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Un tribunal militaire russe a condamné à 18 ans de prison Avi Yanai, un israélien coupable d’avoir organisé un vaste réseau de traite des Blanches entre l’Europe et le Moyen Orient. Aux côtés du juif Yanai, 83 personnes ont été interpellées sur le continent européen dont 14 en Russie.
On estime que les juifs ont ainsi généré des dizaines de millions de dollars et que la mafia albanaise associée aux opérations a même assassiné plusieurs jeunes femmes victimes de ce trafic.
La cour a refusé de répondre favorablement à la requête du juif Yanai demandant à être libéré sous caution pour un million de dollar. Le site internet vesti.ru décrit la scène :
” L’israélien Avi Yanai parcourt le hall avec une tête de patriarche juif, brandissant une Torah entre ses mains“.
Des centaines de femmes ont ainsi été enlevées en Russie à destination d’Israël de 1999 à 2007.
“Une fois à l’étranger, les femmes étaient alors placées en esclavage sexuel. Leurs passeports étaient volés et elles ne pouvaient plus rentrer” selon Vitaly Danilov, un enquêteur de la Sécurité Fédérale Russe.
Une nouvelle opération de saturation médiatique a commencé. Elle repose sur la mort, supposée, d’Oussama Ben Laden, ancien (?) agent de la CIA en Afghanistan. Les médias américains, européens et français a fortiori, l’affirment : l’homme qui a permis les guerres d’agression en Afghanistan et en Irak (sans parler des innombrables opérations secrètes en Afrique et en Asie) est mort.
Le défilé des “experts” commence pour bien faire mesurer au public l’importance de la nouvelle. Et les mêmes de se perdre en analyses et contre analyses sur l’évolution d’Al Qaida, ce réseau dont Alain Chouet, ancien chef de la DGSE (services secrets français), assurait qu’il n’existe plus depuis… 2002 ! (1)
Nous invitons les lecteurs d’Altermedia à s’en tenir aux faits. En l’occurrence, de savoir si mort il y a. Force est de constater qu’à l’heure actuelle, les USA n’ont apporté aucun élément matériel attestant du décès d’Oussama Ben Laden. Aucune photo du corps n’est venue créditer ce qui reste pour l’heure une affirmation gratuite. Une tentative douteuse des services pakistanais a été tentée avec la diffusion d’un faux grossier sur les chaînes de télévision du pays, reprise ensuite par CNN, FOX news et les médias US. En quelques heures la supercherie était raillée par des commentateurs du monde entier.
Le corps du terroriste numéro un, Oussama Ben Laden, abattu dimanche au Pakistan par les militaires américains, a été immergé en mer, a annoncé lundi la chaîne de télévision américaine CNN.
Selon la chaîne, les autorités américaines ont décidé d'inhumer Ben Laden en conformité avec la tradition musulmane, dans les délais les plus brefs après sa mort. Parallèlement, elles ont décidé de ne pas enterrer son corps afin de ne pas créer un lieu de pèlerinage.
La chaîne de télévision Fox News a supposé auparavant que le terroriste pourrait être enterré en Arabie Saoudite, son corps se trouvant dans une base américaine en Afghanistan.
Actuellement, les autorités américaines redoutent des "représailles" d'Al-Qaïda suite à la mort de son chef. Le Département d'Etat a déjà exhorté les Américains se trouvant à l'étranger à faire preuve de prudence et de vigilance maximales.
Washington a annoncé ce matin très tôt, heure de Paris, que celui qu’il définit comme l’ennemi public numéro 1, Oussama Ben Laden, a été tué non loin d’Islamabad, la capitale du Pakistan, à l’occasion d’une opération commando menée par les Etats-Unis, hier. Toujours selon les médias US et la Maison blanche, son corps serait aux mains des autorités américaines.
C’est une traque de 10 ans qui s’achève. Ben Laden était l’homme qui avait été mis en avant par les stratèges américains, au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, notamment, pour justifier toutes les « interventions » armées contre l’Asie centrale et le Proche et le Moyen Orient, entrainant guerres, instabilités géopolitiques et un enchainement de violences, de destructions et de déséquilibres géopolitiques sans précédent, jusqu’aux « révolutions arabes » d’aujourd’hui. Par exemple, c’est au nom de la guerre menée contre Oussama Ben Laden, contre le « terrorisme », que l’invasion de l’Irak de Saddam Hussein et la destruction du régime bassiste, laïque et anti-islamiste, a été réalisée par Washington et ses alliés en 2003.
Mêlant manipulations et désinformations, les Etats-Unis et leurs alliés présentaient Oussama Ben Laden comme étant à la tête d’une nébuleuse, baptisée Al-Qaïda, sans pour autant en avoir un jour défini les contours avec exactitude et rigueur. Ben Laden fut, dans les faits, l’excuse toute trouvée pour l’hyper-puissance US, pour remodeler à sa façon une partie du monde, selon ses volontés et au seul profit de ses multinationales.
Alors que le président Barack Obama devait justifier son acte de naissance il y a peu, humiliation suprême, le voilà comme pouvant se présenter désormais non seulement comme le chef de la nation américaine, mais comme le leader de cette croisade occidentaliste entamée par son prédécesseur Georges W. Bush. C’est un excellent coup de pub pour l’administration US en direction d’une certaine opinion publique occidentale, la plus crédule, la plus dépourvue du moindre esprit critique, la plus bovine.
Néanmoins, ce n’est pas la première fois que l’on annonce la mort de Ben Laden : selon certaines informations occidentales, il aurait été tué par un bombardement américain fin 2001 dans les montagnes de Tora Bora, dans l’est afghan.
Ancien combattant dans la guerre contre l’occupation soviétique en Afghanistan, alors allié des USA, Ben Laden était un pion essentiel du jeu obscur qu’à toujours mené l’Amérique en direction de l’islamisme. On avait même évoqué son nom à l’occasion des guerres balkaniques des années 1990, Al-Qaïda ayant eu des contacts partiels avec l’UCK, les terroristes albano-mafieux qui ont fait main-basse sur le Kosovo, berceau de la Serbie, avec l’appui occidental. Mais il était devenu gênant… Il était depuis présenté comme le « cerveau » des attentats du 11 septembre 2001, et à l’origine d’une série d’attaques contre des objectifs US en Afrique et au Moyen Orient dans les années 1990.
Rien ne dit que sa mort, si elle est effectivement confirmée par des sources indépendantes, ne mette fin aux violences et à l’instabilité engendrées par l’interventionnisme US tous azimuts depuis une décennie. Al-Qaïda a toujours été un mythe, un label et tout au plus une franchise dans le terrorisme islamiste, et la myriade de réseaux et cellules qui se réclamaient jusqu’alors de Ben Laden et de sa structure fantomatique sont toujours très actifs. Leur présence au sein des insurgés libyens n’est un exemple parmi d’autres. Aujourd’hui comme hier, Washington et ses alliés les soutiennent et les arment
01/05/2011 – 19h45 LAMPEDUSA (NOVOPress) – Lampedusa avait connu une semaine d’accalmie dans l’invasion, au point que le maire, Dino De Rubeis, avait réclamé mardi dernier le départ des militaires de l’île : «L’urgence migratoire est désormais terminée. Il n’y a plus à présent que 27 migrants. Mais, pour faire décoller le tourisme, il est nécessaire de démilitariser l’île». La ministre du tourisme, Michela Brambilla, avait de son côté, conformément à une promesse de Silvio Berlusconi, lancé une campagne publicitaire à la télévision pour inciter les Italiens à passer leurs vacances à Lampedusa. Les débarquements de clandestins, avait dit la ministre «sont un chapitre clos : nous pouvons assurer que Lampedusa est une destination d’excellence, pour ses beautés naturelles, artistiques et culturelles». Les spots télévisés « Lampedusa, une île à découvrir, un monde d’émotions » ont commencé à être diffusés vendredi, vidéo touristique ci-dessus.
L’invasion a repris juste à ce moment. On se perd dans les chiffres, tant les arrivées se succèdent sans arrêt. Vendredi matin, on en était à quatre débarquements en 24 heures, pour un total de 1200 clandestins, dont 612 au milieu de la nuit de jeudi à vendredi. En dehors de 77 Tunisiens, débarqués dans la soirée de jeudi, tous ces clandestins venaient d’Afrique subsharienne. 288 sont arrivés à l’aube du vendredi. 500 autres ont été secourus de leur côté au large de Lampedusa et transférés directement sur le navire « Flaminia », qui est en rade afin de pouvoir transférer les immigrés sur le continent.
On comptait, comme de juste, plusieurs femmes enceintes, dont l’une au huitième mois de grossesse, qui ont été transportées en hélicoptère à l’hôpital Cervello de Palerme.
Deux nouveaux bateaux sont arrivés dans la nuit de vendredi à samedi, tous deux en provenance de Libye. L’un, avec 360 clandestins, a débarqué sur la plage, l’autre, qui en transportait 715, a été secouru en mer à une dizaine de milles de l’île, et ses passagers ont été directement transférés sur la « Flaminia ».
Dans les premières heures de dimanche est arrivé encore un bateau parti de Libye, qui avait lancé un SOS la veille, alors qu’il se trouvait dans les eaux territoriales maltaises. Les immigrés avaient appelé avec un téléphone satellitaire en expliquant que leur bateau prenait l’eau. Le autorités maltaises avaient fait savoir qu’elles ne pouvaient intervenir, la mer étant trop mauvaise, et ce sont trois vedettes de la Garde côtière italienne qui se sont chargées de secourir le bateau. Il contenait 461 passagers, dont 44 femmes et six enfants. Traité d’assassin par la gauche pour n’avoir pu empêcher un bateau de clandestins de faire naufrage, le 6 avril dernier, le ministre de l’Intérieur Roberto Maroni fait tous ses efforts pour que les clandestins arrivent désormais à bon port.
La situation à Lampedusa est redevenue très difficile. Plus de 1200 immigrés se trouvent actuellement sur l’île, et beaucoup ont dû passer la nuit à l’air libre, dans la cour du Centre d’accueil. La partie résidentielle de celui-ci, en effet, abrite environ 90 Tunisiens en attente d’être rapatriés, et les forces de l’ordre préfèrent ne pas mélanger ceux-ci aux réfugiés, pour prévenir des désordres ainsi que le risque d’évasions. Cette décision a suscité les protestations du Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés qui, par l’intermédiaire de son porte-parole, Laura Boldrini, a exigé qu’une solution soit trouvée au plus vite, pour assurer le confort de tous.
Aux dernières nouvelles, 298 immigrés viennent encore d’arriver, et 300 autres, à la dérive à une quinzaine de milles de l’île, sont en train d’être secourus. « En un jour, a déclaré Maroni, ce sont 3000 réfugiés qui sont arrivés de Libye. Si cela continue ainsi, ma prévision de 50 mille arrivées se réalisera ». Le ministre a tenu à souligner qu’il s’agissait désormais de réfugiés fuyant une guerre lesquels « ne peuvent être renvoyés tant qu’il y a la guerre en Libye, et la règle européenne est que, si les réfugiés arrivent dans un pays, ils doivent rester là ».
Dans une déclaration précédente, vendredi, Maroni avait fait le lien avec la décision de Berlusconi, à laquelle s’oppose la Ligue du Nord, de participer aux bombardements de l’OTAN sur la Libye. « Hier les bombardements italiens ont commencé, aujourd’hui 800 réfugiés sont arrivés de Libye. Bombes égalent clandestins. »
Le spot télévisé du gouvernement italien déclare : « Lampedusa : découvre ton Italie magique ! » « Lampedusa : découvre le monde réel ! », voilà ce qu’il faudrait plutôt dire à tous les Européens.
Une des deux boîtes noires de l'Airbus A330 d'Air France, qui s'était abîmé en mer au large du Brésil le 1er juin 2009, a été repêchée dimanche, a annoncé le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA).
Le plus jeune fils du leader libyen Mouammar Kadhafi, Saif al-Arab Kadhafi, ainsi que trois de ses petits-enfants, ont été tués dans la nuit de samedi à dimanche au cours d'une frappe aérienne de l'Otan, à laquelle le leader libyen aurait échappé de peu, a annoncé un porte-parole du régime à Tripoli.
"La maison de Saif al-Arab Mouammar Kadhafi, le plus jeune des enfants du Guide (ndlr: Mouammar Kadhafi), a été attaquée avec de puissants moyens. Le Guide et sa femme étaient dans la maison avec des amis et des proches" et est "sain et sauf", a déclaré le porte-parole du gouvernement, Moussa Ibrahim, lors d'une conférence de presse.
"L'attaque a provoqué la mort en martyr du frère Saif al-Arab et celle de trois des petits-enfants du Guide", a ajouté le porte-parole. Saif al-Arab était âgé de 29 ans, a-t-il ajouté. Il était le plus jeune des six fils du dirigeant libyen et n'occupait pas de poste officiel connu. Mouammar Kadhafi avait déjà perdu une fille adoptive en 1986 lors d'un bombardement américain à Tripoli.
"Le Guide lui-même est en bonne santé. Il n'a pas été blessé. Sa femme est également en bonne santé et n'a pas non plus été blessée, mais d'autres personnes l'ont été", a-t-il assuré. "Il s'agissait d'une opération visant à assassiner directement le dirigeant de ce pays", a-t-il accusé.
Le porte-parole avait accompagné au préalable la presse sur les lieux d'une habitation bombardée à Tripoli. Au vu de l'ampleur des destructions, il semblait peu vraisemblable qu'il puisse y avoir eu des survivants. A Bruxelles, l'Otan a confirmé peu après avoir mené des frappes dans ce secteur de Tripoli, mais pas la mort du fils Kadhafi, assurant ne pas viser des individus.
"Samedi soir, trois explosions avaient été entendues à Tripoli en provenance du secteur de Bab al-Aziziya, qui abrite le complexe de M. Kadhafi, après un survol d'avions de l'Otan.
Mouammar Kadhafi avait répété samedi dans la journée qu'il ne renoncerait pas au pouvoir, alors que l'Otan a rejeté son appel à négocier pour mettre fin au conflit qui ensanglante la Libye depuis près de trois mois.
C’est devant une assistance venue nombreuse que Marine Le Pen tenait dimanche midi un discours à l’issue du traditionnel défilé du 1er Mai, en l’honneur de Jeanne d’Arc et des travailleurs.
Mesdames, Messieurs, mes chers compatriotes,
Qu’il me soit permis de vous dire combien votre présence nombreuse, joyeuse et fraternelle me touche.
Merci à ceux qui accompagnent cette tradition, qui nous permet de nous retrouver tous les ans pour la commémoration d’une merveilleuse et incomparable figure de notre histoire nationale qu’est Jeanne d’Arc.
Bienvenue à tous ceux, très nombreux je le sais, qui nous rejoignent pour la première fois à ce rendez-vous printanier et qui je l’espère auront constaté la chaleur de l’amitié qui nous unit. Un salut amical à tous les téléspectateurs et tout particulièrement à nos sympathisants qui, grâce aux bienfaits de la retransmission télévisée de ce discours, nous font l’honneur de nous écouter.
Une pensée pour nos compatriotes d’outre-mer, et particulièrement pour nos amis martiniquais éprouvés par de graves inondations, qu’ils sachent que loin de nos yeux ils restent toujours près de nos cœurs.
Par François | Publié : 28 avril 2011 MERCI A DESOUCHE
La légende de la fondation de Marseille, il y 2600 ans par des Grecs d’Asie Mineure, se liraient … dans les gènes des Provençaux !
C’est ce que révèle une étude menée par l’université de Stanford (Californie) et l’établissement français du Sang (EFS). La ville aurai été fondé après que Gyptis (princesse ligure) eut épousé Protis, chef des navigateurs grecs passage. Ces derniers venaient de la petite ville de Phocée sur la côte ouest de l’Anatolie. […] En examinant le chromosome Y de prés de 400 Provençaux considéré comme « de souche », les chercheurs ont découvert le marqueur appelé E-V13, typique des populations grecques et plus particulièrement de celles originaires de ville turque de Foça l’antique Phocée. […] La colonie formée à l’origine de 1 500 Grecs, aurait rapidement grossi pour atteindre 5 000 individus soit prés de 10 % de la population de la région […] L’étude montre que 17 % des Provençaux étudiés portent encore la trace génétique de leur lointain ancêtre grec. Vers 560 avant notre ère, les Massaliote fondent une nouvelle colonie en Corse, Alalia, l’actuelle Alaria […] « l’empreinte des Phocéens y est encore présente ajoute J Chiaroni (EFS), car cette région présente la fréquence la plus élevée du marqueur E-V13 de toute la Corse »Puis viendront Nice, Hyères ou Monaco, et en remontant le Rhône, Avignon. L’héritage le plus précieux et le plus visible de cette colonisation grecque dans la région restant la culture de la vigne et de l’olivier.