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  • Alassane Ouattara, le président choisi par l'hyper-classe

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    Dominique Ouattara

    Pour comprendre qui est un homme, il est souvent utile de s’intéresser à… sa femme. Nicolas Sarkozy en est un bon exemple. Alassane Ouattara aussi, et l’on comprend mieux, au pedigree de son épouse Dominique, pourquoi l’hyper-classe a choisi ce haut fonctionnaire du FMI comme président de la Côte d’Ivoire.

    Dans le quotidien belge Le Soir, Colette Braeckman nous explique qui est Dominique Ouattara.

    « Dominique Ouattara, née Novion voici 56 ans, soutient son mari (…). Alors qu’elle était encore Dominique Folloroux, épouse d’un Français, l’ambitieuse et ravissante jeune femme prit, en 1979, les rênes de la société immobilière Aici, gérant les propriétés immobilières du vieux président Houphouët-Boigny et de son collègue Omar Bongo du Gabon. Comment la présidente d’honneur de la Chambre syndicale des syndicats immobiliers de Côte d’Ivoire n’aurait-elle pas rencontré le jeune et brillant Premier ministre du « Vieux », Alassane Ouattara, chargé de remettre le pays sur la voie de la rigueur et de « faire atterrir » la dévaluation du CFA ?

    C’est à Neuilly, en 1990, que le maire de l’époque, un certain Nicolas Sarkozy, célèbre leur mariage et le couple aura deux enfants. Par la suite, Dominique Ouattara, qui est aussi très proche des milieux israéliens, progresse dans le monde des affaires : en 1996, la PDG du groupe Aici devient présidente de la société qui gère l’Institut Jacques Dessange, basé à Washington ; et deux ans plus tard, elle acquiert les franchises de « Jacques Dessange » aux Etats-Unis. Salons de coiffure, instituts de beauté, le groupe acquiert une envergure internationale.

    Villa à Neuilly et dans le Midi, relations dans la jet-set internationale, le couple Ouattara est riche, très riche, (…). Alors que Simone Gbagbo, élue du quartier populaire d’Abobo, se concentre sur l’action politique, Dominique Ouattara crée la fondation Children of Africa dont son amie, la princesse Ira de Fürstenberg, sera la marraine (…). Cette année, délaissant provisoirement ses affaires, Dominique, blonde et radieuse, a mené campagne aux côtés d’ADO : devenir Première dame est la dernière étoile qui manque au palmarès de celle qui comptait, en 2000 parmi les 40 femmes d’affaires les plus importantes du monde.« 

    Et encore Colette Braeckman ne nous dit pas tout. En effet, le bimestriel Flash, se fait l’écho d’autres détails dont la presse africaine fait ses choux gras en comparant Dominique Ouattara à Carla Bruni : « Née à Constantine, elle est arrivée en Côte d’Ivoire, à vingt ans, comme l’épouse d’un professeur du lycée technique d’Abidjan qui aurait pu sans mal être son père. Resta-t-il longtemps son mari ? On ne le sait pas exactement. Ce qu’on sait par contre, c’est qu’elle fut très vite soupçonnée d’être le « deuxième bureau » (terme par lequel on désigne la maîtresse en Afrique francophone) du ministre de l’enseignement Bamba Vamoussa, puis du gouverneur de la Banque central des États de l’Afrique de l’Ouest, Abdoulaye Fadiga. Tout ceci semble avoir facilité grandement son ascension sociale et, dès 1979, elle créa AICI, une société de gestion de biens, s’occupant, entre autre, du patrimoine immobilier du président ivoirien. Dans l’entourage d' Houphouët-Boigny, elle fit la connaissance d’Alassane Ouattara dont elle devint … la maîtresse, avant de l’épouser en octobre 1990. »

    Loïc Baudoin

    http://www.nationspresse.info/

    NPI - 27/12/10

  • Micro-trottoir aux Etats-Unis

    29/12/10

  • Soixante-quinze Haïtiens interpellés aux aéroports d'Orly et de Roissy

    Ils ont fui la misère, la maladie et l’instabilité politique de leur pays. Soixante-quinze Haïtiens ont été placés en zone d’attente aux aéroports d’Orly et de Roissy alors qu’ils tentaient d’entrer en France. Un premier groupe de 32 personnes est arrivé jeudi dernier à Orly en provenance de Port-au-Prince, un second composé de 43 personnes a atterri dimanche à Roissy.

      Les membres du groupe d’Orly, tous titulaires d’un visa pour le Bénin, ont été repérés par la police aux frontières alors qu’ils se dirigeaient vers la sortie de l’aéroport. « Il voulait juste fuir un peu, le temps que ça se calme avec les élections », justifie Betty Dormelus, 34 ans, dont le cousin a été arrêté à Orly. Certaines familles n’étaient même pas au courant de la venue de leurs proches. « Quand elle était dans l’avion, quelqu’un m’a appelé pour me dire d’aller la chercher à l’aéroport. Ce voyage, je ne sais pas comment elle l’a organisé », raconte André Vertil, 48 ans, de Bagneux (Hauts-de-Seine), dont la fille a perdu sa maison après le séisme et était persécutée pour avoir voté pour Mirlande Manigat, un des principaux opposants au régime en place.

    Parmi les Haïtiens arrivés à Orly, 16 ont été transférés à Roissy, la capacité d’accueil de la zone d’attente du premier étant atteinte. Ils ont été rejoints par les 43 personnes interpellées dimanche. Les dossiers ont été répartis entre les tribunaux de Créteil (Val-de-Marne) et de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Hier, le juge des libertés du tribunal de grande instance de Créteil s’est prononcé pour la libération de 14 des 16 ressortissants dont il est chargé d’examiner les dossiers, mais le parquet a fait appel de la décision. La cour d’appel de Paris devait se prononcer en urgence la nuit dernière sur la détention ou non des personnes avant l’examen de leur situation au cas par cas les jours prochains.

    Ces arrestations, qui interviennent alors qu’une centaine d’enfants haïtiens adoptés viennent d’être accueillis en France le 22 décembre, suscitent l’indignation de l’association Réseau éducation sans frontières (RESF) : « On ne peut pas d’un côté accueillir à renfort de trompettes des enfants haïtiens et d’un autre mettre les adultes en zone d’attente et les expulser dans la discrétion », estime Richard Moyon, porte-parole de RESF. Le tremblement de terre du 12 janvier a fait 230000 morts, 10% de la population vit sous des tentes et une épidémie de choléra à la mi-octobre est encore venue alourdir les difficultés de la perle des Antilles et de ses habitants.

    La majeure partie de ces Haïtiens, âgés de 22 à 32 ans, ont de la famille en France. Tous ont demandé l’asile politique. D’après RESF, ces Haïtiens fuient bien entendu la misère, mais aussi l’instabilité politique du pays : « Plusieurs personnes ont fait l’objet de menaces et de persécution, affirme Richard Moyon. Certaines d’entre elles ont des activités politiques ou sont impliquées dans des associations. »

    Le Parisien - 28/12/10

     

  • Chute mortelle d'une jeune femme percutée par un voleur dans le métro parisien

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    Métro: insécurité! - (Cliquez sur la photo)

    Une femme de 27 ans a fait une chute mortelle lundi à Paris après avoir été violemment percutée dans le métro par un présumé voleur en fuite, a-t-on appris mardi de source policière.

    Cette femme a résisté, s'accrochant à l'objet, a été projetée à terre sur le quai, sans être blessée, par le malfaiteur qui a pris la fuite.

    Dans les escaliers, cet homme a alors croisé une autre femme de 27 ans, domiciliée en région parisienne, dont l'identité n'a pas été révélée, qui s'apprêtait à prendre le métro.

    Il l'a poussée violemment car elle entravait sa fuite. La victime a dévalé cinq ou six marches, a expliqué la source, tombant tête la première en bas des escaliers.

    Elle a aussitôt été prise de convulsions. Prise en charge par le Samu afin de recevoir les premiers soins, elle a été admise dans un état comateux à l'hôpital, souffrant d'un grave traumatisme crânien, selon l'enquête.

    Elle est décédée dans la soirée des suites de ses blessures, selon la même source.

    Des caméras de vidéosurveillance ont enregistré la scène, selon cette source, mais les images seraient de piètre qualité.

    Il n'y a eu que peu ou pas de témoins directs, a ajouté la source précisant que l'agresseur présumé n'était pas masqué.

    Selon une autre source policière, ce genre de faits est assez rare mais il est en revanche assez fréquent que des personnes décèdent après une agression en tentant par exemple de résister à leurs agresseurs.

    AFP. 28/12/10

  • "Qu'il revienne! " : les parents de Stéphane Taponier sortent de leur silence

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    (Cliquez sur la photo)

    "Je voudrais bien que mon fils revienne! Alors on a décidé de parler": Arlette Taponier, la mère de Stéphane, journaliste retenu en otage en Afghanistan depuis bientôt un an avec son confrère Hervé Ghesquière, sort du silence avec son mari, pour faire pression.

    Q: La semaine passée, le Quai d'Orsay a annoncé avoir reçu une nouvelle vidéo avec votre fils. Vous l'avez déjà visionnée?

    Arlette Taponier: "Non, pas encore. Mais c'est nous qui n'avons pas voulu la voir. D'abord parce que je ne pense pas qu'il y ait grand'chose. Ensuite parce que notre venue à Paris ces jours-ci était déjà programmée. On me l'a juste fait écouter au téléphone, mais je n'ai pas compris grand'chose, le son était très mauvais. J'ai juste entendu que Stéphane avait sa voix des mauvais jours".

    Gérard Taponier: "Personne parmi les proches n'a encore vu cette vidéo. On nous a juste dit qu'ils étaient très amaigris. On doit la voir mardi au Quai d'Orsay".

    Q: Vous disposez d'informations sur les négociations?

    G.T.: "C'est très dur d'en avoir. Lorsque Bernard Kouchner (ex-ministre des Affaires étrangères) était allé à Kaboul, il ne nous avait même pas téléphoné au retour. On n'a rien su, c'est un peu aberrant. Alain Juppé (ministre de la Défense depuis la mi-novembre) a l'air d'être plus consciencieux".

    Q: Vous ne savez vraiment rien?

    G.T.: "Rien du tout. C'est la DGSE qui s'occupe de ça: c'est "motus et bouche cousue". Et quand on est reçu au Quai d'Orsay, c'est très vague. On dirait que nous sommes des numéros: pour eux, c'est une chose normale. Il y a une grande table, il y a quatre personnes devant nous... Mais nous, on n'a pas l'habitude".

    Q: Rien non plus sur leurs conditions de détention?

    G.T.: "Depuis le début, ils disent qu'ils sont vivants et en bonne santé. Pour le reste, on ne sait pas, tout est secret défense".

    Q: Vous aimeriez en savoir plus?

    G.T.: "S'ils nous disent de choses concrètes, volontiers. Mais si c'est pour nous dire qu'ils sont en bonne santé, ce n'est pas la peine..."

    Q: Fin septembre, le chef d'état-major des armées Edouard Guillaud avait évoqué un "espoir raisonnable" d'une libération avant Noël. La semaine passée, la ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie a parlé d'une libération "dans de très brefs délais". Ces propos rassurants n'ont pas encore été suivis d'effet.

    G.T. "On est un peu blasés. Et agacés aussi par toutes ces déclarations. On nous a tellement raconté d'histoires jusqu'à maintenant... M. Juppé (qui revient d'une visite en Afghanistan, NDLR) a dit qu'il était confiant, mais sans donner de dates. Il est optimiste, mais cela fait presque un an qu'ils sont otages".

    Q: Qu'est-ce qui est le plus dur dans cette situation?

    A.T.: "C'est l'attente. On espérait une libération en septembre, puis à Noël... C'est toujours reporté. Je préfèrerais qu'ils ne disent rien".

    G.T.: "Les ministres s'avancent un peu trop. Quand Alliot-Marie parle de "brefs délais", on se dit que c'est imminent; et puis Noël est déjà passé... On espère toujours une bonne nouvelle, mais ça fout le cafard".

    Q: Vous avez l'impression que le maximum a été fait depuis le début?

    G.T.: "Non. C'est parti doucement, doucement... Il a fallu quatre-cinq mois pour que cela commence à bouger".

    Q: C'est votre première interview?

    A.T.: "Ca fait un an, je voudrais bien que mon fils revienne! Alors on a décidé de parler".

    Q: Vous mettez ainsi la pression sur les gouvernements français et afghan?

    A.T.: "Je l'espère. C'est pour Stéphane et Hervé..."

    G.T.: "... et leurs trois accompagnateurs. Il ne faut pas les oublier. Le jour où ils seront libérés, que vont-ils devenir? Mais Nicolas Sarkozy nous a dit qu'ils pourraient obtenir l'asile en France".

    Q: Vous lisez beaucoup les journaux?

    A.T.: "Je suis obsédée par tout ce qui est écrit, j'achète tout, et je regarde tous les journaux télévisés. Mais c'est pénible en fin de compte, car cela me ressasse tout le temps la même chose".

    Q: Les déclarations polémiques du début, lorsqu'on a reproché aux journalistes leur imprudence et dénoncé les coûts de leur recherche, vous ont blessés?

    G.T.: "Il y a eu le (secrétaire général de l'Elysée) Claude Guéant, le général Jean-Louis Georgelin. Ce n'était pas très intelligent de leur part. Ca nous a fichu un sacré coup".

    A.T.: "Mais, il ne faut plus en parler maintenant. C'est fini".

    Q: Les nombreuses manifestations de soutien dans toute la France vous font tout de même chaud au coeur?

    G.T.: "Ca fait du bien, d'autant qu'il y a Florence Aubenas (marraine du Comité de soutien), une personne très sympathique, qui est passée par là et nous aide énormément. Chez nous, toutes les mairies alentour à notre petit village (Reillanne, Alpes-de-Haute-Provence) ont affiché le panneau (de soutien). Ils ont marché à fond tout de suite, sans qu'on leur demande".

    AFP. 28/12/10

  • Pour le plaisir

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    Souvenir de Mortefontaine - Jean-Baptiste COROT  (1864)

    (Cliquez sur le tableau pour l'agrandir)

  • Qui est-ce? 129

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  • Négationnisme des crimes du communisme: la Commission européenne se donne du temps...

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    1878-1953

     

     

    BRUXELLES (AFP)---Les conditions ne sont pas encore réunies dans l'UE pour instaurer une législation qui pénalise le négationnisme des crimes communistes comme c'est le cas pour l'Holocauste, selon un rapport mis en ligne vendredi sur un site de la Commission européenne.
       

    "La Commission estime, à ce stade, que les conditions ne sont pas remplies" pour légiférer sur le négationnisme des crimes attribués aux communistes, affirme le rapport transmis au Parlement européen et aux gouvernements des 27 Etats de l'UE.
       

    "Mais il faut garder la question à l'étude", ajoute le texte.
       

    "La Commission européenne est convaincue que l'UE a un rôle à jouer pour affronter l'héritage des crimes du totalitarisme", souligne encore le document rédigé par les services de la commissaire européenne chargée de la Justice, Viviane Reding.
       

    Mais le rapport souligne également les grandes disparités qui existent dans le droit des pays membres de l'UE pour juger les crimes du totalitarisme, y compris dans les pays qui en ont été victimes.  

    Néanmoins, "le souvenir des horreurs du passé doit être un effort partagé par tous dans l'UE. Il faut faire une réalité de l'expression "votre passé est notre passé", estime le rapport dans ses conclusions.  

    "Garder vivante la mémoire" des crimes commis en Europe par des régimes totalitaire est "un devoir collectif" et "un signe d'hommage et de respect" à l'égard des victimes.  

    Six pays autrefois communistes de l'UE avaient demandé récemment à Bruxelles de mettre en place une législation européenne qui pénaliserait le négationnisme des crimes communistes.
       

    "La justice devrait garantir par principe un traitement équitable des victimes de chaque régime totalitaire", ont écrit les ministres des Affaires étrangères de Bulgarie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Roumanie et République tchèque.  

    Dans leur lettre, adressée à Mme Reding, les ministres demandaient de pénaliser "l'approbation en public, la négation et la banalisation des crimes totalitaires", quel que soit le régime qui en fut responsable.  

    La négation des crimes commis par l'Allemagne nazie est interdite dans nombre de pays de l'UE.

    EJP. 27/12/10

     

  • 128: identifié!

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    128 - Sir Thomas Sean CONNERY -  Acteur écossais né en 1930 à Edimbourg 

    Un grand  BRAVO à Legouaziou et à Orion! 

    Merci à tous les participants!

    Le jeu continue!

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Sean_Connery

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  • Député dès 18 ans!

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    Maxime Verner - (Cliquez sur la photo)

    Maxime Verner, initiateur du projet de loi, salue le premier pas des parlementaires vers l'abaissement de l'âge de l'éligibilité de 23 à 18 ans.

    Pauline Machard

    C'est voté, du moins à l'Assemblée. Si le Sénat suit, on pourra être député dès 18 ans. L’article Ier du projet de loi organique relatif à l'élection des députés, qui concerne l'abaissement de l’âge de l'éligibilité de 23 à 18 ans pour les élections - à l'exception des sénatoriales -, a été adopté lundi soir à l'Assemblée nationale. Pour Maxime Verner, 21 ans, initiateur de ce projet et fondateur de l'association Candidat à 18 ans, c’est une grande avancée. Qui devrait permettre d’intéresser davantage les jeunes à la chose politique.

    Quel est votre sentiment après l’adoption de l’article Ier de cette loi organique par l’Assemblée nationale?

    C’est le premier pas législatif vers une majorité politique, plus de trente-cinq ans après l'instauration de la majorité civile et pénale à 18 ans. On dit aux jeunes majeurs d'aller voter, mais il leur est impossible de se présenter à la plupart des élections. A ce jour, il faut encore être âgé de 23 ans pour se présenter aux élections législatives, européennes et présidentielles. Et 30 ans pour les élections sénatoriales.

    Ma proposition est symbolique, mais essentielle. L’éligibilité à 18 ans est un élément central du contrat social entre les jeunes et la société. Les jeunes d’aujourd’hui sont engagés, mais pas en politique. L’abaissement du critère d’âge serait un bon remède pour les réconcilier avec la chose politique. Cela permettrait aussi de baisser la moyenne d'âge des parlementaires -58 ans aujourd'hui- et de combler l'écart grandissant entre les jeunes et leurs élus.

    A l'heure où l'on multiplie les plans jeunesse, mon projet, lui, ne coûte pas un centime. Mais il faut y croire. Je le porte depuis longtemps. Le 11 septembre 2007, le jour de mon 18e anniversaire, j’avais déclaré ma candidature aux élections municipales et cantonales à Bron. J’étais le plus jeune candidat à des élections en France. C'est à ce moment que j'ai annoncé que j'allais faire porter une proposition de loi qui abaisserait la majorité politique à 18 ans.

    Trois ans se sont écoulés depuis la naissance du projet…

    C'est le résultat d'un travail d'ampleur. J’ai d’abord créé en décembre 2008 l’association Candidat à 18 ans afin de mobiliser les parlementaires. Puis, dans le cadre de mes études, je suis monté à Paris, où le travail législatif se fait, et j’en ai profité pour m'impliquer encore davantage.

    J'ai passé près de six mois à mobiliser des députés. Je partais de zéro, mais j'ai quand même bénéficié d'un peu de curiosité de la part des élus. Puis les soutiens ont afflué de la part de parlementaires de tous bords. Les députés ont pris le dossier en main, avec le dépôt en février 2009 de propositions de lois derrière les députés Valérie Rosso-Debord (UMP), Gaëtan Gorce (PS) et Jean-Christophe Lagarde (NC). Forte de ce soutien, ma proposition a été reprise dans le Livre vert pour la Jeunesse de Martin Hirsch.

    Mais le tout n’est pas d’avoir des soutiens, il faut aussi éviter l’écueil du consensus mou. Il faut porter le bébé jusqu’au bout. Aujourd’hui, le projet commence à devenir réalité avec l’adoption par l’Assemblée, mais je continue à l’accompagner.

    Prochaine étape: le Sénat?

    Oui, car l’article Ier de ce projet de loi organique exclue le mandat de sénateur, dont l’éligibilité reste fixée à 30 ans. Je ferai donc déposer début 2011 une proposition de loi au Sénat, qui proposera l’éligibilité dès 18 ans aux élections sénatoriales. Il est très important que les jeunes puissent s’identifier aux deux chambres.

    Ce sera un peu plus compliqué qu’à l’Assemblée, car les sénateurs ont encore un certain nombre de réticences, mais la situation évolue dans le bon sens. Notamment sous l’influence de Gérard Larcher. Certaines de leurs critiques ne tiennent plus. En 2001, les sénateurs s’étaient opposés à l’abaissement du critère d’âge parce qu’ils estimaient que la fonction élective nécessitait un apprentissage. Or, l’école républicaine assure ce rôle de formation des citoyens.

    Reste une peur «technique»: du fait du mode de scrutin utilisé –le scrutin de liste– les sénateurs redoutent de perdre leur siège aux dépens d’un jeune… Ce ne serait après tout que prendre le risque d'instaurer une représentativité plus juste de la société française. Les deux chambres ont tout à gagner à s’ouvrir à la jeunesse: c'est la meilleure manière de lutter contre l'antiparlementarisme montant et de faire entendre leur travail à l’ensemble des citoyens.

    Libération/politique - 21/12/10

  • Tags antisémites au domicile du président de la Licra du Bas-Rhin

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    Le CRIF Alsace, dirigé par Pierre Lévy, a réagi aux tags antisémites qui ont été tracés pendant la nuit du 24 décembre 2010 sur la façade du domicile personnel du président de la Licra du Bas-Rhin, Philémon Lequeux :
     
    « Une nouvelle fois l’intolérance et la stupidité se sont manifestées.
     
    En cette période de fêtes cet acte prouve à nouveau un réel mépris de l’autre, le mépris des autres.
     
    Les auteurs de ces actes intolérables, leurs provocations répétées ne peuvent se poursuivre impunément et continuer à nuire ainsi à la vie dans notre région.
     
    Le CRIF espère que les auteurs de ces nouvelles inscriptions soient démasqués, et qu’une punition exemplaire soit appliquée. »
     
    Le ou les auteurs des faits ont écrit « Sale juif » au feutre bleu sur la façade de la maison, située à Schiltigheim en banlieue de Strasbourg. Le tag était accompagné, en guise de signature, d'une croix entourée d'un cercle, le symbole du GUD (Groupe union défense, une organisation d'extrême droite, ndlr). M. Lequeux, qui préside la section locale de la Licra depuis deux ans, a précisé que son domicile avait déjà fait l'objet d'une agression fin novembre. « Des inconnus avaient tenté de mettre le feu à ma porte, pendant la nuit ». Après le tag découvert le jour de Noël il a porté plainte. « J'en ai ras-le-bol, j'ai déjà subi des menaces anonymes par e-mail et par téléphone, ça commence à faire beaucoup. Et je commence aussi à avoir peur », a-t-il confié. « Ceux qui font ça sont vraiment des imbéciles. En plus, je ne suis pas juif, mais ils sont trop bêtes pour imaginer qu'un non-juif puisse présider la Licra », a-t-il encore commenté.
     
    En 2010, une quinzaine d'agressions ou dégradations à caractère raciste ou antisémite ont été dénombrées à Strasbourg et dans son agglomération. L'une d'elle a d'ailleurs visé à son domicile le prédécesseur de M. Lequeux à la tête de la Licra du Bas-Rhin, Raphaël Nisand, maire (PS) de Schiltigheim.
     
    Photo : D.R.
    CRIF - 27/12/10
  • L'Iran "meilleur modèle d'interaction entre les religions" (Aram 1er)

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    Aram 1er

    Sa Sainteté Aram Ier (né Pédros Keshishian à Beyrouth au Liban en 1947), actuel primat du catholicossat de la Grande Maison de Cilicie évoquant l'Iran islamique vendredi, l’a qualifié de meilleur modèle d'interaction entre les différentes religions dans le monde.


    Il a fait ces remarques lors d'une réunion avec un groupe de journalistes et rédacteurs en chef des principaux journaux iraniens arrivés à Beyrouth jeudi pour une visite d'une semaine.


    Mgr Keshishian a souligné que les disciples de toutes les religions divines, y compris les Arméniens, vivaient librement en Iran.


    Se félicitant de la manière dont le guide suprême et son gouvernement traitent les Arméniens dans ce pays, l'archevêque Aram 1er a déclaré que les Arméniens iranien disposent de deux représentants au Parlement iranien.


    Condamnant tout type de sacrilège contre les valeurs des religions divines, Sa Sainteté Aram Ier a appelé les dirigeants des différentes religions à interagir afin d’ empêcher toute violation à l'encontre des valeurs religieuses dans le futur.


    Il a également évoqué la récente visite du président iranien, Mahmoud Ahmadinejad au Liban en notant que les liens entre Téhéran et Beyrouth se renforçaient.


    Il rejoint ainsi les propos de Pierre PICCININ, professeur d’histoire et de sciences politiques à l'Ecole Européenne de Bruxelles qui dans un article sur un site soutient que la République islamique, l’Iran, n’a en effet aucune politique d’hostilité à l’égard des Chrétiens et abrite d’ailleurs de vastes communautés chrétiennes : « un peu plus de deux cent cinquante mille Chrétiens, majoritairement catholiques arméniens, y vivent en sécurité et pratiquent ouvertement leur religion, à condition de ne pas faire de prosélytisme. C’est ce que nous avons pu constater, il y a quelques mois, à travers les nombreux contacts que nous avons pris en parcourant l’Iran durant plusieurs semaines ».


    Il évoque également des rencontres avec plusieurs communautés chrétiennes, des participations à des offices religieux en divers lieux du pays, des chrétiens qui vivent sans être nullement inquiétés, en citoyens ordinaires. « Les prêtres marchent en rue avec le col romain et les églises ressemblent au nôtres, surmontées de grandes croix, au vu de tous » a-t-il déclaré.


    A Ispahan, troisième ville d’Iran en importance, la communauté catholique arménienne ne possède pas moins de douze églises, avec pignon sur rue, dont la plus ancienne, la cathédrale Saint-Sauveur, date du XVIème siècle.


    Elle est en outre flanquée d’un grand musée dédié à la communauté arménienne et où la mémoire religieuse occupe une place non négligeable.


    La culture de la vigne et la fabrication de vin sont autorisées aux Chrétiens, non seulement pour l’exercice du culte, mais également pour leur consommation quotidienne.


    Plus encore, la constitution iranienne garantit aux Chrétiens un nombre de sièges minimum, qui leur assurent une représentation systématique au Parlement iranien, alors que leur dispersion sur les cantons électoraux ne leur permettrait pas, normalement, d’obtenir un seul député.


    La République Islamique d’Iran respecte ainsi à la lettre les injonctions du Coran, qui oblige tout Musulman à protéger les « gens du Livre », Chrétiens et Juifs, ces derniers, au nombre de vingt-cinq mille environ, bénéficiant en Iran des mêmes droits que les Chrétiens.


    En matière de liberté de culte et de protection des minorités religieuses, l’Iran pourtant régulièrement diabolisé, pourrait donner bien des leçons aux grands alliés de l’Occident.


    Ceux qui colportent des allégations contraires ou bien ne connaissent pas la réalité du terrain et ne savent pas de quoi ils parlent, ou bien, volontairement, désinforment l’opinion en propageant des mensonges de manière éhontée par une manipulation qui confine à la propagande, dans le contexte international que l’on sait.


    « Méfions-nous des faux prophètes, qui se déguisent en rebelles pleins de compassion pour nous convaincre d’accepter le monde tel qu’il est. »

    Agence IRNA - Téhéran - 25/12/10

  • Pour le plaisir

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    (Photo GM)

  • Un professeur poursuivi en Espagne: islam ou jambon il faut choisir!

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    Jambon pata negra - (Cliquez sur la photo)

    Un affaire a soulevé l’émoi en Espagne ces dernier jours, un rappel gastronomique et donc culturel à l’occasion d’un enseignement sur les climats vaut à un professeur des poursuites judiciaires par les parents d’un élève musulman.  Après la cantine hallal, surgit donc au détour de cette histoire, la requête d’un enseignement « hallal ». Les parents ont dû oublier que la Reconquista a eu lieu et que l’époque de Cordoba (Cordoue) la musulmane est bien terminée !

    Un professeur de l’institut Menéndez Tolosa de La Línea de la Concepción (Espagne), a été dénoncé par une famille musulmane, car son fils, élève en 1ère année de lycée, se considère comme offensé par une leçon de géographie.

    L’enseignant a dispensé à une classe une instruction sur les différents climats de la planète et utilisé la ville de Grenade Trevélez comme un exemple de climat froid et sec. Pour l’anecdote, l’enseignant a souligné qu’un tel climat était particulièrement propice au séchage des jambons (les meilleurs d’Espagne). Ensuite, l’élève musulman a réclamé au professeur qu’il ne parle pas de jambons se sentant offensé en tant que musulman.

    Le professeur a répondu que c’était juste un exemple et qu’il n’y avait aucune considération religieuse dans cet exemple.

    Ce qui n’était qu’une anecdote géographie et gastronomique a pris une toute autre ampleur, car la famille n’a pas hésité à déposer plainte contre l’enseignant auprès du commissariat de police, sans par ailleurs avoir eu la moindre discussion avec le professeur.

    Les agents de police se sont rendus à l’école pour entendre le témoignage de l’enseignant. L’enseignant est accusé d’avoir tenu des propos racistes et xénophobes. La délégation provinciale du Ministère de l’Éducation  a seulement indiqué que l’enseignant a été signalé à la police et a refusé de commenter l’affaire.

    Les enseignants et les élèves sont scandalisés par la situation faite à un professeur qui jouit d’une expérience de 20 ans, de sorte qu’il a eu des milliers d’élèves et qu’il n’a jamais eu à connaître un problème de cette nature.

    Bien qu’il s’agisse d’une période difficile, l’enseignant continue de dispenser ses cours dans l’école.

    Le police maintient l’enquête ouverte sur la base des allégations de la famille de l’enfant et attend la décision de l’autorité judiciaire pour savoir si le délit est constaté ou pas.

    Etienne AUBRAC

    Source

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    http://www.nationspresse.info/

    NPI - 26/12/10

  • Qui est-ce ? 128

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  • Marseille: un homme de 72 ans torturé et dépouillé à son domicile

    Bien triste Noël pour ce monsieur qui vient de sortir de l'hôpital, où il a passé plusieurs jours, placé sous respirateur.

    Dimanche dernier, c'est un voisin qui l'a découvert, gisant à terre dans son appartement de la rue Massabo, à Marseille, dans le quartier de la Joliette (2e arr). Prostré, il a été conduit aux urgences. En recueillant son témoignage, les policiers ont peu à peu basculé dans un véritable film d'épouvante.

    Samedi, l'histoire commence pourtant un peu comme dans un conte de Noël, lorsque la victime reçoit la visite d'une ex-voisine, venue prendre de ses nouvelles. La dame est accompagnée par deux hommes qu'elle présente comme des amis. On devise sur le pas de la porte, puis on poursuit devant l'apéritif que leur offre leur hôte. Mais rapidement, celui-ci est intrigué par l'étrange manège des deux accompagnateurs, qui, sous prétexte d'aller aux toilettes, vont et viennent dans l'appartement. Le propriétaire s'aperçoit que des objets ont été déplacés.

    En guise d'explications, il reçoit un grand coup sur la tête. Lorsque le malheureux recouvre ses esprits, il se trouve attaché sur une chaise. L'un des agresseurs le force à ingurgiter du pastis, pendant que l'autre fouille l'appartement, s'emparant d'un téléphone portable, d'un fusil 22 long rifle, et de quelques billets. 130 euros: ça ne suffit pas aux bourreaux. Saisissant les papiers de leur victime, ils découvrent sa carte bancaire… et redoublent de coups pour qu'elle révèle son code. La victime résiste. Ils lui mettent un couteau sous la gorge et finissent par lui extirper le numéro. Mais la torture continue.

    Ils découvrent que le pauvre homme porte une bague, qu'ils arrachent violemment en lui entaillant le doigt… Et l'ex-voisine, où est-elle passée? D'après la victime, elle n'aurait cessé de tenter de dissuader les bourreaux. Rapidement identifiés par les enquêteurs de la BSU Nord, les deux agresseurs ont été localisés. L'un deux, interpellé, a reconnu les faits lors de sa garde à vue. Il a été écroué. L'autre est en fuite.

    La Provence - 25/12/10

     

  • Oise: la crèche hors la loi est installée pour Noël

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     Montiers (Cliquez sur la photo)

    Malgré une décision de justice contre lui, le maire du village a installé une crèche sur la place, dès le lendemain du jugement.

    Placée contre le mur du cimetière de Montiers, la crèche de la discorde vient de passer un second Noël en contrebas de l’église, tout près du monument aux morts du village de 450 habitants. Pourtant, le 30 novembre, le tribunal administratif d’Amiens a décidé l’annulation de la délibération du conseil municipal de Montiers du 31octobre2008.

     

     

    Ce jour-là, les élus avaient entériné l’idée d’installer une crèche sur la place du village. Un projet qui avait fait bondir Claude Debaye, l’ancien maire renversé sept mois plus tôt par l’équipe de Xavier  Deneufbourg. « Ce n’était pas de la décoration, mais de la religion, du prosélytisme », estime Claude Debaye, enseignant à la retraite, premier élu de l’Oise à avoir parrainé des sans-papiers.

    Simple querelle entre l’ancien et le nouveau maire ?

    Il a donc eu gain de cause devant la juridiction administrative deux ans plus tard. « La justice n’a fait que rappeler la loi sur la séparation de l’Etat et de l’Eglise, résume-t-il. C’est la victoire de la laïcité. »

    Sauf que la loi de 1905 semble ne pas avoir de prise à Montiers… « Le maire a fait installer la crèche au lendemain du jugement ! peste Claude Debaye. C’est de la provocation assumée. » Car, de son côté, Xavier Deneufbourg souligne que « le jugement nous demande d’annuler la délibération, mais il ne nous interdit pas de faire une crèche»…

    «Le problème, reprend Claude Debaye, c’est l’attitude de l’Etat. Le préfet est chargé de veiller à l’exécution du jugement. Or, il est aux abonnés absents et dit qu’il n’a pas à commenter une décision de justice. Ce n’est pas ce qu’on lui demande. En marge, certains laissent croire qu’il s’agit d’une rivalité de coqs dressés sur leurs ergots ; ça n’a rien à voir. »

    Cette affaire rebondit au-delà du village. L’évêque de l’Oise, Mgr Jacques Benoît-Gonnin, « ne pense pas que cette crèche trouble l’ordre public, ni qu’elle représente une atteinte aux bonnes moeurs ». Et mi-décembre, le cardinal Vingt-Trois, archevêque de Paris, déclarait que cette affaire « s’inscrit dans une polémique entre l’ancien maire et le maire actuel », que « la crèche est un moyen d’alimenter la polémique ».

    Soutenu par la Libre Pensée qui a même alerté le ministre , Claude Debaye va plus loin encore : « Je ne suis pas mégalo, mais je crois que l’intervention du pape sur la christianophobie et l’interdiction de dresser des crèches sur la place publique en France s’appuie sur le cas de Montiers… »

    Ce matin, Claude Debaye vérifiera sûrement que le personnage de Jésus aura été glissé dans la crèche entre Marie, Joseph et un mouton. Il n’en fera pas plus, se bornant à constater « une trop grande tolérance de l’Etat qui confine à la complicité ». Quant au maire que nous avons sollicité en vain hier, il ne voit autour de cette crèche « qu’un faux problème : c’est simplement une réaction de l’ancien maire à sa non-réélection».

    Le Parisien - 25/12/10