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GAELLE MANN - Page 807

  • La coopération militaire avec la Russie pourrait faire perdre à la France de gros contrats d’armement en Europe centrale

    Ecrit le 12 avr 2014 à 16:41 par Olivier Bault dans Nouvelles d'Europe

     
     

     

    Photo Wikimedia Commons : Le Bâtiment de Projection et de Commandement (BPC) Mistral

    Photo Wikimedia Commons : Le Bâtiment de Projection et de Commandement (BPC) Mistral

    Ce pourrait notamment être le cas des contrats pour la défense antimissile à courte et moyenne portée dans laquelle la Pologne envisage d’investir 13 Mds $ après avoir pris la décision d’accélérer à cette année le choix du fournisseur en raison du déploiement de missiles russes Iskander-M dans l’enclave de Kaliningrad, capables avec leur portée de 500 km d’atteindre quasiment n’importe quel point sur le territoire polonais, mais aussi du fait de l’annexion rondement menée de la Crimée par la Russie accompagnée de nouvelles provocations russes dans l’est de l’Ukraine, en Moldavie et dans les régions frontalières des pays baltes.

    En effet, le gouvernement polonais de Donald Tusk, ainsi que je l’expliquais dans cet article, a dû se rendre à l’évidence que l’éventualité d’une attaque russe contre certains pays de l’OTAN, Pologne comprise, n’est pas du tout aussi irréaliste qu’il se l’imaginait. Outre la volonté affichée de renverser la vapeur après six ans de coupes budgétaires dans les budgets de la défense et six ans de reports successifs des décisions concernant l’acquisition de systèmes de défense modernes, par exemple de systèmes antimissiles et anti-aériens de dernière génération pour remplacer la défense anti-aérienne polonaise qui date encore de l’époque soviétique, la Pologne s’efforce aussi d’obtenir une présence militaire américaine conséquente sur son territoire. D’autres pays de la région, comme les Pays baltes ou la Roumanie, exercent d’ailleurs eux aussi des pressions en ce sens. La Lituanie a elle-même annoncé qu’elle allait augmenter ses dépenses militaires dans les années qui viennent en les faisant passer de 0,8 % (!) à 2 % de son PIB, et la Roumanie a pris la décision de remplacer enfin ses antiques MIG-21, certes modernisés, par des F16 d’occasion.

    Pour revenir à la défense antimissile polonaise, celle-ci doit assurer la défense

    Photo Wikimedia Commons : Missiles Iskander russes sur un véhicule lanceur

    Photo Wikimedia Commons : Missiles Iskander russes sur un véhicule lanceur

    du territoire polonais contre les missiles d’une portée inférieure à 1000 km tandis que la défense contre les missiles de portée supérieure sera assurée par le bouclier antimissile de l’OTAN en cours de déploiement. Il s’agira donc pour la Pologne d’acheter 8 batteries antimissiles à moyenne portée et 19 à courte portée, ainsi que les systèmes de détection et de communication qui vont avec. Des contrats portant sur une valeur double de celle des quarante-huit F16 américains en service dans l’aviation polonaise depuis 2006. Parmi les cinq concurrents  encore en lice, il y a, outre les systèmes Patriot et MEADS américains les missiles Aster français. Il semblerait néanmoins, d’après le quotidien conservateur Gazeta Polska Codziennie, que le gouvernement polonais ne ferait pas confiance à l’offre française en raison de la coopération militaire entre la France et la Russie. Ces mêmes missiles Aster auraient été dans le passé proposés à la Russie et la France est en passe de livrer à ce pays deux navires porte-hélicoptères d’assaut de classe Mistral avec transfert des technologies. Deux autres navires du même type doivent être construits dans les chantiers navals russes. Comble du comble, les deux navires livrés par la France porteront les noms de Vladivostok et… Sébastopol ! Rien ne garantit donc à la Pologne que la technologie des missiles Aster pourrait ne pas être parfaitement connue de l’attaquant potentiel contre lequel ces missiles seraient censés la défendre. La Géorgie avait eu le problème avec ses drones israéliens en 2008 car les codes de ces drones auraient paraît-il été vendus par Israël à la Russie. C’est pourquoi l’offre israélienne de systèmes antimissiles sera elle aussi probablement exclue et il est vraisemblable que la Pologne choisira des systèmes américains, et ce d’autant plus qu’elle pourrait devenir partenaire du programme MEADS aux côtés des États-Unis, de l’Allemagne et de l’Italie.

    Quant à la politique française vis-à-vis de la Russie et de ses alliés de l’OTAN, n’est-il pas extrêmement curieux que la France, qui livre ses technologies militaires à la Russie, propose parallèlement d’envoyer des avions Rafale patrouiller le ciel des Pays baltes pour les protéger contre une éventuelle agression russe ?
    Rappelons que le commandant en chef de la marine russe lui-même avait déclaré après l’invasion en 2008 de la Géorgie que des bâtiments du type Mistral avaient alors cruellement manqué à la Russie.
    Et que penser de l’aspect commercial d’une opération par laquelle la France, quatrième exportateur d’armements dans le monde, vend ses technologies au deuxième plus gros exportateur ?

    L’image de la France n’en sort pas grandie dans les pays de l’ex-bloc de l’Est.

      

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Le PS et l’UMP dirigeront ensemble la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB)

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    13/04/2014 – BORDEAUX (via Infos Bordeaux)
    Alors que la droite possède une large majorité à la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB), Alain Juppé, maire de Bordeaux et candidat à la présidence de la CUB, a décidé de la diriger conjointement avec le Parti socialiste. Les profondes divergences exprimées devant les médias, pendant la campagne des municipales, n’étaient-elles qu’un écran de fumée ?

    Le maire de Bordeaux a donc décidé de réserver 7 des 20 vice-présidences à des élus de gauche (PS, Verts et communistes). Alain Anziani, maire socialiste de Mérignac, s’occupera de la métropolisation et devrait être le premier vice-président de la CUB.

    Cette nouvelle organisation se mettra en place le 18 avril prochain avec l’élection d’Alain Juppé à la présidence de la CUB. Il succèdera au socialiste Vincent Feltesse.

  • C'est arrivé un 13 avril... La France occupée et libérée

    Le 13 avril 1360 : le doigt de Dieu détruit l'armée anglaise.

    1346, 30.000 Anglais mettent en déroute 100.000 Français à Crécy ; 1356, 8000 Anglais écrasent 50.000 Français à Poitiers. A titre de comparaison, à Bouvines 60.000 Français écrasèrent plus de 200.000 européens!

    En 1360, la France ne ressemble bientôt plus qu'à une province anglaise. Les grandes compagnies ravagent le pays ; le roi de Navarre vient de trahir et le Roi de France est prisonnier à Londres. Les prétentions du roi d'Angleterre, lors des négociations de Brétigny sont énormes, à l'échelle de ses succès militaires et de la déliquescence française. Les négociations échouent. Edouard III veut en finit et s'apprête à mettre le siège devant Chartres. Fou de rage, Édouard III remonte vers Paris et laisse son armée commettre de nombreuses exactions : il ne s'agit plus de la simple extorsion visant à nourrir son armée, mais de la destruction systématique de toutes les ressources - les pieds de vignes sont arrachés, le bétail abattu et toute âme qui vive massacrée. Ces exactions entraînent un vif ressentiment contre les Anglais. Nombre d'entre elles ont lieu pendant le carême et la Semaine sainte et, lorsque l'armée anglaise est décimée par un violent orage de grêle, mêlé d'éclairs, le 13 avril, nombre de chroniqueurs y voient la main de Dieu, à commencer par le roi d'Angleterre, qui apercevant les flèches de Chartres, prie Notre Dame d'épargner ce qu'il lui reste d'armée.

    Il promet de donner la paix à la France. La tempête s'apaise.

    Reconnaissant et honnête Édouard III se décide alors à négocier ; il va même pénétrer dans Chartres, en pèlerin pour y vénérer le Saint Voile. Il signe la paix à Brétigny, où il dissout son armée de mercenaires.

    Le marquis de la Franquerie, dans son livre La vierge Marie dans l'Histoire de France, (page 86) raconte cette destruction de l'armée anglaise que Français et Anglais attribuèrent à Notre Dame. Il souligne que les principaux historiens relatent le fait : Froissart, Mézeray, Daniel, Polydore, Virgile, Hamon…

    • Le 13 avril 1436 : prise de Paris par Arthur de Richemond.

    L'armée anglaise dans Paris compte environ 3 000 hommes et est soutenue par l'université de Paris. 2000 routiers et écorcheurs la renforcent. La garnison attend également un renfort de 3 000 anglais.

    L'armée française est dispersée et seul contre presque tous le duc de Bretagne, le connétable Arthur III de Richemont, soutenu par d'anciens compagnons de la Pucelle d'Orléans tels La Hire, Jehan de Dunois, cousin naturel du Roi, Jehan de Brosse Maréchal de Sainte-Sévère et Jehan Poton de Xaintrailles conduit une armée de 5000 Bretons pour reconquérir Paris. En novembre 1438, Charles VII (1403-1461) peut retrouver sa capitale, abandonnée en 1418. Richemont encercle Paris par le nord et le sud, en s'assurant le contrôle de la vallée de l'Oise, de la Champagne et de la Brie. L'Ost royal profite aussi de la révolte des Parisiens dans la capitale, des bourgeois menés par le Receveur aux Comptes Michel de Laillier. Richemont avec une petite troupe de cinq à  six cents combattants réussit à se faire ouvrir la porte Saint-Jacques et pénètre dans Paris où il est accueilli en libérateur par la population enthousiaste aux cris de « vive le Roi et le duc de Bourgogne ». Débordés, les Anglais se réfugient dans la Bastide Saint-Antoine (Bastille). Richemont leur promet alors la vie sauve s'ils quittent Paris, ce qu'ils font le 15 avril 1436.

    Cette libération, réalisée avec peu de pertes et sans effusion de sang ni de pillage, est célébrée le 22 avril, par une grande fête religieuse, au milieu d'une foule immense. Cette fête est renouvelée pendant trois siècles, jusqu'à la révolution, comme une victoire nationale. Dans la foulée, Creil, Meaux et Montereau sont délivrées. Mais la libération de la France commence, mais il faudra 20 ans au connétable pour l'achever.

    Toile commandée par le comte d'Angiviller au nom de Louis XVI, un tableau de Jean-Simon Berthélemy commémore l'événement : "La Reprise de Paris sur les Anglais" (1787), musée du Louvre.

    Le Salon Beige

  • CHAPPATTE

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  • 764 Juifs auraient échappé aux camps de la mort en sautant des trains

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    Revue de presse
    Publié le 11 Avril 2014

     

     

    Article publié sur Alyaexpress le 11 avril 2014

    Une nouvelle recherche publiée en Allemagne a établi qu’au moins 764 Juifs ont réussi a échapper aux chambres à gaz en sautant des trains qui les emmenaient vers les camps, en France, en Hollande et en Belgique.

     

    L’un de ces hommes Léo Brettholz, qui vient de mourir aux Etats-Unis, avait passé sa vie à rechercher d’anciens nazis… Lire la suite.

    CRIF
  • Défendre d’abord nos intérêts…

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    Les événements qui se déroulent depuis quelques mois en Ukraine ont entrainé, surtout sur les réseaux sociaux, un débat animé au sein de notre famille d’idées. Cela est bien naturel et à le mérite de prouver, à ceux qui en doutaient, que les nationalistes français sont attentifs à ce qui se passe dans le reste de l’Europe. Les uns, au nom d’une vision romantique des choses et s’appuyant sur des faits historiques terribles (la grande famine planifiée en Ukraine par Staline au début des années 30 qui fit plus de six millions de victimes réelles), soutiennent l’insurrection ukrainienne, tandis que les autres, par réalisme géopolitique et sans doute par admiration pour le style « direct » du Président Poutine, épousent la cause de la Russie.

    Tout cela nous amène à quelques observations.

    D’abord, force est d’admettre que les deux points de vue sont compréhensibles et il est dommage que certains en arrivent à s’insulter pour défendre celui qu’ils ont choisi.

    Les nationalistes ukrainiens, et le peuple ukrainien dans son ensemble, ont souffert, c’est indéniable, du joug soviétique pendant plus de 70 ans. Cela à tel point qu’une partie n’a pas hésité dans un premier temps à se ranger aux côtés des forces de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais, depuis l’indépendance de l’Ukraine, au début des années 1990, la Russie a toujours eu une position ambiguë par rapport à Kiev dont elle dépend en bonne partie économiquement. Les raisons du soulèvement sont d’ailleurs, dans un premier temps, plus à mettre sur le compte d’un refus des pouvoirs ukrainiens corrompus et incapables qui se sont succédés depuis l’indépendance, et sur celui de la misère sociale qui gangrène ce pays, que sur celui de la rancune envers les Russes. Même si celle-ci demeure vivace.

    En tant que Français attachés à notre pays et en tant qu’Européens fiers de notre civilisation, nous pouvons comprendre les motivations des insurgés du Maïdan. Le problème, c’est que ces motivations ne sont pas forcément les mêmes que celles de ceux qui ont tout intérêt à ce que l’Ukraine se détache de l’influence russe et qui œuvrent en sourdine depuis longtemps dans ce sens.

    La sincérité ne doit pas engendrer la naïveté

    J’ai pu le constater par moi-même, les nationalistes ukrainiens font parfois preuve d’une certaine candeur. J’ai eu l’occasion il y a quelques mois, avec notre ami Robert Spieler, par l’intermédiaire de Thibaut de Chassay, le dynamique président du Renouveau français qui entretient des liens politiques avec différents mouvements patriotiques de l’Est européen, de rencontrer des responsables de Svoboda, le principal parti nationaliste ukrainien, venus à Paris pour présenter leur mouvement et leurs revendications. Sans douter un instant de la sincérité de ces nationalistes, au demeurant fort sympathiques, j’ai été frappé par leur fascination, frisant la naïveté, pour l’Union européenne. Leur vision du monstre bruxellois était totalement tronquée. Ils plaçaient toutes leurs espérances dans leur visite au Parlement européen prévue pour le lendemain à Bruxelles. Curieuse approche des choses… Je dois avouer que Robert et moi sommes restés sceptiques suite à cette rencontre. Néanmoins, comme quoi en politique il ne faut jamais écarter « l’imprévu », quelle ne fut pas ma surprise de voir que deux de nos interlocuteurs d’alors sont aujourd’hui membres du nouveau gouvernement. Cela dit, il ne faut pas se leurrer. L’Europe, une fois qu’elle se sera bien servie des patriotes ukrainiens contre la Russie, se débarrassera d’eux vite fait car leur idéologie est malgré tout diamétralement opposée à ses projets mondialistes

    Parlons maintenant de la position de la Russie de Vladimir Poutine. Celle-ci qui estime, à juste titre, que l’Ukraine est « son berceau » ne peut en aucun cas laisser se développer, à ses frontières, des Etats qui lui seraient foncièrement hostiles. Ce d’autant plus que cela risquerait de faire « tache d’huile ».

    Nous considérons pour notre part que la Russie est actuellement, malgré tous ses défauts, l’un des meilleurs remparts face aux intentions belliqueuses et aux menées hégémoniques de l’Empire de la Haute finance apatride. Qu’on le veuille ou non, la Russie d’aujourd’hui n’est pas l’URSS d’hier. Nous ne tomberons donc pas, bien évidemment, dans le piège tendu par les lobbys droits-de-l’hommistes stipendiés par les Fondations mondialistes qui voudraient faire passer Poutine pour un nouveau Staline. Les maîtres du Nouvel Ordre mondial croyaient en avoir fini, au lendemain de la chute du Mur de Berlin, avec l’Union soviétique. Ils pensaient que la Russie allait devenir une puissance déliquescente dirigée par des mafieux ou des ivrognes type Boris Eltsine. Ils se sont lourdement trompés car ils n’avaient pas imaginés l’émergence d’un Poutine capable, en quinze ans, de redonner à son pays sa fierté, comme on a pu le constater à l’occasion des magnifiques Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, et de lui offrir à nouveau une place essentielle dans le monde. Ce renouveau de la Russie peut, légitimement, susciter une grande sympathie auprès des patriotes français écœurés de voir leur pays « dirigé » par une bande de baudruches incapables.

    Ne pas se tromper de combat

    Nous le voyons, chacun peut trouver de nombreuses bonnes raisons de soutenir un camp ou un autre. Mais, est-ce bien à nous, nationalistes français et identitaires européens, de nous immiscer dans ce conflit qui, quoi qu’en disent tous les va-t’en-guerre de la terre style BHL, ne nous concerne pas vraiment ?

    Notre rôle ne serait-il pas, plutôt, de chercher à apaiser ces antagonismes qui ne peuvent que servir les projets fumeux de ceux qui veulent justement anéantir les nations ?

    Louis XIV, pour expliquer sa politique étrangère, disait que « la France n’a pas d’amis ni d’ennemis, elle n’a que des intérêts ». C’est ainsi que les nationalistes français, qui sont sensés mettre l’intérêt national au-dessus de tout, devraient voir les choses aujourd’hui. Plutôt que s’entredéchirer à propos de ce conflit qui, finalement, concerne avant tout les Ukrainiens et les Russes, ne serait-il pas plus judicieux de s’interroger sur ce qui sert le plus notre pays ?

    La menace que fait peser sur nos identités et nos libertés le mondialisme destructeur devrait suffire à elle seule pour nous guider. La réalité, en France comme dans la plupart des pays, c’est que ce sont justement des gouvernements inféodés à la politique mondialiste imposée par les financiers de Wall Street, et leur bras armé qu’est l’OTAN, qui sont aux affaires. Alors, ne nous trompons pas de combat. Au lieu de s’entredéchirer sur la question ukrainienne, les nationalistes français doivent se mobiliser totalement contre le Système qui, ici comme ailleurs, veut détruire notre nation et notre civilisation.

    Or, face à ce Système, force est de reconnaître que la Russie, dans l’état actuel des choses, est un allié nécessaire.

    Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale

    Editorial du n°35 de la revue Synthèse nationale

    Publié par ALTERMEDIA

  • Le « progrès » : dans une usine, 150 000 poussins broyés chaque jour, car mâles

     

    Une association américaine de défense des droits des animaux dénonce dans une vidéo le traitement réservé aux poussins mâles dans la plus grande usine de poules pondeuses des Etats-Unis : les poussins mâles, non rentables, sont hachés vivants au rythme de 150 000 par jour…

    Dans notre monde capitaliste, le cauchemar industriel broie le vivant, au figuré comme au propre…

     

    « Grâce à une caméra cachée, l’association a mené l’enquête et filmé un aperçu de la réalité industrielle des écloseries modernes.

    Comme les poussins mâles ne pourront jamais pondre et que leur croissance est trop lente pour en tirer de la viande, ils naissent et meurent le même jour, hachés vivants dans une machine.

    Dans un premier temps, les poussins sont triés par des ouvriers en fonction de leur sexe, manipulés et jetés comme des objets. Puis, ballotés par un convoyeur, ils sont précipités dans un broyeur à haute pression pour finir en chair sanguinolente…

    Le sort réservé aux femelles n’est guère plus enviable. Pour elles, c’est le début d’une vie de cruauté et de confinement. »

    source & détails

    Contre-info.com

  • Haute-Savoie - La force de l'instinct de survie: victime d'un terrible accident de la route, Aline, 23 ans, raconte comment elle a échappé à la mort

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    A 23 ans, Aline Vercoutter, est une miraculée. Cette jeune femme a été victime d'un terrible accident sur une petite route de montagne, mais elle s'en tire avec seulement quelques bleus et des contusions.

    Le 24 mars, au volant de sa Clio, Aline quitte son domicile du Mont-Saxonnex (Haute-Savoie) pour se rendre à un concours hippique dans le sud de la . <btn_noimpr>

     
     

    Elle veut devenir monitrice d'équitation.

    Elle croit en sa bonne étoile

    Il est 3 h 30 du matin et la route qui descend vers la vallée est enneigée : « Dans un virage, ma voiture a glissé et a basculé dans le ravin. J'ai dévalé sur près de 300 m en faisant des tonneaux. D'après les gendarmes, j'ai dû faire au moins 10 à 12 tonneaux. Heureusement, je n'ai pas perdu connaissance. Mon véhicule a fini dans le Bronze, un torrent, au milieu d'un trou d'eau profond. La voiture s'est retrouvée totalement immergée, dans une eau glacée. Mon instinct de survie a alors pris le dessus. J'ai réussi à enlever ma ceinture de sécurité et je me suis glissée par la vitre de la portière qui avait éclaté », explique Aline. Frigorifiée..

    La jeune femme arrive à regagner la berge en nageant, mais son cauchemar n'est pas terminé. « J'ai perdu mon téléphone portable durant la chute. Impossible d'appeler les secours. Il a fallu que je remonte seule le ravin. Il y avait de la neige, de la boue. Je glissais. J'ai mis deux heures pour remonter, sur 300 m, jusqu'à la route. J'ai ensuite rejoint un hameau de Bonneville. Et là, un automobiliste a pu prévenir les secours. J'étais en état d'hypothermie. Mais j'étais vivante. »

    Aujourd'hui, Aline, qui souffre encore d'une hanche, sait qu'elle revient de loin : « J'avais une bonne étoile avec moi », reconnaît-elle. Ce que confirme le lieutenant Thomas , de la gendarmerie de Bonneville « Je n'ai jamais vu un tel accident se terminant aussi bien. »

     

    Aujourd’hui en France - 04 04 14 

  • Israël nationalise des terres en Cisjordanie

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/13/97001-20140413FILWWW00167-israel-nationalise-des-terres-de-cisjordanie.php

  • Les autorités ukrainiennes prêtes à envisager un élargissement des pouvoirs des régions

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    Aujourd'hui, 20:45
     

     

     

    Par La Voix de la Russie | Cette déclaration a été faite dimanche par le président par intérim d'Ukraine Alexandre Tourtchinov.

    « Nous sommes prêts à envisager une expansion substantielle des pouvoirs des régions et une réforme plus large de l'administration locale, ainsi qu'un renouveau du pouvoir dans les régions. Cependant, toute personne, qui, en soutien des agresseurs et occupants, se bat contre notre nation, n’échappera pas à la punition et en portera la responsabilité », a indiqué Tourtchinov dans un message vidéo adressé au peuple ukrainien.

    Le président par intérim a également exhorté les habitants de l'Ukraine orientale à ne pas soutenir ceux qui veulent déstabiliser la situation dans le pays. « Je lance un appel à ceux qui veulent protéger l'Ukraine. Actuellement, le plus important, c'est d'éviter de déstabiliser la situation dans le pays », a ajouté Tourtchinov, en exhortant tous les citoyens de l'Ukraine de s’unir pour éviter une guerre civile.
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_04_13/Les-autorites-ukrainiennes-pretes-a-envisager-un-elargissement-des-pouvoirs-des-regions-9634/

  • EN DIRECT - Kiev accuse Moscou de "mener une guerre contre l'Ukraine"

    http://www.leparisien.fr/international/en-direct-ukraine-premiers-morts-dans-les-combats-entre-l-armee-et-les-pro-russes-13-04-2014-3764811.php

    VIDEOS  PHOTOS  CARTES

  • Affaire Alègre/Baudis: le témoignage des enfants du juge Roche

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Affaire-Alegre-Baudis-le-temoignage-des-enfants-du-juge-Roche-24642.html

    Dans l’affaire Patrice Alègre, le juge Pierre Roche fut accusé d’avoir couvert les agissements du tueur. Président de Chambre à la cour d’appel de Montpellier, Pierre Roche est mort le 22 février 2003 à l’âge de 60 ans dans des circonstances suspectes. Dans ce témoignage publié en 2005, ses enfants relatent les informations que leur père leur aurait confiées peu avant sa mort. Il aurait notamment explicité ses relations avec Dominique Baudis, mort ce jeudi 10 avril 2014.

  • La funeste visite de Merkel à Athènes

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    Olivier Renault Rédaction en ligne

     
     
    11 avril, 16:18
     
     

    Par La Voix de la Russie | Angela Merkel se rend ce vendredi dans la capitale grecque, protégée par 7000 policiers revêtus de carapaces de protections et de casques face au peuple grec armé, lui encore, de ses seules mains nues, de panneaux de protestation et de leurs cris de colère, le lendemain de l’annonce du retour par la Grèce sur le marché financier par l'émission d'emprunts d’État sur cinq ans. A l'aéroport d'Athènes, des limousines noires toutes brillantes de célèbres marques allemandes attendent Angela Merkel et son escorte berlinoise sous une rangée de drapeaux grecs et allemands.

    La presse française parle d'un attentat à Athènes un jour avant la visite de la chancelière et d'un retour réussi sur les marchés pour la Grèce totalement ruinée. La chancelière vient féliciter et soutenir la politique d'austérité mené par Antonis Samaras.

    Dans son dernier livre, Le Putsch silencieux (pas encore disponible en français) paru fin mars 2014, le journaliste d'investigation Jürgen Roth montre le système de corruption de la Troïka, de Berlin avec Angela Merkel et de Bruxelles, assis sur les peuples européens. Pour Jürgen Roth, la Grèce est le premier pays à avoir subi le test de la Troïka, un plan qui s'applique déjà aux autres nations européennes, Allemagne comprise. Un autre auteur, Panagiotis Grigoriou, qui nous a accordé plusieurs entretiens, avait déjà parlé de la destruction de la société grecque de manière technique par les technocrates de Bruxelles et les banquiers.

    Bombe. Un jour avant l'arrivée d'Angela Merkel, une voiture a explosé dans le quartier des banques à Athènes. Des manifestants s'étaient réunis devant le Parlement grec avec des panneaux où on pouvait lire « Frau Merkel get out. Get out of our country bitch ». Pendant que les médias occidentaux parlent du retour avec succès de la Grèce sur le marché financier et même d'une baisse du chômage à 26,7 %, la population grecque ressent cette annonce comme une trahison. La population grecque s'enfonce dans la misère voulue par la Troïka, ce qui constitue une bombe sociale. Pour le Handelsblatt, l'économie grecque pourrait augmenter de 1 % cette année mais ne pourra pas réduire de manière significative le chômage. Le chômage des jeunes est à 60 %, ce qui n'est pas supportable sur le long terme pour une démocratie. La crise grecque, construite par la Troïka, profite aux investisseurs. Le retour d'Athènes sur le marché fait le bonheur des investisseurs qui s'arrachent les emprunts d’État grecs. « Nous vivons une situation exceptionnelle en Grèce. Les dettes d’État cachent la privatisation des biens et des services » écrit Jürgen Roth en citant un conseiller en économie du Pasok qui ne veut pas citer son nom.

    Pays test de la Troïka. Colonie administrée par Berlin et Bruxelles, la Grèce est le premier pays test aux plans de la Troïka : baisse des salaires, baisse des retraites, disparition des soins d’État, privatisation de tous les services publics, réduction du nombre des fonctionnaires. « Rien n'est dévoilé. Les privatisations des structures conduisent au dumping salarial, aux contrats précaires, en Allemagne aussi. Les salariés doivent travailler dans les sociétés privatisées pour des salaires de misère où le mot d'ordre " bouffe ou crève " est de mise», écrit Jürgen Roth. Les bâtiments d’État grecs ont été vendus aux investisseurs et sont loués à des prix élevés à la même administration d’État. Plus de 300 îles sont à la vente. L’État grec, qui possède 70 % du pays, le vend aux financiers. « Les financiers se régalent de la forte baisse des salaires et des prix sur l'immobilier », écrit Jürgen Roth. L’État grec et la Troïka ne sont pas vraiment intéressés par les privatisations selon le journaliste Yannis Moutsos : « Ils utilisent la Grèce et le Portugal comme un terrain d'expérimentation. »

    L’Allemagne exporte sa démocratie. L'historien et anthropologue grec Panagiotis Grigoriou nous a fait le nouveau portrait robot de son pays qui tombe en ruine humaine et sociale et démocratique à vitesse grand V dans un entretien en deux parties en décembre 2012 sous le titre « La Grèce, une colonie allemande qui souhaiterait l'aide de la Russie ». En décembre 2012, Panagiotis Grigoriou nous disait : « On découvre le changement interne de la société grecque, l'occupation du pays par l'Allemagne et l'administration européenne, la pulsion de mort dans une société qui fut l'une des plus vivantes du monde » et expliquait en citant des exemples que la Grèce est une colonie administrée par l'Allemagne : « Oui, nous avons des administrateurs coloniaux. Le Consul général allemand, Wolfgang Hoelscher et Hans-Joachim Fuchtel, CDU ont été nommés par Angela Merkel. Ils sont basés en Grèce, chez nous. Le job de Hans-Joachim Fuchtel, CDU, est de mettre en contact les entreprises allemandes et les municipalités grecques. Hans-Joachim Fuchtel, CDU, nous le considérons comme l'administrateur colonial ou comme un Gauleiter». Ce vendredi, la chancelière rend visite à son Gauleiter pour une tournée d'inspection. » N
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_04_11/La-funeste-visite-de-Merkel-a-Athenes-8500/

  • Carla Bruni : "Je suis folle d’Israël"

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    Dans une interview donnée au quotidien israëlien Yediot Aharonot le 11 avril dernier, l’ex-première dame s’est dite « folle d’Israël », précisant « c’est plein de vie ».

    L’épouse de Nicolas Sarkozy a détaillé ses liens avec le judaïsme et Israël en rappelant que son père était juif :

    « Je suis née d’une mère catholique et d’un père juif, et ce qui est important pour moi, c’est l’ouverture. »

    Elle a ensuite expliqué que son fils Aurélien, né en 2001 d’une relation avec Raphaël Enthoven, a été à la fois circoncis et baptisé :

    « Son père est juif et je lui ai donné le cadeau d’un double héritage. »

      

    L’ancien top model reconverti dans la chanson a déclaré qu’elle souhaitait emmener son époux et Aurélien en Israël à l’occasion de son concert à Tel-Aviv le 25 mai prochain : « Si mon mari vient, nous resterons peut-être quelques jours de plus. Je veux emmener mon fils en Israël pour qu’il découvre », a-t-elle ajouté.

  • Alain #Finkielkraut, académicien : "L’antifascisme fait, dit n’importe quoi et devient incontinent. Il fait pipi partout" (Grand Journal)

  • Education nationele: en plein délire!

     

    EDUCATION NATIONALE  - On ne certifie plus rien

    On ne certifie plus rien



    Michel Lhomme
    le 12/04/2014
    La fin des mauvaises notes en dictée ? Le ministère de l’Education nationale travaillerait actuellement sur un nouveau barème de notation pour cet exercice scolaire. Le principe : valoriser plutôt que sanctionner. Il s’agirait ici de ne plus compter le nombre de fautes mais plutôt le nombre de mots qui sont bien orthographiés. C’est ce qu’on appelle dans le jargon pédagogique : « l’évaluation positive » parangon de la « pédagogie inversée » et autres billevesées éducatives.
     
    En fait, une nécessité pour le ministère qui a écrit, dans une note que l’actuel système de notation de la dictée ne permettait pas « de bien cerner » les « difficultés orthographiques » d’un élève ni « les remèdes » qu’on pouvait lui apporter. Alors, on casse le thermomètre. Sauf que, toujours face à de telles idées folles, la réalité est implacable. En fait, près de neuf e-mails sur dix contiennent une erreur orthographique. Or, les fautes d’orthographe coûteraient des millions d’euros aux entreprises et les plus affectées par ce problème seraient celles sur internet

    Une étude anglaise affirme qu’une seule faute d’orthographe sur un site de e-commerce peut diviser les ventes par deux. « Sur Internet, il est facile de comparer, de changer de site, de commencer son achat à droite et de le finir à gauche. La forme devient stratégique. Il n’y a pas de deuxième chance. Et la forme, c’est quoi ? Des images et du texte. Point. L’enjeu est simple, il faut susciter la confiance, convaincre d’acheter, avec des images et du texte. Agrémenter le tout de fautes d’orthographe, c’est se tirer une balle dans le pied », a expliqué Pascal Hostachy, cofondateur de Woonoz et spécialiste de la remise à niveau en orthographe.
     
    Du coup, certaines entreprises envoient désormais leurs salariés en formation orthographique, avec certificat à la clé et d'autres exigent un tel certificat lors de l'embauche. Ce certificat, on l'aura compris, le Ministère de l'Education nationale est bien incapable de le fournir même pour ses bacheliers. 

    L'Education nationale  sert-elle encore à quelque chose ? En attendant refusons et contestons les courriers administratifs mal orthographiés. La loi le permet. 
     
    METAMAG
  • Israël impose des sanctions économiques aux Palestiniens

    par Crispian Balmer

    JERUSALEM (Reuters) - Israël a imposé jeudi des sanctions économiques aux Palestiniens en riposte à la signature par Mahmoud Abbas d'une quinzaine de traités internationaux, dont les Conventions de Genève, a annoncé un responsable israélien.

    Selon ce responsable, qui s'est exprimé sous le sceau de l'anonymat, les sanctions portent sur une réduction du montant du transfert des taxes collectées par Israël au profit de l'Autorité palestinienne, dont sera désormais déduit le remboursement de la dette, ainsi que sur une limitation de la somme que le gouvernement palestinien peut déposer dans les banques israéliennes.

    Les taxes qu'Israël prélève sur les marchandises destinées aux Palestiniens représentent une centaine de millions de dollars par mois, soit les deux tiers du budget palestinien.

    En outre, Israël a décidé de suspendre sa participation à un projet de prospection gazière au large des côtes de la bande de Gaza.

    Israël, qui accuse le président palestinien d'avoir trahi sa promesse de ne pas se tourner vers les Nations unies pendant les négociations, reste néanmoins prêt à "poursuivre les efforts de paix", a dit le responsable israélien.

    Un haut responsable palestinien, Yasser Abed Rabbo, a condamné les mesures de rétorsion israéliennes.

    DES PROGRÈS ENTRE NÉGOCIATEURS

    "Ces sanctions ne nous font pas peur. Elles montrent à la communauté internationale qu'Israël est un Etat d'occupation, raciste, qui recourt à l'arme de la punition collective, en plus d'autres pratiques comme l'expansion des colonies de peuplement et le refus de nos droits les plus fondamentaux", a-t-il dit.

    Mahmoud Abbas a expliqué sa décision de signer des traités internationaux par le refus des autorités israéliennes de libérer avant la fin mars un groupe d'une vingtaine de détenus arabes, comme elles s'y étaient engagées l'été dernier au moment de la reprise du processus de paix sous l'égide des États-Unis.

    Israël avait déjà, en signe de rétorsion, décidé mercredi de limiter ses contacts avec les responsables palestiniens.

    Malgré cette crise sont apparues jeudi les prémices d'un accord sur la poursuite des négociations de paix, fortement fragilisées ces derniers jours.

    Les négociateurs israéliens et palestiniens, qui se sont retrouvés jeudi pour la troisième fois de la semaine, ont évoqué des propositions pour sortir de l'impasse actuelle et proroger le cycle de négociations jusqu'au début 2015, a dit une source israélienne, confirmant les informations de certains médias israéliens et arabes.

    A Washington, le département d'Etat a indiqué que les deux camps avaient réalisé des progrès mais n'a pas voulu pour autant parler d'accord sur la prolongation des négociations au-delà de la date-butoir du 29 avril.

    (Tangi Salaün et Eric Faye pour le service français)

    Yahoo!Actu 

  • Discours de Manuel Valls le 19 mars 2014

    Discours de Manuel Valls le 19 mars 2014 lors d’un rassemblement organisé par le CRIF en mémoire des victimes de Mohamed Merah.

    En présence de BHL, Anne Hidalgo (PS), Habib Meyer (UDI), Jérôme Guedj (PS), David Assouline (PS), Claude Goasguen (UMP) etc…

    Défrancisation

     
     
  • En Russie, Marine Le Pen défend une Ukraine fédérale - 12 04 14

    C'est une «visite privée», qui n'était pas inscrite à l'agenda officiel de la présidente du Front National. a rencontré ce samedi le de la Douma (ndlr : l'Assemblée russe), Sergueï Narychkine, pour évoquer la crise ukrainienne, a rapporté l'agence de presse russe Ria Novosti.

       



    Pour l'accompagner, Louis Aliot, vice-président du FN et l'un de ses fidèles lieutenants, qui a filmé la brève allocution donnée par Marine Le Pen en préambule, et l'a postée sur son compte Youtube.

     

    «Le projet le plus logique et le plus respectueux serait l'organisation d'une fédération au sein de l'Ukraine qui permette un degré d'autonomie des régions et qui permette de préserver le pays (...) et mettre fin à ces tensions», a exposé Marine Le Pen, dont le parti adopte plutôt des positions pro-russe.

    Début mars, la présidente du FN avait estimé que les menaces envers la Russie étaient «inappropriées» et qu'elles ne constituaient «pas une solution». Une position qu'elle a réitérée samedi alors que son interlocuteur, Sergueï Narychkine, est l'un des responsables russes visés par les sanctions de l'UE à la suite du rattachement de la Crimée à la Russie : «J'ai dit dès le début que les sanctions et même les menaces de sanctions (...) étaient tout à fait contre-productives. Je maintiens que les sanctions sont contre-productives».

    L'eurodéputée a appelé à «la sagesse et l'intelligence (...) de la diplomatie européenne (...) pour réussir à trouver les éléments d'un avenir pacifique pour l'Ukraine et respectueux de l'envie, du désir et de la sensibilité de chacune des parties». Pour y parvenir, les parties concernées doivent y contribuer et empêcher l'influence des extrémistes qui pourraient ruiner les résultats de ces négociations», rapporte l'agence de presse russe Itar-Tass, citée par le site La Voix de la Russie, proche du Kremlin.

    Une première rencontre en juin 2013

    En réponse, le président de la Douma Sergueï Narychkine a rappelé que la Russie «a toujours considéré la France comme l'un de ses premiers partenaires à l'étranger», ajoutant que «maintenant les relations franco-russes traversent une période difficile en raison d’une campagne russophobe et antirusse qui a été lancée dans un certain nombre de pays d'Europe occidentale». «Nous sommes persuadés qu’il est nécessaire de maintenir le partenariat entre nos deux pays dans les intérêts des peuples de la France et de la Russie», a-t-il conclu, saluant au passage «les excellents résultats» du FN aux dernières élections municipales en France.

    Ce n'est pas la première fois que Marine Le Pen est reçue par le président de la Douma. Une première rencontre avait eu lieu en juin 2013 durant laquelle les deux interlocuteurs avaient échangé sur la situation en Syrie et le mariage homosexuel.

    LeParisien.fr

  • L’islam, oui ; les chrétiens d’Orient, non

     

    Le Musée du Louvre a décidé d’abandonner  son projet de département « consacré aux arts des chrétientés d’Orient, des empires byzantins et slaves ».

    On nous a vanté pendant des années le mirifique projet, puis la grandiose réalisation, du département des « arts de l’islam ». Rien n’était trop beau, rien n’était trop cher, pour mettre au pinacle un art qui demeure pourtant limité puisqu’il refuse (en général) la représentation humaine.

    Mais pour l’art chrétien d’Orient il n’y a rien. Symboliquement, c’est terrible. Non seulement nous laissons crever les chrétiens d’Orient, mais en plus on les écrase du talon. C’est une incitation à aggraver les discriminations et les persécutions : voyez le grand musée français, comme ils honorent l’islam, et ne s’occupent pas des chrétiens.

    Cela, ce n’est pas la France.

    Le blog d'Yves Daoudal  - 11 04 14