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Des milliers de fidèles se sont pressés ce dimanche dans les églises pour les messes pascales à Marseille. La cathédrale de la Major, Notre-Dame-de-la-Garde et l'église des Réformés, en haute de la Canebière, ont fait le plein. Les cathloiques venaient "célébrer dans la joie la résurrection de Jésus".
D'autres "catholiques d'éducation et de tradition mais peu pratiquants", souhaitaient vivre un beau cérémonial, retrouver une chaleur et une ferveur populaire. Touristes et Marseillais se croisaient dans la basilique sous le regard de la Bonne-Mère, aux Réformés, ils étaient des centaines à se retrouver, après la veillée pascale qui avait rassemblé tout un peuple samedi soir, avec des jeunes gens qui sont restés toute la nuit.
Par La Voix de la Russie | Les chrétiens du monde entier ont célébré dans la nuit du 19 au 20 avril la lumineuse résurrection du Christ. La fête de Pâques tombe cette année le même jour pour l’ensemble des confessions chrétiennes ce qui explique que l’ambiance de fête se faisait sentir tant chez les catholiques que chez les orthodoxes et les protestants.
C’est au petit matin que les fidèles ont commencé à se rassembler à la cathédrale de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie à Moscou qui est la plus grande église catholique en Russie. Un feu de bois a été allumé dans la cour de l’église peu avant la liturgie solennelle. Il servira plus tard à allumer le cierge pascal ou la grande chandelle dont la lumière symbolise le commencement d’une vie nouvelle. Les chrétiens d’Occident passent les premières minutes de la messe dans le noir et le silence. Les prêtes qui officient sont vêtus de blanc et prient en silence. C’est la liturgie de la lumière qui se conclut par le solennel « Le Christ est ressuscité ! » « En vérité, il est ressuscité ! ». A la fin de la liturgie pascale, l’Église catholique procède selon une tradition ancestrale au baptême des catéchumènes, c’est-à-dire de ceux qui ont enfin décidé de se convertir au christianisme. Recevoir le baptême ce jour saint et le plus important pour les catholiques, est un grand événement emblématique, disait Paolo Pezzi, président de la Conférence des évêques catholiques de la Russie dans un message adressé aux fraîchement convertis :
Le baptême que vous recevez à l’âge adulte est un événement historique et vous êtes désormais appelés à sentir la présence exceptionnel du Christ dans votre vie. Vous pouvez par la même occasion transmettre son message aux autres. Vous n’êtes plus les mêmes qu’avant et vivez dans la foi, l’espérance et l’amour. Le chrétien est appelé à devenir le messager de la foi qui est le renouveau de la vie et à laquelle nous nous initions en suivant le Christ.
C’est dans toute la ville de Moscou, qu’on entendait le soir du 19 avril le joyeux « Le Christ est ressuscité », « En vérité il est ressuscité! » et une longue sonnerie de cloches qui correspond à la tradition orthodoxe. Plusieurs milliers de fidèles ont convergé ce soir vers la Basilique du Christ Sauveur qui est la principale cathédrale de la capitale. Elle peut contenir 10 000 fidèles mais ne était trop petite ce soir-là. Beaucoup de fidèles sont restés dehors en suivant la liturgie sur les grands écrans. De même que dans la tradition catholique, la lumière s’est éteinte dans la cathédrale avant la liturgie. Les prêtres et les fidèles dirigés par le patriarche Cyrille ont accompli pendant ce temps une procession religieuse autour de la cathédrale. La chandelle pascale doit également être allumée sauf qu’à la place du feu de bois, il y a la lampe contenant la flamme sacrée qu’une délégation russe avait amenée de Jérusalem pour le début de la liturgie. Les chandelles pascales allumées à la flamme sacrée, correspondent à une tradition particulière, a fait valoir le patriarche Cyrille :
Les lampes dans cette cathédrale sont traditionnellement allumées à la flamme sacrée descendue sur le Saint Sépulcre. Cette flamme voyage ensuite dans toute la Russie historique et s’allume dans des milliers et des milliers d’églises et des millions de maisons comme grand symbole de présence divine dans notre vie, comme symbole d’une foi triomphante et du grand espoir que Dieu protège le monde, le genre humain et chaque individu.
Les fidèles réunis dans les églises orthodoxes en Russie et dans le monde, priaient surtout cette nuit de Pâques pour la paix en Ukraine. C’est le 23 février 2014 que les premières prières ont été élevées pour surmonter les discordes et stabiliser la situation dans cette ex-république de l’URSS. Le patriarche et les prêtres ne cessent depuis de prier pour la paix en Ukraine. http://french.ruvr.ru/2014_04_20/La-lumineuse-resurrection-du-Christ-3769/
Elle était partie courir quand trois adolescents l’ont stoppée dans sa course. En plein footing, vers 15 heures samedi, sur la piste cyclable reliant le village du sud-Essonne de Saint-Hilaire à la ville d’Etampes, une jeune femme de 19 ans a été agressée.
Les trois jeunes, entre 15 et 16 ans, l’abordent avant de la plaquer à terre et de lui assener plusieurs coups, notamment dans le dos et les jambes.
Ils repartiront quelques minutes plus tard après lui avoir volé son portable.
Prévenus, les gendarmes sont déployés, la police municipale aussi. Originaires de la cité des Guinettes, trois suspects ont été rapidement interpellés par les policiers municipaux. Ils sont ce dimanche encore en garde à vue. La victime n’a pas été hospitalisée mais serait, indique une source gendarmerie, en « état de choc ».
LeParisien.fr
NdB: Elle a eu de la chance, il aurait pu lui arriver bien pire! Quelle imprudence!
Tariq Ramadan sait que l'heure est bientôt venue. Il sait que la démographie européenne joue en sa faveur.
L’historien du présent peut désormais conclure que l’on commence à passer aux choses sérieuses. Le terme « Français de souche », naguère utilisé par le général de Gaulle lui-même sans que cela pose le moindre problème, est devenu, en 2014, une arme à double tranchant. À la fois brandie par les uns pour faire valoir leur identité menacée et brandie par les autres pour dire que « c’est une construction idéologique » et que cela relève du « fantasme ». L’expression « construction idéologique » est de Tariq Ramadan, invité le 16 avril sur i>Télé pour « débattre » avec Edgar Morin.
Tariq Ramadan sait que l’heure est bientôt venue. Il sait que la démographie européenne joue en sa faveur, que les populations de culture islamique sont chaque jour plus nombreuses sur le Vieux Continent avec l’étrange (je ne trouve pas d’autre mot) complicité des Sarko, Valls et consorts. Alors il se sent assez fort, avec ses frères d’idéologie, soutenu en ça par les idiots utiles de la gauche antinationale, pour sortir l’artillerie lourde. Évidemment, il fustige les positions de Zemmour et Finkielkraut sur le « Grand Remplacement » qui n’en est pas un car, d’après lui, les jeunes musulmans pensent français et sont de culture française…
Cela me rappelle mes cours de philo sur les dangers du sophisme…
Soyons-en convaincus : comme on pouvait le craindre, nous sommes – depuis quelques années – passés à l’étape du négationnisme. Ramadan nie, en effet, purement et simplement qu’il existe des « Français de souche ». Pour lui, « ce sont simplement des immigrés de plus longue date ». Habilement, le théoricien noie le poisson de souche en mélangeant les notions : tout le monde est immigré, vous voyez, il n’y a pas de soucis, vous êtes dans l’erreur, chers téléspectateurs… Il oublie que les « immigrés » dont il parle sont, pour l’immense majorité, de souche celto-gauloise et européenne dans une acceptation plus large. Il omet de dire que, jusqu’aux années 1950, les migrations sont restées faibles.
Avec son habituel sens de la provocation, il va plus loin, beaucoup plus loin : « Aïcha et Mohamed (qu’il prononce malicieusement en accentuant l’accent arabe) sont des prénoms français ». Et Tariq, c’est auvergnat, comme prénom ? Lapidaire – si l’on ose dire –, Tariq explique qu’en 2005 (pendant les émeutes), les jeunes qui manifestaient voulaient, selon lui, « plus de justice sociale ».
Il finit en beauté, clamant que « l’islam est une religion française ». Face à lui, Edgar Morin se sent obligé de vanter ses « multiples origines méditerranéennes», rappelant néanmoins qu’il y a actuellement en France, y compris chez les juifs, « un retour aux racines », impliquant le recours aux prénoms typiques de chaque communauté.
Je vous l’annonce : les provocations de Tariq sont annonciatrices de grands malheurs. Ça ne sent jamais bon pour un peuple quand on commence à nier son existence…
Un agriculteur surpris par deux hommes armés tire sur un voleur au fusil
La police est restée de longs moments sur les lieux de la fusillade, afin de décortiquer les enchaînements qui ont conduit au drame.
Photo Philippe Bougan
Qu'espéraient-ils y dérober ? De l'argent liquide, des bijoux, une voiture ? Dans cette ferme familiale, où les producteurs vendent le fruit de leurs terres à la propriété, les malfaiteurs croyaient peut-être tomber sur le magot. Ils n'auront trouvé que le plomb d'un chef de famille sans doute affolé et déterminé à ne pas abandonner les siens à la violence et à la cupidité de deux braqueurs.
Vendredi soir un peu avant minuit, avenue de la gare, à la Ciotat, dans la ferme La Guillaumière (lire ci-dessous), plusieurs coups de feu ont retenti. Une arme automatique, puis les détonations d'un fusil. Celui de Robert, 48 ans, qui venait de toucher l'un des deux malfaiteurs, âgé de 28 ans, le blessant gravement. Son complice s'est enfui aussitôt. Hier, il était toujours recherché par la police.
La conclusion sanglante d'un braquage que les deux hommes avaient entrepris en s'introduisant dans le domaine en franchissant les clôtures. Mais lorsqu'ils s'étaient approchés, les chiens de l'agriculteur avaient donné l'alerte. Leurs aboiements inhabituels ont fait sortir le maître de la maison. À peine avait-il franchi le seuil de la porte qu'il était tombé sur les intrus, masqués, l'un des deux le menaçant avec une arme de poing automatique, approvisionnée.
Aussitôt, l'exploitant rentrait chez lui et fermait l'accès. Le braqueur tentait de forcer le passage, jusqu'à ce que les chiens se jettent à leur tour sur les voleurs. Celui qui tenait l'arme a alors ouvert le feu, à plusieurs reprises, sur les animaux. C'est à ce moment précis que le chef de famille, qui avait préalablement demandé à son épouse et ses deux enfants de se mettre à l'abri, qu'il est ressorti, un fusil de chasse à la main.
Il a tiré sur celui qui tenait le pistolet. Touché en pleine face, il s'est effondré. L'auteur du tir a alerté les secours, puis est venu en aide au blessé, très gravement atteint. La Sûreté départementale, saisie de l'enquête, a placé le père de famille en garde à vue afin de déterminer les circonstances précises du drame. Hier soir, le garçon était toujours dans un état très préoccupant à l'hôpital de la Timone. Encore un destin brisé et l'illustration tragique que le crime ne paye vraiment jamais.
"Eux, braqués, vous plaisantez..."
Des voisins et des clients abasourdis, n'en croyant pas leurs yeux, ni leurs oreilles. "Braqués, non, vous plaisantez..." La vieille dame qui s'approche du portail de la propriété Campagne La Guillaumière, gardée par les policiers a l'habitude de venir le samedi après-midi chercher des produits de la ferme, en vente directe. Quand on lui annonce que la famille d'agriculteurs s'est fait braquer dans la nuit, elle n'en revient pas. "Ce sont des gens très gentils. Les légumes de saison ne sont pas chers et cultivés sur leurs terres derrière chez eux. C'est pour cela que je viens régulièrement, pour la qualité." Ils seront plusieurs à rebrousser chemin en apprenant la nouvelle, tout en demandant s'ils ont été blessés...
Un voisin habitant la cité la Maurelle, de l'autre côte de la route, exprime, lui aussi, le même étonnement tout en regardant la police scientifique faire des prélèvements autour de la ferme. "Eux, braqués, mais pourquoi ? Ce sont des gens simples. J'achète des oeufs chez eux de temps en temps. Les prix sont bon marché. Je ne pense pas qu'ils doivent faire fortune avec leur production. Sûr, ils ne roulent pas sur l'or." Dans les immeubles, et dans les propriétés aux alentours, ils sont plusieurs à avoir entendu des sortes d'explosions dans la nuit, qu'ils ont pris pour des pétards, pas des coups de feu. Ces producteurs, c'est une famille plutôt connue à La Ciotat. C'est l'une des dernières exploitations où l'on cultive des légumes sur un terrain de 14 hectares qui longent l'avenue de la gare. Ils y sont installés depuis le début des années 1980. À cet emplacement, il y avait auparavant l'ancien vignoble d'une vieille famille ciotadenne, celle de l'armateur Cyprien Fabre.
Beaucoup de Ciotadens les connaissent aussi car ils sont présents sur le marché hebdomadaire, le mardi matin pour vendre leurs produits du terroir. Un petit étal qui permet d'écouler une bonne partie de la production. Une vie simple à travailler la terre dans une ferme traditionnelle, loin du clinquant de certaines villas ciotadennes.
On se souvient de la litanie «Moi président» débité par François Hollande lors de son débat télévisé de second tour face à Nicolas Sarkozy. «Moi président de la République, il y aura un code de déontologie pour les ministres, qui ne pourraient pas rentrer dans un conflit d’intérêts» jurait-il. Vraiment ? Selon Médiapart pourtant, le docteur Aquilino Morelle, compagnon de Laurence Engel, directrice de cabinet d’Aurélie Filippetti, ancien de Euro RSCG, directeur de campagne d’Arnaud Montebourg lors de la dernière Primaire présidentielle socialiste, aurait mis les deux mains dans le pot de confiture. Ce fils de modestes immigrés espagnols, souvent cité comme exemple d’un pur produit de la méritocratie républicaine, «plume» et actuel conseiller politique du chef de l’Etat, est ainsi accusé d’avoir travaillé avec des laboratoires pharmaceutiques alors même qu’il était censé les contrôler en tant qu’inspecteur de l’Igas (Inspection générale des affaires sanitaires). Nous allons y revenir. Une nouvelle illustration (?) du double langage, du «faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais » si courant au sein de l’oligarchie, d’une caste au pouvoir dont les happy few se partagent places et prébendes.
Ainsi, comme l’ex patron de la CFDT, François Chérèque et l’inénarrable socialo-sarkozyste Fadela Amara il y a quelques mois, l’écolo-gauchiste Dominique Voynet, vient d’être recasée à l’IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales), confortable sinécure qui verse à ses membres un salaire brut annuel oscillant entre 70 000 à 120 000 euros. Ex député, ex sénatrice, ancienne du gouvernement Jospin, ex maire de Montreuil, la nomination de Mme Voynet s’est faite lors du conseil des ministres de ce mercredi sur proposition du ministre des Affaires sociales et de la Santé Marisol Touraine, et du ministre du Travail François Rebsamen.
Le socialiste Claude Bartolone, Président de l’Assemblée nationale, n’a pas été tendre avec Dominique Voynet à l’annonce de cette nouvelle: « Elue ou parachutée tour à tour dans le Jura, au parlement européen, en Seine-Saint-Denis, puis défaite par les électeurs ou auto-démissionnée par certitude de l’être, Madame Voynet, si prompte à critiquer la violence du système, restera certainement silencieuse quant à la manière dont elle vient d’en profiter goulûment ».
Une planque en or en attendant tranquillement la retraite certes, mais à qui la faute M. Bartolone ? Comme beaucoup de ses amis politiques, gageons que ce dernier a certainement compris l’effet désastreux que produit sur l’opinion ses exemples de juteux copinages. Au moment même d’ailleurs ou François Hollande «proposait» officiellement la nomination de l’ancien secrétaire général de l’Elysée, Pierre-René Lemas, à la tête de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), en remplacement de son successeur après du président de la République, Jean-Pierre Jouyet.
Pour en revenir à Aquilino Morelle, l’homme qui «collectionne les distinctions, les colères, les impatiences, les bouffées narcissiques » (Libération, du 9 novembre 1999), le portrait qu’en brosse Médiapart, qui le décrit comme un «petit marquis» au Palais de l’Elysée, est tout bonnement affligeant et caricatural. Il illustre tellement le décalage entre le discours de la nomenklatura et leurs actes, entre la vie de cour des nababs du Système et la France d’en bas qu’on a parfois du mal à y croire.
Selon l’enquête menée, M. Morelle, membre de l’Inspection générale des affaires sanitaires, travaillerait depuis 2007 pour le laboratoire pharmaceutique Lundbeck. Ce qui est rigoureusement interdit par la loi qui stipule que «les fonctionnaires et agents non titulaires de droit public consacrent l’intégralité de leur activité professionnelle aux tâches qui leur sont confiées. Ils ne peuvent exercer à titre professionnel une activité privée lucrative, de quelque nature que ce soit».
André Nutte, responsable de l’Igas au moment des faits a expliqué au micro de RTL qu’ «On ne peut pas avoir une mission d’inspection et de contrôle et apporter une prestation d’assistance à une entreprise qui fait partie du contrôle. On peut parler de conflit d’intérêt ou au moins évoquer la notion, c’est la moindre des choses».
Mediapart s’arrête aussi sur les privilèges exorbitants accordés à Morelle : deux chauffeurs personnels, entièrement à sa disposition, des secrétaires également payés par les contribuables qui géreraient les conflits avec les locataires de ses nombreux biens immobiliers, ses absences du bureau pour des séances de «sauna, hammam ou gommage», sa consommation, à haute fréquence, de grands crus de la cave de l’Elysée, la venue régulière d’un cireur de chaussures…
Et le site d’affirmer encore que M. Morelle, ex plume de Lionel Jospin et qui écrit officiellement les discours de François Hollande depuis mai 2012, utiliserait en réalité un nègre pour les écrire, Paul Bernard. «Alerté, le président a fini par sortir le nègre des griffes du conseiller en décembre 2012», assure le site…
Notons encore que M. Morelle comme François Hollande, Pierre Moscovici , Marisol Touraine, Arnaud Montebourg et Najat Vallaud-Belkacem ont été parrainés pour devenir des Young leaders. Le programme Young leaders a été « créé en 1981 dans le but de donner un nouveau souffle aux relations transatlantiques », c’est «l’un des programmes phares de la French-American Foundation (FAF)» (Atlantico). La FAF est sponsorisée, entre autres, par la banque Lazard de Mathieu Pigasse qui, heureux hasard, fut choisie en août 2012 par le gouvernement pour conseiller l’État dans la création de la Banque publique d’investissement…
La FAF a été créée en 1976 conjointement par les présidents Ford et Giscard d’Estaing. Un lobby atlanto-américain, une structure « fabriquant des agents d’influence de Washington, au terme d’un programme élaboré par une Fondation qui fut présidée un temps par le futur coordinateur des services secrets américains, John Negroponte,indiquions nous sur notre site en mai 2012.
Le quotidien Les échos dans son édition du 16 janvier 2013 affirmait qu’Aquilino Morelle «est aujourd’hui une pièce maîtresse du dispositif élyséen : de gauche, foncièrement de gauche, plus à gauche que le président, il est à la fois son conseiller politique, sa plume (…) et son porte-parole officieux. »
Il est surtout aujourd’hui un boulet supplémentaire pour le chantre démonétisé de la «république exemplaire» note Bruno Gollnisch.
"L'opération antiterroriste a été mise entre parenthèse pour Pâques et nous ne recourrons pas à la force contre eux pour le moment", a confirmé le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriy Dechtchitsia, cité samedi par la BBC
Cette "trêve pascale", deux jours après la conclusion de l'accord de Genève qui prévoit le désarmement de tous les groupes illégaux et la libération des bâtiments publics illégalement occupés, intervient alors que le pouvoir central n'a jusqu'à présent pas démontré sa capacité à reprendre la dizaines de mairies, commissariats et autres bâtiments administratifs dont les contestataires se sont emparés ces deux dernières semaines.
Ce dernier a dirigé durant 19 ans la communication de Jacques Bompard, le maire d'Orange, fondateur de la Ligue du Sud et ancien du FN. André-Yves Beck, était en quelque sorte son «homme de l'ombre», sa «matière grise». Il devient désormais le principal collaborateur du nouveau maire de Béziers, qu'il va seconder dans ses prises de décision.
Ces deux recrutements, Robert Ménard les assume complètement. «Je me suis entouré de ces personnes parce qu’elles sont extrêmement compétentes. Je sais qu’elles m’aideront à tenir mes engagements» explique-t-il à Midi Libre, tout en soulignant que les deux autres membres de son cabinet ont des sensibilités politiques bien différentes.
Le nouveau maire de Béziers a certes gagné la ville, mais pas l'agglomération. C'est Frédéric Lacas, maire DVD de Sérignan qui l'a emporté jeudi dès le premier tour de scrutin à la majorité absolue 33 voix à 28. Le vote ouvert au public était suivi par près de 500 personnes. Des applaudissements et des hourras ont accompagné la proclamation des résultats précise France 3 Languedoc-Roussillon. «Vous avez trahi Béziers, vous avez voté contre votre ville», s'est emporté de son côté Robert Ménard,cité par Le Figaro.fr.
Un jeune de 28 ans a été grièvement blessé dans la nuit de vendredi à samedi par une décharge de chevrotine lors d'un braquage à La Ciotat (Bouches-du-Rhône), comme le raconte le journal la Provence. <btn_noimpr>
Il a été hospitalisé dans un état très critique à l'hôpital de la Timone, à Marseille.
Le blessé et un complice s'étaient introduits dans la villa d'une famille,armés et encagoulés, lorsqu'ils ont été surpris par le propriétaire des lieux. Ils ont été découverts alors qu'ils allaient pénétrer à l'intérieur du logement.
Selon les premiers éléments de l'enquête, des coups de feu ont d'abord été tirés par les malfaiteurs puis le propriétaire a riposté en tirant avec son fusil de chasse. L'autre cambrioleur a réussi à prendre la fuite.
Une enquête est en cours et devrait déterminer avec plus de précision ce qui s'est réellement passé. Les forces de l'ordre ont été mobilisées car la famille et les proches du braqueur se sont rassemblés à l'hôpital de la Timone où des débordements sont à craindre.
La victoire de Marc-Etienne Lansade, 40 ans, à Cogolin, ville de 11 000 habitants, fait beaucoup de bruit. Ici, pas de triangulaire. Le candidat FN, Parisien d'origine, a largement devancé son concurrent divers droite Jacques Sénequier avec 53,1 % au second tour. Cogolin avait déjà voté à plus de 50 % pour le FN lors des dernières législatives. Lansade était encore inconnu il y a quelques mois. Comme à Fréjus, la nuit a été longue. Un groupe de jeunes hostiles au FN a déclenché des échauffourées devant la mairie et la permanence du FN à l'annonce des résultats. La gendarmerie a été appelée. « Je vais définitivement m'installer ici, acheter une maison et me consacrer entièrement à ma fonction », a promis le nouvel élu, responsable d'une agence de communication événementielle. « Je veux être le maire de tous les Cogolinois dans le respect des lois de la République. » Il se présente comme un « homme de dialogue » et souligne qu'il veut rétablir la sécurité « sans excès ».
Le 21 avril, cela fera 70 ans que les femmes ont le droit de vote et le droit d’éligibilité en France, ce que certains regrettent. Mercredi, lors d’un discours célébrant cet anniversaire, François Hollande a jugé que le droit de vote devait encore évoluer afin de permettre aux étrangers de participer aux élections locales : « Les résidents étrangers installés régulièrement en France depuis de nombreuses années, qui participent à la vie de la cité et pourtant ne votent toujours pas aux élections locales. Ouvrir ce droit de vote suppose, chacun le sait ici, de changer la Constitution. Il nous appartient donc de construire un rassemblement qui, forcément, dépasse les clivages partisans. C’est la condition pour rendre possible cette nouvelle étape ».
Il y a un an, le président avait promis de présenter un texte à l’Assemblée nationale après les élections municipales de mars 2014.