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  • Intervention de Marion Maréchal-Le Pen à propos de la loi sur le Renseignement

     

    14/04/2014 – PARIS (NOVOpress)
    Marion Maréchal-Le Pen a pris la parole à l’Assemblée nationale pour faire un inventaire complet de la loi sur le renseignement et dénoncer la mise en place d’une surveillance de masse de la population française.

    Marion Maréchal-Le Pen a également fait référence aux propos de Bernard Cazeneuve sur la mouvance identitaire, mais aussi aux saillies verbales outrageantes, hors réalité et répétées du Premier ministre à l’encontre du Front national en France comme à l’étranger.

  • Mémoires des Klarsfeld - Laïcité : Elkabbach reproche à Véronique Lévy sa conversion au Catholicisme sur la Chaîne Parlementaire

    11h22

    Bibliothèque Médicis – LCP – 13/04/15

    à partir de 38’43′ »

  • Loi sur le renseignement : Manuel Valls verrouille l’oignon

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    Au prétexte de lutter contre l’« ennemi intérieur », Manuel Valls propose son plan d’action. Il tombe à pic pour confirmer et protéger le visage totalitaire que prend cette société. Totalitaire et culinaire, puisqu’il est d’abord question d’oignon. La référente obligée des analyses sur le totalitarisme, Hannah Arendt, décrit comme « structure en oignon » un type de régime totalitaire destiné à organiser et à planifier la vie des masses tout en se protégeant des retours de « boomerang ».

    Au centre de l’oignon, protégé de toute atteinte réelle, le chef, la République ou l’État, et ses « valeurs », toujours infaillibles, toujours républicaines, toujours tolérantes et universelles, qu’il faut célébrer avec religiosité.

    La première enveloppe est la plus proche du chef : c’est l’élite, les experts autorisés et les membres du Parti. Ce sont les « maîtres bureaucrates » : « La bureaucratie est toujours un gouvernement d’experts, d’une “minorité avertie” qui doit résister tant qu’elle peut à la pression constante de la “majorité non avertie.” », écrit-elle. Ne cherchez pas trop loin : ce sont cette poignée de personnes exposées aux yeux de tous et autorisés à commenter la vie politique, ou à la diriger.

    La deuxième enveloppe protectrice se risque à l’interaction avec le monde normal : c’est celle des sympathisants, des planqués, des associations militantes, des soumis divers. Ils croient aux paroles du chef, de la république ou de l’État, et surtout croient encore qu’il y est question de conviction, de vérité et de réalité.

    La troisième enveloppe est constituée de la masse des individus atomisés et isolés, ces citoyens en rangs d’oignon, manifestant par milliers, dans la manducation perpétuelle d’un « je suis Charlie » et des « valeurs républicaines ». Les deux guerres mondiales – et, aujourd’hui, le danger islamiste et la concurrence communautaire – ont accouché d’une « terrifiante solidarité négative » qui a transformé les classes sociales en « une masse informe d’individus furieux » aisément manipulables, écrit Hannah Arendt. Manipulons donc.

    Cependant, par une sorte de disfonctionnement anthropologique, les êtres humains menacent toujours de laisser percer quelque initiative en dehors des « clous » et des autorisations médiatiques et préfectorales. Du coup, on mise sur l’éducation (éducation à la morale laïque, éducation aux valeurs républicaines, éducation à la citoyenneté, éducation à la débauche, éducation à la tolérance, etc.), afin d’annihiler dès le plus jeune âge ces racines de non-soumission, selon une méthode que nous avons déjà dénoncé chez Vincent Peillon : « Le but de l’éducation totalitaire, écrit Hannah Arendt, n’a jamais été d’inculquer des convictions mais de détruire la faculté d’en former aucune. »

    Ceux qui échappent, qui échapperaient ou qui ont échappés à cette lobotomisation pédagogique font face à la machine et à ses pelures. La multiplication des services (auxiliaires d’éducation, assistants sociaux, référents laïcité, défenseurs des droits, commissions diverses, associatifs antiracistes, experts, enquêteurs, etc.) sont autant de bras armés de la machine administrative de l’Etat, et participe de ce système de protections en oignon qui permet au mouvement de durer dans son mensonge. Les institutions étatiques, les médias et les experts ne sont plus qu’une pure façade, cette petite ficelle qui maintient les oignons, serrés les uns contre les autres, entre eux.

    Cerise sur l’oignon : la panoptique loi sur le renseignement de Manuel Valls. Après le matraquage « je suis Charlie », le matraquage « pas d’amalgames », les grandes célébrations républicaines et la méticuleuse neutralisation personnelle des opposants aux « grands changements de civilisation », voici donc la loi sur le renseignement, qui vient boucler la boucle, et serrer l’oignon ; laquelle prévoie que les services spéciaux se verront bientôt dotés de moyens de surveillance accrus (interceptions de courriels, de sms, écoutes téléphoniques, interception et enregistrement de communications ou d’images prononcées ou réalisées dans un lieu privé…), qu’ils pourront utiliser sur autorisation du Premier ministre pour des motifs d’intérêt public : « sécurité nationale, intérêts essentiels de la politique étrangère, intérêts économiques ou scientifiques essentiels, prévention du terrorisme, prévention de la reconstitution ou du maintien de groupements dissous, prévention de la criminalité organisée et des violences collectives pouvant porter gravement atteinte à la paix publique, menaces et risques susceptibles d’affecter la vie de la nation… »

    Le grand panoptique – ce rêve pervers de l’utilitariste Jeremy Bentham – s’impose enfin, et c’est la France, toujours en pointe du « progrès », qui en profite. Le système panoptique consistait à construire des prisons selon des plans circulaires, permettant au surveillant situé dans une tour centrale d’observer sans jamais être vu. La prison moderne, notait Michel Foucault, est d’abord une entreprise de culpabilisation travaillant les consciences individuelles à travers un regard omnipotent et omniscient. Culpabilisé, surveillé, le prisonnier s’amendait et se soumettait. Il s’agissait alors de redresser l’âme des détenus, comme il s’agit aujourd’hui de redresser l’âme des citoyens.

    Fort de cette structure protectrice en oignon et de ce système panoptique de surveillance généralisée, ce n’est plus le souverain qui est isolé, mais bien l’individu. Il peut donc plus aisément se soumettre. Toutes les sociétés totalitaires sont fondées sur ce mouvement perpétuel, paranoïaque et culpabilisateur, de surveillance, de délation et de retournement.

    Cette tour centrale oppressante, c’est aujourd’hui le chef, la république ou l’État, entouré de ses couches protectrices, autour de laquelle nous sommes tous isolés dans nos cellules individuelles, éclatées, post-modernes, attachés dans des cavernes platoniciennes à observer des ombres s’agiter sur un écran, loin de toute lumière, de tout beau et de tout bien. Condamnés à verser des larmes sur cette république oignonière.

    NDF

     

  • Laurent LOUIS risque 8 mois de prison avec sursis pour propos antisémites et négationnistes

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    14/04/15 à 18:27 - Mise à jour à 19:12

    Source : Belga

    Le ministère public a requis, mardi après-midi, une peine de huit mois de prison avec sursis et une amende de 3.000 euros à l'encontre de l'ancien député Laurent Louis, devant le tribunal correctionnel de Bruxelles.

     

           

    Laurent Louis. © Image Globe

    Laurent Louis avait été cité directement devant le tribunal par le Comité de Coordination des Organisations juives de Belgique (CCOJB) pour avoir tenu des propos négationnistes et antisémites.

    "Monsieur Louis a avoué la matérialité des faits mais, à ma surprise, il ne s'excuse pas", a avancé le procureur. "Je pense qu'en disant des chambres à gaz: 'est-ce si faux que cela?' (que ce soit "un détail de l'Histoire de la Seconde Guerre mondiale", ndlr), c'est dire que c'est un tout petit peu vrai. On s'approche donc du négationnisme ou du moins d'une minimisation de la Shoah, et donc la prévention est établie selon moi", a affirmé le procureur.

    "Néanmoins, je pense qu'il aurait pu aller plus loin encore dans l'insulte et donc je ne pense pas qu'il faille prononcer la peine maximale d'un an de prison. Je requiers donc une peine de prison de huit mois, avec sursis compte tenu du casier judiciaire pratiquement vierge de l'intéressé, et une amende de 3.000 euros ferme", a-t-il dit.

    Laurent Louis a en effet avoué, mardi à l'audience, être effectivement l'auteur des propos dont il est question dans ce procès. "Ce n'est pas un extraterrestre qui s'est introduit dans mon bureau, a allumé mon ordinateur et a tapé ces mots à ma place", a déclaré Laurent Louis. Ce dernier a cependant estimé qu'il avait uniquement fait usage de son droit à la liberté d'expression et n'avait enfreint aucune loi.

    La défense de Laurent Louis estime les poursuites irrecevables

    Le conseil de Laurent Louis, Me Sébastien Courtoy, a lui demandé au tribunal correctionnel de Bruxelles de déclarer les poursuites à l'encontre de son client irrecevables. Il a avancé que le Comité de Coordination des Organisations juives de Belgique (CCOJB), qui a intenté l'action, n'avait pas la qualité pour le faire étant donné qu'il n'a pas déposé ses comptes à la banque nationale comme le veut la loi. Cette asbl n'aurait pas déposé ses comptes à la banque nationale depuis vingt-deux ans et ne pourrait donc pas, estime-t-il, intenter d'action en justice.

    En juin dernier, le CCOJB avait cité directement Laurent Louis devant le tribunal correctionnel de Bruxelles - à savoir sans dépôt de plainte préalable auprès du parquet - pour propos antisémites et négationnistes proférés sur son blog, le 9 juin 2014.

    Laurent Louis, ancien député fédéral indépendant, y avait écrit: "Certes Jean­-Marie Le Pen a dit que les chambres à gaz n'étaient qu'un détail de l'Histoire de la Seconde Guerre mondiale et cela peut choquer mais en y réfléchissant un peu, est-ce si faux que cela? [...]".

  • Au Pakistan

     

    Le 10 avril, un jeune chrétien de 14 ans, Nauman Masih, a croisé des musulmans qui allaient à la mosquée, et qu’il ne connaissait pas. Les musulmans l’ont arrêté et l’ont questionné. Apprenant qu’il était chrétien, ils l’ont frappé et arrosé d’essence et ont mis le feu.

    L’adolescent s’est jeté dans un tas de sable avant d’être secouru. Il est maintenant à l’hôpital de Lahore et souffre de graves brûlures sur tout le corps.

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Diffamation: Marion Ruggiéri a présenté ses excuses !


     

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    Voici trois twitts successifs de Marion Ruggiéri d’aujourd’hui. Sa « langue avait fourché »… L’affaire est close. Sauf rebondissement…

    Capture.PNG Marion Ruggiéri.PNG

     

    Observatoire de la christianophobie

  • La mémoire contre l’histoire : Gaspard Koenig sur la loi Gayssot et le massacre de Katyń

     

    « Si la loi Gayssot avait été appliquée dans les années 50 ou 60, on n’aurait jamais pu prouver que Katyń était un charnier commis par les Russes, parce qu’on aurait été obligé de s’en tenir à la version officielle, qui était que c’est un crime contre l’humanité, faisant partie de la liste de Nuremberg, commis par les Allemands. »

    Cette remarque a été formulée courageusement le 28 janvier dernier par le philosophe libéral et président du think tank « Génération Libre » Gaspard Koenig, sur Arte, dans l’émission 28 minutes consacrée au thème : « Procès Dieudonné : une démocratie doit-elle tolérer l’intolérable ? »

    Le massacre de Katyń fut en effet incorporé dans l’acte d’accusation du tribunal de Nuremberg en 1946 et il fut ainsi généralement admis, jusqu’au début des années 1990, que les nazis avaient commis ce crime. Or, depuis la chute de l’URSS, la responsabilité de l’Armée rouge a été officiellement établie : le 5 mars 1940, à la demande de Lavrenti Beria, les membres du Politburo, Staline, Kliment Vorochilov, Anastase Mikoyan et Viatcheslav Molotov, donnèrent leur accord pour appliquer « le châtiment suprême, la peine de mort par fusillade » à 25 700 « prisonniers polonais, anciens officiers, fonctionnaires, agents de police, agents de renseignement, gendarmes […], membres de diverses organisations contre-révolutionnaires d’espions et de saboteurs ». Le tout, sans comparution des détenus devant les tribunaux spéciaux du NKVD ni acte d’accusation.

    Suite à cet ordre, le massacre fut perpétré dans la forêt de Katyń au printemps 1940.

     


    Gaspard Koenig sur la loi Gayssot et le... par cdmanon

     

    Une loi interdisant la remise en question du jugement du tribunal de Nuremberg (type loi Fabius-Gayssot) aurait existé, jamais en effet la vérité sur le massacre de Katyń n’aurait pu être établie. Nous remarquerons que quelques secondes avant sa remarque, Gaspard Koenig se voit qualifié de « négationniste » par Corinne Lepage (née Corinne Lévy, changement de nom par ordonnance du 1er juin 1951), une militante communautaire de haut vol, qui passe généralement pour écologiste.

    E&R

  • Candidature à la présidence de PACA

    13 avril 2015 

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    bruno-gollnisch-discours-villepreux

    Je prends acte du retrait annoncé par Jean-Marie Le Pen de sa candidature à la présidence de la Région Provence-Alpes Côte d’Azur (PACA).

    Dans ces conditions, j’envisage de présenter ma candidature à cette fonction, et donc à l’investiture de la Présidente et du Bureau Politique du Front National réuni ce 17 avril. 

    Il va de soi que cette candidature n’implique aucun jugement défavorable à l’égard de tout autre candidat potentiel.

    Je ne m’exprimerai pas plus sur ces sujets avant de m’en être entretenu avec les dirigeants de notre mouvement et avant la réunion du 17 avril. 

  • VIDEO - Rabbah, boucher halal de Roubaix, ne recrute que dans sa communauté: "chacun les siens comme on dit"

    http://www.fdesouche.com/588399-rabbah-boucher-halal-de-roubaix-recrute-dans-sa-communaute-chacun-les-siens-comme-dit

     

  • Paris : Le prédateur sexuel né en Guyane trahi par son mode opératoire (Maj)

     

    14h58

    Addendum : Agressions de collégiennes à Paris: Ce que l’on sait du prédateur sexuel

    Il a reconnu la «quasi-totalité» des faits qui lui sont reprochés. Un homme arrêté vendredi et placé en garde à vue la brigade de protection des mineurs, dans une enquête sur plusieurs agressions sexuelles, a reconnu avoir agressé sept collégiennes de 12 à 14 ans au cours des mois de mars et d’avril, sous la menace d’une arme blanche.

    Né en Guyane, cet homme de 37 ans «était installé à Paris intra-muros depuis un an», précise à 20 Minutes, une source proche de l’enquête. «Inscrit à Pôle emploi», le suspect, qui n’avait pas d’emploi stable, selon les premiers éléments de l’enquête, a raconté avoir travaillé par le passé dans des établissements scolaires comme surveillant.
    L’homme avait déjà été entendu en décembre 2014 dans une affaire d’agression sexuelle où il était mis en cause, mais il n’a pas été poursuivi et l’enquête a été classée pour «infraction insuffisamment caractérisée», a aussi indiqué une source judiciaire à l’AFP.

    20 Minutes


     

    Un homme de 37 ans a été interpellé puis placé en garde à vue vendredi soir. Il est soupçonné d’avoir commis 8 agressions sexuelles.

    Toutes les forces de police de plusieurs arrondissements parisiens étaient à sa recherche depuis plusieurs jours. Des mesures de sécurité particulières avaient été mises en place.

  • Paris : Le prédateur sexuel né en Guyane trahi par son mode opératoire (Maj)

    14h58

    Addendum : Agressions de collégiennes à Paris: Ce que l’on sait du prédateur sexuel

    Il a reconnu la «quasi-totalité» des faits qui lui sont reprochés. Un homme arrêté vendredi et placé en garde à vue la brigade de protection des mineurs, dans une enquête sur plusieurs agressions sexuelles, a reconnu avoir agressé sept collégiennes au cours des mois de mars et d’avril, sous la menace d’une arme blanche.

    Né en Guyane, cet homme de 37 ans «était installé à Paris intra-muros depuis un an», précise à 20 Minutes, une source proche de l’enquête. «Inscrit à Pôle emploi», le suspect, qui n’avait pas d’emploi stable, selon les premiers éléments de l’enquête, a raconté avoir travaillé par le passé dans des établissements scolaires comme surveillant.
    L’homme avait déjà été entendu en décembre 2014 dans une affaire d’agression sexuelle où il était mis en cause, mais il n’a pas été poursuivi et l’enquête a été classée pour «infraction insuffisamment caractérisée», a aussi indiqué une source judiciaire à l’AFP.

    20 Minutes


     

    Un homme de 37 ans a été interpellé puis placé en garde à vue vendredi soir. Il est soupçonné d’avoir commis 8 agressions sexuelles.

    Toutes les forces de police de plusieurs arrondissements parisiens étaient à sa recherche depuis plusieurs jours. Des mesures de sécurité particulières avaient été mises en place.

  • Les terribles viols des Alliés occidentaux en Allemagne en 1945

    http://www.lepoint.fr/monde/les-terribles-viols-des-allies-occidentaux-en-allemagne-en-1945-12-04-2015-1920492_24.php

  • Les politiciens français prêtent allégeance à Hillary Clinton, pas encore élue!

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-politiciens-francais-pretent-allegeance-a-Hillary-Clinton-pas-encore-elue-32298.html

  • GAULOIS D’ICI ET D’AU-DELÀ

     

    GAULOIS D’ICI ET D’AU-DELÀ  - Une exposition pleine de Celtes

    Une exposition pleine de Celtes



    Metamag
    le 13/04/2015
    modifié le 13/04/2015 à 20:18h
    Les nombreuses fouilles archéologiques qui se déroulent en région parisienne depuis une trentaine d’années mettent au jour des traces abondantes de la présence des Gaulois. Plusieurs découvertes spectaculaires montrent même que cette présence était loin de se limiter à quelques villages isolés au milieu de vastes de forêts où les Gaulois chassant le sanglier, mais au contraire, qu’il s’agissait d’une civilisation très avancée à part entière, ouverte sur le monde. 

    Archéa propose de partir à la découverte des dernières recherches dans ce domaine et entraîne les visiteurs dans l’univers des Parisii, l’un des nombreux peuples occupant la Gaule. Un éclairage inédit sur le mode de vie de nos ancêtres .

    Qu’est ce que le Parisis ? 

    Limite entre la Gaule Belgique au nord et la Gaule “celtique” au sud, déterminée par César au 1er siècle avant J.-C., le territoire des Parisii est connu par ses monnaies et une inscription romaine. Jules César le premier mentionne cette cité (civitas) dans ses textes en signalant la récente séparation d’avec le peuple des Sénons. Leur autonomie s’exprimerait par une prospérité économique attestée par leur monnayage en or. Le territoire, décrit comme couvert de forêts, de collines et de marais semble assez peuplé pour fournir bon nombre de combattants. Les limites (dont le diocèse de Paris découlerait) sont peu étendues posant pour certains historiens la question d’une véritable autonomie.

    À travers une présentation thématique, balayant une large période avant l’arrivée en Gaule des Romains, l’exposition évoque la vie de ces Gaulois du Parisis, implantés sur un territoire rural, tourné vers des pratiques d’agriculture et d’élevage.
     
    Artisanat domestique, artisanat spécialisé du verre, du métal ou de la céramique allant jusqu’à une véritable production artistique, les objets découverts donnent à voir les savoir-faire et les connaissances techniques de ces artisans comme la richesse des échanges commerciaux. 

    Les découvertes de nécropoles, et notamment de spectaculaires tombes où le défunt est inhumé sur un char d’apparat, si particulières au nord de la Gaule, précisent notre connaissance des  manifestations cultuelles et des pratiques funéraires, même si elles gardent parfois leur part d’ombre. 

    Exposition réalisée en partenariat avec le service départemental d’Archéologie du Val-d’Oise (Sdavo), l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), le CNRS, et l’association Jeunesse préhistorique et géologique de France (JPGF). 

    Elle bénéficie également du prêt de nombreux objets issus des collections du Conseil général  du Val d’Oise, et notamment du musée archéologique départemental, de celui de Seine-Saint-Denis, des services régionaux d’Archéologie d’Auvergne et d’Île-de-France, du Centre archéologique européen de Bibracte, du musée départemental de l’Oise et du musée Antoine Vivenel à Compiègne.
     
    En lien avec l’exposition, Archéa propose des visites familiales et contées, des ateliers tout-petits, enfants et adultes, des conférences-visites-apéros... Un album et un catalogue de l’exposition sont également édités

    jusqu'au 18 mai 2015, au musée Archéa à Louvres (Val d’Oise) . Musée Archéa , 56 rue de Paris , 95380 Louvres, Tél. : 01 34 09 01 02.  Contact : archea-info@roissy-online.com 

     
    De 13 h 30 à 18 h, du mercredi au vendredi, de 11 h à 18 h, samedi, dimanche et jours fériés. 
     
  • L’Inde et le Rafale : leçons de souveraineté, par Aymeric Chauprade

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    Publié par le 12 avril 2015 dans Éditoriaux

     

     
    M. Narendra Modi, Premier ministre de l'Inde (DR).

    M. Narendra Modi, Premier ministre de l’Inde (DR).

    Les annonces décisives que M. Modi, Premier ministre indien, a faites à l’Élysée à Paris le 10 avril portent en elles une leçon essentielle. La France n’est grande aux yeux du monde que lorsqu’elle remplit sa mission historique : celle d’une nation souveraine et d’exception.

    Souveraineté diplomatique tout d’abord : c’est en raison de son siège au Conseil de Sécurité aux Nations-Unies que la France peut aujourd’hui proposer à l’Inde son aide pour qu’elle intègre cette instance internationale de règlements des conflits mondiaux; quelle valeur ajoutée aurait eu à offrir la France si elle avait bradé cette position diplomatique majeure à l’Union européenne ? Son domaine maritime propre en Océan Indien en fait un partenaire-clé pour la politique de l”Acting East” de M. Modi dans les domaines de la sécurité maritime, du renseignement et du maintien de la paix.

    Souveraineté culturelle ensuite : La France n’est pas ce pays “moisi” si souvent décrit par tous ceux qui la haïssent tout en bénéficiant de sa générosité, mais au contraire, une nation millénaire dont l’identité culturelle (des monuments historiques au cinéma) séduit au point que l’Inde souhaite engager des partenariats-clés dans ces domaines.

    Souveraineté industrielle enfin : c’est uniquement en raison de l’investissement massif de l’État régalien dans les industries de souveraineté (défense, nucléaire) que notre pays peut se poser en partenaire fiable de l’Inde dans la durée (de l’Ouragan au Rafale en passant par le Mirage 2000) ; l’investissement dans nos filières aéronautique (derrière Dassault Aviation) et nucléaire (avec Areva) est non seulement stratégique mais rentable pour notre économie et nos emplois. C’est pour ne pas avoir consenti de pareils efforts financiers et technologiques que d’autres pays européens, comme l’Allemagne, ne peuvent prétendre à de tels partenariats stratégiques, avant-hier avec le Brésil, hier avec l’Égypte, aujourd’hui avec l’Inde et demain, espérons-le, avec les Émirats arabes unis et la Malaisie.

    Ce n’est pas l’Eurofighter, mais le Rafale, que M. Modi a choisi ; ce n’est pas vers l’Europe de la défense ou l’OTAN que M. Modi s’est tourné pour assurer sa propre défense, mais vers la capacité française à lui transférer la technologie de ses propres systèmes d’armes (aviation de chasse, missiles et sous-marins); ce ne sont pas les usines à charbon allemandes polluantes mais les centrales nucléaires françaises que M. Modi souhaite acquérir pour garantir l’indépendance énergétique de son pays; ce n’est pas un Disneyland apatride mais une nation chargée de monuments historiques que M. Modi a voulu visiter en premier.

    C’est donc une grande leçon de souveraineté que M. Modi est venu nous apporter et la preuve, du même coup, que seul un projet tourné vers l’indépendance nationale, qu’elle soit diplomatique ou technologique, peut de nouveau rendre à la France le rang qu’elle mérite.

    Aymeric Chauprade

    Crédit photo : joseluiscel via Flickr (cc)

    REALPOLITIK TV

  • La politique d’asile en France est “au bord de l’embolie”, selon la Cour des comptes

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    Source : Francetv info – « La politique d’asile en France est “au bord de l’embolie”, selon la Cour des comptes »
    La politique d’asile en France ne serait “pas soutenable à court terme”, à en croire un document de la Cour des comptes, révélé par Le Figaro, lundi 13 avril. Avec un coût avoisinant les 2 milliards d’euros par an, elle “est au bord de l’embolie”, estiment les magistrats.

    Des déboutés qui restent en France
    Ce document confidentiel est un “relevé d’observations provisoires”, “une sorte de rapport d’étape”, précise le quotidien, alors que débute, mercredi, l’examen par la commission des lois du Sénat d’un projet de loi réformant le droit d’asile. Selon cette analyse, “la politique d’asile est devenue la principale source d’arrivée d’immigrants clandestins en France”.

    Le rapport pointe “une hausse de la demande d’asile jusqu’en 2013″, avec “66 251 dossiers déposés” cette année-là, pour un coût par demandeur de 13 724 euros, ainsi que les dépenses pour les personnes déboutées, dont le montant “serait équivalent à celui consacré aux demandeurs d’asile”. La Cour souligne également que, “malgré l’obligation de quitter le territoire français (OQTF) qui leur est notifiée, seuls 1% des déboutés sont effectivement éloignés”, la majorité “reste en situation irrégulière en France”.

    Le document de la Cour des comptes émet des recommandations provisoires. Il préconise notamment de réduire le montant des allocations mensuelles versées aux demandeurs d’asile, de mettre en place un guichet unique de traitement des dossiers et d’exécuter les obligations de quitter le territoire français pour les personnes déboutées.

    Dans un autre rapport, publié en février, le commissaire aux droits de l’Homme du Conseil de l’Europe avait exhorté la France à lutter contre la hausse des actes haineux et à mieux accueillir les demandeurs d’asile, notamment syriens.

    Crédit photo : European Commission DG ECHO via Flickr (cc) 

  • [Tribune] Inacceptable ! Par Vincent Revel

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    13/04/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    Que pouvons-nous faire ? Contre cette injustice qui fait du citoyen, victime de vols et d’agressions, un coupable en puissance, pour le simple fait d’avoir osé se défendre, je ressens comme beaucoup un sérieux malaise.

    A l’image de Dominique Venner qui, confronté au déclin de notre nation, ressentant une forme d’impuissance face à la dynamique de déconstruction de nos sociétés occidentales, confiait dans Un Cœur rebelle s’être plusieurs fois posé cette question, je ne peux qu’être interpellé et profondément choqué par ces tribunaux de la République, devenus, avec le temps, des moyens d’action et de simples outils politiques entre les mains de nos nouveaux censeurs. Comme le dit Laurent Obertone dans son livre La France Orange Mécanique, nul citoyen d’aujourd’hui n’est à l’abri de cette violence, sans cesse justifiée, « or, pour des raisons morales – égalitaires -, la société – l’institution légitime – ne fait pas ce qu’il faut pour préserver les citoyens, et par-dessus le marché les prive de tout moyen de défense, en les criminalisant et en les culpabilisant… Les gens n’ont plus le droit de se défendre. »

    Domestiqués, ils respectent les lois, suivent les nouvelles règles, imposées par notre bourgeoisie cosmopolite, et croient encore au contrat social qui les lie à l’Etat républicain, ou font mine d’y croire, jusqu’au jour où leur vie dérape, leur échappe. Broyés par une justice qui a épousé le dogme du bien vivre ensemble et les valeurs égalitaristes de nos sociétés multiculturelles, les citoyens courageux, ceux qui ont décidé de ne pas abdiquer devant l’intolérable et l’inacceptable, deviennent dès lors des symboles à abattre pour montrer au reste du troupeau ce qui attend ceux qui voudraient aussi se rebiffer.

     

    La « racaille » se voit innocenter. Le signal est fort et sans ambiguïté. Le droit change de camp et la responsabilité se change en culpabilité. « La situation donne une illusion de toute puissance aux asociaux. En revanche, l’impuissance des citoyens normaux est bien réelle… Le respect et la tolérance que l’on exige des citoyens ou des policiers ne sont rien moins que l’acte de soumission illégitime des gens honnêtes envers les voyous. »

    Sept ans de prison ferme pour avoir eu le mérite de se défendre ! Voilà comment fonctionne la justice au pays des droits de l’homme, en ce printemps 2015. La légitime défense, acte interdit par la loi pénale mais permis moralement en cas d’agression, devient, en ces temps troubles, un véritable sujet de société. Hier, c’était Monsieur Galinier. Aujourd’hui, c’est le buraliste Luc Fournié. Demain à qui le tour ? Je le répète avec insistance : « Que pouvons-nous faire ? »

    Vincent Revel

    Crédit photo : Frachet, via Wikipédia, (cc).

     

  • Mobilisation générale contre la loi Renseignement

    Florian Philippot, Vice-Président du Front National : Mobilisation générale contre la loi Renseignement.
    Signez la pétition « Loi Renseignement : 100% flicage – 0% sécurité »

    Pétition signée!

  • Communiqué de Jean-Marie Le Pen - 13 avril 2015

     13.4.15

     

     
     
     

    Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

    Président d’honneur du Front National

     

    Je dois d’abord dire que je suis navré de voir que l’espace public de liberté, tant d’opinion que d’expression, ne cesse de se réduire dans notre pays et même dans nos rangs.

    Et pourtant, nous avons longtemps professé, à l’instar de Saint Jean, que « c’est la Vérité qui nous rendra libre » et j’ai toujours dit que je préférais être battu sur mes idées qu’élu sur celles de mes adversaires.

    Je n’ai pas changé !

    Je ne ferai rien qui puisse compromettre la fragile espérance de survie de la France que représente le Front National avec ses forces et ses faiblesses.

    Elu par le Congrès de Tours Président d’Honneur du Front National, après l’avoir fondé et conduit dans une constante adversité pendant une quarantaine d’années, je pensais être une bonne « locomotive » pour conduite la liste aux élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur.

    En effet, j’y avais obtenu plus de 33% des voix et fait élire cinq députés aux dernières élections européennes et avais l’appui de la grande majorité des conseillers régionaux dont je suis le Président de groupe.

    Une crise grave a été ouverte au Front National, au prétexte de deux interviews, l’une à RMC-BFMTV et l’autre à l’hebdomadaire Rivarol.

    Ceci ne justifiait pas le hourvari qu’on a déclenché dans nos rangs au risque d’affaiblir dangereusement notre mouvement.

    Je ne serai pas complice de cette manœuvre.

    C’est pourquoi j’ai décidé de ne pas être candidat aux élections régionales.

    Je remercie chaleureusement tous ceux, personnalités, élus, responsables, militants, qui m’ont apporté leur soutien dans cette épreuve, et tout particulièrement mon ami, le député Bruno Gollnisch.

    Je leur demande, dans l’intérêt supérieur de la France, de soutenir la candidature de Marion Maréchal-Le Pen, député du Vaucluse.

    Tant que Dieu me prêtera vie, je resterai à ma place au poste de combat

     Saint-Cloud, le 13 avril 2015