Il était une fois deux jeunes hommes, presque des gamins, âgés de 22 ans, deux bons petits gars, sans histoires. Le premier s’appelle Maxime (Hauchard), il est né à Bosc-Roger en Roumois, dans l’Eure, le trou du cul du monde ; il vivait dans une zone pavillonnaire au sein d’une famille de Français moyens, sans histoires. Le second s’appelle Mickael (Dos Santos), il est né à Champigny-sur-Marne, il est d’origine portugaise et sa mère fait des ménages. Tous deux étaient de bons catholiques (autrefois).
L’ennui, c’est qu’ils sont devenus des monstres. Une vidéo les montre décapitant eux-mêmes des soldats syriens. Attention, pas comme l’instrument raffiné du docteur Guillotin, qui coupait les têtes selon les pointillés et les faisait tomber proprement dans de petits paniers d’osier recouverts de linge blanc amoureusement brodé. Non, une bonne décapitation à la sarrasine ou à l’ottomane, comme autrefois, au couteau plus ou moins bien aiguisé. Avez-vous vu un homme en train de se faire égorger, ou même un mouton ? Non ? Alors, je vais vous raconter. Il y a d’abord les préparatifs où l’on voit le condamné pleurer, se tortiller, supplier, hurler, se faire dessus. Et puis, le couteau commence à fouiller les chairs, butant sur les cartilages et rebondissant sur les vertèbres. Ah ! Il en faut du courage et de la persévérance pour faire cela. C’est admirable ! Au bout d’un moment, long, très long, très très long, la tête tombe enfin. Ouf ! Mais pendant quelques minutes, le cerveau fonctionne encore, les yeux roulent, la bouche se convulse, mais les sons se perdent dans un gargouillis de bidet ; et le corps, lui, est pris de soubresauts, cherchant la tête qui lui manque. Vous trouvez cela horrible ? Moi aussi. Il paraît qu’il ne faut pas en parler parce que c’est trop affreux. Je ne suis pas d’accord : il faut au contraire le montrer pour qu’on sache à quel niveau de barbarie ces gens sont arrivés. De bons petits Français, des « de souche », pas des immigrés de troisième ou quatrième génération.
C’est bien la preuve de la faillite de cette République infâme et de cette religion des droits de l’homme. Faillite de l’éducation parentale (mais pour éduquer, il faut avoir été éduqué soi-même), faillite de l’enseignement (ou anti-enseignement ?), faillite de l’encadrement des adultes, des chefs, des politiques, des directeurs de conscience, des curés, des laïcs… Un tombereau de lâcheté ! A force de nier les valeurs et de vouloir imposer un système d’antivaleurs, voici ce qu’on récolte : des gamins révoltés, paumés, privés de repère, qui croient trouver dans une religion archaïque et incohérente un esperanto métaphysique.
Parlons-en un peu de cet islam. L’un fréquentait la mosquée d’Elbeuf (parce qu’en Normandie profonde aussi, il y a des mosquées) et l’autre celle de Villiers-sur-Marne. Des mosquées où il n’y a que des bons musulmans, des musulmans de cet « islam de France » si tolérant. Deux mosquées parmi les 3 000 que compte la France aujourd’hui (contre cinq en 1965) !
Je n’ai rien contre l’islam ; après tout, si des gens veulent croire au paradis d’Allah et à ses 72 vierges, c’est leur droit. Cependant, je ne sache pas que les églises catholiques ou orthodoxes, ou les temples bouddhistes soient des fabriques de barbares. Alors, oui à l’islam, mais là-bas, chez lui. Chaque année, ces centaines de milliers d’immigrés de confession musulmane envahissent notre Europe. Même si un sur mille est un fauve, ils sont donc des centaines à s’installer chez nous chaque année et à préparer le djihad. Sans parler de tous nos « de souche » convertis qui partent faire le djihad et dont la plupart – malheureusement – reviendront un jour : le préfet Pierre N’Gahane, « responsable du volet prévention dans le plan gouvernemental de lutte contre la radicalisation et les filières djihadistes » avoue, impuissant, que trois à quatre jeunes se radicalisent chaque jour !
Reviens, Charles Martel, ils sont devenus fous !
Alain CAGNAT