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A lire absolument ! Jusqu'au bout!
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A lire absolument ! Jusqu'au bout!
Avec sa fille Tiphaine Mazières
Le jeune conducteur, visé d'une balle dans la tête par le terroriste Radouane Lakdim, le 23 mars à Carcassonne, est sorti du coma. Renato Silva, resté conscient jusqu'à son arrivée aux urgences, était plongé dans un coma artificiel depuis son admission au centre hospitalier de Perpignan.
Selon nos informations, l'état de santé du jeune Portugais de 26 ans se serait amélioré : il serait toujours dans un état confus mais il pourrait s'exprimer. Cependant aucune décision n'a été prise au sujet d'une éventuelle intervention chirurgicale afin d'extraire la balle logée dans son crâne.
Renato Silva était au volant de sa voiture, aux côtés du viticulteur Jean Mazières, quand le terroriste les avaient braqués pour voler le véhicule, à Carcassonne aux Aigles de la Cité. Jean Mazières avait été la première victime tuée par Radoune Lakdim qui avait ensuite blessé un CRS et s'était rendu au Super U de Trèbes. Une fois blessé par le terroriste, Renato Silva était parvenu à prévenir sa mère au téléphone. La police et les secours étaient parvenus à le localiser pour l'emmener aux urgences.
Le jeune homme était arrivé du Portugal il y a 3 ans pour rejoindre ses parents.
Le 35e rassemblement des islamistes de l’ex-UOIF a bien eu lieu samedi et dimanche au Bourget malgré les demandes d’interdiction de plusieurs personnalités dont Marine Le Pen. Le stand « Free Tariq Ramadan » y a connu un franc succès.
Quelques jours seulement après que Macron a juré sur la tombe d’Arnaud Beltrame qu’il allait s’attaquer à « l’hydre islamiste », Musulmans de France (nouveau nom de l’Union des organisations islamiques de France) lié aux Frères musulmans, interdit et classé comme groupe terroriste par de nombreux pays à travers le monde, a toujours pignon sur rue. En plein contexte des attentats islamistes de Trèbes et de Carcassonne et de l’assassinat de Mireille Knoll, ce rassemblement qui a réuni 170 000 musulmans, (le plus important du genre en Europe) avait annoncé ses prédicateurs attitrés, comme Ahmed Jaballah ou Tareq Oubrou, l’imam Iquioussen, célèbre pour avoir qualifié les juifs « d’avares et d’usuriers », Nabil Ennasri, pour qui « le djihad, dans le cadre d’une lutte armée défensive contre un système oppressif, est parfaitement légitime pour le peuple syrien » ou encore Sofiane Meziani, pour qui il faut « en finir avec la démocratie française ».
Rappelons que la très radicale UOIF a officiellement appelé à voter Emmanuel Macron à la dernière présidentielle. Un soutien que ce dernier n’a jamais rejeté.
Tariq Ramadan toujours influent
Mais l’un des orateurs vedettes de ce congrès manquait à l’appel. Et pour cause, il est en prison, accusé de viols par trois femmes. Toutefois ses livres, ainsi que ceux de son frère Hani Ramadan (qui appelle à la lapidation des femmes en cas d’adultère) sont en bonne place. Et surtout le stand de son comité de soutien « Free Tariq Ramadan » (Libérez Tariq Ramadan) à la place d’honneur dans le hall d’accueil, n’a pas désempli. Barbus et femmes voilées s’y pressent pour signer la pétition de soutien (adressée au président de la République et au ministre de la Justice) et acheter les livres du prédicateur islamiste. Cette pétition réclamant sa libération, rédigée en trois langues – français, anglais, arabe – a déjà recueilli près de 120 000 signatures, et la collecte de fonds pour les frais de justice avait atteint 100 000 euros en quelques jours.
Les leaders associatifs musulmans battent le rappel de la communauté depuis des semaines sur les réseaux sociaux. La banlieue n’est pas loin d’en faire un martyr. Il faut dire que Tariq Ramadan y a fait l’éducation politique et religieuse de beaucoup de jeunes Français de la deuxième génération d’origine maghrébine. Au Bourget, la révolte gronde : on entend que « ses droits fondamentaux sont bafoués » et qu’il vit une « incarcération sans jugement, sans fondement et dans un état de santé alarmant ». « L’affaire a perturbé la communauté, cela nous met en colère de voir qu’un musulman est traité de cette manière dans ce pays », déclare un certain Jamel au Figaro.
Le président des Musulmans de France, Amar Lasfar, fait monter la pression : « Nous assistons à un lynchage médiatique, nous prions Dieu pour qu’il soit libéré et blanchi. Même s’il était condamné, la pensée de Tariq Ramadan restera. Personne ne peut remettre en cause ce qu’il a enseigné. D’ailleurs, ses livres se vendent comme des petits pains sur son stand. »
Musulmans de France n’a pas formellement condamné les attentats de Trèbes et de Carcassonne.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 3 avril 2018
http://www.frontnational.com/videos/jordan-bardella-sur-i24news-2/
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Le début de la construction par Rosatom de la première centrale nucléaire turque est le prélude à une rencontre entre les deux chefs d'Etat. Ils seront rejoints le 4 avril par le président Iranien pour un sommet tripartite sur la Syrie.
Les présidents turc Recep Tayyip Erdogan et russe Vladimir Poutine ont posé, le 3 avril, la première pierre de la la construction de la première centrale nucléaire turque construite par Rosatom, symbole des relations florissantes entre Ankara et Moscou. «Dieu soit avec vous !», a déclaré le président turc lors d'un discours à Ankara retransmis par visioconférence sur le site du chantier de la centrale nucléaire d'Akkuyu, dans la province de Mersin (sud), où des ouvriers ont immédiatement fait couler du béton.
«Nous assistons à un moment vraiment historique pour notre développement et pour notre coopération énergétique avec la Russie», avait précédemment déclaré le chef de l'Etat turc. «Il est difficile de surestimer l'importance de ce projet innovant d'ampleur», a déclaré Vladimir Poutine lors de la cérémonie.
La construction de la centrale, pour un coût estimé à 20 milliards de dollars (16,6 milliards d'euros), fait partie d'un projet de développement porté par Recep Tayyip Erdogan qui vise à faire de la Turquie l'un des 10 pays les plus riches du monde d'ici 2023, année du centenaire de la République turque.
Les quatre réacteurs de la centrale, d'une puissance totale de 4,8 gigawatts, fourniront, selon le président, 10% de la demande en électricité de la Turquie, pays fortement dépendant de l'importation d'hydrocarbures pour satisfaire ses besoins énergétiques. Le premier réacteur de la centrale devrait entrer en fonction en 2023. Jusqu'à 10 000 ouvriers seront mobilisés, selon l'agence de presse d'Etat Anadolu, pour ce projet voulu depuis plus de 40 ans par Ankara.
Ce chantier, plusieurs fois retardé, avait notamment connu un coup d'arrêt lors d'une grave crise diplomatique après que l'aviation turque a abattu un bombardier russe à la frontière syrienne en novembre 2015. Mais les relations se sont depuis réchauffées entre la Turquie et la Russie qui ont notamment mis de côté leurs différends sur la Syrie, où elles soutiennent des camps opposés, pour coopérer sur ce dossier.
Après l'inauguration de la centrale nucléaire, les deux présidents doivent s'entretenir à huis clos au palais présidentiel lors d'une réunion où la Syrie devrait occuper une place importante des discussions. Mercredi, les deux présidents seront rejoints dans la capitale turque par le président de la République islamique d'Iran, Hassan Rohani, pour un sommet trilatéral consacré à la Syrie, où Moscou, Ankara et Téhéran se sont imposés comme des acteurs incontournables dans la résolution de la crise.
RT
Ne fermons pas les yeux. Si les Juifs sont les plus exposés actuellement viendra ensuite le temps des « mécréants ».
Les chiffres, les statistiques, les graphiques de Jérôme Fourquet (de l’IFOP) dans L’Express sont effrayants. Par milliers, des Juifs quittent leur patrie – la nôtre – pour s’en chercher une autre. Le département de Seine-Saint-Denis, pour ne citer que lui, est devenu presque entièrement « judenrein ». Une expression forgée par les nazis qui veut bien dire ce qu’elle veut dire.
On les agresse, on les frappe, on les tue. Leurs enfants doivent quitter les écoles publiques où leur sécurité n’est plus assurée dès lors que l’établissement scolaire compte un certain nombre d’élèves « issus de la diversité ».
Mais c’est qui, « on » ? Jérôme Fourquet le dit sans détours : « Des dizaines de milliers de jeunes islamisés. » Certains s’acharnent sur les Juifs parce qu’il est écrit dans le Coran que les Juifs sont « des singes et des porcs ». D’autres parce que, dans de nombreuses familles maghrébines, le mépris du Juif fait partie des meubles.
Nombre de crimes antisémites sont d’ordre crapuleux. Il est, en effet, bien connu que « les Juifs ont de la thune » ! Souvenez-vous de Youssouf Fofana et de son gang des Barbares… Ajoutons à ces griefs l’idée, tout à fait insupportable, que des descendants de « dhimmis » d’Afrique du Nord réussissent là où ceux qui les haïssent échouent.
Toutes les enquêtes et tous les sondages effectués auprès de personnes se revendiquant de la religion musulmane et cités par Fourquet convergent. Toujours les mêmes mots : « les Juifs ont trop de pouvoir », « les Juifs tiennent les médias », « les Juifs tirent les ficelles de tout ».
Et de ce chaudron de haine et de ressentiment jaillit une bouffée délirante : « le complot juif » ! Il faut rappeler, ici, que ces Juifs-là, agressés et chassés, sont français. C’est leur pays qu’ils quittent, même s’ils en ont un autre prêt à les accueillir.
Ne fermons pas les yeux. Si les Juifs sont les plus exposés actuellement, viendra ensuite le temps des « mécréants ». On se doit, maintenant, de citer les célèbres phrases du pasteur Niemöller à l’époque d’Hitler : « Quand ils ont pris les Juifs, je n’ai rien dit : je n’étais pas juif… Quand ils ont pris les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit : je n’étais pas social-démocrate… Quand ils ont pris les syndicalistes, je n’ai rien dit : je n’étais pas syndicaliste… Et quand ils sont venus me prendre moi, il n’y avait plus personne pour protester. » Pensons-y toujours.
BV
Donald Trump a affirmé mardi qu’il était prêt à utiliser les forces armées américaines pour défendre la frontière sud des Etats-Unis avec le Mexique jusqu’à ce que soit construit un mur et que soit assurée « une véritable sécurité« . […]
« En attendant d’avoir un mur et une véritable sécurité, nous allons garder notre frontière avec l’armée. C’est une grande avancée« , a-t-il dit.
« Nous ne pouvons pas permettre à des gens d’entrer en nombre illégalement dans notre pays, disparaître et, au passage, ne jamais se présenter devant la justice« , a-t-il poursuivi.
Elle fait environ 7 mètres. Sa tête est enveloppée dans un foulard, et elle trône sur un large fauteuil, une torche dans une main et un outil utilisé pour couper la canne à sucre dans l’autre.
Au Danemark, où la plupart des statues publiques représentent des hommes blancs, deux artistes ont inauguré samedi une statue en hommage à Mary Thomas, « reine rebelle du 19ème siècle », qui a mené une révolte contre le colonialisme danois aux Caraïbes, explique le New York Times.
Aux côtés de deux autres femmes, elle a mené un soulèvement en 1878, appelée « The fireburn ». Cinquante plantations dans la ville de Frederiksted à Sainte-Croix ont été brûlées. Il s’agit de la plus grande révolte ouvrière de l’histoire coloniale du Danemark.
Le but de cette statue : rappeler le passé colonial du pays. « Il faut une statue comme celle-là pour ne pas oublier. Il faut un monument pareil pour luter contre le silence, la répression et la haine », affirme Henrik Holm, conservateur à la National Gallery of Denmark.
(…) Lors de la rixe, le jeune voleur a eu une dent cassée. Le trio de légionnaires et le voleur, sans papiers d’identité, sans adresse, ont été placés en garde à vue. « Au parquet, ils n’étaient pas d’accord sur la suite à donner, souffle une source proche du dossier. Le dossier s’est baladé. Certains voulaient laisser tomber pour les militaires. Pour finir, une substitut du procureur a décidé de poursuivre les légionnaires ».
Lors de leur garde à vue, les légionnaires ont lâché : « Si c’est pour se retrouver en garde à vue, la prochaine fois, on n’interviendra pas pour défendre une victime ».
Silje Garmo et sa fille Eira dans la maison où elles ont trouvé refuge dans les environs de Varsovie (photo Olivier Bault)
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, l’enlèvement d’enfants par l’État est une pratique devenue courante en Norvège.
En ce moment même, une Norvégienne attend, inquiète, la décision du ministre des Affaires étrangères polonais relative à sa demande d’asile dans la patrie du PiS et de Kaczyński. Cette décision devait tomber en février, puis avant le 28 mars, mais le ministre Jacek Czaputowicz s’est donné un nouveau délai de réflexion jusqu’à la mi-avril. Pourtant, l’Office polonais des étrangers a émis un avis favorable, confirmant que la citoyenne de Norvège encourait dans son pays un risque grave pour ses droits familiaux et que ces droits ne sont, d’une manière générale, pas respectés en Norvège.
La Norvège a, en ce moment, à répondre devant la Cour européenne des droits de l’Homme dans huit affaires concernant des enfants soustraits abusivement à leur famille par ses services sociaux. Silje (Cécile) Garmo n’est pas la première Norvégienne à se réfugier en Pologne avec son ou ses enfants, mais elle est la première à y avoir déposé une demande d’asile. Elle est arrivée en Pologne en mai 2017 avec sa fille Eira, qui a aujourd’hui 14 mois. Elle craignait que le Barnevernet, c’est-à-dire l’Office de protection des droits des enfants, ne lui enlève la garde de sa fille, qu’elle élève seule. Elle était accusée par les fonctionnaires de cette institution d’abuser des médicaments analgésiques et d’avoir un style de vie chaotique.
Résidant aujourd’hui dans les environs de Varsovie, Silje Garmo, à qui j’ai rendu visite pour parler de son cas dans l’hebdomadaire polonais Do Rzeczy, ne donne pas du tout l’impression d’une mère à laquelle il faudrait retirer son enfant. La petite Eira est calme et souriante et se comporte comme tout enfant de son âge. Silje Garmo produit volontiers les copies des attestations de psychologues et pédiatres polonais jointes à sa demande d’asile et confirmant qu’il n’existe aucune raison de lui retirer Eira.
Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, l’enlèvement d’enfants par l’État est une pratique devenue courante en Norvège. Les Norvégiens savent qu’ils ont un problème, mais la classe politique locale semble ne pas oser s’y attaquer. Si le gouvernement polonais hésite encore à accorder l’asile, ce n’est pas parce qu’il doute du bien-fondé de la demande. Le problème norvégien est connu en Pologne du fait de l’émigration polonaise. Sur les bords de la Vistule, les médias parlent parfois de ces parents et de ces enfants auxquels le Barnevernet fait vivre un drame. En 2011, une mère de famille polonaise avait réussi à faire enlever dans la famille d’accueil désignée par le Barnevernet sa fille de 9 ans, avec la coopération de cette dernière, pour la ramener en Pologne. Elle avait engagé pour cela un détective privé polonais et son équipe et avait été aidée par le consul de Pologne, ce qui avait provoqué un incident diplomatique entre les deux pays. Les tribunaux polonais ont ensuite refusé de renvoyer l’enfant en Norvège, estimant que cela aurait été contraire à ses intérêts en raison de son lien affectif avec sa mère.
Le ministre des Affaires étrangères polonais craint-il des tensions diplomatiques avec Oslo s’il octroie l’asile à Mme Garmo et sa fille ? Outre l’aspect humain qui plaide en faveur d’une réponse favorable, accorder l’asile à une Norvégienne et sa fille victimes des pratiques totalitaires d’un autre État européen serait un joli pied-de-nez aux accusateurs de la Pologne. Si Bruxelles parle volontiers de violations de l’État de droit par le gouvernement polonais, Silje Garmo a, au contraire, choisi la Pologne comme lieu de refuge justement parce qu’elle se dit confiante dans la Justice polonaise et parce que « le respect pour la vie privée est très strict en Pologne ». D’après l’association polonaise d’avocats pro-vie et pro-famille Ordo Iuris, qui assiste Mme Garmo dans sa démarche, d’autres familles norvégiennes s’apprêteraient déjà à demander l’asile en Pologne.
BV
Le cadavre du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame∴ était encore chaud que, déjà, la Grande Loge de France (GLDF) révélait son appartenance à la Respectable Loge Jérôme Bonaparte à l’Orient de Rueil-Nanterre dans un communiqué officiel de son Grand Maître, Philippe Charuel∴ :
La Grande Loge de France rend hommage à son Frère,
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[source]
Cet empressement, inhabituel et en tout état de cause contraire au secret d’appartenance maçonnique, de la Grande Loge de France (GLDF) à revendiquer l’affiliation du défunt, paraît impétueux et impudique.
Ce communiqué inconvenant peut trouver une première explication : la récente conversion, forte et sincère au catholicisme classique de leur frère∴, risquait de faire passer son acte de dévouement à l’actif de la religion, alors que l’obédience préfère naturellement que cet acte de bravoure reste dans l’histoire contemporaine comme une preuve concrète de vécu des valeurs universalistes et humanistes de la franc-maçonnerie.
Rappelons que la GLDF, ce n’est pas la GLNF. La croyance en Dieu n’est pas exigée pour y être initié, mais elle n’est pas un obstacle.
Il demeure toutefois que, pour déclencher cette « OPA post mortem » précipitée sur cet officier, l’obédience s’est autorisée à révéler son appartenance, alors que seul le frère concerné aurait été habilité à se dévoiler, et encore pas toujours vis-à-vis de profanes, jamais publiquement et encore moins médiatiquement.
Ceci rappelé ou précisé, qu’est-ce qui a pu pousser la Grande Loge de France à cette publicité ?
Depuis sa mort, tout le monde, ou presque, s’accorde sur l’icône de l’officier héros et modèle. Beaucoup se l’accaparent déjà, en insistant sur leur angle de lecture de l’acte et du parcours de cet l’homme d’engagement et de courage (lire ci-dessous le communiqué du père Jean-Baptiste, chanoine de l’abbaye de Lagrasse dans l’Aude). Alors la GLDF, ayant anticipé cet unanimisme de circonstance, a sans doute voulu préempter. Comme ce n’est pas la loge dominante en France, numériquement parlant, c’est de bonne guerre pour un outsider du marché de la franc-maçonnerie. Accessoirement c’est un message subliminal pour les futurs apprentis, tout en marquant le territoire de la GLDF : « Dans la gendarmerie, pour avancer, c’est chez nous qu’il convient de venir. Ne vous trompez pas, ici ce n’est pas la Police, donc inutile d’aller au Grand Orient de France. Ce n’est pas non plus la biffe ou la Royale d’hier : le sabre et le goupillon avec famille classique et nombreuse à la clef, c’est non seulement dépassé mais encore déconseillé ».
Mais ce ne sont que des conjectures personnelles.
La Grande Loge de France est cosignataire de la Déclaration des Obédiences Européennes sur la situation des migrants du 7 septembre 2015. La franc-maçonnerie est coupable aux yeux des Français profanes de la politique immigrationniste suicidaire de nos élites et de l’islamisation forcée qu’ils subissent(lire Attentat de Nice : l’échec du discours laïc de nos dirigeants du 17 juillet 2016).
Le terrorisme islamiste a, jusqu’à présent, toujours trouvé auprès de nos dirigeants une posture schizophrénique qui consiste à encourager l’immigration arabo-musulmane tout en condamnant les attentats consécutifs au trop grand nombre de terroristes issus de cette immigration. C’est le fameux « pasdamalgam ».
...
Le jour même de l’abominable assassinat du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, le frère Gérard Collomb∴, ministre de l’Intérieur, déclarait à propos de Redouane Lakdim, marocain naturalisé Français après plusieurs condamnations et fiché S : « C’était plutôt un petit délinquant qui à un moment est passé à l’acte. (…) On ne pouvait pas dire qu’il pouvait être un radical passant à l’acte dans les moments qui venaient. (…) C’était plutôt quelqu’un qui était un petit dealer. »
La Grande Loge de France, en bafouant aussi lourdement ses propres règles de révélation d’appartenance, a voulu dire : « Vous voyez bien que nous ne sommes pas les fossoyeurs de la France puisque nous aussi, nous avons des victimes du terrorisme islamique. À l’instar de l’Église catholique, nous avons aussi nos propres martyrs. » Histoire de laver sa mauvaise conscience. Ce faisant, la Grande Loge de France reconnaît que cette immigration exogène massive est porteuse du terrorisme qu’elle subit elle aussi.
Bien triste aveu. Combien d’autres morts et de martyrs faudra-t-il encore compter pour reconnaître enfin la cause réelle de tous ces grands malheurs ?
Mais ce ne sont que des conjectures personnelles.
Massimo Luce
Nice Provence Info 27 mars 2018
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a annoncé lundi soir suspendre l’application de l’accord conclu avec l’ONU pour la réinstallation de migrants africains vivant en Israël dans des pays occidentaux tel qu’il avait été présenté plus tôt dans la journée.
« J’ai décidé de suspendre l’application de cet accord et d’en repenser les termes », a écrit M. Netanyahou sur sa page Facebook, affirmant avoir été attentif aux critiques contre cet accord qui devait voir 16.250 migrants africains rejoindre des pays occidentaux.Le Premier ministre a par ailleurs annoncé qu’il rencontrera mardi le ministre de l’Intérieur, Aryeh Deri, et des représentants des résidants du sud de la ville de Tel-Aviv pour discuter d’un futur nouvel accord. Son annonce dans la soirée survient après que l’Italie a nié lundi être concernée par l’accord conclu entre l’ONU et Israël sur la réinstallation de migrants africains dans des pays occidentaux, contrairement aux déclarations des autorités israéliennes.
Il n’existe « aucun accord » avec l’Italie dans le cadre de l’accord conclu entre Israël et le Haut-commissariat de l’ONU pour les Réfugiés, pour la relocation de ces migrants, indique le ministère italien des Affaires étrangères dans un communiqué, sans plus de précisions.
(…)
Elle est l'otage auquel s'est substitué le colonel Arnaud Beltrame le 23 mars dernier dans le Super U de Trèbes. Âgée de 40 ans, Julie V. était hôtesse de caisse dans ce supermarché depuis peu. Une semaine plus tard, elle demeure sous le choc. Et se repose, chez elle dans le village voisin de Puichéric. "Bouleversée, elle est l’objet d’un important suivi psychologique", écrit le "Journal du Dimanche" qui est parti à sa recherche.
Elle, qui a été tenue en joue par Radouane Lakdim durant près d'une heure, refuse de parler à la presse. Lundi dernier, elle s'est rendue à la minute de silence tenue sur le parking du supermarché, en hommage aux quatre victimes. Et a soufflé à son entourage :
"Il a donné sa vie pour moi, il s'est fait tuer pour que je vive".
Elle a ensuite rencontré Elisabeth Pelsez, la déléguée interministérielle chargée de l'aide aux victimes. Puis s'est rendue à Paris le mercredi pour assister à l'hommage national dans la cour des Invalides, rapporte Marc Dormières, le maire de Puichéric, au JDD :
"Pour le moment, son épouse reste très affectée et elle ne souhaite voir personne."
Averti de sa présence sur sa commune par la gendarmerie, l'édile a tenté plusieurs fois d'entrer en contact avec elle.
"Son conjoint m’a ouvert, il m’a dit qu’elle était allongée, qu’elle se reposait. Je n’ai pas pu la voir. Lui, je le connaissais de vue. Un monsieur très bien, très gentil, apparemment ingénieur, qui aurait travaillé pendant quelques années à l’étranger."
Diplômée d'une école d'ingénieur, mariée et mère d'une petite fille de 2 ans, Julie V. travaillait au Super U de Trèbes depuis un an environ après la perte d'un autre emploi.
Sur fond d'insécurité dans l'île qui a mené à d'importantes manifestations début mars, les habitants de Mayotte s'organisent pour effectuer des «décasages» : ils expulsent les étrangers de façon parfois violente, et détruisent leurs habitations.
Depuis plusieurs semaines, en marge du mouvement de lutte contre l'insécurité et alors que le nouveau préfet a pris ses fonctions le 30 mars, certains habitants de Mayotte traquent eux-mêmes les immigrés.
Ils les «incitent» à se rendre à la gendarmerie, effectuent des rondes «préventives» dans les villages, organisent des manifestations anti-étrangers, les interceptent sur les plages où ils débarquent ou encore détruisent leurs habitations. Les premiers faits identifiés remontent à mi-mars, un des membres du collectif des habitants du nord de l'île ayant affirmé à l'AFP effectuer des «rondes» afin «de démanteler les groupes d'étrangers, Comoriens et Africains» présumés en situation irrégulière sur le territoire. Ce collectif demanderait à ces immigrés de préparer leurs bagages puis les amènerait sans violence, selon lui, à la gendarmerie la plus proche «en fourgonnette».
Le 24 mars, les exactions qui se sont produites au nord et au sud de l'île ont été qualifiées pour la première fois par le parquet de Mamoudzou de «décasages», des expulsions illégales d'étrangers, plus ou moins violentes, souvent suivies de la destruction de leurs habitations. La gendarmerie a confirmé que des manifestations anti-étrangers avaient eu lieu ce même week-end et le procureur de la République, Camille Miansoni, a déclaré que des habitations avaient été brûlées et détruites en marge de ces marches.
Des opérations qui se multiplient ces derniers jours : des décasages «proches du banditisme et de la délinquance», avec des vols crapuleux sous la menace d'armes commis par une dizaine de personnes au visage masqué, ont eu lieu à Kani-Kéli, dans le sud de l'île le 28 et 29 mars, a expliqué Camille Miansoni.
Les familles ont été expulsées et leurs habitations en partie détruites. Neuf de ces «décasés» ont formulé une demande de reconduite à la frontière volontaire et les autres personnes sont «dans la nature, peut-être au sens littéral du terme […], ce qui est problématique quand on sait qu'il y a des enfants», a déploré le procureur.
La gendarmerie a signalé une autre opération dans une commune du sud l'île le 28 mars, où une quarantaine de villageois ont retenu des clandestins alors qu'ils débarquaient sur une plage par bateau. «Ce genre de pratique, ça n'existe pas dans un département», avait pourtant réagi mi-mars la ministre des Outre-Mer Annick Girardin dans une déclaration à l'AFP. «J'ai pris des engagements en matière de sécurité […] J'invite les habitants à laisser les forces de l'ordre faire leur travail», avait-elle insisté.
Des actions similaires s'étaient tenues en 2016 lorsque, de janvier à juin, des collectifs d'habitants de diverses communes de Mayotte avaient chassé des Comoriens, en situation irrégulière ou non, de leur domicile. Excédés par l'insécurité qui règne sur l'île, sujette à une forte pression migratoire en provenance des Comores voisines, les habitants de Mayotte ont lancé au mois de mars un vaste mouvement de mobilisation.
NdB: A Mayotte, les habitants n'attendent rien de la France en matière d'expulsions des immigrés: ils vont les "décaser" eux-mêmes! Et les forcent à repartir. Seule solution réellement efficace face à un gouvernement qui n'agit pas et laisse "pourrir" la situation.
RT
Un hommage national a été rendu au colonel Arnaud Beltrame le 28 mars dans les écoles. Si deux syndicats ont critiqué la consigne du ministère, un professeur dénonce un hommage mal organisé, voire inexistant dans certains établissements scolaires.
Arnaud Beltrame, tué par le terroriste islamiste Radouane Lakdim, est devenu un héros national après son acte lors des attaques de Trèbes le 23 mars. Le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, avait adressé le 27 mars un message destiné aux établissements scolaires et aux professeurs, afin qu’un hommage soit rendu le mercredi 28 mars à celui dont le courage avait été salué de tous.
Sur Twitter, un enseignant dans un lycée de l’Académie de Marseille, membre du Conseil supérieur de l’éducation et porte-parole du syndicat Action et Démocratie, René Chiche, se scandalisait que «plusieurs établissements scolaires n’aient pas participé à l’hommage national célébrant la bravoure de l’un des nôtres, [et] que des professeurs [aient] rechigné [à suivre les consignes de l’hommage]».
Contacté par RT France, René Chiche explique avoir tweeté ce message après avoir reçu des témoignages de professeurs et de parents d’élèves. Il assure toutefois ne pas vouloir faire d’amalgame et ne pas cibler les lycées en difficulté.
«Ce qui m’a fait réagir, c’est que dans certains lycées l’hommage n’a pas été effectué, ou alors effectué d’une façon tellement insignifiante, que cela en était presque une marque de mépris.»
Merci à valdorf
Donald Trump a affirmé dimanche qu’il n’y aurait pas de loi légalisant le statut des «dreamers», ces immigrés arrivés illégalement aux États-Unis alors qu’ils étaient enfants, faute d’accord sur le financement de la construction d’un mur à la frontière avec le Mexique.
Après avoir souhaité de «Joyeuses Pâques» sur Twitter, le président américain a poursuivi: «Les agents patrouillant à la frontière ne peuvent pas faire leur travail à cause de lois libérales (démocrates) ridicules (…) Des ‘caravanes’ arrivent. Les républicains doivent utiliser l’option nucléaire pour adopter des lois plus dures MAINTENANT. PLUS D’ACCORD SUR LE DACA!»
Le programme DACA (Deferred Action for Childhood Arrivals) avait été mis en place par Barack Obama en 2012 pour éviter l’expulsion des jeunes migrants devenus adultes et leur permettre d’obtenir un permis de travail.
Donald Trump l’a dénoncé l’an dernier et a depuis utilisé sa prorogation sous forme de loi comme monnaie d’échange avec les démocrates au Congrès pour obtenir le financement d’un mur à la frontière mexicaine, une de ses grandes promesses de campagne. Sans succès jusqu’à présent.
Le président américain, qui passe le week-end pascal à Mar-a-Lago, en Floride, s’en est aussi pris dimanche au Mexique, dont il a estimé qu’il «ne fait RIEN» pour arrêter les flux migratoires. […]