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A ceux qui douteraient encore, voici une copie explicite, en bonne et du forme et sans aucun malentendu, de l’invitation faite par Marine Le Pen pour son déjeuner organisé à l’ONU, à New York City.
Près de 46 millions d’Américains n’ont plus de quoi se nourrir et vivent de bons alimentaires leur permettant d’échapper à la famine [source]. Pour donner un ordre de grandeur, c’est l’équivalent de la somme des populations de la Suisse, Hongrie, Suède, Portugal et Autriche [source].
Ce chiffre représente un record absolu dans toute l’histoire des USA. Chaque mois, il gonfle et un nouveau record sinistre est battu.
L’administration Obama a essayé de créer des emplois par un plan de stimulus qui s’est avéré inefficace et incroyablement coûteux. Chaque emploi crée a coûté plus de 250.000 dollars ! [source] Si on s’arrête un peu sur ce chiffre, on constate que l’Etat est prêt à claquer 250.000 dollars de recettes fiscales pour créer un seul emploi. La valeur d’une place de travail est de 250.000 dollars. La place de travail est donc un bien précieux pour le pays. En même temps, l’Etat laisse les entreprises US exporter les emplois à l’étranger sans mettre des barrières pour freiner l’hémorragie.
Les 46 millions d’affamés n’ont pas perdu leurs jobs parce qu’on a engagé d’autres Américains à leur place. Tout simplement leurs jobs n’existent plus. Ils ont été exportés en Chine. Le cercle vicieux est bien fermé du moment que même la stimulation de la consommation vient juste doper le commerce chinois et profite de moins en moins à l’économie locale.
Les Américains sont aujourd’hui victime d’un gouvernement fédéral tentaculaire qui s’engraisse sur leur dos. Autour de lui, gravite un nombre inconnu d’agences à 3 lettres qui ont des budgets secrets qu’ils dépensent dans des activités secrètes incluant surveillances de masse, manipulation, crimes, trafic, corruption, détournements de fonds… Quand on rajoute à cela le coup des guerres inutiles et l’argent versé pour sauver les banques, il ne reste plus au fond de la caisse que les bons alimentaires. Pour combien de temps encore ?
Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National, candidate à l’élection présidentielle de 2012
Echec annoncé du G20 de Nicolas Sarkozy, chantage indigne de la Caste européiste contre le référendum grec, mise sous tutelle des pays de la zone euro les uns après les autres à commencer par l’Italie aujourd’hui : les mauvais coups pleuvent contre les peuples et la démocratie.
Avec la parfaite complicité de Nicolas Sarkozy, ce sont désormais clairement les marchés financiers qui font la loi en Europe, alors que les peuples sont priés de se taire.
Et pourtant, face à cette avalanche de mauvais coups, le Parti socialiste s’enferme dans un silence très embarrassé. Rien sur le fond des discussions du G20, rien sur les monstrueuses pressions contre la démocratie en Grèce, rien non plus au sujet de la mise sous tutelle des peuples de la zone euro.
Le Parti socialiste et son candidat François Hollande se contentent de commenter la méthode choisie par Nicolas Sarkozy, sans rien dire sur le fond des sujets. Ce silence gêné du PS est en fait très logique : partageant les mêmes orientations que l’UMP et Sarkozy, le PS n’a rien à dire. Il tente de s’opposer sur la place de la virgule dans la phrase, mais sur les vrais enjeux il se tait.
En cette période automnale, comme les feuilles les masques tombent : la collusion entre l’UMP et le PS sur l’Europe, l’euro, le règne des marchés financiers, la mise à l’écart des peuples est totale.
Sans aucun malentendu mais au contraire en toute clarté, Marine Le Pen, candidate pour la défense du peuple français à l’élection présidentielle de 2012, a bien rencontré Ron Prosor, l’ambassadeur d’Israël, lors d’un déjeuner à l’Organisation des Nations Unies à New York.
Ce dernier a déclaré en toute franchise qu’il était « un homme libre » et qu’il avait « beaucoup apprécié la conversation » avec Marine Le Pen au sujet de l’Europe et d’autres sujets et qu’il appréciait « la diversité d’opinions ».
Le déjeuner s’est poursuivi avec les ambassadeurs de Trinité-et-Tobago, Rodney Charles, de l’Uruguay Jose Luis Cancela, d’Arménie Garen Nazarian et avec Kazuao Kodama numéro 2 de la mission japonaise.
Marine Le Pen s’applique parfaitement au bon respect son agenda au États-Unis. Après une première étape à Washington en ce début de semaine où elle a pu rencontrer Ron Paul, candidat à l’investiture républicaine pour la présidentielle américaine, proche du Tea Party et échanger ensuite sur plusieurs sujets avec son équipe.
Marine Le Pen en a aussi profité pour discuter avec Joe Walsh, membre du Parti républicain, élu du 8e district de l’Illinois à la Chambre de représentants et au Congrès. Elle réalisera une visite à Manhattan où elle doit rencontrer les manifestants d’Occupy Wall Street.
Ron Prosor, ambassadeur d'Israël à l'ONU - (Cliquez sur la photo)
New York Envoyé spécial - L'ambassadeur israélien à l'ONU, Ron Prosor, s'est joint au déjeuner de Marine Le Pen avec plusieurs diplomates, jeudi 3 novembre, à New York. C'est la première fois que la présidente du FN rencontre officiellement un responsable israélien d'importance. Même si ce dernier ne s'est pas attardé, sa présence a été confirmée par Guido Lamberti, qui sert de tête chercheuse à la candidate du FN aux Etats-Unis.
"C'est un signal de sa part", a-t-elle déclaré tout sourire, à l'issue du déjeuner.
"Il a clairement montré par ce geste qu'il considérait ma personne, ma candidature, comme parfaitement légitimes, quelqu'un avec qui, comme avec n'importe qui d'autre, on pouvait discuter des révolutions arabes ou de l'avenir de la zone euro", s'est-elle félicitée.
C'est une belle prise pour Marine Le Pen. Interrogé par notre confrère de RTL, le numéro un de la délégation israélienne à l'ONU a répondu par un lapidaire : "Je suis un homme libre".
L'ambassadeur d'Israël à l'ONU, Ron Prosor, était présent au déjeuner qui a réuni aujourd'hui plusieurs diplomates de haut rang autour de Marine le Pen aux Nations-Unis. C'est la première fois qu'un représentant de l'État hébreu rencontre publiquement la présidente du Front national. «Nous apprécions la diversité d'opinions, a déclaré l'ambassadeur d'Israël à la presse au terme de sa rencontre avec Marine le Pen, qui a duré vingt minutes. Nous avons parlé d'Europe et d'autres questions et j'ai beaucoup apprécié la conversation».
De toute évidence, la reconnaissance sans équivoque de l'Holocauste par Marine le Pen, ainsi que son souci constant d'éviter tout soupçon d'antisémitisme, ont donc contribué à la rencontre spectaculaire qui s'est déroulée entre la présidente du FN et l'ambassadeur d'Israël à l'ONU. La rupture de Marine le Pen avec l'héritage de Jean-Marie le Pen est ici particulièrement nette. Les conséquences politiques de cette rencontre seront sans aucun doute importantes à moins de six mois de la présidentielle.
Trois autres ambassadeurs auprès de l'ONU participaient au déjeuner : l'ambassadeur de Trinité-et-Tobago Rodney Charles, celui de l'Uruguay Jose Luis Cancela et celui d'Arménie Garen Nazarian. Le numéro deux de la mission japonaise Kazuao Kodama participait également à ce déjeuner.
"J'espère" que cette page est tournée, a-t-elle déclaré en réponse à une question. "Ce malentendu a duré des années et a servi de base à une caricature qui a nui à notre mouvement", a-t-elle ajouté.
Mme Le Pen a estimé que sa rencontre avec l'ambassadeur israélien lançait peut-être un "signal", le "signal (...) que la page est tournée", concernant "les ambiguïtés qui ont existé entre les Français juifs et le Front national". "Je crois que ça lève une accusation portée contre nous et instrumentalisée par nos adversaires politiques pour tenter de nous écarter du pouvoir", a-t-elle ajouté.
L'avocat pénaliste Gilles-William Goldnadel, président de l'association France-IsraëLet membre du comité directeur du Crif, avait ainsi accepté de s'entretenir avec elle. Et il l'avait invitée à «en finir avec l'ambiguité du FN à l'égard de la Shoah».
Nous avons assisté depuis quinze jours à un certain réveil des catholiques traditionnels (et pas seulement), légitimement révoltés par la pièce de théâtre de Castellucci. On n’avait pas vu une telle mobilisation, une telle ténacité, une telle vigueur depuis… bien longtemps.
Trop c’est trop ! Ces fachos-intégros-fonda-menthe-à-l’eau cathos qui osent s’élever contre « la liberté d’expression » commencent à irriter… certains réacs ! Puisque les CRS et les gardes-à-vue n’ont pas pu empêcher les différentes manifestations, puisque la propagande journalistique n’a pas évité le ralliement de catholiques de toutes « tendances » (et même de non catholiques) au mouvement d’indignation, c’est à certains catholiques d’essayer de stopper le vent de révolte qui souffle sur la capitale. Nous ne nous attarderons bien sûr pas sur le cas de Mgr Vingt-Trois(surnommé « Mgr Trente-Trois » en raison de sa supposée proximité avec la Franc-Maçonnerie), dont la condamnation des protestations est tout sauf inattendue.
Les surprises viennent d’internet.
Comme vous l’avez vu, Contre-info a soutenu la réaction catholique face à l’ignominie anti-christique. Mais des blog et site majeurs de la réinfosphère ont pris une position différente : Le Salon Beige ainsi que Nouvelles de France ont mis en avant des diatribes flétrissant les manifestations.
Myriam Picard de l’association maçonnique Riposte Laïque a pondu un billet maladroit pour vous convaincre, chers lecteurs, d’arrêter vos grotesques protestations : « Quant à moi, oui, je l’affirme, cette pièce m’a conduite encore plus au Christ… »
L’abbé Grosjean, prêtre réputé « conservateur » du diocèse de Versailles, lui emboîte le pas et déclare : « Je n’y ai pas vu d’intention blasphématoire. J’en suis même sorti bousculé, marqué. Elle appelle à une vraie réflexion sur la souffrance, sur la compassion de ce fils pour ce vieux père. » Certains diront que l’abbé Grosjean se saisit, ici encore, d’une occasion d’attaquer ce qui a plus ou moins un lien avec la Fraternité Saint Pie X, contre qui il a une dent (une molaire, même).
Pour les lecteurs qui douteraient de la nécessité de continuer le combat et de l’amplifier pour l’arrivée dans les salles de l’immonde pièce « Golgotha Pic-nic », voici la vidéo de la pièce de Castellucci.
Ci-dessous un article écrit surfecit-forum par un contributeur, qui répond à certaines objections des catholiques qui nient le caractère blasphématoire de la pièce.
Myriam Picard et l’abbé Grosjean tombent dans le panneau par Ennemond
Dans les récentes productions « d’œuvre d’art » malmenant l’image du Christ, il est évident que les artistes se sont gardé une porte de sortie : c’est l’interprétation de l’œuvre. Complètement minimalisée, elle permet d’une certaine manière de considérer que le mélange de ce qu’il y a de plus sacré et de ce qu’il y a de plus profane est en réalité un hymne à la déchéance du Christ pendant la Passion. Ainsi, dans la pièce de Castellucci, je me rappelle que le dialogue du père et du fils se termine sur la répétition par trois reprises du « Pardonne-moi ». Comment ne pas y voir une belle manière de se pardonner les uns les autres, diront certains ?
Mais, ce n’est qu’une interprétation accidentelle et les commentateurs des médias anticléricaux n’ont pas l’air de la partager. Castellucci l’a avoué : « On peut même voir le spectacle comme un chant d’amour pour le Christ, ce qui est le cas de certains spectateurs. » Visiblement, il n’a pas l’air de dire que cette interprétation est la sienne ni celle de la majorité des participants à cette pièce… Il a plutôt l’air de dire qu’elle est accidentelle et minoritaire, peut-être même inattendue ?
Car la réalité qui reste, c’est l’image du Christ galvaudée et profanée. Je pense que c’est le terme à utiliser. Profaner, c’est violer le caractère sacré. C’est ce que fait Castelluci en mélangeant ce qu’il y a de plus saint et ce qu’il y a de plus vil. C’est comme si un artiste prenait une photo d’un homme tout nu et remplaçait sa tête par celle du pape afin de présenter la solitude et le dépouillement d’un Benoît XVI attaqué par tous les journalistes. Myriam Picard, M. l’abbé Grosjean, y verriez-vous une belle œuvre au motif que l’homme Joseph Ratzinger a également un corps d’homme ? Non, il y a des choses qui ne se montrent pas. De même qu’il est de notre devoir de prononcer le nom de Dieu qu’avec respect (2ecommandement) ; de même, nous ne pouvons pas laisser désacraliser son image.
C’était exactement la même chose dans le Piss Christ de Serrano. Une religieuse avait affirmé qu’elle voyait dans le crucifix plongé dans l’urine une manière de concevoir la déchéance du Christ souffrant (NdCR. Sur le Christ souffrant d’Isaïe 53, lire notre article L’ »art » qui justifie tous les blasphèmes). La minuscule porte de sortie de l’artiste devient un panneau dans lequel tombent les catholiques craintifs de dénoncer la christianophobie montante.
De grâce, Myriam Picard ; de grâce, M. l’abbé Grosjean, ne tombez pas dans le panneau de ces artistes qui introduisent des scènes qui profanent Notre Seigneur. Castellucci dit jouer sur l’ambiguïté. C’est bien le problème. Ses défenseurs disent ne pas avoir à respecter le sacré. Tout le problème est là. Ce seront les mêmes qui demain défendront Golgota Picnic qui présente un Christ de la plaie duquel sortent des billets de banque et, autour de lui, des hamburgers jonchant le sol pour ridiculiser la multiplication des pains. A l’heure où tous les anticléricaux se gaussent de cette pièce, y verrez-vous encore une manière de voir la déchéance humaine du Fils de Dieu ?
De notre côté, nous continuerons fermement à défendre le Christ et à demander que son image ne soit pas désacralisée, ne soit pas profanée.
La pierre de soleil n'est plus une légende ! Selon les conclusions d'une étude publiée hier, le spath d'Islande permettrait grâce à certaines propriétés de retrouver la position du Soleil même lorsque le ciel est couvert. Il y a plusieurs siècles déjà, les vikings auraient très bien pu utiliser cette pierre pour découvrir les Amériques avant l'heure...
C'est l'histoire du Monde ce matin, elle nous est racontée par Nicolas Lejman.
« Le temps était couvert et orageux… Alors le roi prit la pierre de soleil et la tenant au-dessus de lui, il vit où le Soleil se trouvait » Ceci est un passage plutôt intriguant des sagas scandinaves, un ensemble de texte du Moyen-âge où les légendes vikings se mêlent à la vérité historique. On a longtemps pensé que la pierre de soleil dont nous parle ce texte était un mythe. Et pourtant, cette pierre qui permet de retrouver la position de notre étoile même par temps couvert existerait bien. Un groupe de chercheurs français vient de le démontrer.
On sait que les Vikings, en excellent navigateurs, ont pu atteindre le Groenland voire le continent américain dès l'an 1000 mais on ignore toujours comment ils auraient pu parcourir ces milliers de kilomètres alors que la boussole leur était inconnue. L'étude publiée hier apporte un élément de réponse : pour s'orienter sur l'immensité de l'océan Atlantique les Vikings ont sans doute utilisé un spath d'Islande.
Cette pierre transparente que l'on retrouve en abondance en Europe du nord a des propriétés particulières, elle dépolarise la lumière. Cela signifie que le spath d'Islande va filtrer différemment les rayons du soleil et va produire deux faisceaux lumineux. Et quand les deux faisceaux seront de même intensité, l'orientation de la pierre indiquera alors la position du Soleil.
Un morceau de pierre de soleil a même été retrouvé à bord d'une épave du 16ème siècle. A cette époque, les navigateurs disposaient déjà de boussole pour s'orienter mais les canons faits de métal pouvaient perturber le champ magnétique. C'est pourquoi, même bien après les Vikings, la pierre de soleil est restée un instrument très utile. Malheureusement, aucune pierre de ce genre n'a pu être retrouvée sur un bateau Viking, cette thèse ne peut donc pas encore être confirmée à 100% mais la découverte des propriétés du Spath d'Islande est un élément de plus qui montre que les Vikings ont probablement foulé le sol américain près de 400 ans avant Christophe Colomb.
On ignore toujours comment s'y sont pris les navigateursvikings pour découvrir l’Amérique mais on vient peut-être de découvrir un indice : la « pierre de Soleil » mentionnée dans une saga scandinave, qui indiquerait la position du Soleil même par temps couvert, pouvait fort bien être un spath d’Islande selon des études conduites par des physiciens français et leurs collègues.
En 1967, l’archéologue danois Thorkild Ramskou a proposé une théorie ingénieuse pour expliquer comment les Vikings ont pu naviguer sans encombre jusqu’en Amérique du Nord, malgré des cieux souvent couverts et en l’absence d’une boussole, vers l'an 1000. Selon lui, les Vikings auraient pu faire comme d’autre espèces vivantes qui, à l'image du papillon monarque, exploitent la polarisation de la lumière du Soleil pour se diriger. Pour ce faire, les Viking auraient mis à profit les propriétés optiques de certains cristaux.
De fait, on trouve un intriguant passage dans la saga de Hrafn Sveinbjarnarson où il est dit à peu près ces mots : « Le temps était couvert et orageux... Le roi regarda autour de lui et ne vit ciel bleu... Alors le roi prit la pierre de soleil et la tenant au-dessus de lui, vit d’où le Soleil brillait ». Mais que serait donc cette fameuse pierre de Soleil ?
Depuis longtemps, on pense qu’il pourrait s’agir du spath d'Islande. Sa biréfringence est précisément une conséquence du phénomène de polarisation de la lumière et ce cristal a joué un rôle non négligeable dans la découverte et la construction de lathéorie de la lumière de Descartes à Maxwell, en passant par Fresnel et Arago.
Il se trouve que l’œil humain perçoit dans certaines situations la polarisation de la lumière, c'est-à-dire le fait que les vibrations transversales du champ électromagnétique de certaines ondes lumineuses se fassent selon un axe donné. Ce phénomène avait été observé en 1844 par Wilhelm von Haidinger lorsqu’il étudiait la lumière polarisée passant à travers des cristaux. Il constata que des sortes de taches jaune-bleu, appelées depuis les brosses d’Haidinger, se manifestaient sur sa rétine. Il s’agit d’un exemple de phénomènes entoptiques qui sont des effets visuels dont la source est dans l’œil lui-même.
Le grand physicien Hermann Ludwig Ferdinand von Helmholtz s’est penché sur ce phénomène, comme l'ont fait plus récemment deux physiciens français, Guy Ropars et Albert Le Floch, qui ont même pensé que les Vikings étaient peut-être capables de voir à l'œil nu la polarisation de la lumière du Soleil. Avec leurs collègues, les deux chercheurs viennent aujourd’hui de publier un nouvelarticle dans lequel ils étudient cette fois la possibilité d'utiliser la polarisation de la lumière du Soleil au moyen d'un cristal decalcite optique pour naviguer.
La biréfringence de la calcite optique et la dépolarisation
Ils montrent, calcul et expérience à l’appui, que l’on peut effectivement utiliser le spath d’Islande pour localiser le Soleil dans le ciel même lorsque celui-ci est couvert. Il faut pour cela utiliser le cristal comme un dépolariseur. En fait, l'idée elle-même et la méthode sont connues depuis longtemps, Leif Karlsen a par exemple écrit un livre sur le sujet, mais des controverses persistaient sur la possibilité d'utiliser cette calcite optique aux latitudesarctiques, compte tenu de la polarisation réelle de la lumière.
La lumière du soleil elle-même n’est pas vraiment polarisée lorsqu’elle atteint les sommets de l’atmosphère terrestre. Mais lorsqu’ elle entre en interaction avec sesmolécules, elle le devient. Si l’on regarde le ciel à travers unspath d'Islande, ses propriétés de biréfringence font que l’on obtient deux images différentes. Surtout, un faisceau lumineux entrant ressort sous la forme de deux faisceaux dont l’un a perdu sa polarisation. Leurs intensités sont en général différentes mais lorsque l’on tourne le cristal, ces deux intensités finissent par être les mêmes, ce qui permet alors de localiser le Soleil sur la voûte céleste. Selon Guy Ropars et Albert Le Floch, une précision de l'ordre de quelques degrés peut être atteinte, même dans des conditions de luminosité crépusculaires.
Remarquablement, la découverte d’un cristal de spath dans une épave britannique du XVIe siècle découverte au large de l'île anglo-normande d'Aurigny (Alderney en anglais) vient apporter de l’eau au moulin des chercheurs. La masse métallique des canons de ce navire pouvait altérer parinduction le champ magnétique mesuré localement dans de telles proportions que des erreurs de navigation importante pouvaient en résulter. L’utilisation d’un compas optique basé sur la calcite optique pouvait donc être une nécessité et cela expliquerait sa présence à bord du navire.
Bien sûr, nous n’avons toujours pas de traces écrites directes ou de preuves manifestes que les Vikings de l’an 1000 utilisaient un tel compas optique mais nous savons désormais que la physique l’autorise.
Apres avoir rencontré Ron Paul , candidat républicain à la présidence (et bien que les journaux français entonnaient le contraire) , l'ambassadeur israélien à l'ONU, Ron Prosor, s'est joint au déjeuner de Marine Le Pen avec plusieurs diplomates, jeudi 3 novembre, à New York. C'est la première fois que la présidente du FN rencontre officiellement un responsable israélien d'importance.
Une belle prise pour Marine Le Pen. Lors du déjeuner avec "les ambassadeurs francophones" à l'ONU, le n°1 de la délégation israélienne, Ron Prosor, était présent. Interrogé par notre confrère de RTL, il a répondu un lapidaire : "Je suis un homme libre". Une présence confirmée par Guido Lamberti, qui sert de tête chercheuse à la candidate du FN aux Etats-Unis.
Chaque année, en France, des immigrés se rendent coupables de milliers d’agressions physiques, de centaines de viols et de dizaines de meurtres contre des femmes blanches et des hommes blancs, sans que les hommes politiques qui nous dirigent n’élèvent la moindre protestation.
Dans les médias, ces affaires ne sont jamais traitées comme des crimes racistes, mais comme de simples faits divers. Il est en effet entendu que le racisme ne peut être que le fait d’un Blanc, et que la victime du racisme ne peut être qu’un pauvre immigré du tiers-monde, un “homme de couleur”.
Comme dans les films produits à Hollywood, le raciste, le salaud, celui qui agresse les plus faibles, qui pille la planète et qui détruit la nature, c’est toujours le Blanc, qui est le bouc émissaire des véritables prédateurs que sont les mondialistes, les maîtres de la finance et des médias. Ceux-ci travaillent sans relâche, de toutes leurs forces, à instaurer la société multiculturelle et le gouvernement mondial. Leur objectif est clair : ils veulent détruire la race blanche.
Depuis des décennies, leur propagande culpabilisatrice tourne à plein régime. À la radio, dans la presse, au cinéma et sur toutes les chaînes de télévision, c’est toujours le même discours humaniste, égalitaire et moralisateur qui revient, sept jours sur sept et tout au long de l’année. Au nom de l’égalité et de la tolérance, on demande ainsi au “petit Blanc” d’accepter l’arrivée des immigrés du tiers-monde, toujours plus nombreux, sous peine d’être désigné comme “raciste”. Il faut ouvrir son esprit, ouvrir son cœur, ouvrir… tout !
Après quelques décennies de ce matraquage idéologique estampillé aux “droits de l’homme”, le résultat est aujourd’hui bien visible pour tous : en Ile-de-France, les Blancs sont aujourd’hui minoritaires. Et au fur et à mesure que leur nombre grandit, les étrangers commettent sur les Blancs des violences et des crimes toujours plus nombreux. Voilà la vérité.
Après avoir provoqué un séisme politique et économique lundi en annonçant un référendum surprise, le Premier ministre grec est revenu sur sa décision.
Jeudi, Georges Papandréou a annoncé être prêt à retirer son projet, à condition que la droite vote le plan de sauvetage européen. "Même si nous n'allons pas à un référendum, qui n'a jamais été une fin en soi (...), je salue la position du parti de l'opposition", a-t-il déclaré dans un communiqué.
La droite, en la personne d'Antonis Samaras (Nouvelle démocratie, parti d'opposition), avait proposé quelques heures plus tôt un gouvernement de transition pour signer le plan de sauvetage, puis engager des élections législatives anticipées.
"Je crois en ce moment historique que les partis politiques peuvent se mettre d'accord", a affirmé le Premier ministre grec.
Georges Papandréou était, depuis mercredi, dans une situation inextricable. L'annonce du référendum a eu l'effet d'une bombe, à droite comme à gauche, et le Premier ministre a perdu de nombreux soutiens, à tel point qu'il a finalement perdu la majorité au parlement.
D'après le journaliste de Libération Jean Quatremer, "il s'agissait d'une manoeuvre politicienne pour assurer sa survie, mais aussi renégocier l'aide aux banques grecques", explique-t-il sur Twitter.
Il se passe toujours quelque chose à Athènes. Alors que, mercredi en début de soirée, le référendum sur le plan de désendettement élaboré par les pays membres de la zone euro semblait encore tenir la route, tout s'est emballé.
Jeudi matin, sous la pression de Nicolas Sarkozy et d'Angela Merkel, Andréas Papandréou accepte d'avancer la consultation de janvier au 4 décembre et d'en modifier la nature : les Grecs devraient se prononcer, non plus sur le plan de sauvetage, mais sur le maintien du pays dans la zone euro. Quelques heures plus tard, le Premier ministre plante le dernier clou sur le cercueil de son référendum en expliquant qu'il ne constitue pas "une fin en soi", mais que la date pourrait être maintenue pour des élections anticipées.
Et jeudi soir, nouvelle déclaration. Georges Papandréou estime que la décision d'organiser un référendum appartient... aux Grecs. Certes. "Nous avions trois options", explique le Premier ministre devant les élus de son parti socialiste. "La première, catastrophique, était de convoquer des élections anticipées (...), la seconde était un référendum (...), la troisième solution était d'obtenir un consensus plus large."
Tournis
Après cette série de revirements, il aurait été logique que le chef du gouvernement socialiste annonce son propre retrait en fin de journée... Mais après avoir réuni son gouvernement et le groupe parlementaire socialiste, il a finalement décidé de rester. Parce qu'il a obtenu la garantie de toujours disposer d'une majorité parlementaire ? On ne le saura qu'à l'issue du vote qui doit avoir lieu dans la nuit de vendredi à samedi.
S'il le perd, le président de la République, Carolos Papoulias, aura le choix entre deux solutions : trouver une majorité de rechange ou nommer un technicien pour expédier les affaires courantes en attendant les législatives anticipées. Deux favoris se dégagent : l'actuel ministre des Finances, Evangelos Venizelos, au nom du parti socialiste et Antonis Samaras, le chef de la Nouvelle Démocratie, l'opposition de droite.