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  • Publication de documents sur la collaboration des nationalistes ukrainiens avec Hitler

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    Aujourd'hui, 21:04
     

     

     

    Par La Voix de la Russie | Le ministère des Affaires étrangères de Russie a publié une série de documents du Commissariat du peuple aux Affaires étrangères de l'URSS datant de 1942-1945 et concernant l'activité des nationalistes ukrainiens pendant la Grande guerre patriotique.

    Les documents renferment des témoignages sur leur collaboration avec les hitlériens et leur participation à des exécutions sommaires de la population civile.

    En Ukraine, on constate un regain d'activité des nationalistes après la dislocation de l'URSS. Par son décret, le président Viktor Iouchtchenko a attribué le titre de Héros de l'Ukraine aux fondateurs et dirigeants de l'Armée insurrectionnelle ukrainienne Stepan Bandera et Roman Choukhevitch. Leurs continuateurs sont devenus des participants actifs de l'EuroMaïdan à Kiev.

  • La communauté juive ukrainienne espère un miracle

    Revue de presse
    Publié le 5 Mars 2014

     

     
     
     Article de Roger Haddad publiée dans Tel-Avivre, le 4 mars 2014

     

    Selon le dirigeant de la communauté Habad d’Ukraine, le rabbi Moshe Reuven Azman, les juifs se sentent menacé par la révolution qui touche le pays :  « La situation de la communauté juive est très tendue, nous sommes au bord d’une guerre avec la Russie et les gens sont appelés à se présenter dans des centres de recrutement de l’armée. Parmi eux se trouvent aussi des juifs qui sont censés être intégrés à l’armée ukrainienne. Ce n’est pas une situation simple. La communauté est tendue et inquiète, nous espérons  le miracle de Pourim ». 

    Ce Shabbat, beaucoup de gens sont venus prier à la synagogue après les récents incidents. La communauté juive prévoit un grand Pourim en Ukraine. Actuellement, les ukrainiens sont très préoccupés par une éventuelle vague de violence dans la péninsule de Crimée. Le rabin Moshe Reuven Azman, qui est en contact avec la communauté juive dans la zone de conflit a expliqué :  » Il existe une tension là-bas et la situation n’est pas facile. Avec l’aide de Dieu, nous allons traverser cette terrible épreuve. Les émissaires Habad travaillent dur pour aider les Juifs dans toutes les villes ukrainiennes »… Lire la suite.

    CRIF
  • L'Ukraine demande à la Russie de lui livrer Ianoukovitch

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    Par La Voix de la Russie | Le chef du Service de sécurité d'Ukraine Valentin Nalivaïtchenko a demandé aux collègues russes de livrer Ianoukovitch. Nalivaïtchenko a fait cette déclaration mardi, lors d'une conférence de presse.

    Selon lui, la partie ukrainienne a adressé aux collègues russes la demande de « rétablir les contacts », « pour que le service de sécurité russe comprenne ou se trouvent les menaces, et puisse en informer la partie ukrainienne ». Nalivaïtchenko estime que la coopération bilatérale est nécessaire, « notamment en ce qui concerne la remise à la partie ukrainienne d'Ianoukovitch, ancien président ».

  • Chiffres de la délinquance truqués à Paris : Wallerand de Saint-Just (FN) propose la création d’une instance paritaire extérieure au ministère de l’Intérieur

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    Agents de la police nationale dans une rue parisienne.

    04/03/2014 – PARIS (NOVOpress)
    C’est peu dire que la candidat FN/RBM à la Mairie de Paris et pour le 15ème, Wallerand de Saint-Just, n’a guère apprécié la révélation du fait que les chiffres de la délinquance à Paris étaient truqués.

    En effet, selon un rapport de l’Inspection générale de l’administration, les statistiques de la délinquance dans la capitale ont été falsifiés depuis une quinzaine d’années.

    Par le biais d’un communiqué, Wallerand de Saint-Just a précisé : « Ces “anomalies” dans les statistiques de la délinquance perdurent, ce qui prouve bien que le gouvernement, qu’il soit de droite ou de gauche, a bien peu de scrupules à trafiquer les chiffres et à mentir aux Parisiens pour cacher l’explosion de l’insécurité. »

     

    Mais surtout, Wallerand de Saint-Just exige « la création d’une instance paritaire extérieure au ministère de l’Intérieur. Elle sera composée de députés et d’experts indépendants chargés de vérifier les chiffres de la délinquance. »

    Crédit photo : Rama via Wikipédia (cc).

  • Ukraine – Crimée : la sixième flotte en route

     

    Ukraine – Crimée : la sixième flotte en route  - Obama-Poutine : quelles perspectives diplomatiques ?

     


    Obama-Poutine : quelles perspectives diplomatiques ?



    Michel Lhomme
    le 04/03/2014
    La Sixième flotte américaine, l’une des plus grandes flottes du monde, se déplace vers la Crimée. C'est environ 40 navires, 175 avions et 21 000 personnes. Des troupes de l'OTAN auraient aussi débarqué en Ukraine occidentale dans la région de Lviv. Ces informations proviennent directement du député du peuple de l'Ukraine, Oleg Tsarev. Selon lui, un débarquement de soldats de l'OTAN se déroule à Lviv. On signale aussi la présence de soldats ukrainiens dans les navires de guerre américains de Mer Noire. Ainsi, alors que l'on parle de dialogue, de diplomatie, les deux fronts américano-russe se rapprocheraient militairement de la confrontation.

    Des chars polonais ont été aperçus se déplaçant le long de la frontière avec l'Ukraine. L'armée turque été placée en état d'alerte. Barack Obama insiste et récidive en dénonçant faussement une violation par Moscou du droit international, jugeant que la Russie est du « mauvais côté de l'histoire » en Ukraine. Les Occidentaux n’ont-ils pas délibérément violé le Mémorandum de Budapest de 1994 ? 

     
    Barack Obama ou plutôt les clintoniens auraient-ils décidé d'en finir avec Moscou après l'affront reçu en Syrie ? En fait, il n'est d'ailleurs pas certain que tous les hauts gradés américains approuvent les plans des faucons. Cela fait plusieurs années que les USA, avec l'appui de l'Union Européenne, s'en prennent indirectement à la Russie et tentent de la défier en renversant les gouvernements qui lui sont proches ou en tentant à l'intérieur même du pays de le déstabiliser par l'appel à la ''démocratie''. Pourquoi tant d'acharnement ? En fait, la situation financière de l'Occident est au bord d'un krach boursier sans précédent, d'un vide abyssal. Saisir "économiquement"la Russie, c'est aussi comme en Libye racheter ses banques, opérer une razzia et entraîner tout l'Est de l'Europe dans le consumérisme américain, s'approprier les plaines riches de l'Ukraine et ses matières premières.
     
    La fenêtre de tir de Sotchi était donc parfaite. 

    Poutine ne pouvait envoyer ses chars et ses forces spéciales contre les manifestants. Les Ukrainiens pro-européens et les nationalistes instrumentalisés ont profité  de cette "fenêtre de tir'', longuement mûrie et préparée par les services secrets occidentaux (NSA et Mossad). L'Europe n'a pas vu les événements survenir ou trop naïve, elle n'a pas cru sans doute aux manigances américaines.
     
    En 2013, l'Union Européenne et les Etats-Unis ont tenté de renverser la Syrie sans y parvenir. Les Etats-Unis doivent maintenant se débarrasser de l'ours russe gênant. Qui peut mettre à terre la Russie orthodoxe ? Poutine, de formation militaire n'a, sur ce point, jamais perdu le sens des responsabilités. Il a complètement compris le jeu mondialiste américain comme aucun autre chef d'Etat. Enfin, la Chine guette les derniers soubresauts de l'instinct de conservation de l'Empire, mais on sait qu'elle aussi, a déjà choisi son camp et possède dans ses mains les dernières cartouches du ''suicide'' américain. Dans ce genre d'opérations, dans ce qu'on appelle les ''grands coups'', on peut tout gagner mais aussi rapidement tout perdre.

    Quelles perspectives diplomatiques ?

    Cette opération de main basse étatsunienne sur l'Ukraine a commencé quand, en 1991, s'est désagrégée l’Union Soviétique. A la place d’un seul Etat, il s’en était formé quinze, dont l’Ukraine. Les Etats-Unis et leurs alliés européens se sont alors activé immédiatement pour tirer le plus grand avantage de la nouvelle situation géopolitique. Les premiers pays de l’ex Pacte de Varsovie (Pologne, République Tchèque et Hongrie) rejoignent très vite l'Union Européenne et l'Otan. Puis, en 2004 et 2009, l'Otan incorpore l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie), la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie, la Slovénie, la Croatie et l'Albanie. L’Ukraine, dont le territoire de 600 000 Kms2 fait tampon entre l'OTAN et la Russie, et qui est traversé par les couloirs énergétiques entre la Russie et l'Union Européenne reste par contre autonome (Mémorandum de Budapest). Mais l'Ukraine entre dans le « Conseil de coopération nord-atlantique » et, en 1994, dans le « Partnership pour la paix », en contribuant aux opérations de «peacekeeping » dans les Balkans.
     
    En 2002 a été adopté le « Plan d’action OTAN-Ukraine » et le président ukrainien de l'époque, le président Kuchma annonça alors son intention d’adhérer à l’OTAN. En 2005, dans le sillage de la « révolution orange », le président Yushchenko fut invité au sommet OTAN à Bruxelles. Immédiatement après, était  lancé un « dialogue intensifié sur l’aspiration de l’Ukraine à devenir membre de l’OTAN » et, en 2008, le sommet de Bucarest donna le feu vert pour cette adhésion.

    En 2009, Kiev signe un accord permettant le transit terrestre en Ukraine des approvisionnements pour les forces de l'OTAN en Afghanistan. Désormais l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN était assurée mais, en 2010, le président nouvellement élu Ianoukovytch annonce que, tout en continuant la coopération avec l'Otan, l’adhésion à l’Union européenne n’est plus dans l’agenda gouvernemental. L’OTAN est arrivée à tisser un réseau de liens à l’intérieur des forces armées ukrainiennes. Des officiers supérieurs participent depuis des années à des cours du NATO Defense College à Rome et à Oberammergau (Allemagne), sur des thèmes concernant l’intégration des forces armées ukrainiennes à celle des armées occidentalles. En outre l’OTAN a institué à Kiev un Centre d’information qui organise des rencontres et séminaires, et même des visites de « représentants de la société civile » au quartier général de Bruxelles. Il est ainsi évident que l’OTAN a tissé un réseau important dans les milieux militaires et civils.
     
    On saisit maintenant la décision ultime du ''grand coup'': l’OTAN se sent sûre de pouvoir accomplir un nouveau pas dans son extension à l’Est, en englobant dans ses plans la moitié de l’Ukraine et en réservant la moitié pauvre du territoire à l'Union Européenne. Reste alors, pour les Etats-Unis, à calmer les nationalistes ukrainiens et avec la Russie, à résoudre le problème d'un inévitable détachement de la Crimée. Or, la Russie peut-elle accepter un tel isolement de la Crimée sans des contreparties plus que conséquentes et lesquelles ? La Russie ne sacrifiera pas la Crimée mais si la partie non russophone de l'Ukraine entre dans l'Otan, l'accès russe et total à la Crimée doit-être garanti sans interférence aucune. On en revient donc au Mémorandum de Budapest devenu maintenant caduc.
    METAMAG
  • Une frégate ukrainienne rentre en mer Noire par le Bosphore 04/03/2014

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        Le retour du vaisseau amiral de la marine ukrainienne Hetman Sagaïdatchny dans la mer Noire est attendu aujourd'hui soir, communique le service de presse du ministère des Affaires étrangères d'Ukraine.

    « Le 4 mars la frégate Hetman Sagaïdatchny, vaisseau amiral des forces navales d'Ukraine, est entrée dans le détroit des Dardanelles. Dans la soirée, le vaisseau battant pavillon de la marine ukrainienne doit franchir le Bosphore et regagner la mer Noire », indique le communiqué.


    Un navire de guerre ukrainien faisant cap vers l'Ukraine a traversé mardi le détroit du Bosphore, situé dans les eaux turques.

    La frégate ukrainienne Hetman Sahaydachny, escortée par un navire de guerre et un garde-côte turcs, a effectué la traversée du Bosphore pour entrer en mer Noire et poursuivre sa route vers l'Ukraine.

    Plus tôt dans la journée, deux navires de guerre russes, le Saratov et le Yamal, avaient eux aussi traversé le détroit en direction de l'Ukraine.

    La presse russe avait indiqué un peu plus tôt que la frégate Hetman Sahaydachny refusait de suivre les ordres de Kiev et arborait le pavillon russe. Cependant, le navire battait pavillon ukrainien au moment de sa traversée du Bosphore.

    De son côté, le ministère de la Défense ukrainien a démenti les allégations selon lesquelles le Hetman Sahaydachny aurait pris le parti de la Russie. Le ministère a précisé qu'avant de mettre le cap sur l'Ukraine, la frégate, équipée d'un hélicoptère Ka-27 et transportant une équipe spéciale, était en mission dans le golfe d'Aden.

    http://french.ruvr.ru/news/2014_03_04/La-fregate-ukrainienne-Hetman-Sagaidatchny-rentre-en-mer-Noire-8640/
    http://french.china.org.cn/foreign/txt/2014-03/05/content_31672966.htm
     
    ALTER INFO.NET
  • Poutine dément les rumeurs sur le décès de Ianoukovitch réfugié en Russie

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    Moscou, 4 mars, RIA Novosti

    Le président russe Vladimir Poutine a démenti mardi l'information parue dans certains médias et selon laquelle le président ukrainien Viktor Ianoukovitch, ayant trouvé refuge en Russie, serait décédé d'une crise cardiaque.
     
    "Après qu'il s'est retrouvé sur le territoire de Russie, je l'ai rencontré une fois, notamment il y a deux jours. Il était sain et sauf et vous transmettait ses meilleurs vœux. Il attraperait sans doute un léger rhume aux funérailles de ceux qui font courir ces rumeurs", a déclaré le chef de l'Etat devant les journalistes. 
     
    Un changement de pouvoir s'est opéré le 23 février à Kiev. La Rada suprême (parlement) a démis le président Viktor Ianoukovitch de ses fonctions, réformé la Constitution et confié le mandat de chef de l'Etat au président du parlement Alexandre Tourtchinov. Ianoukovitch a qualifié ces événements de "coup d'Etat". Moscou a également déclaré à plusieurs reprises qu'il contestait la légitimité des décisions de la Rada. Le 27 février, lors d'une conférence de presse dans la ville russe de Rostov-sur-le-Don, M.Ianoukovitch a expliqué qu'il avait été contraint de quitter l'Ukraine en raison de menaces de mort. Il a demandé aux autorités russes d'assurer sa sécurité face aux extrémistes ayant usurpé le pouvoir en Ukraine. La Russie l'a accueilli sur son sol pour des raisons humanitaires, sa vie étant en danger.

  • Crimée: 22.000 militaires ukrainiens ont fait défection (Poutine)

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    Moscou, 4 mars, RIA Novosti

    22.000 militaires ukrainiens et plusieurs dizaines de systèmes de missiles sol-air S-300 sont passés sous l'autorité du gouvernement de la république autonome de Crimée, a annoncé mardi à Moscou le président russe Vladimir Poutine.

    "Il semble qu'on souhaite reproduire le scénario de Kiev en Crimée et qu'on puisse y organiser une série d'attaques terroristes. Cela inquiète beaucoup les habitants de Crimée. Ils ont donc créé des comités d'autodéfense et ont pris le commandement des unités militaires locales (…). Plusieurs dizaines de systèmes de missiles S-300 et d'autres armes, ainsi que 22.000 militaires sont passés sous l'autorité des Criméens. Dieu merci, cela s'est passé sans coup férir et c'est le peuple de Crimée qui contrôle tout", a indiqué M.Poutine lors d'une conférence de presse.

    Suite au changement de pouvoir à Kiev où la Rada suprême a destitué le président du pays, le Conseil suprême de Crimée a décidé fin février de tenir un référendum sur l'élargissement des pouvoirs de la république autonome ukrainienne de Crimée. Initialement fixée au 25 mai, la date du référendum a ensuite été avancée au 30 mars.

    © RIA Novosti.

     

    Le premier ministre criméen Sergueï Aksenov a adressé une demande d'aide au président russe Vladimir Poutine. 

    Le représentant de la Russie auprès de l'ONU Vitali Tchourkine a annoncé que le président Poutine avait en outre reçu une lettre de Viktor Ianoukovitch, que la Russie considère comme le président légitime de l'Ukraine. M.Tchourkine a présenté une photocopie de la lettre où M.Ianoukovitch demande d'envoyer des troupes russes en Ukraine pour protéger les civils.

    Le 1er mars, le Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe) a autorisé le recours à la force en Ukraine en vue de régler la situation dans ce pays. Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Grigori Karassine a plus tard expliqué que l'adoption de la résolution ne signifiait pas le recours immédiat à la force. Le porte-parole du président russe Dmitri Peskov a précisé que M.Poutine n'avait pas pris de décision sur l'utilisation des Forces armées russes à l'étranger.

    Région peuplée principalement de russophones, la Crimée a été rattachée en 1954 à l'Ukraine qui faisait alors partie de l'Union soviétique. Il s'agissait d'une décision purement formelle, car le transfert de ce territoire était effectué à l'intérieur du même Etat. Après la chute de l'URSS en 1991, la Crimée est restée au sein de l'Ukraine, mais a reçu le statut de république autonome.

  • Des mercenaires US déployés au sud de l’Ukraine

     

     
    | 4 mars 2014
     

    L’Otan ne devrait pas intervenir en Crimée, mais selon le politologue russe, Alexandre Douguine, une filiale d’Academi (ex-Blackwater), Greystone Limited, a débuté son déploiement en Ukraine.

    Les mercenaires arriveraient par groupe, en civil, avec de lourds paquetages, à l’aéroport de Kiev, d’où ils seraient envoyés vers Odessa.

  • BHL menace Poutine : « Nous pouvons user contre Poutine des mêmes méthodes que contre Ianoukovitch »

     

     

     

    04/03/2014 – VIDÉO - Bernard-Henri Lévy (BHL), surnommé « petit télégraphiste de l’empire », a pris une nouvelle fois la parole dimanche 2 mars 2014 sur la place Maidan de Kiev (Ukraine), épicentre de la crise politique qui secoue le pays depuis des mois. « Et si les Européens n’avaient qu’une fraction du courage que vous avez eu ici sur le Maidan. Vous n’avez pas peur, et les Européens auraient peur ? Vous vous êtes dressé devant Poutine, et nous nous coucherions devant Poutine ? Cela n’est pas concevable », a lancé l’homme à la chemise blanche.

    Publié le 4 mars 2014 NOVOPRESS

  • Tempête et vagues géantes sur l'Atlantique

    A regarder en mode plein écran

  • Ukraine : et si on demandait leur avis aux Ukrainiens ?

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    Le 4 mars 2014
    La Crimée d’ores et déjà passée par profits et pertes, la question est maintenant de savoir ce qu’il adviendra de l’Ukraine.
             

    Tandis que les forces armées russes reprenaient possession de la Crimée sans verser une goutte de sang, tandis que Barack Obama brandissait le gros bâton dont il n’a nulle intention de se servir, tandis que l’OTAN grommelait de vagues menaces contre la Russie, tandis que Hollande et Cameron, chiens couchants de l’Amérique rivalisant de zèle dans la servilité, aboyaient aux chausses de Poutine et parlaient déjà d’exclure son pays du cercle des nations civilisées, tandis que l’ancien champion du monde de boxe Vitali Klitschko appelait à la mobilisation générale, tandis que Bernard-Henri Lévy, nain philosophe juché sur les épaules de Voltaire, de Victor Hugo et d’André Malraux, de passage sur la place Maïdan, invitait son auditoire ukrainien à mourir héroïquement, tandis qu’à tout moment la situation pouvait dégénérer et le premier coup de feu déchaîner une guerre sanglante et inégale, Angela Merkel prenait discrètement contact avec le président russe et lui tenait, d’égale à égal, le langage d’une femme d’État qui se sait écoutée et respectée.

    Sans absoudre en aucune manière les dangereuses initiatives prises par son interlocuteur, le chancelier allemand rouvrait la porte que les adeptes d’une bien sommaire diplomatie lui avaient imprudemment claquée au nez et lui faisait accepter le principe d’un « groupe de contact » où l’on évoquerait entre gens raisonnables et responsables un dossier devenu brûlant. C’était une perche tendue à Vladimir Poutine qui permettait au maître du Kremlin de suspendre, de différer, voire d’annuler les actions envisagées sans pour autant perdre la face et sans reculer devant des menaces de représailles aussi fermes dans la forme que dérisoires sur le fond. C’était aussi la première fois depuis la dernière guerre que l’Allemagne, géant économique entravé par le souvenir de son passé, prenait l’initiative et revenait au premier plan de la scène internationale. C’était enfin le premier pas sur la voie d’un arbitrage dont chacun sait déjà, même s’il est difficile de l’admettre publiquement, qu’il se fera à l’avantage de la Russie et donc au détriment de l’Ukraine. Jusqu’à quel point ?

    Naturellement, pour reprendre la célèbre et cynique formule de Claude Cheysson en 1981, l’Europe ne fera rien. Naturellement, les États-Unis ne feront rien. Et ce n’est pas seulement, pour ce qui est du Vieux Continent, par faiblesse, par lâcheté, parce qu’il dépend des livraisons de gaz russe et ne veut pas porter atteinte à ses relations économiques avec la Russie. Ce n’est pas seulement, pour ce qui concerne Washington, parce que, lasse de jouer les gendarmes du monde, d’y prendre et d’y recevoir des coups, l’Amérique cherche plutôt à se replier sur elle-même qu’à s’engager sur de nouveaux terrains de confrontation. C’est tout simplement parce qu’il y a une volonté russe de reprendre possession des territoires perdus et de renouer avec la grandeur passée plus forte et plus justifiée que la volonté du reste du monde de l’en empêcher.

    La Crimée d’ores et déjà passée par profits et pertes, la question est maintenant de savoir ce qu’il adviendra de l’Ukraine, création artificielle dont les frontières actuelles ne reposent pas sur ce désir commun de vivre ensemble qui constitue les nations. Verra-t-on l’est et l’ouest du pays se séparer pacifiquement, sans drame et sans regret, comme l’ont fait de manière exemplaire la Tchéquie et la Slovaquie ? Verra-t-on la Russie imposer son joug par la force, comme au temps révolu des partages de la Pologne, à cette autre moitié de l’Ukraine qui apparemment s’y refuse ?

    L’enjeu n’est pas tel qu’il oblige à revenir à la guerre froide. Et il est d’autres méthodes que la guerre pour régler ce genre de problèmes. Poutine peut réfréner son appétit d’ogre et s’asseoir à la même table que les pays de l’OSCE dont la Russie est membre, les pays occidentaux peuvent rengainer leurs injures et leurs condamnations morales et examiner avec lui les conditions dans lesquelles pourrait être organisée une consultation régulière des Ukrainiens sur l’avenir qu’ils se choisissent. Il n’y aurait rien d’extravagant, au XXIe siècle, à mettre en pratique le droit reconnu aux peuples, il y a deux cents ans, de disposer d’eux-mêmes.

    Dominique Jamet

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Les chrétiens ont tout à perdre avec l'immigration débridée actuelle

    Ecrit le 3 mar 2014 à 16:01 par Christine Tasin dans Poing de vue

     
     Les Suisses nous ont montré la voie. On leur avait promis 8 000 immigrés par an, ils en reçoivent 80 000 et ni eux ni l’économie ne peuvent suivre. Ils ont donc voté pour avoir le droit de choisir qui peut s’installer chez eux, de qui ils ont besoin et de qui ils n’ont pas besoin.

    Nous aimerions nous aussi avoir ce droit et c’est pourquoi nous manifesterons dimanche prochain 9 mars pour réclamer un referendum sur l’immigration.

    J’aimerais aujourd’hui expliquer aux lecteurs de Nouvelles de France en quoi les chrétiens sont concernés, peut-être même plus que les autres, par l’immigration et par cette manifestation. Et si nous insistons sur l’islamisation, ce n’est pas pour faire entrer notre préoccupation majeure dans le thème de l’immigration mais parce que, comme l’a reconnu Nicolas Sarkozy pendant le débat entre les deux tours de la présidentielle, 80% des immigrés viennent de pays musulmans.

    Pourquoi, donc, les chrétiens sont-ils peut-être encore plus concernés que les autres ?

    Certes, les chrétiens, comme les athées, les juifs, les bouddhistes… se battent pour défendre leurs emplois menacés par la concurrence déloyale et les bas salaires véhiculés par l’immigration, certes ils se battent pour défendre un bien fondamental, la liberté de croire ou de ne pas croire et en tout cas de choisir leur Dieu et leur religion ou non religion, certes ils tiennent à la liberté d’aimer qui ils veulent, chrétien, athée, juif, bouddhiste ou musulman, certes ils se battent pour l’égalité des hommes et des femmes, ou encore parce qu’ils ne veulent pas manger sans le savoir et sans le vouloir la viande sacrifiée au nom d’Allah d’un animal qu’on a fait délibérément souffrir ; ils se battent pour qu’à l’école on ne manipule pas leurs enfants, qu’on ne leur fasse pas apprendre l’histoire des pays africains mais celle de leur pays, celle de Clovis comme celle d’Henri IV , celle de Napoléon comme celle de Clémenceau, ils se battent qu’on leur fasse découvrir le sens du beau par la fréquentation de Molière ou de Hugo… Bref, nous avons mille raisons de nous opposer au remplacement de peuple et de civilisation que nous voyons à l’œuvre, quelles que soient nos convictions, nos éthiques, nos philosophies, nos choix sociétaux.

    Mais les chrétiens ont sans doute quelques raisons supplémentaires parce qu’ils ont bien plus à perdre encore.

    Non seulement parce que la réalité du christianisme, actuellement, dans les pays musulmans, c’est l’assassinat des chrétiens, la destruction des églises ou même la réhabilitation de l’ancien impôt (jizia) payé par les non musulmans comme c’est le cas en Syrie dans une des zones tenues par les rebelles.

    Non seulement parce que les chiites iraniens, auxquels Dieudonné fait de la propagande en France, n’ont qu’une idée en tête, la conversion des chrétiens à l’islam afin de préparer le retour de Jésus qui serait là pour convertir tous les musulmans…

    Mais, surtout, parce que l’islam est un système hégémonique qui ne supporte aucune concurrence, aucune comparaison, et que, déjà, dans trop d’écoles ou de mairies, on a fait disparaître la crèche, (que respectent pourtant et installent bien des athées) et même parfois le sapin de Noël ; même les couronnes accompagnant les galettes des rois ont été bannies à Brest en 2013 parce qu’elles portaient le nom d’Epiphanie… Et tout cela pour ne pas choquer les adeptes d’une soi-disant religion qui voit dans le christianisme un culte païen, les chrétiens, appelés « gens du Livre » étant également appelés dans le coran « les associateurs » parce qu’ils adoreraient 3 divinités, le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Le verset 29 de la sourate 9 est d’ailleurs très explicite : « Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au jour dernier, n’interdisent pas ce qu’Allah et son prophète ont défendu, et ceux des Gens du Livre, qui ne professent pas la vraie religion ; combattez-les jusqu’à ce qu’ils payent la jizia de leurs propres mains, alors qu’ils soient humiliés. »

    Parce que, tout de même, qu’est-ce qui pourrait rapprocher musulmans et chrétiens ?

    RIEN, j’ose le dire. Tout les sépare.

    Le Dieu chrétien est un Dieu d’amour, si plein de bonté qu’il a préféré offrir son propre fils en sacrifice au lieu de punir les hommes.

    Le Dieu musulman est un Dieu de haine, de colère et de violence envers tout ce qui n’est pas musulman et même envers les musulmans eux-mêmes :  » La guerre vous est prescrite, et cette prescription vous l’avez en horreur. Mais il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose qui constitue pourtant un bien pour vous ; et il se peut que vous chérissiez une autre alors qu’elle constitue un mal pour vous. Allah le sait et vous ne le savez pas. » Verset 216, sourate 2.

    Le Dieu chrétien est un Dieu de pardon qui respecte les femmes, l’attitude de Jésus envers Marie-Madeleine est édifiante.

    Le Dieu musulman met les femmes parmi les sous-êtres, éternelles mineures, et ne parle que punitions, flagellations et lapidations… Jamais de pardon.

    D’ailleurs on ne peut mieux montrer ce qui sépare musulman et chrétien qu’en comparant deux fêtes extrêmement importantes :

    Les chrétiens ont choisi de faire de la naissance du Christ LA FETE par excellence. Regardons ses symboles : un bébé innocent et pur, qui jamais ne tuera et ne sera que bonté et amour ; un père et une mère démunis qui acceptent leur situation et se contentent de la crèche, de l’âne et du bœuf sans avoir même l’idée de supplier ou de menacer pour avoir autre chose ; des cadeaux amenés par des rois mages qui symbolisent l’acceptation de tous les peuples de la terre de Jésus mais aussi l’acceptation par Jésus de tous les peuples de la terre et de toutes les différences.

    Les musulmans (ou plutôt leur prophète Mahomet, parce que, en islam, il n’y a aucune liberté, aucun choix possible, l’homme doit obéissance à un homme mort il y a 1400 ans… ) ont choisi de faire de l’Aïd LA FETE par excellence. Regardons le symbole : on tue, on égorge, on laisse de jeunes enfants se repaître de cette vue, de ces odeurs… On mettra ici encore en parallèle la marche vers le progrès du christianisme qui a transformé la bête sacrifiée des origines, la victime (hostia en latin) en une hostie riche en symboles qui élève l’homme en lui demandant de ne pas répondre de façon bestiale mais de sublimer ses actes.

    Bref, l’islam est bien ce qui menace de façon durable et profonde les chrétiens. D’ailleurs, un certain nombre des 57 pays musulmans que compte la planète étaient chrétiens, avant d’être conquis par le glaive… Que reste-t-il du christianisme à Byzance renommée Constantinople par le très chrétien Constantin et devenue Istambul, dans les anciennes provinces romaines d’Egypte et d’Afrique du Nord, au Nord du Moyen Orient où se trouvait pourtant le tombeau de Jésus-Christ ou dans les Balkans… ?

    Le rapprochement islam-christianisme qu’une partie de la hiérarchie catholique et certains responsables associatifs catholiques voudraient imposer n’est qu’un jeu de dupe dans lequel les chrétiens sont instrumentalisés pour mieux être mangés, l’histoire le prouve. Certains croient que l’islam pourrait ramener Dieu en Europe, comme l’a affirmé le Cardinal Tauran, ils n’ont pas compris qu’en islam, il ne peut y avoir qu’un Dieu et qu’une seule obéissance.

    Il faut écouter le père Boulad, un des prêtres les plus lucides sur l’islam, qu’il connaît parfaitement puisqu’il vit en Egypte, pour ne pas croire aux mirages qu’on agite en permanence devant les yeux de celui qu’on veut tromper.

    Il a fallu 7 siècles à l’Espagne catholique pour chasser les occupants musulmans… J’aimerais, quant à moi, que l’on arrête, simplement, cette immigration massive, qu’on donne le temps aux immigrés installés non seulement de s’intégrer mais de s’assimiler comme l’ont fait avant eux et avec le succès que l’on connaît Italiens, Espagnols, Polonais, Portugais… et que l’on impose sans pitié et sans restriction le respect de nos lois afin que nos enfants et petits-enfants vivent en paix et libres.

    Est-ce trop demander ?

    Si vous pensez que le peuple de France a son mot à dire sur l’évolution qui lui est imposée, nous vous donnons rendez-vous dimanche prochain à 14 h place Denfert-Rochereau.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Ukraine-Russie: un convoi ferroviaire de tanks et de blindés filmé en Pologne

    le 4 mars 2014 

    La Pologne se prépare-t-elle à ce que la situation se dégrade encore entre la Russie et l’Ukraine ?

     

    Un convoi ferroviaire de tanks et de blindés a été filmé à Łódź, en Pologne, le 2 Mars 2014. Łódź se situe au centre du pays et à environ 360 km de la frontière avec l’Ukraine.

    Sources : Youtube / Le JDS

  • Un plan d'extermination pour les cygnes à New York

    http://french.ruvr.ru/news/2014_03_03/USA-les-cygnes-risquent-la-peine-de-mort-a-New-York-7773/

    Cette volonté d'exterminer les cygnes, cet bel oiseau romantique, a quelque chose d'anormal, car les raisons invoquées pour ce génocide ne sont nullement convaincantes. C'est un crime délibéré contre la Nature. Et un mauvais "signe" pour l'Amérique. On savait que la "grosse pomme" était pourrie, mais à ce point...