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  • Arthur contraint d'annuler son spectacle

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    Arthur le 23 juin 2008 à Jérusalem

    L'animateur, producteur et comédien Arthur a annulé un spectacle vendredi après que des manifestants réclamant l'arrêt des bombardements à Gaza ont empêché les spectateurs de rentrer dans la salle où il devait jouer "I-Show" à Vals-les-Bains (Ardèche), a-t-on appris auprès de la préfecture.

     

    A l'issue d'une manifestation hebdomadaire pro-palestinienne à Aubenas, plusieurs dizaines de manifestants se sont rendus dans le hall desservant le casino et le théâtre. Ils y ont déployé une banderole réclamant l'arrêt des bombardements à Gaza, et empêché les spectateurs de rentrer dans la salle pendant plus d'une heure, avant de quitter les lieux dans le calme, selon la même source.

    Les manifestants ont accusé Arthur de financer l'Etat israélien, selon des témoins de la scène.

    A l'issue de la manifestation, l'humoriste a déclaré aux spectateurs qu'il n'avait "plus le coeur à rire" après ce qu'il avait entendu, et il a annulé son spectacle, un one-man show consacré aux nouvelles technologies. AFP. 17.01.09

    Arthur, de son vrai nom Jacques Essebag, est un animateur, producteur et comédien français, d'origine juive marocaine, né le 10 mars 1966 à Casablanca. Il est arrivé en France en 1967, à la suite de la Guerre des Six jours en Israël (une partie de sa famille vit dans l'Etat hébreu). Il a subi plusieurs interventions de chirurgie esthétique.

    C'est un ami de Sarközy dont il a soutenu la campagne présidentielle.

     

     

  • Israël annonce un cessez-le-feu unilatéral, mais continue à bombarder Gaza

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    L'école de l'ONU bombardée à Beit Layia - samedi 17 janvier 2009 - C'est la 4ème école de l'ONU ciblée par Israël... 
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    De quoi se réjouissent-elles, ces criminelles?  (Washington le 16 janvier 2009)
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    Bombardement d'une école gérée par l'ONU à Beit Layia - nord de Gaza - samedi 17 janvier 2009
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

    Israël a continué à bombarder Gaza samedi 17 janvier peu avant d'annoncer un cessez-le-feu unilatéral dans sa guerre contre le Hamas qui a menacé de poursuivre les combats tant que l'armée y resterait positionnée.

    Le cabinet de sécurité israélien devait se réunir vers 17H30 GMT pour voter une décision de cessez-le-feu unilatéral après 22 jours d'opérations militaires.

    Dans la foulée, le Premier ministre Ehud Olmert et son ministre de la Guerre Ehud Barak devaient donner une conférence de presse.

    "Après trois semaines de l'opération "Plomb durci", nous sommes très proches des objectifs et de la consolidation des acquis par des accords diplomatiques", a indiqué M. Barak.

    Israël a décidé de cesser son offensive, la plus vaste et meurtrière campagne militaire israélienne jamais lancée à Gaza, après avoir reçu des assurances américaines sur un "arrêt de la contrebande d'armes vers le territoire palestinien", selon un responsable gouvernemental.

    La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice a signé avec son homologue israélienne Tzipi Livni un accord bilatéral à cette fin mais leur homologue égyptien Ahmed Aboul Gheit, dont le pays a une frontière avec le territoire palestinien, a affirmé que son pays n'était pas "lié" par cet accord.

    Le président égyptien Hosni Moubarak a appelé Israël à cesser les combats "immédiatement" et "sans conditions", et à retirer ses troupes de la bande de Gaza.

    L'Egypte a par ailleurs invité des chefs d'Etat et de gouvernement, en particulier d'Europe, ainsi que le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon à un sommet sur Gaza dimanche à Charm el-Cheikh (Sinaï), ont déclaré samedi à l'AFP des diplomates au Caire.

    M. Olmert et le président palestinien Mahmoud Abbas n'y ont pas été conviés.

    Le président Moubarak a en outre fait valoir que l'Egypte travaillait à sécuriser sa frontière avec la bande de Gaza et "n'acceptera jamais" de présence étrangère sur son territoire.

    En Israël, "le cabinet de sécurité doit voter en faveur d'un cessez-le-feu unilatéral après la signature d'un accord à Washington et des progrès significatifs réalisés au Caire", a indiqué un responsable gouvernemental.

    "Les forces israéliennes resteront à Gaza après" le cessez-le-feu, a-t-il souligné, précisant qu'Israël se réservait le droit de riposter à toute attaque du Hamas.

    "Tant que l'armée israélienne restera à Gaza, la résistance et la confrontation se poursuivront", a averti Oussama Hamdane, un chef du Hamas basé à Beyrouth.

    Depuis le début du conflit le 27 décembre, l'Egypte a mené une médiation pour tenter d'obtenir un cessez-le-feu négocié entre Israël et le Hamas qui contrôle la bande de Gaza.

    Une délégation du Hamas se trouvait samedi au Caire pour continuer les négociations avec les responsables égyptiens mais M. Hamdane a prévenu à l'avance qu'elle n'allait pas "rediscuter tout à partir de zéro".

    Les chefs du Hamas en exil exigent un cessez-le-feu de la part d'Israël, mais aussi le retrait des troupes israéliennes, la levée du blocus et l'ouverture des points de passage du territoire.

    L'un des principaux objectifs affichés d'Israël pendant ses opérations a été de tenter de couper, en les bombardant, les tunnels de ravitaillement du Hamas "pour faire entrer des armes et des roquettes de moyenne portée".

    Selon un porte-parole militaire, l'armée de l'air a bombardé samedi quelque 70 "tunnels de contrebande" entre l'Egypte et la bande de Gaza.

    Dans une lettre commune envoyée aux dirigeants israélien et égyptien, l'Allemagne, la France et le Royaume-Uni se sont dits prêts à contribuer à la lutte contre "la contrebande d'armes vers Gaza"...

    Sur le terrain, les attaques israéliennes se sont poursuivies "de manière sporadique" faisant une dizaine de morts, dont une femme et un enfant tués dans un bombardement alors qu'ils étaient réfugiés dans une école de l'ONU à Beit Lahya (nord), selon des sources médicales et des témoins.

    "Cela illustre à nouveau la tragédie de Gaza. Il n'y a aucun lieu sûr et même une installation des Nations unies n'y est pas en sécurité", a déclaré Christopher Gunness, porte-parole de l'Unrwa, l'agence de l'ONU pour l'aide aux Palestiniens. "A Gaza, il n'y a nulle part où fuir".

    Interrogé par l'AFP, un porte-parole militaire n'a pas été en mesure de commenter cette attaque contre une école de l'ONU, la quatrième depuis le déclenchement du conflit.

    Avant l'aube, une petite fille de deux ans a été tuée par un obus à Beit Hanoun (nord), et trois Palestiniens ont été tués par un obus de char à Karama, dans le même secteur, selon des sources médicales.

    Toujours dans le nord, quatre parachutistes israéliens ont été grièvement blessés par un tir de mortier, selon une source militaire.

    Par ailleurs, des Palestiniens ont tiré onze roquettes et quatre obus de mortiers en direction d'Israël, sans faire de blessé, selon une source policière israélienne.

    En trois semaines d'offensive, au moins 1.203 Palestiniens ont été tués, dont 410 enfants et 108 femmes, et plus de 5.300 blessés, selon les services d'urgence de Gaza. D'après le Centre palestinien des droits de l'Homme à Gaza, 65% des morts sont des civils.

    Côté israélien, 10 militaires et trois civils ont péri durant la même période.

    Selon le Bureau central palestinien des statistiques, le coût des destructions des infrastructures lors de l'offensive israélienne s'élèverait  à 476 millions de dollars.

    AFP. 17. 01.09

  • VIDEO: Disparition d'Estelle - une photo troublante sur un site en Estonie

    http://www.dailymotion.com/video/x823iu_lenquete-relance-pour-estelle-mouzi_news

  • Elles signent la mise à mort de la Palestine

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    Jeune femme et enfants parmi les ruines de Rafah: une immense tragédie, une immense honte pour l'Occident qui a laissé faire...
    Livni Tzipi et Rice à Washington.jpg
    Tzipi Livni et Condoleezza Rice: deux reptiles parfaitement d'accord

  • Amerrissage forcé dans l'Hudson: des oiseaux seraient entrés en collision avec les réacteurs de l'appareil

    Airbus A320 crash dans l'Hudson.jpg

    L'avionneur européen Airbus a décidé d'envoyer ses enquêteurs à New York pour tenter d'élucider les origines de l'accident d'un A320 qui s'est abîmé jeudi dans l'Hudson, se refusant toutefois pour l'instant à une "quelconque spéculation sur les causes de l'accident".

    La compagnie aérienne va dépêcher sur place une de ses équipes techniques de spécialistes ("Go-team of flight safety investigators") chargée d'apporter son assistance aux enquêteurs américains, ainsi que des membres de son Bureau Enquête et Accident, précise le communiqué.

    "L'enquête relève de l'entière responsabilité des autorités compétentes et il serait inapproprié pour Airbus d'entrer dans une quelconque forme de spéculation sur les causes de l'accident" à l'heure actuelle, est-il ajouté.

    Airbus précise par ailleurs que l'avion impliqué dans l'accident était enregistré sous le numéro N106US (numéro de série du fabricant 1044) et avait été livré à US Airways le 2 août 1999. Un Airbus A320 de la compagnie aérienne US Airways avec 155 personnes à bord s'est abîmé jeudi peu après son décollage de l'aéroport La Guardia à destination de Charlotte (Caroline du Nord) dans le fleuve Hudson à New York. Tous les occupants de l'avion ont survécu au crash et ont pu être évacués à la suite d'un spectaculaire sauvetage par bateaux et hélicoptères.

    Les télévisions américaines ont diffusé des images spectaculaires des passagers attendant sur l'aile de l'appareil d'embarquer à bord de bateaux venus à leur secours. Le visage marqué, une femme munie d'un gilet de sauvetage jaune montait dans un des bateaux, cheveux et vêtements dégoulinant d'eau. Jeudi, la température de l'air était de -7 degrés et celle de l'eau, de seulement 6 degrés.

    L'accident s'est produit à 15h03 locales (20h03 GMT), peu après le décollage de l'avion de l'aéroport new-yorkais de LaGuardia. Les passagers ont été transportés par bateaux sur les quais de New York, où fourmillaient pompiers, policiers et journalistes. "Nous ne pensons pas qu'il y ait aucun blessé grave. Quelques personnes ont été emmenées à l'hôpital. Ils sont dans un état stable", a indiqué le maire de New York Michael Bloomberg lors d'une conférence de presse.

    Airbus dans la brume glacée 15 janv 09.jpg

    A la tombée de la nuit, l'avion avait été remorqué jusqu'à un quai de l'Hudson et arrimé par des câbles. L'image de l'Airbus dans le fleuve, au pied des gratte-ciels illuminés de l'ouest de Manhattan, offrait une vision saisissante.

    Selon l'Administration de l'avion civile américaine (FAA), l'accident a sans doute été provoqué par une collision avec des oiseaux. La FAA a indiqué que des enquêteurs allaient se rendre sur place pour tenter de comprendre le déroulement des faits. Et d'expliquer comment le pilote avait réussi à maîtriser l'avion en détresse, parvenant à se frayer un chemin dans le ciel de New York, pour descendre jusqu'au fleuve et éviter une catastrophe en pleine ville.

    La photo du pilote, Chesley Sullenberger, âgé de 57 ans, était diffusée en boucle sur les chaînes de télévision américaines, et le maire de New York a salué son héroïsme et son professionnalisme.

    "On dirait que le pilote a effectué un coup de maître en posant l'avion sur le fleuve, et en s'assurant ensuite que tout le monde était sorti", a-t-il affirmé. "J'ai parlé longuement avec le pilote. Il a parcouru l'avion à deux reprises après que tout le monde était sorti. Il a vérifié que personne ne restait à bord", a ajouté M. Bloomberg. Selon le New York Daily News, qui titrait "Le héros de l'Hudson" sur son site internet, l'homme est un vétéran de l'US Air Force.

    Un témoin de l'accident a raconté sur CNN que l'avion avait effectué une descente très progressive avant de toucher le fleuve, laissant penser que le pilote était effectivement parvenu à maîtriser l'appareil jusqu'au bout. "Je l'ai vu toucher l'eau. Cela a fait une grande gerbe d'eau", a-t-il dit, précisant que la descente de l'avion avait été très graduelle", a expliqué ce témoin, Ben Vonklemperer.

    Revenant sur le récit de l'accident, l'un des passagers, Alberto Panero, a déclaré sur CNN avoir entendu un "bang" juste après le décollage de l'appareil. "Soudain, le pilote a dit "préparez-vous au choc" et c'est là que nous avons compris qu'on allait toucher l'eau", a-t-il dit.

  • Le culot de Sarközy et la grande émotion du rabbi

    Pendant quelques heures hier à Orléans (Loiret), Nicolas Sarközy a revêtu un uniforme qu’il a longtemps porté : celui de premier flic de France. Pour ses voeux « aux acteurs de la sécurité », le président était accompagné de ses ministres Michèle Alliot-Marie (Intérieur) et Rachida Dati (Justice) et de tout ce que la police et la gendarmerie comptent de chefs.

     
     
    Video : L'émotion à la synagogue de Saint-Denis
     

    Il a montré qu’il n’avait abandonné aucun de ses principes, surtout lorsqu’il s’agit de rebondir sur un sujet d’actualité brûlant : « Il n’y a pas de place dans la République française pour les antisémites et les islamophobes. Pour ceux qui ne le comprendraient pas, ce sera tolérance zéro », a lancé le chef de l’Etat, reprenant une expression qu’il avait inventée lors de son passage au ministère de l’Intérieur. « Quant à ceux qui ne seraient pas français et qui voudraient contester ces règles, personne ne les retient, a-t-il prévenu. La France est un pays ouvert, qui s’honore d’accueillir sur son territoire des personnes qui amènent beaucoup et depuis des générations, mais nous n’avons pas l’intention de changer notre modèle républicain. »


    Ce discours très ferme sur l’importation du conflit israélo-palestinien en France, Nicolas Sarközy l’a maintenu sur bien d’autres sujets. Du développement de la vidéosurveillance, où il faut aller selon lui « beaucoup plus loin », à la lutte contre l’immigration clandestine : « Quand on est laxiste, on favorise les trafiquants. » Il n’oublie pas d’égratigner la gauche : « Je ne veux être méchant avec personne, mais il faut se souvenir des chiffres de la délinquance entre 1997 et 2002. »

    Dans la foulée, il a souligné une nouvelle année de baisse pour la délinquance en 2008 avec un recul de 1 % pour la criminalité générale et de 6 % pour la délinquance de proximité. « Depuis sept ans, on s’occupe de la sécurité des Français », a lancé fièrement Sarközy.

  • VIDEO "Le Prisonnier" est libre: Patrick McGoohan est mort

    http://fr.youtube.com/watch?v=blUAdnfEGs0

    "Je ne suis pas un numéro. Je suis un homme libre" n'est plus. Patrick McGoohan, auteur de ces deux répliques cultes dans la série Le Prisonnier est décédé mardi à son domicile de Los Angeles. Le plus célèbre des numéros 6, "était dynamique, pas encore juste bon pour la retraite. Il est resté occupé jusqu'au bout et avait récemment accepté deux nouvelles propositions de rôles au cinéma, mais est décédé après une brève maladie", a déclaré son agent Sharif Ali.

    Patrick McGoohan est né à New York en 1928. Il passe toute sa jeunesse en Irlande et en Angleterre. À l'âge de 16 ans, il quitte l'école et part vivre de petits boulots. D'abord employé de ferme, puis de banque, il devient ensuite technicien au Sheffield Repertory Theatre. C'est là qu'il fera ses premiers pas sur les planches. En 1955, Orson Welles repère rapidement son talent et qualifie sa présence d'"intimidante". Patrick McGoohan a le regard dur. En 1960, son talent d'acteur et ses facilités pour la boxe lui ouvrent les portes de la télévision britannique. Il obtient alors le rôle principal dans la série Secret Agent et incarne un agent secret avec pour seuls gadgets, son cerveau et sa force. Après avoir refusé de jouer le rôle de James Bond dans Docteur No , l'acteur se lance dans la rédaction du scénario de la série Le Prisonnier .

    Son rôle dans les 17 épisodes de la série était son bébé.

    Démissionnaire des services secrets britanniques, "Pat" se fait asphyxier dans sa maison pour une raison inconnue. À son réveil, Patrick McGohann ouvre les yeux dans un monde clos. Il devient alors Numéro 6 dans un "village" où tout semble beau et accueillant. Rapidement, Patrick McGoohan réalise le sinistre sort qui lui est réservé. Les habitants sont ici pour voir leurs connaissances extraites de leurs cerveaux. Chacun se voit assigner un numéro à la place d'un nom. Le chef des interrogatoires s'appelle Numéro 2. Le boss qu'il ne verra jamais est Numéro 1. Plus que tout, Patrick McGoohan veut s'échapper de ce monde à l'atmosphère flippante. C'est sans compter sur la Boule, toujours là pour réprimer les tentatives d'évasion. Après avoir été évoquée plusieurs fois, l'adaptation de cette série au cinéma est toujours d'actualité. Attendons les nouvelles de celui qui s'est emparé du projet, le célèbre réalisateur anglais Christopher Nolan.

    (Le Point - 16.01.09)

  • La mère d'Antoine en garde à vue pour conduite sans permis

    La mère d'Antoine est en garde à vue pour conduite sans permis.

    Alexandrine Brugerolle de Frayssinette a été contrôlée le 8 janvier au volant d'une Peugeot 106 blanche, sur l'autoroute A75, entre Issoire et Clermont, en compagnie d'un homme en état d'ébriété.

    Entendue par la brigade motorisée de la gendarmerie de Clermont-Ferrand
    vendredi après midi, elle a contesté les faits et été placée en garde à vue.

    "Elle-même n'avait pas un taux d'alcoolémie répréhensible" selon le procureur de Clermont-Ferrand Jean-Yves Coquillat .

    "Elle a assuré aux gendarmes qu'elle avait oublié son permis et leur a promis de l'apporter dès le lendemain", disait Jean-Yves Coquillat au Post jeudi.

    "Les gendarmes l'ont crue, et l'ont laissée partir" poursuivait-il jeudi.

    La jeune femme risque au maximum un an de prison et 15.000 euros d'amende, ainsi que la révocation de son sursis de 18 mois de prison pour une affaire de stupéfiants.

    Depuis le début de l'enquête sur la disparition de son fils, elle avait toujours affirmé qu'elle ne conduisait pas et n'avait donc pas pu transporter son enfant, selon le procureur de Clermont-Ferrand.

    Antoine, 6 ans, a disparu le 11 septembre 2008 du domicile de sa mère à Issoire, pendant que sa mère était sortie dîner avec son compagnon.

    Le Post - 16.01.09

  • VIDEO Témoignage du médecin français Régis Garrigue - Hôpital Al-Quds bombardé par les Israéliens

    http://www.dailymotion.com/video/x81q17_gaza-hopital-bombard-tmoignage-du-t_news

  • Enrico Macias interdit à l'ïle Maurice: qu'il aille chanter sur les ruines de Gaza!

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    Gaston Ghrenassia, né le 11 dé&cembre 1938 à Constantine (Algérie française)
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    Enrico Macias (g) le 4 janvier 2009 avec le grand-rabbin Bernhaïm (d)

    Les organisateurs d'un concert prévu en janvier à Maurice du chanteur franco/israélien Enrico Macias ont annoncé vendredi avoir annulé l'évènement en raison de la polémique provoquée dans l'île par la participation de l'artiste à un rassemblement de soutien à Israël.

      Interrogé par l'AFP à Paris, le producteur de l'artiste Charley Marouani "a regretté l'annulation de ce concert qu'en aucun cas Enrico Macias n'a souhaitée".

    "Enrico Macias a, au nom de la liberté d'expression, participé à un rassemblement pro-israélien à proximité de l'ambassade d'Israël (à Paris) le 4 janvier", a expliqué à l'AFP Me Askok Radakissoon, avocat de la société organisatrice du concert. "Cette initiative a été condamnée par des dirigeants politiques mauriciens".

    "La municipalité de Port-Louis a menacé de ne pas donner son autorisation pour l'organisation d'un tel concert dans sa ville. Tout cela a créé une situation qui rend impossible l'organisation du concert", a-t-il ajouté.

    Le 9 janvier, le gouvernement mauricien avait annoncé avoir suspendu les activités du consul honoraire d'Israël à Port-Louis en raison de "l'usage disproportionné de la force par Israël" à Gaza.

    La société organisatrice, Lab Entertainment, a indiqué dans un communiqué "se trouver dans une situation où la tenue de ce concert est sérieusement compromise voire impossible pour des raisons de sécurité, mais aussi pour éviter une situation qui pourrait ternir l'image de notre île".

    Le concert devait être organisé le 23 janvier à la Citadelle, ancien fort français construit sur un colline dominant Port-Louis, la capitale.

    AFP. 16.01.09 

  • Le génocide est-il en train de s'achever?

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    Bombardements aériens le 16 janvier 2009

    Les combats ont baissé d'intensité vendredi à Gaza au 21ème jour de l'offensive israélienne au moment où les tractations diplomatiques en vue d'une trêve se prolongeaient, Israël et le Hamas semblant camper sur leurs positions.

    A Washington, la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice a espéré un cessez-le-feu "très, très bientôt" sans pouvoir promettre qu'il interviendrait avant l'investiture du futur président américain Barack Obama mardi.

    En dépit de raids aériens sporadiques, dont le dernier a fait deux morts dans le centre de Gaza dans l'après-midi, les bombardements israéliens ont été "les moins nourris" depuis le début de l'offensive le 27 décembre.

    A Jabaliya, dans le nord de la bande de Gaza, une Palestinienne de 65 ans et ses deux petits-enfants âgés de 2 et 4 ans ont été tués par un obus de char israélien, selon des sources médicales. (ndb: Ce n'était pas des "terroristes" du Hamas!)

    Dans la matinée, les chars israéliens se sont retirés des quartiers dévastés la veille, où 23 corps ont été extraits des décombres, selon des sources médicales.

     Alors que les combats diminuaient en intensité, les efforts diplomatiques s'intensifiaient en vue de parvenir à un cessez-le-feu sous les auspices de l'Egypte, en dépit de l'intransigeance affichée par les belligérants.

    Le principal négociateur israélien, Amos Gilad, a quitté Le Caire vendredi après des discussions sur un plan égyptien pour un cessez-le-feu sans accord formel sur une trêve, a indiqué à l'AFP un diplomate proche des négociations.

    M. Gilad, conseiller du ministre de la Guerre Ehud Barak, s'est entretenu deux fois en 48 heures avec le chef des services secrets égyptiens, Omar Souleimane, homme-clé des contacts indirects entre Israël et le Hamas.

    D'après la même source, les Israéliens ont fait part au médiateur égyptien de leur refus d'une trêve d'un an, proposée par le numéro deux du bureau politique du Hamas Moussa Abou Marzouk.

    Des responsables israéliens ont précisé vendredi qu'Israël s'opposait à toute trêve assortie d'une limite de temps et exigeait la présence de forces de l'Autorité palestinienne, rivale du Hamas, au point de passage de Rafah avec l'Egypte.

    Le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal, a quant à lui affirmé que le Hamas n'accepterait pas les conditions d'Israël pour un cessez-le-feu à Gaza, à l'occasion à Doha d'une réunion arabe controversée consacrée à l'offensive israélienne.

    Il a de nouveau énuméré les exigences du Hamas, réclamant "l'arrêt de l'agression, le retrait israélien de Gaza, la levée du blocus et l'ouverture de tous les points de passages, notamment celui de Rafah".

    La réunion de Doha est boudée par l'Arabie saoudite et l'Egypte, les deux poids lourds du monde arabe, ainsi que par le président palestinien Mahmoud Abbas, illustrant les profondes divisions interarabes.

    Mais le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, dont le pays est un allié du Hamas, y participe et a réclamé que les dirigeants israéliens soient poursuivis devant la justice internationale pour leurs crimes à Gaza.

    Le président syrien Bachar al-Assad a appelé à Doha les pays arabes ayant des relations diplomatiques avec Israël à fermer leurs ambassades et rompre tout contact avec l'Etat hébreu.

    La Mauritanie et le Qatar ont décidé de suspendre leurs relations avec Israël.

    A Ramallah dans le cadre d'une tournée régionale, le patron de l'ONU Ban Ki-moon a dit espérer la conclusion d'un cessez-le-feu "dans les quelques prochains jours".

    M. Abbas a insisté en le recevant sur la nécessité d'une présence internationale "militaire" dans la bande de Gaza dans le cadre d'un éventuel cessez-le-feu dans le territoire, où il n'exerce aucun contrôle depuis en avoir été délogé par le Hamas en juin 2007...

    Treize roquettes tirées de la bande de Gaza sont tombées dans le sud d'Israël vendredi, faisant quatre blessés légers, selon les services de secours.

    La journée de jeudi avait été marquée par les bombardements les plus intenses depuis le début de l'offensive israélienne. Ils ont touché le complexe de l'Unrwa, l'agence d'aide de l'ONU aux réfugiés palestiniens, un hôpital et un immeuble abritant des médias internationaux.

    Au palmarès de Tsahal: en trois semaines d'offensive, au moins 1.145 Palestiniens ont été tués, dont 355 enfants et 100 femmes, et plus de 5.160 blessés, selon les services d'urgence de Gaza. Selon le Centre palestinien des droits de l'homme à Gaza, 65% des morts sont des civils.

    Côté israélien, 10 militaires et trois civils ont péri durant la même période.

    En Cisjordanie, un Palestinien de 15 ans, a été tué par l'armée israélienne à Hébron lors de heurts en marge d'une manifestation contre l'offensive à Gaza.

    Le Hamas avait appelé les Palestiniens à observer une "journée de la colère" vendredi et des manifestations ont eu lieu au Liban, Koweit, en Jordanie et en Irak notamment.

    Source: AFP.16.01.09

  • L'hôpital Al-Quds continue à brûler: un crime de guerre volontaire

    GAZA Hôpital en feu 16 janv.09.jpg
    Incendie de l'hôpital de Gaza après des tirs d'obus israéliens - 16 janvier 2009
    Deux cents personnes se trouvaient à l'intérieur: blessés, malades, enfants, personnel médical...
    Où tous ces pauvres gens chassés par les flammes ont-il pu trouver refuge?

  • A vomir: réseau international de pornographie infantile

    Sept hommes ont été déclarés coupables par un jury de Floride (sud-est) mercredi dans un vaste trafic international organisé de pornographie infantile, après six jours de procès, a annoncé jeudi le ministère américain de la Justice, dans un communiqué.

    La peine à laquelle ils seront condamnés sera prononcée le 14 avril. Chacun de ces hommes risque entre 20 ans et la prison à vie.

    "Il s'agissait d'un trafic organisé international à grande échelle qui utilisait des techniques de codage informatiques et de partage de fichiers sophistiqués", a déclaré Matthew Friedrich, procureur adjoint.

    Outre les Etats-Unis, ce réseau possédait des ramifications en Allemagne, au Royaume-Uni et en Australie.

    Quelque 50 témoins ont comparu et 500 pièces à conviction ont été présentés aux jurés pendant le procès, montrant la diffusion illégale "d'images et de vidéos de jeunes enfants et de tout petits, effectuant des actes sexuels et sadiques divers", a précisé le ministère.

    "Un agent de police australien qui a infiltré le réseau en août 2006 a témoigné que les membres du groupe utilisaient un système complexe de pseudonymes, de tests de filtrage pour les nouveaux membres et des méthodes d'encodage sophistiquées pour éviter d'être découverts", a-t-il encore précisé.

    Selon le policier australien, le réseau avait échangé 400.000 images et vidéos au moment où il a été démantelé.

    Sept autres personnes ont plaidé coupable dans la même affaire et doivent connaître leur peine le 19 mars.

    "Il s'agit vraiment d'un effort commun des forces de l'ordre américaines et d'autres pays", a estimé Thomas Kirwin, autre procureur adjoint qui a notamment félicité l'agent australien, le FBI et le parquet américain.

    L'enquête a été menée par l'unité "images innocentes" du FBI, la police du Queensland en Australie, avec l'aide de police criminelle allemande et du centre pour la protection de l'exploitation des enfants sur internet au Royaume Uni.

  • Enfer à l'hôpital al-Quds transformé en brasier géant

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    Situation le 15 janvier 2009
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    Saïd Siam, ministre de l'Intérieur de Gaza, tué le 15 janvier par un raid

    AFP. 16 janvier 2009. L'hôpital al-Quds de Gaza, touché par des obus israéliens, s'est transformé jeudi dans la soirée en un brasier géant.

    Dans la panique la plus totale, des centaines de patients et leurs familles tentent de fuir.

    Les flammes dévorant la bâtisse éclairent une partie du quartier d'habitude plongé dans l'obscurité faute d'électricté.
    Des parents évacuent des malades et des blessés encore allongés sur des lits roulants. Au moins trois bébés prématurés dans des couveuses sont poussés vers la rue pour échapper au brasier.

    Des médecins tentent de maintenir en vie un homme, qui était placé en réanimation, en appliquant une pompe à oxygène sur son visage.

    Autour d'eux, des débris incandescents s'écrasent sur le sol alors que des tirs et des bombardements israéliens retentissent dans la nuit.

    Peu après, le toit de l'hôpital s'effondre, projetant dans les airs des milliers de flammèches.

    "C'est horrible!", crie un homme de 42 ans, Mohammed Hosni, se couvrant la tête d'une écharpe. "J'ai peur pour ma famille", lance-t-il, accompagné de sa fille de sept ans et de sa femme, en pleurs.

    Tous trois étaient venus se réfugier à l'hôpital en début de journée, pour fuir les tirs des chars dans le quartier. Mais ils ont failli être piégés dans les flammes de plusieurs mètres de haut.

    "Où nous emmènent-ils, où on va maintenant? On va se faire tirer dessus", crie une vieille femme en s'agrippant à son fils. Les rues désertes sont survolées par des hélicoptères grondant dans la nuit.

    Selon le docteur Régis Garrigue, un urgentiste français et président de l'ONG Help Doctors, dont une mission se trouve à Gaza, au moins 200 personnes s'étaient réfugiées dans l'hôpital pour fuir les combats.

    Un incendie s'était déclaré tôt dans la matinée dans l'établissement, relevant du Croissant Rouge palestinien, et ses bureaux administratifs attenants après qu'ils eurent été touchés par des obus dans une attaque israélienne.

    L'incendie dans l'aile abritant les malades avait pu être circonscrit dans un premier temps, mais pas celui faisant rage dans le bâtiment administratif.

    Des responsables de l'établissement ont affirmé que l'incendie avait été provoqué par des obus au phosphore.

    "Les Israéliens bombardent et attaquent partout autour de l'hôpital. On ne peut pas sortir, il y a le feu, on est prisonnier à l'intérieur, l'eau a été coupée", affirme le Dr Garrigue.

    "A 22H00 (mercredi), on a commencé à avoir des bombardements excessivement violents tout autour de l'hôpital. Cela a été incessant, une pluie de bombes de 22H00 à 08H00 ou 09H00 du matin" jeudi, précise le médecin.

    "Ca se rapprochait vraiment très très fort et à, je crois, 10H45 locale, une bombe est tombée sur l'hôpital", a-t-il encore dit.

    "La pharmacie au 2ème étage où je me trouve s'est effondrée, ainsi que toute une aile d'un autre bâtiment, avec un mouvement de panique de gens qui étaient dans l'hôpital, notamment les malades, leurs familles, parce que le bâtiment a commencé à prendre feu. Là, je ne vous raconte pas l'horreur", a déclaré le médecin.

    Plus tôt dans la journée, l'hôpital avait été pris dans des combats violents. Des combattants du Hamas en treillis bleu et noir couraient dans une rue adjacente, en tirant des rafales à l'arme automatique.

    Bachar Mourad, un médecin, semble dépassé par les événements.

    "J'ai trois corps à 500 m d'ici mais je ne peux pas les ramener. J'ai aussi plusieurs blessés à un kilomètre d'ici, et je ne peux pas me déplacer sans autorisation", se lamente-t-il. Avant de tenter la moindre sortie, les ambulances doivent en effet attendre le feu vert de l'armée israélienne.

     

  • Les reptiliens

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    Entrepôts de l'UNRWA en feu - 15 janvier 2009
    Touchées par les obus, des dizaines de tonnes d'aide humanitaire, nourriture et médicaments, partent en fumée. Les pertes sont estimées à plusieurs millions de dollars.
    Ils brûlent l'aide humanitaire envoyée à Gaza par l'Occident

  • Des dizaines de tonnes d'aide alimentaire en feu...

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    Gaza - 15 janvier 2009

    Une épaisse colonne de fumée noire se dégageait en début d'après-midi des entrepôts de l'Unrwa dont le quartier de Rimal, où l'incendie a ravagé des dizaines de tonnes d'aide humanitaire et risquait de se propager dans les réservoirs de fioul. Les pertes sont estimées à des dizaines de millions de dollars.

    Ils brûlent les denrées alimentaires que l'Occident envoie à Gaza!

  • Bon appétit, Messieurs! Et Mesdames...

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    Ruy Blas, premier ministre du roi d’Espagne, surprend les conseillers du roi en train de se partager les richesses du royaume.

    RUY BLAS, survenant:

    Bon appétit, Messieurs!

    Tous se retournent. Silence de surprise et d'inquiétude. Ruy Blas se couvre, croise les bras, et poursuit en les regardant en face.

                        Ô ministres intègres !
    Conseillers vertueux ! Voilà votre façon
    De servir, serviteurs qui pillez la maison !
    Donc vous n'avez pas honte et vous choisissez l'heure,
    L'heure sombre où l'Espagne agonisante pleure !
    Donc vous n'avez ici pas d'autres intérêts
    Que remplir votre poche et vous enfuir après !
    Soyez flétris, devant votre pays qui tombe,
    Fossoyeurs qui venez le voler dans sa tombe !
    – Mais voyez, regardez, ayez quelque pudeur.
    L'Espagne et sa vertu, l'Espagne et sa grandeur,
    Tout s'en va. –

    Le gouvernement de François Fillon, remanié jeudi, compte 38 membres en incluant le Premier ministre et sera complété dans quelques jours, avec le remplacement de Nathalie Kosciusko-Morizet, ex-secrétaire d'Etat à l'Ecologie, désormais chargée de l'Economie numérique.

       - François Fillon, Premier ministre

    - Jean-Louis Borloo, ministre d'Etat, ministre de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire

    - Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales

    - Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères et européennes

    - Christine Lagarde, ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi

    - Brice Hortefeux, ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville

    - Rachida Dati, Garde des Sceaux, ministre de la Justice

    - Michel Barnier, ministre de l'Agriculture et la Pêche

    - Eric Besson, ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire

    - Xavier Darcos, ministre de l'Education nationale

    - Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche

    - Hervé Morin, ministre de la Défense

     - Patrick Devedjian, ministre auprès du Premier ministre, chargé de la mise en oeuvre du plan de relance

    - Roselyne Bachelot, ministre de la Santé et des Sports

    - Christine Boutin, ministre du Logement

    - Christine Albanel, ministre de la Culture et de la Communication

    - Eric Woerth, ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique

    - Martin Hirsch, Haut-Commissaire auprès du Premier ministre aux Solidarités actives contre la pauvreté, à la Jeunesse et à la Vie associative

    - Roger Karoutchi, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement

    - Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique

    - Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat auprès du ministre d'Etat, ministre de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, chargé des Transports

    - Christian Blanc, secrétaire d'Etat auprès du ministre d'Etat, ministre de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, chargé du Développement de la région capitale,

    - Hubert Falco, secrétaire d'Etat auprès du ministre d'Etat, ministre de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire, chargé de l'Aménagement du territoire

    - Alain Joyandet, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé de la Coopération et de la Francophonie

    - Yves Jégo, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'Intérieur, de l'Outre-mer et des Collectivités territoriales, chargé de l'Outre-Mer

    - Alain Marleix, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'Intérieur, de l'Outre-Mer et des Collectivités territoriales, chargé de l'Intérieur et des Collectivités territoriales

    - Rama Yade, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargée des Affaires étrangères et des Droits de l'Homme

    - Bruno Le Maire, secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et européennes, chargé des Affaires européennes

    - Anne-Marie Idrac, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, chargée du Commerce extérieur

    - Laurent Wauquiez, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, chargé de l'Emploi

    - Hervé Novelli, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et moyennes entreprises, du Tourisme et des Services

    - Luc Chatel, secrétaire d'Etat auprès de la ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, chargé de l'Industrie et de la Consommation. M. Chatel exerce en outre les fonctions de porte-parole du gouvernement

    - Nadine Morano, secrétaire d'Etat auprès du ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville, chargée de la Famille

    - Valérie Létard, secrétaire d'Etat auprès du ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille et de la Solidarité et de la Ville, chargée de la Solidarité

    - Fadela Amara, secrétaire d'Etat auprès du ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville, chargée de la Politique de la Ville

    - Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Défense, chargé de la Défense et des Anciens combattants

    - Bernard Laporte, secrétaire d'Etat chargé des Sports auprès de la ministre de la Santé et des Sports

    - André Santini, secrétaire d'Etat auprès du ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, chargé de la Fonction publique

  • Le tombeau d'Edgar Poe

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    Edgar Allan Poe (1809-1849)
    Tel qu'en Lui-même enfin l'éternité le change,
    Le Poète suscite avec un glaive nu
    Son siècle épouvanté de n'avoir pas connu
    Que la mort triomphait dans cette voix étrange !

    Eux, comme un vil sursaut d'hydre oyant jadis l'ange
    Donner un sens plus pur aux mots de la tribu,
    Proclamèrent très haut le sortilège bu
    Dans le flot sans honneur de quelque noir mélange.

    Du sol et de la nue hostiles, ô grief !
    Si notre idée avec ne sculpte un bas-relief
    Dont la tombe de Poe éblouissante s'orne,

    Calme bloc ici-bas chu d'un désastre obscur,
    Que ce granit du moins montre à jamais sa borne
    Aux noirs vols du Blasphème épars dans le futur.
    Stéphane Mallarmé

  • Parash Hill, la colline de la honte

    La colline de la honte

    Parash Hill (colline Parash), une réserve naturelle située dans le sud d'Israël, constitue un endroit idéal pour pique-niquer, entourée de champs verdoyants dans un environnement quasi désertique, et une vue plongeante jusqu'à la Méditérranée. Ces dernières semaines, c'est devenu le point de rendez vous incontournable pour une nation obscédée par les "glorieux" faits de guerre de son idole, l'armée. Parash est actuellement l'endroit de rassemblement des sionistes israéliens qui s'adonnent à l'une de leurs perversions préférées : celle de regarder la machine de guerre ultra moderne des soldats sionistes - massacrer des civils palestiniens par centaines.

    Ils s'y précipitent, équipés de jumelles, viennent en famille et prennent des photos. Ils justifient les massacres de centaines d'enfants en disant que de toute façon ils seraient devenus des "terroristes". Ils regardent avec une jubilation à peine contenue les massacres perpétrés par une armée super équipée qui, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, lance des attaques aériennes massives, des barrages d'artillerie par mer et terre, sur une population civile affamée, enfermée, qui n'a nulle part où aller.

    Cette obsession à contempler la violence s'est attirée les critiques de quelques rares compatriotes qui ont surnommé cette colline, la "colline de la honte". Mais la vaste majorité des sionistes israéliens approuvent ce nouveau genre de "tourisme de guerre". La barbarie sioniste est sans limite.


    Sur l'éternelle "victimisation" outil de propagande sioniste pour terroriser les Juifs et, en plus de les terroriser, culpabiliser les Non Juifs :

    " Quand donc le mandat de la victimisation expire-t-il ? Quand on en est arrivé à une telle situation, le génocide nazi des Juifs d'Europe cesse-t-il d'excuser l'Etat d'Israël pour ne pas respecter le Droit International et la simple humanité ?" Fintan O'Tool, Irish Times

    Sur la complicité des mass médias :

    " Mon moment préféré, c'est quand j'ai fait remarquer que les journalistes devraient être du côté de ceux qui souffrent. Si on faisait un reportage sur le commerce des esclaves au XVIIIème siècle, j'ai dit, nous ne donnerions pas le même temps de parole au capitaine du navire transportant les esclaves dans nos articles. Si nous couvrions la libération d'un camp de concentration nazi, nous ne donnerions pas le même temps de parole au porte parole des SS...." Robert Fisk correspondant du quotidien britannique "The Independent" au Moyen Orient, lors d'une conférence.

     Il s'est cependant ensuite bien vite défendu de vouloir faire la comparaison "Sionisme Nazisme". Son courage a des limites. Il a lui même été témoin au Liban de ce dont était capables les sionistes, notamment à Sabra et Chatila. Lors des massacres de Sabra et Chatila, ils avaient utilisé des "supplétifs" de la Phalange Chrétienne. A Gaza, ils ont décidé de faire le sale boulot eux mêmes grâce aux moyens high tech dont leur armée dispose. Trancher les gorges ou éventrer les femmes enceintes à la baillonnette ou au couteau, c'est répugnant, c'est plus propre de le faire avec des missiles DIME. A deux mètres les victimes sont littéralement coupées en deux, à dix mètres elles ont un membre sectionné.

     Enfin pour ceux qui exécutent leurs missions dissimulés lâchement dans le cockpit de leurs avions et qui resentent en larguant leurs missiles juste un petit "tressautement".

    ALTER INFO - 15 janvier 2009

  • A Gaza, on vit dans la peur permanente des bombes; même l'hôpital rempli de blessés est frappé par les missiles

    AFP


    Jeudi, aux petites heures du jour, des centaines de personnes, bébés ou enfants dans les bras, ont pris la fuite à l'approche de l'armée, pour se réfugier dans l'hôpital Al-Quds situé dans le quartier résidentiel de Tal al-Hawa.

    Une colonne de chars a pris position dans un parc public au coeur du quartier. D'autres sont aussi positionnés dans deux autres quartiers de Gaza, Al-Choujaïya et Zeitoun, où des combats font rage.

    A l'intérieur de l'hôpital, les mères tentent de consoler les petits qui hurlent de terreur, tentant à grand peine de les faire rire.
    "J'ai amené mes enfants à l'hôpital parce qu'ils avaient peur à la maison. Mais en fait, ici, c'est encore plus terrifiant", avoue Hussein, 40 ans, qui est arrivé là ce matin avec femme et enfants.

    "La maison voisine de la nôtre a été complètement détruite dans les combats. Alors nous avons dû partir. On ne va pas supporter cela longtemps. Voyez mes enfants. Ils tremblent", ajoute-t-il.

    Des dizaines d'autres civils affluent avec leurs bagages. Les médecins les accueillent tant bien que mal. Les infirmiers sont débordés. Tout le secteur a déjà été dévasté par plusieurs incursions israéliennes.

    Mais celle de ce matin est d'une plus grande ampleur. Les tanks israéliens s'enfoncent cette fois dans Gaza-ville, ratissant méthodiquement des quartiers entiers à la recherche de combattants du Hamas et contraignant les habitants à fuir leurs maisons. Soulevant une épaisse fumée noire, des dizaines de chars se ruent pour la première fois dans un des quartiers de Gaza-ville où de violents combats les opposent à des combattants palestiniens.

    Les blindés israéliens sont appuyés par l'aviation. Ils avancent dans un crissement de chenilles jusqu'au coeur de Tal Al-Hawa, dans le sud-ouest de la ville. Le claquement des obus qui s'abattent dans un fracas de métal et de pierrailles est assourdissant. Le ciel est déchiré par les tirs d'artillerie, les missiles lâchés par les hélicoptères et le survol des bombardiers F-16.

    La cacophonie atteint son paroxysme lorsque les tirs s'approchent de l'hôpital.

    Soudain, un obus frappe de plein fouet l'établissement. Les retombées sont brûlantes et âcres. La pharmacie de l'établissement est entièrement détruite.
     Des blessés sont déplacés vers des chambres qui ne sont pas endommagées.

    Le désordre est indescriptible. Des combattants du Hamas, en treillis bleu et noir courent dans une rue adjacente. L'un deux brandit un drapeau vert du mouvement islamiste. Ses camarades tirent des rafales à l'arme automatique, des fusils AK-47.
    Bachar Mourad, un médecin, semble dépassé par les évènements.

    "J'ai trois corps à 500 m d'ici mais je ne peux pas les ramener. J'ai aussi plusieurs blessés à un kilomètre d'ici, et je ne peux pas me déplacer sans autorisation", se lamente-t-il.

    En fait, les ambulances ne peuvent tenter la moindre sortie sans que la Croix Rouge n'en informe l'armée israélienne pour obtenir le feu-vert à un tel déplacement, dans certains secteurs.

    "J'ai du mal à rester coincé ici, alors que des gens sont en train de mourir. Mais je n'ai pas le choix", dit le Dr Mourad.


    ALTER INFO - jeudi 15 Janvier 2009