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Le collectif La Manif Pour Tous voit surgir un nouvel imprévu dans la préparation de la manifestation anti-mariage homosexuel, prévue dimanche 24 mars, à Paris.
Un arrêté pris lundi par la Préfecture de police de Paris interdit au collectif de manifester sur les Champs-Elysées, pour des « raisons impérieuses de sécurité». L’accès à la place de la Concorde, de l’Etoile et des Invalides est également interdit aux manifestants.
« Notre détermination […] ne fait que croître face à cette décision politique déguisée en mesure de police ! », a réagi La Manif pour Tous en publiant un communiqué sur son site internet. Le mouvement a fait savoir qu’il « engage immédiatement les voies de droit qui s'imposent, afin de faire reconnaître dans les 48 heures par le juge compétent l'exercice de sa liberté de réunion. »
Ce mardi soir sur France 2, un « docu-fiction » sur Edouard Drumont. Cette propagande est bien sûr payée avec nos impôts.
Drumont est une figure de l’histoire du nationalisme français, et la critique de l’influence juive qu’il mena était à l’époque populaire, largement répandue par delà un clivage « droite-gauche » flou.
De celui qui est aujourd’hui vu avec des lunettes du 21e siècle comme un monstre, Charles Maurras disait : « la formule nationaliste est ainsi née presque tout entière de lui ; et Daudet, Barrès, nous tous, avons commencé notre ouvrage dans sa lumière. » Plus loin dans son Dictionnaire politique et critique, Maurras ajoutait : « Chroniqueur merveilleux, historien voyant et prophète, cet esprit original et libre s’échappait aussi à lui-même. Il ne vit point tout son succès. »
Denis Podalydès, l’acteur qui incarne de façon très partiale Drumont dans cette daube de la chaîne publique, raconte dans un entretien ce qu’il pense du personnage : « ce personnage est passionnant. Pas tellement par lui-même – c’est vraiment une crevure –, mais par son époque, le succès invraisemblable de ses écrits infâmes, l’antisémitisme français dans toute sa puissance. [...] Tous les acteurs habitués à incarner des êtres sympathiques ne rêvent que d’une chose : jouer des ordures.[...] Finalement, elle [sa barbe] m’a aidé à trouver la virulence du personnage, son acrimonie, son regard torve. [...] C’est un homme de lettres, mais profondément raté et profondément petit. Il avait une expression toujours faussement grandiose, un vocabulaire excessif, une rhétorique ampoulée pour dire les choses les plus basses. Il s’enivrait de ça. C’était un poète raté [...] Comme il a échoué, il s’est reconverti dans la calomnie et l’antisémitisme. Il y a des gens comme ça, qui ratent dans le chemin du bien et réussissent dans le chemin du mal. [...] Ce qui est hallucinant – et c’est là que le film pose les bonnes questions –, c’est que ce personnage, antipathique, médiocre, sûrement d’une intelligence très moyenne, ait pu remporter un tel succès avec le livre La France juive, une espèce de ramassis que j’ai essayé de lire, mais qui est illisible. Ce n’est qu’un répertoire de calomnies, de sinistres anecdotes et d’invectives. C’est fascinant que ce livre ait pu être vendu à 500 000 exemplaires [pas mal pour un raté - NDCI] et loué par les frères Goncourt par exemple, qui lui disent, à l’époque : « Vous dites tout haut ce que beaucoup de gens pensent tout bas. » [...] Il fait partie de ces petites boursouflures que le monde médiatique peut créer, et d’ailleurs après « J’accuse », il disparaît, il est fini. Zola l’a tué ! C’était presque un homme d’affaires, sauf que les affaires qu’il brassait étaient des affaires veules, minables. Il ne faut pas hésiter à l’enfoncer, ce personnage. Vous ne lui trouvez aucune circonstance atténuante… Non, il n’en a vraiment aucune. On pourrait peut-être en trouver sur le terrain de la psychanalyse, parce qu’il est frappé par la folie de son père. [...] »
La commission des Lois vient d’annoncer que le projet de loi Taubira (adopté en première lecture le 12 février dernier par les députés) a été approuvé par vingt-trois membres (dont deux UMP) contre vingt et un, aucun ne s’étant abstenu. L’examen par la chambre haute doit avoir lieu au début du mois d’avril.
Les deux élus « de droite » à faire battre aux prochaines sénatoriales sont donc Christian Cointat (à droite) et Christophe-André Frassa (à gauche). L’un comme l’autre représentent les Français établis hors de France.
Le premier ne cachait pas son intention de voter la dénaturation du mariage, le second a étonné jusqu’à certains de ses confrères en se prononçant pour le droit à l’enfant.
Vous pouvez leur dire ce que vous pensez de leur vote à ces adresses : c.cointat@senat.fr et c.frassa@senat.fr.
Le président américain Barack Obama a entamé mercredi sa première visite en Israël depuis son entrée en poste en 2009, et le premier voyage à l'étranger de son second mandat par la promesse du soutien inébranlable à l'Etat hébreu.
"Les Etats-Unis soutiennent Israël parce que cela répond aux intérêts fondamentaux de notre sécurité. Cela rend nos deux pays plus puissants et plus prospères, tout en améliorant le monde dans son ensemble. C'est pourquoi les Etats-Unis ont été les premiers à reconnaître l'Etat d'Israël il y a 65 ans", a déclaré M.Obama dans une courte allocution à son arrivée à l'aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv.
"C'est pourquoi j'affirme que notre union est éternelle. Elle l'est pour toujours", a-t-il ajouté.
Le principal objectif de ce voyage est de resserrer les liens avec Israël, principal allié des Etats-Unis dans la région.
A sa descente de l'avion présidentiel Air Force One, M.Obama a été accueilli entre autres par le président Shimon Peres et le premier ministre Benyamin Nétanyahou.
Avant de se rendre à Jérusalem où des négociations politiques et un vaste programme culturel lui sont réservés, le président américain a inspecté une batterie du système antimissile Iron Dome, financé par les Etats-Unis.
Delphine, violée à 13 ans par 30 racailles: vidéo à voir jusqu'à la fin !
Auteur de « Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas », Gérald Pichon revient longuement dans son ouvrage sur les viols racistes dont sont victimes les femmes européennes. Car « trop blanches » pour être entendues et « trop seules » pour être défendues, elles sont des proies faciles pour les bandes ethniques.
Quand on traite ce genre de sujet, il faut éviter de tomber dans le fantasme et voir des motivations racistes à l’encontre des «Gauloises », chaque fois qu’un de ces actes ignobles se produit. Majoritairement, les viols se déroulent en effet dans un cadre familial ou entres membre d’une même communauté. Mais on ne peut pas nier que certains violeurs s’en prennent aux femmes blanches avec des motivations clairement racistes, notamment lors des fameuses « tournantes », mot de la novlangue médiatique pour cacher le véritable terme de viol collectif.
Le tabou des babtous
D’ailleurs, les viols racistes en Europe pourraient être définis comme le tabou dans le tabou de la haine antiblanche. Il est en effet impossible d’avoir des chiffres officiels, aucun homme politique et aucun média en France n’a évoqué ce sujet. Et pourtant… En se basant sur la face émergée des faits divers dont les journaux se font écho, on peut estimer à plusieurs milliers le nombre de femmes européennes violées chaque année à cause de la blancheur de leur peau.
Trop blanches
Depuis le début des années 1990, on assiste à une explosion du nombre de viols, notamment des viols collectifs, aggravés souvent « d’actes de barbarie : séquestration, coups, brûlures », comme pour humilier encore plus les victimes. Mais aucune statistique ethnique des violées n’est venue infirmer ou confirmer la déclaration de Julien Dray, fondateur de Sos Racisme et porte-parole du PS, sur le fait que les « violences prennent de préférence pour cibles les “Babtous“, c’est-à-dire les Blancs. » (livre : Etat de violence).
Par contre, l’origine communautaire des violeurs est connue grâce à une étude du docteur Patrice Huerre. Selon « un échantillon de 52 expertises psychiatriques portant exclusivement sur des auteurs de viols, agressions et attentats à la pudeur commis en réunion », les auteurs étaient à « 52% originaires des pays du Maghreb, 20% d’Afrique noire, le restant des sujets étant issu de familles d’origine française ». 72% !
Trop seules
Car ce que les Français de souche et les Européens ont oublié, c’est que le bien le plus précieux d’un peuple ce sont ses femmes. Et comme leur communauté est incapable de les défendre, bon nombre de « Gauloises » sont la proie des prédateurs. Comme Laëtitia, habitante de la cité des Minguettes à Vénissieux, qui déclara dans un reportage du journal de 20h de TF1 avoir peur d’être « victime d’une tournante », car elle s’estimait « être une proie facile » en tant que « Française », avant d’ajouter « qu’elle aurait aimé être une Maghrébine et avoir un grand frère » pour « avoir du respect ».
Et ce cas n’est pas isolé, car les filles que leur clan et leur communauté ne protègent pas sont réellement en danger. Corinne, blonde aux yeux clairs, interrogée par le quotidien Le Figaro, fait la même réflexion : se convertir à l’islam « pour avoir la paix ». Car, comme le note la journaliste « les Gauloises » sont « considérées comme des filles faciles », et « subissent un véritable racisme ».
Il viole 15 femmes pour « humilier les Blancs »
Le magazine Envoyé Spécial avait suivi il y a quelques années le procès de victimes d’un violeur en série. Dans ce reportage, on apprenait 2 choses : la première, que le violeur, un jeune Africain, avait violé 15 jeunes filles blanches et blondes à cause de la couleur de leur peau et la deuxième, on l’entendait lors du procès déclarer textuellement qu’il agissait pour « humilier les Blancs ». Ces faits n’ont jamais été reconnus comme des actes racistes par la justice et comptabilisés comme tels par les rapports de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH).
Maintenant vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas…
[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]
La quatrième cérémonie des Bobards d’Or a lieu en ce moment. Voici le discours d’ouverture de Jean-Yves Le Gallou : Douze thèses sur la désinformation médiatique.
Dans l’absolu, il n’y a pas d’information. Une information, c’est un fait que les médias décident de porter à la connaissance de leur public en le présentant sous un certain angle. Le même type de fait peut être caché ou, au contraire, présenté en « une ». Le même acte peut être excusé ou criminalisé. La désinformation vient du biais répété dans la sélection des faits et la manière dont ils sont anglés.
Tout fait, avant d’arriver à la connaissance du public, est filtré par les médias. C’est-à-dire par ceux qui les font (les éditocrates et les journalistes), ceux qui les possèdent (les patrons de presse), ceux qui les payent (les agences de publicité et de communication).
Les journalistes travaillent en troupeau. Le mimétisme est leur règle. Ils se copient/collent beaucoup. Et copient/collent beaucoup l’AFP, source unique, source inique. Leur règle, c’est le moutonnisme : ils bêlent ensemble.
Les orientations politiques des journalistes sont très décalées par rapport à celles des Français : à l’élection présidentielle de 2012, près de 40% des journalistes (et élèves journalistes) ont marqué leur préférence pour l’extrême gauche (et les écologistes), près de 40% pour les socialistes, le reliquat se partageant entre Bayrou et Sarkozy.
Les journalistes s’identifient au camp du bien : leur critère d’interprétation est moins de distinguer le vrai du faux que le bien du mal. La moraline coule à flots dans les salles de rédaction.
Les patrons de presse cherchent moins à gagner de l’argent qu’à acquérir de l’influence. Les grands médias sont la propriété des banques et des multinationales. Rothschild à Libération, Lazard au Monde, Le Crédit mutuel et le Crédit agricole pour une partie de la presse quotidienne régionale. Pinault aux Echos, Dassault au Figaro, Bouygues à TF1 et le Qatar pour Lagardère Active (Paris-Match, Télé 7 jours, Elle, Europe 1, etc.). Les intérêts des médias sont étroitement liés à ceux de la finance et de la mondialisation. Les médias sont un relais de puissance de la superclasse mondiale.
Les médias vivent de l’argent de la publicité. Celle-ci arrive, via les agences communication, de quatre grands secteurs économiques : la banque et l’assurance, les grandes surfaces commerciales, la pharmacie, le luxe. Là aussi tous ont partie lié à la finance et à la mondialisation.
Les préjugés et les intérêts des propriétaires, des publicitaires et des journalistes se confortent plus qu’ils ne s’opposent : tous militent pour un monde plus « liquide », sans frontières et bousculant les traditions et les nations. Nous ne sommes plus dirigés par le sabre et le goupillon mais par la sainte alliance du capital financier et du gauchisme de salles de rédaction.
La présentation des événements par les médias de l’oligarchie s’inscrit à l’intérieur d’une seule grille idéologique, celle du politiquement correct. La pensée est enfermée dans un carré carcéral reposant sur quatre postulats : le mondialisme, l’antiracisme, la rupture des traditions et la criminalisation de la mémoire française et européenne.
Les techniques de désinformation sont multiples : occultation de certains faits, répétition à l’infini d’autres faits, déformation, angélisation des « bons », diabolisation des « méchants ». novlangue (selon la logique de 1984 de George Orwell) et, bien sûr, le bel et bon bobard.
C’est ainsi qu’une véritable tyrannie médiatique s’est mise en place et impose ses règles : aux journalistes eux-mêmes (qui traquent les dissidents comme Zemmour, Ménard ou Taddei) ; aux administrations ; aux éditeurs (chasse à l’homme visant Renaud Camus ou Richard Millet), aux hommes politiques devenus des médiagogues (des hommes ou des femmes qui flattent les médias).
Mais il y a une bonne nouvelle : tout cela est fini ou en train de finir. Le mur des médias tombera comme le Mur de Berlin est tombé. Les médias de l’oligarchie sont de plus en plus totalitaires mais ils perdent de leur puissance. Car ils sont concurrencés par les médias alternatifs sur Internet. Sites, blogs, forums, réseaux sociaux permettent aujourd’hui de se faire une opinion indépendamment des médias de l’oligarchie. Brimée dans les médias classiques, la liberté revient par la fenêtre des médias numériques. Aujourd’hui les médias de l’oligarchie ont perdu leur monopole et les journalistes ne sont plus intouchables. C’est le sens de la cérémonie des Bobards d’Or !"
Le Parlement chypriote a rejeté mardi le plan de sauvetage européen. 36 députés ont voté contre, 19 se sont abstenus – tous du parti Disy, du président conservateur Nicos Anastasiades. Le plan n’a obtenu aucun vote positif.
L’annonce du rejet a été accueillie par une énorme explosion de joie devant le Parlement où des milliers de manifestants s’étaient réunis pour dire « non » au texte. « Chypre appartient à son peuple », « Un peuple uni ne sera jamais vaincu », scandait la foule. Le gouvernement grec de coalition a été le premier à réagir en demandant que la zone euro « corrige » le plan de soutien à Chypre.
Le gouvernement de l’île, au bord de la faillite, avait finalement retenu la solution d’une taxe exceptionnelle de 6,75 % sur tous les dépôts bancaires de 20 à 100 000 euros et de 9,9 % au-dessus. Cette mesure inédite de prélèvement devait initialement rapporter 5,8 milliards d’euros.
Selon le quotidien Vedomosti, la banque russe Gazprombank, détenue à 41 % par le géant public gazier Gazprom, a proposé à Chypre une aide financière en échange de licences de production de gaz naturel au large de l’île méditerranéenne. Chypre ambitionne de devenir une importante plate-forme régionale dans le domaine de l’énergie, après la découverte de colossales ressources en hydrocarbures sous la mer au large de ses côtes méridionales.
Pour le député Diko Marios Garoyian, le texte est un « crime avec préméditation » et une « forme d’esclavage économique » pour forcer Chypre à rompre ses liens avec Moscou et Pékin et permettre à d’autres de mettre la main sur les réserves énergiques.
La cour de Cassation a décidé ce mardi de casser et d'annuler l'arrêt rendu le 27 octobre 2011 par la cour d'appel de Versailles dans l'affaire de la crèche privée Baby Loup. Elle renvoie l'affaire devant la cour d'appel de Paris. La crèche située à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) avait licencié une employée en 2008 parce qu'elle refusait d'ôter son foulard islamique au retour d'un congé parental.
La directrice, Natalia Baleato, avait invoqué une obligation de «neutralité philosophique, politique et confessionnelle» prévue par le règlement intérieur.
«S'agissant d'une crèche privée», la plus haute juridiction judiciaire a estimé que le licenciement de Fatima Afif constituait «une discrimination en raison des convictions religieuses» et devait être «déclaré nul». Elle estime que le principe de laïcité n'est pas applicable aux salariés des employeurs de droit privé qui ne gèrent pas un service public. L'association Baby Loup a en plus été condamnée à payer 2 500 € à Fatima Afif.
«Les restrictions à la liberté religieuse doivent être justifiées par la nature de la tâche à accomplir, répondre à une exigence professionnelle essentielle et déterminante et proportionnées au but recherché», écrit la chambre sociale de la Cour de cassation dans un communiqué. «Tel n'est pas le cas de la clause générale de laïcité et de neutralité figurant dans le règlement intérieur de l'association Baby Loup applicable à tous les emplois de l'entreprise, poursuit-elle. Une telle clause étant invalide, le licenciement de la salariée pour faute grave aux motifs qu'elle contrevenait aux dispositions de cette clause du règlement intérieur constitue une discrimination en raison des convictions religieuses et doit être déclaré nul.»
Le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF) a estimé ce mardi que la Cour de Cassation s'était érigée en «rempart contre les tenants du dévoiement de la laïcité». Il avait toujours considéré ce licenciement «comme injuste et discriminatoire», écrit l'association militante dans un communiqué. Créé en 2003, ce collectif qui revendique 700 adhérents, mène des campagnes de lutte contre les préjugés sur l'islam et d'aide aux victimes de discrimination.
Les partisans de la laïcité souhaitent adapter les lois
Tous les partis sont globalement critiques face à l'annulation de la Cour de Cassation, et jugent le corpus législatif défaillant. La députée Marion Maréchal-Le Pen (FN) «déplore la décision de la Cour de cassation» et est «assez étonnée et quand même satisfaite que M. Valls la déplore également». Elle rappelle que son parti souhaitait «l'interdiction les signes religieux ostentatoires dans les rues». Pour Eric Ciotti (UMP), «il faudra légiférer pour prendre en compte le sens de cet arrêt et pour faire en sorte que le principe de laïcité dans ce cadre soit précisé par la loi.»
«On a peut-être à se poser la question de l'adaptation de notre corpus législatif, pour partout et tout le temps préserver et sanctuariser la laïcité», réagit le socialiste Jérôme Guedj dans les couloirs de l'Assemblée nationale.
Le ministre français délégué au Budget, Jérôme Cahuzac, a démissionné mardi du gouvernement suite à l’ouverture d’une information judiciaire le visant, a annoncé l’Élysée. Selon la justice, sa voix serait celle qui déclare dans un enregistrement, diffusé par le site Mediapart, avoir possédé un compte en Suisse.
Le président François Hollande a décidé de mettre "fin aux fonctions de Jérôme Cahuzac, à sa demande" et de le remplacer au Budget par Bernard Cazeneuve, actuel ministre des Affaires européennes, a annoncé mardi soir l’Élysée, peu après l’annonce par le parquet de Paris de l’ouverture d’une information judiciaire visant M. Cahuzac.
Le parquet de Paris a en effet ouvert mardi une information judiciaire contre X, notamment pour blanchiment de fraude fiscale. Une enquête de police ouverte en janvier visait jusque-là à déterminer si Jérôme Cahuzac avait ou non détenu un compte bancaire en Suisse afin de dissimuler des revenus au fisc.
Le parquet estime désormais que seul un juge d’instruction est à même de mener des investigations suffisamment contraignantes pour percer le secret bancaire en Suisse, mais également à Singapour, où ce compte aurait pu être transféré.
Le ministère public genevois a de son côté confirmé avoir reçu une demande d’entraide judiciaire en ce sens. Elle sera traitée par le procureur Yves Bertossa, a indiqué à l’ats Vincent Derouand, responsable de la communication du pouvoir judiciaire genevois, sans donner cependant davantage d’informations.
Voix authentifiée
Une simple enquête préliminaire de police ouverte en janvier dernier visait jusque-là à déterminer si Jérôme Cahuzac avait ou non détenu un compte en Suisse afin de dissimuler des revenus au fisc. Le désormais ex-ministre du Budget avait toujours nié catégoriquement avoir détenu un tel compte, y compris devant l’Assemblée nationale en France.
Confirmant les informations diffusées ce week-end par le site d’informations français Mediapart, le parquet de Paris a indiqué que suite à une analyse de la police technique et scientifique qui a comparé la voix avec celle de M. Cahuzac la police a estimé que "le résultat de l’analyse renforce l’hypothèse que Jérôme Cahuzac est le locuteur inconnu" dans cet enregistrement.
Sur cette bande diffusée par Mediapart, un homme dit à un interlocuteur non identifié : "Ca me fait chier d’avoir un compte ouvert là-bas, l’UBS c’est quand même pas forcément la plus planquée des banques".
Le maire de Bordeaux, Alain Juppé, avait annoncé fin février qu’il saisirait le préfet de Gironde sur ce dossier, afin qu’il détermine si le spectacle prévu le 4 avril présentait un « risque de trouble à l’ordre public ».
La Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra) de Gironde, par l’intermédiaire de Clothilde Chapuis, avait demandé à Alain Juppé, membre de son comité d’honneur, d’interdire le spectacle prévu à la patinoire de Bordeaux le jeudi 04 avril.
Les services vétérinaires français et de la répression des fraudes ont découvert chez Spanghero 57 tonnes de viande de mouton britannique, pourtant interdite d’importation. Cette entreprise de transformation alimentaire était déjà en première ligne lors du scandale de la viande de cheval.
La viande ovine a été découverte lors des inspections effectuées à Castelnaudary (Aude) chez Spanghero en février, a indiqué le procureur de Carcassonne Antoine Leroy. L’entreprise était alors au cœur du scandale de la viande de cheval dans des lasagnes estampillées au bœuf.
"On n’a pas le droit d’importer en provenance de l’Europe de la viande obtenue dans ces conditions", a expliqué le procureur Antoine Leroy. Le procédé employé et proscrit consiste à racler l’os pour en obtenir de la viande, mais aussi des nerfs ou du muscle, a-t-il dit.
Rappel de tous les produits
"Tous les éléments ont été transmis à la justice, saisie d’une affaire qui s’est étendue à toute l’Europe", a dit le ministre français délégué à l’Agro-alimentaire, Guillaume Garot. "Par mesure de prévention, nous avons enjoint à rappeler tous les produits fabriqués à partir de cette viande", des merguez, de la charcuterie, a-t-il dit.
Spanghero est déjà accusée d’avoir sciemment revendu plusieurs centaines de tonnes de viande censée être du bœuf, mais contenant du cheval. Le parquet de Carcassonne devait se dessaisir de manière imminente en faveur du pôle de santé publique du parquet de Paris, qui centralise les investigations.
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Petit à petit le pays s’enfonce dans la barbarie.
Cela s’est passé samedi, mais l’info n’a circulé que tardivement : « Un groupe d’une vingtaine de jeunes a attaqué une rame du RER D samedi au niveau de la gare de Grigny-Centre dans l’Essonne, agressant plusieurs passagers, indiquent aujourd’hui des sources concordantes. Samedi vers 22 heures, entre 20 et 30 personnes ont attaqué un RER stationné en gare de Grigny-Centre. Ils sont entrés dans la rame et s’en sont pris aux gens qui s’y trouvaient pour les forcer à leur remettre portables et argent, a expliqué une source policière. » selon le Figaro. Evidemment, il n’est pas nécessaire que nous traduisions pour nos lecteurs le terme « jeunes » : tout le monde sait maintenant quelle réalité ethnique se cache derrière ce vocabulaire de la Novlangue.
Un témoin raconte : « J’étais dans le RER en direction de Corbeil-Essonnes, et à Grigny nous avons entendu beaucoup de bruits et de cris et nous avons vu des gens courir sur les quais ». Après avoir tiré le signal d’alarme, les jeunes gens, qui avaient le visage dissimulé, sont passés de wagon en wagon et ont attaqué « le plus de monde possible », a-t-il expliqué. « Moi j’ai pris un coup de poing et du gaz lacrymogène dans les yeux. Ils ont arraché le sac à main de mon amie et m’ont pris mon argent. C’était rapide, violent et cela avait l’air très organisé », a ajouté ce jeune homme, étudiant à Evry.
Pendant ce temps, et au grand dam de la gauche bienpensante, le livre de Laurent Obertone, La France Orange mécanique, qui décrit « l’ensauvagement d’une nation », continue de se vendre comme des petits pains. Evitez bien sûr de l’acheter chez les trusts malsains et antichrétiens comme Amazon, mais plutôt chez les bonnes librairies, comme ici.
Le jihadiste français de 37 ans arrêté au début du mois au Mali n'a jamais été policier ni gendarme, selon une source au ministère de l'Intérieur, contrairement à ce qu'affirmait sa soeur dans les colonnes du Parisien et sur les ondes de RTL lundi matin.
Arrêté parmi les rebelles islamistes qui combattent l'armée française dans le massif des Ifoghas au Mali, Djamel, de son prénom, a simplement postulé comme adjoint de sécurité en 2000 et en 2001, mais avait vu sa candidature rejetée, selon le ministère de l'Intérieur. Ce poste, qui ne nécessite aucun diplôme, consiste à assister les forces de l'ordre dans leurs missions de prévention et de répression de la délinquance.
L'homme, franco-algérien, n'a pas non plus effectué son service militaire, selon le ministère. Il a juste effectué les "trois jours" réglementaires à l'époque, lors de sa naturalisation en 1995.
Plus tôt dans la matinée, sa soeur avait affirmé au Parisien et à RTL que l'homme avait travaillé durant un an à la brigade anticriminalité de Grenoble, avec l'envie de devenir un jour CRS.
BFMTV - 18/03/13
NdB: Pourquoi sa soeur mentirait-elle? On voit mal quel serait son intérêt
VATICAN – La Compagnie de Jésus a gagné avec l'élection de François son premier pape de l'Histoire. Tout un symbole pour un ordre qui a longtemps entretenu une relation difficile avec Rome, à tel point que leur supérieur général est surnommé "le pape noir".
Premier pape non européen (bien que d'origine italienne) depuis mille ans, François est aussi le premier pape jésuite de l'Histoire. "Enfin un pape noir !", se réjouit donc malicieusement le magazine brésilien Veja, en référence au surnom donné au supérieur général des jésuites. Fondé par Ignace de Loyola dans la première moitié du XVIe siècle, la Compagnie de Jésus est aujourd'hui le deuxième ordre de l'Eglise, derrière les Franciscains, avec 19.000 membres. Parmi ses sept co-fondateurs se trouve aussi un certain Saint François-Xavier, missionnaire basque canonisé au XVIIe siècle. C'est sans doute, au delà du lien évident à Saint François d'Assise, l'une des références du nom de règne que le pape François s'est choisi. Missionnaires et enseignants
En d'autres temps, l'élection d'un pape jésuite aurait été impensable. La relation avec le Saint-Siège démarre pourtant sous de bons auspices : les "Constitutions" de la Compagnie de Jésus - ensemble de textes élaborés par ses fondateurs pour régir l'organisation - stipulent l'obéissance à la personne du pape, se proposant d'effectuer des missions là où il le jugera utile.
"Mais du XVIe au XVIIIe siècle, l'expansion de l'ordre ne lui vaut pas que des sympathies", explique à Metro Gérard Chauvin, auteur d'une Petite histoire des jésuites. Sa vocation missionnaire place d'abord l'ordre en concurrence avec d'autres congrégations, notamment les dominicains. C'est le cas en Amérique latine, où le souci qu'apportaient les jésuites aux populations indigènes a laissé un lien affectif qui ne s'est jamais démenti. La qualité réputée de l'enseignement jésuite lui vaut en outre, à son apogée, de compter "plus de 700 collèges dans le monde, qui enseignent à 200.000 élèves", détaille l'historien. "A la cour du roi de France, de Henri III à Louis XIV, tous les confesseurs du souverain sont jésuites". L'influence en Asie
Cette puissance finit par susciter la jalousie des grands de ce monde. Au Vatican, l'ordre est perçu comme une Eglise dans l'Eglise, à tel point que son supérieur général est surnommé le "pape noir", pour son habit sombre et son influence de l'ombre. La discorde atteint son apogée en 1773, quand la Compagnie de Jésus est dissoute par le pape Clément XIV. Elle ne sera rétablie que quarante ans plus tard, à la faveur de la Restauration.
Aujourd'hui, si l'élection d'un jésuite argentin fait bien entendu le bonheur des Sud-Américains, elle tourne également l'Eglise vers une autre partie du monde : l'Asie. C'est là-bas que Saint François-Xavier a mené ses principales missions d'évangélisation, de l'Inde jusqu'au Japon ; il meurt d'ailleurs aux portes de la Chine. Aujourd'hui, 30% des jésuites vivent sur ce continent. Soucieuse de s'ouvrir aux nouveaux territoires de la chrétienté, l'Eglise semble donc avoir trouvé pour remplacer son pape démissionnaire... un pape des missionnaires.