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  • Expulsion des délinquants étrangers : la Suisse aggrave son cas !

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    Le 18 février 2014
    Si on laisse la Suisse expulser les délinquants étrangers, l'UDC demandera un jour, qui sait, l'interdiction des kebabs sauce blanche.
             

    Déjà mise au ban de l’humanité depuis l’immonde votation du 9 février, la sinistre Confédération helvétique vient une nouvelle fois de faire honte à tous les démocrates de la « communauté internationale ». Cette fois-ci, la Suisse s’attaque à une des populations les plus fragiles et les plus discriminées : les « délinquants » étrangers sont désormais menacés d’expulsion !

    Unies dans une course contre la montre, les lumineuses forces démocratiques – du moins celles qui survivent dans ce quatrième Reich parfumé à la raclette – avaient pourtant tout fait pour ne pas appliquer un texte voté par ce peuple dégénéré en … 2010.

    Fiers comme des gestapistes, 52,9 % des Suisses avaient en effet voté le 28 novembre de cette année-là pour l’expulsion systématique de tous les étrangers condamnés pour « meurtre, viol, brigandage, traite d’êtres humains, trafic de drogue ». Un véritable scandale, indigne d’une civilisation avancée. Plus horrible encore (ne lisez pas ce qui suit si vous êtes sensibles), ceux qui avaient « perçu abusivement des prestations des assurances sociales ou de l’aide sociale », même étrangers nés en Suisse, devaient aussi être déportés, pardon expulsés.

    Heureusement, Conseil fédéral et Parlement résistèrent pendant ces trois années pour ne pas appliquer cette décision populaire nauséabonde. Le parti néo-fasciste (UDC) décida donc de faire son maximum pour faire passer dans la réalité cette loi d’expulsion, appelant encore une fois démagogiquement au peuple, réunissant – sans doute sous la contrainte – plus de 150 000 signatures pour appuyer ladite application.

    Le plus triste, c’est que vendredi dernier, l’UDC s’est trouvée confortée dans sa manœuvre par la « commission des institutions politiques du Conseil national » qui a… désavoué le gouvernement ! Une victoire, donc, pour les réactionnaires, les racistes et les Suisses affreusement de souche. On imagine que de l’autre côté de la frontière, Bernard-Henri Lévy et Daniel Cohn-Bendit sont sur le qui-vive, fulminant contre ces référendums qui nous rappellent les fondues les plus odorantes de notre histoire !

    Espérons que l’Union européenne, les USA et l’OTAN sauront remettre au pas ce pays décadent d’ici peu. Cette pratique du référendum, complètement rétrograde, doit être interdite au plus vite sous peine d’exclusion définitive de toutes les instances internationales. Si on laisse la Suisse expulser les délinquants étrangers, l’UDC demandera un jour, qui sait, l’interdiction des kebabs sauce blanche. Une idée qui donne le frisson à tout humaniste qui se respecte !

    Joris Karl

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Kiabi accusé de racisme pour ses déguisements «zoulous»

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    Marie Poussel | 18 févr. 2014, 13h21 | MAJ : 17h41

     
     
    Les déguisements «zoulous» vendus sur le site de Kiabi ne sont pas du goût de nombreux internautes qui taxent la marque de racisme.

                                                              

    Une perruque style afro, des os coincés dans les cheveux, des franges et des pagnes aux motifs zèbre... C'est la panoplie du déguisement «Zoulou» proposé par la marque Kiabi sur le site dans le cadre d'une collection spécial carnaval.

    Les mannequins, qui portent ses tenues, ont eux été grimés en «noir» . .. Une légende accompagne la tenue sensée être festive. « La préhistoire est une époque lointaine, mais si vous aimez l'ambiance décalée, ce déguisement zoulou est fait pour vous ! Le set comprend un pantalon, une tunique, un bandeau», détaille le site.

    «Kiabi est désolé que ce déguisement puisse heurter la sensibilité de la communauté africaine»

    Autant de clichés qui ont mis hors d'eux de nombreux internautes et des associations anti-racistes. «Le mythe des noirs anthropophages a encore la cote apparemment, s'agace Suleymane sur . En tout cas, les Zulus sont un grand peuple !». «Sans pression, en 2014 Kiabi vend des déguisements zoulous présentés par des mannequins grimés en Noirs », tweete Faiza Rezoula. « La préhistoire est une époque lointaine, […] ce déguisement zoulou est fait pour vous ! C'est aussi con et raciste que du Barèges!», s'énerve Pierre Kanuty, conseiller régional en Ile-de-France sur son compte twitter. L'élu fait référence à la maire UMP de Montauban qui a fait une blague douteuse le week-end dernier en qualifiant Jean Tepkri, seul candidat noir sur sa liste, de «tâche».




    Pointé du doigt, la marque se défend sur les réseaux sociaux. «Le site Kiabi.com propose en effet un déguisement zoulou dans le cadre d’une offre spécifique mise en avant pour le carnaval, s'explique la marque sur son compte officiel Facebook. Kiabi est sincèrement désolé que ce déguisement puisse heurter la sensibilité de la communauté africaine car ce n’est bien évidemment pas l’objectif. Nous avons conscience de la maladresse réalisée dans la présentation du produit, évoquant la préhistoire. Le commentaire de présentation du produit est en cours de modification car il est effectivement maladroit et inapproprié.»

    Ce commentaire, posté lundi après-midi, n'avait toujours pas été suivi d'effets le mardi en début d'après-midi. La maison de vêtements bon marché n'a pas retiré de son site, ni la description, ni la vente des deux déguisements. Contacté, le service de presse n'a pas donné suite à nos appels.
    Le Parisien - 18 02 14
     
    NdB: En quoi est-il permis de se déguiser?
    Quelques suggestions:
    En curé en soutane, en bonne sœur à cornette, en franchouillard (avec béret et baguette de pain), en pirate blanc, en clown blanc, etc...
  • « Paris d’après »

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    Source

    Contre-info.com

  • TVL Journal du 17 février

  • Dans la forêt en hiver...

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  • Bruno Lemaire: "Sur la sortie de l'euro, là encore, Marine parle vrai "


    Sur la sortie de l'euro, là encore, Marine Le... par MarineLePen

    Bruno Lemaire, conseiller Economie, Budget et Fiscalité de Marine Le Pen, docteur en mathématiques, docteur ès Sciences économiques et diplômé d’Harvard, ancien professeur de Management à HEC, a été responsable Recherche et Développement d’IBM-Conseil, après avoir été doyen associé d’HEC chargé de technologies de communication.

  • Moscovici face à Marine Le Pen : quand la mauvaise foi est érigée à la hauteur d’un principe de gouvernement

     

         4 février 2014

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    Communiqué de Bruno Lemaire, conseiller économique de Marine Le Pen

    Je n’ose croire qu’un ministre de la république française soit totalement incompétent : vu les énormités proférées par le ministre actuel de l’Economie et des Finances, on pourrait pourtant le penser. Comme ce n’est sans doute pas le cas, il ne reste qu’une explication, la mauvaise foi.

    Passons sur les explications plus qu’embarrassées du ministre sur la reculade gouvernementale sur le projet de loi qui devait être proposé sur la famille et qui est repoussé sine die, dans l’attente peut être d’un coup de pouce « imposé » par la commissions européenne qui « contraindrait » le gouvernement français à proposer une loi infâme rejetée par la majorité de nos compatriotes, et évoquons seulement 2 ou 3 points économiques sur lesquels Moscovici, une fois de plus, a tenté de tromper les français.

    Tout d’abord, la question des dettes : notre ministre, qui a répété plusieurs fois, tout content sans doute, qu’il parlait en tant que ministre de l’économie et des finances, a confondu sans vergogne le fait que 2/3 de la dette était détenue par des ‘étrangers’ avec le fait beaucoup plus important que seul 3% de cette dette était de droit international. Dit autrement, 97% de la dette doit être remboursée en monnaie « nationale française », l’Euro pour le moment, le franc nouveau si nous assistons à la renaissance de notre monnaie nationale.

    La différence n’est pas minime, puisque l’erreur de Moscovici concerne 60 à 65 % de 1950 milliards, soit 1200 milliards bruts, ou, en supposant une dépréciation de 15% (même si Marine a parlé d’une dépréciation/dévaluation de 20%, en s’appuyant sur les chiffres de J. Sapir) l’erreur nette est de 180 milliards: une paille. Quand on pense que le ministre dit disposer de 150 000 collaborateurs à Bercy …

    Autre point concernant l’épargne des français et la situation des banques. De récentes études ont montré que les 1500 milliards d’épargne des « petits épargnants français » – ceux qui ont moins que les 100 000 euros prétendument garantis par un fonds d’épargne se montant à … 2 milliards – ne pouvaient en aucun cas être véritablement garantis, en cas de faillite d’une ou de plusieurs banques.

    Là encore Moscovici nie cette évidence, et la réalité que plusieurs de nos banques ont insuffisamment de capitaux « propres » – curieuse expression pour des capitaux dont on ne connait pas toujours la provenance – pour que leur survie, une fois de plus, ne dépende pas d’un soutien de l’état, et donc de nouveaux efforts demandés aux contribuables.

    Je passerai sur les 70 milliards que le sauvetage – provisoire – de l’Euro a déjà coûté à la France, et dont Moscovici feint de croire à leur remboursement ultérieur – aux calendes grecques, c’est le cas de le dire – pour aborder la question du pacte de responsabilité, et des 30 ou 35 milliards que l’Etat va devoir trouver pour le financer.

    En supposant que, par miracle – sans ponctionner une fois de plus les ménages français – Monsieur Moscovici trouve quelque part ce financement, comment peut-on nous faire croire que ces 35 milliards, un peu moins de 2% du PIB, vont être plus efficaces pour relancer l’économie française que ce que propose Marine, à savoir une dévaluation de 15 à 20% appuyée sur la renaissance du franc, et par là même de notre puissance économique.

    Notre commerce international – qui ne date pas d’hier, et qui avait valu à la France, il y a 15 ans, avant l’Euro donc, la position de la troisième nation exportatrice mondiale – est caractérisé par 420 milliards de produits et biens exportés, et d’environ 490 milliards importés.

    Cette dépréciation-dévaluation compétitive, selon les calculs de plusieurs experts – qui sont très loin d’appartenir tous au FN/RBM – amènerait notre commerce à se rééquilibrer, autour d’un chiffre export-import de l’ordre de 450 milliards d’euros, ou encore de 500 à 520 milliards de francs nouveaux. Dans ce contexte, comment Moscovici ose-t-il parler d’une France rabougrie, se repliant sur ses frontières.

    Une preuve de plus que le gouvernement actuel ne croit pas à la France, et qu’il imagine qu’en dehors des diktats imposés par Bruxelles, il n’y a point de salut pour notre nation.

  • Pierre de RONSARD (1524-1585)

    Comme une belle fleur assise entre les fleurs,
    Mainte herbe vous cueillez en la saison plus tendre
    Pour me les envoyer, et pour soigneuse apprendre
    Leurs noms et qualités, espèces et valeurs.
     

    Était-ce point afin de guérir mes douleurs,
    Ou de faire ma plaie amoureuse reprendre ?
    Ou bien, s’il vous plaisait par charmes entreprendre
    D’ensorceler mon mal, mes flammes et mes pleurs ?
     

    Certes je crois que non : nulle herbe n’est maîtresse
    Contre le coup d’Amour envieilli par le temps.
    C’était pour m’enseigner qu’il faut dès la jeunesse,
     

    Comme d’un usufruit, prendre son passe-temps :
    Que pas à pas nous suit l’importune vieillesse,
    Et qu’Amour et les fleurs ne durent qu’un Printemps.

    (Sonnets pour Hélène - 1578)

  • Ce que propose Hollande pour rendre la France plus attractive aux investisseurs étrngers

    Le président de la République a détaillé huit mesures pour attirer les capitaux et les talents étrangers dans l'Hexagone.

     
     

    «Nous n'avons pas peur des capitaux qui viennent s'investir en France, nous ne voulons pas nous protéger.» C'est avec ces mots que le président François Hollande a présenté les conclusions d'un «conseil stratégique de l'attractivité» de l'économie française réuni à l'Élysée, après avoir reçu au palais présidentiel une trentaine de dirigeants de groupes industriels et de fonds d'investissements internationaux. «Nous n'avons pas une conception étriquée de notre intérêt national», a insisté le chef de l'État, «nous considérons même que la mobilité des investissements - français à l'étranger, étrangers en France - fait partie de la réussite d'un pays.»

    Pour François Hollande, «le premier défi est de faire venir davantage d'investissements des pays émergents» en France où ils ne représenteront encore, selon lui, «que 10 % des décisions d'investissements» étrangers cette année. «C'est trop peu», a-t-il dit. Le chef de l'État a conclu son discours comme il l'avait commencé, affirmant que «la France n'a peur de rien» et «n'a pas peur de s'ouvrir au monde». «Tous les six mois, je réunirai ce conseil de l'attractivité pour que vous puissiez juger de nos réformes», a-t-il également promis à l'adresse de ses hôtes.

    Le chef de l'État a présenté aux patrons une série de mesures, dont certaines sont déjà en vigueur, visant à simplifier les démarches administratives, sociales et douanières ainsi qu'assurer plus de stabilité pour rattraper le retard de la France sur ses voisins européens, comme le Royaume-Uni et l'Allemagne.

    Une nouvelle agence pour l'export: Il a annoncé la fusion de l'Agence française des investissements internationaux et d'Ubifrance, la structure qui suit les entreprises françaises à l'export, pour former un organisme unique: France international entrepreneurs.

    Titre de séjour jeunes diplômés : Un «passeport talents», titre de séjour de quatre ans en France, accordé aux jeunes diplômés qualifiés, aux chercheurs, aux investisseurs, aux mandataires sociaux et aux travailleurs hautement qualifiés sera mis en place. Cette mesure existe déjà puisque le titre de séjour pluriannuel a été introduit par la loi Fioraso de juillet 2013.

    Carte de séjour pour les talents étrangers : À compter de 2014, les étudiants et chercheurs étrangers pourront également bénéficier d'une carte de séjour dont la durée sera équivalente à celle de leurs études.

    Créations d'un visa entrepreneur: Les entrepreneurs qui viennent régulièrement en France pour des échanges économiques pourront disposer de visas valables 5 ans. Le délai pour les obtenir sera réduit à 48 heures.

    Faciliter l'installation des start-up étrangères: D'ici à la fin du premier trimestre, les start-up étrangères qui souhaitent s'implanter en France devraient disposer d'un interlocuteur unique pour leurs démarches et bénéficieront d'une aide financière de 25.000 euros.

    Douanes: En 2015, le régime de la TVA applicable aux entreprises importatrices sera simplifié et, dès la fin de 2014, toutes les procédures en douane, à l'export comme à l'import, seront dématérialisées.

    Fiscalité des investissements : François Hollande a assuré de la pérennité du crédit d'impôt recherche, et a indiqué que les entreprises françaises ou étrangères pourront valider avec le fisc les règles qui s'appliqueront à leurs investissements.

    Démarches allégées : La déclaration préalable pour créer une entreprise en France par un investisseur étranger va être supprimée. À compter de 2014, une déclaration sociale unique, mensuelle et dématérialisée, permettra de gérer une trentaine de procédures concernant les salariés avec l'administration.

    Le Figaro 17 02 14

  • L’UE veut payer des «trolls» pour contrer les eurosceptiques sur les réseaux sociaux

    17 février 2014

    Deux millions et demi d’euros. C’est la somme que le Parlement européen prévoirait de débourser pour financer des patrouilles de « trolls » (personne pourrissant une discussion sur internet, sur les forums ou dans les commentaires par exemple) .
    D’après le Daily Telegraph, relayé cette semaine par le site français AgoraVox, des équipes de cyber-communicants financées par l’UE seront mises en place d’ici la fin du mois de février pour lutter contre les eurosceptiques qui s’expriment sur les réseaux sociaux. Une traque méthodique des conversations qui devra prouver son efficacité avant les élections européennes de juin 2014.

    «Contrôle de l’opinion»

    Le Daily Telegraph aurait eu accès à des propositions de dépenses confidentielles. D’après le journal anglo-saxon, le document évoque la mise en place d’«outils de contrôle de l’opinion publique». Objectif: «Identifier rapidement les débats à caractères politiques (…) dans les médias sociaux et les blogs, qui ont le potentiel d’attirer les médias et l’intérêt des citoyens.»

    Une fois les lieux des conversations repérés, les «trolls» de l’Europe auront pour mission de les «surveiller», afin de décrypter les sujets les plus commentés, puis de les «influencer», «par exemple en fournissant des faits et des chiffres pour déconstruire les mythes».

    Source et suite

     

    Contre-info.com

  • Les deux papes

    Une nouvelle réflexion fort intéressante d’Antonio Socci sur "les deux papes" (alors qu'il ne peut y en avoir qu'un): chez Benoît et moi.

    Il rappelle que Benoît XVI a décidé de continuer à s’appeler Benoît XVI, Sa Sainteté Benoît XVI, avec ses armoiries qui ont les clefs de saint Pierre (tandis que celles de François n’ont pas le pallium…), qu’il a choisi le titre de « pape émérite », ce qui est une nouveauté absolue (y compris pour les canonistes qui en perdent leur latin), et il souligne un propos dont on n’avait pas (non plus) remarqué la portée dans le discours du 27 février 2013. Benoît XVI revenait sur le moment où il avait accepté d’être pape : « La gravité de la décision a été vraiment aussi dans le fait qu’à partir de ce moment, j’étais engagé sans cesse et pour toujours envers le Seigneur. Toujours – celui qui assume le ministère pétrinien n’a plus aucune vie privée. Il appartient toujours et totalement à tous, à toute l’Église. (...) Le "toujours" est aussi un "pour toujours"- il n’y a plus de retour dans le privé. Ma décision de renoncer à l’exercice actif du ministère ne supprime pas cela. »

    Et il laissait entendre ensuite qu’il y avait bien un exercice passif du ministère pétrinien

    Le plus stupéfiant, si l’on y réfléchit bien, étant peut-être le tweet de François, le 11 février : « Aujourd'hui, je vous invite à prier pour Sa Sainteté le Pape Benoît XVI, un homme de grand courage et humilité. »

    Le blog d'Yves Daoudal

  • " Un mariage en couleur n'est pas un mariage blanc"

     

     
    Marseille / Publié le Dimanche 16/02/2014 à 05H35
     

    Une association aide les couples binationaux à s'unir, malgré les obstacles

    Actualités - Un mariage en couleur n'est pas un mariage blanc
    Amélie et Ballo, qui attendent une petite fille pour bientôt, ont raconté leur galère pour vivre leur amour entre France et Mali et l'aide apportée par le collectif "Amoureux au ban public".

    Photo Patrick Nosetto

    Ces amoureux du "ban public" vivent des moments chaotiques et des galères pas sympathiques. Ce sont les couples binationaux où l'un des conjoints est français et l'autre étranger et qui vivent les pires difficultés pour que la situation de ce dernier soit régularisée. Ou pour se marier.

    Hier, l'association qui les rassemble et les défend organisait une Saint-Valentin tardive mais festive à Marseille, bd Longchamp, pour "proclamer le droit et la liberté d'aimer" et affirmer qu'"un mariage en couleur n'est pas un mariage blanc". "Nous sommes amoureux, pas dangereux", sont venus témoigner plusieurs couples mixtes. En racontant comment "Amoureux au ban public" les a soutenus dans leur parcours.

    "La loi et surtout l'interprétation de la loi sont de plus en plus restrictives pour ces dossiers qui mêlent le droit de la famille et celui des étrangers, explique Serge Navarro, membre du collectif. La Cimade, qui défendait déjà les étrangers, a créé en 2007 cette association spécifique pour aider ces couples." Les permanents racontent la suspicion continue à laquelle sont confrontés ces amoureux sans frontières mais pas sans souci.

    "Les préfectures, les mairies rechignent à les informer, reprend Monia Bennegueouch, l'une des juristes du collectif. Nous avons de multiples exemples de procédures vexatoires où un couple doit reconstituer plusieurs fois son dossier sans raison et après avoir été mal renseigné. Malgré l'arrivée de la gauche au pouvoir et les promesses de François Hollande, nous constatons que la situation n'évolue guère."

    "Amoureux au ban public" rappelle, à l'encontre des clichés, que s'unir avec un Français ou une Française ne donne pas le droit à un titre de séjour ou à la nationalité française. "Le conjoint va devoir attendre quatre ans généralement pour avoir la nationalité française", reprend une militante.

    Le collectif rappelle les enquêtes de police à domicile, les interrogatoires intimes au commissariat pour vérifier la vie commune, l'intention de se marier. "On ne pose pas de question sur une grosse différence d'âge entre des conjoints alors qu'on bloque sur le fait qu'un des deux soit étranger, résume Serge. Or, la loi ne demande pas qu'une personne soit en situation régulière pour se marier."

    Le collectif, par des actions publiques comme celles d'hier, mais aussi par un travail quotidien, aide les couples à vivre leur amour et à être ensemble malgré les obstacles et intervient en situation de crise. "L'année dernière, dans les Bouches-du-Rhône, nous avons pris en charge 350 couples, reprend Monia. Nous sommes là aussi lorsqu'il y a une menace d'expulsion du territoire français, qui peut arriver même après trois ans de vie commune." Et cela même si des enfants français de droit sont nés d'une union mixte.

    Les Amoureux au ban public, 8 bis, rue Jean-Marc-Cathala (Marseille, 2e), 06 68 79 55 48, mail : amoureuxauban13@gmail.com, site : www.amoureuxauban.net


    "Nous avons eu le coup de foudre au Mali"

    Le sourire de Ballo Koromakan s'agrandit comme le ventre d'Amélie Désigaux s'arrondit. Dans trois semaines, cette institutrice provençale et son mari malien deviendront les parents d'une petite fille dont ils ont déjà le prénom, Safia. Mais leur chemin d'amour pour arriver à Marseille a été tortueux.

    "Nous nous sommes rencontrés en 2010 au Mali où j'effectuais un stage dans le cadre de ma formation à l'IUFM, raconte Amélie. Nous avons eu un vrai coup de foudre. Mais malgré une invitation que j'ai fait parvenir aux autorités, Ballo n'a pu obtenir de visa." Alors, Amélie a effectué pas moins de huit voyages au Mali. "Comme ma venue en France était toujours bloquée, nous nous sommes mariés à Bamako le 27 décembre 2012, dans mon pays, raconte Ballo. Après des démarches sur notre capacité à nous unir, le mariage a ensuite été enregistré par l'ambassade de France." Le collectif "Amoureux au ban public" a été à leurs côtés pour les conseiller et pour toutes les démarches. Comme si un ange veillait sur cette belle histoire, Ballo a obtenu son visa pour la France le 3 mars 2013.

    "Quelques jours avant que l'ambassade de France ne ferme alors que les troupes françaises étaient engagées avec les Maliens dans des combats contre les groupes djihadistes." Ballo, lui aussi enseignant, ne peut exercer, faute d'équivalence, en France. Il suit une formation de frigoriste-climatiseur.

    La Provence

  • Le Bloc identitaire présente sa « Feuille de route pour la politique d’identité et de remigration »

     

     

    17/02/2014 – PARIS (NOVOpress) La semaine dernière, le gouvernement socialiste avait présenté sa « feuille de route pour la politique d’égalité républicaine et d’intégration ». En réaction, le Bloc identitaire a décidé de publier aujourd’hui sa « feuille de route pour la politique d’identité et de remigration ».

    Au sujet du projet socialiste, le Bloc identitaire est très clair :

    Détaillée en 26 points, cette note est un véritable concentré de haine de la France et de son identité. Elle révèle le fond de la pensée de nos actuels gouvernants : les Français de souche européenne doivent s’adapter aux masses immigrées, pour mieux disparaître en silence. Parti de la résistance et de la persistance française et européenne, le Bloc Identitaire a décidé de répondre à cette énième provocation en proposant dès aujourd’hui sa « Feuille de route pour la politique d’identité et de remigration ».

    En 26 mesures également, le Bloc Identitaire entend montrer qu’en politique il n’y a pas de fatalité, mais simplement de la volonté. Répondant ainsi aux mondialistes – de gauche comme de droite – mais aussi à ceux qui, se réclamant pourtant patriotes, ont baissé la garde face au multiculturalisme, par fatalisme ou confusion idéologique. Loin des fantasmes de « réconciliation » ou d’assimilation massive, nous pensons que le seul moyen d’éviter le chaos qui découle fatalement des sociétés multiculturelles (et donc multiconflictuelles) c’est aujourd’hui d’envisager, de manière pacifique et concertée, la remigration. C’est-à-dire le retour dans leurs pays d’origine d’une majorité des immigrés extra-européens présents sur notre territoire. Si ces mesures peuvent sembler aujourd’hui « impossibles » ou « radicales » à certains, nous sommes persuadés que les temps à venir se chargeront de les rendre à la fois possibles et nécessaires.

    Voici les 26 propositions du Bloc identitaire :

    1. Abrogation du droit du sol.

    2. Abrogation du regroupement familial.

    3. Expulsion automatique et interdiction de territoire de tout étranger commettant un délit ou un crime sur notre sol.

    4. Mise en place d’accords avec les pays d’origine pour que les peines de prison de leurs ressortissants soient effectués chez eux.

    5. Déchéance rétroactive de la nationalité française pour tout étranger naturalisé ayant commis un délit ou un crime ces 10 dernières années.

    6. Déchéance automatique de la nationalité française pour tout binational ayant commis un crime ou délit.

    7. Mise en place d’un Fond d’Aide au Retour associé au lancement d’une campagne de sensibilisation incitant les immigrés à rentrer chez eux.

    8. Création d’un Haut-Commissariat à la Remigration.

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  • Pédophilie : soupçonné d’entrave à la justice, un ministre allemand démissionne

     

    Angela Merkel n’a pas hésité à pousser vers la sortie son ministre de l’Agriculture. Hans-Peter Friedrich a démissionné vendredi après avoir été accusé d’avoir communiqué des informations confidentielles sur une enquête judiciaire en cours.

    L’histoire avait commencé de manière sordide, elle tourne en affaire politique. La mise en cause cette semaine, d’un député SPD dans une affaire de pédophilie avait déjà suscité le scandale. Sébastian Edathy est soupçonné par la justice allemande, qui a perquisitionné son domicile et son bureau au Bundestag, d’avoir consulté des images pédophiles. Son nom est revenu aux enquêteurs suite au démantèlement d’un réseau au Canada l’automne dernier. Il a démenti avec véhémence les accusations. Mais les répercussions politiques sont déjà là.

    L’ancien ministre de l’Intérieur Hans-Peter Friedrich a démissionné vendredi de son nouveau portefeuille de ministre de l’Agriculture. Dans ses précédentes fonctions, il aurait été au courant de l’enquête sur Edathy. Il est soupçonné d’avoir entravé les démarches de la justice et d’avoir informé durant l’automne le leader du SPD Sigmar Gabriel de l’enquête en cours. Sigmar Gabriel est aujourd’hui vice-chancelier...

    Lire la suite de l’article sur lefigaro.fr

     

    Voir aussi, sur E&R : « Pédocriminalité : l’étau se resserre autour de Cohn-Bendit et des Verts allemands »

  • Pédocriminalité : la mafia française du Cambodge au carrefour de tous les trafics

    Le Cambodge est un très beau pays, mais décidément il s’y passe de drôles de choses. On sait que le pays attire beaucoup les pédophiles occidentaux, qui peuvent s’y payer un enfant pour quelques dollars. Apparemment, certains de ces pédophiles se font coincer par la mafia française qui les fait chanter, ou les recrute dans un gros réseau pédophile installé en Asie et en Europe. Car on le sait bien désormais : quelle meilleure arme que la pédocriminalité pour tenir en laisse des personnalités bien placées ?

    Au Cambodge, les pédophiles sont au paradis. Il est très facile d’y trouver un enfant des rues pour la nuit, à 5 $ à peine. Ravagé par la guerre civile, ce pays a commencé à s’ouvrir au milieu des années 90, quand la guerre a pris fin. À ce moment-là, il y avait dans le pays 20 000 prostituées mineures sur 50 000 recensées dans le pays, et 25 000 enfants abandonnés traînaient dans les rues de Phnom Penh, la capitale [1]. Le trafic d’enfants n’y a jamais cessé, mais heureusement, se dit-on, des ONG luttent contre ce fléau.

    Dès 1996, un groupement d’ONG appelé ECPAT (End Child Prostitution in Asian Tourism) dénonçait la présence de pédophiles occidentaux à Phnom Penh et dans le pays. « Parmi eux, deux employés de l’ambassade de France, trois professeurs de l’Alliance française, des employés de l’ambassade d’Australie et des États-Unis, des journalistes, des humanitaires, selon une liste dressée par Mick Kearney, un ancien inspecteur de police australien qui enquête aujourd’hui pour l’ECPAT » est-il précisé dans un article de Libération.

    « “Ce consortium d’ONG surveille aujourd’hui cinq résidents français qui servent, selon Kearney, de tête de pont à un réseau international. Les Français sont les mieux organisés. Leur réseau leur permet d’échanger des informations et de se protéger”, souligne Mick Kearney, qui affirme par ailleurs avoir été menacé de mort par des pédophiles français. » ECPAT a ainsi envoyé en procès l’ancien ambassadeur d’Australie à Phnom Penh, en 1995 [2]. Il avait aussi été accusé d’avoir détourné de l’argent des fonds d’aide de son ambassade afin de financer des orphelinats, dans lesquels il se fournissait en petits garçons et dont il aurait aussi fait profiter d’autres pédos. Finalement il a été acquitté, parce que le tribunal australien a estimé que les preuves étaient insuffisantes.

    Selon ECPAT, déjà en 1996, des ONG venant en aide aux enfants avaient été infiltrées à cette époque.

    Revenons à notre mafia, ce dont parle un ancien militaire, Bruno Mercier, qui tente de dénoncer cette mafia nichée au Cambodge. Il explique qu’une société tenue par des Français mais de droit cambodgien, appelée Triangle Holding, avait des activités très louches.

    Lire la suite de l’article sur dondevamos.canalblog.com

    E&R

  • Entretien avec Alain de Benoist. GMT: comment les USA vont continuer à dépecer l'Europe...

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    Le 13 février 2014

    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.

    Alors que François Hollande vient tout juste d’annoncer, depuis les États-Unis, une accélération des négociations concernant le Grand marché transatlantique (GMT), Alain de Benoist revient pour Boulevard Voltaire sur les conséquences dramatiques d’un tel Traité…

    Le GMT, gigantesque zone de libre-échange entre l’Europe et les États-Unis, est le grand projet du moment. Mais les médias n’en parlent que fort peu. Pourquoi ?

    Parce que l’opinion est tenue à l’écart, et que les négociations se déroulent à huis-clos. C’est pourtant une affaire énorme. Il s’agit en effet de mettre en place, en procédant à une déréglementation généralisée, une immense zone de libre-échange, correspondant à un marché de plus de 800 millions de consommateurs, à la moitié du PIB mondial et à 40 % des échanges mondiaux. Le projet porte le nom de « Partenariat transatlantique de commerce et d’investissements ». S’ajoutant au « Partenariat transpacifique » également lancé en 2011 par les États-Unis, il vise à créer la plus grande zone de libre-échange du monde grâce à une vaste union économique et commerciale préludant à une « nouvelle gouvernance » commune aux deux continents.

    En créant une sorte d’OTAN économique, l’objectif des Américains est d’enlever aux autres nations la maîtrise de leurs échanges commerciaux au bénéfice de multinationales largement contrôlées par leurs élites financières. Parallèlement, ils veulent contenir la montée en puissance de la Chine, aujourd’hui devenue la première puissance exportatrice mondiale. La création d’un grand marché transatlantique leur offrirait un partenaire stratégique susceptible de faire tomber les dernières places fortes industrielles européennes. Elle permettrait de démanteler l’Union européenne au profit d’une union économique intercontinentale, c’est-à-dire d’arrimer définitivement l’Europe à un grand ensemble « océanique » la coupant de sa partie orientale et de tout lien avec la Russie.

    Ces négociations se font à haut niveau, sans que les gouvernements concernés aient leur mot à dire. Nouvelle défaite du personnel politique ?

    La « libéralisation » totale des échanges commerciaux est un vieil objectif des milieux financiers et libéraux. Le projet de grand marché transatlantique a discrètement mûri pendant plus de vingt ans dans les coulisses du pouvoir, tant à Washington qu’à Bruxelles. Les premières négociations officielles se sont ouvertes le 8 juillet 2013. Les deuxième et troisième rounds de discussion ont eu lieu en novembre et décembre derniers. Une nouvelle réunion est prévue à Bruxelles en mars prochain. Les partenaires espèrent parvenir à un accord d’ici 2015. Les gouvernements européens ne sont pas partie prenante aux discussions, qui sont exclusivement menées par les institutions européennes. Les multinationales y sont en revanche étroitement associées.

    Sachant qu’à l’heure actuelle, quelque 2,7 milliards de biens et de services s’échangent déjà tous les jours entre l’Europe et les États-Unis, la suppression des derniers droits de douane va-t-elle vraiment changer quelque chose ?

    La suppression des droits de douane n’aura pas d’effets macro-économiques sérieux, sauf dans le domaine du textile et le secteur agricole. Beaucoup plus importante est l’élimination programmée de ce qu’on appelle les « barrières non tarifaires » (BNT), c’est-à-dire l’ensemble des règles que les négociateurs veulent faire disparaître parce qu’elles constituent autant « d’entraves à la liberté du commerce » : normes de production sociales, salariales, environnementales, sanitaires, financières, économiques, politiques, etc. L’objectif étant de s’aligner sur le « plus haut niveau de libéralisation existant », « l’harmonisation » se fera par l’alignement des normes européennes sur les normes américaines.

    Dans le domaine agricole, par exemple, la suppression des BNT devrait entraîner l’arrivée massive sur le marché européen des produits à bas coûts de l’agrobusiness américain : bœuf aux hormones, carcasses de viande aspergées à l’acide lactique, volailles lavées à la chlorine, OGM (organismes génétiquement modifiés), animaux nourris avec des farines animales, produits comportant des pesticides dont l’utilisation est aujourd’hui interdite, additifs toxiques, etc. En matière environnementale, la réglementation encadrant l’industrie agro-alimentaire serait démantelée. En matière sociale, ce sont toutes les protections liées au droit du travail qui pourraient être remises en cause. Les marchés publics seront ouverts « à tous les niveaux », etc.

    Il y a plus grave encore. L’un des dossiers les plus explosifs de la négociation concerne la mise en place d’un mécanisme d’« arbitrage des différends » entre États et investisseurs privés. Ce mécanisme dit de « protection des investissements » doit permettre aux entreprises multinationales et aux sociétés privées de traîner devant un tribunal ad hoc les États ou les collectivités territoriales qui feraient évoluer leur législation dans un sens jugé nuisible à leurs intérêts ou de nature à restreindre leurs bénéfices, c’est-à-dire chaque fois que leurs politiques d’investissement seraient mises en causes par les politiques publiques, afin d’obtenir des dommages et intérêts. Le différend serait arbitré de façon discrétionnaire par des juges ou des experts privés, en dehors des juridictions publiques nationales ou régionales. Le montant des dommages et intérêts serait potentiellement illimité, et le jugement rendu ne serait susceptible d’aucun appel. Un mécanisme de ce type a déjà été intégré à l’accord commercial que l’Europe a récemment négocié avec le Canada.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • La Légion d’honneur de Valls au recteur de la mosquée d’Evry

         

    La Légion d’honneur de Valls au recteur de la mosquée d’Evry



        Khalil Merroun, le recteur de la Grande Mosquée d’Evry-Courcouronnes, située en région parisienne, s’est vu remettre la Légion d’honneur par le ministre de l’Intérieur chargé des Cultes, Manuel Valls, samedi 15 février. S’en est suivi un dîner dans le lieu de culte pour célébrer cette promotion, en présence de l’actuel maire d’Evry Francis Chouat.

    La nomination de Khalil Merroun a été actée par un décret du 31 décembre 2013 mais la remise des insignes, à quelques semaines des élections municipales, n’est pas sans intérêt électoraliste pour Manuel Valls, qui fut le maire d’Evry de 2001 à 2012. Après l’élection de François Hollande, il a cédé son fauteuil à son adjoint Francis Chouat, candidat à sa propre succession. Celui-ci – non sans coïncidence – a été promu chevalier de la Légion d’honneur en novembre 2013.

    Demeurant éligible à un poste de conseiller municipal, Manuel Valls est aujourd’hui en troisième position dans la liste de rassemblement de gauche. Le ministre tient à ce que la municipalité reste sous son giron. Chacun de ses gestes est soigneusement calculé pour parvenir à ses objectifs, y compris envers la communauté musulmane locale bien que ses positions assumées contre le voile soient très loin de plaire à celle-ci. Khalil Merroun, qui gère la mosquée depuis son inauguration 1994, n'a néanmoins pas refusé l'insigne remise par le ministre dont les relations sont au beau fixe.

    http://www.saphirnews.com/La-Legion-d-honneur-de-Valls-au-recteur-de-la-mosquee-d-Evry_a18419.html
     
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  • Centrafrique: la présidente veut le maintien des forces françaises jusqu'en 2015 - 17/02/2014

       

    Centrafrique: la présidente veut le maintien des forces françaises jusqu'en 2015



        La présidente centrafricaine de transition Catherine Samba Panza souhaite que l'intervention militaire française dans son pays soit prolongée jusqu'aux élections prévues en février 2015, ont annoncé lundi des parlementaires français à la presse à Bangui. "La présidente de transition nous a dit qu'il faut qu'ils (les soldats français) restent jusqu'aux élections, c'est-à-dire le début 2015", a déclaré la présidente de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale, Elisabeth Guigou, qui conduit une délégation de neuf parlementaires à Bangui.

    http://ennaharonline.com/fr/international/24514.html
     
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