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  • Florian Phulippot invité du Grand Décryptage

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  • Florian Philippot sur RMC - 15 01 14

  • Villa Médicis: Julie Gayet remplacée par la romancière Emmanuèle Bernheim

     

    Julie Gayet écartée du jury de la villa Médicis

    Par LEXPRESS.fr, publié le 15/01/2014 à  09:04

    La ministre de la Culture Aurélie Filippetti a finalement décidé de ne pas nommer l'actrice membre du prestigieux jury chargé de sélectionner les pensionnaires de la villa Médicis à Rome. 

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    Julie Gayet écartée du jury de la villa Médicis

    L'actrice Julie Gayet, dont le magazine Closer a révélé la liaison avec le président français François Hollande, devait devenir membre du jury désignant les pensionnaires de la Villa Médicis.

     

    REUTERS

    La ministre de la Culture Aurélie Filippettti a finalement décidé de ne pas nommer Julie Gayet membre du prestigieux jury de la Villa Médicis, à Rome. Le ministère de la Culture affirme même que Julie Gayet n'avait pas encore été nommée membre du jury de la Villa Médicis, contrairement à ce qu'annonçait le site officiel de l'Académie de France à Rome. 

    "Son nom a été proposé par Eric de Chassey, le directeur de l'Académie de France à Rome-Villa Médicis, mais la ministre a décidé de ne pas la nommer. L'arrêté n'avait pas été signé", a précisé le cabinet. 

    Selon Le Canard Enchaîné de ce mercredi, cette nomination avait pourtant été annoncée en décembre dernier par le ministère de la Culture, avec celle des autres membres du jury. Une information embarrassante depuis que le magazine Closer a révélé la liaison de Julie Gayet avec le président François Hollande

    Ce jury est chargé de la sélection des quinze pensionnaires, chercheurs ou artistes, qui rejoindront la Villa Médicis en septembre à Rome pour une durée de 12 à 18 mois. 


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/julie-gayet-ne-fera-pas-partie-du-jury-de-la-villa-medicis_1314230.html#rcqz3VE8RJR5chk5.99

    Julie Gayet écartée du jury de la villa Médicis

    Par LEXPRESS.fr, publié le 15/01/2014 à  09:04

    La ministre de la Culture Aurélie Filippetti a finalement décidé de ne pas nommer l'actrice membre du prestigieux jury chargé de sélectionner les pensionnaires de la villa Médicis à Rome. 

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    Julie Gayet écartée du jury de la villa Médicis

    L'actrice Julie Gayet, dont le magazine Closer a révélé la liaison avec le président français François Hollande, devait devenir membre du jury désignant les pensionnaires de la Villa Médicis.

     

    REUTERS

    La ministre de la Culture Aurélie Filippettti a finalement décidé de ne pas nommer Julie Gayet membre du prestigieux jury de la Villa Médicis, à Rome. Le ministère de la Culture affirme même que Julie Gayet n'avait pas encore été nommée membre du jury de la Villa Médicis, contrairement à ce qu'annonçait le site officiel de l'Académie de France à Rome. 

    "Son nom a été proposé par Eric de Chassey, le directeur de l'Académie de France à Rome-Villa Médicis, mais la ministre a décidé de ne pas la nommer. L'arrêté n'avait pas été signé", a précisé le cabinet. 

    Selon Le Canard Enchaîné de ce mercredi, cette nomination avait pourtant été annoncée en décembre dernier par le ministère de la Culture, avec celle des autres membres du jury. Une information embarrassante depuis que le magazine Closer a révélé la liaison de Julie Gayet avec le président François Hollande

    Ce jury est chargé de la sélection des quinze pensionnaires, chercheurs ou artistes, qui rejoindront la Villa Médicis en septembre à Rome pour une durée de 12 à 18 mois. 


    En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/julie-gayet-ne-fera-pas-partie-du-jury-de-la-villa-medicis_1314230.html#rcqz3VE8RJR5chk5.99

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    Julie Gayet, à Cannes, en mai dernier. Crédits photo : John Shearer/WireImage

    Emmanuèle Bernheim a été choisie pour remplacer au pied levé l'actrice.


     

    Une polémique peut en cacher une autre. Aurélie Filippetti a finalement décidé de ne pas nommer au jury de la Villa Médicis l'actrice Julie Gayet, affirme mercredi matin le ministère de la Culture. «Son nom a été proposé par Éric de Chassey, le directeur de l'Académie de France à Rome-Villa Médicis, mais la ministre a décidé de ne pas la nommer. L'arrêté n'avait pas été signé», explique mercredi matin le cabinet de la ministre.

    Mais si Eric de Chassey a fait publier sur le site Internet de la Villa Médicis le nom des jurés, dont celui de Julie Gayet, c'est qu'il avait le feu vert d'Aurélie Filippetti. Jusqu'à mercredi matin, le nom de Julie Gayet figurait sur le site de la prestigieuse institution, au côté de l'artiste plasticienne Anne-Marie Clairet, de la chorégraphe et danseuse étoile de l'Opéra de Paris Marie-Agnès Gillot, et de la compositrice Lucia Ronchetti . Il a été retiré depuis.

    Le Figaro - 15 01 14

  • Julie Gayet nommée à la villa Médicis par le ministère de la Culture

     

     

     

    Selon le Canard Enchaîné, l'actrice Julie Gayet a été nommée membre du jury 2014 de la Villa Médicis par arrêté ministériel, peu avant les fêtes.

    Une polémique peut en cacher une autre. L'information est passée presque inaperçue, glissée dans un encart en bas de page de l'édition du Canard Enchaîné du mercredi 15 janvier. On y apprend que la veille de Noël, Aurélie Filipetti a nommé par arrêté «une certaine Julie Gayet» parmi quatre personnalités du monde de la culture qui composeront le Jury 2014 de la Villa Médicis.

    Sur la page officielle de la prestigieuse institution, son nom figure en effet au côté de l'artiste plasticienne Anne Marie Clairet, de la chorégraphe et danseuse étoile de l'Opéra de Paris Marie-Agnès Gillot, et de la compositrice Lucia Ronchetti.

    Le jury compte sept membres au total, en comptant le directeur de l'institution, Eric de Chassey, et deux autres administrateurs de la villa, Pierre Oudart et Thierry Tuot. Il est chargé d'auditionner à Paris et de désigner les futurs pensionnaires de l'Académie de France à Rome, que les heureux élus intègreront en septembre. «Une belle carte de visite pour la suite», relève le journal satirique au sujet de la nomination de Julie Gayet.

     

    Le Figaro


  • Vaudeville élyséen: le véritable propriétaire de l'appartement se dit " choqué"

     http://www.leparisien.fr/politique/affaire-hollande-gayet-le-proprietaire-de-l-appartement-se-dit-choque-13-01-2014-3489433.php

    + VIDEO: Valérie veut une "clarification"


  • La Shoah à la maternelle ? 12 01 14

  • L'affaire François Hollande et Julie Gayet vue de Taïwan : délirant !

    14/01/2014 – 20h00
    TAIWAN (NOVOpress) -
    Le site d’information taiwanais Tomonews, spécialisé dans les images de synthèse, a réalisé une vidéo d’une minute qui se propose d’illustrer – de manière osée – l’affaire François Hollande et Julie Gayet.

    Le scénario et ses scènes délirantes contribuent à ridiculiser le Président le plus impopulaire de la Vème République.

    Voici la vidéo en version française !

  • Avec Hollande et ses amis, la politique dans le caniveau…

     

    Avec Hollande et les autres, la politique dans le caniveau...Assouline dit de Copé qu’il abaisse la politique, qu’il est désastreux pour avoir dit que le Président donnait de la France une image désastreuse. Que le « président » de l’UMP, élu dans les conditions confuses que l’on sait, n’élève pas le débat est une évidence. Il fait feu de tout bois, mais en l’occurrence, ce n’est pas lui qui place le niveau aussi bas. De Gaulle n’appartient pas à la préhistoire. En moins un demi-siècle, l’image politique de la France s’est effondrée. On pouvait critiquer la politique du Général. On ne peut nier que sa dimension historique donnait à la France dans le monde un poids largement supérieur à sa puissance, notamment économique. Si le visage altier du personnage le rendait parfois inaccessible, on savait que c’était une volonté déterminée chez lui de donner à sa fonction un prestige inséparable du pouvoir et de sa légitimité. Les contours de sa vie privée et de son rôle public étaient clairs et visibles. Les médias ne pénétraient pas le sanctuaire familial de la Boisserie. Charles de Gaulle payait de sa poche le goûter de ses petits-enfants lorsqu’ils lui rendaient visite à l’Élysée. Mais, dans le fond, rien n’était caché, seulement discret, comme l’était la Première Dame, qui partageait la vie du Président, mais savait bien qu’elle n’avait aucune légitimité politique. Par la suite, la distance s’est atténuée avec Pompidou, puis chez les successeurs l’écart s’est creusé entre la façade impeccable et des boudoirs qui l’étaient moins. Le cynisme y a pénétré comme il se doit avec Mitterrand. Les Français ne lui en ont pas tenu rigueur au nom de leur libéralisme dans le domaine des moeurs et du sacro-saint respect de la vie privée. Les esprits chagrins seront toutefois enclins à souligner qu’il s’agissait là d’une vie privée douteuse financée par l’argent public, et que ce n’était pas acceptable.

    On ne peut à la fois occuper une responsabilité de premier plan dans le monde et détenir en France un pouvoir que la Constitution a rendu particulièrement éminent sans que les obligations qui en découlent soient aussi exceptionnelles. Au premier rang, figure le devoir d’offrir au monde entier, une image respectable de la France et des Français que l’on représente. La présence d’une concubine aux côtés du Président créait une situation boiteuse. La tendance de l’intéressée à s’afficher et à revendiquer un droit à la parole était incongrue. La publicité faite autour d’une autre liaison fait dériver le « statut » entre le pathétique et le ridicule. L’image du « Chef de l’État » sur un scooter, casqué allant à ses rendez-vous galants, a fait s’esclaffer la terre entière. Ce n’est pas tolérable. On dira que c’est la vie privée d’un homme normal. Précisément, non. Même un Président « normal », qui évite les excès de l’hyperprésidence, n’a pas le droit de se contenter d’être un homme normal. Il doit à tout moment affirmer une dignité exemplaire. Les « c’est du sérieux » ou « casse-toi » du prédécesseur ont été des entorses à cette règle. La légitimité n’est pas seulement une situation juridique, c’est un sentiment qui repose sur le respect qu’inspire son détenteur. Le locataire actuel de l’Élysée a méconnu cette seconde obligation. Enfin, pendant le temps de sa présidence, le Premier des Français appartient à ceux-ci, matériellement puisque ce sont eux qui lui fournissent les moyens d’existence privilégiés dont il jouit, et psychologiquement aussi. La disponibilité du Président n’est pas limitée aux heures de bureau. Les Français veulent que le Chef de l’État soit concentré sur leurs problèmes. Lorsqu’ils apprennent qu’il en a d’autres dont l’importance peut contrarier son action, alors un doute s’installe. Un tel pouvoir exige une ascèse. C’est encore plus vrai lorsque les temps sont durs pour beaucoup de Français et que les résultats ne sont pas au rendez-vous.

    Valls veut interdire les paroles qui divisent les Français. L’affichage provoquant d’une morale idéologique à deux vitesses divise bien plus fortement les Français. Qu’une Ministre de la culture se réjouisse d’une interdiction, même justifiée, alors qu’elle applaudit bruyamment à des spectacles qui sont aussi des transgressions, qu’une autre parle de l’avortement comme d’un droit fondamental, sont des comportements qui manquent à la prudence, au respect de la diversité des Français. Un exécutif dirige et représente toute la Nation. Manifestement, ceux qui occupent ce pouvoir actuellement ne semblent pas en avoir conscience.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Finkielkraut : «Nous sommes engagés dans un mouvement de profanation intégrale»

    Tribune
    Publié le 14 Janvier 2014

     

     

    Interview - écrivain, philosophe, essayiste, Alain Finkielkraut construit une œuvre autour de la transmission, la défense des humanités et la critique de la modernité. Le racisme, l'antisémitisme, l'antiracisme nourrissent depuis longtemps sa méditation sur l'identité. Sorti au mois d'octobre, son dernier ouvrage, L'Identité malheureuse (Stock), a été au cœur d'un âpre débat et connaît un important succès de librairie. Il réagit à l'affaire Dieudonné.

     

    Le Figaro : Que révèle l'affaire Dieudonné de notre société et de notre pays?

     

    Alain Finkielkraut : Je dirais pour commencer que nous devons au ministre de l'Intérieur la prise en compte par les grands médias de l'ampleur et de la gravité du phénomène. Dieudonné faisait, en toute quiétude, son show au Théâtre de la Main d'Or à Paris et ses tournées dans les grandes villes de province devant des salles bondées. Il a fallu que Manuel Valls demande aux préfets d'interdire ces spectacles pour que les journaux se saisissent du problème et pour qu'émerge sous nos yeux ébahis la génération Dieudonné. Une France multicolore cimentée non, comme on le dit, par le racisme, mais par la haine des juifs.

     

    Son public assure qu'il s'en prend à tous.

     

    Dieudonné ne choisit pas les juifs comme une cible parmi d'autres de son humour dévastateur. Les juifs sont son obsession et l'antijudaïsme sa philosophie. Il interprète l'histoire comme une confrontation planétaire entre deux subjectivités: les juifs et, non pas les Aryens, mais les peuples, tous les peuples. Il déclare que les juifs se sont enrichis grâce à la traite négrière, que plus récemment ils ont très vraisemblablement introduit le sida en Afrique. Il ne considère pas le sionisme comme un mouvement de libération nationale ni même comme une forme de colonialisme dont les Palestiniens auraient à souffrir. Le sionisme à ses yeux est une entreprise de domination du monde. S'affranchissant de toutes les données géographiques, il confère au sionisme les deux attributs de l'omniprésence et de l'omnipotence. Nous revenons, avec Dieudonné, à la thématique du Protocole des sages de Sion. Les one-man-show de Dieudonné sont structurés par l'antisémitisme. Au lendemain de l'initiative de Manuel Valls, il a dit ceci: «Les juifs et les nazis se sont fait la guerre. Qui a tort? Qui a raison? Moi, je suis neutre. Je ne sais pas lequel a volé l'autre, mais j'ai ma petite idée.» Éclats de rire dans la salle. Et on voudrait nous faire croire qu'il peut tout d'un coup se métamorphoser en Bourvil ou en Pierre Dac. Dieudonné peut prendre quelques petites précautions et mettre autant que possible «sioniste» à la place de «juif» dans ses sketchs, cela ne trompera personne… Lire la suite.

    CRIF
  • Patrick Klugman, l’avocat des Femen, de BHL, de Caroline Fourest et de SOS Racisme…

     

    klugman-Femen

    Focus sur Maître Patrick Klugman. Celui-ci est à la fois l’avocat des Femen, de Caroline Fourest, de Bernard-Henri Lévy et de SOS Racisme.

    Cet avocat trouve naturel d’interdire les spectacles de l’humoriste Dieudonné mais considère que les Femen doivent pouvoir librement profaner les lieux de culte catholiques.

    Né en 1977, Patrick Klugman est ancien président de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF).

    Proche de Bertrand Delanoë, Patrick Klugman est membre du PS et siège au Conseil de Paris. Il a été élu dans le 17e arrondissement.

    Vice-président de SOS Racisme, Patrick Klugman est également membre coopté du Comité Directeur du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

    Me Patrick Klugman est fréquemment l’invité des médias. Entre 2004 et 2008, il était très régulièrement présent dans l’émission de Samuel Etienne sur i-Télé. Depuis, il est un invité incontournable de Jean-Marc Morandini sur Europe 1.

    Patrick Klugman dispose aussi d’une tribune hebdomadaire sur RCJ, radio communautaire juive, ainsi que un blog littéraire dirigé par BHL.

    MEDIAS-PRESSE-INFO

  • Pays-Bas : les détenus devront payer leur séjour en prison 14/01/2014

      

    Pays-Bas : les détenus devront payer leur séjours en prison





    Les autorités des Pays-Bas examinent un projet de loi visant à faire payer les condamnés à une peine de prison chaque nuit passée derrière les barreaux.

    Le gouvernement néerlandais veut que ses prisonniers participent aux frais de leur incarcération à hauteur de 16 euros par nuit passée en maison de détention pendant au maximum deux ans, ce qui constitue 7 % environ des dépenses de l'Etat pour chaque détenu.

    Une proposition similaire vise à faire participer les condamnés aux frais de l'enquête dont ils ont été l'objet.

    L'année dernière, les Pays-Bas ont annoncé vouloir fermer une vingtaine de prisons dans le cadre de coupes budgétaires.

    Si elle est adoptée par le parlement néerlandais, cette loi entrera en vigueur l'année prochaine.


    http://french.ruvr.ru/news/2014_01_14/Pays-Bas-les-detenus-devront-payer-3235/
     
    ALTER INFO.NET
     


       

  • Ariel Sharon, homme clé du 11 Septembre ?

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    Tabou. Panamza vous propose de découvrir les faits relatifs à la responsabilité – passée sous silence – de l’ancien Premier ministre israélien Ariel Sharon dans les attentats du 11 septembre 2001.

    « Hier encore, il était l’une des personnes les plus haïes en Israël et dans le monde. Aujourd’hui, après l’évacuation de Gush Katif, il est devenu presque partout le chouchou de l’opinion publique. Les dirigeants des nations l’ont sacré “grand guerrier qui s’est transformé en héros de la paix”.

    Tout le monde est d’accord pour dire que Sharon a totalement changé, qu’il est passé d’un extrême à l’autre, qu’il est devenu l’Éthiopien proverbial qui a changé de peau, le léopard qui a changé ses taches.

    Toutes ces analyses n’ont qu’une chose en commun : elles n’ont rien à voir avec le vrai Ariel Sharon. Elles sont basées sur l’ignorance, l’illusion et l’aveuglement. »

    Un Napoléon made in Israël, Uri Avnery, 7 janvier 2006

    Le cœur du titre de l’article (« homme clé ») peut choquer ou surprendre certains lecteurs. C’est volontaire.

    Depuis l’annonce, samedi dernier, de la mort d’Ariel Sharon, commentateurs politiques, journalistes et internautes sur les réseaux sociaux se divisent sur le terme à employer pour résumer la carrière de l’Israélien, généralement présenté – avec une infinie délicatesse – comme un personnage « controversé » : « faucon », « guerrier héroïque », « criminel de guerre », « leader exceptionnel », « homme de paix », « boucher de Sabra et Chatila », etc…

    Lire la suite de l’article sur panamza.com

    E&R

     

  • Sondage : après la polémique Dieudonné, Valls perd 7 points

     

    Le ministre de l’Intérieur perd de nombreux points dans les sondages, à gauche comme à droite.

    Voilà un « effet Dieudonné » que Manuel Valls n’avait peut-être pas anticipé en lançant son offensive à l’encontre de l’humoriste controversé. À en croire deux sondages, le ministre de l’Intérieur ne sort pas grandi aux yeux de l’opinion de cette polémique qui agite le landernau depuis plusieurs semaines. Au point que dans le baromètre Ifop pour Paris Match, il perd la place tant convoitée de personnalité politique préférée des Français.

    Il perd la première place dans le baromètre Ifop pour Paris Match. Place Beauvau, on préfère prendre ces études d’opinion avec humour. « C’est la réponse à tous ceux qui disent qu’on fait de la politique le nez sur les sondages », rétorque-t-on au ministère de l’Intérieur, selon les informations de Caroline Roux, éditorialiste à Europe 1. N’empêche. Le mal est profond. Manuel Valls perd ainsi six points dans le dernier baromètre Ipsos-Le Point.

    Lire la suite de l’article sur europe1.fr

    E&R

  • Florian Philippot débat sur i>TELE

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