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  • La grande invasion : le grand remplacement c’est maintenant

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    17/04/2015 – EUROPE (NOVOpress via Présent du 16/04/2015))
    Près de 11 000 depuis le début du mois, plus de 6 500 au cours des deux derniers jours… Alors que l’Europe croule déjà littéralement sous le poids de l’immigration, les bateaux surchargés de clandestins en provenance de l’autre rive de la Méditerranée continuent de déferler sur les côtes italiennes sans susciter pour autant de réaction de fermeté de la part des autorités européennes.

    La grande invasion, le grand remplacement c'est maintenantLors des seules journées de dimanche et de lundi, les garde-côtes italiens ont ainsi porté secours à quelque 42 rafiots surchargés de clandestins, sans pouvoir toujours secourir l’ensemble de ces gens. Dimanche, en effet, quelque 400 migrants se seraient ainsi noyés lors du naufrage de leur embarcation. Le bateau, chargé d’environ 550 personnes venant majoritairement d’Afrique subsaharienne, aurait chaviré sous l’effet du mouvement des passagers apercevant les secours.

    En même temps, l’agence européenne de contrôle des frontières Frontex annonçait mardi que deux navires engagés dans l’opération « Triton » avaient essuyé des tirs de la part de passeurs souhaitant récupérer leurs rafiots, et rappelait qu’en février, déjà, des passeurs armés avaient obligé des garde-côtes italiens à leur rendre une embarcation dont ils venaient de secourir les passagers !

    Un déferlement devenu ingérable pour les autorités italiennes, qui redoutent avec le retour de la belle saison le déferlement de dizaines de milliers de migrants dans les mois à venir. Lundi, le ministre de l’Intérieur italien Angelino Alfano envoyait ainsi une directive aux préfets les appelant à trouver d’urgence pas moins de 6 500 places d’hébergement. Un appel qui a fait sortir de ses gonds le gouverneur de la région Lombardie et membre de la Ligue du Nord Roberto Maroni, qui a dit mercredi refuser de « subir cette invasion » en précisant qu’il y aura « zéro place en Lombardie tant que continuera cette attitude irresponsable ».

     

    L’Europe de Bruxelles est la première responsable

    C’est que, rappelait très justement Nicolas Bay dans un communiqué, l’Europe de Bruxelles et ses partisans sont les premiers responsables de cette situation.

    En effet, écrivait l’eurodéputé FN, « l’Europe passoire voulue par l’UMPS, celle des pompes aspirantes, de la régularisation des clandestins, des accords de Schengen et de la libre circulation, accélère le phénomène d’une immigration illégale désormais massive et incontrôlée. Face à cette déferlante migratoire sur le continent et à toutes les menaces et déstabilisations qu’elle engendre, l’UE (…) fait preuve d’une impuissance totale ». Et il ajoutait : « Devant l’immense échec de Frontex, un retour aux frontières nationales s’impose de toute urgence. Les immigrés illégaux ne répondant pas au droit d’asile ne doivent plus être accueillis ni aidés (…) mais renvoyés chez eux ! De la même manière que (…) les bateaux chargés de clandestins doivent être accompagnés, mais vers leurs ports de départ. »

    Franck Delétraz

  • Entretien avec Véronique Lévy, sœur de "philosophe"

     


     

     
     

     

    Après une jeunesse mouvementée, la sœur de BHL, issue d’une famille juive non pratiquante, a trouvé sa voie dans la religion catholique.

     

    Paris Match : Votre nom rappelle que, selon la tradition, vous descendez d’une des douze tribus d’Israël. Pourtant, vous avez décidé de vous convertir au catholicisme.

    Véronique Lévy : Mon arrière-grand-père était rabbin, mais mon père était très laïque. Je n’ai donc pas reçu d’éducation religieuse. C’est sur une page blanche de toute religiosité qu’est née ma foi. Le Christ est venu me chercher lorsque j’avais 3 ans, sur une plage du sud de la France, par l’intermédiaire d’une petite fille, Coralie, qui m’a dit  : « Si tu ne crois pas en Jésus, tu seras emportée par les robots. » Elle m’a appris le Notre Père et le Je vous salue Marie, que je me suis mise à réciter en cachette de mes parents.

     

    Quel genre de petite fille étiez-vous  ?

    Très solitaire et craintive, capable tout de même de bravoure, une fillette qui n’hésitait pas à s’éloigner très loin du rivage sur son bateau pneumatique  ! J’adorais les lieux déserts, abandonnés. Les gens défendus. Mes deux obsessions étaient d’être amoureuse et de trouver un médicament contre la mort.

     

    Quels étaient vos rapports avec vos deux frères aînés, Bernard-Henri et Philippe  ?

    Ils avaient vingt ans de plus que moi. Philippe ayant eu un grave accident, ma mère lui consacrait beaucoup de temps. C’était une femme peu tactile  ; et moi, j’étais en manque d’affection. Mon père, auquel j’étais très attachée, me ­prenait sur ses genoux  : « N’oublie pas que tu es une princesse. Tu fais partie d’une des familles juives les plus anciennes. » Moi, cela ne me disait rien. À l’école, on m’avait surnommée « Pont-Levis ».

     

    Chez vous, nul n’évoquait jamais la guerre et les persécutions contre les Juifs  ?

    Mes frères parlaient très souvent de la Shoah et cela m’agaçait. J’avais envie d’aller vers la lumière, vers la vie. [...]

     

    Aviez-vous parlé de votre projet à votre famille  ?

    Quand j’ai annoncé à Bernard-Henri que j’allais devenir catholique, il a cru que j’étais folle. Il m’a dit  : « C’est une toquade. Je suis certain qu’elle te passera et que tu reviendras au judaïsme. » Je lui ai répondu  : « Je suis revenue au judaïsme puisque je suis catholique. » Le chrétien est un juif accompli et fidèle. Mon frère est tout de même venu à mon baptême et à la veillée pascale.

    Lire l’intégralité de l’entretien sur parismatch.com

    E&R

  • Chloé, victime de son bourreau mais aussi de choix politiques


     17 avril 2015 / Mots-clés : , /  

    Edito de Nicolas Bay (17.04.2015), Secrétaire Général du Front National

    Le meurtre atroce de Chloé, fillette de 9 ans enlevée mercredi après-midi à Calais, illustre tragiquement le degré de défaillance de notre système judiciaire, le laxisme des politiques pénales conduites tant par l’UMP et le PS, et la nécessité de retrouver la maîtrise de nos frontières nationales.

    L’homme qui est passé aux aveux, de nationalité polonaise, a à son actif un long parcours de criminel multirécidiviste, des vols et violences volontaires aux séquestrations. Condamné en 2010 à six ans de prison et à une interdiction définitive du territoire, il était sorti de prison voici un an et n’avait évidemment pas respecté cette interdiction. Grâce à Schengen et à l’absence totale de contrôle aux frontières, ce criminel notoire a donc pu revenir en France et commettre ce crime ignoble.

    Par la voix de ses dirigeants, la Front National a exprimé toute sa compassion à la famille de la petite Chloé. Mais il convient de rappeler une évidence : Chloé est la victime de son bourreau bien sûr, mais aussi, à travers lui, de choix politiques. Un changement est urgent. Tout d’abord, l’idée de frontière doit être réhabilitée : les frontières sont avant tout un élément de protection pour un pays et ses citoyens, et on ne peut pas décemment continuer à sacrifier la sécurité des Français au nom de dogmes idéologiques. C’est pourquoi nous réclamons le rétablissement de l’expulsion automatique des délinquants et criminels étrangers (abolie par Nicolas Sarkozy) et la suspension des accords de Schengen pour rétablir un contrôle strict à nos frontières. Nos politiques pénales et judiciaires doivent aussi être réformées en profondeur. La question du rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus atroces et symboliques doit être posée aux Français. Seuls le Front National et Marine Le Pen portent cette promesse d’un retour de la fermeté et donc de la sécurité.

  • Communiqué de presse du Bureau politique du Front National

        Communiqués / 17 avril 2015 / Mots-clés : /   

    Lors de sa réunion du vendredi 17 avril, le Bureau politique du Front National, réuni en formation de Commission d’investiture, a désigné 7 de ses 13 futures têtes de liste pour les élections régionales des 6 et 13 décembre 2015 :

    Bourgogne Franche-Comté :
    Sophie MONTEL
    45 ans, mariée, 2 enfants
    Membre du Bureau politique du FN
    Député français au Parlement européen
    Présidente du groupe FN au Conseil régional de Franche-Comté

    Bretagne :
    Gilles PENNELLE
    52 ans, marié, 7 enfants
    Membre du Bureau politique du FN
    Secrétaire départemental FN 35
    Conseiller municipal de Fougères

    Ile-de-France :
    Wallerand de SAINT JUST
    64 ans, marié, 4 enfants
    Trésorier national du FN
    Membre du Bureau exécutif et du Bureau politique du FN
    Secrétaire départemental FN 75

    Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées :
    Louis ALIOT
    45 ans, 2 enfants
    Vice-président du FN
    Membre du Bureau exécutif et du Bureau politique du FN
    Député français au Parlement européen
    Conseiller municipal de Perpignan

    Normandie :
    Nicolas BAY
    37 ans, marié, 3 enfants
    Secrétaire général du FN
    Membre du Bureau exécutif et du Bureau politique du FN
    Député français au Parlement européen
    Président du groupe FN au Conseil régional de Haute-Normandie

    Pays de la Loire :
    Pascal GANNAT
    59 ans, marié, 9 enfants
    Membre du Bureau politique du FN
    Secrétaire départemental FN 72
    Ancien Conseiller régional et municipal

    Provence Alpes Côtes d’Azur :
    Marion MARÉCHAL LE PEN
    25 ans, mariée, 1 enfant
    Membre du Bureau politique du FN
    Secrétaire départementale FN 84
    Député du Vaucluse

  • Le tueur présumé de Chloé mis en examen

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    Zbigniew Huminski, le meurtrier présumé de Chloé. DR.

     Zbigniew Huminski avait été qualifié de «psychopathe» par un expert en 2009. Dans son rapport, ce dernier estimait le risque de récidive «fort probable».

     
     

    Le suspect polonais de l'enlèvement puis du viol et du meurtre de Chloé, neuf ans, a été mis en examen ce vendredi pour enlèvement, viol et séquestration suivie de mort sur mineur de 15 ans par un juge d'instruction de Boulogne-sur-mer (Pas-de-Calais), a annoncé son avocat. Le parquet a requis le placement sous mandat de dépôt de Zbigniew Huminski, 38 ans, qui devait encore passer devant le juge des libertés et de la détention. Il encourt la réclusion à perpétuité.

    Comment cet homme a-t-il pu en arriver là? Ce viol et cet assassinat auraient-ils pu être évités? Difficile à dire. Mais ce qui est sûr, c'est que Christian Soenen avait déjà tiré la sonnette d'alarme en 2009. Ce psychologue qui avait expertisé Zbigniew Huminski, alors en détention provisoire pour une série d'aggressions commises dans le Calaisis, avait rendu un rapport accablant sur le Polonais multirécidiviste. La rencontre a eu lieu le 31 août 2009. Christian Soenen, qui exerce dans la ville de Berck, s'est rendu à la prison de Longuennesse. «D'emblée, il m'est apparu particulièrement impulsif. On ressentait une vraie violence en lui et une absence totale de culpabilité», se souvient l'expert judiciaire, interrogé par Le Parisien. «Je réalise un certain nombre d'expertises, et je me souviens que dans ce cas précis, je l'avais qualifié de pychopathe», un diagnostic lourd et rare selon le praticien.

    «J'ai fait des bêtises»

    Le jour de l'entretien, Zbigniew Huminski ne s'est pas montré très bavard. L'homme alors âgé de 32 ans ne s'est pas trop attardé sur sa vie de famille, ni sur ses séjours en prison en Pologne et en France. Le praticien l'interroge alors sur les agressions commises au domicile de deux femmes quelques mois plus tôt. Il avait notamment menacé au couteau et frappé une vielle dame de 78 ans et s'était introduit chez une femme dans la même soirée. «J'ai trop bu et j'ai pas réfléchi, j'avais besoin d'argent...J'ai fait des bêtises», avait-il tenté de justifier. La question de l'alcool est incontournable pour comprendre cet homme. «Quand j'y touche, je peux pas réfléchir, alors je fais ça, avait-il admis. Je vais arrêter».

    Avec le recul, Christian Soenen réalise à quel point son rapport mettait en garde les autorités judiciaires. Ses conclusions étaient sans appel: Zbigniew H. pouvait recommencer. Dans son rapport, dont Le Parisien publie une petite partie, il avait écrit: «Récidive fort probable avec fort potentiel de violence non négligeable. Le pronostic d'une réadaptation reste très aléatoire voire illusoire». «Le sujet présente les caractéristiques d'une personnalité aux traits psychopathiques et laisse ressortir une certaine dangerosité potentielle», estime encore le psychologue. Ce rapport «expliquait tout, mais [Zbigniew] n'a sans doute pas bénéficié du suivi qui aurait été nécessaire», conclut l'expert qui ignore si le Polonais a été expertisé à nouveau ou suivi durant sa détention.

    LE FIGARO

  • Meurtre de Chloé : la droite et le FN dénoncent les failles du système judiciaire

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    Home LE SCAN Les verbatims            

      • Par Marc de Boni
      • Mis à jour le 17/04/2015 à 15:47
      • Publié le 17/04/2015 à 12:10

     

     

    LE SCAN POLITIQUE/VIDÉO - Le parcours du suspect, qui a avoué avoir agressé et tué la fillette, offre à l'opposition un angle d'attaque contre les réformes de la politique pénale entreprises par la ministre de la Justice Christiane Taubira et sur la libre circulation au sein de l'Europe.

     
     

    Après les aveux du ressortissant polonais suspecté d'avoir violé et tué la petite Chloé, 9 ans, mercredi à Calais, les réactions indignées se succèdent à droite pour critiquer les manquements du système judiciaire. Dans le collimateur des cadres de l'opposition, Christiane Taubira et la politique pénale du gouvernement. Les accords de libre circulation au sein de l'Europe et le fonctionnement de l'espace Schengen sont également visés. Il s'avère en effet que le suspect avait été expulsé du territoire suite à une condamnation, avant de revenir en France. La gauche s'indigne face aux critiques et parle de «récupération» du drame.

    L'un des premiers à monter au créneau est le numéro 3 de l'UMP Laurent Wauquiez, un adversaire déclaré de la libre circulation aux frontières. Le secrétaire général du parti a ainsi affirmé que le drame «confirme que la politique de désarmement pénal de Mme Taubira est une folie». «Il y a trop de questions sans réponse. Y a-t-il eu une défaillance majeure dans l'exécution de la peine? Pourquoi quelqu'un qui devait être reconduit à la frontière et expulsé ne l'a pas été? Nous demandons que l'inspection générale des services judiciaires soit saisie», s'est-il indigné. Des critiques contre la ministre de la Justice auxquelles a fait écho Rachida Dati sur BFM TV ce vendredi: «Moi quand j'étais Garde des Sceaux, j'ai créé la rétention de sûreté (…), la rétention de sûreté que souhaite supprimer Madame Taubira. La rétention de sûreté, ça permet de ne pas remettre en liberté, même quelqu'un qui a purgé sa peine, mais que les experts considèrent dangereux», regrette la maire du VII arrondissement de Paris.

    Espace Schengen et libre circulation

    Invitée sur BFM TV, Valérie Pécresse a pour sa part estimé qu'il fallait «revoir» en urgence les accords de Schengen. «Il y a un problème avec Schengen, on l'a vu pour les terroristes. Les terroristes se déplacent, ils reviennent du djihad, ils rentrent dans Schengen, ils peuvent se déplacer sans jamais être contrôlés. Là, on a un interdit du territoire qui vient commettre un meurtre et un viol atroce sur le territoire français, alors qu'on sait que ce type était dangereux», a-t-elle déclaré jeudi soir.

    S'il juge ce vendredi sur iTélé que «la politique de la garde des sceaux est critiquable» et que «la politique de désarmement pénal est une folie» pour le député des Yvelines Henri Guaino le problème est ailleurs. Selon lui, Schengen n'est pas le premier problème dans cette affaire. «La question centrale dans cette affaire, c'est la liberté de circulation totale qui met la sécurité des français à la merci des autorités polonaises (…) Le principe de liberté de circulation au sein de l'Union européenne, ce n'est pas dans Schengen, c'est dans tous les traités européens. Là c'est à l'intérieur de l'Europe que l'on peut circuler librement. Ça ne veut plus rien dire de supprimer l'accès au territoire à un citoyen européen puisqu'il peut revenir sans que vous le voyiez. Il faut poser des limites à la libre circulation elle doit être conditionnelle, aucun principe ne peut être absolu», fait valoir l'ancienne plume de Nicolas Sarkozy.

     

    Tir nourri en direction de la place Vendôme également chez les cadres du FN. «Chloé: un meurtre odieux consécutif au laxisme d'Etat?», s'interroge ce vendredi sur son blog le vice-président du FN Steeve Briois. «Le meurtre de Chloé, qui nous bouleverse tous, pose la question de Schengen et du laxisme d'État», reprend le sénateur-maire de Fréjus David Rachline au micro d'Europe 1. «Le gouvernement demande des comptes à la Pologne? Qu'il regarde plutôt la poutre qu'il a dans l'œil», juge pour sa part le trésorier du parti de Marine Le Pen Wallerand de Saint-Just. Invité de France Info, Florian Philippot a pour sa part «conseillé à Madame Taubira» «d'arrêter de faire des poèmes sur Twitter et de se mettre au travail.»

    LE FIGARO

     

  • Diego VELASQUEZ (1599-1660)

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    La Vénus au miroir  (1649-1651)

  • États-Unis : Un os de babouin dans le squelette de « Lucy » !

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    En voulant faire une copie de cet illustre squelette d’Australopithèque afarensis, qui comprend 89 précieux ossements, les chercheurs sont tombés sur un os…

     

    En étudiant Lucy, l’un des plus célèbres hominidés au monde, co-découvert en 1974 sur les bords de la rivière Awash à Hadar (Éthiopie) par le scientifique français Yves Coppens, des chercheurs du Muséum d’Histoire Naturelle et de l’université de New York ont découvert un petit os de trop… En le regardant de plus près, ils ont été les premiers à constater que cette vertèbre ne collait pas avec l’ensemble de la colonne vertébrale de Lucy ! [...]

    « Les résultats ont montré que le fragment n’appartenait pas à un Australopithèque du tout ! » ont expliqué les scientifiques. Selon ces spécialistes, c’est une vertèbre de… babouin (gélada) de la famille des cercopithécidés, qui se serait ainsi retrouvée mêlée aux restes de Lucy !

    Sciences & Avenir

  • 250 tombes catholiques profanées à Castres : Le suspect répète en boucle des prières musulmanes (MàJ)

    18h20

    16/04/15

    Tombes dégradées à Castres : le principal suspect hospitalisé d’office

    A priori mentalement déséquilibré, il a été hospitalisé dans l’après-midi. «L’homme répète en boucle des prières musulmanes, il bave et est inaccessible à la communication: son état a été déclaré incompatible avec une garde à vue» en raison de ses troubles psychiatriques, a-t-elle ajouté.

    (…) Le Parisien


    Un suspect en garde à vue après la profanation de tombes à Castres

    L’enquête s’accélère dans l’affaire des profanations de 215 tombes dans le cimetière Saint-Roch à Castres (Tarn). Une personne a été placée en garde à vue, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, jeudi 16 avril dans l’après-midi, à l’issue d’une brève visite sur le site vandalisé mercredi.

    Un homme identifié grâce à la vidéosurveillance ?
    « Actuellement, une personne est en garde à vue et nous verrons si cette personne est effectivement coupable ou pas : la justice aura à s’exprimer », a déclaré le ministre devant quelques journalistes en sortant du cimetière. Selon une source proche du dossier, il s’agirait d’un homme, identifié grâce aux caméras de vidéosurveillance du lieu.

    (…) France TV

     

  • Marine Le Pen fait partie des 100 personnalités les plus influentes au monde

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    16/04/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Marine Le Pen fait partie du classement des 100 personnalités les plus influentes au monde établi chaque année par le magazine américain Time.

    “C’est une femme leader, ce qui n’est pas très commun et elle rappelle ici Margaret Thatcher”, explique Renaud Thillaye, le directeur adjoint du think tank Policy Network.

    Crédit photo : Global Panorama via Flickr (cc) 

  • Immigration: Bruxelles veut tempérer Madrid : pas de refoulements « à chaud »

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    23h09

    La Commission européenne a appelé aujourd’hui l’Espagne à renoncer aux refoulements « à chaud » des immigrants à la frontière de ses enclaves de Ceuta et Melilla et du Maroc. Bruxelles recommande à Madrid de leur permettre de présenter leurs demandes d’asile sans avoir à escalader les clôtures hautes de trois à six mètres qui marquent la frontière.

     

    « Il faut s’assurer que les points de passage des frontières sont accessibles pour permettre aux demandeurs d’asile de présenter leur demandes, sans avoir à escalader des clôtures », a déclaré une porte-parole de la Commission, à quelques jours de la visite sur place du commissaire en charge du dossier.

    (…) Le Figaro

  • Bloc Identitaire Lyon : Camping « Paradis » à Lyon, objectif remigration

    13h44

    [Campement sauvage La Feyssine, Villeurbanne]
    Depuis plusieurs années maintenant, des campements sauvages s’installent dans l’agglomération lyonnaise occasionnant des troubles importants pour le voisinage. Les terrains sont transformés en véritables décharges publiques.
    Le Bloc Identitaire Lyon dénonce la complicité des pouvoirs publics face aux multiples dangers que font courir à la population ces bidonvilles : insécurité (cambriolages, violence, prostitution, mendicité agressive) et insalubrité.
    Malgré les mesures d’évacuations mises en place par la préfecture, les camps se reforment presque immédiatement dans d’autres lieux.

    Le Bloc Identitaire propose donc la seule solution pour stopper ce phénomène, la REMIGRATION.

  • La photo du jour : François Hollande en Suisse, le selfie de trop

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    20h41

     

    Les visites d’Etat se suivent mais ne se ressemblent pas forcément : au 1er jour de son déplacement en Suisse, François Hollande a accepté de poser pour de nombreux selfies… dont un qui risque de faire parler de lui. Un jeune homme pose aux côtés du Président, en faisant un doigt d’honneur. L’image s’est retrouvé aujourd’hui en Une du quotidien suisse « La Liberté » quand « Le Matin » lance un appel à témoin pour en retrouver l’auteur. « La scène a duré à peine trois secondes. Un agent de sécurité, qui se trouvait juste à côté de François Hollande, a remarqué la situation. Il a saisi la main du jeune homme et le président a continué sa route », raconte à 20 minutes le photographe qui a saisi la scène.

    Les Echos

    Merci falstaff

  • Vote obligatoire : pour récupérer l’abstention des musulmans ?

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    16/04/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Rendre obligatoire le vote ? François Hollande, qui a reçu hier matin le rapport de Claude Bartolone sur « l’engagement citoyen et l’appartenance républicaine » dit ne pas avoir tranché en laissant le débat ouvert.

    Pour sa part, Jean-Marie Le Guen défend vigoureusement cette idée : « La démocratie ne doit pas être une valeur commerciale: on consomme ou on ne consomme pas, j’y vais si ça me rapporte. La démocratie, ce sont des droits et aussi des devoirs, des gens sont morts pour avoir le droit de vote, que l’on considère aujourd’hui avec trop de légèreté et une vision individualiste ».

    Augmenter le niveau du zoom

     

    Est-ce pour tenter de récupérer des électeurs qui leur ont fait défaut aux trois derniers scrutins que les socialistes font cette demande de circonstance par la voix de Claude Bartolone ?

    Il est à se demander si quelques zélés membres du parti socialiste pour pallier le manque d’électeurs n’ont pas compulsé quelques statistiques religieuses, voire ethniques avant de proposer que le vote devienne obligatoire.

    En effet, si les musulmans votent traditionnellement surtout à gauche (86% des musulmans ayant voté l’on fait pour Hollande en 2012), c’est une population qui est largement abstentionniste (79%, cf tableau joint).

    Crédit photo : Francois Hollande via Flickr (cc)


  • Jean-Marie Le Pen hospitalisé jeudi pour un "problème cardiaque"

    Le président d'honneur du FN, âgé de 86 ans, a été admis à l'hôpital jeudi en raison d'un «petit problème cardiaque», selon ses propres termes. Il ignore lorsqu'il pourra quitter l'établissement.


     

    «La bête est solide», affirme l'intéressé. Le président d'honneur du FN Jean-Marie Le Pen a été hospitalisé jeudi en raison d'un «petit problème cardiaque, pas gravissime», a-t-il expliqué par téléphone à l'AFP. «Je vais bien», a affirmé le député européen âgé de 86 ans. «Je suis dans mon lit. Ça me donne l'occasion de me reposer.»

    Jean-Marie Le Pen ignore quand il pourra quitter l'hôpital. «Je ne sais pas, ça dépend des médecins. La chanson du Quartier Latin disait “les médecins, c'est comme les curés, il faut les croire sur parole”», a ironisé le patriarche frontiste, citant une chanson paillarde intitulée La Vérole. Au téléphone, l'ancien candidat à la présidentielle s'est exprimé avec une voix fatiguée, mais a ri à plusieurs reprises.

    «Je ne suis pas “l'homme qui rit dans les cimetières”, je suis l'homme qui rit jusqu'au cercueil», s'est-il aussi amusé. La référence porte cette fois sur une accusation qui avait été portée contre Raymond Poincaré, ex-président de la République, lorsqu'il avait visité un cimetière de soldats de la Grande Guerre.

    De récents «chocs émotionnels»

    Plusieurs sources avaient évoqué l'hospitalisation de Jean-Marie Le Pen, un peu plus tôt dans la journée. «Il n'y a rien de grave», avait affirmé l'une d'entre elles, tandis qu'une autre avait fait référence à des «examens médicaux mensuels de routine» à l'hôpital. En revanche, une troisième source avait assuré que ce n'était «pas une hospitalisation habituelle». «Jean-Marie Le Pen est encore à l'hôpital pour un moment indéfini, au moins jusqu'à demain», avait indiqué cette dernière, en parlant d'«une intervention» et en rappelant les récents «chocs émotionnels» subis par le président d'honneur du FN.

    Le parti frontiste est pris depuis plus d'une semaine dans une violente brouille entre Jean-Marie Le Pen et sa fille Marine Le Pen, présidente du parti, après deux entretiens accordés par le premier à BFMTV-RMC et à l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol. Le fondateur du FN avait alors répété ses propos polémiques sur les chambres à gaz, «point de détail» de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale, et défendu le maréchal Pétain.

    Le président d'honneur du parti, qui souhaitait être tête de liste FN pour la région Provence-Alpes-Côte d'Azur aux élections régionales de décembre, a finalement laissé sa place, qui devrait revenir à sa petite-fille Marion Maréchal-Le Pen, députée FN du Vaucluse. Il a également été convoqué devant le bureau exécutif du parti réuni en instance disciplinaire en vue d'éventuelles sanctions après ses propos polémiques.

    Par ailleurs, à la fin janvier, un incendie avait presque totalement dévasté la maison de Jean-Marie Le Pen à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine). Il avait été légèrement blessé au visage et à l'épaule en voulant échapper aux flammes.

    LE FIGARO

  • Meurtre de Chloé: questions autour d'une interdiction de territoire

    Une interdiction définitive de se rendre en France avait semble-t-il été prononcée contre l'homme qui a avoué le viol et le meurtre de Chloé à Calais. Outre la question de sa validité se pose aussi celle de son application. Le gouvernement français dit vouloir demander des comptes à la Pologne.


     

    - Pourquoi le suspect avait-il été condamné en France?

    L'homme interpellé après l'enlèvement, le viol et l'assassinat mercredi de Chloé, neuf ans, à Calais, avait déjà été condamné deux fois en France, mais pas pour des faits similaires. La première fois, en novembre 2004, à quatre ans de prison, et la seconde fois, en mars 2010, à six ans de prison, à chaque fois pour extorsion avec violence, séquestration et vol aggravé. Ces condamnations avaient été prononcées à l'époque par le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer, qui à l'époque, avait assorti la peine de ce Polonais de 38 ans d'une interdiction définitive de territoire français. Il avait ensuite été remis aux autorités de son pays le 27 mars 2014 après l'émission d'un mandat d'arrêt européen par la Pologne qui souhaitait le juger pour des cambriolages commis là-bas en 2000.

    - S'il avait été condamné à six ans de prison, pourquoi n'était-il pas toujours détenu dans une prison française?

    Comme l'explique l'avocat pénaliste Pierre Lumbroso, «s'il a été condamné à six ans de prison, le suspect a dû bénéficier d'une remise de peine d'au moins treize mois». En France, le crédit de réduction de peine est en effet automatiquement calculé en fonction de la durée de la condamnation prononcée (3 mois pour la première année d'emprisonnement, 2 mois pour les années suivantes). A ce délai peuvent éventuellement s'ajouter d'autres réductions. Selon France 3 Pas-de-Calais, le suspect a été expulsé vers Varsovie six jours après sa sortie de la prison de Fresnes. Entre sa sortie de prison et son expulsion, «il a d'abord été assigné à résidence par un juge de la liberté et de la détention», indique Me Lumbroso. Ce qui signifie donc qu'il était libre de ses mouvements durant ce laps de temps.

    - Que faisait le suspect à Calais mercredi?

    L'homme interpellé mercredi après la découverte du corps de la fillette dans les bois assure n'être arrivé à Calais que quelques heures plus tôt. «Il était en Pologne jusqu'à hier (mercredi) matin», a confirmé le procureur de Boulogne-sur-Mer, Jean-Pierre Valensi. Selon le magistrat, le suspect a raconté aux enquêteurs être arrivé à Calais pour aller voir sa soeur à Southampton en Angleterre, sans toutefois posséder de titre de transport.

    - Faisait-il vraiment l'objet d'une interdiction du territoire français?

    Le procureur de Boulogne-sur-Mer, après avoir indiqué que le suspect était soumis à une interdiction de territoire français, a précisé ce jeudi que cette décision de justice était invalide sur le plan juridique au regard des infractions pour lesquelles il avait été condamné en France. Et donc «pas applicable». Le tribunal de Boulogne-sur-Mer avait «prononcé une interdiction définitive du territoire qui ne pouvait être amenée à exécution puisque son prononcé n'était pas légalement encouru pour les faits pour lesquels il avait été condamnés», a déclaré lors de son point de presse le procureur Jean-Pierre Valensi. «La loi prévoit pour certaines infractions l'interdiction du territoire français et pour d'autres non». Comment le tribunal avait-il donc pu prendre une telle décision, si elle n'était pas applicable? La question reste pour l'instant entière. Ce jeudi matin en tout cas, Bernard Cazeneuve, a pourtant rappelé l'existence de l'nterdiction, en prenant visiblement pour acquis sa validité. Le ministre a en effet ajouté qu'une «discussion (était) en cours avec les autorités polonaises de manière à établir les conditions dans lesquelles cette interdiction du territoire a été enfreinte par le criminel en question».

    - Pourquoi cette interdiction n'a-t-elle pas été contrôlée?

    La mère de la petite Chloé ne comprend pas: «Je suis franchement écoeurée, dégoûtée... Je ne comprends pas pourquoi il était en France. Et puis pourquoi est-il venu à Calais?», déclare-t-elle au Parisien. Si Bernard Cazeneuve demande des comptes à Varsovie, le fait que le suspect ait pu enfreindre cette interdiction de territoire (qu'elle soit valide ou non) n'a rien de surprenant, déplore Me Lumbroso. La Pologne appartient à l'Union européenne et à l'espace Schengen, qui permet la libre circulation des individus. Le suspect n'avait donc pas besoin de visa pour se rendre en France. «Une fois qu'il a été transféré en Pologne, il a été laissé libre car il n'avait pas été condamné sur ce territoire et les autorités n'avaient aucune raison de le détenir, explique l'avocat pénaliste. Il était donc libre de ses mouvements. Or il est impossible de contrôler une interdiction du territoire français. Surtout s'il vient d'un pays de l'espace Schengen et qu'il se déplace en voiture, en train ou même en bateau. S'il avait voyagé en avion, il aurait été intercepté par la douane. Mais comme il circulait en voiture, il ne pouvait être intercepté que par un contrôle inopiné.»

    LE FIGARO

  • Chloé : un meurtre odieux consécutif au laxisme d’Etat ?

       Communiqués / 16 avril 2015 / /   

    Communiqué de Presse de Steeve Briois, Vice-Président du Front National

    Le corps sans vie de la petite Chloé a été retrouvé peu après son enlèvement mercredi après-midi. Selon le syndicat UNSA Police, la fillette aurait été violée puis tuée. Nous tenons à présenter nos sincères condoléances à la famille de la victime et à tous leurs proches qui doivent affronter une épreuve terriblement douloureuse.

    S’il convient de laisser la police judiciaire et le parquet mener leur enquête dans les meilleurs conditions, il n’en demeure pas moins que la présence d’un homme âgé de 38 ans, de nationalité étrangère, fortement alcoolisé et faisant l’objet d’une interdiction définitive du territoire français à la suite d’une condamnation en 2010 à six ans de prison, pose de nombreuses interrogations.

    Deux enquêtes devront donc être menées : l’une permettant de prouver la culpabilité de l’assassin qui devra être condamné à la perpétuité, et l’autre engageant la responsabilité de l’Etat concernant l’exécution d’une décision de justice portant interdiction de séjourner sur le territoire de la République française.

  • Tueur de l'Essonne: Yoni Palmier condamné à la perpétuité avec 22 ans de sûreté

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    Les plaidoiries de la défense n'ont pas suffisamment pesé pour faire changer l'avis des jurés façonné par trois semaines d'audience. Yoni Palmier, 36 ans, a été condamné à une peine rarissime ce jeudi : la perpétuité avec 22 ans de période de sûreté, le maximum prévu par la loi pour les crimes qu'il a commis (la perpétuité incompressible étant réservée aux meurtres avec viol, tortures ou acte de barbarie d'un mineur ou aux meurtres en bande organisée de dépositaires de l'autorité publique, NDLR).

     
     

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    La peine prononcée contre Yoni Palmier est donc assortie d'une rétention de sûreté, qui permet à un cortège d'expert psychiatriques et de juges de se réunir et de réexaminer la dangerosité de Yoni Palmier tous les ans après sa 22e année de détention et de prolonger son incarcération éventuellement jusqu'à sa mort.

    «C'est un verdict à la mesure de la gravité des faits, témoigne Me Natali qui défendait les intérêts de la famille Brunetto, la troisième victime. Une réponse judiciaire sur qui a commis les crimes. Pour le pourquoi, les experts psychiatriques ont répondu en partie. Pour la famille c'est un moment important.» «Les parties civiles sont rassurées. Mais ne seront vraiment soulagées qu'au-delà du délai de dix jours d'appel. Car elles redoutent de devoir revivre ces moments. Vu leurs souffrances elles considèrent que ce verdict est juste», a estimé pour sa part Me Auerbacher, l'avocat de la famille Davids, la première victime.

    Après le réquisitoire de l'avocate générale, qui avait demandé la peine maximale à l'encontre de Yoni Palmier accusé d'avoir assassiné quatre personnes entre novembre 2011 et avril 2012, à Juvisy, Ris et Grigny avec une seule et même arme, ses avocats, Mes Laurent Caruso et Julien Fresnault, avaient tout tenté pour modifier l'image de leur client. «Notre tâche est complexe, défendre quelqu'un qui a déjà l'image du «tueur de l'Essonne». En plus, dans le box, il présente mal, avait souligné Julien Fresnault en désignant Yoni Palmier avachi, tête basse, dont on ne voit même pas la tête. Il est voûté, frustre, avec un regard noir.»

    «Il n'a aucune intelligence sociale»


    Puis se tournant vers deux jurées qui sont installées juste à côté de l'accusé, il enchaîne. «Il a des tocs qui le dévalorisent, vous avez dû le voir avec sa salive qu'il crache régulièrement dans un mouchoir, on se demande d'où ça vient, mais c'est un exemple de mimétisme, un trait caractéristique de sa personnalité. Car sa mère fait la même chose.» De la même manière, il s'est attaché à rendre l'accusé plus humain, en montrant ses failles. «Comme de nombreuses personnes isolées, il n'a aucune intelligence sociale, souligne Me Fresnault. Mais il est attaché aux mots.»

    Le Parisien