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  • Mali: un quatrième soldat français mort au combat

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    Le de la République a annoncé mercredi la d'un quatrième soldat français au Mali. Le décès de ce soldat du 68e régiment d’artillerie d’Afrique de La Valbonne est survenu vers midi, lors d'une nouvelle «opération de harcèlement» des djihadistes, a déploré l'Elysée.

    «Une opération de harcèlement»

    Le brigadier-chef Wilfried Pingaud, 37 ans, faisait partie du du 68e régiment d'artillerie d'Afrique de La Valbonne.

    Ce mercredi matin, alors qu'il participait à une opération dans l'Est du Mali, près de Tin Keraten, à 100 km de Gao avec un détachement de l'armée malienne, leur unité a été prise à partie par un groupe de combattants islamistes. Mortellement touché, il a été transporté à l'hôpital de Gao mais le soldat n'a pas survécu à ses blessures.

    Au de cet accrochage, quatre militaires maliens ont été blessés et une dizaine de terroristes neutralisés. Dans le nord-est du pays, «une demi-dizaine» de combattants islamistes se sont par ailleurs rendus aux forces françaises lors d'affrontements près de Tessalit, a indiqué plus tard ce mercredi le porte-parole de l'état-major, le colonel Thierry Burkhard.

    Un soldat très apprécié

    «Le métier de militaire peut nous engager à donner de notre vie, au service de la nation pour défendre nos intérêts français, et bien entendu nous sommes préparés. Mais lorsque cela arrive, c'est vraiment un choc parce que vous perdez un soldat, un ami, un frère d'armes», a déclaré le lieutenant-colonel Bernard Godini, officier adjoint du 68e régiment d'artillerie d'Afrique de La Valbonne (Ain).

    Evoquant un soldat «très apprécié au sein de notre régiment pour son professionnalisme, son attitude, et son engagement total», M. Godini a ajouté que «durant sa carrière au sein du régiment il a occupé différents emplois, notamment comme conducteur poids lourds ou magasiniers au sein des différentes unités et là il était parti sur un poste d'artillerie».

    L'hommage de l'exécutif


    «Je veux lui rendre hommage comme à ces trois combattants morts pour la France», a déclaré François Hollande, regrettant des
    «sacrifices qui sont douloureux pour les familles» et pour les Français. De son côté, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a fait part de «sa très grande émotion» et a tenu «dans ces circonstances particulièrement tragiques» à «rendre hommage au professionnalisme, à l’engagement, et à l'exceptionnel courage de nos militaires engagés au Mali».

    François Hollande a déclaré que «l'histoire retiendra que cette opération qui a été faite par la France (…) a été une étape importante dans la lutte contre le terrorisme», tandis que le ministre de la Défense, Jean-Yves le Drian, rappelait la détermination «totale» de la France à mener «jusqu'à leur terme» les opérations militaires pour éliminer les groupes islamistes armés et restaurer l'intégrité du Mali.

    Le quatrième soldat mort au Mali

    Il s'agit donc du quatrième soldat français tué depuis le début de l'engagement de la France au Mali, le 11 janvier dernier. Dès le premier jour de l'engagement français, le pilote d'hélicoptère Damien Boiteux, 41 ans, avait été tué lors d'un raid aérien à Konna. Le 19 février, un deuxième soldat, Harold Vormezeele, légionnaire sous-officier du 2e Régiment étranger de parachutistes de Calvi (Corse), avait trouvé la mort lors d'un «accrochage sérieux» avec les groupes terroristes dans le massif des Ifoghas, dans le nord du pays. Enfin samedi dernier, le 2 mars, Cédric Charenton, 26 ans et appartenant au 1er régiment de chasseurs parachutistes de Pamiers (Ariège) avait péri à son tour dans des combats contre les jihadistes au nord du Mali.

    Le Parisien - 06/03/13

  • Marseille : pourquoi le Front national affole les compteurs

     

    Marseille / Publié le mercredi 06 mars 2013 à 08H10
     

    Dans la cité phocéenne, le parti est crédité de 18 à 20 % des intentions de vote pour 2014

    Stéphane Ravier et Marine Le Pen lors d'une visite à la savonnerie du Fer à cheval, le 1er février.
    Photo Nicolas Vallauri
    Stéphane Ravier et Marine Le Pen lors d'une visite à la savonnerie du Fer à cheval, le 1er février.
     

    Ignoré des sondages marseillais en vue des municipales 2014, le Front national a fait une entrée fracassante dans les enquêtes d'opinion. Celle réalisée fin février par Ifop-Fiducial pour Le Journal du Dimanche lui accordait entre 18 et 20 % des intentions de vote et offrait à la ville des perspectives de triangulaires au second tour.

    Où la liste conduite par Stéphane Ravier confirmerait ces chiffres. Même si, à un an des municipales, PS et UMP en sont encore à évoquer des primaires ou à attendre un signal de Jean-Claude Gaudin, la portée du sondage résonne fortement.

    En 2008, le FN déjà emmené par Stéphane Ravier s'était arrêté à 9 %, faisant des pointes à 12 % dans les quartiers Nord où seul Bernard Marandat avait pu accéder au conseil municipal. Depuis, il a atteint le seuil des 30 % aux cantonales 2011 et 20 % aux législatives l'an dernier sur la ville.

    "Le fait que le FN soit aujourd'hui à 18 % sur des municipales où il n'atteint traditionnellement pas ces scores n'est pas étonnant",analyse Daniel van Eeuwen, professeur émérite à Sciences Po Aix. L'implantation de Stéphane Ravier joue un rôle. "J'ai gagné en notoriété", convient le conseiller régional.

    Nommé président départemental de la fédération fin 2012 après avoir lutté au second tour des législatives face à la socialiste Sylvie Andrieux, le chef de file frontiste est le premier à s'être lancé dans la campagne à l'occasion de la venue de Marine Le Pen dans les quartiers Nord le 1er février. "Il est dans la proximité comme l'étaient ceux qui ont été élus à Toulon en 1995", note Daniel van Eeuwen. Mais cela n'explique pas le bond de son parti sur le reste de la ville. Au-delà de l'effet crise qui désespère, des thèmes de l'insécurité et de l'immigration, très prégnants à Marseille et du rejet des partis politiques classiques, deux éléments nouveaux apparaissent. Ils tiennent à la stratégie de Marine Le Pen.

    "Elle convainc beaucoup sur l'euroscepticisme et fait de l'Europe un bouc émissaire qui fonctionne, pointe le politologue aixois. Dans ce discours se retrouvent ceux qui rejettent l'immigré non pas parce qu'ils sont racistes, mais parce qu'il peut poser des problèmes économiques." Une évolution qui n'est pas seulement sémantique dans un électorat toujours tourné vers les couches populaires, mais dont l'assise s'est élargie. "Nos adhérents sont à l'image de la société, on n'est plus dans la caricature du facho, sourit Stéphane Ravier. Il y a une volonté chez les gens d'aller au fond des choses, de ne pas s'en tenir aux apparences et aux slogans."

    Au Front, le changement a été perçu, incitant Marine Le Pen à muer un parti de contestation en un mouvement décidé à gouverner. "Elle est allée jusqu'à avancer un programme, quitte à ce qu'il ne soit pas forcément convaincant", relève Daniel van Eeuwen.

    "On ne se contentera pas de dire qu'il faut tourner la page Gaudin et que le PS est au tribunal,
    confirme Stéphane Ravier. Nous voulons montrer ce dont nous sommes capables. On aura des propositions précises." Une révolution par rapport à l'époque Jean-Marie Le Pen, plus adepte des formules que du technique. Reste que les municipales à Marseille ont une particularité, les huit secteurs, qui obligent les partis à additionner les victoires pour toucher la case Hôtel de Ville. Même s'il pourra s'appuyer sur des têtes de pont déjà présentes aux cantonales et aux législatives, Stéphane Ravier est conscient de l'écueil.

    La Provence

  • Hongrie : le Premier ministre Viktor Orban (Fidesz) nationalise la Banque centrale

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    05/03/2013 – 20h00
    BUDAPEST (NOVOpress avec le blog de Valentin Beziau) - Le choix du premier ministre Viktor Orbán (Fidesz, droite) de nationaliser la Banque centrale de Hongrie (MNB) déchaîne les foudres de la presse internationale et des technocrates de l’Union europénne.

     

    La Hongrie n’aime pas la technocratie européiste. Et le sentiment semble être réciproque. La dernière frappe du Premier ministre Viktor Orbán, jugée par certain “scandaleuse”, a été de nommer un nouveau gouverneur de la Banque centrale de Hongrie (MNB). Son nom est György Matolcsy, ministre de l’Economie. Viktor Orbán a annoncé sa nomination sur les micros de Radio Kossuth.

    Le quotidien américain Wall Street Journal avait déjà spéculé pendant un certain temps sur cette décision, de sorte que Matolcsy avait été interrogé sur ses intentions. Évidemment, le choix de Viktor Orbán a provoqué la colère de la presse européenne. La Repubblica dénonce “un sérieux défi aux principes du monde libre et aux institutions économiques et financières, à la Banque centrale européenne (BCE) et au Fonds monétaire international (FMI).”

    Personne en Europe ne semble désireux de voir réussir les tentatives de nationalisation des banques que Viktor Orbán tente depuis un certain temps de mettre en œuvre.

    Toujours selon La Repubblica, Matolcsy prend la place de Andras Simor, banquier apprécié par des gens comme Mario Draghi (BCE), Ben Bernanke (FED – Réserve fédérale des État-Unis), ainsi que plusieurs chefs d’Etat, comme Angela Merkel et Barack Obama.

    Crédit photo : European People’s Party via Wikipédia (cc).

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Grand remplacement : ils veulent imposer la discrimination positive partout

     

    http://www.fdesouche.com/353912-les-propositions-du-comite-interministeriel-de-lutte-contre-le-racisme-et-lantisemitisme

    Le CILRA, comité crée en 2003, par décret, sous Nicolas Sarkozy a vocation, apprend-on de ce lien ci- dessus, d’être l’instance principale de réflexion et de décision concernant la lutte contre le racisme et l’antisémitisme.

    « Une réflexion d’ensemble a été lancée par le Ministre de l’Education Nationale afin d’établir une progression et une cohérence depuis l’école primaire jusqu’au lycée de toutes les actions qui contribuent à la construction du respect, du vivre ensemble et de la liberté. »

    Comment ne pas bondir à la lecture de ces niaiseries de propagande socialo-islamiste qui entendent interdire de penser autrement que leur idéologie « à la mord moi l’ noeud « , et que ces collabos, pour accélérer le processus, auront dans quelque temps recours aux représailles pour punir les récalcitrants qui oseraient continuer de ne pas penser comme il faut ?

    Comment ne pas hurler contre tous ces exterminateurs de l’école qui, de « cet asile inviolable où les querelles des hommes ne pénètrent pas » (Jean Zay, homme politique Français mort en 1944) l’ont transformée en lieu de vie où les enfants doivent « s’épanouir », « apprendre à vivre ensemble », endroit idéal de propagande, c’est-à dire, en réalité, apprendre peu à peu à s’effacer pour laisser la place à l’Autre, tellement enrichissant ?

    Dès le primaire mais bientôt dès la maternelle, les agents de cette école eux-mêmes éduqués, standardisés, que dis-je, dressés comme des bergers allemands seront jugés sur « les comportements attendus d’eux dans l’exercice de leurs fonctions » : des kapos chiens de garde dans la droite ligne du Parti pour l’extinction des Etats Nations et l’Islamisation Européenne, une chance pour nous !

    Ils farciront la cervelle de nos enfants des bienfaits du multiculturalisme, de la diversité, de l’horreur du patriotisme et de la détestation de l’homme blanc qui doit disparaître.

    Les agents, eux-mêmes surveillés par des supérieurs devront « éduquer » les enfants, mais aussi le personnel fonctionnaire de tous les secteurs, et, au final, chacun finira par avoir l’oeil sur son voisin d’à côté, du dessous et du dessus. Ca s’appelle un système totalitaire et un tel système a pour vocation de briser toute humanité en l’homme. On s’ y achemine de plus en plus sûrement avec comme Ministre de la Justice une Taubira qui encourage les petites frappes et les criminels à « t’aubéiras pas ».

    Depuis 30 ans, bien que les prémices ont vu le jour dès le début des années 1970, le rôle de l’école s’est déplacé du devoir d’instruction à l’obligation de propagande.

    L’instruction permettait à chaque élève d’avoir accès aux connaissances. Jusqu’à cette date, environ 8% des élèves de nos grandes écoles provenaient de milieux modestes. C’était trop peu mais bien plus que ces 30 dernières années (3 % avais-je lu il y a quelque temps). Mais rassurons-nous, la discrimination positive – qui est un abominable oxymoron – va y pallier. Nous allons assister, et Sciences Po en donne d’ores et déjà un bon aperçu, à des classes fortement colorées qui seront donc apparemment le signe qu’avec les nouvelles méthodes pédagogistes, enfin, les enfants issus de milieu socio-culturel défavorisés et de la diversité peuvent avoir accès aux plus hautes fonctions de l’Etat. Ce qui sera tu, c’est que pour en arriver là, eux, les pédagos, ont abaissé considérablement le niveau d’exigence. Ce qui n’augure pas d’un avenir serein si aux manettes de l’Etat il se fait une trois fautes par ligne et qu’ils font se rencontrer Socrate et Napoléon !

    Remarquez, avec Caroline Fourest, nous avions appris que la France était responsable de l’extermination de 6 millions de juifs !

    Si l’école est LE lieu de la main mise de l’Etat totalitaire pour endoctriner dès le plus jeune âge, tous les domaines d’information sont contaminés.

    Pour exemples, les séries TV françaises dans lesquelles le politiquement correct pue à plein nez : chaque famille a maintenant son homo (homme ou femme, ou les deux), son Arabe, son Noir.

    Je viens de terminer un excellent livre policier, de Bernard Minier.

    Même des auteurs dont l’imagination et la jolie plume transportent le lecteur loin de ses soucis pendant quelques heures ne peuvent s’empêcher de participer à cette immense escroquerie intellectuelle du « multi » :

    Sans vouloir dévoiler l’intrigue à celles et ceux qui souhaiteraient le lire, tout de même quelques exemples de la contamination par la pensée unique :

    -un flic, très beau, bisexuel, marié à une femme très belle, enceinte, qui drague le supérieur de son mari.

    -le flic très beau couche avec un ami n’est pas jaloux que sa femme…

    -une flic, très jolie, homosexuelle aime une fille qui vient de l’est, très sympa.

    -le très riche ne paye pas d’impôts grâce à des montages financiers et fait travailler des enfants dans les pays étrangers.

    -un avocat de 40 ans couche avec une fille de 17 ans, il ne quittera jamais sa femme, elle le sait, mais tout baigne.

    Tous les clichés réunis de la merveilleuse société multiculturelle, dé sexuée, si tolérante, et des méchants riches qui gagnent de l’argent forcément salement !

    On ne peut pas ne pas remarquer la volonté de traquer et de rompre avec tous les repères sociétaux admis depuis des générations. Il y a bien, que ce soit dans ce livre ou dans des films et des séries, la volonté d’ériger en norme ce qui est du domaine de l’exception. Et c’est par dessus tout, la volonté de briser toute pensée »subversive » sous le fallacieux prétexte de lutter contre les discriminations et autres fadaises.

    Ce n’est pas lutter contre des faits avérés mais contre des idées et des pensées !

    Si toutes les personnes qui, un jour, ont eu des envies de meurtres à l’égard d’ un salopard étaient passées à l’acte, le monde aurait à peine eu le temps d’exister que l’espèce humaine aurait déjà disparu !

    Alors, quand un Etat confond la pensée avec l’action, c’est qu’il est devenu Dictature.

    Le CILRA entend « systématiser en cours de carrières… la formation des agents en contact quotidien avec le public : personnels des préfectures… des caisses d’allocations familiales, de la Sécurité Sociale, de Pôle Emploi. »

    Ce qui signifie très clairement, que tous les agents en contact avec tous les publics auront régulièrement au cours de leur carrière des piqûres de rappel pour qu’ils continuent sans faiblir à propager « l’antiracisme, l’antisémitisme, et la lutte contre les discriminations ».

    Sachant, bien entendu, que le seul racisme à ne pas être défendu par tous ces fous du multi, des anti, et des « phobes » est le racisme anti blanc que certains de nos hommes politiques ont découvert, un matin , en se rasant, probablement.

    Caroline Corbières

    http://ripostelaique.com/caroline-fourest-accuse-la-france-davoir-extermine-6-millions-de-juifs.html

    » Glacé » de Bernard Minier

    http://www.lefigaro.fr/politique/2012/09/26/01002-20120926ARTFIG00428-cope-denonce-l-existence-d-un-racisme-anti-blanc.php

    RIPOSTE LAÏQUE

  • L’ancien Secrétaire d’Etat américain Colin Powell : «Mes mensonges sur l’Irak» - 05/03/2013

    L’ancien Secrétaire d’Etat américain Colin Powell : «Mes mensonges sur l’Irak»



    «Un grand nombre d'informations que l'on m'avait fournies étaient inexactes», a déclaré l’ancien Secrétaire d’Etat américain Colin Powell, dans une interview au Nouvel Observateur. «Je ne cesse de me demander : qu'aurais-je dû faire pour éviter cela ?», s’est interrogé l’ancien général de l’armée américaine, en parlant de l’invasion de l’Irak en 2003. «Le président Bush m'a demandé de présenter nos preuves à l'ONU à partir d'un texte rédigé par un conseiller du vice-président Cheney. Or, quand j'ai demandé aux services de renseignement des éléments concrets pour étayer certaines parties de ce document, ils m'ont répondu qu'ils n'avaient jamais vu ces informations-là», avoue-t-il, en laissant entendre qu’il avait été piégé par le George W. Bush qui l’avait mis devant le fait accompli pour mener sa guerre contre l’Irak et dont la date avait déjà été annoncée au monde. Mettant à nu la manipulation, Powell révèle que la Maison-Blanche avait insisté pour qu’il parlât «des liens supposés entre Saddam Hussein et Al-Qaïda». Colin Powell ajoute, non sans regret, qu’il avait tenté d’atténuer le mensonge, bien qu’il ne fût pas «délibéré». Dix ans après l’invasion de l’Irak, l’ancien chef de la diplomatie américaine adopte l’attitude de Ponce Pilate : «Je ne faisais que transmettre ce que les seize agences de renseignement disaient (…) Evidemment, je pensais que la CIA avait vérifié ses informations». Powell n’hésite pas à qualifier ces informations de «canular», accusant l’agence des enseignements américains de s’être référée à une source allemande peu sûre. Il charge l’ancien patron de la CIA qu’il accuse d’avoir écrit, dans son rapport sur l’Irak, que Saddam Hussein avait «des centaines de tonnes d'armes chimiques», alors qu'il n'en possédait «pas un gramme», ironise-t-il. Dix ans après avoir envahi l’Irak et exécuté Saddam Hussein, l’armée américaine est toujours embourbée dans une guerre qui a fait plus d’un million de morts.

     

    http://www.algeriepatriotique.com/article/l-ancien-secretaire-d-etat-americain-colin-powell-mes-mensonges-sur-l-irakhttp://www.algeriepatriotique.com/article/l-ancien-secretaire-d-etat-americain-colin-powell-mes-mensonges-sur-l-irak

    ALTER INFO.NET

  • Venezuela: le président Hugo Chavez est mort, l'armée déployée "pour garantir la paix"

    Le vice-président vénézuélien Maduro a annoncé mardi soir la mort du président Hugo Chavez, après un combat de deux ans contre le cancer. Le gouvernement a aussitôt décidé de déployer l'armée "pour garantir la paix".

    Le président vénézuélien Hugo Chavez est mort après un combat de deux ans contre un cancer, a annoncé mardi le vice-président Nicolas Maduro à la télévision. Le gouvernement vénézuélien a, aussitôt après cette annonce, déployé l'armée et les forces de police dans le pays "pour accompagner et protéger notre peuple et garantir la paix", a ajouté le vice-président dans une déclaration retransmise par l'ensemble des médias du pays.

    L'état de Hugo Chavez a connu de multiples complications depuis son opération du 11 décembre à La Havane, dont une hémorragie et une première infection respiratoire qui, selon les autorités, a pu être contrôlée. Hugo Chavez s'était imposé comme l'une des grandes figures politiques sud-américaines, mêlant dans un tempérament extraverti une opposition acharnée aux Etats-Unis, un idéalisme révolutionnaire hérité des années 60 et une autorité qui supportait peu la contradiction. Réélu président du Venezuela en octobre 2012 à 58 ans,Chavez entretenait une image ambivalente, celle d'un tribun socialiste soucieux du sort des pauvres pour ses partisans, celle d'un dictateur qui se grisait de ses rodomontades pour ses adversaires.

    A voir aussi : EN IMAGES. Chavez : un président pas comme les autres

    Au pouvoir depuis 1999

    Proche des dirigeants socialistes d'Amérique latine tels que le Bolivien Evo Morales, l'Equatorien Rafael Correa et le Nicaraguayen Daniel Ortega, il entretenait une relation étroite avec son modèle, Fidel Castro, et avec le frère de ce dernier, Raul, devenu président de Cuba. C'est d'ailleurs dans un hôpital La Havane qu'Hugo Chavez fut soigné et opéré à quatre reprises lorsque fut diagnostiqué un cancer dans la région pelvienne en juin 2011.

    Au pouvoir depuis le 2 février 1999, Chavez n'a pourtant jamais réussi à imposer un régime de parti unique à la cubaine dans son pays, membre de l'Opep et premier exportateur de pétrole d'Amérique du Sud. Mais sa pratique présidentielle, rythmée par des discours fleuves et des attaques récurrentes contre les Etats-Unis et les oligarchies financières, a souvent été dénoncée comme démagogique par ses adversaires. Affaibli par la maladie après avoir longtemps joué sur le cliché d'un homme physiquement infatigable, Chavez a pris soin de préparer sa succession, désignant dès le mois de décembre le vice-président Nicolas Maduro comme successeur et futur candidat du Parti socialiste uni (PSUV).

    A lire aussi : Hugo Chavez, une vie de combats

    TF1 News - 05/03/13

  • Enfants étiquetés "sans porc"

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    Benoît Gheysens

    Malgré la protestation de parent et l’appel du sous-préfet, Benoit Gheysens, maire d’Arveyres (33),  sans étiquette, supprime le plat de substitution à la cantine, le jour où du porc est servi. Il est interrogé par Sud Ouest :

    "Le sous-préfet vous a demandé de régler le « problème que vous avez créé. Allez-vous décider de réintroduire un plat de substitution ?

    Non, nous ne réintroduirons pas une viande de substitution puisque nous avons déjà décidé d’augmenter en échange la part de légumes et la consistance de l’entrée. Et que l’on ne me parle donc pas de carence nutritionnelle, puisque les protéines ne se trouvent pas que dans la viande.

    Vous invoquez des raisons économiques ainsi que le gaspillage pour justifier votre décision. Combien coûtait à la commune ce menu de substitution ?

    Je ne sais pas, c’est très difficile à chiffrer précisément, et nous avons d’autres préoccupations lorsqu'il s’agit d’établir les menus, notamment les questions d’allergies. Mais j’en avais assez de voir les poubelles se remplir d’aliments gaspillés. Le jour où nous servions, par exemple, un beignet de poulet en substitution du rôti de porc, vous pouviez être sûr que la plupart des enfants choisissaient le beignet de poulet plutôt que le plat cuisiné.

    Les parents concernés ont pourtant proposé de prendre à leur charge le surcoût financier…

    C’est impossible et techniquement irréalisable, d’autant que cela ne concerne que 28 élèves sur 180. Ce n’est pas au maire, ni à l’école laïque, de régler de ce genre de problèmes. Il y a quelques temps, un enfant s’est régalé d’une crêpe au jambon sans se soucier de sa religion… Figurez-vous qu'il a quasiment fallu ensuite lui faire un lavement d’estomac.

    Mais comment les familles peuvent-elles anticiper ce type de situations ?

    Les menus sont affichés à l’avance, et visibles aussi sur Internet. C’est aux parents de donner des ordres à leurs enfants en fonction de ce qu'ils ont le droit de manger ou non, même si je conviens que le message a peut-être du mal à être compris par des élèves de maternelle. Mais n’oublions pas que du porc n’est en moyenne servi qu'une fois par semaine à l’école. Alors au pire, les familles peuvent aussi retirer leurs enfants de la cantine ce jour-là.

    Les parents des 28 élèves musulmans ou juifs menacent de les retirer de l’école s’il n’y a que du porc au menu de la rentrée du 18 mars…

    J’ai également proposé aux représentants des parents d’élèves de participer à la commission cantine et donc à l’élaboration des menus, tout en rappelant qu'une charge de protéines supplémentaire serait introduite dans l’entrée et l’accompagnement pour ceux qui ne mangeront pas de porc de jour-là. Nous veillerons enfin à éviter les doublons, pour ne pas qu'il y ait par exemple une entrée avec du saucisson suivi d’un plat de pâtes à la carbonara avec des lardons. Ce n’est pas assez suffisant ?

    Derrière cette décision, certains soupçonnent une explication plus politique, et même une discrimination à l’égard des musulmans ?

    Je ne vise rien ni personne, tout cela est faux. Ce qui me choque, d’ailleurs, c’est que ces enfants soient ainsi étiquetés « sans porc »."

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • National ou «apatride»? Honnête ou corrompu ? Le grand clivage - Par Bruno Gollnisch

     

      

    jeanne d'arc ter

    Comme à l’UMP, on entend souvent sein de l’écurie PS et de ce gouvernement les discours les plus contradictoires, conséquence directe de la volonté démagogique de ratisser large en tentant de plaire à tous les secteurs de l’opinion. Dimanche matin, invité du « Grand Rendez-vous » Europe 1/i>Télé/Le Parisien-Aujourd’hui en France, le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, a fustigé une Banque centrale européenne « remarquablement inactive », qui « ne s’occupe pas de la croissance, ne s’occupe pas des chômeurs, ne s’occupe de la population européenne.» « Si on veut de la croissance, il faut faire baisser l’euro », « pour donner de l’oxygène aux économies européennes ». « C’est le rôle des responsables politiques de l’Eurogroupe, c’est le rôle de Mario. Draghi, (président de la BCE, NDLR) », a-t-il insisté.

    Invité quelques heures plus tard du « Grand Jury » RTL-LCI-Le Figaro, le ministre de l’Economie Pierre Moscovici, ne s’est pas contenté d’annoncer que les nouvelles hausses d’impôts seraient repoussées après les élections de 2014. Il a pris l’exact contre-pied d’Arnaud Montebourg en faisant l’éloge de Mario Draghi, ancien de Goldman Sachs. « (Le) rôle (de M. Draghi), c’est de veiller à la stabilité des prix, à la lutte contre l’inflation, c’est aussi de veiller à la pérennité et à l’intégrité de la zone euro. Il l’a fait remarquablement ». « La Banque centrale européenne a joué dans la sortie de la crise de la zone euro (sic) un rôle positif » a-t-il ajouté. Une sortie de crise qu’il ne suffit pas d’annoncer et de marteler pour qu’elle devienne réalité…

    Si M. Moscovici a également profité de ce passage médiatique pour mettre en garde contre le danger populiste et le refus de l’euromondialisme, le palmarès ifop « des femmes politiques » publié par Le Journal du dimanche indique en tout cas clairement l’attachement des Français au modèle national. Les sondés étaient invités à choisir les personnalités féminines qui selon eux doivent jouer « un rôle plus important à l’avenir dans la vie politique française ».

    Ainsi Marine Le Pen arrive dans ce classement en seconde position avec 31 % , juste derrière Christine Lagarde (34%), l’ex ministre de l’économie et des finances du gouvernement Fillon, de 2007 à juin 2011, et depuis cette date directrice générale du Fond Monétaire International (FMI).

    Marine devancent deux égéries anti frontistes classées « à droite », Nathalie Kosciusko-Morizet et Rama Yade (27 %. chacune), Martine Aubry et Christiane Taubira, (21 % chacune, à croire pour cette dernière que sa grande croisade en faveur du mariage homo ne séduit pas tant que ça les foules…), Rachida Dati et Ségolène Royal (19 % chacune), Valérie Pécresse (17 %), Najat Vallaud-Belkacem (16 %), Cécile Duflot (12 %), Aurélie Filippetti (11 %), Anne Hidalgo (10 %)…

    Marine a pu de nouveau juger de sa popularité et des espoirs suscités par le programme frontiste de défense de notre souveraineté et de notre identité nationales, y compris dans nos assiettes, lors de son passage le 28 février au Salon de l’Agriculture. Elle y a reçu un accueil particulièrement chaleureux… contrairement à ce que pouvait faire croire le titre d’un article du Point consacré à ce déplacement qui contredit d’ailleurs le compte rendu de celui-ci.

    Marine a mis en garde à cette occasion contre la réactivation du Grand Marché Transatlantique, un accord de libre-échange, un projet lancé dans les années 1990, auquel le FN s’oppose depuis l’origine, et qui porte en germe, a-t-elle noté, un problème de sécurité alimentaire et de concurrence déloyale aux conséquences terribles pour notre agriculture.

    « Il faut lutter a-t-elle ajouté contre les grandes industries agroalimentaires qui, en accord avec la Commission européenne et l’OMC, refusent cet étiquetage. Ils mettent en place une opacité pour que les Français ne sachent pas ce qu’ils mangent. Agriculteurs et éleveurs doivent exiger l’étiquetage de la viande, car les consommateurs ont le droit de savoir ce qu’ils mangent.»

    Les Français ont aussi le droit plus généralement de ne pas être trompés sur la nature de leurs élites. Interrogée lors de l’émission politique de BFMTV-RMC-Le-Point-BFM Business sur le sondage du JDD que nous évoquions plus haut, la présidente du FN n’a pas mâché ses mots au sujet la directrice du FMI.

    Certes, il s’agit d’une « personnalité qui a marqué dans les cinq dernières années» ; mais « Mme Lagarde n’est pas une politique française, c’est une femme politique apatride. Quand on prend la tête de ces grandes institutions internationales, on oublie sa nationalité, on n’y fait plus référence, et surtout on ne doit plus réfléchir en fonction des intérêts de sa nation.»

    Bruno Gollnisch le rappelait en effet, Mme Lagarde est incontestablement une femme extrêmement brillante et intelligente. Mais le FMI est le bras armé financier du Nouvel ordre mondial. Celui ou celle qui est à sa tête en épouse forcément l’idéologie planétarienne, laquelle est consubstantielle à cette structure. A cette aune, que le directeur du FMI soit de nationalité française, burkinabé, ou guatémaltèque n’a pas grande importance…

    Marine a estimé avec raison que le poste occupé par Mme Lagarde « la disqualifie comme femme politique française ». De plus, « je pense que les Français ne sont pas encore informés des difficultés judiciaires qui sont les siennes: elle est sur le point d’être mise en cause dans l’affaire Tapie »

    Le 10 mai 2011, le procureur général près la Cour de cassation, Jean-Louis Nadal, avait demandé à la Cour de justice de la République (CJR) d’ouvrir une enquête visant Mme Lagarde pour abus d’autorité dans l’arbitrage favorable à Bernard Tapie. Fin 2007, cette dernière avait ordonné la désignation de trois juges-arbitres pour trancher le litige entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais dans le cadre de la vente d’Adidas.

    En juillet 2008, le tribunal arbitral avait condamné le Consortium de réalisation (CDR, gérant le passif de la banque) à verser 240 millions d’euros de réparation à M. Tapie, plus une centaine de millions d’euros d’intérêts et 45 millions d’euros pour préjudice moral!Trois juges d’instruction enquêtent sur cette décision qui a fait bondir les contribuables Français, du moins ceux qui sont au courant.

    Argent pris dans la poche des Français qui est aussi au coeur des actuels soucis judiciaires de la socialiste Sylvie Andrieux, ancienne vice-présidente de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca), député depuis 1997. Elle a été renvoyée devant le tribunal correctionnel lundi pour détournement de fonds publics, à destination d’associations présumées fictives…pour un total estimé à 740 000 euros.

    L’Afp rapporte que « la justice soupçonne Sylvie Andrieux d’avoir, en toute connaissance de cause, présenté au vote du conseil régional des dossiers de demandes de subventions d’associations fictives, créées avec l’unique objectif de rétribuer des personnes l’ayant aidée à s’implanter et à se faire élire dans certains quartiers, notamment dans le 14e arrondissement »

    Cet argent lui aurait donc permis de s’acheter une clientéle électorale dans les quartiers nord, certains n’hésitant pas à comparer la méthode Andrieux avec celle de la mafia. Bruno Gollnisch le constate, notre ami Stéphane Ravier, candidat frontiste aux dernières législatives contre Mme Andrieux, laquelle mena principalement campagne sur le thème du danger FN dans cette 13e circonscription des Bouches-du-Rhône, avait frôlé la victoire avec 49% des suffrages…Qu’en aurait il été si la compétition avait été plus loyale?

  • Si nous ne faisons rien le 24 mars, si nous n’y allons pas…

     

    Tribune libre de Christophe Mesnard

    « Manif pour tous », force tranquille de la France constructive.Ce sera le lent basculement.

    Un basculement de notre société comme on n’en voit qu’un ou deux par demi-siècle. Un basculement comme par exemple celui de l’IVG en 1974. Qu’on ne me raconte pas que c’est un progrès depuis bientôt 40 ans, que d’avoir mis 200 000 bébés par an à la poubelle. Long suicide démographique d’abord. Mettons les pieds dans le plat, le dynamisme démographique français est une légende, la population de nationalité française a depuis bien longtemps, en pourcentage, cinq fois moins d’enfants que la population de nationalité « hors Union Européenne des 27 » installée sur notre territoire, catégorie apparemment neutre et bien commode, qui en fait regroupe à 70 % de nationalités africaines (maghrébines et subsahariennes) et turque. Ces chiffres sont publics, je les ai vérifiés sur le site de l’Insee. Long suicide moral surtout, qui a installé dans les têtes et les cœurs la banalisation d’une culture de mort. Ce qui devait à l’origine être réservé à des situations de détresse, est aujourd’hui devenu un simple « outil » de contraception (une grossesse sur cinq), laissant les femmes bien souvent désespérément seules face à leurs choix, sous la pression de l’air du temps.

    Ce qui nous attend si nous ne montrons pas notre force pacifiquement le 24 mars sera comparable. Plus progressif peut-être, mais comparable. Un basculement sur plusieurs années, on ne nous promet pas de drame, évidemment…

    Ce sera de façon immédiate, dès que la loi pourra être promulguée, cette insulte au bon sens et à la nature, ce crime contre l’identité humaine : avec l’adoption, des actes de naissance avec deux pères, ou avec deux mères. Par obsession compulsive de l’égalité, par négation de l’altérité homme-femme, on interdira à ces enfants de connaître leurs origines, on aura privé ces enfants, pour faire plaisir à leurs pseudo-parents, du droit qu’a tout être humain de se dire né d’un homme et d’une femme, même s’il a été abandonné, même si ses parent sont séparés ou décédés.

    Ce sera ensuite assez vite la PMA. Elle est déjà dans toutes les revendications des lobbies. Allez voir leurs sites, c’est instructif. « J’en ai marre d’acheter mon sperme à Barcelone », nous dit l’association « Gouine comme un camion ». J’aurai au moins appris qu’un camion peut avoir une orientation sexuelle, comme dit Najat Vallaud-Belkacem. La prochaine fois que vous dépassez un poids lourd sur l’autoroute, pas d’appel de phares, pas de klaxon ou de regard noir, sinon procès en homophobie… Donc on pourra « acheter » du sperme en France. Ouais, cool, chouette ! C’est combien la saillie ?

    Et puis bien sûr arrivera, toujours à cause de cette obsession compulsive de l’égalité, la GPA. Ou plutôt, soyons clairs, les mères porteuses. C’est-à-dire pour les femmes concernées, l’autorisation de quelque chose qui ressemble à la prostitution, en moins violent. Quoique. Je paie un intermédiaire, (une agence, un maquereau ?) qui te paie, tu me réserves ton utérus. Et l’enfant, tu ne le gardes surtout pas, je le paie aussi. Ouais, cool, chouette ! C’est super top d’avoir été désiré, et en plus  si je t’ai payé, c’est que je t’ai vraiment désiré, non ?

    Mais le pire est encore à venir.

    Je me suis plongé avec intérêt dans un reportage du Monde Magazine d’il y a quelques mois (novembre 2012) sur les familles « homoparentales ». Reportage que l’hebdomadaire de ce cher Pierre Bergé, toujours soucieux de parfaire l’éducation du bon peuple sur ces sujets qui lui tiennent à c… œur, présente évidemment en forme de panégyrique à la gloire de ces nouveaux aventuriers des temps modernes que sont les couples homosexuels (pour ceux qui en sont encore aux parents de familles nombreuses, vous êtes décidément indécrottables…). Eh bien, que les ploucs hétéros, forcément ignorants et arriérés, se le disent, c’est trop bien, parce qu’avec le « parent biologique » de l’enfant, « nous avons construit une richesse relationnelle inédite ». Je suis hétéro, père de famille, et en plus de culture chrétienne, donc évidemment arriéré à la puissance trois ; moi, en fait de puissance trois, je comprends surtout « ménage à trois », voire à quatre. Toute aussi instructive, la promotion du « trouple », le couple à trois, faite par certains magazines homosexuels (Têtu, financé par ce bon Monsieur Pierre B. jusqu’il y a quelques semaines, et d’autres). La polygamie, vous me suivez ? Mais non, pas de ça chez nous, Monseigneur Barbarin, vous délirez, vous êtes fou ! Vous vous souvenez ?

    « J’en ai marre d’acheter mon sperme à Barcelone », nous dit l’association « Gouine comme un camion ».

    Et puis, une fois que cette ultra-minorité agissante aura gagné, si nous ne faisons rien, tout lui sera permis ; ce sera le déferlement de la police de la pensée dans les écoles. On a déjà commencé, avec les interventions de Vincent Peillon et de Najat Vallaud-Belkacem. Les débats interdits, surtout dans les écoles privées. Les manuels d’histoire et de littérature, les cours d’éducation sexuelle, « revisités », surtout s’il faut encourager toutes les « expériences », surtout s’il faut imprégner nos enfants de l’idée que toutes ces expériences sont non seulement permises, mais souhaitables. Et que la seule chose qui compte finalement, c’est de ne pas en parler à ses parents, ces vieux cons hétéros qui ne comprennent rien. Avec bien sûr le concours des recteurs d’académie et de leurs inspecteurs transformés en nouveaux commissaires politiques. Ainsi la promotion à grande échelle de l’infecte « Ligne Azur » et la diffusion du nouveau « Bien Universel » seront assurées ; l’évangile « moderne » selon LGBT sera prêché sans retenue à nos enfants, en veillant à ce que la famille « traditionnelle » puisse être consciencieusement et paisiblement détruite par l’Éducation Nationale.

    « Oh tu l’as vu le bouffon, il a un daron et une daronne, il a même pas un parent 1 et un parent 2, trop naze le mec ! » Encore que « mec » aura sans doute, théorie du genre oblige, disparu du vocabulaire… Voilà le lavage de cerveau auquel sont promis nos enfants, nos petits-enfants. À côté de la culture de mort déjà présente, va s’installer la culture du vide, reniant toute altérité, et effaçant tous les repères. Liberté réduite à la seule accumulation de droits, Égalité obsessionnelle jusqu’à nier la différence biologique, Fraternité dévoyée et transformée en solidarité obligatoire et sélective, et surtout, Stupidité, Stupidité portée à son paroxysme par le « gender »… Ne nous leurrons pas, les parents n’ont pas tous les moyens de payer une école privée (sous contrôle pédagogique de l’Éducation nationale) à leurs enfants, et encore moins une école hors-contrat. Combien d’enfants sans repères, rendus méfiants vis-à-vis de leurs parents, ballottés par toutes les expériences, blessés à vie, allons-nous laisser façonner ainsi ? Allons-nous rester sans réagir ? C’est notre responsabilité, individuelle, dans nos familles d’abord, mais aussi collective et historique.

    C’est à nous de dire non, dans la joie de savoir que l’amour est d’abord respect des différences, dans la conscience que l’amour fait souffrir aussi, qu’il fait grandir, et que même si la réussite de l’amour n’est pas toujours au rendez-vous, rien n’est plus structurant pour un être humain que de se confronter à l’altérité, rien n’est plus important pour un enfant que de savoir d’où il vient.

    Alors n’écoutons pas cette prétendue élite artistico-politico-médiatique, qui nous explique tous les jours que nous allons vers un progrès radieux et sans nuage, et qui nous susurre que nous étions nombreux le 13 janvier, oui c’est vrai, mais que la démocratie ne fonctionne pas comme cela, que c’est trop tard, les représentants du peuple ont voté, et qu’on a aussi la majorité au Sénat, c’est fini, circulez y-a-plus-rien-à- voir, et puis vous n’allez pas nous emm… encore longtemps, on a une guerre, des plans sociaux, des problèmes autrement plus sérieux à gérer, non ?

    L’école libre en 1984, c’était « plié » aussi, voté en première lecture le 24 mai, et pourtant après deux grandes manifestations, l’une de 800 000 personnes en mars, l’autre de deux millions en juin…. Je me souviens de ces belles journées où nous avions marché, en chantant, en criant notre confiance, sans rien casser, sans insulter personne. Cette mer humaine, si diverse, joyeuse et en même temps totalement déterminée, venue de toute la France. Et nous avons gagné. Nous avons gagné parce que comme dit Ma Joad à la fin des Raisins de la Colère, « on ne peut pas nous battre. Nous irons toujours de l’avant, parce que nous sommes le peuple ».

    Cette tribune est une contribution d'un lecteurAlors allons-y, menons ce combat, c’est notre responsabilité devant l’Histoire, devant nos enfants. Nos occupations, notre fatigue, ou le dimanche des Rameaux et sa procession qui prendra une autre forme (le sabbat est fait pour l’homme, et non l’homme pour le sabbat) peuvent attendre, pas le basculement de la lourde balance de notre société, que nous devons retenir. Il y a urgence. Pour nos familles, souvent privilégiées, mais pas seulement. Pour toutes les familles, pour toutes celles et ceux qui ne sont pas encore vraiment conscients des enjeux de ce texte.

    Dans dix, vingt, ou trente ans, ou bien plus tard je l’espère, quand nous n’aurons plus la force de passer un après-midi à marcher dans Paris, nous pourrons regarder nos enfants et nos petits enfants dans les yeux et leur dire : « nous n’avons rien fait d’extraordinaire, nous n’étions que des citoyens parmi tant d’autres, mais ce combat nous l’avons mené, avec nos modestes moyens, pour toi, pour tes parents, et pour tous ceux avec lesquels tu vis ».

    Nous aussi nous serons « têtus », jusqu’au bout. Il ne s’agit plus de faire la fête avec des slogans sympathiques et consensuels, mais de résister et de montrer à ce gouvernement que nous ne céderons pas. Pour tous ceux qui sont attachés à la famille, le seuil de tolérance est maintenant largement dépassé.

    Bonne manifestation à tous.

    Nouvelles de France

  • Christine Boutin : «Nous devons occuper une place de Paris en permanence jusqu’à ce que le Gouvernement renonce au mariage gay»

     

    Jusqu'au boutiniste...Nouvelles de France a rencontré la Présidente du Parti chrétien-démocrate pour un entretien sans concession et sans tabou.

    Christine Boutin, pourquoi vous opposez-vous à l’union civile, perçue par certains comme la possibilité de contenter tout le monde ?

    Parce qu’une part non négligeable de Français serait favorable au « mariage » homosexuel, certains élus ou activistes défendant le mariage croient bon de soutenir l’union civile, ou alliance civile. Ce projet est un piège et un mensonge. Je m’explique : une union civile avaliserait ce que nous combattons, à savoir la reconnaissance par la société d’une union entre deux personnes de même sexe. De plus, elle validerait le principe que sous-tend le projet Taubira, c’est-à-dire qu’il faut répondre à toutes les revendications de toutes les minorités et encadrer toutes les situations. On imagine sans peine les dérives à venir… Une alliance civile serait considérée par les associations LGBT, comme par la Cour européenne des droits de l’homme, comme discriminatoire. Comment ne pas la comprendre comme un pas supplémentaire vers et en attendant le « mariage » ? Enfin, une union civile traduirait dans le droit davantage encore la théorie du genre, cette théorie qui nie la différence sexuelle, et ne permettrait pas d’éviter la procréation médicalement assistée et la gestation pour autrui. C’est pour un enjeu de civilisation que nous combattons, c’est pour s’opposer à la destructions des fondements de notre société. Prôner l’union civile, c’est renoncer, c’est se positionner sur le terrain de l’adversaire. Nous ne devons pas être complices mais réclamer le retrait du texte. Et si c’est trop compliqué à assumer pour François Hollande, il n’a qu’à organiser un référendum…

    « Je crains que le Gouvernement nous interdise les Champs-Élysées… »

    Comment réagissez-vous à la décision du CESE, qui juge irrecevable la pétition de la Manif pour Tous ?

    Le CESE a perdu toute sa crédibilité dans cette affaire. Il est permis de se demander à quoi il sert. Je vois dans sa décision un déni de démocratie. Jugez plutôt : il a refusé d’exercer une compétence que lui donne la Constitution. Quant au droit de pétition, il est antérieur à la Révolution française, c’est un droit du peuple. La lettre de Jean-Paul Delevoye à Jean-Marc Ayrault ne me surprend pas du tout. Ce qui est surprenant, c’est que le Président du CESE ait demandé l’avis du Premier ministre par écrit et pas par téléphone… Ainsi, nous ne l’aurions jamais su ! Mais, pour tout vous dire, je n’espérais rien de cette pétition car, normalement, la saisine doit intervenir avant le vote. C’était avant tout une action politique, et ça a marché, comme en témoigne d’ailleurs l’auto-saisine du CESE. Cette pétition restera comme la plus grosse de l’Histoire de France.

    Qu’espérez-vous pour la Méga Manif pour Tous du 24 mars ?

    Un seul slogan : retrait ou référendum. Nous devons être très clairs et très nombreux. Il faut arrêter avec les slogans gentillets, nous devons les remplacer par des slogans d’exigence !

    « Prôner l’union civile, c’est renoncer, c’est se positionner sur le terrain de l’adversaire. »

    Pensez-vous que la Préfecture de police (donc le Gouvernement) laisseront les organisateurs investir les Champs-Élysées ?

    Pour ma part, je n’envisage pas de me rendre dans un endroit qui aurait été interdit auparavant par la police. Je pense que la Manif pour Tous non plus, si elle souhaite garder ce côté familial qui a fait son succès et éviter tout risque d’affrontement avec les autorités. Et malheureusement, je crains que le Gouvernement nous interdise les Champs-Élysées. Si cela arrive, il y a un risque pour que ça dégénère complètement. Des tas de gens risquent de vouloir y aller quand même, mais là, ce sera une autre action…

    J’appelle de mes vœux un Printemps français : nous devons occuper une place de Paris, en permanence, c’est-à-dire y installer des tentes pour y vivre, se relayer, jusqu’à ce que le Gouvernement retire son projet de loi.

    La France qui s’oppose à la dénaturation du mariage n’est-elle pas trop embourgeoisée pour occuper une place parisienne ?

    Il faut savoir ce qu’elle veut ! Je pense que la cristallisation du mécontentement des Français à laquelle nous assistons sur de nombreuses thématiques rend possible un tel Printemps français. Bien évidemment, il s’agirait là d’une action pour adultes responsables et surtout pas pour les familles et les jeunes enfants…

    « Il faut arrêter avec les slogans gentillets, nous devons les remplacer par des slogans d’exigence ! »

    Comment réagissez-vous au sentiment d’impuissance ressenti par beaucoup de Français aujourd’hui ?

    Je leur dit que ce n’est pas le moment de baisser les bras. Que jamais aucune cause n’est perdue. Si elle était perdue, c’est parce que nous aurions refusé de livrer le combat jusqu’au bout. C’est vrai que depuis 40 ans, nous subissons un mouvement que rien ni personne ne semble capable d’arrêter, le « mariage » homosexuel étant le dernier avatar de cette vague. Mais la mobilisation contre cette réforme est inédite. Elle est, par exemple, beaucoup plus forte que contre le PaCS en 1998-1999. C’est d’ailleurs dommage que nous ne nous soyions pas réveillé à l’époque, nous ne serions pas mis devant le fait accompli aujourd’hui. Je le répète donc : de notre détermination dépend la victoire. La mienne est totale. Et la vôtre ?

    Nous la partageons, nos lecteurs aussi…

    C’est un appel à la responsabilité que je lance de vos colonnes à François Hollande. Il y aura, je le crains, une radicalisation s’il ne nous entend pas. Je demande depuis juillet à être reçue par lui, sans succès, afin de lui demander un acte politique.

    Nouvelles de France

  • La majorité des Russes hostiles au retour au nom de Stalingrad (sondage)

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    La plupart des Russes estiment que la mort de Joseph Staline a mis un terme à l'époque du terrorisme d'Etat et s'opposent à l'idée de restituer à Volgograd son ancien nom de Stalingrad, indique un sondage publié lundi par le centre d'étude de l'opinion Levada-centre.

    Lors de la célébration, début février, du 70e anniversaire de la Bataille de Stalingrad, certains responsables politiques fédéraux ont proposé d'organiser un référendum sur le retour au nom de Stalingrad.

    Selon le sondage effectué par Levada-centre, depuis mars 2010, le pourcentage de personnes associant la mort de Staline à la fin des répressions et à la libération de millions de prisonniers politiques est passé de 47 à 55%. On dénombre autant de personnes qui ne veulent pas voir Volgograd redevenir Stalingrad. Seuls 23% des Russes sont favorables à la proposition de rebaptiser la ville. Six pour cent des sondés sont favorables au rétablissement de son nom d'origine, Tsaritsyne.

    RIA Novosti - 05/03/13

    NdB: Seulement 55% !

  • L'Allemagne bloquera l'adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l'espace Schengen 05/03/2013

    шенгенская виза шенгенское соглашение шенген евросоюз шенген шенгенская зона 2011 май коллаж

     
    Collage: La Voix de la Russie

    L'Allemagne mettra son véto à l'entrée de la Roumanie et de la Bulgarie dans l'espace Schengen, a déclaré le ministre allemand de l'Intérieur, Hans-Peter Friedrich, dans un entretien à Spiegel.

    Selon lui, si le 7 mars un vote sur leur adhésion est organisé lors de la réunion des ministres de l'UE, l'Allemagne votera contre.
    Le ministre a expliqué que les efforts de ces deux Etats étaient encore insuffisants. L'UE attend que les gouvernements de Bulgarie et de Roumanie s'opposent plus énergiquement à la corruption et au crime organisé.

     
    french.ruvr.ru
     
    ALTER INFO.NET

     

     

  • Pas d'alternative au porc: polémique à la cantine en Gironde

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    Depuis le 1er mars, une cantine d'une petite commune de Gironde ne propose plus d'alternative aux enfants qui ne mangent pas de porc. Une mesure d'économie, explique la ville.

    C'est du porc ou pas de viande. Depuis le 1er mars, la cantine scolaire d'Arveyres, en Gironde, ne propose plus de viande de substitution pour les élèves ne mangeant pas de cochon. Cette mesure est révélée par la radio France Bleu Gironde.

    Pour expliquer cette décision, la mairie avance l'argument économique. Et de parler de lutte contre le gaspillage. La commune se veut toutefois rassurante, les 28 enfants concernés -sur un total de 180- auront suffisamment de quoi manger puisqu'il y aura des lentilles et de la salade les jours où le porc sera au menu. Bref, les enfants auront leurs protéines.

    Interrogés par la radio, les parents disent ne pas comprendre la mesure. "On ne demande absolument pas du halal ou du kasher. On demande uniquement un repas de substitution protéiné", explique ainsi une maman.

    TF1 News - 05/03/13

     

  • Pédophilie: procès de l'Ecole en bateau 20 ans après les faits

    Plus de dix-huit ans après le dépôt de la première plainte, les anciens élèves de " L'école en bateau " se retrouvent enfin face à celui qu'ils accusent de viols. La cour a décidé d'ouvrir les débats au public.

    Vêtu d'un blouson gris, l'attitude sereine, Léonide Kameneff, 76 ans, et principal accusé du procès de "L'école en bateau" est entré par une porte dérobée de salle d'audience des assises pour mineurs de Paris. Depuis ce mardi et jusqu'au 22 mars, il comparait libre devant cette juridiction pour les viols et agressions sexuelles présumés de plusieurs enfants embarqués à bord de cette école alternative qui sillonnait les mers dans les années 80 et 90. A ses côtés, trois anciens co-équipiers également jugés pour les mêmes faits. L'un de ces trois co-accusés était âgé de 17 ans à l'époque des faits, justifiant ce procès devant une cour pour mineurs. Aujourd'hui âgé de 39 ans, cet ancien skipper en Polynésie accuse également Kameneff de viols, et s'est constitué partie civile.

    Des questions de société

    Mardi matin, la cour a tranché sur la question du huis-clos du procès, la règle dans une juridiction pour mineurs. L'avocat général a demandé une levée de ce principe pour une "une garantie de bonne justice", et a mis en avant son souci d'éviter que le procès ne se tienne "sur les marches du palais" sous la pression des journalistes. "Nous n'avons rien à cacher", a-t-il ajouté, soulignant "les questions importantes qui concernent la société française", que soulève cette affaire. Les accusés et les plaignants ne souhaitant pas une publicité restreinte, aucune partie ne s'y est opposée. L'audience a donc été ouverte au public. "C'est le grand jour, nous souhaitons des débats dignes, un procès public et pour les accusés, enfin le courage de dire ce qu'il s'est passé", a assuré Me Eric Morain, l'avocat des dix victimes avant l'audience.


    A lire aussi : l'interview d'Eric Morain, l'avocat des dix victimes pour TF1 News

    Le principal accusé, Léonide Kameneff, un ancien psychothérapeute pour enfants, avait lancé "l'école en bateau " en 1969. Des voyages pendant quelques mois pour la plupart sur un thonier, le Karrek Ven, pour offrir aux jeunes un apprentissage intellectuel, physique et affectif différent du cadre scolaire. Extradé en 2008 du Vénézuela, il assure que "l'expérience aura été belle". " La société a énormément changé. Des choses qui paraissent normales à l'époque, éducatives, regardées aujourd'hui avec suspicion ", soutient désormais l'accusé.

    Ce procès intervient près de vingt ans après le dépôt de la première plainte. Sur les 400 enfants qui ont participé à ces voyages, 180 ont été entendus par la justice. Les débats qui débuteront vont donc confronter la parole de dix adultes, aujourd'hui âgés de 33 à 46 ans, qui dénoncent l'emprise sexuelle et psychologique subie sur les bateaux-école, à celle des anciens animateurs de l'aventure dont les versions des faits ont été variables au fil de l'instruction. "J'aimerais que ce procès permette de dire que les enfants ne souhaitent pas de relations sexuelles avec les adultes", a commenté Marie Rigod, l'une des plaignantes. Elle fut l'une des premières à oser parler en 1994.

    Victime de la lenteur judiciaire, en février 2012 l'Etat avait été condamné pour "déni de justice " qu'a représenté la longueur de la procédure.

    TF1 News

  • Nous avons tué le Front de Gauche !

  • Lech Walesa sur les homosexuels :"Qu’ils nous laissent tranquilles, moi et mes petits-enfants"

     

    Déclaration choc. Lech Walesa, ancien président de Pologne, figure de proue du syndicat anticommuniste Solidarność et prix Nobel de la paix, a déclaré que les députés homosexuels devaient siéger « à l’extérieur » du parlement polonais.

    Dans la Pologne qui résiste encore et toujours aux pressions des lobbies LGBT, Lech Walesa, symbole de la résistance pacifique au communisme, a déclaré vendredi soir à la chaîne de télévision TVN, que les députés homosexuels devrait siéger « près du mur (du Parlement, ndlr) et même derrière le mur ». La raison ? L’ancien président polonais estime que « dans tous les domaines », il « leur donne proportionnellement à ce qu’ils représentent » et qu’ils représentent aujourd’hui « une minorité (qui) marche sur la tête de la majorité ». Et d’ajouter : « Je ne veux pas que cette minorité, avec laquelle je ne suis pas d’accord, mais que je tolère et que je comprends, manifeste dans la rue et fasse tourner la tête à mes enfants et mes petits-enfants. »

    Si le dirigeant historique du premier syndicat libre du monde communiste « comprend qu’il y ait des gens différents, différentes orientations et qu’ils ont droit à leur identité », il estime qu’il faut « qu’ils ne changent pas l’ordre établi depuis des siècles ». « Je ne veux même pas en entendre parler. Qu’ils le fassent entre eux, et qu’ils nous laissent, moi et mes petits-enfants, tranquilles », a-t-il conclu.

    Cette déclaration intervient après l’échec, en janvier dernier, malgré les pressions des lobbies homosexuels, de la tentative du gouvernement du libéral Donald Tusk de créer en Pologne une union civile destinée aux homosexuels.

    E&R