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GAELLE MANN - Page 947

  • L’extrême droite fait-elle la loi en Grèce ?

    Tribune
    Publié le 2 Septembre 2013

     

     Par un groupe d’intellectuels grecs

     

    Un procès à Athènes où l’Aube dorée (parti néonazi grec) se trouve impliquée ? Quoi de plus normal, me direz-vous. En effet, on s’attendrait à ce que des crimes comme les innombrables agressions racistes à coups de poignards, battes et lances de fer finissent par être rattrapés par la justice. Même dans un pays sous la férule de la troïka comme la Grèce où des droits fondamentaux et les libertés démocratiques sont régulièrement bafoués, un pays en état d’urgence permanent, on s’attendrait à ce que la justice finisse par faire son chemin. Sauf que… Sauf que dans le procès en question qui aura lieu demain au 1er tribunal correctionnel d’Athènes, aucun membre des groupes d’assaut, organisés par l’Aube dorée, ne se trouvera sur le banc des accusés.

    « Face à cette situation, nous appelons les citoyens européens à se mobiliser pour défendre le droit de lutter contre la montée du nazisme »

    Cette place est réservée à Savvas Michael-Matsas, intellectuel radical de renommée internationale et secrétaire général du Parti ouvrier révolutionnaire (EEK), ainsi qu’à l’ancien doyen de l’École polytechnique d’Athènes Konstantinos Moutzouris. L’Aube dorée occupe quant à elle la place de… la partie civile. Le monde à l’envers !

     

    Savvas Michael est poursuivi pour diffamation, incitation à la violence et trouble de la paix civile, suite à une plainte de l’Aube dorée. Le parquet a retenu comme charges contre lui la diffamation (de l’Aube dorée désignée comme groupe «criminel» par un tract de l’EKK), l’incitation à la violence du fait de l’appel à lutter contre les nazis, et le trouble de la paix civile censément menacée par l’appel à manifester contre ces derniers, toujours dans le même tract. Ce n’est point un hasard si au même moment dans les médias de l’extrême droite Savvas Michael fait l’objet d’attaques nauséabondes et de propos ignominieux, notamment en sa qualité de juif et d’intellectuel marxiste. Car l’Aube dorée, selon ses habitudes, inverse les rôles et tente de se présenter en victime ; on ne s’étonnera pas de découvrir dans la blogosphère nazie que Savvas Michael est dénoncé comme «un agent de la conspiration juive mondiale contre la Nation grecque, pour provoquer une guerre civile et établir un régime judéo-bolchévique…» et que sa photo y est publiée, accompagnée d’un véritable appel au meurtre antisémite du genre «Écrasez la vermine juive»…

     

    Bref les néonazis grecs excellent dans un rôle conforme à la plus pure tradition national-socialiste. Mais que fait la justice ? Poursuit-elle les auteurs de ces propos ? Non seulement elle n’en fait rien, mais elle retient la plainte du parti néonazi contre le philosophe juif, de sorte qu’il se trouve actuellement poursuivi pour un tract politique contre les nazis tandis que ceux-ci continuent à agresser et poignarder des migrants, des homosexuels et des militants de gauche en toute impunité. L’appel à lutter contre le néonazisme deviendrait ainsi un délit passible des tribunaux.

     

    De son côté, Konstantinos Moutzouris est accusé d’avoir autorisé au média alternatif Athens Indymedia d’émettre depuis l’enceinte de l’École polytechnique, ce qui révèle à quel point la liberté d’expression est actuellement remise en question. Notons que deux procès déjà intentés contre lui pour des accusations afférentes avaient abouti à la relaxe.

     

    L’affaire remonte à mai 2009 lorsque des associations antiracistes et plusieurs organisations de gauche avaient appelé à manifester contre un rassemblement organisé par un comité de riverains infiltré par l’extrême droite. Une intervention policière musclée avait dispersé la contre-manifestation tandis que les membres de l’Aube dorée s’en prenaient violemment à un squat occupé par des migrants en faisant au moins cinq blessés, fait pour lequel aucun d’entre eux ne fut jamais inquiété. À l’époque l’Aube dorée avait déposé plainte contre toutes les organisations ayant appelé à manifester le 9 mai, mais celle-ci est restée aux oubliettes jusqu’à novembre 2012, quand le procureur a décidé d’ordonner une information judiciaire. D’une longue liste des personnes mises en cause, seulement les deux prénommés ont été mis en accusation et renvoyés devant un tribunal. La visée antisémite ne fait pas de doute concernant Savvas Michael ; après tout la justice grecque dans sa plus haute instance avait estimé que le pamphlet antisémite et négationniste de Constantinos Plevris, où est affirmé que «juif et homme sont des notions contradictoires» exprimait une opinion scientifique sur un sujet qui prête à débat ! Quant aux plaignants et aux témoins à charge contre Plevris, ils se sont trouvés sur le banc des accusés pour… dénonciation mensongère et diffamation, et il a fallu plusieurs années de procédure pour qu’ils soient définitivement innocentés.

     

    Bref la pénalisation de la dénonciation de nazis risque de s’installer durablement dans les mœurs judiciaires grecques. Le procès du 3 septembre apporte une nouvelle confirmation de cette funeste tendance alors que la montée plus qu’alarmante de l’Aube dorée se poursuit inexorablement dans une société saccagée par les mesures dictées par la troïka et appliquées par un gouvernement à sa solde. Et le silence, sinon la complicité d’une Europe censée être construite sur le «Plus jamais ça ! » se fait de plus en plus assourdissante…

     

    Face à cette situation, nous appelons les citoyens européens à se mobiliser pour défendre le droit de lutter contre la montée du nazisme, un droit remis en question en la personne de Savvas Michael-Matsas, à qui nous tenons à exprimer notre entière solidarité, au même titre qu’à Konstantinos Moutzouris.

    CRIF

     

  • La Géorgie a érigé un nouveau monument à Staline

     

    En Géorgie, un monument à Staline a été inauguré dans la ville de Telavi ce dimanche.

    Selon un représentant de la Société internationale de Staline, ce monument a été fabriqué avec des dons recueillis. Dans une interview à l’agence EFE, il a déclaré que « personne ne peut interdire d’aimer Staline. Il est notre compatriote le plus célèbre. »

    Les autorités de la ville affirment que le monument a été installé sans autorisation, et n’excluent pas la possibilité qu’il soit démonté.

    En juillet dernier, le nouveau gouvernement géorgien a décidé de restaurer le monument à Staline à Gori, qui a été démonté en 2008. Le président géorgien Mikhaïl Saakashvili a critiqué cette décision, en qualifiant Staline d’« anti-Géorgien ».

     

    E&R

  • La poudrière - Par Bruno Gollnisch

     

    syrie

    La presse française n’est pas  tendre avec François Hollande qui en  vassal trop zélé a été « piégé » comme un débutant par le  patron de l’empire du bien, Barack Obama. Le président américain, dont l’entourage évoquait de possibles frappes militaires en Syrie dés le 29 août, a finalement  annoncé que sa décision  était suspendue à un vote  du Congrès. La rentrée des parlementaires américains est le 9 septembre. Selon « un haut responsable de la Maison Blanche» ont rapporté les agences de presse, M. Obama a lancé « une intense campagne de lobbying pour tenter de convaincre des parlementaires sceptiques (…). Le président Obama, le vice-président Joe Biden et le chef des services de la Maison Blanche ont tous les trois multiplié les appels téléphoniques à destination de membres de la Chambre des représentants et du Sénat ».  Bref  résume Philippe Waucampt  dans Le Républicain Lorrain, entre  «la défection des Britanniques » -les parlementaires  consultés par David  Cameron se sont prononcés contre une intervention militaire-   et le recul des Etats-Unis, François  Hollande  est désormais « dans le rôle du cocu magnifique ».

     Dans Les Echos,  Cécile Corduret constate elle aussi que le président de la République est le seul  sur la scène internationale  à  vouloir attaquer  au plus vite la Syrie. « Soucieux de sauver la face, l’exécutif maintient ses ambitions et refuse de demander un vote au Parlement, comme l’ont fait ses alliés », ce qui est  aussi « une position à contre-emploi ». Voter? «Je ne vois pas quel serait l’intérêt politique» affirme Elisabeth Guigou, présidente de la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale. A contrario,  le député  socialiste Patrick Menucci  réclame un vote. «On a tout intérêt à convaincre l’opinion publique que cette intervention doit se faire». «Chacun comprend qu’on ne peut pas intervenir en Syrie sans la participation des Etats-Unis» a-t-il précisé.

     Un avis largement partagé  au sein des dirigeants de l’UMP qui comme  Jean-François Copé souhaitent  aujourd’hui  un débat à l’assemblée et  qui  sont  comme leurs homologues socialistes  les  relais  serviles des vœux de Washington via l’Otan.

     Mais intervenir pour quoi faire et avec quelles justifications ?  Les informations présentées par les Etats-Unis et leurs alliés sur l’utilisation de gaz toxique   par le régime syrien dans la banlieue de Damas le 21 aout  sont plus que soumises à caution.

     La tradition de  mensonges,  de montages divers et variés utilisés  par l’administration américaine pour justifier ses interventions armées ne sont plus à démontrer.   On se souvient de Colin Powell à la tribune de l’ONU il y a dix ans  montrant une fiole censée prouver que l’Irak détenait des armes de destructions massive. Ce qui était un bidonnage complet pour justifier le renversement  du régime de Saddam Hussein qui a débouché sur le chaos sanglant  que l’on sait.

     Le chef de la diplomatie russe,  Sergueï Lavrov,  lors d’une allocution prononcée  devant l’Institut des relations internationales de Moscou a résumé le  sentiment d’une large partie  des opinions publiques, malgré l’intense propagande  menée contre le régime laïc syrien dans nos contrées.

     « On nous a montré quelques images où il n’y a rien de concret: ni cartes géographiques ni noms (…). Ce que nous ont montré par le passé et plus récemment nos partenaires américains, ainsi que les Britanniques et les Français ne nous convainc absolument pas », a ainsi  déclaré M. Lavrov.

     Membre de la  commission d’enquête internationale de l’ONU sur les violations des droits de l’homme en Syrie, la magistrate suisse Carla Del Ponte avait déclaré  en mai  dernier  que les milices hostiles au régime de Bachar el-Assad  « ont utilisé des armes chimiques, faisant usage de gaz sarin ». La semaine dernière Mme Del Ponte précisait aussi que « La commission d’experts (de l’Onu, NDLR)  n’a trouvé aucune preuve de l’usage d’armes chimiques par l’armée syrienne ».

     En France,  selon un sondage CSA pour Atlantico  seulement  45% des personnes interrogées  sont pour une intervention de l’Onu en Syrie. D’après  une enquête Ifop pour Le Figaro, ce pourcentage monte à   55%… mais 59% des sondés   sont  opposés  à une  intervention française.  Des résultats similaires se retrouvent dans les pays occidentaux : 58% des Allemands selon une  enquête de la télévision publique et 59% des Américains selon un sondage You Gov sont hostiles à une  intervention armée de leur pays

      Selon un  autre sondage réalisé les 29 et 30 aout  par l’institut BVA pour i  télé CQFD – Le Parisien  et Aujourd’hui en France , les Français seraient opposés à 64 %  à une participation de notre pays à une intervention militaire contre la Syrie. Plus précisément 37% des  personnes interrogées redoutent que cette intervention fasse tomber  la Syrie sous la coupe d’un régime islamiste, 35 % que cette attaque  embrase la région, 22%  qu’ elle ne change rien à la situation des habitants au quotidien. L’installation d’un régime fanatiquement anti-chrétien en Syrie, le massacre des minorités et la déstabilisation des pays limitrophes,   et notamment du Liban,  sont  en effet des menaces sérieuses et évidentes  comme l’a déjà  précisé Bruno Gollnisch.

     Le Premier secrétaire du PS, Harlem Désir, a choisi d’être invité sur le media communautaire  Radio J  pour cracher son mépris au visage des Français qui  doutent  de l’opportunité d’intervenir en Syrie. Comparant de facto  le régime laïc syrien au régime hitlérien. «  Je ne voudrais pas a-t-il déclaré  que les mêmes qui recevaient M. el-Assad un 14 juillet (c’était en  2008, NDLR) montrent aujourd’hui un esprit munichois face à ces atrocités ».

     Des propos dénoncés par Jean-Luc Mélenchon qui reprenant la balle au bond   a jugé  que « ces déclarations (de M. Désir)  sont une relativisation du nazisme qui est intolérable».

     La relativisation des crimes américains commis au nom des  droits de l’homme   et de la liberté l’ait tout autant,   alors même que nous avons sous les yeux, nous l’évoquions plus haut, les résultats  chaos dans lequel ils  ont plongé l’Irak en chassant du pouvoir le régime laïc de Saddam Hussein et du parti Baas

     Selon le dernier bilan  rendu public par la Mission d’assistance des Nations unies en Irak (UNAMI),  près de 5000 civils ont été tués, et 12 000 blessés depuis le début de l’année 2013 en Irak. Le mois  de  juillet a été  le plus sanglant  depuis 2008 avec officiellement 1057 morts.

     Un terrorisme qui prospère de plus belle  depuis le départ (inéluctable) des troupes américaines il ya dix-huit mois et qui  se nourrit aussi  des appels au  djihad lancés  en Syrie par les brigades internationalistes islamistes. En Irak aussi attentats, massacres, et enlèvements sont  revendiqués très majoritairement par   un groupe islamiste affilié à al-Qaïda.

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  • Le président israélien "certain" que les Etats-Unis vont frapper la Syrie 02/09/2013

      

    Le président israélien "certain" que les Etats-Unis vont frapper la Syrie



        Le président israélien Shimon Peres s'est déclaré lundi "certain" que les Etats-Unis allaient frapper la Syrie en réaction contre le recours présumé à des armes chimiques par le gouvernement syrien dans une attaque qui aurait fait plus de 1.300 morts.

    "Je suis sûr que le président (américain) n'a aucune tolérance vis-à-vis de l'attaque au gaz (sarin) et le meurtre de femmes et d'enfants", a déclaré M. Peres dans une interview accordée lundi matin à Army Radio.

    "Je n'ai aucun doute sur la position morale et opérationnelle du président Obama [...] Je suis sûr que les Etats-Unis y répondraient", a-t-il poursuivi.

    Le président israélien a également déclaré qu'il avait "confiance" en M. Obama sur "tout ce qui concerne Israël".

    Lundi, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a réitéré sa position selon laquelle l'Etat hébreu sait comment se défendre en cas de besoin, tout en exhortant les Israéliens à continuer de vaquer à leurs occupations quotidiennes.

    Dimanche, l'armée israélienne a été mise en état d'alerte à l'heure où une attaque américaine éventuelle contre la Syrie se profile à l'horizon.
     
    Alter Info
  • Allemagne. Accusé de racisme, Ferrero retire une publicité pour du chocolat blanc !

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    Censé surfer sur l'actualité des élections législatives, le spot TV affichait le slogan «L'Allemagne vote blanc»...

    C’est tellement gros qu’on a du mal à y croire. Le géant des confiseries Ferrero et l’agence de publicité mondialement reconnue M&C Saatchi viennent pourtant d’encaisser un échec publicitaire retentissant en Allemagne. Et une polémique pour le moins explosive.

    Pour le lancement permanent des «Ferrero Küsschen» («petits baisers») au chocolat blanc, des confiseries jusque-là distribuées occasionnellement en Allemagne, ils ont conçu un spot publicitaire sur le thème des élections législatives actuellement en préparation outre-Rhin.

     

               

     Le pitch: une boîte de chocolats géante qui harangue ses supporters sur un podium lors d’un meeting avec le slogan: «Nous voulons des Ferrero Küsschen blancs pour toujours». Et des militants arborant sur des banderoles les messages «Yes Weiss (blanc en allemand) Can», en référence au slogan de campagne de Barack Obama ou encore «Les noix blanches restent». Et en bouquet final, sur un poster géant: «L’Allemagne vote blanc».

    Excuses

    Des messages qui ont aussitôt enflammé les réseaux sociaux où les accusations de racisme ou de soutien au parti d’extrême droite anti-immigration NPD ont aussitôt fusé. Face à la polémique, le groupe Ferrero a décidé de retirer la publicité et s’est fendu d’un communiqué, rapporte Der Spiegel.

    «Il est important pour nous de souligner clairement que nous sommes strictement opposés à toute forme de xénophobie, extrémisme de droite ou de racisme», explique la marque. «Toutes nos déclarations concernaient exclusivement le chocolat blanc – et sans intention xénophobe», poursuivait-elle, ajoutant «regretter que sa publicité ait été mal comprise».

    Claire Planchard
     
    20minutes.fr
  • Rosh Hachana : Nouvel an juif (année 5774)

     

    par Jean, Nicole, 28 août 2013
     
     
     

    Rosh Hachana sera fêté cette année le jeudi 5 septembre et vendredi 6 septembre 2013 (mercredi soir et jeudi soir, car une journée juive commence après la tombée de la nuit).

    Rosh Hachana signifie littéralement la “tête de l’année”. On y fête le nouvel an, le jour du jugement et du shoffar (on souffle dans une corne de bélier). Les deux jours de Rosh Hashana sont chômés. Différents aliments sucrés sont consommés ces deux soirs pour espérer une douce nouvelle année. L’aliment le plus symbolique est la pomme dans le miel mais on mange aussi de la grenade, de la courge, des dattes, du nougat (mais tout cela dépend de son origine et ses habitudes).

    Et ne vous étonnez pas si vous voyez de nombreux juifs le long du canal ou de la Seine ayant l’air de vider leurs poches, le premier jour de Rosh Hachana il est coutume de jeter symboliquement ses péchés à l’eau et commencer la nouvelle année sur de nouvelles bases !

    Channa Tova (bonne année) 5774 à tous. En attendant Yom Kippour (le Grand Pardon) samedi 14 septembre 2013…


    En savoir plus sur http://www.evous.fr/Nouvel-an-juif-annee-5772-cette-semaine,1167993.html#1lMU5RfGTFHmOv4V.99

  • Rosh Hachana et Yom Kippour 5774 (2013)

    http://www.fr.chabad.org/library/article_cdo/aid/565037/jewish/Roch-Hachana-5774.htm

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Yom_Kippour

  • Feu vert d’Obama pour un gigantesque programme de modernisation de l’arsenal nucléaire

     

    Feu vert d'Obama pour un gigantesque programme de modernisation de l’arsenal nucléaire
     

     

    Le président Obama vient de donner son feu vert à un gigantesque programme militaire visant à augmenter les capacités d’armes nucléaires tactiques de l’Otan en Europe, dans le cadre du bouclier défensif de l’Alliance atlantique.

    Ce programme, financé à hauteur de 11 milliards de dollars (8,4 milliards d’euros), servira à moderniser l’arsenal nucléaire américain constitué de près de 200 têtes nucléaires présentes sur les six bases de l’Otan dans cinq pays européens (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Italie, Turquie).

    Une partie de ce budget est consacrée au développement d’une nouvelle arme nucléaire : la B-61-12. Elle est conçue pour s’attaquer aux bunkers dissimulant des armes nucléaires, chimiques ou biologiques, son coût est de 21,5 millions d’euros pièce. Considérée comme une arme tactique, elle n’est pas concernée par le traité de non-prolifération des armes nucléaires.

    Sources : NuclearWatch / Defensedaily / Sudinfo.be / Le Journal du Siècle

  • Poutine : Washington doit fournir la preuve de l'usage d'armes chimiques par la Syrie 31/08/2013



        Le président russe Vladimir Poutine a demandé samedi aux Etats-Unis de fournir la preuve que le régime syrien avait utilisé des armes chimiques.

    "Concernant la position de nos amis américains, qui affirment que les troupes gouvernementales (syriennes) ont utilisé (...) des armes chimiques et disent avoir des preuves, hé bien, qu'ils les montrent aux enquêteurs des Nations unies et au Conseil de sécurité", a-t-il dit à des journalistes. "S'ils ne le font pas, cela veut dire qu'il n'y en a pas", a-t-il ajouté.

    http://www.lorientlejour.com/article/830734/poutine-washington-doit-fournir-la-preuve-de-lusage-darmes-chimiques-par-la-syrie.html   

    ALTERINFO 

     

     

     

     
  • Paris: un jeune homme de 24 ans poignardé dans un bus, son pronostic vital engagé

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    Un homme de 24 ans a été poignardé dans un bus à dans la nuit de samedi à dimanche, vers 1h30 du matin. L’agression a eu lieu aux alentours de la Porte d’Orléans (XIVe), à bord du Noctilien de la ligne N21, qui assure le trajet entre Chilly-Mazarin (Essonne) et Châtelet, via le XIVe arrondissement.

     
     

    La victime a été très grièvement blessée, transportée à l’hôpital par le SAMU, avec un pronostic vital engagé. L’agresseur, lui, est en fuite. Les raisons de l'agression sont inconnues. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.

                                                     

    LeParisien.fr

  • Les États-Unis ont reçu des preuves de l'utilisation du gaz sarin en Syrie

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    Par La Voix de la Russie | Les États-Unis ont reçu des preuves de l'utilisation du gaz sarin dans la banlieue de Damas le 21 août dernier.

     C'est ce qu'a déclaré le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, dans une interview, accordée aux chaînes de télévision américaines. Selon Kerry, les résultats de l'analyse des échantillons de sang et de cheveux, recueillis sur le leu de l’attaque présumée, qui sont devenus disponibles pour les Américains, indiquent la présence du sarin.

     « Les tests, recueillis dans l'est de Damas, ont montré que les cheveux et le sang ont des résultats positifs sur les traces de gaz sarin », a indiqué Kerry.

     Le secrétaire a également exprimé sa confiance que le Congrès américain approuve la demande du président Barack Obama sur une intervention militaire dans le conflit syrien.
     http://french.ruvr.ru/news/2013_09_01/Les-Etats-Unis-ont-recu-des-preuves-de-lutilisation-du-gaz-sarin-en-Syrie-7037/

  • Syrie: l'axe antiguerre marque des points

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    Manifestation samedi à Los Angeles

     

     

    Conseillé par Moscou et Téhéran, Damas sort provisoirement conforté de son bras de fer avec Washington.

     Barack Obama, Bachar el-Assad a une nouvelle fois défié les États-Unis. «La Syrie est capable d'affronter n'importe quelle agression extérieure», a déclaré dimanche le raïs en recevant deux responsables iraniens à Damas. «Les grands perdants dans cette aventure seront les États-Unis et leurs agents dans la région, en premier lieu l'entité sioniste», a poursuivi Bachar el-Assad

    , renouant ainsi avec le vocabulaire belliqueux de son père Hafez el-Assad pour qualifier Israël.

    Interrogé par

    Le Figaro, son vice-ministre des Affaires étrangères Faysal Moqdad a taxé la France d'être «irresponsable», en soutenant une intervention armée contre la Syrie, accusée d'avoir utilisé des armes chimiques dans des attaques qui ont tué, selon Washington, plus de 1400 personnes le 21 août dans plusieurs endroits de la banlieue de Damas, bastions des insurgés. «Les responsables français ont trompé le peuple français en fabriquant des preuves», selon Moqdad.

    Après les tergiversations américaines, le régime syrien a remporté un succès, fût-il provisoire. D'autant que ses alliés ne lui font pas défaut. Téhéran a d'ores et déjà averti qu'une attaque américaine contre la Syrie embraserait le Moyen-Orient. Derrière la bravade, les États-Unis prennent la mise en garde au sérieux. Washington a dépêché la semaine dernière à Téhéran le sultan d'Oman Qaboos, qui a l'habitude de jouer les intermédiaires. Quelques jours auparavant, un haut responsable américain, Jeffrey Feltman, qui occupe le poste stratégique de responsable des affaires politiques auprès du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, était déjà en déplacement à Téhéran.

    Téhéran a d'ores et déjà averti qu'une attaque américaine contre la Syrie embraserait le Moyen-Orient

    «L'Iran observera l'ampleur d'éventuelles frappes américaines contre son allié syrien avant de réagir», souligne un analyste politique à Beyrouth. Téhéran, qui vient d'élire un nouveau président, Hassan Rohani, soucieux de rétablir le dialogue avec les États-Unis, est embarrassé par cette crise qui intervient moins d'un mois avant l'Assemblée générale de l'ONU. «Or Rohani comptait sur son déplacement à New York pour rencontrer des responsables américains», affirme à Téhéran un observateur local. «En privé, ajoute cette source, il dit même qu'il veut parler au chef du village», sous-entendu Barack Obama.

    Pour que New York ne soit pas un fiasco, encore faut-il contenir la crise. Pour cela, l'Iran compte sur l'appui de la Russie, autre alliée de la Syrie, qui va accueillir à partir de jeudi le G20. Vladimir Poutine, qui a qualifié de «non-sens» les accusations américaines contre Assad, veut mettre à profit le forum pour faciliter une issue négociée à la crise. Mais à ses conditions: c'est-à-dire sans demander à Assad de quitter le pouvoir au début d'une transition négociée à Damas.

    «Les Russes ont des preuves que les rebelles djihadistes ont eux aussi utilisé des armes chimiques à Khan al-Assal au printemps», affirme un diplomate européen. «Iront-ils jusqu'à les montrer?»

    Quoi qu'il en soit, ces derniers développements attestent d'une réelle cogestion du dossier entre Moscou, Damas et Téhéran. Des responsables sécuritaires iraniens occupent des postes stratégiques pour conseiller la direction syrienne. La Russie, de son côté, dépêche, le cas échéant, Mikhaïl Bogdanov, son vice-ministre des Affaires étrangères, auprès de Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, troisième pilier du triangle soutenant Damas.

    Selon nos informations, l'entrée en jeu du Hezbollah en juin au côté de l'armée syrienne pour reprendre la ville stratégique d'al-Qussayr aux rebelles avait été avalisée deux mois plus tôt par une rencontre secrète Bogdanov-Nasrallah. Et juste après la défaite des rebelles, les États-Unis ont demandé à Moscou de convaincre Assad de ne pas lancer un assaut contre Alep au nord. «Ce qui fut fait par Moscou et Bachar a écouté ses alliés russes», souligne un diplomate onusien.

     

    Le Figaro- 01/09/13

     

     

     

     

     

     
     

     

  • Hollande piégé par la reculade d'Obama

    Seul pays à vouloir participer directement aux frappes, la France est suspendue aux décisions de Washington.

     
     

    La semaine s'annonce extrêmement compliquée pour François Hollande. Parti sabre au clair pour frapper Bachar el-Assad sans délais, le chef de l'État est contraint de temporiser après la décision de Barack Obama, samedi, de consulter le Congrès, en congé jusqu'au 9 septembre.

    Sur le front intérieur, le président de la République doit faire face à la contestation croissante de l'opposition qui réclame un vote au Parlement - et pas seulement le simple débat prévu mardi. Jeudi et vendredi, au G20 de Saint-Pétersbourg, Hollande, devenu au débotté le meilleur allié de Washington, pourra difficilement échapper au vent polaire qui souffle entre Barack Obama et Vladimir Poutine. Entre-temps, jeudi à Vilnius, en Lituanie, Jean-Yves Le Drian fera face à ses homologues européens, confortés pour la plupart par le «no» britannique à l'intervention en Syrie. Bref, la passe est délicate pour le chef de l'État qui a revêtu une nouvelle fois l'uniforme. Presque un vrai moment de solitude.

    Son entourage le dit déterminé. Mais imaginons un instant le scénario qui verrait les parlementaires américains récuser une action de force contre Bachar: le général Hollande serait alors carrément lâché en rase campagne… D'autant qu'on est bien conscient à Paris, que plus on s'éloignera du 21 août, date des attaques chimiques près de Damas, plus la «sanction» risque d'être affaiblie dans ses effets politiques et militaires. Il lui faudra aussi préserver la cohésion au sein du «pack» gouvernemental. Pas évident, malgré les assurances officielles, compte tenu des différences de sensibilité.

    Tandem Fabius-Kerry

    À la différence du Mali, Laurent Fabius est monté au créneau le premier, dès le lendemain des bombardements, réclamant une action de force. En contact étroit avec John Kerry, le patron du Quai d'Orsay a brandi contre Bachar, sa bête noire, la force de ses «convictions» et d'une argumentation morale. «Il a été loin, parfois trop loin. Il se retrouve aujourd'hui en chaussettes», ironise le conseiller d'un ministre. Certes, devant les ambassadeurs, François Hollande, martial, a dégainé l'arme éthique et parlé de «punition», tout en évoquant la nécessité d'une réponse «appropriée».

    Du côté de la Défense, on se félicite d'avoir amené la riposte sur le terrain sécuritaire de la non-prolifération et des «preuves». Une compilation de documents réunis par les services secrets français sur l'arme chimique en Syrie va être déclassifiée aujourd'hui. «Les Français ne comprennent pas l'argument moral, la pierre angulaire, c'est le renseignement», souligne un conseiller du ministère de la Défense en se félicitant d'avoir perçu le même écho chez Barack Obama. «Cela n'élude pas la question: des frappes pour quoi faire?», analyse le député européen Arnaud Danjean, président de la sous-commission Sécurité et Défense du Parlement de Strasbourg, en doutant fortement de la capacité dissuasive ou préventive d'une action punitive ponctuelle «pour solde de tout compte». D'où l'hypothèse qu'il formule selon laquelle Obama l'indécis a pu jouer une carte tactique: crédibiliser au maximum la menace chimique pour exploiter la fenêtre diplomatique du G20.

    «Poutine, qui ne veut surtout pas être court-circuité par les Américains comme Eltsine l'avait été au Kosovo, pourrait bien ressortir l'idée d'une conférence internationale dont il faut se souvenir que ce sont les rebelles qui l'ont refusée», relève Arnaud Danjean. Une sortie par le haut qui serait aussi pour François Hollande la divine surprise…

     

    Le Figaro - 01/09/13

  • Marseille: coups de feu ce matin au centre ville, place de l'Opéra! Règlement de comptes à la kalachnikov...

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    http://www.laprovence.com/node/2511156

  • Les écrits antijuifs de Voltaire: un aspect inconnu du philosophe

    « Il est difficile à la fois de faire
    le panégyrique de Voltaire dans ses combats
    pour la liberté d’expression
    et d’approuver une répression qui,
    de nos jours,
    l’enverrait directement en Correctionnelle »

     

    Voltaire antijuif ? Cet aspect du philosophe est inconnu, non ?

    Disons plutôt qu’il est méconnu. Et qu’il n’est pas spécialement mis en lumière, d’autant que la plupart de ses éditions modernes pratiquent la coupure de convenance… Les censeurs ne manquent d’ailleurs pas de travail puisque les césures doivent être d’importance. Comme l’a relevé Léon Poliakov « au temps de la domination hitlérienne en Europe, un agrégé d’Histoire, Henri Labroue, n’eut pas de peine à composer un ouvrage de 250 pages à l’aide des écrits antijuifs de Voltaire. »

    Il est vrai qu’il est difficile à la fois de faire le panégyrique de Voltaire dans ses combats pour la liberté d’expression et d’approuver une répression qui, de nos jours, l’enverrait directement en Correctionnelle.

    L’article 11 de la fameuse « Déclaration des droits de l’Homme » énonce « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement » avant d’ajouter « sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi » !

    C’est donc l’énoncé d’un principe prétendument absolu qui devient tout relatif et finit par se dissoudre totalement dans « les cas déterminés par la Loi », cas qui ne cessent de se multiplier…

     

    Qui était Henri Labroue ?

    Henri Labroue est un ancien député radical, agrégé d’histoire et de géographie, docteur en lettres, avocat. À partir de fin 1942, il occupe à la Sorbonne la chaire d’Histoire du judaïsme créée par le Ministère à la demande de Darquier de Pellepoix. Cette activité d’enseignement lui vaudra d’être condamné en 1945 à 20 ans de réclusion sans doute dans le cadre d’un « cas déterminé par la loi » fut-elle rétroactive.

     

    Quel est l’intérêt de cet ouvrage ?

    Notons qu’il n’a connu jusqu’alors qu’une seule édition, celle de 1942, tirée à un faible nombre d’exemplaires et sur mauvais papier de guerre. L’autodestruction de ce papier et le pilon de la Libération rendent cette édition très difficile à trouver et l’initiative de Déterna remet en circulation un ouvrage quasi disparu.

    Il présente un double intérêt : d’abord de connaître ces textes de Voltaire et de mettre certains voltairiens devant leurs contradictions… Ensuite, comme le notait la critique parue dans La question juive en France et dans le Monde - « revue de l’Institut des Questions Juives » : « les nombreuses notes dont s’accompagne le texte des citations de Voltaire, (par) l’auteur, servi par sa profonde connaissance du judaïsme, fournit (…) une somme de renseignements qui équivaut à un véritable enseignement. »

    En effet, les notes de Labroue se référent à des nombreux auteurs, dont les textes sont parfois épars et souvent difficiles à trouver. C’est ce qui rend cet ouvrage doublement accablant.

     

    Voltaire antijuif d’HenriLabroue, éditions Déterna, collection « Documents pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 242 pages, 27 euros

     

    France Phi Diffusion

  • Soirée des veilleurs à Paris: plusieurs milliers de personnes à 23h 55 place de la Concorde - suite et vidéo

    D'après nos informations, il y aurait 500 membres des forces de l'ordre (policiers et gendarmes) mobilisés ce soir...

    A ceux qui sont bloqués sur place, rappelez aux gradés des forces de l'ordre que selon l'article 431-9, la participation à une manifestation non déclarée n'est pas une infraction. Et surtout, que selon l'article 432-4, les forces de l'ordre ne peuvent pas attenter à votre liberté individuelle, notamment de circulation. Vous devez donc pouvoir sortir du cercle. Sinon, filmez les indicatifs des gradés, ou à défaut, leurs visages (ceux qui ont des feuilles de chêne sont les commissaires). Ils risquent 7 ans de prison.

    Même des touristes sont parqués :

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    Le panier :

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    Une personne à terre devant la police politique :

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    161000 veilleurs sont rassemblés devant le jardin des Tuileries, côté Concorde. Il est possible de rejoindre la veillée via les Tuileries.

    La présidente de LMPT Ludovine de la Rochère est encerclée par les CRS à la Concorde.

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    Voilà ce qui fait trembler la fine équipe autour de Manuel Gaz :

     

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    TF1 a parlé d'une centaine de veilleurs, l'AFP de 200... désinformation!

    21Ludovine de La Rochère :

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    25On compte ce soir environ 15% de personnes qui n'ont jamais participé à ce type de veillée.

    Après Gaultier, veilleur-marcheur depuis le début, Axel entame un discours sur les veilleurs :

    "Ce n'est pas le nombre de veilleurs qui compte. C'est l'événement vécu par ceux présents. Les veilleurs sont un réseau de citoyens qui se réunissent librement e spontanément. Les veilleurs sont un lieu où je prends conscience de la nécessité de me former pour changer la société. Dans la culture il y a toujours de la spiritualité et de la politique mais librement. Cela n'engage pas les autres."

    Concorde, Cette place Louis XV chargée d'histoire, qui a vu le sang couler, est ce soir apaisée :

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     Ce sont plusieurs milliers de personnes réunies pour veiller sur la société française en décadence.

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    A noter que les citoyens pourront signaler à partir de lundi tout abus de la police à l'Inspection générale de police nationale (IGPN) depuis une plateforme en ligne.

    La marée humaine :

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    Les veilleurs debout sont là aussi !

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    A propos de veilleurs debout, l'un des initiateurs annonce que pour éviter la confusion avec les veilleurs assis, ils s'appelleront désormais les sentinelles.

    Axel, toujours fidèle au post :

    A

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    C
    Ludovine de La Rochère intervient devant les veilleurs :

    "Vous faites partie d'un mouvement qui marquera l'histoire politique par sa ténacité et sa solidité. Le concept de genre est le fondement de la loi Taubira et de ses conséquences. Les rôles de père et de mère sont interchangeables, l'altérité sexuelle est sans impact et sans conséquences. Le projet est de construire une éducation d'Etat qui se substitue à l'éducation familiale. Si nous voulons éviter à notre société sa marche vers le 'Meilleur des Mondes' il faut combattre cette idéologie. L'enjeu du genre concerne tous les Français, par leurs enfants." "Des comités de vigilance sur le gender seront constitués avec des parents, des directeurs, des professeurs."

    L
    Michel Janva

     Pour voir les photos dans leur intégralité:  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/