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  • Des défenseurs des animaux demandent de rendre sa liberté au crocodile géant

     

     
    Des défenseurs des animaux demandent de rendre sa liberté au crocodile tueur

     

    IRIB- Un groupe de défense des droits des animaux a demandé, samedi, aux Philippines, de rendre sa liberté à un crocodile marin géant, capturé, dans le Sud de l'archipel, et soupçonné d'avoir attaqué des hommes et du bétail.

     

     Un responsable du groupe de défense des animaux de l'Asie-Pacifique, l'ONG "PETA" (People for the Ethical Treatment of Animals), Ashley Fruno, a déclaré qu'en dépit des soupçons de mangeur d'homme qui pèsent sur lui, il vaudrait mieux renvoyer l'animal à son milieu naturel, loin des régions habitées. Dans un communiqué, il appelle le gouvernement des Philippines à faire preuve de compassion et exige que ce crocodile soit rendu à son milieu naturel, considérant que c'est une erreur de le maintenir en captivité.

    On estime son âge à une cinquantaine d'années. Il mesure exactement 6,40 m et pèse un peu plus d'une tonne.

    IRIB - 10/09/11

     

     
  • Al Qaida a ciblé en dix ans le monde entier, sauf Israël

    Les attaques du 11 septembre 2001 contre les Etats-Unis signaient le début du « djihadisme international », puisque les adeptes de Ben Laden ont durant ces dernières années laissé leurs empreintes dans plus d’une capitale européenne, asiatiques, du golfe, du nord de l’Afrique, mis à part Israël qui n’a connu aucune opération attribuée à l’organisation.

    Les attentats perpétrés par Al-Qaida sur le territoire américain en 2001, ont encouragé les adeptes de Ben Laden à réaliser l’idée du « djiahadisme international » qui est la base de l’idéologie de l’organisation, ces attentats ont également permis à l’organisation d’attirer de nouveaux adeptes qui n’étaient avant le 11 septembre pas prêts à rejoindre Ben Laden.

     Moins d’un an après l’attaque contre les USA, Bali en Indonésie était secoué par un attentat a la voiture piégé près d’une boite de nuit faisant 202 morts dont un grand nombre de touristes étrangers. La Tunisie non plus n’a pas été épargné par les attaques d’Al-Qaida, puisque cette même année, 2002, l’organisation a fait 21 morts dont 14 allemands lors d’un attentat kamikaze contre une synagogue à Djerba, et le fait que de nombreux saoudiens aient été aux cotés de Ben Laden dans les camps en Afghanistan, ne lui a pas évité d’être également ciblé, puisque qu’Al Qaida a exécuté une opération à Ryad en mai 2003, faisant 35 morts dont 9 américains dans trois attentats contre un complexe.

     Le Maroc a lui aussi été visé la même année, l’organisation faisant 45 morts au cours de cinq attaques presque simultanées à Casablanca contre des restaurants et des hôtels fréquentés par des étrangers et des sites juifs. En novembre c’était au tour de la Turquie, où 63 personnes ont été tuées dans quatre attentats kamikaze à la voiture piégée contre deux églises, le consulat britannique et une banque britannique à Istanbul.

     Les capitales européennes n’ont pas été à l’abri des attaques d’Al Qaida, le mois de mars 2004 a été un épisode mémorable dans l’histoire de l’organisation, avec les attentats de Madrid en Espagne qui ont fait 191 morts et plus de mille blessés dans une série d’attaques contre des trains dans trois stations de Madrid et de ses environs, et en juillet 2005 venait le tour de la Grande Bretagne lorsque 65 personnes ont été tuées dans quatre attentats kamikaze contre le métro londonien et un bus.

     L’Egypte a également vu les mêmes attentats ce même mois avec une série d’attentats kamikaze contre des lieux touristiques dans le complexe de Charm El Cheikh faisant 68 morts, puis en Jordanie au mois de novembre où l’organisation a fait 60 morts dans trois attentats kamikaze contre des hôtels de la capitale Amman.

    L’organisation a également perpétré des attentats sanglants en Algérie quelques mois après l’annonce de l’allégeance du « GSPC » à Al-Qaida, en frappant en force en avril 2007 au palais du gouvernement, puis le 11 décembre en faisant 41 morts dont 17 employés des Nations Unies dans deux autres attentats terroristes contre le siège des nations unies et le siège du conseil constitutionnel.

    http://fr.elkhabar.com/?Al-Qaida-a-cible-en-dix-ans-le

    Alter Info - 10/09/11

  • Italie - Dans les centres d'accueil, c'est l'émeute permanente

    10/09/2011 – 18h00
    ROME (NOVOpress) —
    Une poudrière dont les mèches sont allumées d’un bout à l’autre de l’Italie : voilà ce qu’a créé le gouvernement italien en allant ramasser en mer des dizaines de milliers de clandestins, pour ensuite les enfermer dans des centres d’accueil le temps que le système – complètement engorgé et pour cause – arrive à faire le tri entre « réfugiés » plus ou moins plausibles et imposteurs complets à renvoyer d’où ils viennent. Pressés de commencer au plus vite la colonisation de l’Europe, les immigrés ne sont pas disposés à attendre et moins encore à se laisser rapatrier. On les a laissés rentrer, ils ne repartiront pas.

    Les émeutes de Bari, conduites par des professionnels de la guérilla, avaient fait les gros titres au début du mois d’août à cause de l’ampleur des dégâts et du nombre de blessés. Mais, de façon un peu moins spectaculaire, l’état d’émeute est devenu permanent dans les centres d’accueil italiens sans que les médias s’en émeuvent beaucoup.

    Voici un échantillon des dernières semaines – la liste est loin d’être exhaustive. Dans la nuit du 22 août en Sicile, à Pozzallo, une centaine de Tunisiens, armés de barres de fer arrachées à leurs lits, dévastent le centre d’accueil, défoncent toutes les portes et prennent la fuite. Cinq agents sont blessés. 55 Tunisiens étaient encore recherchés le lendemain. On ne sait combien ont finalement été retrouvés.

    Le 24 août, au cours de ce que les journaux qualifient de « énième révolte au Centre d’identification et d’expulsion de Bologne », réservé aux femmes, les immigrées incendient les matelas, brisent les tables et les chaises, lancent des objets et des bouteilles remplies d’urine sur les forces de l’ordre. On ne compte aucune blessée parmi les immigrées, huit blessés parmi les policiers. Une Nigériane de 29 ans est arrêtée en flagrant délit de résistance à la force publique et de dégradations.

    Le 1er septembre, à Turin, une trentaine de Tunisiens attaquent les forces de l’ordre en leur lançant des objets divers, de la nourriture, des bouteilles. Ils se ruent ensuite sur les grilles pour tenter de s’enfuir. La police parvient à les en empêcher en lançant du gaz lacrymogène.

    Le 5 septembre, 200 Tunisiens s’échappent du centre d’accueil de Lampedusa et manifestent contre les rapatriements forcés et pour exiger d’être transférés sur le continent. La protestation se transforme rapidement en assaut contre les forces de l’ordre et deux agents sont blessés. Les manifestations des clandestins se poursuivent les jours suivants.

     Le 7 septembre, après que 300 Tunisiens se sont à nouveau répandus dans la ville, le maire terrifié lance un appel à Silvio Berlusconi pour qu’on leur donne satisfaction immédiatement : « Cela fait une semaine que j’avais lancé l’alarme. Est-ce qu’on attend qu’il y ait un mort ou que les immigrés mettent le feu au centre d’accueil, comme c’était arrivé il y a deux ans ? »

    Le 9 septembre, à Ponte Galleria, à côté de Rome, 21 étrangers de diverses nationalités s’enfuient du Centre d’identification et d’expulsion en profitant d’un transfert de routine à l’intérieur du bâtiment. Là encore, cette fuite est décrite dans les journaux comme « la énième fuite de Ponte Galleria ».

    Énième révolte, énième évasion, énième débarquement un peu partout aussi (32 Pakistanais et Afghans mercredi dans le Salento, une centaine de Tunisiens lundi en Sicile)… Est-ce que tout cela va pouvoir continuer très longtemps ?

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Libye - Bataille autour du bastion pro-Kadhafi de Bani Walid

    Les forces anti-Kadhafi qui tentent de s'emparer de Bani Walid, ont rencontré samedi, dans ce bastion de l'ex-homme fort de Libye, une forte résistance. Les forces loyalistes refusent de déposer les armes malgré la fin de l'ultimatum lancé par le nouveau pouvoir.

    Les dirigeants du Conseil national de transition (CNT) avaient donné jusqu'à samedi aux pro-Kadhafi pour se rendre à Bani Walid, à Syrte, la ville natale de Mouammar Kadhafi et à Sebha.

    Après avoir reçu le feu vert du CNT, les anciennes forces rebelles ont progressé de 500 mètres vers le centre de Bani Walid samedi avant de rebrousser chemin pour laisser le champ libre à l'OTAN. Des avions de l'Alliance atlantique ont mené au moins cinq frappes dans le secteur, a constaté un journaliste.

    Saïf al Islam retranché

    Selon des combattants du CNT, l'un des fils de Mouammar Kadhafi, Saïf al Islam, et le porte-parole de l'ancien gouvernement se trouvent retranchés dans Bani Walid.

    Deux commandants du CNT ont été tués et deux autres blessés dans les combats samedi. Selon des médecins, deux soldats de Kafhafi et un du CNT ont été tués vendredi. Un responsable du CNT a pour sa part fait état de 4 ou 5 civils tués dans la nuit.

    Combats intenses

    Des pièces de métal et des carcasses de voitures témoignent de la violence des combats qui ont éclaté entre les deux camps vendredi à Bani Walid et à Syrte.

    Samedi, le calme était revenu sur les lignes de front autour de Syrte après les affrontements de la veille. A Sebha, des centaines de combattants du CNT ont été dépêchés ces deux derniers jours en prévision de l'assaut final. Peu d'informations filtrent de cette ville de 100.000 habitants située dans le désert.

    On ignore si Mouammar Kadhafi s'est réfugié dans un des ces trois bastions. Plusieurs hauts responsables de l'ancien régime ont trouvé ces derniers jours refuge au Niger.

    (ats)
    SWISSCOM - 09/09/11
  • Le Caire- L'armée déployée près de l'ambassade d'Israël - 3 morts, un millier de blessés

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    Démolition du mur de protection entourant l'ambassade israélienne

    Des forces de l'armée et de la police égyptiennes étaient déployées en masse samedi devant l'ambassade d'Israël au Caire, au lendemain d'une attaque sans précédent lancée par des manifestants égyptiens contre la chancellerie. Le bilan des heurts fait état de 3 morts et d'un millier de blessés.

    L'ambassade d'Israël en Egypte, bâtiment symbolique de la paix conclue en 1979 entre les deux pays mais qui cristallise aussi la colère d'une partie de l'opinion égyptienne, a été envahie vendredi par des manifestants qui ont jeté des documents depuis un de ses bureaux et retiré le drapeau israélien, malgré un déploiement policier imposant.

    Trois personnes ont été tuées dans les heurts nocturnes entre manifestants et policiers devant l'ambassade d'Israël au Caire. Une quatrième personne, blessée, a succombé à une crise cardiaque, selon des sources hospitalières samedi.

    Selon des sources de sécurité et médicales, les affrontements qui ont duré toute la nuit dans les environs de l'ambassade ont fait plus de 1000 blessés, parmi lesquels environ 300 policiers.

    Samedi matin, des véhicules blindés étaient déployés devant l'ambassade et une trentaine de véhicules des forces anti-émeutes étaient postés aux alentours de la chancellerie et près du commissariat proche dans le quartier de Guizeh.

    Le ministère de l'Intérieur a proclamé la mobilisation générale, en annulant les permissions des policiers, et une réunion de la cellule de crise du gouvernement devait se tenir dans la journée.

    L'ambassadeur israélien en Egypte, Yitzhak Levanon, a quitté tôt samedi Le Caire par avion avec son escorte, selon des sources aéroportuaires. Selon un responsable israélien, des commandos égyptiens ont en outre sauvé six Israéliens bloqués dans l'ambassade.

    C'est la première fois que l'ambassade est ainsi attaquée depuis la signature de la paix entre les deux pays. L'attaque s'est produite après un rassemblement sur la place Tahrir.

    Le Temps- 10/09/11

  • Washington utilisera son veto contre la reconnaissance d'un Etat palestinien

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    Wendy Sherman

    Lors de son audition de confirmation par le Sénat des États-Unis, le 8 août 2011, Wendy Sherman a annoncé que le département d’État userait de son droit de veto au Conseil de sécurité des Nations Unies si celui-ci était invité à se prononcer sur la reconnaissance d’un État palestinien.

    Mme Sherman est l’assistante de l’ancienne secrétaire d’État et actuelle présidente du NDI/NED, Madeleine Albright. Elle a été désignée comme nouveau sous-secrétaire d’État chargée des Affaires politiques, ce qui ferait d’elle le numéro 3 de Foggy Bottom.

    Plusieurs États ont annoncé leur intention de reconnaître un État palestinien lors de l’Assemblée générale des Nations Unies à la mi-septembre, conformément à l’ancien plan de partage de la Palestine, jamais appliqué depuis 60 ans. Cependant, cette reconnaissance aurait lieu sans que les frontières du nouvel État soient définies, et sans qu’il puisse exercer ses prérogatives régaliennes.

    En Palestine même, de nombreuses voix s’élèvent qui craignent que cette reconnaissance virtuelle ait pour conséquence d’invalider le droit inaliénable des Palestiniens au retour sur leurs terres, et ne transforme les Territoires palestiniens en bantoustans.

    De son côté, le président Barack Obama a dénoncé cette possible reconnaissance comme une manœuvre visant à déligitimer l’État d’Israël.

    En définitive, on ne voit pas à quel titre le Conseil de sécurité aurait à se prononcer sur la reconnaissance d’un État ; sujet qui ressort des compétences de l’Assemblée générale.

    voltairenet.org - 08/09/11

  • Collard: "Si un jour elle dérape elle aussi, je me casse!"

    Quatre mois après son ralliement officiel à , Gilbert Collard franchira dimanche un nouveau cap : juste avant le discours de clôture de la candidate à la présidentielle, aux journées d’été de Nice, le célèbre avocat prendra la parole devant un millier de personnes pour une conférence modestement intitulée « Avec Marine Le Pen, un avenir pour la France ».

    Etonnante trajectoire pour celui qui, jadis, avait pris sa carte au Parti socialiste. « C’est triste, mais le PS a réussi à m’écœurer de la gauche. Encore plus aujourd’hui, quand je vois le spectacle affligeant de la primaire », explique-t-il. Il n’est pas tendre non plus avec qui, selon lui, « a désymbolisé l’image du président de la République et mis le fonctionnement de l’Etat au ras des pâquerettes ».

     Collard dénonce le système, « les castes », les élites. « Mais je ne prendrai jamais ma carte au FN », prévient-il, pour marquer son désaccord avec les provocations régulières de Jean-Marie Le Pen : « Je suis là bénévolement pour Marine, une amie de vingt-cinq ans. En revanche, si un jour elle dérape elle aussi, je me casse! Et elle le sait. On s’appelle, on déjeune une fois par semaine, je la coache un peu quand elle fait une grosse émission, confie-t-il. On s’engueule aussi, notamment quand nous ne sommes pas d’accord. Par exemple sur la peine de mort qu’elle veut rétablir. » Ses défauts? « Elle fume trop, répond-il, catégorique. Ça abîme la voix. »

    Il se verrait bien garde des Sceaux

     Dans quelques jours, l’avocat posera ses cartons dans le QG de campagne de la candidate, boulevard Malesherbes à Paris (VIIIe). « En tant que président de son comité de soutien, ça sera plus simple pour travailler. J’y serai tous les jours. » A l’entendre, 200 personnes l’auraient déjà rejoint, mais il ne dévoile aucun nom : « Certains ont peur du qu’en-dira-t-on. Il faut au moins cinq casques pour supporter tout ce que les gens peuvent dire sur vous. » La semaine dernière à la synagogue de Marseille, il a dû annuler sa participation à un colloque où il était invité : « Il y a eu tellement de menaces que j’ai dû me décommander. Et puis encore récemment, mon contrat de consultant avec la chaîne Planète Justice n’a pas été renouvelé. Mais ça n’est pas grave, je suis solide. »

    Sera-t-il candidat aux législatives en 2012? « Si on me le demande, j’irai », assure l’avocat, qui se verrait bien garde des Sceaux si Marine Le Pen était élue : « D’accord, mais pas trop longtemps, minaude-t-il. Juste le temps de mettre en place quelques mesures importantes à mes yeux, comme la responsabilité civile des magistrats, la suppression de l’Ecole nationale de la magistrature ou encore le droit de révision pour le président de la République. »

    Source Le Parisien - 10/09/11

  • Paul-Marie Coûteaux rallie Marie Le Pen

     

    Les ralliements se suivent au Front National. Après l’avocat Gilbert Collard il y a quelques mois, voici venu le tour du souverainiste Paul-Marie Coûteaux.

    Depuis les premières heures de l’université d’Eté du Front national à Nice, les responsables du parti laissaient filtrer, l’air entendu, qu’un ralliement de poids allait être annoncé. S’agit-il de l’ancien patron des Renseignements Généraux, Yves Bertrand, qui vient de déclarer sa flamme à la présidente du FN dans un interview très politique au site Causeur.fr ? A suivre. Plus sûrement, le souverainiste Paul-Marie Coûteaux, fondateur d’un petit parti, le Rassemblement pour l’indépendance de la France vient de prendre clairement position. « Cette fois les choses sont claires, a-t-il déclaré à Marianne, il ne s’agit plus d’un rapprochement. Je me rallie en bonne et due forme. »

    L’ancien député européen élu en 1999 sur la liste Pasqua, l’ancien collaborateur de Philippe Seguin, celui qui a participé de près à la campagne de Jean-Pierre Chevènement en 2002 « se retrouve dans les positions de Marine Le Pen quand elle défend la souveraineté de la France ». « Ce ralliement a été possible parce que c’est elle, poursuit-il. J’avais de bonne relations avec son père, mais cette fois c’est différent. Le FN est en train d’évoluer, il y a des hommes nouveaux, un discours nouveau. » Se rallie-t-il uniquement sur la base de la défense de la souveraineté nationale ? « C’est très important, mais nous sommes d’accord avec elle sur la préférence nationale, sur l’immigration, sur la sécurité. » Mais alors pourquoi ne pas prendre sa carte au FN ? « Parce que je ne suis pas d’accord sur quelques points de détail, répond-il. Moi, par exemple, je suis contre la peine de mort. »

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    Nations Presse Info - 10/09/11

  • Six hommes mis en examen après la mort d'une femme suite à des viols répétés

    Six hommes âgés de 25 à 45 ans ont été mis en examen vendredi à Orléans après la découverte mercredi du corps d'une femme de 42 ans victime d'une succession de viols dans la nuit de mardi à mercredi, a-t-on appris de sources judiciaires.

     "La victime a subi une succession de viols qui ont occasionné des traumatismes extrêmement importants", a expliqué le procureur de la République d'Orléans, Franck Rastoul, lors d'une conférence de presse.

    TF1 - 09/09/11

    Horreur!

  • Procès Chirac: Alain Juppé sera entendu par le tribunal

    09/09/2011 – 08h30
    BORDEAUX (via
    Info Bordeaux) – Alain Juppé devrait être entendu à la barre le 15 septembre prochain, lors du procès des emplois fictifs de la mairie de Paris devant le tribunal correctionnel. Secrétaire général du RPR, et adjoint aux Finances de Jacques Chirac à la Ville de Paris à l’époque des faits (période 1992-1995), l’actuel ministre des Affaires étrangères avait été cité à comparaître en juin dernier. Cette citation comme témoin a été demandé par l’association anti-corruption Anticor (partie civile).

    Il faut dire que le maire de Bordeaux connaît le dossier. En janvier 2004, il a été condamné par le tribunal correctionnel de Nanterre à dix-huit mois de prison avec sursis et à une peine de dix ans d’inéligibilité dans la même affaire.

    Renvoyé devant la justice pour « détournement de fonds publics », « abus de confiance » et « prise illégale d’intérêt », l’ancien chef de l’Etat encourt dix ans de prison et 150.000 euros d’amende.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Ban Ki-moon soutient la création d'un Etat palestinien

    09/09/11 – 17h00
    PARIS (NOVOpress)
    – . Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a renouvelé son total soutien à la création d’un Etat palestinien. Pour lui cet Etat “devrait exister depuis longtemps”.

    “La vision de deux Etats permettant à Israël et aux Palestiniens de vivre côte à côte dans la paix et la sécurité, c’est une vision toujours valable et je la soutiens pleinement”, a ainsi déclaré le secrétaire général

    Ce soutient intervient alors que les Palestiniens s’apprêtent à demander devant l’Assemblée générale de l’ONU la reconnaissance de leur Etat malgré l’opposition nette d’Israël et des Etats-Unis et qui divise les pays européens.

    Les Palestiniens ont lancé une grande campagne pour appuyer leur demande, baptisée “Campagne nationale pour la Palestine, 194e Etat “.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Violents combats dans les fiefs kadhafistes qui résistent toujours !

    Les kadhafistes ne s'avouent pas vaincus. Quelques heures avant la fin de l'ultimatum lancé par le Conseil national de transition aux villes encore tenues par les fidèles du colonel Kadhafi, les combats ont repris entre rebelles et loyalistes.

    De violents affrontements se déroulaient hier soir dans la ville même de Bani Walid, l'un des derniers bastions fidèles à Kadhafi. Dans la vallée Rouge, à une soixantaine de kilomètres à l'est de Syrte, les kadhafistes ont lancé une contre-offensive pour reprendre cette ligne de défense aux rebelles qui s'en étaient emparés ces derniers jours.

    L'échec des négociations entamées depuis la prise de Tripoli entre les nouvelles autorités libyennes et les restes de l'ancien régime semblait inévitable, hier, après deux semaines de tractation. Malgré leurs succès, les révolutionnaires libyens n'ont pas réussi à convaincre les dernières villes fidèles à Kadhafi de déposer les armes, et les loyalistes n'ont pas attendu la fin de l'ultimatum pour repasser à l'attaque.

    Nul ne sait où se trouve Kadhafi. Avec au moins trois de ses fils, dont Saif al-Islam, le colonel s'est échappé de Tripoli avant la prise de la ville par les forces rebelles le 23 août dernier, et serait, depuis, quelque part dans le Sud libyen, dans la vaste portion du pays comprise entre Beni Walid, Syrte et l'oasis de Saba, région où il compte encore de nombreux partisans.

    Le Colonel et Saif al-Islam ont appelé à plusieurs reprises leurs fidèles à continuer la lutte contre les «rats» révolutionnaires et leurs alliés de l'Otan.

    Source Le Figaro - 09/09/11

  • La Turquie va envoyer des navires transportant de l'aide humanitaire pour Gaza sous escorte de ses forces navales

    Le chef du gouvernement turc va briser le blocus israélien. La publication du rapport d’enquête de l'ONU condamnant le raid israélien contre un navire à destination de Gaza en 2010 a ravivé la crise diplomatique entre Israël et la Turquie. Le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu a annoncé la semaine dernière une série de mesures de rétorsion* contre l’Etat hébreu, qui refuse de s’excuser sur l’affaire de la flottille humanitaire pour Gaza.
     
    Après avoir annoncé mardi la suspension des échanges entre les deux pays dans le domaine de la défense, Recep Tayyip Erdogan a déclaré jeudi que des convois d’aide vers Gaza seraient escortés par la marine turque. «Les navires de guerre turcs sont habilités à protéger nos bateaux qui acheminent une aide humanitaire. Nous ne permettrons pas que ces bateaux soient attaqués par Israël, comme cela s'est produit avec la Flottille de la liberté», a déclaré le Premier ministre à la chaîne Al-Jazeera.

    Le 31 mai 2010, l’assaut israélien a été donné sur le navire Mavi Marmara qui tentait de rallier l'enclave palestinienne pour y apporter de l'aide humanitaire, tuant neuf ressortissants turcs. La commission d’enquête de l’ONU a rapporté l’usage «excessif» et «déraisonnable» de la force par Israël, reconnaissant toutefois la légitime défense face à la «résistance organisée et violente» de certains activistes.

    Les eaux internationales surveillées

    Dans son allocution, Recep Tayyip Erdogan a également annoncé que son pays surveillerait les eaux internationales, afin de s'assurer d'une juste exploitation des ressources naturelles en mer Méditerranée. Le Premier ministre turc a ainsi évoqué les projets israéliens quant aux réserves de gaz dans des gisements –découverts dans des zones également revendiquées par le Liban. «La Turquie, en tant que garant de la République turque du nord de Chypre, a pris des mesures dans le secteur, et elle s'en tiendra à son droit à surveiller les eaux internationales en Méditerranée orientale».

    Recep Tayyip Erdogan a auparavant regretté le «manque d’éthique commerciale» d’Israël concernant la livraison de ses drones, renvoyés pour divers défauts techniques, rapporte RFI. Ces avions utilisés pour espionner les rebelles kurdes en Irak du nord n’avaient pu être livrés suite à l’opération «Plomb durci» contre Gaza fin 2008. Le ministre de la défense israélien, Ehoud Barak, a justifié ce retard par des «améliorations en cours», faisant part de son optimisme quant à la réconciliation des deux pays.

    *Les diplomates israéliens en Turquie ont été expulsés, les accords militaires avec le pays ont été suspendus, l'accès de l’espace aérien interdit à l'armée israélienne et la Cour internationale de Justice saisie

     09/09/11

  • Le médecin béninois volait ses patients

    Poitiers. L'ancien généraliste des Trois Cités a été condamné, hier, à de la prison avec sursis pour avoir volé de l'argent à ses patients dans son cabinet.

     C'est un fils attentif qui avait mis en place le piège tendu au médecin généraliste de sa mère souffrant de la maladie d'Alzheimer. Elle s'étonnait que son portefeuille soit allégé de quelques billets à son retour de consultation. Elle était sûre de sa mémoire.
    Le fils avait relevé le numéro des billets de banque et prévenu la police au retour de sa mère. Au cabinet de ce médecin estimé du quartier des Trois Cités, les enquêteurs avaient retrouvé les billets.
    Arrêté en mars 2008, mis en examen et laissé libre, le généraliste de 47 ans avait l'interdiction de continuer à exercer.
    Il était, hier, face aux juges et à ses victimes pour avoir abusé financièrement d'une vingtaine de ses patients. Pas n'importe quels patients, des gens âgés, vulnérables, diminués par la maladie.
    Le médecin est soupçonné de vol d'argent liquide, de retraits frauduleux avec leur carte bancaire, d'escroquerie à l'aide d'un chèque de 10.000 € et de tentative d'extorsion de testament, entre 2005 et 2008.
    Les petits billets côtoient les gros chèques dans le dossier d'instruction. A la barre, l'ancien médecin d'origine béninoise au parcours méritant tente de faire bonne figure. Il confirme un revirement complet. Lui qui, depuis 2008, ne reconnaissait que le vol ayant déclenché son arrestation reconnaît d'autres faits.

    '' Vous ne pouvez pas le laisser exercer ''

    « J'étais dans le déni total à cause d'un divorce douloureux. Ma souffrance s'est traduite par ces actes. Je n'étais pas considéré pour ce que j'étais. J'avais besoin d'être arrêté. Je suis un autre homme, j'ai compris. J'ai honte. Je ne souhaite d'une chose, reprendre mon activité pour les rembourser », explique-t-il.
    « Ça vous a quand même pris trois ans et demi pour comprendre ! » ironise la présidente. Le défilé des victimes vient ternir la version repentante du prévenu. Trop de personnes visiblement influençables et vulnérables se suivent. Et puis, au fil de l'audience, l'ancien médecin conteste fermement les faits les plus graves et les vols dont les montants sont les plus importants.
    Les avocats des victimes s'agacent et se lâchent contre le médecin qualifié de « prédateur » sélectionnant ses victimes, « d'abuseur » qui ne reconnaît que les petites sommes volées. La charge la plus mordante vient du bâtonnier Menegaire, mandaté par l'Ordre des médecins de la Vienne (1). Il dénonce la stratégie du repentir seulement destinée à pouvoir exercer de nouveau. « Vous ne pouvez pas lui redonner cette autorisation », exhorte-t-il le tribunal.
    Le procureur abonde dans le même sens et ironise sur le médecin qui avait réussi à exercer de nouveau, à Cognac, malgré l'interdiction judiciaire. Il réclame deux ans de prison, dont six mois ferme, 20.000 € d'amende et trois ans d'interdiction d'exercer.
    L'avocate parisienne du docteur sort le grand jeu. Sylvie Noachovitch tonne, s'emporte contre les pressions exercées durant l'enquête, les victimes douteuses venues avec un avocat quand les autres sont venues timidement réclamer le remboursement du billet envolé. « Il a changé. Il est guéri. Sa vie est finie si vous lui interdisez d'exercer. Soyez indulgents avec lui. »


    Le tribunal relaxe l'ancien médecin pour la tentative d'extorsion, l'escroquerie et certains retraits frauduleux. Il est condamné pour les autres retraits et tous les vols à son cabinet à dix-huit mois de prison avec sursis. Il ne peut plus exercer durant un an. Il est ressorti avec le sourire du tribunal.

    (1) Une procédure disciplinaire doit être engagée à son encontre quand la procédure pénale sera terminée.

    Emmanuel Coupaye
    La Nouvelle République du Centre - 08/09/11
  • Libye: ouverture de la chasse aux "Kadhafi"

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    La chasse est ouverte en Libye depuis quelques semaines. Après la demande de la Cour pénale internationale, Interpol a diffusé vendredi une « notice rouge » demandant à ses 188 pays membres l'arrestation du colonel Kadhafi, de son fils Seïf al-Islam et de son beau-frère Abdallah al-Senoussi, visés par un mandat d'arrêt international émis par la CPI.

    Ils sont soupçonnés de crimes contre l'humanité en Libye. L'arrestation de l'ancien dirigeant libyen le colonel Kadhafi n'est plus qu'une « question de temps », a souligné Luis Moreno-Ocampo, procureur de la CPI.

    Le mandat d’Interpol permet l’arrestation des suspects en vue de leur extradition ou de leur reddition à un tribunal international.

    Possibilités de fuite "restreintes"

    Cette notice « va restreindre significativement les possibilités pour ces trois hommes de franchir les frontières et sera un outil important pour aider à leur localisation et leur capture », a estimé Ronald K. Noble, le secrétaire général de l’organisation policère internationale. « Interpol coopèrera et assistera la CPI et les autorités libyennes représentées par le Conseil national de transition pour appréhender Mouammar Kadhafi », a-t-il précisé.

    Interpol propose également le soutien de son « centre de commandement et de coordination » et demande à ses membres « de prendre toutes les mesures conformes à leur législation pour aider la CPI à localiser et interpeller Kadhafi », selon le communiqué. 

    En attendant la future probable arrestation de Kadhafi, ce dernier demeure introuvable. A l'heure actuelle, aucune information précise n'est disponible sur l'endroit exact où se trouvent les fugitifs trois hommes.

    Source France-Soir - 09/09/11