Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 12

  • Pas grave, ce sont les Français qui payent !

    «Faites ce que je dis mais pas ce que je fais » est décidemment une formule qui convient parfaitement à ce gouvernement de tartuffe et au président de la République. Au moment où François Fillon exposait aux Français le plan d’austérité indispensable pour sortir de la crise, et ajoutait que l’Etat doit montrer l’exemple, il y a des comportements qui mêlent l’indécence au mépris le plus absolu pour nos compatriotes qui sont désormais sommés de « travailler plus pour gagner moins ».

    La nouvelle a en effet valeur de symbole, le prix de la nuit d’hôtel de Nicolas Sarkozy à Cannes, la semaine dernière pour le sommet du G20, a été révélé : 37 000 € pour une nuit dans une suite de l’hôtel Majestic!

     Certes, Bruno Gollnisch refuse de sombrer dans la démagogie un peu facile qui voudrait que les représentants de l’Etat Français se déplacent en deux roues et soient logés dans des chambres avec les toilettes sur le palier. Mais ce bras d’honneur adressé aux contribuables par le chef de l’Etat, qui a décidemment perdu tout contact avec « la France qui se lève tôt », laisse songeur. A titre de comparaison, le président chinois Hu Jintao a payé trois fois moins cher sa chambre soit 11 600 € et le Premier ministre anglais David Cameron,  1950€ pour une nuit au Marriott, qui offre certainement à sa clientèle toutes les conditions de confort…

     Puisque l’on parle d’économie, cet épisode cannois nous offre aussi l’occasion de rappeler que  s’il existe  un domaine dans lequel  ce gouvernement se refuse d’agir réellement, c’est  bien celui de l’immigration de peuplement. Un dogme que par fanatisme idéologique, les partis de l’Etablissement refusent de remettre en cause, alors que  la population d’origine non européenne atteint déjà  7 à 8 millions de personnes sur notre territoire.

     Démographe, économiste et géopoliticien, ex-enseignant à l’ENA, aux universités Dauphine et Paris 2 et ancien président du comité économique de l’Otan, Yves-Marie Laulan a pourtant encore rappelé sur son blog le 6 septembre, chiffres et calculs à l’appui, que selon toute vraisemblance, « le véritable coût de l’immigration pour la France a atteint 70 à 80 milliards d’euros » en 2011, sachant que « l’immigration légale » se poursuit  toujours depuis 2001 à une moyenne s’établissant autour de 200 000 personnes par an.

     « A l’heure où le déficit budgétaire flirte  avec 90 milliards d’euros et où le gouvernement cherche désespérément à gratter ici et là quelques milliards d’euros pour ne pas voir la France perdre son triple A, ce qui provoquerait dans l’instant un gonflement prodigieux du coût de la dette (…),  tout se passe come si les gouvernements successifs avaient pris le parti de financer le coût d’installation de ces populations en France par l’endettement plutôt que par l’impôt »indique M. Laulan.

    Rien de bien grave après tout pour les Sarkozy, Hollande et consorts du « sérail », puisque là aussi , ce sont les Français qui payent l’addition.

    Blog de Bruno Gollnisch - 10/11/11

  • Les Jeunes avec Marine : Choisis ta France !

     

    Julien Rochedy, président des Jeunes avec Marine, porte-parole du FNJ, a présenté lors d’une réunion ouverte à la presse à Paris, la première affiche de campagne pour sensibiliser les jeunes Français sur l’avenir.

    L’affiche de campagne s’intitule : « Les Jeunes avec Marine, Choisis ta France ».


    www.jeunesavecmarine.fr

     

    Ci-dessus, retrouvez l’introduction en vidéo sur Youtube réalisée par Julien Rochedy lors du lancement de cette campagne nationale pour promouvoir cette affiche choc.

    NPI - 12/11/11

     

  • Explosion d'un arsenal en Iran, 27 morts, 16 blessés : est-ce vraiment un accident ?

    2011-11-12T130718Z_01_APAE7AB10G800_RTROPTP_2_OFRTP-IRAN-EXPLOSION-20111112.jpg

    TEHERAN (Reuters) - Une puissante explosion a secoué samedi une base militaire proche de Téhéran alors que des soldats y déplaçaient des munitions, faisant 27 morts et 16 blessés dont certains sont dans un état critique, rapporte la télévision nationale Irib sur son site internet.

    Les autorités iraniennes ont dit traiter cette explosion, survenue dans une base du corps d'élite des Gardiens de la Révolution, comme un accident.

    Un représentant des Gardiens a déclaré à la télévision que la déflagration avait eu lieu dans un dépôt de munitions de la base Amir al Momenin de Bigdaneh, près de la ville de Shahriar.

    Des habitants ont rapporté qu'elle avait été ressentie jusque dans les faubourgs ouest de Téhéran, à 45 km de là.

    "Mes collègues des Gardiens de la Révolution déplaçaient des munitions dans l'un des arsenaux de cette base quand, à cause d'un incident, une explosion s'est produite", a dit Ramezan Sharif, porte-parole des Gardiens, à la chaîne d'Etat Irinn. "Certains blessés sont dans un état critique."

    La déflagration a eu lieu vers midi (08h30 GMT), provoquant un incendie qui a fait rage pendant plusieurs heures. Certains ont avancé l'hypothèse d'un séisme de faible intensité. Les journalistes ont été tenus à l'écart de la base militaire.

    Aucun signe ne permet de soupçonner une attaque, mais l'explosion survient à un moment de vives tensions entre l'Iran les Etats-Unis et Israël sur la question du programme nucléaire de Téhéran.

    Ramezan Sharif a démenti des allégations prêtées à des médias occidentaux et selon lesquelles la base militaire serait liée au programme nucléaire iranien.

    Le 12 octobre 2010, une explosion analogue survenue dans un dépôt de munitions des Gardiens de la Révolution avait tué ou blessé plusieurs soldats à Khoramabad, dans l'Ouest iranien. Les autorités avaient aussi parlé d'un accident.

    Hossein Jaseb et Ramin Mostafavi, Henri-Pierre André, Eric Faye et Philippe Bas-Rabérin pour le service français

    Yahoo!Actualités - 12/11/11

     

  • Mariage homosexuel à Cabestany célébré par un maire communiste

    111112ind500.jpg mariage gay.jpg

    (Cliquez sur la photo répugnante)

    Le débat est relancé. Le mariage "symbolique" de Patrick et Guillaume devant le maire de Cabestany, près de Perpignan, a évidemment suscité des réactions diverses. Ainsi, Christine Boutin a sorti les crocs contre « cette provocation ». La présidente du Parti chrétien-démocrate (PCD) a rajouté, un brin offensive, que « même si cette union n'a aucune valeur juridique, elle met en danger un pilier essentiel de notre modèle sociétal, dans un monde déjà déboussolé qui a besoin plus que jamais de repères stables ». Selon elle, « le premier devoir du maire est de respecter et faire respecter la loi et non de jouer avec les symboles et l'émotion ». Vendredi, c'est Claude Greff qui s'est employée à critiquer la manoeuvre du maire communiste, Jean Vila. « Ce type d'action ne fait pas progresser la question mais contribue à crisper les positions. Ce débat doit avoir lieu dans le respect de la loi et des opinions de chacun », a attaqué la secrétaire d'Etat chargée de la famille.

    Comme toujours dans ce débat, il y a le clan des mécontents mais aussi celui des heureux. Ainsi, Noël Mamère (Europe Ecologie-Les Verts) s'est félicité de cette initiative. « Des mariages symboliques on peut en faire des tonnes, mais si on s'en tient à ces cérémonies d'opérette on ne fait pas avancer le droit. Ceci étant, je n'ai pas à me faire l'arbitre des élégances pour dire qui est plus courageux que qui ». Rappelons que le 5 juin 2004, le député-maire de Bègles (Gironde) avait également uni un couple d'hommes malgré la loi. Un mariage annulé en janvier 2011.  

    Le mouvement gay heureux de la nouvelle

    Le mouvement gay s'est, quant à lui, réjoui de la nouvelle. « Ce matin a été célébré l'union de deux personnes qui s'aiment, il faut que ce droit soit reconnu à tous. Cette action permet de rappeler la nécessité de reconnaître le mariage de deux personnes qui s'aiment, qu'elles soient de sexe différent ou pas », a plaidé le porte-parole de l'Interassociative lesbienne, gay, bi et trans, Nicolas Gougain. Dans tous les cas, la question du mariage homosexuel est revenu en force dans le débat. Au grand dam de ses opposants.

    France-Soir - 12/11/11

     

  • Accusée de plagiat, Rama Yade évoque une "erreur de forme"...

    1633405_photo-1317404569060-1-0_640x280.jpg Yade.jpg

    Jean-Michel Muglioni se dit «scandalisé». Car, à la lecture du numéro de l'hebdomadaire «Marianne» du 5 novembre, le vice-président de la Société Française de Philosophie a découvert «des choses qui ne peuvent être que du copié-collé», comme il l'a expliqué ce samedi sur France Inter.

    En cause, les bonnes feuilles de «Plaidoyer pour une instruction publique», le dernier livre de Rama Yade. «Il n’est pas seulement question d’un mot, d’une expression ou d’une tournure…mais de phrases entières qui ont été recopiées mot pour mot, sans guillemets !», accuse-t-il sur le site de «Marianne».

    Plusieurs passages sont concernés

    «N'est-ce pas Maurras qui disait qu'il faut être bourgeois pour apprécier Racine ? Il y a quelque chose de maurrassien dans cette attitude qui consiste à interdire l'accès à la littérature française à des enfants dont les ancêtres ne sont pas français ou bourgeois», peut-on lire sous la plume de dans le magazine. Une phrase qui correspond à peu de choses près, au passage d'un article signé Jean-Michel Muglioni - «L'école refusée : reflet de la société» - et publié sur le site Mezetulle.net le 23 juin 2011.

    Extrait de l'article de Jean-Michel Muglioni - «L'école refusée : reflet de la société»
     

    Dans une note, la responsable du «blog-revue» Mezetulle.net recense - captures d'écrans à l'appui - deux autres passages publiés à la page 64 du livre de Rama Yade et similaires à ceux de «L'éducation par l'instruction», un article de Jean-Michel Muglioni mis en ligne le 25 juin 2009. L'un des trois extraits retrouvés dans le livre de l'ex-secrétaire d'Etat est le suivant : «L'image de la règle signifie qu'au lieu de suivre les fluctuations de l'âme, on se donne une direction et que l'on s'y tient. Cette contrainte est libératrice, car les pensées abandonnées à elles-mêmes, sans règle, ne sont pas libres.»

    Extrait de l'article de Jean-Michel Muglioni - «L'éducation par l'instruction»


    Des explications alambiquées

    Dans un article revenant sur cette affaire, «Marianne» assure qu'«après avoir comparé les textes signés par Jean-Michel Muglioni et le livre de Rama Yade, nous ne pouvons que confirmer qu’à six reprises, on retrouve des paragraphes identiques». L'hebdomadaire a contacté l'ex-secrétaire d'État à ce sujet et rapporte que cette dernière évoque «une erreur de forme, (...) affirmant s’être trompée en rédigeant la bibliographie».

    Sur France Inter, ce samedi, Rama Yade a confié n'avoir pas «cité le bon auteur». «Je pensais que l'auteur du blog était l'auteur des écrits», explique-t-elle avant de proposer de réparer l'erreur dans une prochaine édition. Jean-Michel Muglioni, lui, demande le retrait de l'ouvrage.
    Le Parisien - 12/11/11
  • Grèce: l'extrême droite participe à l'union nationale

    Le nouveau gouvernement grec, qui a prêté serment vendredi, compte dans ses rangs un ministre d'extrême droite. Une première depuis 1974.

    Le nouveau gouvernement grec de coalition formé par le premier ministre Lucas Papademos, qui a prêté serment vendredi en fin d'après-midi lors d'une imposante cérémonie d'intronisation à la résidence présidentielle, marque l'entrée au pouvoir dans le pays de l'extrême droite. Une première depuis la chute de la dictature des Colonels, en 1974.

    Makis Voridis, avocat de 47 ans issu de l'organisation de jeunesse du parti d'extrême droite Epen, créé après le régime militaire et longtemps proche du Front national français de Jean-Marie Le Pen, a été nommé ministre des Transports, tandis qu'Adonis Georgiadis, notamment co-éditeur d'un pamphlet antisémite, accède au secrétariat d'Etat au développement et à la Marine marchande.

    Les trois conditions de l'extrême droite

    Tous deux sont aujourd'hui des députés du parti Laos (Alerte orthodoxe populaire) dirigé par Georges Karatzaferis. Lorsqu'il a été créé en 2000, ce parti est venu occuper un vide dans le paysage politique qui ne comptait alors aucune formation d'extrême droite. À coups de slogans xénophobes et antisémites, il a d'abord engrangé des succès lors d'élections municipales (13,7% des voix à Athènes-Le Pirée dès 2002) et régioanles (à l'époque, quatre néo-nazis étaient présents sur la liste de Georges Karatzaferis).

    À la faveur d'une quête de respectabilité, le Laos est parvenu en 2007 à franchir aux élections législatives le seuil de 3% des voix lui ouvrant les portes du parlement. Un succès qu'il a reproduit au scrutin de 2009 où il a obtenu 5,63% des suffrages. Il compte aujourd'hui 16 députés. Hétéroclite et opportuniste, le Laos n'en reste pas moins figé sur un nationalisme intransigeant. En 2010, lors du débat sur l'adoption d'un projet de loi assouplissant la législation sur les immigrés, il avait dénoncé haut et fort un risque d'«invasion» étrangère et défendu «l'homogénéité» du pays.

    Depuis le début de la crise grecque, le Laos a tenté de s'afficher en partenaire politique responsable allant jusqu'à approuver, seul avec les députés socialistes, le premier plan de sauvetage international de la Grèce accordé par l'Union européenne et le Fonds monétaire international en mai 2010. Ce plan avait décidé l'octroi de 110 milliards d'euros en échange de mesures de rigueur et de réformes d'assainissement budgétaire. Laos s'est toutefois opposé au nouveau plan, élaboré à Bruxelles fin octobre, que l'exécutif aura pour mission de ratifier et de mettre en œuvre.

    Georges Karatzaféris avait fixé trois conditions pour une participation de sa formation au nouveau gouvernement : l'arrêt des réductions de salaires et de retraites, le maintien de la souveraineté nationale et la suspension des privatisations. Georges Karatzaféris s'était également opposé à la nomination de Philippos Petsalnikos, président socialiste du parlement grec, au poste de premier ministre, lui préférant l'ancien gouvernement de la Banque de Grèce, Lucas Papademos.

    Une équipe resserrée

    La nouvelle équipe de Lucas Papademos compte au total 17 ministres, dont 14 de la majorité de gauche. Douze ministres socialistes sortants sont ainsi maintenus à leurs postes, dont Andréas Loverdos, Anna Diamantopoulou et Georges Papaconstantinou aux ministères sensibles, au vu des réformes en cours, de la Santé et de l'Education, et de l'Environnement-Energie. Le ministère grec des Finances reste ainsi dans les mains d'Evangélos Vénizelos, poids lourd socialiste.

    Deux conservateurs font également leur entrée dans ce gouvernement resserré, chargé de rassurer les marchés financiers sur la cohésion du pays à l'approche d'élections législatives anticipées en février 2012. Dimitris Avramopoulos décroche le portefeuille de la Défense tandis que l'ex-commissaire européen Stavros Dimas, devient ministre des Affaires étrangères. Ce dernier, âgé de 70 ans, est vice-président de la Nouvelle Démocratie, le principal parti d'opposition qui s'est rallié dimanche à l'idée de participer à ce gouvernement de coalition pour sauver la Grèce de la faillite.

    Vendredi, Nicolas Sarkozy s'est dit certain que le nouveau premier ministre grec «aurait à cœur» de faire le nécessaire pour ancrer son pays dans l'Europe. «La France, amie de la Grèce, continuera à lui apporter son soutien et son assistance pour mener à bien les réformes qui permettront à votre pays de retrouver le chemin de la compétitivité et de la croissance», a assuré le président de la République.


    Le Figaro - 11/11/11

  • Draghi, Papadimos, Monti: le putsch de Goldman Sachs sur l'Europe

    (édito 11/2011)

    Mario Draghi est le nouveau patron de la Banque centrale européenne (BCE). Loukas Papadimos vient d’être désigné comme premier ministre grec. Mario Monti est pressenti comme président du conseil italien. Ce sont trois financiers formés aux Etats-Unis, dont deux anciens responsables de la sulfureuse banque Goldman Sachs. Est-il bien raisonnable de recruter les incendiaires comme pompiers ? Explications.

    Mon premier s’appelle Mario Draghi. Il est diplômé d’économie du Massachussetts Institute of Technology (MIT). Il a été chargé des privatisations italiennes de 1993 à 2001. Il est devenu gouverneur de la Banque d’Italie en 2006. De 1993 à 2006, il a siégé dans divers conseils d’administration de banques. De 2002 à 2006 il a été vice-président pour l’Europe de Goldman Sachs, la sulfureuse banque d’affaires américaine. Il vient d’être nommé président de la Banque centrale européenne (BCE).

    Mon second s’appelle Loukas Papadimos. Lui aussi est diplômé du Massachussetts Institute of Technology (MIT). Il a été professeur à l’Université américaine de Columbia avant de devenir conseiller économique de la Banque de réserve fédérale de Boston. De 1994 à 2002, il a été gouverneur de la Banque de Grèce : poste qu’il occupait quand la Grèce s’est « qualifiée » pour l’euro, grâce à des comptes falsifiés par Goldman Sachs. Puis, il a été vice-président de la Banque centrale européenne (BCE). Il vient d’être nommé, sur pression de l’Union européenne et du G20, premier ministre de Grèce avec le soutien des deux partis dominants.

    Mon troisième s’appelle Mario Monti. Il est diplôme de l’Université de Yale. Il a étudié le comportement des banques en régime de monopole. Puis il a été durant dix ans commissaire européen, de 1994 à 2004. D’abord « au marché intérieur et aux droits de douane » (ou plutôt à leur suppression) puis à la concurrence. Membre de la Trilatérale et du groupe de Bilderberg – selon Wikipédia – il a été nommé conseiller international de Goldman Sachs en 2005. Il vient d’être nommé sénateur à vie et l’Union européenne et le G20 tendent de l’imposer comme président du conseil italien.

    Mon tout c’est trois financiers européens (?), trois hommes de la superclasse mondiale, formés dans les universités américaines et étroitement liés à Goldman Sachs.

    « Government Sachs » : aux commandes de l’Europe ?

    La banque Goldman Sachs est surnommée aux Etats-Unis « government Sachs » tant elle est influente sur le gouvernement américain. Le secrétaire au Trésor de Clinton, Robert Rubin, qui procéda à la dérégulation financière, venait de Goldman Sachs. Tout comme le secrétaire au Trésor de Bush, Hank Paulson, qui transféra aux Etats les dettes pourries des banques, lors de la crise financière. L’actuel président de Goldman Sachs, Llyod Blankfein, aime à dire qu’il « fait le métier de Dieu ». En fait, Goldman Sachs est au cœur de la prédation financière et elle est impliquée dans de nombreux scandales financiers : celui des « subprimes », celui de la tromperie de ses clients (à qui elle recommandait d’acheter des produits financiers sur lesquels elle spéculait à la baisse), celui du maquillage des comptes grecs.

    Ce sont les hommes de Goldman Sachs qui sont aujourd’hui poussés aux commandes. Par quels moyens ? Et pour quelles fins ? Faire prendre en charge par les peuples les fautes des banques ? Faire sauver l’Amérique par les Européens ?

    Dans six mois – et sauf imprévu – les Français vont élire un nouveau président de la République : il serait prudent de leur part de demander aux trois principaux candidats (en l’état, François Hollande, Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy) de s’engager à ne pas se faire imposer comme premier ministre un… ancien de chez Goldman Sachs.

    Polémia.
    10/11/2011
    (Source : Wikipedia)

    Voir aussi :

    L'Arnaque : La finance au-dessus des lois et des règles de Jean de Maillard (première partie)
    L'Idéologie de la superclasse mondiale (1re partie)
    Les non-dits de la crise économique et financière
    Le pouvoir financier au coeur de la crise de 2008 : Les analyses prophétiques de Maurice Allais

    Image : Le gouverneur de la Banque d'Italie Mario Draghi et le président de la Banque centrale européenne (BCE) Jean-Claude Trichet (ici en octobre 2009).

     

  • Propagande métisseuse: le Secours catholique n'est pas en reste...

    http://www.contre-info.com/propagande-metisseuse-le-secours-catholique-nest-pas-en-reste#more-16211

     

    Voici les trois affiches de la campagne publicitaire que lance le Secours « Catholique »  pour récolter votre argent.

    Contre-info.com - 11/11/11

  • Karim Benzema: " Mon sang, il est algérien!"

    449px-KBenzema-500x250.jpg

    10/11/2001 – 20h00
    MADRID (NOVOLyon) – L’attaquant de l’équipe de France et joueur du Real de Madrid, Karim Benzema, vient montrer une nouvelle fois son amour de l’Algérie ! Dans un entretien au magazine So Foot, dont des extraits ont été diffusés par le site musulman Oumma.com, il a déclaré sans ambages : “Mes parents sont français, nés en France, après oui, mon sang, il est algérien, voilà.”

    En décembre 2006, il avait déjà dit au micro de la radio RMC : “L’Algérie c’est le pays de mes parents, c’est dans mon coeur, mais sportivement, je jouerai en équipe de France.”

    Novopress info - 10/11/11

  • CRIF: Nicolas Sarkozy rassure Israël face à un Iran "qui le menace"

    IRIB- "La France sera toujours aux côtés d'Israël, pour s'opposer à un Iran qui le menace", a déclaré Nicolas Sarkozy au Conseil représentatif des institutions juives (Crif) et au Congrès juif mondial (CJM), a annoncé, jeudi, un communiqué du "Crif".

    Ronald S. Lauder, Président du Congrès juif mondial et Richard Prasquier, Président du "Crif", ont été reçus mercredi à l'Eysée, où ils exprimaient également au chef de l'Etat, leur inquiétude "face à l'unilatéralisme palestinien", précise le communiqué.


    http://french.irib.ir/info/international/item/152372-crif-nicolas-sarkozy-rassure-isra%C3%ABl-face-%C3%A0-un-iran-qui-menace

    ALTER INFO - 11/11/11

     


  • Forte mobilisation des catholiques à Rennes contre la pièce blasphématoire

    Compte rendu envoyé par un protestataire : Face aux blasphèmes répétés, la mobilisation ne faiblit pas, à Paris comme en province. Vendredi soir c’est à Rennes qu’environ 800 manifestants se sont rassemblés pour une marche de protestation et de réparation. Dès 19h la foule afflue sur la Place de Bretagne où rendez-vous a été donné par l’Institut Civitas. Après un discours dynamique d’Alain Escada rappelant la raison de la mobilisation, le cortège s’est ébranlé pour rejoindre le Théâtre National de Bretagne où était jouée la pièce blasphématoire de Castelluci. Banderoles et drapeaux en tête, la marche s’écoule solennellement, les chants et prières étant parfois entrecoupés de slogans de protestation. Arrivés à 100 mètres du théâtre, les manifestants sont bloqués par la police à l’aide de grandes grilles bloquant tout le quartier.

     

    L’Abbé de Cacqueray, supérieur du district de France de la Fraternité St Pie X, prend alors le micro. Ses mots pleins d’indignation résonnent dans toute l’avenue sous les applaudissements de la foule. Puis chacun s’agenouille pour réciter le chapelet sous les yeux des policiers. C’est le moment que choisit une centaine de militants d’extrême-gauche pour faire son apparition en queue de cortège et hurler ses slogans antifascistes et antichrétiens. Tenus à distance par un un cordon de policiers, il repartiront une demi-heure après. Le cortège rejoindra ensuite son point de départ avant de se disperser dans le calme.


    Merci Philou

    Contre-info.com - 11/11/11

  • Le 11 Novembre est une journée du souvenir, fondement du patrimoine, c'est aussi une date de notre Histoire

     

    Libres propos de Françoise Buyrebaud

    A nos arrière grands pères, grands oncles, ou grands pères et grands oncles pris dans la tourmente de Verdun, du Chemin des Dames, de la bataille de la Marne, à leurs lettres qui attendent encore, serrées d’un ruban, dans nos tiroirs, nous devons plus qu’un souvenir de pitié et de piété pour ce qu’ils ont enduré, surmonté, ce qu’ils nous ont donné ; à ces photos pâlies qui en témoignent, nous devons plus qu’un geste de respect : en parler toujours et encore, afin que l’oubli ne tue pas ceux qui sont revenus autant que ceux qui sont tombés. Envers ces femmes qui attendaient ces lettres, en ville ou à la campagne, et que leurs pas portaient, à l’heure de l’affichage, vers les listes de tués ou disparus, nous avons le même devoir.

    Car la mort n’existe que lorsque tout récit s’est éteint, lorsque l’oubli efface définitivement tout souvenir, toute image, toute connaissance, racines délitées qui ne lanceront plus aucune pousse vers la lumière et la vie .

    N’oublions pas ces « cibles prédestinées », les écrivains Alain Fournier, fauché le 22 septembre 1914 à vingt neuf ans
    Charles Péguy, tombé le 5 septembre 1914 à plus de quarante ans
    Augustin Cochin, historien de la Révolution française, né en 1876, tué le 8 juillet 1916
    Guillaume Appolinaire, mort de ses blessures le 8 novembre 1918


    N’oublions pas non plus les survivants et témoins Roland Dorgelès, Georges Bernanos, réservistes volontaires pour le front,comme le pacifiste Henri Barbusse, Drieu la Rochelle retournant au front après chaque blessure ; les compositeurs Maurice Ravel, réformé et enfin accepté comme brancardier, et Claude Debussy (Claude de France !) mort en mars 1918, profondément éprouvé par ces années.

    Nations Presse Info

  • Le meurtrier de la petite Océane a été incarcéré

    1713378_48817cd2-0bee-11e1-98cb-00151780182c_640x280.parents d'océane.jpg

    Au centre, Jimmy et Michaëla Luna, les parents d'Océane - (Cliquez sur la photo)

    Depuis hier, Océane est enterrée et son meurtrier présumé dort en prison. Dans la soirée, Nicolas B. a été mis en examen pour « meurtre sur mineur de 15 ans précédé ou suivi de viol » puis incarcéré. La veille, ce jeune homme de 25 ans au parcours instable avait avoué sa participation dans l’enlèvement et la mort de la fillette de 8 ans, volatilisée à deux pas de chez elle samedi soir dernier avant que sa dépouille asphyxiée et poignardée ne soit découverte le lendemain.

    Mercredi soir, alors qu’il était en garde à vue, ce père de 3 enfants a tenté de se suicider en se pendant avec son tee-shirt. « Ce geste trahit sa fébrilité », analyse son avocat, Me Jean-François Corral, qui souligne combien la reddition volontaire de son client prouve son « humanité » : « Il ne supportait plus ce qu’il avait fait, il fallait qu’il paie », ajoute Me Corral.

     

    Nicolas a poursuivi hier ses aveux. Ainsi, samedi après-midi, comme il en avait la malheureuse habitude, l’ancien boucher s’est fortement alcoolisé à Nîmes. Au lieu de rentrer directement chez lui — une modeste maison du centre-ville de Bellegarde qu’il partage avec sa compagne, mère de ses deux derniers enfants —, il décide de se rendre chez un ami. Cet homme n’est autre que celui chez lequel se rend justement Océane, à la demande de son père, pour récupérer des jeux vidéo. Nicolas croise la petite fille et parvient sans difficulté à la faire monter dans sa voiture. Elle le connaît car il s’est déjà rendu chez ses parents.

    Peu d’habitants le connaissaient

    Là, au lieu de se rendre chez l’ami en question, Nicolas décide de prendre une autre direction et de commettre l’irréparable. Selon ses dires, l’enchaînement des faits — les caresses intimes, l’asphyxie et les coups de couteau — se serait déroulé à la sortie du village, là où le corps sera découvert. Grâce à ses indications, les gendarmes y ont retrouvé hier l’arme utilisée pour poignarder la fillette à quatre reprises : un canif que l’intérimaire transportait dans sa voiture. A Bellegarde, le soulagement de l’arrestation n’a pas effacé la colère, ni l’incompréhension.

    Peu d’habitants connaissaient Nicolas, ses cheveux blonds coupés ras, sa maigreur et son teint très pâle. Ses voisins décrivent un garçon « très nerveux », mais n’imaginaient pas que ce « bon père de famille » puisse commettre un tel acte. Les riverains se souviennent surtout des innombrables disputes qui émaillaient la vie du couple. « Ça criait beaucoup à l’intérieur », indique une jeune fille. Hier midi, sa compagne est revenue dans la maison, protégée par les gendarmes, pour une perquisition.

    Le Parisien - 11/11/11