été publié par le candidat et sa soeur alors qu'il ne restait à Barack Obama que deux meetings avant l'élection mardi, après une campagne électorale de 21 mois.
    "Notre famille veut remercier tous ceux qui ont envoyé des fleurs, des cartes, des voeux et des prières pendant cette période difficile", ajoutent Barack Obama et sa soeur.
    Ils indiquent aussi que les funérailles de leur grand-mère auront lieu "à une date ultérieure" au cours d'une "petite cérémonie privée", conformément aux voeux de la défunte.
    Dans ce même communiqué, ils invitent ceux qui souhaiteraient envoyer des fleurs de préférer un don à un organisme de recherche sur le cancer.
    La grand-mère maternelle de Barack Obama n'a pas participé à la campagne de son petit-fils. Mais ce dernier a souvent rendu hommage à cette femme qui a commencé sa carrière comme secrétaire avant de devenir vice-présidente de la Bank of Hawaii en 1970.


    Il avait appelé sa grand-mère à la rescousse en début d'année après avoir été mis en cause pour ses relations avec son pasteur Jeremiah Wright, auteur de propos incendiaires envers l'Amérique blanche.
    "Je ne peux pas plus le renier que je ne peux renier ma grand-mère blanche", avait-il lancé dans un discours, évoquant "une femme qui a avoué une fois sa peur de croiser des Noirs dans la rue et qui, à plus d'une occasion, a proféré des clichés raciaux ou ethniques qui m'ont hérissé".

    AFP - 03.11.08

  • Black Power en RDCongo

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    Dans un camp de déplacés - RDCongo
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    Le chef rebelle tutsi Laurent Nkunda - 02.11.08
    Nkunda congo 2 11 08.jpg
    Laurent Nkunda, un général déchu  des FARDC

    Des milliers de civils en perdition, victimes des affrontements entre l'armée et les rebelles marchent en hâte vers Goma, la capitale provinciale du Nord-Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC).

    Emportant matelas, casseroles et chèvres, ils fuient des combats à l'arme lourde entre la rébellion congolaise de Laurent Nkunda et l'armée de la RDC (FARDC) qui les ont réveillés lundi matin dans leur localité de Kibumba, située à 35 km de Goma. Kibumba a été attaquée à l'aube par les combattants du "Congrès national pour la défense du peuple" (CNDP) du chef rebelle tutsi congolais Laurent Nkunda, qui s'en est emparée.

    Mardi, des hélicoptères de combat de la Mission des Nations unies en République démocratique du Congo (Monuc) ont dispersé les rebelles de Laurent Nkunda dans la zone de Kibumba, à 30 km au nord de Goma. La rébellion de ce général déchu des FARDC avait déjà pris dimanche à l'armée un important camp militaire situé à Rumangabo, à environ 50 km au nord de Goma.


     

     

    Lundi matin, le gouvernement provincial du Nord-Kivu avait appelé sur les ondes de la radio nationale «la population au calme» et lui a demandé «d'être vigilante et de dénoncer toute tentative d'infiltration» dans la ville de Goma, frontalière du Rwanda.

    Depuis leur reprise, le 28 août, en violation d'un accord de paix signé à Goma en janvier, les affrontements entre le CNDP et les FARDC dans le Nord-Kivu ont poussé quelque 200 000 personnes de plus à fuir leur maison, selon le Programme alimentaire mondial (PAM) de l'ONU.

     Au total, entre 1,4 et 2 millions de civils ont été déplacés par les vagues successives de violences au Nord-Kivu, soit plus du quart des 5 millions d'habitants que compte cette province frontalière du Rwanda.

    Le Figaro - 02.11.08

  • VIDEO: ENESCO- Rhapsodie roumaine

    http://fr.youtube.com/watch?v=qTqchZPPB10

    Georges Enesco (en roumain : George Enescu), né le 19 août 1881 à Liveni (Moldavie roumaine) et mort le 4 mai 1955 à Paris, est le plus célèbre compositeur roumain. Il fut également violoniste virtuose, chef d'orchestre, pianiste et pédagogue.

  • Cette France qui meurt dans l'indifférence

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    Place de l'église de Draveil - Essonne
    Des poutres de 10 m ont fracassé les bancs de la nef de l’église de Draveil, hier vers 9 heures. Une grande partie de la charpente s’est écroulée, pour des raisons encore indéterminées.
     Un expert a noté qu’il n’était pas nécessaire de consolider les parties restantes et un arrêté interdisant l’accès à l’église a été pris dans la foulée.
    Les offices ont lieu au centre pastoral, en face de la mairie.


    RIS-ORANGIS
    Arrêtés après les agressions dans le RER

    Quatre jeunes ont agressé des passagers du RER D entre Evry et Ris, vendredi, vers 22 heures. Sous la menace d’une bombe lacrymogène, notamment, les malfrats se sont emparés des objets personnels de six victimes. Les policiers sont intervenus à la station suivante et ont arrêté deux individus, un mineur de Villeneuve-Saint-Georges (94) et un jeune majeur de Lieusaint (77).

    LE PLESSIS-PÂTE
    Caillassages de voitures

    Une quinzaine de jeunes ont tenté d’entrer par effraction à l’intérieur du complexe sportif du Plessis-Pâté, vendredi, un peu avant 21 heures. Ils ont agressé l’agent communal chargé de surveiller les lieux. Et dans la foulée, ils ont dégradé huit véhicules et saccagé un abribus. Les forces de l’ordre ont interpellé un peu plus tard deux des auteurs présumés.

     Le Parisien -02.11.08

  • Comme des loups...

    Une femme se trouvait dimanche soir entre la vie et la mort après avoir été agressée par deux chiens sur le bord d'une route près de Montpellier, a-t-on appris auprès de la police.

    Un automobiliste a découvert la victime, âgée de 52 ans, alors qu'elle était à terre et que deux chiens s'acharnaient sur elle, dimanche matin.

    Après avoir fait fuir les bêtes, l'homme a alerté le Samu qui a pris en charge la personne agressée dont les chairs ont été particulièrement touchées par de multiples morsures au niveau des mollets et des bras. Hospitalisée à Montpellier, elle s'est fait amputer d'un bras et les médecins, en début de soirée, réservaient leur pronostic.

    Les enquêteurs ont fait rechercher les chiens errants et en ont attrapé quatre dont ils cherchent actuellement à déterminer s'ils peuvent être les agresseurs. Les résultats de leurs analyses seront connus lundi matin, a précisé un porte-parole de la police.

     

    leparisien.fr - 02.11.08

  • Halloween... l'antique fête celtique de Samhain

    INFO LE PARISIEN. Un homme de 25 ans a été interpellé hier soir par le service départemental de PJ du Val-de-Marne. Il est soupçonné d'avoir mis le feu sur un enfant de 13 ans, sans aucune raison.

    Les faits ont eu lieu vendredi soir dans une cité de Créteil (Val-de-Marne) alors que le garçon collectait des bonbons pour Halloween.

     Dans un premier temps, l'individu, un ancien habitant du quartier, a voulu forcer l'adolescent à boire un solvant.

    Devant son refus, il a aspergé la victime avec le produit avant d'y mettre le feu. L'enfant a été hospitalisé mais ses jours ne sont pas en danger.

     

  • Israël et ses colonies "sauvages"

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    Un Israélien jette des pierres sur des Palestiniens et des journalistes dans la colonie d'Hébron le 31 octobre 2008

    AFP.02.11.08. Le gouvernement israélien a promis dimanche de cesser "immédiatement" le financement des implantations sauvages de Cisjordanie à la suite d'une escalade de la violence par des colons extrémistes à Hébron.

    "Le gouvernement a décidé de stopper immédiatement tout financement, qu'il soit direct ou indirect, d'avant-postes illégaux ou de leurs infrastructures", indique le cabinet dans communiqué.

    C'est la première fois que le cabinet prend un tel engagement, bien qu'il ait déjà promis par le passé de démanteler des colonies sauvages, construites sans son autorisation et qui n'ont jamais été démantelées, à quelques rares exceptions.

    Même si le gouvernement israélien a lui-même qualifie d'"illégaux" ces points de colonisation dispersés dans toute la Cisjordanie, il n'en reste que, selon le ministère de la Justice, il leur fournit un soutien logistique.

    Le gouvernement a en outre annoncé qu'il examinerait "si des appels à la violence ont été effectivement lancés par des personnalités" parmi les colons, laissant entendre que des poursuites judiciaires pourraient être engagées.

    Il a promis plus généralement de combattre les violences de colons de Hébron, en Cisjordanie, où de nouveaux incidents ont opposé extrémistes juifs et policiers israéliens.

    Le Premier ministre de transition Ehud Olmert a jugé que "la situation était intolérable" alors que "les violations de la loi s'accompagnent souvent de violences contre les forces de l'ordre".

    Il réagissait aux violences de la nuit à Hébron, où deux gardes-frontières israéliens ont été blessés par des jets de pierres lors d'affrontements avec des colons, les quatrièmes en deux semaines dans ce secteur.

    Le ministre de la Défense Ehud Barak a de son côté évoqué un "phénomène grave, qu'aucune société ne saurait tolérer", et assuré vouloir le combattre "de toutes ses forces".

    Le chef du Shin Beth (service intérieur de sécurité), Youval Diskin, a même mis en garde le cabinet contre le risque d'assassinat de dirigeants politiques par des extrémistes de droite, à quelques jours du 13è anniversaire du meurtre du Premier ministre Yitzhak Rabin.

    Cette vague de violences de colons est survenue après la destruction le 29 octobre par l'armée d'un point de colonisation sauvage, à Hébron, vécue comme une provocation par des colons de Kyriat Arba, dans le voisinage.

    Dans la foulée, des colons, qui se plaignent d'être "victimes d'une véritable chasse aux sorcières", s'étaient livrés à des violences anti-palestiniennes, lançant des pierres contre des maisons, endommageant des tombes d'un cimetière musulman et crevant les pneus de plusieurs voitures.

    L'un des colons de Kyriat Arba a fait scandale en souhaitant aux soldats israéliens de mourir ou d'être enlevés par des Palestiniens.

    Dans la même veine, le rabbin de Hébron et Kyriat Arba, Dov Lior, a ni plus ni moins accusé l'armée de se conduire avec les colons "comme les nazis en Pologne, il y a quelques dizaines d'années".

    Selon un rapport officiel publié en novembre 2005, le ministère de la Défense aide notamment à la mise en place des infrastructures en assurant non seulement la garde de ces points de colonisation, mais aussi en ouvrant des routes et en les reliant aux réseaux d'électricité et d'eau.

    Selon le mouvement anticolonisation La Paix Maintenant, plus de 100 colonies sauvages sont toujours en place en Cisjordanie occupée.

    Aux yeux de la communauté internationale, toutes les colonies dans les territoires palestiniens occupés depuis juin 1967 sont illégales.

     

  • Une tante d'Obama fait l'objet d'une procédure d'expulsion

    Dans les mémoires de Barack Obama, c'est "Tatie Zeituni".

    Et "Tatie Zeituni" réside illégalement aux Etats-Unis depuis quatre ans...

    Zeituni Onyango, âgée de 56 ans, est originaire du Kenya et vit dans un appartement public à Boston, alors qu'un juge a rejeté sa demande d'asile, il y a quatre ans.

    La tante de Barack Obama fait l'objet actuellement d'une procédure de retour au pays.

    Kelly Nantel, porte-parole de services d'immigration a précisé qu'une expulsion avant le scrutin de mardi supposait "une autorisation au moins au niveau de la direction régionale de l'immigration et des douanes."

    Une expulsion, qui, si elle devait avoir lieu, ferait un peu désordre, si le neveu Barack Obama, devenait, mardi, le nouveau président des Etats-Unis.

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    Suite à l'annonce samedi 1er novembre de la présence sur le territoire américain d'une tante de Barack Obama en situation irrégulière, le camp démocrate en pleine campagne a décidé de rendre l'argent (265 dollars) que Zeituni Onyango, 56 ans avait donné pour soutenir la campagne de son neveu. Selon la loi électorale américaine, les étrangers ne peuvent en effet pas faire de dons aux candidats américains à la présidentielle.

     Or, l'Associated Press annonçait hier que la tante de Barack Obama vit depuis 2004 en situation de "clandestinité" aux Etats-Unis, depuis qu'un juge fédéral des services de l'immigration lui a refusé de lui accorder le droit d'asile. Dans l'entourage de Barack Obama, on se refusait samedi à dire si le fait de rendre le don était une confirmation du statut illégal de Zeituni Onyango.


    "Selon les informations qui nous ont été transmises, la contribution est en train d'être rendue", a dit dans un communiqué un porte-parole de Barack Obama, Ben LaBolt sans autre précision.


    Kelly Nantel, porte-parole de l'administration des douanes (ICE) a indiqué qu'elle ne pouvait "ni confirmer ni infirmer" la situation irrégulière de la tante du candidat démocrate. "Nous n'évoquons pas les détails de la situation des personnes", a-t-elle expliqué.

    Source : Le nouvel Obs.com

    (Source: Le Post- Nouvel Obs. - 02/11/08)