Après la visite du président Shimon Peres en Belgique, Laurent Louis, député belge, dénonce sans langue de bois la politique étrangère israélienne.
E&R - 13/03/13
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Après la visite du président Shimon Peres en Belgique, Laurent Louis, député belge, dénonce sans langue de bois la politique étrangère israélienne.
E&R - 13/03/13
13/03/2013 – 13H30
MULHOUSE (NOVOpress Breizh) – Lors d’une conférence de presse donnée lundi après-midi à Mulhouse, Marine Le Pen a fait part de son opposition au projet de conseil territorial d’Alsace (CTA), qui sera soumis à un référendum local le 7 avril prochain. Un projet novateur, fondé sur l’identité alsacienne, qui sème l’inquiétude chez les jacobins de droite comme de gauche.
Réunies simultanément le 25 janvier dernier les trois assemblées du Conseil Général du Bas-Rhin, du Conseil Général du Haut-Rhin et de la Région Alsace avaient adopté, par des délibérations concordantes, le projet de création de la Collectivité territoriale d’Alsace.
Le 7 avril prochain, les Alsaciens vont donc être appelés à se prononcer par référendum sur la fusion de leurs deux départements avec le conseil régional. Pour toute création d’une nouvelle collectivité, un référendum est en effet imposé par la loi. Pour être adopté, le projet de fusion devra recueillir, dans chacun des départements existants, une majorité absolue des suffrages exprimés, correspondant à un nombre de voix au moins égal au quart des électeurs inscrits. Par la suite, la fusion de la région et des départements qui la composent en une unique collectivité territoriale devra faire l’objet de l’adoption d’une loi spécifique par le Parlement, déterminant son organisation et les conditions de son administration dans le respect des grands principes approuvés par les électeurs.
On est en présence d’« un début de détricotage de la France, un éloignement de la nation», a affirmé la présidente du Front national. Pour cette dernière le CTA« revêt une importance fondamentale pour l’avenir de l’Alsace et d’ailleurs pour l’avenir de toute la France. Ce projet est tout sauf technique, administratif ou anodin… Il est éminemment politique et comme tel, il doit être regardé de près. Je suis donc venue porter la parole du ‘non’, que je veux, que je crois populaire ».
Enfonçant le clou, Marine Le Pen estime que ce projet se traduira inévitablement par une hausse de la fiscalité locale et ne fera que renforcer le pouvoir « de quelques seigneurs locaux ». Un avis que ne partage pas Jacques Cordonnier, président du mouvement régionaliste Alsace d’abord : « L’Alsace sait mieux faire, plus vite et moins cher que l’Etat, alors laissons-là faire ».
« Par principe, je considère qu’on ne touche pas à l’administration d’un pays région par région – sinon, c’est le foutoir intégral ! Si jamais ce projet devait passer, ce serait un précédent dangereux. Ce serait (…) une grande victoire pour l’Union européenne et les technocrates de Bruxelles, qui œuvrent sans cesse à la dissolution des nations. Et nous sommes en guerre, nous, contre l’Union européenne », a-t-elle conclu.
Des propos plus mesurés que ceux tenus par Pascal Erre, membre du Bureau politique du Front national et patron du FN dans la Marne. Selon l’hebdomadaire Minute (13/03/2013), ce dernier affirme en effet que le projet du Conseil unique consiste à « aller plus loin dans la destruction de l’Etat nation France, en permettant à l’Alsace de s’ériger en Etat quasi-indépendant ». Faisant allusion au « Rapport congrès d’Alsace » édité par le Conseil régional et les deux assemblées départementales en novembre 2012, M. Erre soutient que « pour les auteurs du rapport, il est clair que l’Alsace n’est pas française », que « la nation rhénane n’existe pas et n’a jamais existé », que d’ailleurs celle-ci « était aussi le rêve des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale ». Pas moins.
Pour mémoire, Patrick Binder, président du groupe FN au conseil régional d’Alsace s’était de prime abord montré favorable au projet de CTA, avant de s’abstenir lors du congrès d’Alsace organisé en novembre 2012. Depuis lundi, manifestement, au sein du parti frontiste, la discussion est close.
Il est vrai que dans cette opposition au projet de CTA, M. Le Pen est rejointe, toujours selon Minute, par le député PS de Strasbourg, Armand Jung, qui voit dans le Conseil unique « des réminiscences du passé revenant sur la scène de manière insidieuse » (sic), affirmant haut et fort que l’avenir des Alsaciens « est au sein de la France et de la République ». Une opposition partagée également par le Front de gauche Alsace, pour qui le CTA est carrément révélateur du « démantèlement programmé de la République » ; par quelques élus alsaciens, pour la plupart issus de la droite souverainiste et du Modem, avec pour slogan « J’aime l’Alsace, je dis non » (?!) ; par le syndicat Force ouvrière, hostile au projet parce que « cette recomposition territoriale induirait une perte de 40 % des effectifs d’agents publics en Alsace » ; ou encore par Roland Ries, le maire socialiste de Strasbourg, qui estime que le projet est une «usine à gaz ».
Mais ces opinions jacobines demeurent très minoritaires en Alsace. Selon un sondage CSA, si les Alsaciens avaient voté dimanche dernier, 75% d’entre eux auraient mis un bulletin ‘oui’ dans l’urne. Le projet de Conseil unique est en effet approuvé très majoritairement par les électeurs UMP, socialistes, écologistes et FN. Pour Philippe Richert, président UMP du conseil régional, « ce référendum est historique et les Alsaciens le comprennent. A eux de choisir la voie pour affronter les grands défis du XXIème siècle ». Réponse le 7 avril prochain.
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Les électeurs d’Alsace vont devoir dire, lors du referendum qui leur est proposé, s’ils acceptent de voir disparaître les deux conseils généraux pour les fusionner avec le Conseil Régional.
L’argument le plus souvent avancé serait qu’on fera des économies…
Argument et fallacieux et qui sert de poudre aux yeux.
En effet, il suffit de voir les tractations et réunions entre les différents conseillers et les promesses d’usines à gaz (autrement dit de commissions, de structures parallèles etc.) faites pour rassurer les différents élus, assurés, s’ils voient disparaître leurs postes, de ne pas voir disparaître petits avantages et prébendes en tout genre…
Qui y gagne ? Surtout pas l’électeur, qui va payer autant, voire plus… avoir moins de proximité et, surtout, va voir disparaître un peu plus la France pour une Europe des régions toute puissante et anti-patriotique.
Parce que, tout de même, l’important est là. Le gravissime est là.
Il s’agit bien de faire de l’Alsace une région expérimentale, prémisse à généralisation à toute la France de la disparition des départements, rien que ça. Et, à travers la disparition des départements, c’est la disparition de l’Etat-nation qui est visée, seule solution pour le rêve de nos dirigeants depuis 40 ans, celui d’une Europe des régions.
En effet, les départements c’est la décentralisation intelligente, parce que le Préfet des Pyrénées atlantiques est le représentant de l’Etat et est donc tenu de faire appliquer la même loi, les mêmes règles, les mêmes répartitions… que son voisin de la Creuse ou du Morbihan. Il est donc tenu, et l’Etat avec lui, de veiller à l’égalité des services publics sur tout le territoire, que son département soit riche ou pas. Ecoles, distribution du courrier ou de l’électricité, présence d’hôpitaux… c’est le B.A-BA que nous voyons déjà s’effilocher avec la mise en concurrence de la distribution du courrier et de l’énergie mais qui n’aura plus aucun garde-fou si le département saute. Plus de solidarité inter-départements, plus de compensations de l’Etat, hausse inévitable des impôts… A la différence des départements, les régions, en effet, sont autonomes et ne sont pas tenues, en-dehors de l’application des lois générales, de faire la même politique dans les mêmes régions. C’est le retour assuré, en quelques décennies à la Grèce ou l’Espagne des années 60 : des régions prospères en côtoyant d’autres qui semblaient sortir du Moyen Age. C’est la remise en cause, de fait, en sus des services publics et des droits sociaux, de la constitution même de notre République qui était, jusqu’à présent, une, indivisible et garante d’égalité…
Pire encore, c’est offrir sur un plateau non seulement le cadre de la ratification de la Charte des langues régionales et minoritaires, porte ouverte et à la babélisation de la France et aux droits des minorités aux dépens de l’intérêt général mais aussi à la main-mise de l’UE sur ce qui reste de notre pauvre pays pour le faire éclater. Il ne suffit pas à nos dirigeants d’imposer l’anglais partout et notamment à l’Université, il faut, en plus, que le français ne soit plus obligatoire, nulle part, même dans les tribunaux, les écoles et les administrations?
Il est fort à craindre que cette fusion alsacienne soit la première marche de ce que l’Europe (et surtout l’Allemagne) veut nous imposer depuis longtemps : l’explosion de nos frontières –et de nos pays – pour une Europe des ethnies et des régions, constituées par-delà les frontières actuelles pour former un nouveau pays basque franco-espagnol, une Catalogne franco-espagnole… et ne laisser qu’une France dépecée, réduite à peu près à ce qu’elle était il y a un millier d’années… Imaginez un instant, en effet, ce qui se passera en France si l’Alsace, qui a une forte identité culturelle renforce son indépendance régionale. Quid de la Bretagne, de la Corse, du pays basque ? Imaginez, et regardez ce qui est déjà en train de se faire, avec les menaces de sécession de l’Ecosse, du pays de Galles, de la Catalogne, du pays basque…
Enfin, cerise sur le gâteau, Hollande voudrait faire de Strasbourg une « eurométropole » qui prendrait ses (nouvelles ) compétences aux départements, aux régions et à l’Etat, devenant un monstre à part, incontrôlable, qui, finalement, appartiendrait plus à l’Europe qu’à la France. Il y a eu des époques où on faisait la guerre pour moins que cela !
Pour le moment, la « droite » comme la « gauche socialiste » sont côte à côte pour défendre ce projet. On ne s’en étonnera pas. Cela fait 30 ans qu’on voit que l’UMPS c’est la même chose. Mais on a du mal à comprendre que l’UMP accepte le soutien enthousiaste des Verts sur le sujet… Cela devrait leur mettre la puce à l’oreille, non ? Ils n’ont toujours pas compris que si les Verts applaudissent c’est que c’est mauvais pour la nation, pour l’identité française, et pour la France ? On ne s’étonnera pas de voir les Identitaires soutenir le projet, leur attachement à l’identité locale, régionale, et leur opposition au jacobinisme leur met parfois des œillères sur les yeux et ils ne se rendent pas compte qu’ils font le jeu de leurs plus grands ennemis, de nos très grands ennemis communs…
Qui ne voit pas que les coups de canif dans ce qui reste de notre constitution et le dépeçage de notre pays ne sont pas les outils de mise à mort afin de permettre à la mondialisation débridée et à la spéculation financière, jouant de l’islam au passage, de continuer ses effets délétères en étant assurées de ne plus rencontrer d’obstacles ?
Qui ne voit pas, non plus, que tout cela fait partie d’un plan global ? Je vous renvoie à l’excellente analyse de Pierre Hillard qui montre bien, par la référence précise à tous les textes européens depuis trente ans, que tout est organisé, voulu, et que lorsque l’on fait semblant de demander l’avis aux Alsaciens, c’est un piège, mortel.
Faisons tout pour qu’il en soit des Alsaciens comme il en a été des Corses en 2003, ils ont fait capoter en beauté le honteux projet de Jospin, le fameux processus de Matignon, qui devait sonner le coup d’envoi du démantèlement de la France, quand tous, de Sarkozy à Jospin, en passant par Raffarin et Chirac, avaient déjà prévu d’étendre le modèle à la Bretagne et à l’Alsace.
Les Corses ont tiré les premiers, merci à eux, ils nous ont sauvés il y a dix ans. Nous attendons, forcément, que les Alsaciens fassent aussi bien et tirent la deuxième salve, salvatrice ! Nous sommes tous français d’abord, et, si ils parviennent à faire l’Europe des régions, plus jamais les Corses ne pourront sauver les Basques, plus jamais les Bretons ne pourront sauver les Alsaciens… et notre pays aura disparu à jamais.
Christine Tasin
RIPOSTE LAÏQUE
13/03/2013 – 20h25
ROME (NOVOpress) - Mgr Jorge Mario Bergoglio, Cardinal-Archevêque de Buenos Aires, vient d’être élu Souverain pontife. Jésuite, pasteur d’Amérique du Sud, il est réputé proche des pauvres. Il est le premier pape non-européen depuis le Moyen-Âge. Il a pris le nom de François Ier.
Mgr Jorge Mario Bergoglioi était l’évêque ordinaire des fidèles de rite oriental. Un signe annonciateur de la fin du Grand Schisme entre catholiques de rite romain et ceux de rite grec.
Comme signe de son engagement social : membre depuis la fin des années 1960 de l’organisation péroniste Organización Única del Trasvasamiento Generacional (OUTG), il octroie fin 1974 le contrôle de l’Université del Salvador à d’ex-membres de cette organisation, dissoute à la mort de Juan Perón.
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Annuntio vobis gaudium magnum :
Habemus Papam,
eminentissimum ac reverendissimum Dominum,
Dominum Jorgium Marium,
Sanctæ Romanæ Ecclesiæ Cardinalem Bergoglio,
qui sibi nomen imposuit Francesco.
Jorge Mario Bergoglio, né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires en Argentine, est un cardinal argentin, jésuite et archevêque de Buenos Aires depuis 1998.
En 2007, il déclarait :
"Nous disons que nous ne sommes pas d'accord avec la peine de mort, qu'elle est une injustice, mais en Argentine nous avons la peine de mort. On peut condamner à mort un enfant conçu à la suite du viol d'une femme retardée mentale. Soyons conscients que nous ne pourrons pas occulter la culture du rejet avec des euphémismes".
En 2009 :
"Chaque enfant doit être accompagné pour toute la vie (...) Il faut veiller à ce que les enfants grandissent sainement, soient suffisamment nourris, reçoivent une bonne éducation fondée sur de solides principes moraux.
C'est une bataille à soutenir contre les nombreux attentats à la vie humaine, contre la diffusion de la culture de mort. Une bataille, qui doit être soutenue aussi pour les personnes âgées, qui sont la sagesse de la vie, et quand la vie humaine est proche de s'éteindre. Cela, évidemment, demande des dévouements et du sacrifice (...)
Nous ne pouvons pas embrasser la culture de la vie si nous ne mettons pas nos racines en Jésus, si nous ne sommes pas unis à lui comme le sarment de la vigne au tronc. Parce que Jésus est le patron de la vie. Il s'est défini comme le chemin, la vérité et la vie. Ce n'est qu'avec Jésus que nous pouvons répandre cette ardeur, que nous pouvons avoir cette ferveur pour proclamer le message de la vie (...)"
Et en 2010, à propos de la dénaturation du mariage :
"Ne soyons pas naïfs : il ne s'agit pas d'un simple combat politique : c'est le projet de détruire le plan de Dieu. Il ne s'agit pas d'un simple projet législatif (celui-ci est seulement un instrument), mais une « movida » du père du mensonge qui prétend embrouiller et tromper les enfants de Dieu. Jésus nous dit que, pour nous défendre face à cet accusateur mensonger, il nous enverra l'Esprit de Vérité. Aujourd'hui la Patrie, devant cette situation, a besoin de l'assistance spéciale de l'Esprit Saint qui mette en lumière la Vérité au milieu des ténèbres de l'erreur ; elle a besoin de cet Avocat qui nous défende des sortilèges de tant de sophismes par lesquels on tente de justifier ce projet de loi, qui embrouillent et trompent même des gens de bonne volonté.
C'est pourquoi j'ai recours à vous et vous demande oraison et sacrifices, les deux armes invincibles qu'avouait détenir la petite sainte Thérèse. Suppliez le Seigneur pour qu'Il envoie son Esprit aux Sénateurs qui doivent exprimer leur vote. Qu'ils ne fassent pas, mus par l'erreur ou par des situation de conjoncture, mais selon ce que la loi naturelle et la loi de Dieu leur dicte. Demandez-le pour eux, pour leurs familles : que le Seigneur les visite, les fortifie et les console. Demandez qu'ils fassent un grand bien pour la Patrie."
Le Salon Beige - 13/03/13
Le conclave est terminé. Une fumée blanche est sortie de la cheminée de la Chapelle Sixtine. Il s'agit de l'Argentin Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires.
Une fumée blanche est sortie de la cheminée de la Chapelle Sixtine. Benoît XVI a désormais un successeur. Son identité sera connu dans quelques minutes. Il aura fallu seulement 5 tours de votes aux 115 cardinaux-électeurs pour désigner le nouveau chef de l'Eglise catholique. Cette élection met un point final à quatre semaines inédites et mouvementées, depuis l'annonce surprise le 11 février par Benoît XVI de sa démission à l'âge de 85 ans.
Après quelques instants d'incertitude, la foule a acclamé les volutes de fumée qui n'étaient pas d'un blanc très distinct au départ. Mais quelques instants plus tard, les cloches de la Basilique Saint-Pierre se sont mises à sonner à toute volée comme les jours de fête, confirmant le choix d'un nouveau pape.
20h15 : Le nouveau pape est l'argentin Jorge Mario Bergoglio, archevêque de Buenos Aires. Il a choisi de s'appeler François Ier.
TF1 News
Réunis en conclave, les cardinaux viennent jeudi soir d'élire un nouveau Pape. Une fumée blanche s'est échappée de la chapelle Sixtine. Les cloches de Saint-Pierre ont retenti au même moment.
L'élection du pape, au terme de la première journée pleine du conclave, a été plus rapide que beaucoup ne le pensaient en l'absence de véritable favori. Mgr Jean-Louis Tauran, cardinal protodiacre, viendra dévoiler son identité dans l'heure qui vient au balcon de la basilique Saint-Pierre.
Le Figaro
Laurent Obertone dédicace "France Orange mécanique" le 12 mars au Virgin Megastore à Marseille (photo EB)
Nul n'est censé ignorer la réalité
12/03/2013 – 10h00
PARIS (NOVOpress) – Selon le site Décision Achats, la chaîne d’hôtellerie Ibis a lancé une ligne de vêtements de travail pour l’ensemble de ses 8.000 collaborateurs de ses établissements. Il s’agirait d’une « nouvelle garde-robe identitaire » dans le cadre d’une opération d’aide au développement au Mali.
Le premier réseau d’hôtellerie économique en Europe n’hésite donc pas à galvauder le terme « identitaire », qu’il transforme en : les autres (Africains), avant les nôtres (Européens). A l’image de sa vaste campagne publicitaire qui véhicule depuis des mois une promotion de la société multiculturelle en Europe (image ci-dessus).
Crédit photo : DR
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Une unité électronique d’observation et de transmission, dissimulée dans de faux rochers, a été découverte sur le littoral syrien. Il s’agit d’un matériel israélien qui permettait à Tel-Aviv de renseigner des jihadistes sur les mouvements de troupes de l’armée arabe syrienne.
Réseau Voltaire - 8 mars 2013
Une fracture du crâne. Des plaies saignantes au visage. Un homme de 37 ans a été tabassé par une vingtaine de personnes dans la nuit de samedi à dimanche à Vigneux-sur-Seine (Essonne). La victime, qui vit dans la commune, a été retrouvée inanimée sur le trottoir vers 1 heure du matin. Elle a été conduite à l’hôpital de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne).
LeParisien.fr - 11/03/13
Marine Le Pen : rencontre avec les pêcheurs... par MarineLePen
Un homme de 40 ans, chauffeur de bus de la RTM, a été gravement touché à la joue après avoir reçu un coup de couteau vers 18h30 boulevard Vauban. Les faits se sont produits dans son bus de la ligne 57. Un suspect est activement recherché dans le 7e arrondissement.
Rapidement prévenu de l'agression du chauffeur de bus de la ligne 57, Kérim Zéribi s'est dit "scandalisé par de tels actes. Porter des coups de couteau, c'est de la folie pure. L'émoi est vif au sein de la régie. Je suis sens dessus dessous, j'espère que les voyous seront rapidement interpellés", ajoute le président de la RTM qui a confirmé que la régie avait demandé le droit de retrait de ses chauffeurs sur la ligne. "En revanche, le reste du réseau continue de fonctionner pour le moment", note-t-il. L'agression tombe au moment où une réunion sur la sécurité avait été programmée avec la RTM vendredi en Préfecture.
Plus d'informations à venir sur LaProvence.com
Zoomer sur le trajet de la ligne 57
12/03/13
Le président israélien Shimon Peres a souhaité mardi qu’une force de la Ligue arabe intervienne en Syrie pour mettre fin au massacre et éviter que ce pays s’effondre.
La Ligue arabe peut et doit créer un gouvernement provisoire en Syrie pour arrêter le massacre et empêcher la Syrie d’imploser. Les Nations unies doivent soutenir une force de casques bleus arabes, a dit M. Peres devant le Parlement européen réuni à Strasbourg.
On ne peut rester les bras croisés alors que le président syrien (Bachar al-Assad) massacre son propre peuple et ses enfants, a dit M. Peres qui a reçu une ovation debout de la plupart des députés à la fin de son discours.
La meilleure solution pour mettre fin à la tragédie syrienne et de permettre à la Ligue arabe, dont la Syrie est un État membre, d’intervenir, a-t-il insisté.
Une intervention occidentale serait perçue comme une ingérence étrangère, a-t-il fait remarquer.
C’est la première fois qu’un président israélien s’exprimait devant le Parlement européen depuis près de 30 ans.
Au cours de son intervention qui a duré environ 45 minutes, M. Peres a dénoncé le régime iranien, accusé de représenter la plus grande menace pour la paix dans le monde et a demandé aux Européens de placer le Hezbollah, soutenu par l’Iran, sur la liste noire des organisations terroristes.
E&R
12.03.2013, 23:09, heure de Moscou
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© Capture d'ecran : Google Earth
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Les experts du Comité préparatoire de l’Organisation du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires (OTICE) n'ont trouvé aucune trace de matières radioactives sur le sol après l’essai nucléaire souterrain réalisé par la Corée du Nord, a déclaré mardi la représentante du comité Annika Thunborg.
Les experts n’arrivent pas à identifier quel combustible nucléaire a été utilisé en Corée du Nord pour le troisième essai nucléaire en raison de l'absence des traces de radioactivité, soulignant le fait que la RPDC a empêché la fuite des matières nucléaires après l'explosion.
La Voix de la Russie
La télévision russe revient sur l’islamisation de la France. Extraits tirés de la vidéo ci-dessus :
« Ici, une personne sur cinq est musulmane. Dans cette course démographique, l’islam a depuis longtemps vaincu l’Europe ! En général, les Français de souche ont un enfant par famille, alors que les musulmans en ont cinq ! »
« A ce rythme-là et d’après les sociologues, dans 23 ans, la cinquième république sera musulmane, les Français n’auront plus qu’à se résigner ! »
« En France, il y a 2.200 mosquées, qui occupent une surface de 300.000 m². Selon l’évaluation du conseil des musulmans de France, chaque musulman a besoin d’au moins un mètre carré pour l’accomplissement des rites religieux, ce qui signifie qu’il faudra multiplier par deux le nombre de mosquées. »
Contre-info.com
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La France orange Mécanique de Laurent Obertone est une plongée au cœur de l’insécurité en France, juxtaposant faits divers et statistiques contestant les données officielles. Comment s'est déroulé ce travail d’enquête remontant aux origines de l'insécurité ?
Je pense qu'il est important de rendre intelligibles les choses, y compris les pires, sans s'interdire un certain humour. Faute de quoi on termine la lecture -et l'écriture- d'un tel livre sous anxiolytiques. Mon livre s'adresse au grand public qui cherche à comprendre ce qui se passe, pas à d'austères sociaux-bureaucrates.
À partir du moment où l'information est lancée (par Atlantico puis par RMC), les grands médias suivent le mouvement. Y compris les médias conditionnés par une hostilité réflexe contre tout ce qui piétine leur dogme. S'ils ne peuvent pas tuer un livre par le silence, ils tenteront de le tuer par la calomnie.
Non. Soi-disant pour ne pas faire le jeu de l'extrême droite, en réalité pour dicter ses idéologies boiteuses, la gauche impose aux foules la négation du réel. Il est temps de cesser de négocier avec les terroristes intellectuels. Disons les choses et tout ira mieux.
Mon livre est avant tout un témoignage, en effet. Ce constat montre que la prison, juste et efficace, est abandonnée au profit de sanctions « alternatives » aberrantes parce qu'elle ne dissuadent pas et ne punissent plus. Ce constat montre que la politique est impuissante, que gouvernants, médias et administrations sont cloisonnés dans le déni idéologique de la réalité, qu'ils mènent une course morale contre la liberté de penser. Si l'on est certain d'avoir raison, pourquoi restreindre cette liberté ? Mon constat montre encore que l'immigration massive ne peut qu'accroître mécaniquement l'ultraviolence, entre autres désagréments. Des mesures simples permettraient de venir à bout de l'insécurité... Personne n'a le courage ni la volonté de les imposer.
13 000 vols, 2 000 agressions, 200 viols, toutes les 24 heures : Manuel Valls a confirmé ces chiffres. Mais que peut-il faire de plus ? Notre police et nos lois sont irréprochables, si la justice persiste à ne pas sanctionner les criminels, par manque de moyens ou par idéologie, rien ne changera. Valls est une marionnette : un ministre de l'Intérieur n'a plus aucun pouvoir sur l'insécurité. Ce n'est pas lui qui peut décider de construire des prisons ou de faire appliquer la loi. Je doute fort que Christiane Taubira, qui fait montre chaque jour de son époustouflant angélisme, ne daigne un jour jeter un œil sur ce livre, pas plus qu'elle n'a jamais daigné regarder la criminalité en face.
La gauche est dans une logique de négation, la droite aussi, parce qu'elle a peur de la gauche. Le gouvernement Hollande n'a que ses bisous et ses rêves à proposer aux honnêtes gens qui sont chaque jour aux prises avec la triste réalité. Et s'ils se plaignent, c'est qu'ils sont des racistes, des salauds. Avec Taubira jamais la justice n'a été si loin de son rôle originel. Les solutions éventuelles la dépassent : elles concernent l'immigration, la construction massive de prisons, la mise au pas de l'administration...
Avant de penser à des solutions, il faut cesser d'avoir peur des excommunications de la gauche, qui paralysent toute action. Le bon sens, ce fameux sens commun fondateur de nos sociétés, doit reprendre le dessus.
Propos reccueillis par Alexandre Devecchio
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